Connect`Ecoles l`Internet par satellite pour l`école rurale
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Connect`Ecoles l`Internet par satellite pour l`école rurale
Connect’Ecoles l’Internet par satellite pour l’école rurale Une initiative de l’Association des Maires Ruraux de France, France Télécom Orange, NordNet et Eutelsat Revue de presse Revue de presse autour de Connect’Ecoles Sommaire École du Pont-de-Planches – Franche-Comté L’Est Républicain – « Réduction de fracture » Quotidien régional d'informations générales sur la Franche Comté et la Lorraine. Les Affiches de la Haute Savoie – « Le projet pilote « Connect'écoles : l'Internet par satellite pour l'école rurale » signé en faveur des scolaires du village » Journal hebdomadaire professionnel d'informations économiques sur la région Franche Comté France 3 Franche Comté Chaîne d'information générale, consacrée à l'ensemble de l'actualité de la région FrancheComté. Reportage consultable sur demande. École de Rouilly-Sacey – Champagne-Ardenne L’Est éclair - « L'école connectée en haut débit » Journal grand public quotidien d'informations générales sur le département de l'Aube à destination des habitants. Canal 32 – Reportage Chaîne locale de proximité du département de L'Aube, tous publics. Couvre la ville de Troyes et son agglomération Pour visionner le reportage : http://www.youtube.com/watch?v=fHMsSvKtQJA École de Thégra – Midi-Pyrénées La Dépêche du Midi – « Thégra ; Très haut débit : une école pilote et un village connecté » École de Saint-Georges-lès-Baillargeaux – Poitou-Charentes La Nouvelle République – « L'école de Saint-Georges branchée au haut débit » École d’Escout – Pyrénées Atlantiques L’Hebdo du Béarn – « Connect’Ecoles avec Orange » La République des Pyrénées – « Escout : Internet haut-débit à l’école » École de Saint-Didier – Bretagne Ouest France – « L’école publique est connectée au haut débit par satellite » et « St Didier : l’école publique reçoit Internet par satellite » Le journal de Vitré – « Une école pilote avec Internet par satellite » Blog Orange Sud Ouest – billet École de Zilia – Corse Corse Net Infos – « L’école-pilote de Zilia connectée au haut débit grâce au satellite » École de Theuville – Ile-de-France (Val d’Oise) Radio Intensité – « THEUVILLE - Internet à très haut débit à l'école grâce à une antenne satellite » L’Est Républicain – « L'école pilote a son haut débit Internet » École de Chérancé (Pays de La Loire) Le Maine Libre – « Les écoliers vont désormais pouvoir surfer » Ouest France – « L'internet par satellite pour l'école de Chérancé » École de Sacquenay (Bourgogne) Le Bien public – « Des élèves bien connectés » L’Echo des communes – « Sacquenay, l’égalité numérique commence à l’école » Autres articles DSLValley.fr – « Internet par satellite s'impose dans les écoles rurales » Telecompaper Europe – « France starts up rural schools internet satellite initiative » Boursier.com – « Eutelsat : salue l'annonce de Fleur Pellerin sur la mise en place d'une offre satellite à destination des écoles françaises » Ecran Total - « Eutelsat salue la mise en place d’une offre satellite dans les écoles » Localitis Info – « Les maires ruraux saluent l’arrivée prochaine du haut débit satellitaire dans les écoles » La Gazette des communes – « Ecole numérique; Adapter les tablettes tactiles aux contraintes scolaires » Conférence de presse Connect’Ecoles – 1 an (Aurillac, le 11 septembre) La Montagne - « Une parabole sur le toit de l’école » La Voix du Cantal - « Des écoliers connectés par satellite » L’Union du Cantal - « Une expérience remarquable » et « La CCI décroche le certificat « Objectif fibre » » Jordanne FM - Sujet de 3 minutes La Montagne – « L'école connectée a été inaugurée » Le Journal des Communes durables - Les écoles rurales reliées à internet par satellite Le Journal des Communes - Écoles connectées : du haut débit pour tous les établissements scolaires Planètes Sciences Dernières nouvelles d’Alsace – Avec l’association Planètes Sciences, les élèves découvrent l’Internet par satellite L’Est républicain - Ondes positives à l’école La presse de Vésoul - Des élèves connectés par satellite La Presse De Gray - Des élèves connectés par satellite Les Affiches de la Haute-Saône – L’Internet par satellite s’invite à l’école Ouest France - L'école publique vit à l'heure de l'espace et des satellites École du Pont-de-Planches – Franche-Comté Quotidien régional d'informations générales sur la Franche Comté et la Lorraine. OJD / Exemplaires : 149 172 Exemplaires (Source : OJD) Audience / Personnes : 599 000 Personnes (Source : ONE) Réduction de fracture Parmi toutes les écoles primaires de la région, celle de Le Pont-de-Planches a été choisie pour expérimenter l’Internet par satellite. Le bilan sera fait en juin. La fracture numérique ne se joue pas seulement entre la ville et la campagne. A l’intérieur des zones rurales, il existe des différences notables de couverture. C’est pour cette raison que l’association des maires ruraux de France a signé, en septembre dernier, une convention avec Orange, NordNet et Eutelsat autour du projet pilote baptisé « Connect’écoles : l’Internet par satellite pour l’école rurale ». L’expérimentation, qui porte sur une durée de six mois, est menée dans une école par région. L’école bénéficie ainsi d’un accès gratuit au haut débit par satellite jusqu’en juin 2013. Pour la FrancheComté, c’est celle de Le Pont-de-Planches (canton de Fresne-Saint-Mamès) qui a été retenue. « J’ai contacté les services de l’Education nationale et on a identifié neuf écoles en très bas débit », explique Jean-Paul Carteret, président de l’association des maires ruraux 65 écoles d’un tableau interactif, d’un rétroprojecteur et de dix ordinateurs. » Comme une voiture sans essence « Mais rien ne sert d’avoir un tel équipement, si on ne peut le faire fonctionner. C’est comme si on achète une voiture mais qu’on n’y met pas d’essence », souligne Daniel Bonnet, directeur régional d’Orange. L’entreprise a donc assuré, gratuitement, l’installation de l’antenne satellite, du modem et du démodulateur Wi-Fi au mois de décembre dernier. « A l’issue de l’expérimentation, un bilan sera fait en juin. On laissera le matériel à l’école et on leur proposera un abonnement pour le service. » Dans la classe de CM1-CM2, Lætitia Bourgeois-Arroyo et ses élèves ont noté la différence. «Avant, on ne pouvait pas être connectés tous en même temps. Depuis janvier, c’est beaucoup plus simple. On s’en sert tous les jours », explique l’enseignante. Les élèves ont, par exemple, pu suivre la course du Vendée Globe en direct. La démonstration en a été faite, hier matin, par Lætitia Bourgeois-Arroyo et ses élèves, connectés tous ensemble afin de réaliser des exercices sous les yeux des personnalités invitées. Quelques maires du secteur ont répondu présent. Celui de Villers-le-Sec s’est montré particulièrement intéressé. Ce n’est pas Roger Relange, maire de Le Pont-de-Planches, qui le contredira. « On réside dans le bas du village. Avant, c’était la « cata » pour naviguer sur Internet. Depuis un an, on passe par le satellite et on n’a plus de problèmes », témoigne son épouse Christine Relange. Aurélie Cholley, une habitante en galère avec l’Internet, l’écoute avec envie. Pour Eric Fardet, directeur académique des services de l’Education nationale en Haute-Saône, « l’Education nationale s’est penchée sur cet accès à l’informatique. Maintenant, le problème est d’être relié au flux d’Internet. Nous avons des fractures dans les territoires et nous avons à cœur de les combler ». Le directeur régional d’Orange, aussi, visiblement. Il a fait cadeau à Jean-Paul Carteret, président des maires ruraux de Haute-Saône, d’un carnet de chèques de réduction de 200 € pour le kit satellite qui vaut 390 €. Voilà déjà la moitié de la fracture réduite... Journal hebdomadaire professionnel d'informations économiques sur la région Franche Comté 13 000 Exemplaires Chaîne d'information générale, consacrée à l'ensemble de l'actualité de la région FrancheComté. Reportage consultable sur demande. École de Rouilly-Sacey – Champagne-Ardenne mercredi 23 janvier 2013 L'école connectée en haut débit Rouilly-Sacey - L'école de Rouilly-Sacey a été choisie pour le projet « Connect'écoles », expérimentation qui permet de recevoir internet par satellite Rouilly-Sacey - Seules vingt-deux écoles en France ont été retenues pour participer au projet pilote « Connect'ecoles ». Une expérimentation menée en lien étroit avec l'Association des maires ruraux de France, France Telecom Orange, NordNet et Eutelsat. Le principe étant d'équiper gratuitement pendant six mois des écoles rurales d'une solution d'accès à internet par satellite, avec un débit de 18 mégas, « équivalent à une connexion internet filaire haut débit au centre de Troyes. C'est la même vitesse et la même qualité », précise Daniel Nabet, délégué régional d'Orange. Précurseur Une alternative à l'ADSL que l'école primaire de Rouilly-Sacey peut s'enorgueillir d'être la seule de la