Peut-on ou doit-on réinventer le couple amoureux En Amour, les
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Peut-on ou doit-on réinventer le couple amoureux En Amour, les
Peut-on ou doit-on réinventer le couple amoureux En Amour, les contretemps ne sont que des attentes bercées d’impatiences… Un des grands défis du XXI e siècle lancé aux femmes et aux hommes d’aujourd’hui concernera leur capacité mutuelle à réinventer la vie en couple. C'est-à-dire à se donner les moyens non seulement de sauvegarder leurs sentiments, mais aussi de les amplifier, de vivre ensemble dans la durée, avec une qualité de plaisir et de bien-être éprouvé par chacun, dans l’imprévisible d’un quotidien à construire, de vivre l’un par rapport à l’autre une croissance intime et partagée. À ce propos, il faut signaler ou reconfirmer que ce sont les femmes qui ont fait considérablement avancer la communication intime, dans la famille et dans le couple au cours des trente dernières années. Dire en préliminaire que parler de couple ou de la vie en couple c’est être confronté tout de suite à deux registres d’interrogations très différents, mais habituellement si intriqués, qu’ils donnent lieu à beaucoup de collusions, de malentendus et d’errances dans cette aventure qui peut être merveilleuse et étonnante ou désespérante et douloureuse. Le registre des sentiments, la réciprocité en amour entre deux êtres, c'est-à-dire aussi une amplification de leurs sentiments, est difficile à évaluer. Il s’agit la plupart du temps d’un ressenti qui reste de l’ordre de l’intime. Les sentiments peuvent être à sens unique ou partagés, mais sont toujours inégalitaires. En matière de sentiments, si l’un des deux s’investit plus que l’autre, c’est celui-là qui sera le plus vulnérable dans le couple. Le registre de la relation, c'est-à-dire de la richesse et de la qualité des échanges, des partages, de la communication devrait circuler entre les protagonistes d’un couple, afin de permettre à chacun d’accéder au meilleur de lui-même. Je ne m’étendrai pas sur les sentiments de l’amour, j’en ai déjà parlé ! Il y a surtout une grande immaturité affective, chez la plupart des prétendants à la vie amoureuse et à la vie de couple ! Ainsi toute déclaration ou affirmation d’un amour peut recouvrir des dynamiques et des enjeux très divers….. Suite plus tard si vous le voulez-bien…. RUBRIQUE Les Français manquent-ils de vitamine D ? Près de la moitié des Français présenteraient un déficit modéré en vitamine D. C’est le constat dressé par les rédacteurs de la dernière livraison du Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH). Or cette vitamine est essentielle puisqu’elle permet notamment à l’organisme de métaboliser le calcium. Elle agit également au niveau des yeux, des systèmes immunitaire et cardiovasculaire ou encore du cerveau. Une équipe de l’Unité de surveillance et d’épidémiologie nutritionnelle (Usen) de l’Université Paris 13 (Bobigny) a recueilli les données contenues dans l’Etude nationale Nutrition Santé (ENNS) pour évaluer le taux de vitamine D des adultes français. Menée en 2006-2007, celle-ci a notamment procuré le dosage sérique en 25-hydroxyvitamine D chez 1 587 adultes. Aucun ne prenait de traitement médicamenteux à base de vitamine D. Une forte proportion (80%) présentait une insuffisance et près de la moitié (43%) souffrait d’un déficit modéré. Enfin, les carences sévères se sont avérées peu fréquentes (5%). « Quel que soit le seuil retenu, les déficiences étaient courantes chez : – Les participants nés hors d’Europe ; – Les fumeurs actuels ; – Les sédentaires et ceux ayant un faible degré d’activité physique ; – Et les habitants des zones à faible ensoleillement ». La période de l’année présente également un impact sur les carences en vitamine D. « La prévalence du déficit modéré varie ainsi de 24,4% entre juin et septembre à 56,2% entre février et mai », soulignent les auteurs. Même constat pour la prévalence du déficit sévère : il varie de 1,3% à 8,2% sur les mêmes périodes. Une exposition modérée au soleil est nécessaire « Si le déficit modéré ne s’accompagne généralement pas de signes cliniques, il pourrait cependant constituer un facteur de risque d’anomalies osseuses, d’ostéoporose, de cancers et de maladies cardiovasculaires », notent les auteurs. En conséquence, « des actions d’information ciblées, semblables à celles menées en Australie ou en Angleterre, seraient probablement nécessaires en France », ajoutentils. Ces pays ont en effet récemment adapté leurs messages de santé publique relatifs aux dangers du soleil, « en rappelant à la fois les risques en termes de cancer de la peau d’une exposition excessive et les bienfaits d’une exposition raisonnable ». Rappelons qu’il suffit de 15 à 20 minutes d’exposition au soleil chaque jour pour satisfaire aux besoins de notre organisme.