sur les NAO ? Représentants du personnel, quels sont vos leviers d
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sur les NAO ? Représentants du personnel, quels sont vos leviers d
Octobre 2014 n°50 ÉDITORIAL Avec une inflation de 0,4% à fin août 2014, les NAO promettent d’être tendues. La baisse de l’inflation ne doit pas faire perdre de vue deux réalités. D’abord, il s’agit d’une mauvaise nouvelle sur le plan macro-économique. Croire que la compétitivité des entreprises passe par le seul ajustement des salaires est tout simplement faux. Il entretient un climat récessif alors que les entreprises ont plus que jamais besoin pour leur carnet d’une relance de l’activité, donc de la demande des ménages. Au-delà de ce débat entre politique de l’offre et politique de la demande, les marges de manœuvre dans les entreprises existent. Souvenons-nous que la productivité horaire française reste l’une des meilleures au monde. Au demeurant, les situations des entreprises sont encore plus contrastées depuis la crise. À côté de sociétés en réelle difficulté, d’autres ont reconstitué leurs marges et distribué des dividendes record à leurs actionnaires. Pour être efficace, la NAO doit s’appuyer sur une analyse fine de la politique salariale (moyenne et dispersion), de la position concurrentielle de l’entreprise et de sa situation financière. Éclairage Représentants du personnel, quels sont vos leviers d’action sur les NAO ? Le début de l’année civile est consacré, traditionnellement, aux négociations obligatoires annuelles (NAO), mais c’est dès maintenant qu’il faut s’y préparer. Cet exercice est plus complexe qu’il n’y paraît en raison, notamment, des incertitudes économiques mais aussi, de ce que l’on entend par NAO. Car ce sigle, contrairement à ce que certains pensent, recouvre un ensemble d’éléments structurants d’une entreprise et non pas seulement les augmentations salariales, qu’elles soient générales ou individuelles. Les NAO concernent les rémunérations, directes et indirectes, mais également leurs contours sociaux. C’est donc un ensemble bien plus large que la seule question salariale, tels les objectifs en matière d’égalité entre les hommes et les femmes, la protection sociale ou encore la durée effective du temps de travail. C’est finalement tout ce qui contribue à fidéliser les salariés et à améliorer leurs conditions de travail, même si les rémunérations restent le chapeau principal et l’objectif premier recherché. Enfin, il ne faut pas résumer la NAO à la seule question des salaires. Les avantages en nature ou l’égalité professionnelle doivent être intégrés aux négociations. Comme l’indique notre éclairage, c’est en élargissant le champ de la négociation qu’on peut sortir de situations de blocage et trouver des compromis acceptables. Illustration © jorgen mcleman Bonne négociation et bonne lecture ! DANS CE NUMÉRO P. 1/2 Eclairage P. 3 P. 4 L’actu juridique avec AuServiceduCE Vu pour vous Or, aujourd’hui plus qu’hier, les directions considèrent qu’elles n’ont plus les moyens d’offrir des augmentations de salaire significatives. Les études se succèdent les incitant à une pause. Quels sont, dès lors, les leviers d’action pour les instances représentatives du personnel ? « Compte tenu du climat actuel, précise Yves Lambling, directeur associé chez Secafi, les marges de manœuvre se sont réduites. LIRE SUITE PAGE 2… 1 Les élus, plus acculés que les années précédentes dans un tel contexte, auront l’obligation de bien préparer en amont les négociations, en ayant notamment bien recensé tous les éléments entrant dans le bloc « Rémunérations », des rémunérations de base aux heures de travail, des tickets restaurant aux autres avantages acquis, en trouvant, le cas échéant, des indices d’inflation plus près de la réalité que l’indice INSEE et en ayant bien intégré tous les éléments financiers de leur entreprise sur lesquels étayer leurs arguments ». Ainsi, s’ils sont accompagnés par un expert, ce dernier sera particulièrement vigilant au respect de plusieurs éléments : comment évoluent les résultats réels de