région Champagne-Ardenne à avoir la possibilité de tester, faisant ainsi figure de précurseur. Une expérience innovante inscrite dans un protocole d'accord signée vendredi dernier, en la mairie de la commune, entre Denis Mailier, président de l'Association des maires ruraux de l'Aube, et du maire Patrick Dyon. Institutrice, «maires maire, président de l'Association des ruraux de l'Aube et délégué régional d'Orange ont scellé cette grande première en Champagne Ardenne Notre monde est aujourd'hui tourné vers les nouvelles technologies. Il est difficile de construire un projet pédagogique moderne lorsque l'on ne dispose pas d'une connexion satisfaisante à internet. Le but est donc de connecter l'école rurale et de lui donner la capacité de recevoir internet en haut débit », poursuit Daniel Nabet. « Mais ce qui compte, ce n'est pas tant la technique mais les usages qu'on en fait ». Depuis l'installation du dispositif, l'enseignante Sonia a pu mettre cette nouvelle technologie au service de sa classe et y voir toute la pertinence et l'intérêt pour enrichir son cours. « Cela permet d'avoir une nouvelle fenêtre sur le monde, d'accéder à d'autres contenus pédagogiques et aussi d'expliquer aux enfants les avantages et les dangers d'internet. On considère que c'est notre devoir de citoyen ». Dans six mois, les acteurs de ce projet dresseront un premier bilan. Si l'expérience se révèle concluante, le dispositif « pourrait être mis à disposition des entreprises rurales et du grand public aubois, dans les mois à venir. Les personnes qui en feront la demande pourront bénéficier du haut débit par satellite », précise Daniel Nabet. Une solution pour lutter contre la fracture numérique et amener le haut débit dans les communes qui ne l'ont pas encore. Chaîne locale de proximité du département de L'Aube, tous publics. Couvre la ville de Troyes et son agglomération Pour visionner le reportage : http://www.youtube.com/watch?v=fHMsSvKtQJA École de Thégra – Midi-Pyrénées 20 février 2013 Quotidien régional d'informations générales. Couvre les régions Aquitaine, Languedoc Roussillon et Midi Pyrénées. Audience/jour : 784 000 lecteurs (source ONE année 2012) Thégra ; Très haut débit : une école pilote et un village connecté Dossier réalisé par notre correspondant Joël Cazal La convention porte sur l'école, mais c'est tout le village de Thégra qui va en bénéficier. Vendredi, dans les locaux de l'école de Thégra, le maire, Thierry Chartrou, a accueilli Jean-Christophe Arguillère, délégué régional France Télécom Orange Midi-Pyrénées, et René Savelli, président de l'Association départementale en Haute-Garonne des maires ruraux de France, pour la signature de cette convention. Elle porte sur l'opération « Connect'Ecoles : l'Internet par satellite pour l'école rurale ». « Seules vingt-deux écoles rurales en France ont fait l'objet d'un processus de sélection, souligne Thierry Chartroux. Nous sommes très heureux que ce soit la nôtre, qui ait été retenue pour MidiPyrénées. Nous allons recevoir Internet à très haut débit. La connexion a été testée et fonctionne parfaitement. Ce sera parfait pour les enfants et les enseignants. Mais ce sera aussi un atout supplémentaire pour notre commune. Les nouveaux arrivants apprécieront que le très haut débit soit disponible, même en milieu rural. René Savelli et Paul Roualdes, mon adjoint, ont réellement porté ce dossier à bout de bras ce projet. » « Actuellement le très haut débit est installé surtout dans les grandes villes en Midi-Pyrénées, reconnaît Jean Christophe Arguillère pour Orange. Il ne faut pas oublier les zones trop éloignées des centraux. Pour Thégra, la solution satellitaire 20 Mbps est une réponse appropriée à une couverture jusqu'à présent insuffisante. » À charge de Bruno Jambon, d'Eutelsat, d'apporter les précisions techniques. Le satellite KA-SAT, utilisé à Thégra, est uniquement dédié à l'Internet. Il permet aux foyers, entreprises, administrations et professionnels situés dans des endroits peu accessibles d'être connectés au très haut débit. « Je suis très heureux de découvrir ce beau village. Le plan câble prévu sur vingt ans est beaucoup trop long, affirme René Savelli, président haut-garonnais de l'Association des maires ruraux de France. Il faut aller plus vite. J'espère que l'expérience de Thégra se développera partout dans nos zones rurales. » B. Jambon, R. Savelli, T. Chartroux, J-C. Arguillère, R. Arnal et R. Proença, directrice de l'école, signent la convention. Les termes de la convention Désignée comme « pilote » pour la région Midi-Pyrénées dans le cadre de l'opération « Connect'Ecoles », l'école maternelle et primaire de Thégra a été équipée, début février, d'une parabole extérieure et d'un modem mis en place gratuitement par Eutelsat. Les enseignants et les élèves disposent ainsi d'un accès à Internet à très haut débit (20Mbps). L'abonnement est pris en charge jusqu'à la fin de l'année scolaire par NordNet, filiale de France Télécom. À la fin de l'année scolaire, un bilan sera réalisé. Si elle le souhaite, la commune pourra conserver gratuitement les équipements installés et souscrire, alors, auprès de NordNet le contrat le plus adapté. « Nous ferons un bilan en juin » Paul Roualdes, adjoint au maire de Thégra, a porté le projet de Connect'Ecoles depuis le début. Il témoigne. « En 2012, lors du salon Ruralitique à Aurillac, nous avons été informés de ce projet. Il visait à équiper gratuitement une école par région de France. Thierry Chartroux, le maire, m'a demandé de présenter un dossier de candidature. J'ai préparé un argumentaire le plus complet possible. J'ai été aidé par les responsables de France Télécom et bien épaulé par René Savelli de l'Association des maires ruraux de France. À Noël, nous avons appris avec plaisir que notre école avait été sélectionnée pour Midi-Pyrénées. L'installation est en place depuis quinze jours. Nous ferons un bilan en juin pour évaluer les performances. En fonction des résultats nous pourrons choisir de prolonger le contrat. La bibliothèque municipale étant dans les mêmes locaux que l'école, les habitants pourront venir utiliser l'Internet à haut débit et se rendre compte des avantages de ce type de connexion. » École de Saint-Georges-lès-Baillargeaux Poitou-Charentes 12 mars 2013 Journal grand public quotidien régional des Hautes Pyrénées. Né à la Libération, il a été pendant un temps propriété du groupe Hersant, et a intégré le groupe Le Dépêche du Midi en 1982. Cible les habitants. Paraissant anciennement le soir, il sort désormais le matin. L'école de Saint-Georges branchée au haut débit Un exercice de calcul mental, le maître conseille. Au rebut l’ardoise et la craie, l’accès au haut débit internet fait oublier des méthodes qui ont tout de même fait leurs preuves jusqu’à présent. A l'école de Saint-Georges-lès-Baillargeaux, l'accès au haut débit internet était impossible. Depuis vendredi, la solution a été trouvée grâce à la convention nationale signée par Orange: « Conect'écoles : l'internet par satellite pour l'école rurale. » Avec la classe de CM2 du directeur Yohann Fombeur, Jean-Pierre Lartige, délégué régional Orange, Jean-Claude Boutet, maire de Saint-Georges, Anne Puisais inspectrice de l'Education nationale, ont procédé au lancement. « Pour la région, c'est l'école Marcel-Jolliet qui a été choisie, explique Jean-Pierre Lartige. Nous accordons une grande importance aux enjeux d'accès numérique de tous les territoires pour lesquels le haut débit constitue un service prioritaire. » « Nous sommes heureux de ce choix, poursuit Jean-Claude Boutet, l'école et l'éducation sont des priorités, nous avons toujours répondu positivement aux sollicitations des enseignants et de l'administration scolaire. » « L'outil internet est indispensable pour les enfants, aujourd'hui c'est une technique que doivent dominer tous les élèves et, grâce au haut débit, le travail n'en sera que facilité », conclut Anne Puisais. Techniquement, l'accès par satellite n'est pas compliqué, il suffit d'installer une parabole personnelle (un coût d'environ 300 €) puis de s'abonner au service auprès d'Orange. « Cette solution à Saint-Georges peut être utilisée par tous les habitants et en particulier par les entreprises qui ont actuellement de la peine pour accéder au haut débit », précise Christian Berthonneau délégué départemental Orange. Dès le feu vert de Yohann Fombeur, les enfants se sont installés devant les ordinateurs pour un exercice de calcul mental, l'écran a bien remplacé les ardoises et la craie. Alain Licoine École d’Escout – Pyrénées Atlantiques Jeudi 21 mars 2013 Journal d'informations gratuit sur le Béarn, le Pays Basque (64: Pyrénées Atlantiques), le Gers (32) et la Bigorre (65 Hautes Pyrénées). 