le Desherbage Thermique

Transcription

le Desherbage Thermique
Travail sérieux, bien documenté. Exposé pertinent et complet. Remarque : un inconvénient du désh.
Thermique souvent évoqué : la chaleur peut provoquer la germination de graines, d'où parfois un
« salissement » plus rapide
LE DESHERBAGE THERMIQUE
1AVANT-PROPOS
La France est le premier consommateur européen de pesticides et le troisième
mondial, derrière les États-Unis et le Japon, avec environ cent mille tonnes de
matières actives utilisées chaque année.
Si seulement 6% des quantités de matières actives utilisées en France sont appliquées
par des utilisateurs non agricoles, les pollutions engendrées par les pratiques de
désherbage en milieu urbain contribuent fortement à la pollution de l'eau. (voir
annexe - Les espace urbains : des zones à risques)
La seule solution pour réduire la pollution de l'eau par les pesticides: apprendre à
entretenir différemment les espaces verts.
2DE LA GESTION DIFFERENCIEE A L'USAGE DU
DESHERBAGE THERMIQUE
Cette rupture nécessaire avec les pratiques traditionnelles d' entretien des espaces
verts, consommatrices d'engrais, de produits phytosanitaires et d'eau se nomme la
gestion différenciée.
Ce concept a pour but de faire évoluer le modèle horticole standard et globale, en
intégrant la notion de développement durable, de la la conception à la gestion des
espaces verts.
Ainsi, réaliser une gestion différenciée des espaces verts, c'est déterminer un
certain nombre de modes de gestion , du plus horticole au plus naturel, et les adapter
à leur fonction et leur usage.
L'établissement d'un plan de désherbage permet, à l'échelle d'une commune par
exemple, de définir précisément les secteurs à risques, du plus faible au plus fort.
Dans une démarche de remise en question des méthodes de travail, les gestionnaires
de l'espace doivent donc développer d'autres techniques.
On peut classer en deux catégories les techniques de désherbage ayant un faible
impact sur l'environnement
✔ Les mesures préventives, pour empêcher et limiter le développement des
adventices.
Par exemple, raisonner l'entretien dès la conception mais aussi le paillage soigné des
surfaces meubles, l'utilisation de plantes couvre-sol.
✔ Les mesures curatives, ayant pour but la destruction partielle ou totale des
adventices
Par exemple, sur surface dure, le balayage mécanique et le désherbage thermique, sur
surface meuble, le fauchage et le binage manuel.
.Le désherbage thermique s'inscrit ainsi comme une alternative à l'utilisation de
produits phytosanitaires.
3LE DESHERBAGE THERMIQUE : QU'EST -CE-QUE-C'EST
?
Le principe consiste à produire de la chaleur et à diriger celle-ci sur une plante
indésirable. L'important est de maintenir une température proche de 90 °C pendant
au moins 1 seconde sur la plante pour que le choc thermique soit efficace.
Le choc thermique à pour effet la coagulation des protéines et la vaporisation de l'eau
contenues dans les cellules apicales de la plante, ou toute la zone aérienne du
végétal, provoquant ainsi l'éclatement de leur paroi et la déshydratation de la plante
4POUR QUEL USAGE ?
Le champ d'application du désherbage thermique s'étend de l'agriculture biologique
(production maraichère, arboricole, vignes,,,) à la gestion différenciée des espaces
verts.
5LES DIFFERENTES TECHNIQUES DE DESHERBAGE
THERMIQUE
Deux grandes techniques de désherbage thermique se distinguent:
5.1LE DÉSHERBAGE THERMIQUE À GAZ
Les principaux composants d'un désherbeur thermique à gaz sont:
• Une source d'énergie: une ou plusieurs bouteilles de gaz type propane.
