Auggie Wren`s Christmas present : corrigé
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Auggie Wren`s Christmas present : corrigé
Auggie Wren's Christmas present : corrigé traduction L 30 à 46 As I flipped through the albums and began to study Auggie's work, I didn't know what to think. My first impression was that it was the oddest, most bewildering thing I had ever seen. All the pictures were the same. The whole project was a numbing onslaught of repetition, the same street and the same buildings over and over again, an unrelenting delirium of redundant images. I couldn't think of anything to say to Auggie, so I continued turning pages, nodding my head in feigned appreciation. Auggie himself seemed unperturbed, watching me with a broad smile on his face, but after he'd seen that I'd been at it for several minutes, he suddenly interrupted and said, "You're going too fast. You'll never get it if you don't slow down." He was right, of course. If you don't take the time to look, you'll never manage to see anything. I picked up another album and forced myself to go more deliberately. I paid closer attention to the details, took note of the shifts in weather, watched for the changing angles of light as the seasons advanced. Eventually I was able to detect subtle differences in the traffic flow, to anticipate the rhythm of the different days (the commotion of workday mornings, the relative stillness of weekends, the contrast between Saturdays and Sundays). And then, little by little, I began to recognize the faces of the people in the background, the passers-by on their way to work, the same people in the same spot every morning, living an instant of their lives in the field of Auggie's camera. Trad prof :Comme je feuilletais les albums d' Auggie et que je commençais à étudier son travail, je ne savais que penser. De prime abord, j'eus l´impression de la chose la plus étrange, la plus déconcertante/ ahurissante/ déroutante que j'avais jamais vue. Toutes les images étaient identiques/ les mêmes. Le projet tout entier constituait un abrutissant assaut de répétitions : la même rue et les mêmes immeubles, encore et encore, délire inlassable d'images redondantes. Je ne trouvais rien à dire à Auggie, et continuai donc à tourner les pages, feignant l'approbation par des hochements de tête/ hochant la tête, faussement appréciatif. Auggie, quant à lui, ne semblait pas se laisser troubler et me regardait en arborant un large sourire, mais constatant que j'étais à l'oeuvre depuis plusieurs minutes, il m'interrompit soudain (et dit) : "vous allez trop vite, vous ne saisirez jamais si vous ne ralentissez pas." Il avait raison bien entendu. Si on ne prend pas le temps de regarder, on n'arrivera jamais à rien voir. Je pris un autre album et m'obligeai à aller plus lentement. Je prêtai davantage attention aux détails, pris note des changements de météo, observai les variations aux ombres portées/ des angles de lumière au fil des saisons. Enfin, je pus déceler/sentir/détecter d'infimes variations/ différences dans la circulation, anticiper le rythme des différents jours de la semaine ( l'agitation des matins de semaine, la relative tranquillité/ le calme relatif des weekends, le contraste entre les samedis et les dimanches). Puis, petit à petit, je reconnaissais/ commencais à reconnaître les visages en arrièreplan/ toile de fond, les gens qui se rendaient au travail, les mêmes personnes au même endroit tous les matins, passant un instant de leur vie dans le champ de l'appareil photo d'Auggie. col1=pt fautes col2= notes col3 = notes triées