50000 Exemplaires (Source : Editeur) Quotidien régional d'informations générales sur les Pyrénées Atlantiques. OJD / Exemplaires : 32269 Exemplaires (Source : OJD) Audience / Personnes : 152000 Personnes (Source : ONE) Escout : Internet haut-débit à l’école 26 mars 2013 L’association des maires ruraux, Orange et la commune d’Escout ont signé l’arrivée du haut-débit à l’école. (© S.L.) « Est-ce que vous avez une école? Et est-ce que vous avez Internet? » D’après Jean Casabonne, maire d’Escou et président départemental de l’association des maires ruraux, ce sont les deux premières questions que posent les nouveaux habitants avant de s’installer à la campagne. Depuis le 27 février dernier, le maire d’Escout, Gérard Urrustoy, peut répondre oui aux deux questions. L’accès à Internet haut-débit par satellite a été inauguré la semaine dernière à l’école du village (qui accueille les CP/CE1 du regroupement pédagogique intercommunal). Une première en Aquitaine, puisqu’Escout a été choisie comme site pilote par l’Association des maires ruraux et la société Orange pour installer le dispositif. 22 autres écoles sont concernées en France. Comment ça marche? « Une parabole fixée sur la façade pointe à 45 ° sur le satellite KA Sat (le plus puissant en termes de connexions, lancé en juin 2011), explique Alain Castaing, directeur des relations avec les collectivités locales du Département pour Orange, permet de vous situer dans le haut débit du haut débit ». Les cinq ordinateurs de l’école peuvent désormais se connecter en même temps sur Internet, permettant aux 25 élèves d’effectuer des jeux interactifs en maths et en français ou de préparer une visite virtuelle du Louvre. « Ils ne font pas que s’amuser, ils apprennent », souligne l’enseignante Fabienne Loiret. 700 clients « satellite » dans le 64 Évidemment, cette mise à disposition gratuite pendant six mois de l’Internet par satellite à l’école d’Escout permet à Orange et à sa filiale NordNet de promouvoir le dispositif en direction des particuliers. Compter tout de même un investissement de 399 € au départ pour l’équipement (parabole) et, si l’on fait appel à un antenniste, une installation autour de 120 €, puis un forfait mensuel autour des 30 €. « C’est pour les personnes qui sont en zone blanche ou pour celles qui estiment que leur débit Internet est insuffisant. » École de Saint-Didier – Bretagne 1er quotidien français régional (En diffusion). Régions Bretagne, Basse-Normandie, Pays de la Loire Audience/jour : 2 539 000 lecteurs Journal hebdomadaire d'informations générales 7548 Exemplaires (Source : OJD) L’école maternelle et primaire de Saint-Didier, près de Châteaubourg en Ille-et-Vilaine, bénéficie jusqu’à la fin de l’année scolaire du prêt d’un kit satellite, une solution d’accès au haut débit par satellite. Désignée comme «école pilote» pour la région Bretagne, l’équipement est fourni gratuitement par Eutelsat et l’abonnement est pris en charge par NordNet, filiale du groupe Orange. Dans le cadre de l’initiative Connect’Ecoles, vingt-deux écoles rurales ont fait ainsi l’objet d’un processus de sélection conduit par l’Association des Maires Ruraux de France, en partenariat avec les collectivités locales. Les équipes pédagogiques et municipales seront invitées à faire un bilan des performances de la solution mise en œuvre. Si elles le souhaitent, elles pourront conserver gratuitement les équipements installés et souscrire auprès de NordNet la prolongation des services. Cette initiative vise à équiper gratuitement une école par région d’une solution d’accès au haut débit par satellite. Ce projet est né du constat que les écoles primaires en milieu rural ne disposent pas toujours d’une connexion Internet ADSL à un débit suffisant* pour pouvoir exploiter pleinement les outils et les ressources du monde numérique. *Selon un rapport parlementaire publié en février 2012, seules 20 % des écoles primaires possèdent un débit supérieur à 2Mpbs, nécessaire pour accéder à la plupart des applications basiques de l’Internet. École de Zilia – Corse Site web d'information consacré à l'actualité corse. Propose de mieux exposer les problèmes corses et aider à un meilleur devenir de cette région. L’école-pilote de Zilia connectée au haut débit grâce au satellite Rédigé par Charles Monti le Mercredi 22 Mai 2013 à 17:33 L’établissement scolaire de Balagne a été choisi comme école-pilote pour la région Corse sur l’opération « Connect’Écoles : l’Internet par satellite pour l’école rurale ». Elodie Lastrajoli / Institutrice, Jacques Santelli/ Maire de Zilia , Jeanne Tomasini / Directrice de la communication d’Orange et Jean François Poli / Direction des relations avec les collectivités locales d’Orange. Jacques Santelli, maire de Zilia et Jeanne Tomasini directrice de la communication de la direction régionale d’Orange en Corse, ont présenté mercredi matin à Zilia "Connect’Écoles : l’Internet par satellite pour l’école rurale». Cette solution développée par la filiale spécialisée dans l’accès Internet par satellite NordNet, et Eutelsat, premier opérateur européen de satellites, permet l’accès au haut débit partout sur le territoire. Désignée comme « pilote » pour la région Corse, dans le cadre de cette initiative nationale, l’école de Zilia (22 élèves du CE 2 au CM 2 et leur institutrice Elodie Lastrajoli) bénéficie, depuis janvier 2013, du prêt d’un kit satellite NordNet. Cet équipement est fourni gratuitement par Eutelsat pour une durée de 6 mois et offre aux 22 élèves, et leur enseignante, un accès au haut débit par satellite. Connect’Écoles pour équiper gratuitement une école par région L’Initiative Connect’Écoles vise à équiper gratuitement une école par région de France métropolitaine d’une solution d’accès au haut débit assurant des débits jusqu’à 18 Mbps en réception et 6 Mbps en émission via le satellite KA-SAT, innovation majeure du secteur spatial, opéré par Eutelsat. Ce projet est né du constat que les écoles primaires en milieu rural ne disposent pas toujours d’une connexion Internet ADSL à un débit suffisant (1) pour pouvoir exploiter pleinement les outils et ressources du monde numérique au bénéfice des élèves et de leur intégration dans la société. Le satellite apporte une réponse immédiate à cette problématique de l’égalité des territoires. Ce sont vingt-deux écoles rurales qui ont fait l’objet d’un processus de sélection conduit par l’Association des maires ruraux de France, en partenariat avec les collectivités locales. Les écoles retenues sont équipées d’une parabole extérieure, reliée à un modem pour connecter le réseau informatique de l’établissement à Internet via le satellite KA-SAT. Les enseignants et les élèves peuvent ainsi disposer d’un accès à Internet à un niveau de débit comparable à celui des réseaux ADSL urbains. A l’issue de l’année scolaire, les équipes pédagogiques et municipales seront invitées à faire un bilan des performances de la solution mise en œuvre et à décider, le cas échéant, de conserver gratuitement (1) Selon un rapport parlementaire publié en février 2012, seules 20% des écoles primaires possèdent un débit supérieur à Mpbs, nécessaire pour accéder à la plupart des applications basiques de l’Internet École de Theuville – Île-de-France (Val-d'Oise) Radio associative généraliste locale, de catégorie B. Diffuse en continu sur Châteaudun et 45 kilomètres alentours, en Eure et Loir. Propose des journaux locaux et des informations en lien avec la vie des habitants. Diffusion gratuite en hertzien (fréquences : 103.8 sur Châteaudun et 91,1 sur Chartres.) OJD / Exemplaires : 12000 Auditeurs (Source : Editeur) THEUVILLE - Internet à très haut débit à l'école grâce à une antenne satellite De Rédaction Intensité - mar, 21/05/2013 - 16:21 >>> Réduire la fracture numérique entre les enfants des villes et les enfants des champs, c’est l’objectif du dispositif Connect’écoles. L’association des maires ruraux de France s’est associée à Orange, Eutelsat et Nordnet pour qu’une seule école par région puisse accéder gratuitement à internet par satellite. En région Centre, c’est l’école de Theuville près de Voves qui a été choisie par les partenaires pour que les élèves et leurs professeurs puissent surfer sur le web à très haut débit, et ce pour une durée de trois mois. Une antenne satellite a été posée gratuitement sur l’école. Ecoutez Olivier Thomas, le directeur de l’école élémentaire de Theuville-Pézy au micro d'Elise Vellard. Ce projet pilote a aussi pour but d’inciter les écoles du monde rural à s’équiper d’une antenne satellite pour un accès à internet à haut débit. Durée : 0:41 minutes (1.56 Mo) Format: MP3 Stereo 44kHz 320Kbps (CBR) Quotidien régional d'informations générales sur la Franche Comté et la Lorraine. OJD / Exemplaires : 149 172 Exemplaires (Source : OJD) Audience / Personnes : 599 000 Personnes (Source : ONE) L'école pilote a son haut débit Internet 28 mai 2013 L´Echo Républicain Le haut débit à l'école. Dans le cadre de l'opération Connect'Ecoles : L'Internet par satellite en milieu rural , des conventions ont été signées dans les 22 régions françaises par l'Association des maires ruraux de France, Francetélécom-Orange, NordNet et Eutelsat. Cette initiative a marqué la volonté d'équiper gratuitement une école pilote par région d'une solution d'accès haut débit. Le choix de l'école