• Un convertisseur d'énergie: un ou plusieurs brûleurs suivant le type de désherbeur
• Avec ou sans support de transport
• Une tuyauterie normalisée
• Un détendeur
DESHERBAGE THERMIQUE A GAZ
À flamme directe
La flamme chauffe directement les
plantules , exposées à l'air libre ou dans
une enceinte semi-fermée
Phase gazeuse
(bouteille debout)
À rayonnement infrarouge
La flamme réchauffe une plaque
contenant une couche de laine céramique
afin d'obtenir des rayonnements
infrarouges, confinée dans une enceinte
fermée appelée four
Phase liquide
(bouteille couchée)
Temps d'exposition : au moins 1 seconde
1400 °C
900°C
Nombre de passages recommandés :
supérieur à 8 par an
1000°C
Nombre de passages recommandés:
5 à 8 par an sur surfaces imperméables
supérieur à 8 par an sur surfaces
perméables
Pas de problème de gélitivité ou de débit en utilisant une phase liquide, Aucun risque
de devoir interrompre le désherbage. De plus la puissance est toujours disponible.
La technique à rayonnement infrarouge, avec le confinement , réduit de manière
sensible la consommation de gaz.
D'autre part, cette technique semble d'avantage préserver l'utilisateur des risques
de brûlures, la faune et la flore de toute irradiation non désirée.
Le désherbage par la méthode à rayonnement infrarouge provoque une action dans le
sol sur une épaisseur de 5 mm et provoque ainsi partiellement la destruction des
graines contenues dans cette zone.
5.2LE DÉSHERBAGE THERMIQUE À EAU
Les principaux composants d'un désherbeur à eau sont:
• Un groupe électrogène
• Une chaudière
• Une lance d'application
• Une cuve à eau
•
DÉSHERBAGE THERMIQUE À EAU
À EAU CHAUDE
À VAPEUR
À MOUSSE
Eau pulvérisée sous forme Eau pulvérisée sous forme Mousse composée d'amidon
liquide à basse pression 3,5 de vapeur à haute pression de maïs, de noix de coco et
bars environ
60 bars environ
d'eau
90°C
90°C
95°C
Temps d'exposition : au moins 1 seconde
Nombres de passages
recommandés:
3 à 4 sur surfaces imper.
6 sur surfaces perm.
Nombres de passages
recommandés:
3 à 4 sur surfaces imper.
6 sur surfaces perm.
Nombres de passages
recommandés:
2 à 3 sur surfaces imper.
3 à 4 sur surfaces perm.
6QUEL MATERIEL ? POUR QUEL USAGE ?
6.1LE DESHERBAGE THERMIQUE À GAz
Cette liste n'est pas éxaustive, D'autres types de matériel existent tels que le
désherbeur sur automotrice électrique ou encore le désherbeur adaptable sur
quad mais qui semblent moins utilisés peut-être compte tenu de leur prix élevé.
6.1.1LE DESHERBEUR MANUEL AUTONOME
Sa maniabilité, fonction de la longueur du tuyau, en fait un modèle adapté aux petites
surfaces et idéale pour traiter les bordures de trottoirs, de tombes, pieds de
murs),les terrains en pentes et peu roulants. Son autre intérêt : son faible cout.
Caractéristiques techniques
A flamme directe
Convertisseur d'énergie
À lance 1 buse
Largeur de travail
10 à 15 cm
Support de transport
Harnais léger
Source d'énergie
Cube à gaz 6 kg
Puissance/Consommation
20 kw-2 kg/brûleur:h
Vitesse d'avancement
3 à 5 km/h
Côut HT
Environ 500 euros
Caractéristiques techniques
A rayonnement infrarouge
Convertisseur d'énergie
À lance 1 buse et son carter
Largeur de travail
10 à 15 cm
Support de transport
Harnais léger
Source d'énergie
Cube à gaz 6 kg
Puissance/Consommation
20 kw-0,75 kg:brûleur:h
Vitesse d'avancement
3 à 5 km:h
Côut HT
Environ 600 euros
6.1.2LE DESHERBEUR SUR CHARIOT
Modèle adapté pour des surfaces petites et moyennes ayant une faible largeur tels
que: trottoirs, chemins stabilisés, aires pavées ou dallées.
