WEEK-END DES 28-29-30 MARS À L`ÎLE DE RÉ

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WEEK-END DES 28-29-30 MARS À L`ÎLE DE RÉ
WEEK-END DES 28-29-30 MARS À L’ÎLE DE RÉ
-=-=-=-=-=-=-=-=-=Pour ce désormais traditionnel WE de fin mars, Alain Auger, Didier Gréaud et Michel Vallès nous
avaient conviés cette année à l’Ile de Ré. Le beau temps (bien qu’un peu frisquet) était au rendezvous et nous nous sommes retrouvés avant le péage du pont pour le passer en convoi. Rassurezvous, nous n’avons pas forcé les barrières mais l’admiration des autres automobilistes. Sur le trajet, il
y eut bien quelques petites inquiétudes sinon ce ne serait pas drôle. Michel Giraud, en panne sur
l’autoroute dut faire appel à une dépanneuse qui amena la Panpan jusque chez ….. Guy Bonnavent
ère
grâce à qui il put nous rejoindre. Donc, si vous me suivez 1 chose à faire : ne jamais se déplacer
sans la liste complète des adhérents susceptibles de vous venir en aide. Par le chemin des écoliers,
nous sommes arrivés au Centre de Ré la Blanche où Marie-France et Didier nous ont rejoints (Eh oui,
certains d’entre nous travaillent encore). Après que Jacquote à fait sa piqûre à Michel, nous passâmes
ème
au Pineau offert par le Centre. 2
conseil : A notre âge, ne jamais s’aventurer sans un adhérent prêt
à vous secourir médicalement. Après le dîner, soirée animation où les Frèche, Demange et Beaufils
se sont particulièrement distingués.
Le samedi matin, départ prévu dès 9h
pour visite d’une cave de Pineau qui
s’est avérée fermée. Nous sommes
partis pour un tour de l’Ile par le nord
avec un arrêt à l’anse de Martray et
une promenade sur la plage avant
l’achat d’huîtres et divers produits
locaux.
Pendant ce temps, Alain en a profité pour se
glisser dans la boue sous ma voiture pour
colmater un trou dans le tuyau d’échappement
qui faisait ressembler la PL à un bolide de
course. Nous avons continué notre périple par
Ars et le Bois de Trousse Chemise jusqu’à
l’entrée du Chenal d’Ars et le Banc du
Bûcheron. Avant le pique-nique dans une
petite clairière bien abritée du vent et avant de
nous réchauffer avec des petits apéros sortis
du panier, (c’est fou ce qu’on peut mettre dans
le coffre d’une Panhard) Yves Danieau a
quand même dû soulever son capot pour
revisser une bougie. Ouf, pas toujours les
mêmes. Dégustation d’huîtres achetées le
matin, du pique-nique préparé par le centre et,
pas le temps de faire une petite sieste, en
passant par La Patache, nous sommes arrivés
au Phare des Baleines et ses 257 marches.
Certains les ont montées d’une seule traite et
d’autres, feignant de regarder l’horizon,
s’arrêtaient entre 2 étages pour … souffler un
peu ! La vue d’en haut est magnifique et on
pouvait distinguer, malgré la brume, les tours
des Sables d’Olonne.
Sur le chemin du retour, halte à Ars en Ré et
son clocher noir et blanc qui sert d’amer à la
navigation . Pendant ce temps, les touristes et
autres autochtones admiraient nos véhicules.
Un ancien garagiste Panhard donnait des
explications à Michel resté dans la voiture et
chacun partit, soit voir le port, soit le domicile
de personnalité connue, soit seulement flâner
dans les petites rues. Puis, retour au Centre
après une petite halte à la plage du BoisPlage.
Avant le dîner et après sa petite piqûre,
Michel a tenu à remercier par un ti-punch
tous ceux qui l’ont soutenu en prenant de
ses nouvelles, soit par mail, soit par
téléphone pendant son immobilisation.
Petite séquence émotion.. Après le dîner,
soirée dansante où les plus endiablées s’en
sont donné à cœur joie. Et petite nuit car
c’était le changement d’heure.
A 9h30 (enfin, j’exagère) après un départ
différé car Louis Juteau avait perdu un
boulon… Comme quoi, même les meilleurs
ont leurs petits soucis, direction St Martin
de Ré et son pénitencier. Rassurez-vous,
c’était pour le stationnement sur la pelouse.
Puis les petits groupes se formèrent pour la
visite de la ville, du port et…..des
boutiques. Avant cela, nous avons observé
avec envie les pêcheurs à pied : aux
palourdes, huîtres, pétoncles, étrilles ou
crevettes.
De retour au Centre de Vacances, après
un excellent déjeuner, il fallut se quitter
car beaucoup devaient encore voter. Et
là, juste avant le Pont, Yves qui nous
suivait me fait des appels de phare, la
réparation qu’avait faite Alain n’a pas
tenu et mon tuyau d’échappement
traînait par terre, ce qui veut dire
étincelles, pelle à graviers.
d’âne lentement, et nous sommes rentrés sans
encombres.
Merci encore à Alain, Didier, Michel, pour cette
superbe organisation et aussi à tous ceux qui ont
mis la main à la pâte. On parle de recommencer
l’an prochain.
Sitôt arrêtés sur le bas-côté, les suivants
vinrent à notre secours : Michel prêta son
cric, Alain de l’adhésif métallisé, Louis
des colliers, Yves se glissa sous la
voiture avec du fil de fer….Donc, si on se
résume : ne jamais s’embarquer sans
canette (pleine ou vide peu importe, il
paraît qu’il n’y a pas de problème pour
les vider. Je répète les propos
entendus !)
Selon les conseils avisés, je rentrai en
embrayant doucement, passai les dos
Marie Gronau