de Theuville a fait l'objet d'un processus de sélection qui a conduit l'Association des maires ruraux et les collectivités locales dont la communauté de communes de la Beauce Vovéenne à l'équiper d'une parabole extérieure. Elle est reliée à un modem pour connecter le réseau informatique à Internet via le satellite Ka-sat compatible à celui des réseaux ADSL urbains. Installée depuis la fin du mois de mars, la parabole d'un diamètre de 85 cm procure un débit de 20 Mps en réception et de 4 Mps en émission. Pour présenter ce dispositif, une manifestation a été organisée à l'école élémentaire de Theuville en présence de John Billard, président des maires ruraux d'Eure-et-Loir, Marc Guerrini, président de la communauté de communes, Bruno Levassor, maire de Theuville, Michel Raymondon, inspecteur d'académie, Catherine Eyraud, inspectrice chargée des nouvelles technologies, et bien sûr d'Olivier Thomas, directeur de l'école. L'école bénéficie à ce jour d'une utilisation gratuite du service jusqu'à la fin de l'année scolaire et ensuite, les équipes pédagogiques et la comcom décideront le cas échéant de faire un bilan puis décideront de souscrire auprès de Nordnet la prolongation des services. Marc Guerrini, a souligné que la politique de la communauté qu'il préside était de « réduire la fracture quelle qu'elle soit (culturelle, sportive, éducative et en la circonstance numérique) entre territoires ruraux et zone urbaine ». François Bord École de Chérancé – Île-de-France (Val-d'Oise) Quotidien régional d'informations générales sur la Sarthe. OJD / Exemplaires : 45352 Exemplaires (Source : OJD) Audience/jour : 170 000 lecteurs (Source One année 2012) Chérancé. Les écoliers vont désormais pouvoir surfer Chérancé est la sixième commune de France et la seule des Pays de la Loire à bénéficier du dispositif Connect’école, outil pédagogique essentiel en zone rurale. Les 43 petits écoliers du Regroupement pédagogique intercommunal vont désormais pouvoir bénéficier d’un enseignement informatique de qualité au même titre que la plupart des enfants du département. Eux qui, jusqu’à hier, disposaient d’une connexion à moins d’un méga, bénéficient aujourd’hui d’un débit de plus de vingt mégas, c’est-à-dire beaucoup plus rapide. Cette évolution est le fruit d’un partenariat national signé en septembre 2012 par l’association des Maires ruraux de France, France Télécom Orange, sa filiale spécialisée dans l’accès Internet par satellite NordNet, et Eutelsat, premier opérateur européen de satellites. « Il s’agit de faire profiter une école de chacune des régions françaises, soit 21, d’une connexion à Internet pour que les enfants puissent suivre correctement les programmes de l’éducation nationale en matière d’informatique », explique Dominique Dhumeaux, président de l’association des maires ruraux de la Sarthe. « Aujourd’hui, en France, 20 % des écoles rurales ont moins de deux mégas de débit, le fossé se creuse de plus en plus entre la ville et la campagne pour l’éducation de nos enfants. Les enfants sont pénalisés et arrivent au collège avec du retard sur leurs camarades des zones plus denses ». Pendant un an, les trois classes de l’école de Chérancé bénéficieront donc du dispositif Connect’école, avec une connexion gratuite au service et d’un matériel gracieusement mis à disposition. « Ils sont pilotes du dispositif. L’idée étant, par cet exemple, de donner envie aux autres communes, de se lancer dans l’aventure ». Edition départementale du quotidien régional Ouest France sur le Nord de la Sarthe et sur Le Mans et son agglomération L'internet par satellite pour l'école de Chérancé 3 June 2013 Située en zone blanche d'accès à internet, la commune du Nord-Sarthe a équipé son école d'un système de connexion par satellite. Une première dans la région. 12 h 45 à l'école de Chérancé, vendredi matin. Les 44 petits enfants des classes de maternelle et CP ouvrent des grands yeux sur toute cette armée d'adultes qui les a expulsés de leurs murs. Accueillis par Marion Bellaird, directrice, et Gilles Tronchet, maire, les représentants de l'inspection d'académie, d'Orange, Nordnet, Eutelsat et l'association des maires ruraux de France étaient réunis autour du dispositif Connect'écoles installé dans les locaux scolaires. École pilote « Connect'écoles : l'internet par satellite pour l'école rurale » s'inscrit dans le cadre d'une convention nationale permettant d'équiper gratuitement une école pilote dans chaque région de France métropolitaine. Pour les Pays de la Loire, il s'agit de l'école de Chérancé. Elle dispose désormais d'un accès au haut débit par satellite, assurant des débits jusqu'à 20 Mbps (mégabits par seconde) en réception et 6 Mpbs en émission, via le satellite Ka-Sat opéré par Eutelsat. « Vous avez osé faire l'essai jusqu'en décembre 2013, a félicité Anne Fleuret, déléguée régionale Orange Pays de la Loire. Nous espérons que l'expérience sera reconduite et répandue dans d'autres écoles appartenant à la zone blanche d'accès à internet. » « Pour obtenir une connexion à internet dans notre secteur, et plus particulièrement à l'école, nous avons essayé plusieurs solutions non satisfaisantes », rappelle le maire. Il y a eu le Wimax mais « il aurait fallu demander aux voisins d'abattre leurs arbres et encore... » Le satellite avec parabole mais « ça ne marchait pas dans différents points de la commune, et surtout à l'atelier protégé. C'est pourquoi, nous avons accepté cette expérience » présentée par Dominique Dhumeaux, président de l'Association des maires ruraux de France pour la Sarthe. Jean-Pierre Rossard, conseiller général, a évoqué « le projet du Syndicat mixte sarthois d'Aménagement numérique qui apportera le très haut débit au Mans, Alençon et Sablé. Ce sont toujours les grandes agglomérations qui sont pourvues. Mais qu'adviendra-t-il de nos zones économiques rurales dans 20 ans ? L'avenir de nos territoires ruraux est un enjeu considérable ». Réponse des techniciens, « le mixte de la technologie sera sans doute la solution ». École de Sacquenay – Bourgogne Journal de référence en Côte d'Or. Compte 4 éditions. 43378 Exemplaires (Source : OJD) / 213000 Personnes (Source : ONE) Autres articles Site internet grand public consacré aux réseaux internet. Cible les particuliers désireux de s'informer sur les offres internet proposées par les FAI (Fournisseurs d'Accès Internet). Informations sur les matériels, logiciels, technologies, comparatifs des offres commerciales des FAI du marché français de l'ADSL, fiches techniques Internet par satellite s'impose dans les écoles rurales Source : DSLvalley 19/06/2013 Auteur : Michel Géa On ne peut que se réjouir de l'aboutissement du projet baptisé « Connect'Ecole » porté par les élus des petites communes. Ces derniers, réunis dans l'Association des Maires Ruraux de France (AMRF) sont en effet parvenus à convaincre NordNet, la filiale satellite d'Orange, et Eutelsat de raccorder 22 écoles, soit une par région dans l'hexagone, au haut débit par satellite. Ce projet pilote préfigure ce qui devrait se passer d'ici quelques semaines sur l'ensemble du territoire. Fleur Pellerin, Ministre de l'Économie numérique et des PME et Vincent Peillon, Ministre de l'Éducation nationale viennent en effet d'annoncer que dès la rentrée prochaine toutes les écoles primaires qui n'ont la possibiité d'être raccordées au très haut débit filaire pourront bénéficier d'une offre d'accès à internet par satellite à un prix réduit. Le but est de mettre en application la promesse de François Hollande au cours de la campagne présidentielle de raccorder dans les dix ans tous les établissements scolaires au très haut débit. Les deux opérateurs satellite qui se partagent ce marché, à savoir Tooway by Eutelsat et SES Broadband (ex ASTRA2Connect), sont invités à répondre à l'appel d'offre qui précèdera l'installation des équipements dans les écoles. Nul doute que ces derniers sauteront sur l'occasion tant il y a de pain sur la planche. A ce jour en effet la grande majorité des écoles (65%) ne peut se raccorder à internet qu'avec un débit inférieur à 2 Mbps. Celles qui souhaiteront bénéficier de cette mesure sont elles aussi invitées à se rapprocher de la collectivité (département ou région) qui pilote l'aménagement numérique de leur territoire. Souhaitons que ce type d'initiative soit étendu aux familles des mêmes zones rurales qui ne peuvent bénéficier du haut débit et encore moins du très haut débit. La proposition de loi déposée par le député UMP Pierre Morel A l'Huissier va dans ce sens. Elle suggère que l'état aide financièrement les foyers afin qu'ils s'équipent du matériel nécessaire pour se connecter à internet par satellite. Selon l'élu de la Lozère, à ce jour si on ajoute le prix du kit de connexion (400 euros) et celui de la pose par un artisan (150 euros) cette technologie est hors de portée de la plupart des familles concernées. Le député propose que l'état finance 50% de ce coût. Telecompaper Europe Telecompaper is a publisher and research company delivering newsfeeds