Caractéristiques techniques
À flamme directe
Convertisseur d'énergie
À lance 1 buse
À rampe 4 buses
Largeur de travail
Jusqu' à 80 cm
Support de transport
Chariot roulant
Source d'énergie
1 à 2 bouteilles de gaz P13
Puissance/Consommation
Réglable, jusqu'à 92000 kcal/h
-2 à 3 kg:brûleur/h
Vitesse d'avancement
2 à 3 km/h
Côut HT
De 600 à 2500 euros
Caractéristiques techniques
À rayonnement infrarouge
Convertisseur d'énergie
À lance 3 buses et son carter
À rampe jusqu'à 5 buses et son
carter
Largeur de travail
Jusqu'à 75 cm
Support de transport
Chariot roulant
Source d'énergie
1 bouteille P13
Puissance/Consommation
80 kw-0,75 kg/brûleur/h
Vitesse d'avancement
2 à 3 km/h
Côut HT
Àpartir de 2500 euros
6.1.3LE DESHERBEUR AVEC ATTELAGE 3 POINTS
( adaptable sur les tracteurs)
Modèle nécessitant un investissement plus important. Adapté au grandes surfaces
Caractéristiques techniques
À flamme directe
Convertisseur d'énergie
rampe jusqu'à 9 buses
Largeur de travail
Jusqu'à 2 m
Support de transport
Avec attelage 3 pts
Source d'énergie
4 bouteilles de gaz P13 ou
citerne 300 kgs
Puissance:Consommation
Variable- 2 à 3kg/brûleur/h
Vitesse d'avancement
2 à 3 km/h
Côut HT
À partir de 3500 euros
Caractéristiques techniques
À rayonnement infrarouge
Convertisseur d'énergie
rampe jusqu'à 9 buses et son
carter
Largeur de travail
Jusqu'à 8 m
Support de transport
Avec attelage 3 pts
Source d'énergie
1 bouteille P13 ou GPL 45 l
Puissance/Consommation
Variable suivant modèle 0,75 kg:brûleur/h
Vitesse d'avancement
2 à 3 km/h
Côut HT
de 5000 à 8 000 euros
6.2LES TECHNIQUES DE DESHERBAGE THERMIQUE À
EAU
Chaque méthode permet l'utilisation de lance ou de rampe et s'adapte donc
parfaitement à n'importe quel type de surface.
6.2.1LE DÉSHERBAGE THERMIQUE À EAU CHAUDE
Caractéristiques
techniques
Eau chaude
Nom commercial
AQUACIDE
Convertisseur d'énergie
1 rampe et 1 lance
Largeur de travail
30 cm
Support de transport
Appareil autonome
Source d'énergie
Chaudière fuel
Consommation
250 l d'eau/h
Vitesse d'avancement
Inférieur à 1 km/h
Cout HT
Environ 20000 euros
600 à 800 euros/j en
prestation
6.2.2LE DÉSHERBAGE THERMIQUE À VAPEUR
Caractéristiques
techniques
Vapeur
Nom commercial
WEED CLEANER
Convertisseur d'énergie
1 rampe et 1 lance
Largeur de travail
1m
Support de transport
tracteur
Source d'énergie
Chaudière fuel
Consommation
400 à 500 l d'eau/h
Vitesse d'avancement
Inférieur à 1 km/h
Cout HT
Environ 12000 euros
6.2.3LE DÉSHERBAGE THERMIQUE À MOUSSE
Le désherbage à mousse permet de garder plus longtemps la chaleur en
contact avec le végétal d'où une efficacité accrue,
Caractéristiques
techniques
mousse
Nom commercial
WAIPUNA
Convertisseur d'énergie
1 rampe et 1 lance
Largeur de travail
30 cm
Support de transport
Appareil autonome
Source d'énergie
Chaudière fuel
Consommation
1 à 1,5 l de mousse:m2
Vitesse d'avancement
3 à 5 km/h
Cout HT
Environ 3000
euros/semaine en location
1000 euros/j en prestation
7AVANTAGES ET INCONVENIENTS DE CHAQUE
METHODE
Avantage commun à chaque méthode, la souplesse d'utilisation.
