CPsurveillance electronique judiciaire

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CPsurveillance electronique judiciaire
Communiqué de presse - Vendredi 25 janvier 2013
Onet Sécurité reconduit sur le marché de la surveillance
électronique judiciaire
Onet Sécurité, en consortium avec ses partenaires G4S et Thales, a été retenu par le
Ministère de la Justice pour la conception, la mise en place et l’opération du nouveau
système de surveillance électronique pour les personnes bénéficiant d’une mesure judiciaire
alternative à l’incarcération.
Le placement sous surveillance électronique s’adresse aux personnes mises en examen ou
exécutant une peine. Il permet de concilier la lutte contre la récidive, le respect dû aux
victimes et la réinsertion socio-économique des personnes bénéficiant de ce régime.
A ce jour, plus de 10 000 personnes sont équipées d’un bracelet électronique. Le ministère
de la Justice souhaite augmenter significativement ce nombre au cours des prochaines
années.
En tant qu’expert en matière de sécurité électronique, Onet Sécurité assurera les prestations
de télésurveillance, de téléassistance et de formation du personnel de l’administration
pénitentiaire. De leur côté, G4S fournira la dernière génération de ses dispositifs et logiciels
de surveillance électronique, et Thales assurera le pilotage du programme, l’intégration
système, la maîtrise des réseaux de communications, la logistique et l’infogérance de
l’infrastructure informatique.
Le ministère de la Justice a choisi de s’appuyer sur un groupement solide capable de livrer
une solution industrielle performante dans un calendrier contraint, le déploiement étant prévu
dès 2013. Les innovations technologiques proposées apportent de meilleures performances
et de nouvelles fonctionnalités, telles que la continuité du service de localisation des
bracelets électroniques. L’architecture système ouverte et modulaire retenue garantit une
solution interopérable et évolutive à long terme.
« Cette reconduction de marché est une excellente nouvelle. Elle confirme à la fois notre
expertise en télésurveillance complexe mais plus généralement notre positionnement sur
des solutions de sécurité à forte valeur ajoutée. Ces solutions, basées sur les dernières
technologies permettant notamment le téléservice, la télégestion et la téléassistance
représentent un axe stratégique fort de notre développement et essentiel pour satisfaire les
besoins futurs de nos clients. » Jean-Louis Munos – Directeur Général délégué aux solutions
de sécurité électronique.
Avec ce succès, Onet Sécurité réaffirme sa position parmi les leaders dans le domaine de la
sécurité électronique. Onet Sécurité, à travers sa société Telem Télésurveillance, réaffirme
sa capacité à apporter des solutions de télésurveillance innovantes qui deviennent de réels
leviers de performance pour ses clients.
Contact presse : M. Cyrille CALABRESE – [email protected] - +33 6 80 58 72 59
Relations presse ONET
A propos d’Onet Sécurité
Onet Sécurité propose des solutions de sécurité à forte valeur ajoutée. Son expertise sur
l’ensemble de la chaîne de sécurité permet de proposer à ses clients (industriel, tertiaire,
administration, ville) la meilleure association de moyens humains et technologiques pour
une pertinence technique, économique et sociale optimale.
Onet Sécurité intervient en : Sécurité humaine - Sécurité électronique - Vidéoprotection –
Télésurveillance - Ingénierie et formation – Accueil.
Elle a réalisé en 2011 un chiffre d’affaires de 179 millions d’euros avec 4 800 collaborateurs
répartis dans 50 agences.
Focus Télésurveillance :
A travers ses centrales de télésurveillance, Onet Sécurité maîtrise et analyse en temps réel,
24h/24 et 7j/7, le niveau de sécurité sur les sites et a la capacité de déclencher des
interventions.
-
2 PCS APSAD P3
4500 clients et prés de 10 000 personnes placées sous surveillance électronique
2500 alarmes traitées et 70 000 évènements reçus chaque jour,
4800 interventions par an
22 opérateurs pour un service 24h/24 et 7j/7
Telem Télésurveillance est la société d’exploitation de télésurveillance d’Onet Sécurité,
www.groupeonet.com/Onet-Securite
A propos du placement sous surveillance électronique (source : justice.gouv)
Le placement sous surveillance électronique est un dispositif d'alternative à l'incarcération
qui permet de faciliter la réinsertion des détenus, de contenir l'augmentation de la population
carcérale et de garantir la sécurité des citoyens.
En dehors des heures fixées par le juge, la personne placée sous surveillance électronique a
l'interdiction de s'absenter de son domicile ou de tout autre lieu désigné par le juge. Le placé
porte un bracelet électronique permettant à l'administration pénitentiaire de contrôler à
distance le respect de la mesure, au sein d'un pôle centralisateur.
Le placement sous surveillance électronique peut être décidé dans trois cas :
- la personne peut être condamnée au placement sous surveillance électronique ab initio,
c'est-à-dire dès le prononcé de la peine par le juge,
- en cas d'aménagement d'une ou plusieurs peines d'emprisonnement inférieures ou égales
à deux ans, ou un an en cas de récidive légale,
- ou en cas d'assignation à résidence sous surveillance électronique. L'objectif est alors
d'éviter la détention provisoire (cas où la personne est en attente de jugement).
Contact presse : M. Cyrille CALABRESE – [email protected] - +33 6 80 58 72 59
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Focus : Dispositif Electronique de Protection Anti-Rapprochement (DEPAR) (source :
justice.gouv)
Prévu par l’article 6 III de la loi du 9 juillet 2010, le dispositif électronique de protection antirapprochement « DEPAR » consiste à contrôler, par le biais d’un matériel technique,
l’interdiction faite à une personne mise en examen ou condamnée pour un crime ou un délit
commis dans un contexte conjugal de s’approcher de sa victime en signalant à distance aux
autorités que l’auteur se rapproche de celle-ci.
Pour cela, la personne mise en examen ou condamnée doit faire l’objet d’une mesure de
surveillance électronique mobile, dont le suivi est assuré par l’administration pénitentiaire.
De son côté, la victime se voit remettre un boitier de type « téléphone portable », qui permet
également de la géolocaliser et de la joindre en cas de danger. Elle bénéficie en
permanence de l’assistance d’un téléconseiller.
Si la personne mise en examen ou condamnée pénètre dans la zone interdite et s'approche
de la personne protégée, une alarme se déclenche immédiatement. Les forces de l’ordre en
sont alors avisées et se rendent sans délai auprès de la victime pour la protéger.
Contact presse : M. Cyrille CALABRESE – [email protected] - +33 6 80 58 72 59
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