and research on global telecommunications developments, internet, multimedia, cable and satellite. « France starts up rural schools internet satellite initiative » 20 juin 2013 French digital economy minister Fleur Pellerin has announced the launch of a satellite broadband service for primary schools in areas where fibre will not be available in the very short term, telecom regulator Arcep reports. The move is part of the country's very high speed plan, which sees schools as priority. DSLValley writes that the "Connect'Ecole" project was proposed by the French towns mayors' association, AMRF, to Orange satellite subsidiary NordNet, a Eutelsat Tooway service reseller. It initially will connect 22 schools, one in each region of France, within weeks. By the start of the school year this autumn, every school not passed by broadband over xDSL, fibre or cable will be offered a price reduction on satellite. It has been a year since Telecompaper reported that the Nordnet deal was signed last summer. Eutelsat and SES Broadband, formerly known as Astra2Connect, will be invited to tender for the rural schools contract. An estimated 65 percent of French schools can only connect to the internet at 2 Mbps or less. All schools are invited to contact the county or region that handles the broadband plan in their area. In a related development, a bill has been tabled in the national assembly for the government to provide a 50 percent subsidy to help homes in rural areas meet the around EUR 550 satellite broadband hardware and installation cost. Boursier.com Eutelsat : salue l'annonce de Fleur Pellerin sur la mise en place d'une offre satellite à destination des écoles françaises 11 juin 2013 Eutelsat salue l'annonce de Fleur Pellerin concernant la mise en place d'une offre satellite à destination des écoles françaisesDans le cadre du... Dans le cadre du Plan France Très Haut Débit mis en place par le gouvernement et lors d'un point presse sur l'entrée de l'école dans l'ère du numérique, Fleur Pellerin, Ministre de l'Économie numérique et des PME, a annoncé hier, aux côtés de Vincent Peillon, Ministre de l'Éducation nationale, la mise en place dès l'automne 2013 d'une offre spécifique permettant de raccorder au satellite les écoles primaires de France qui ne bénéficieront pas à court terme d'un accès à Internet à très haut débit filaire, notamment en fibre optique. Elle a ainsi déclaré : "Le raccordement des établissements scolaires au très haut débit d'ici 10 ans est une promesse de campagne de François Hollande. Ces sites sont prioritaires dans le Plan France Très Haut Débit. Le gouvernement travaille pour l'automne 2013 à une offre satellite spécifique labellisée "France Très Haut Débit" pour les écoles qui ne seront pas, à court terme, concernées par le raccordement filaire." Aujourd'hui, 65% des écoles en France sont raccordées à un débit inférieur à 2 Mbps. Ces faibles débits limitent les usages possibles et empêchent les écoles de tirer profit de toutes les possibilités offertes par les outils numériques. Eutelsat se félicite de la mise en place d'une offre spécifique satellite pour faire pleinement accéder tous les établissements d'enseignement à l'ère du numérique. A travers son service Tooway d'accès au haut débit exploité sur le satellite KA-SAT, Eutelsat contribue à certaines initiatives pour amorcer d'ores et déjà le développement de l'Internet dès l'école primaire. Afin de démontrer l'adéquation de la technologie KA-SAT aux enjeux du scolaire, Eutelsat mène actuellement un programme dénommé "Connect'Ecoles : l'Internet par satellite pour l'École rurale". Ce programme se déroule sur l'année scolaire 2012-2013(1) sous l'égide de l'Association des Maires Ruraux de France (AMRF), en partenariat avec France Télécom Orange et sa filiale satellite NordNet. Réunissant un échantillon de 22 écoles, une par région de France métropolitaine, il permet de donner aux élèves et aux enseignants les mêmes opportunités d'accès à la connaissance et aux nouvelles possibilités en matière de pédagogie en leur apportant un accès à Internet par satellite. Magazine professionnel hebdomadaire consacré à l'ensemble de l'actualité de l'audiovisuel (cinéma, télévision, vidéo). Actualité économique, financière, artistique, technique et juridique des professionnels de l'image. OJD / Exemplaires : 5000 Exemplaires (Source : Editeur) Audience / Personnes : 30000 Personnes (Source : Editeur) Localitis Info Les maires ruraux saluent l’arrivée prochaine du haut débit satellitaire dans les écoles Source: Localtis.info / Philippe Parmantier / EVS http://www.localtis.info - 24/06/2013 17:44:04 Dans un communiqué daté du 14 juin, l’Association des maires ruraux de France (AMRF) revient sur l’annonce faite par Fleur Pellerin, ministre de l’Economie numérique, de proposer dès la rentrée d’automne 2013, une "offre satellitaire haut débit labellisée" aux écoles primaires ne disposant pas du haut débit fixe. Certes, les termes de ce service ne soient pas encore connus. Un appel d’offres doit en effet être lancé dans les prochaines semaines soit en direction des deux opérateurs d’infrastructures satellitaires que sont Eutelsat et Ses Broadband, soit par l’intermédiaire de leurs revendeurs. Les maires ruraux assurent toutefois d’ores et déjà qu’il "permettra aux projets de connexion des écoles par satellite de bénéficier d’un montant doublé de subventionnement par l’Etat". Ils soutiennent cette décision au nom du principe de l’égalité des territoires. Dans le cas présent, la formule devrait en effet favoriser la progression des accès aux technologies en milieu rural, sachant que 65% des écoles sont toujours raccordées à un débit inférieur à 2 Mbps, selon les chiffres du ministère et de la Caisse des Dépôts. Pour bénéficier de cette nouvelle formule, l’AMRF invite les communes intéressées à se rapprocher de la collectivité pilote de l’aménagement numérique de leur territoire - le département ou, dans certains cas, la région - chargée de définir le calendrier et les modalités du déploiement des actions de montée en débit. L’opération s’inscrit dans une certaine continuité. L’AMRF suit "avec attention" les expérimentations menées depuis 2012, dans le cadre du programme "connect’écoles : l’internet par satellite pour l’Ecole rurale", destiné à vérifier l’adéquation de la technologie satellitaire actuelle aux enjeux du scolaire. Placé sous l’égide de l’association, d’Eutelsat, d’Orange et de sa filiale Nordnet, ce programme équipe gratuitement une école pilote dans chaque région de France métropolitaine avec une solution d’accès haut-débit assurant jusqu’à 10 Mbps en réception et 4 Mbps en émission, via le satellite Ka-Sat (opéré par Eutelsat). La satisfaction n’interdit pas la vigilance. L’AMRF rappelle que l’entrée de l’école dans la pratique généralisée du numérique "passe nécessairement par la formation des enseignants, sous peine de dilapider les investissements des communes". Aussi, elle demande que cet aspect de la stratégie d’entrée de l’école dans l’ère du numérique se concrétise rapidement et équitablement sur tout le territoire. La Gazette des Communes Ecole numérique; Adapter les tablettes tactiles aux contraintes scolaires 26 août 2013 La tablette tactile ouvre de nouveaux champs d’apprentissage par le numérique. Dans la pratique, elle doit s’intégrer à un fonctionnement en mode collectif. Des alternatives françaises vont tenter de gommer les défauts des premiers standards du marché. A la prochaine rentrée, les 13 000 jeunes corréziens scolarisés de la sixième à la troisième arriveront au collège avec une tablette tactile (un Ipad d’Apple) dans leur cartable. Premier département français à s’être lancé, dès la rentrée 2010, dans une distribution massive de tablettes, la Corrèze (243 600 hab.) pérennise donc cette opération d’un coût annuel de 1,6 million d’euros. « Nous n’avions pas reconduit l’équipement en PC, initié en 2008, en raison de nombreux problèmes de fiabilité des matériels choisis. La proposition d’équiper les élèves avec des tablettes émanait d’un distributeur français, en réponse à notre appel d’offres, détaille Bernard Roussely, chef de projet Ordicollège 19. La tablette est un appareil individuel assez complexe à mettre en œuvre dans une organisation collective, mais elle est plus fiable et a une batterie plus autonome. C’est l’outil adapté pour susciter de nouveaux usages pédagogiques. » Toutes les disciplines La dotation réalisée sur les compétences optionnelles du conseil général de la Corrèze a fait l’objet d’un rapport de l’inspection générale de l’Education nationale (IGEN). Celle-ci a tranché : « L’objectif politique de réduction de la fracture numérique […] est atteint. » La tablette arrive comme premier équipement dans plusieurs familles ou en complément dans les autres. En revanche, le bilan pédagogique est plus mitigé. Un déploiement d’une telle ampleur ne se fait pas sans quelques ratés. « La prise en main par les enseignants a été inégale en raison du manque d’accompagnement