Contrairement au désherbage chimique point n'est besoin de se soucier
des conditions météorologiques pour appliquer
TYPE de DÉSHERBAGE
THERMIQUE
AVANTAGES
INCONVENIENTS
À flamme directe
Coût d'investissement
limité
Simplicité d'utilisation
Efficacité herbicide
meilleure que le
désherbage infrarouge
Nécessité d'interventions
régulières sur jeunes
plantules
Consommation de gaz
élevée
Risque incendie non
négligeable
À rayonnement infrarouge
Coût d'investissement
limité
Simplicité d'utilisation
Consommation de gaz
limitée par rapport au
désherbage à flamme
directe
Nombre de passages
répétés sur jeunes
plantules
Efficacité herbicide
moyenne
Risque incendie non
négligeable
À eau chaude et vapeur
Nombre de passage limité
sur surfaces imperméables
Bonne efficacité herbicide,
surtout sur plantes jeunes
Contrat de prestation
possible
Vitesse d'avancement
assez lente
Consommation en eau
importante
Coût d'investissement
élevé
À mousse
Nombre de passage
Ne peut-être acheté
équivalent au désherbage à
eau chaude
Bonne efficacité herbicide
Vitesse d'avancement
intéressant
En location ou en prestation
de service
8CONSEILS ET PRECAUTIONS À ADOPTER
• La démarche doit s'accompagner d'une sensibilisation aux problèmes
d'environnement auprès des utilisateurs. (employés des S.E.V.)
• Un changement culturel doit s'opérer, pour une plus grande tolérance à
l'égard de la végétation spontanée.
• Pour une efficacité accrue et dans un souci d'économie, il semble
intéressant de chercher à combiner plusieurs techniques (exemple du
balayage mécanique et du désherbage thermique)
• Il est nécessaire de communiquer auprès des publics concernés et de
les sensibiliser aux problèmes environnementaux.
9EXEMPLE D'USAGE DU DESHERBAGE THERMIQUE : LA
COMMUNE DE VARADES
La mise aux normes des systèmes d'assainissements fixée par la directive européenne
« eaux résiduaires urbaines « incite la municipalité de Varades à mener une réflexion
sur les enjeux autour de l'eau.
Le plan Gogane voit le jour en 2005.
Dans ce plan, il est également question d'envisager la préservation de la qualité des
milieux aquatiques et d'intégrer dans chaque nouveau projet de la commune, une
démarche de développement durable.
Par ailleurs, la mise en application d'un arrété préfectoral concernant l'utilisation des
produits phytosanitaires ( voir en annexe l'extrait du communiqué de presse), à
compter du 1er juillet 2007, accélère la mise en place d'une gestion différenciée des
espaces verts de la commune.
L'objectif de zéro produit phytosanitaire sur l'ensemble des espaces verts de la
commune doit être atteint dans les 5 ans.
Dès 2006, un plan communal de désherbage est élaboré par les services techniques.
Ceux-ci préconisent d'ors et déjà l'utilisation du désherbage thermique dans 2 zones
tests distinctes: la zone pavée du centre ville, la cale de la Meilleraie en bord de
Loire.
✔
LA ZONE PAVEE EN CENTRE VILLE
dans le souci de limiter les investissements, sur cette zone restreinte composée
essentiellement de trottoirs étroits, bordures et pieds de murs, il a été décidé de
s'orienter vers la technique du désherbage thermique à gaz à flamme directe.
A donc été acheté un désherbeur manuel autonome.
L'exigence importante du site nécessite des passages fréquents, tous les 2 à 3
semaines selon la saison. Chaque intervention dure une journée complète. Des
précautions particulières sont prises aux seuils des portes, notamment en PVC. De
même en période sèche, l'application de la lance est particulièrement soignée pour
éviter tout départ de feu. Un extincteur reste en permanence dans le véhicule du
personnel.
✔
LA CALE DE LA MEILLERAIE
Autre lieu, autres exigences. La zone à traitée récemment rénovée est également
revêtue de pavés jointoyés à la chaux. Mais il s'agit d'une grande surface (environ
7000m2), de belle largeur, plane à faiblement pentue exceptée la rampe menant à la
Loire.