de certaines inspections pédagogiques », précise l’IGEN. A leur décharge, les enseignants n’avaient été dotés de leur tablette qu’après leurs élèves. Des ajustements sont nécessaires pour une meilleure gouvernance de ce plan emblématique. Ce terminal individuel mobile, sans clavier ni souris, offre une palette d’usages qui intéresse les pédagogues dans toutes les disciplines. La reconnaissance vocale, les fonctions d’enregistrement et d’écoute en font un petit laboratoire de langues portatif. La capture d’images est utilisée dans de nombreuses disciplines pour produire des comptes rendus de visites en sortie scolaire ou d’expériences en classe. En éducation physique et sportive, le visionnage des séances par les élèves permet au professeur de commenter les attitudes à corriger. La tablette offre de nouveaux outils de créativité dans les disciplines artistiques. La lecture et le toucher tactile d’un écran horizontal la rapproche du livre. Elle permet d’associer lecture et écriture, ce qui rend l’outil attractif pour les professeurs de littérature et les documentalistes des collèges et des lycées. « La tablette a des usages dans plusieurs matières en maternelle, mais si l’on monte en âge, elle montre ses limites. Les logiciels plus spécialisés, présents dans les lycées, ne sont pas utilisables sur une tablette. La collectivité qui souhaite équiper des classes ou des élèves doit penser aux usages possibles. Nous ne sommes pas dans un acte de consommation mais bien dans une problématique d’outils au service d’un projet pédagogique », prévient Alain Thillay, chef du bureau des usages numériques et des ressources pédagogiques de la direction générale de l’enseignement scolaire. Ne pas privilégier une marque Les pionniers de la rentrée 2010, comme la Corrèze pour ses collèges et la ville d’Angers (147 570 hab., Maine-et-Loire) pour ses écoles primaires, ont rapidement fait tache d’huile. Les projecteurs ont été braqués sur les tablettes d’Apple pour l’utilisation desquelles les enseignants de ces régions ont été formés, à la suite des dotations initiées par les collectivités. Parallèlement d’autres expérimentations coordonnées dans les académies par des centres régionaux de documentation pédagogique (CRDP) ont été menées en partenariat avec d’autres acteurs du marché. Les académies de Versailles et d’Amiens ont, par exemple, testé avec l’opérateur de télécommunications Orange, les tablettes Samsung sous Android dans des classes d’école primaire et de collège. « Il était intéressant de tester un système moins fermé que l’Ipad qui est difficile à faire communiquer en réseau », explique Thierry Coilhac, directeur « stratégie éducation » chez Orange. A Saint-Maur-des-Fossés (74 800 hab., Val-de-Marne), l’équipement en outil numérique des classes a été mené école par école en concertation avec les services « éducation » et « informatique » de la commune, les professeurs et les parents d’élèves. Pour les projets d’école incluant des tablettes tactiles, une condition d’interopérabilité est justement imposée dans l’appel d’offres pour faciliter l’intégration aux autres équipements présents, micro-ordinateurs, tableaux blancs interactifs ou espaces numériques de travail. « Les professeurs choisissent un type de support pas une marque, indique Pascale Luciani-Boyer, adjointe au maire, chargée de l’éducation. Mais nous avons accepté une dérogation en école maternelle car l’offre de logiciels éducatifs est plus riche sur la plateforme d’Apple. » Les trois principaux types de tablettes en vente dans le commerce (Ipad d’Apple, Android et Surface de Microsoft) présentent leurs propres atouts et contraintes. Mais tous posent le problème d’acquisition et de distribution des applications. « L’intérêt pour la tablette est justifié mais le modèle de déploiement n’est pas achevé, observe Gérard Puimatto, directeur adjoint du CRDP de l’académie d’Aix-Marseille. Chaque tablette a son mode de diffusion d’applications, rarement compatible avec les ressources pédagogiques déjà disponibles. Il va falloir sortir des logiques spécifiques et fermées. » En effet, la préconisation du Premier ministre de privilégier l’utilisation de logiciels libres dans l’administration est mise à mal par les plateformes d’applications spécifiques et payantes comme l’App store ou Google play. Nouveaux projets Pour s’affranchir de ces contraintes, d’autres tests sont menés sur des tablettes dédiées à l’éducation. Sept écoles primaires ont testé une ardoise numérique essentiellement axée sur la maîtrise de l’écriture et conçue par le fabricant de stylos Bic. Les espoirs se concentrent particulièrement sur deux autres projets d’entreprises françaises qui viennent de recevoir le soutien financier du programme d’investissements d’avenir : la tablette pour une éducation digitale (TED, lire l’encadré p. 31) du Bourguignon Unowhy et Galago de l’Aquitain Stantum. « Il est intéressant d’être associé dès la phase de conception d’un prototype qui doit corriger à la fois les défauts du matériel et de l’environnement logiciel des tablettes grand public », confie Daniel Gillard, inspecteur de l’Education nationale, en Gironde. La direction des services départementaux de l’Education nationale conserve sa neutralité et forme les enseignants à différents modèles, comme l’incontournable Ipad, choisi par la ville de Blanquefort, ou la tablette TED, testée à Pessac dans une école primaire. Elle a, par ailleurs, fait appel au volontariat des enseignants pour la prise en main des 400 premiers prototypes de Galago dans des écoles de Mérignac et de Bordeaux, puis des 2 000 nouveaux exemplaires qui ont complété ces expérimentations, dès cette rentrée. L’objectif est de concevoir une tablette plus résistante à la manipulation par les élèves avec une durée de vie au minimum de cinq ans, fonctionnant sur un système d’exploitation libre et ouvert. Fabriqués en Asie du Sud-Est ou dans l’Hexagone, ces outils nomades pourraient bien devenir le plus petit dénominateur commun de la classe numérique de cette décennie. Le temps serait-il compté pour la salle informatique équipée de micro-ordinateurs fixes conçus au siècle dernier ? Pour aller plus loin « Retour des expérimentations tablettes tactiles » sur le portail Eduscol. Site internet : www.eduscol.education.frenseigner avec le numérique > apprentissages et supports numériques Rapport d’évaluation de l’expérience corrézienne par l’inspection générale de l’Education nationale. Site internet : www.ordicollege.cg19.fr avantages Favorise de nouveaux usages dans la classe grâce à sa simplicité d’utilisation et sa mobilité. S’adapte mieux que l’ordinateur à la pédagogie différenciée et à des besoins éducatifs liés à des handicaps. Disponible pour des enregistrements sons, photos et vidéo. inconvénients Connexion wifi indispensable. Mise en réseau complexe. Accès aux ressources pédagogiques insuffisant et coûteux. Interopérabilité restreinte avec les équipements numériques déjà présents. 15 000 – tablettes sont en expérimentation, pour l’année 2012-2013, dans les établissements scolaires (119 écoles, 174 collèges et 42 lycées). Le satellite au secours des élèves des zones rurales « Notre débit ADSL n’était pas suffisant pour connecter simultanément seize ordinateurs portables dans la classe, explique Véronique Pelley, enseignante d’une classe à double niveau de l’école publique de Saint-Didier (1 800 hab., Ille-et-Vilaine). Grâce au satellite, je peux enfin faire des exercices sur internet avec mes élèves. » Ce test d’une connexion par satellite a été proposé à treize écoles rurales, choisies par l’Association des maires ruraux de France, dans le cadre de l’opération Connect’écoles, en partenariat avec Eutelsat, Orange et Nordnet. « J’étais sceptique au départ, mais finalement les connexions sont dix fois plus rapides car notre école est en bout de réseau ADSL », reconnaît Bruno Levassor, maire de Theuville (420 hab., Eure-et-Loir). Le plan France très haut-débit désigne comme prioritaire la connexion des écoles primaires. Le satellite sera donc préconisé comme solution d’attente là où les réseaux fibre optique n’arriveront pas d’ici à 2020. L’abonnement mensuel variera de 25 à 80 euros en fonction des volumes de données nécessaires aux usages de l’école. Darnets (Corrèze) • 350 hab. - L’outil est approprié aux classes multiniveaux « Les enseignants de nos deux écoles préféraient une mallette de six Ipad plutôt qu’un chariot d’ordinateurs portables, prévu dans le plan Ecole numérique rurale, explique Valentin Cordero, maire de Darnets. Afin d’entrer dans le budget, nous avons choisi un vidéoprojecteur interactif pour chacune des écoles plutôt qu’un tableau numérique spécifique. » Les enseignants qui venaient d’être formés à l’Ipad avaient noté son potentiel concernant l’aide à l’apprentissage de la lecture des élèves dyslexiques. Darnets a porté, en mars 2011, le dossier de candidature du regroupement pédagogique qu’elle partage avec l’école de Soudeilles. Ainsi, les 33 élèves, répartis dans deux classes multiniveaux (grande section à CE1 et CE2 à CM2), et leurs deux maîtres ont reçu, à la rentrée 2011, un équipement pour un budget total de 13 125 euros dont 8 995 subventionnés par la préfecture et le conseil général de la Corrèze. Le retour des enseignants est positif. Ils indiquent, dans un compte rendu remis à la mairie : « Les élèves sont très vite autonomes. C’est un outil particulièrement adapté à une classe multiniveaux. En cours, les tablettes ont pris le pas sur les PC. Mais nous continuons à travailler sur les PC qui restent très utilisés dans les familles et qui sont indispensables pour la validation du brevet informatique internet. » Contact Valentin Cordero, tél. : 05.55.93.15.25. LE BILAN Les PC fixes et les tablettes (plus coûteuses que des PC portables) se complètent dans la classe. Saône-et-Loire • 555 700 hab. - Le « made in France » au service de l’enseignant La tablette pour une éducation digitale (TED), distribuée à 2 700 collégiens de Saône-et-Loire à la rentrée, est non seulement un outil sur mesure pour les enseignants mais aussi un projet économique pour le département. Unowhy, le fabricant français de cette tablette, s’est illustré en relocalisant son unité de production à Montceau-les-Mines. « Nous avons formé un consortium pour répondre à l’appel à projets éducation du programme d’investissements d’avenir (PIA). Nous coconstruisons une tablette dédiée à la pédagogie avec les enseignants, l’académie de Dijon et les éditeurs de ressources numériques », explique avec enthousiasme Bernard Le Floc’h, directeur général adjoint, chargé de l’animation du territoire. Le conseil général soutient ce projet industriel risqué. Une dépense de 6 millions d’euros (dont 2,2 d’aide du PIA) est prévue sur trois ans. Les 120 tablettes utilisées depuis mars 2013 dans deux classes de sixième sont robustes car conçues, à l’origine, pour être consultées dans une cuisine. Le système d’exploitation et les applications scolaires sont développés en logiciel libre. L’anglais et l’histoire-géographie sont les deux premières matières testées par les professeurs. L’apport de la tablette dans les apprentissages sera évalué par l’unité « sciences de l’éducation » de l’université de Poitiers. Contact Bernard Le Floc’h, tél. : 03.85.39.76.33. LE BILAN La tablette testée devra s’affirmer comme une alternative ouverte aux modèles du commerce. 14 septembre Quotidien régional de référence sur l'Auvergne. Compte 15 éditions diffusées sur l'Auvergne et le Limousin. Journal d'informations générales qui revendique "le service du bien public". Infos nationales et locales, actualités sportives et culturelles, les sorties et évènements du centre de la France Audience / Personnes : 626000 Personnes (Source : ONE) 19 septembre Journal hebdomadaire grand public généraliste de proximité. 14 septembre Anciennement intitulé "L'Union Agricole et Rurale" Journal bi hebdomadaire d'informations. Couvre l'actualité agricole et rurale du département du Cantal (15), traite également de l'actualité régionale et nationale. Cible : Abonnés de tout corps de métier (commerçants, agriculteurs, élus, vétérinaires,...) Sujet de 3 minutes sur Jordanne FM, radio associative généraliste régionale. Musique éclectique. Flashs d'informations locaux, et nationaux (AFP). Actualité culturelle et associative. Fonctionne toute l'année en continu. Cible : 25-65 ans, population rurale et urbaine. Zone de diffusion : le Cantal (15), Corrèze (19), l'est du Lot (46) et le nord de l'Aveyron (12) et de la Lozère (48). 14 septembre Quotidien régional de référence sur l'Auvergne. Compte 15 éditions diffusées sur l'Auvergne et le Limousin. Journal d'informations générales qui revendique "le service du bien public". Infos nationales et locales, actualités sportives et culturelles, les sorties et évènements du centre de la France Audience / Personnes : 626000 Personnes (Source : ONE) L'école connectée a été inaugurée 14 October 2013 L'école connectée en haut débit grâce à l'initiative Connect'écoles. En 2012, lors du salon RuraliTIC, l'Association des maires ruraux de France, Orange, NordNet et Eutelsat ont signé une convention nationale autour du projet pilote « Connect'écoles : l'Internet par satellite pour l'école rurale ». Cette initiative marque la volonté d'équiper gratuitement 22 écoles (une par région de France métropolitaine) d'une connexion Internet haut débit par satellite. En Auvergne, c'est l'école de Raulhac qui a été choisie. Une inauguration a été organisée à l'école, ce lundi, en présence des élèves, enseignants, élus, représentants d'Orange et de l'Académie. L'école a été équipée d'une parabole extérieure, reliée à un modem. À l'issue de l'année scolaire, les équipes pédagogiques et municipales seront invitées à faire un bilan des performances de la solution mise en oeuvre. Le projet Connect'écoles est né du constat que les écoles primaires en milieu rural, ne disposent pas toujours d'une connexion Internet ADSL à un débit suffisant. De ce fait, elles ne peuvent exploiter pleinement les outils et ressources numériques qui préparent les élèves à une vie en société dont l'environnement technologique évolue constamment. Avec cette opération pilote, les élèves seront accompagnés pour une véritable maîtrise des services numériques. Les écoles rurales reliées à internet par satellite 669 words 1 October 2013 Journal des Communes Durables Le projet pilote « Connect'Ecoles : l'internet par satellite pour l'école rurale » était lancé le 11 septembre 2012. Un an après, l'heure est au bilan pour savoir si les initiateurs n'avaient pas trop la tête dans les étoiles en proposant cette solution. C'est à l'occasion du huitième forum RuraliTIC, qui se déroulait à Aurillac en septembre dernier, que les partenaires signataires* de l'opération « Connect'Ecoles : l'internet par satellite pour l'école rurale » se sont retrouvés pour dresser le premier bilan de cette opération. Déployé à ce jour dans plus des deux tiers des communes sélectionnées, pour être utilisé par un total de 26 classes allant de la petite section au CM2, Connect'Écoles a rencontré un vif succès auprès des élus et enseignants impliqués dans le projet. Les écoles ont ainsi pu bénéficier d'une solution d'accès à Internet haut débit par satellite pendant six mois, à des débits jusqu'à 20 Mbps en réception et 6 Mbps en émission, via le satellite KA-SAT opéré par Eutelsat. 91 % des enseignants ont estimé la rapidité de connexion très performante. Le volume, la fluidité et l'usage multipostes ont particulièrement été remarqués et appréciés par les professeurs des écoles. La première phase d'évaluation du dispositif révèle que Connect'Écoles a permis à des écoles rurales, qui pour moitié ne connaissaient pas la technologie Internet par satellite ou n'en avaient pas une bonne image, de découvrir les atouts de cette solution. 87 % des usages liés à cette solution sont à vocation pédagogique : visite virtuelle du musée du Louvre et de la grotte de Lascaux, utilisation d'un logiciel en ligne de mathématiques pour travailler le calcul, recherche de chorégraphies originales pour animer le spectacle de fin d'année, etc. De l'avis des enseignants, les usages multiples développés au cours de cette expérimentation ont contribué à enrichir l'ensemble des matières enseignées. Cette diversité témoigne d'une véritable intégration des nouvelles technologies au projet éducatif, rendue possible par la connexion par satellite. Les enseignants ont également su tirer parti de cette connexion pour optimiser leur emploi du temps en procédant aux formalités administratives - qui représentent 13 % des usages Internet - directement depuis l'école, alors que neuf enseignants interrogés sur dix étaient auparavant obligés de se déplacer en mairie ou d'effectuer ces démarches depuis leur propre domicile. Une école pilote connectée par région Les résultats de cette première vague d'évaluation de l'opération montrent également que plus des trois-quarts des municipalités interrogées ont, à la demande des écoles, décidé de souscrire la prolongation des services Internet par satellite, preuve s'il en est du succès de l'initiative. Pour bon nombre de ces communes, c'est aussi offrir un nouveau service aux citoyens : l'Internet par satellite. Connect'Écoles se poursuit jusqu'à la fin 2013 pour les sept autres établissements sélectionnés par l'Association des Maires Ruraux de France (AMRF) et en cours d'équipement, pour atteindre l'objectif d'une école pilote connectée par région de France métropolitaine. Commentant l'engagement de l'AMRF sur ce projet, son président, Vanik Berberian, a déclaré : « Connect'Écoles s'inscrit dans notre volonté de faire de l'accès au haut débit des territoires ruraux une priorité nationale, pour faire en sorte que les écoles de ces territoires puissent accéder aux outils numériques au même titre que les écoles des territoires urbains. Cette initiative rejoint également les objectifs du Gouvernement de faire entrer toutes les écoles de France métropolitaine