Compte tenu du petit nombre d'employés aux SEV et devant la volonté des élus de ne
pas investir trop rapidement dans une technique nouvelle, c'est une méthode de
désherbage à eau qui est retenue.
Les travaux sont sous-traités à la société vendéenne PIVETEAU,concessionnaire du
procédé WAÏPUNA.
La première année 5 interventions sont programmées. Mais désormais, seules 3
interventions suffisent, 1 en avril, 1 en juillet, 1 en octobre.
Entre 2 passages, compte-tenu de conditions climatiques favorables à une repousse
rapide de adventices Il se peut qu'un employé des S.E.V. réalise un passage avec un
ROTOFIL.
✔
QUEL AVENIR POUR LE DÉSHERBAGE THERMIQUE À VARADES ?
Après deux années d'utilisation, et compte tenu des objectifs à atteindre par la
commune( zéro phytos ) les S.E.V. N'envisagent en aucun cas de faire marche arrière.
Au contraire, Les zones concernées par le désherbage thermique devraient s'étendre,
les techniques se diversifier. ( utilisation conjointe u balayage mécanique et du
désherbage thermique pour plus d'efficacité )
10ANNEXES
EXTRAIT DU GUIDE DES BONNES PRATIQUES EN DÉSHERBAGE
LES ESPACES URBAINS:DES ZONES À RISQUES
• Les herbicides totaux appliqués sur des surfaces imperméables sont rapidement et
massivement transférés vers les rivières lorsqu'il pleut(ruissellement).
• Les traitements sélectifs appliqués sur les surfaces perméables drainées tels que
les terrains de sport provoquent des transferts rapides et massifs des pesticides
vers les rivières.
• Le traitement des massifs et pelouses non drainées sont également sources de
pollution.
• Les pratiques de désherbage des particuliers, peu tolérants vis à vis des de la
végétation spontanée. Ils n'hésitent pas à désherber chimiquement les jardins et
les abords des maisons.
La nature imperméable de la plupart des surfaces génère un transfert direct et
rapide des pesticides par le réseau d'eaux pluviales (ruissellement).
Le circuit court des pesticides via ce réseau jusqu'à la rivière ne permet pas leur
dégradation, contrairement aux zones agricoles donts les sols, gràce à leur effet dit
tampon, contribuent à la dégradation partielle de ceux-ci avant leur transfert vers la
rivière.
EXTRAIT DU COMMUNIQUE DE PRESSE DU 9 FEVRIER 2007 PAR
LA PREFECTURE DE LOIRE-ATLANTIQUE.
Lutte contre la pollution des eaux par les produits phytosanitaires.
Renforcement des mesures nationales en Loire-Atlantique.
La situation du département de la Loire-Atlantique a justifié le renforcement de
mesures prises au niveau national, et qui interdisent depuis le 1er janvier 2007
l'utilisation des produits phytosanitaires à moins de 5 mètres des ruisseaux et cours
d'eau.
Depuis le 1er juillet 2007, il es t interdit d'appliquer des produits phytosanitaires à
moins de 1 mètre des berges des fossés, collecteurs d'eaux pluviales, points d'eau,
puits, forages, zones régulièrement inondées , selon les dispositions de l 'arrété
préfectoral n°2007/BE/026 du 09/02/07.
,,,/,,,
Ces interdictions concernent l'ensemble des utilisateurs de produits phytosanitaires :
agriculteurs, particuliers, collectivités locales ou services publiques.
,,,/,,,
Aucune application ne pourra être réaliser directement sur avaloirs, caniveaux et
bouches d'égout.
,,,/,,,
11SOURCES
SITES WEB
Guide des bonnes pratiques en désherbage.com
Désherbagethermiquegaz.com
Désherbagethermiqueeau.com
Waîpuna,com
2ebalm,com
Manuflam.com
Préfecture44.fr
PERSONNES RESSOURCES
Commune de Varades
Monsieur RABAUD, responsable des S.E.V.
JEAN-YVES LANGLAIS BTS AP 2007