dans l'ère du numérique. Fleur Pellerin, notre ministre de l'Économie numérique et des PME, a annoncé en juin dernier que le Gouvernement travaillait pour l'automne 2013 à une offre satellite spécifique labellisée « France Très Haut Débit » pour les écoles qui ne seront pas, à court terme, concernées par le raccordement filaire. Nous soutenons cette décision qui accélère la montée en débit pour les écoles. » Écoles connectées : du haut débit pour tous les établissements scolaires Sep. 1, 2014 Lancé fin mai par les pouvoirs publics, le programme « Écoles connectées » vise à faciliter l'accès rapide au haut débit de 8 000 établissements scolaires du primaire et du secondaire qui en sont dépourvus. Une initiative qui généralise l'expérimentation Connect'Écoles menée en 2012 et 2013 dans le cadre d'une convention entre l'Association des Maires Ruraux de France, Eutelsat, Orange et sa filiale NordNet. Il est donc désormais possible d'apporter massivement un débit de qualité à l'ensemble des établissements scolaires ? L'objectif du Gouvernement est de permettre à ces établissements et à leurs élèves de bénéficier d'un haut débit de qualité dès la rentrée 2014 ; sans attendre le déploiement à plus long terme de réseaux THD fixes. Les offres des opérateurs qui ont été labellisées reposent donc sur des technologies radio (WiFi, WiMax) et majoritairement sur des solutions satellitaires, disponibles partout et tout de suite. En quoi est-ce que les offres satellites représentent une avancée ? Autrefois réputé onéreux et limité en émission comme en réception de données, l'Internet par satellite a bénéficié d'importantes évolutions technologiques. Cette solution est aujourd'hui adaptée à la configuration du programme « écoles connectées ». En six ans, les débits sont passés de 2 à 22 Mégabits en réception et de 128 Ko à 6 Mégabits en émission, pour une connexion toujours plus confortable. Mais l'avantage du satellite repose surtout sur la facilité et la rapidité d'installation. Les kits de connexion (parabole, modem) permettent de profiter immédiatement d'une offre triple-play. Avec la participation du fonds national pour la solidarité numérique et le « coup de pouce » de certains opérateurs comme NordNet, le solde à charge pour le raccordement d'un établissement est de l'ordre de 100 euros. Quels ont été les apports concrets de l'expérimentation Connect'Écoles ? La tarification de l'Internet par satellite repose sur des forfaits mensuels correspondant à des volumes de données. L'expérimentation de 2012-2013 a permis de bien identifier et comprendre les besoins et usages des établissements scolaires. Grâce à ces retours d'expériences, il nous a été possible de calibrer une gamme sur-mesure pour les établissements d'enseignement. Ces offres permettent de surfer sur Internet et d'échanger des e-mails sans restriction. Elles incluent en sus un important volume mensuel de données à échanger en journée (12 à 26 Giga) pour la consultation de vidéos, le téléchargement… Avec un coût proche de celui d'une box domestique, dès 39.90 euros par mois, l'objectif est bien de favoriser l'accès au haut débit partout et pour tous, grâce à cette alternative aux réseaux terrestres. Dimanche 16 février 2014 2 avril 2014 Quotidien régional d'informations générales sur la Franche Comté et la Lorraine. OJD / Exemplaires : 149 172 Exemplaires (Source : OJD) Audience / Personnes : 599 000 Personnes (Source : ONE) Ondes positives à l’école Dans le cadre du dispositif Connect’écoles, les élèves de l’école du Pont-de-Planches ont bénéficié d’une animation visant à leur faire découvrir le monde des satellites. En poussant la porte de l’école primaire du Pont-de-Planches, ce lundi, on se croirait plongé dans un épisode de la série télévisée des Experts. Vêtus de blouses, masques et charlottes, prenant leur tâche très au sérieux, les élèves de Lætitia Bourgeois-Arroyo sont en train de fabriquer un drôle d’engin. Avec quelques morceaux de bois et du papier aluminium, ils reproduisent un satellite. À l’identique de celui qui permet à leur école de campagne de bénéficier depuis septembre 2013 d’un accès internet haut débit. C’est une convention signée en novembre 2012, entre l’association des maires ruraux de France (AMFR), Orange via sa filiale NordNet et Eutelsat, opérateur de satellites de télécommunications qui a donné naissance au projet « Connect’écoles ». En Franche-Comté, l’école rurale du Pont-de-Planches avait été sélectionnée pour entrer dans ce dispositif qui concernait 22 écoles en France (une par région) et avait pour ambition de réduire la fracture numérique entre les territoires ruraux et urbains. « On a assuré l’installation, gratuitement, d’une antenne satellite, d’un modem et d’un démodulateur Wi-Fi. L’abonnement a été offert également pendant six mois, le temps de l’expérimentation », explique Daniel Bonnet, directeur régional d’Orange. « Désormais, il est pris en charge par la commune », opine du chef Roger Relange, maire de la commune. « Le bilan est positif. Le dispositif fonctionne et permet de travailler de manière plus approfondie », explique Lætitia Bourgeois-Arroyo, l’une des enseignantes. Les douze ordinateurs de la classe et le tableau interactif sont connectés en même temps, ce qui permet le travail en groupe. « On l’utilise régulièrement, plusieurs fois par semaine », ajoute-t-elle. « Ça fonctionne bien. Il n’y a pas eu de gêne. Ça permet de s’appuyer sur l’outil numérique », ajoute Daniel Bonnet. Les élèves, aussi, font montre d’enthousiasme : « On a un tableau interactif qui marche bien, internet aussi », témoigne Léandre, 9 ans et demi, élève en CM1. Depuis peu, un nouveau partenaire est venu se greffer à l’opération, à savoir l’association Planète Sciences, qui promeut depuis 1962 la pratique des sciences auprès des jeunes de 8 à 25 ans. Elle dispense ainsi une animation dans toutes les connect’écoles. Lundi, toute la journée, deux animateurs ont donc proposé une journée ludique et pédagogique autour du satellite. « On vient faire découvrir aux enfants le monde des satellites, en leur faisant comprendre leur fonctionnement et leur intérêt », décrit Erik Le Menn. Apparemment, la mission est réussie à en croire les témoignages des minots. « C’était trop cool », lance un élève en quittant la salle de classe. Dans la cour de récréation, Mylène n’a pas quitté sa blouse en plastique. « J’ai trouvé ça super bien », s’exclame Léandre. « La tenue, c’est pour ne pas postillonner, ne pas laisser de cheveux ou de poussière », raconte-t-elle. « Et le satellite, on va le montrer ce soir à nos parents. » Auxquels les bambins vont certainement avoir plein de choses à raconter, voire à apprendre. L'école publique vit à l'heure de l'espace et des satellites 16 April 2014 Depuis un an, l'école publique de Saint-Didier bénéficie d'un accès Internet Haut débit par satellite grâce à l'opération Connect'Écoles. « Notre établissement est équipé d'une parabole extérieure, reliée à un modem. Ce dispositif permet de connecter le réseau informatique de l'école à Internet via le satellite KA-SAT. Élèves et enseignants disposent ainsi d'un accès internet avec un niveau de débit comparable à celui des réseaux ADSL urbains », a rappelé Hervé Pinto, le directeur. Il précise : « Non seulement les téléchargements de dossiers se font très rapidement, mais un très grand nombre d'élèves peut être connecté en même temps. » La seule en Bretagne L'association des maires ruraux de France, Orange (l'opérateur de télécommunications), NordNet (une société du groupe Orange) et Eutelsat (un groupe de satellites de télécommuniations) sont à l'origine de ce projet pilote qui concerne à ce jour 21 écoles primaires, dont celle de Saint-Didier, la seule en Bretagne. Depuis peu, un nouveau partenaire, l'association Planète Sciences*, est venu se greffer à l'initiative Connect'Écoles. « C'est une seconde étape. Dans le cadre du projet Sur la route des sciences, nous avons travaillé avec Eutelsat sur le développement d'animations pédagogiques, scientifiques et techniques autour des satellites de communication », ont expliqué Nordine et Erik, deux représentants de l'association. Construction d'un mini-satellite Jeudi 10 avril, ces derniers sont intervenus auprès des élèves de CM2 pour un atelier dédié à la compréhension de l'espace et à la technologie des satellites. L'école publique de Saint-Didier est l'une des trois seules écoles sur les 21 connectées par satellite à bénéficier de cette animation. « Les enfants apprennent en manipulant. À travers plusieurs animations scientifiques et techniques, nous leur expliquons la notion de gravité et l'utilisation d'un satellite. L'objectif est que chaque enfant construise son propre mini-satellite de communication », ont détaillé les deux animateurs. * Créée en 1962, l'association Planète Sciences a pour objectif de favoriser auprès des jeunes de 8 à 25 ans la découverte et la pratique des sciences et des techniques. Chaque année, environ 100 000 jeunes participent aux activités.