l’entreprise, sa trésorerie, sa dette, etc. ? Quels sont les dividendes versés aux actionnaires ? Quelles sont les rémunérations et augmentations versées aux 5 (ou 10) collaborateurs les mieux rémunérés ? Selon la logique suivante : ne pas perdre de vue les intérêts des salariés. Pour cela, il est essentiel de négocier, de diagnostiquer, via des benchmarks notamment, de dédramatiser également pour amener au dialogue. « Il serait efficace qu’en amont, une position commune des différentes organisations syndicales soit déterminée, pour décider quel est le tronc commun face à la direction, commente Yves Lambling, afin d’éviter de se présenter lors de la négociation avec des demandes trop catégorielles. Une démarche commune aura plus de chances d’aboutir ». Cette concertation en amont sur les objectifs poursuivis doit définir des points plus spécifiques, tels que ceux concernant les augmentations : augmentations générales, augmentations individuelles, augmentations des plus bas salaires, fixation d’un « talon » pour les plus bas salaires ? Il pourra également être pertinent d’anticiper un résultat insatisfaisant et de réfléchir, avant même la négociation, à une proposition d’augmentation complémentaire, qui serait néanmoins rétroactive au 1er janvier, conditionnée à l’atteinte d’un objectif au 30 juin à convenir (palier à prévoir si possible). « Cette solution peut permettre, selon Yves Lambling, de trouver une sortie par le haut à des situations de blocage ». Taux de négociation Ensemble Établissements couverts Salariés couverts .. . . . . . . . . Présence de délégués syndicaux Oui .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Non .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Présence d'élus Oui .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Non .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Taille de l'entreprise Moins de 50 salariés. . . . . . De 50 à 499 salariés.. . . . . 500 salariés ou +.. . . . . . . . . argument pour améliorer les salaires ? Il est également possible de négocier qu’une partie du CICE, qui a augmenté de 50 % en 2014, revienne aux salariés les plus mal rémunérés. Il est aussi très souhaitable que les élus se forment aux techniques de négociations. Cela peut leur être très utile pour apprendre à sortir des situations de blocage. « Dans ces temps difficiles, Il faut innover, complète Yves Lambling, il faut être capable d’élargir les discussions et de faire des propositions alternatives, le cas échéant sur des champs connexes, tels que les subventions CE, l’intéressement, la prime de transport ou d’autres, qui, bien que, pour certains, ils ne supportent pas les cotisations sociales, contribuent au pouvoir d’achat ». Au vu des mesures adoptées en 2014, avec des marges de manœuvre étroites, les élus doivent faire valoir les éléments qui ont pénalisé les salariés : fiscalisation de la part de la cotisation mutuelle prise en charge par l’employeur, dématérialisation des tickets restaurants, fiscalisation des heures supplémentaires, par exemple. D’autres leviers existent. Ainsi, il pourra être utile de vérifier que le passage de 1,6 % à 1 % des dépenses obligatoires de formation ne conduit pas à une baisse de ces dépenses. Raisons d'absence de négociation salariale* Si c’est le cas, selon la présence ou non de délégués syndicaux(DS) (en %) cette diminution ÉtablisseÉtablissements peut-elle être ments de 11 de 20 salariés ou + utilisée comme salariés ou + Taux de négociation salariale en 2004 et 2010 selon la taille de l'entreprise et la présence de délégués syndicaux ou d'élus (en %) Établissements de 20 salariés ou + Illustration © jorgen mcleman SUITE DE LA PAGE 2… Établissements de 11 salariés ou + 2004 2010 2010 51 68 52 70 44 66 67 32 73 33 69 30 59 26 60 27 57 24 38 59 62 34 61 71 30 60 70 2004 2010 2010 Ensemble Application d'un accord de branche. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Décision de direction. . . . . . . . . . . . Absence de demande des salariés Autre raison.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34 35 29 18 38 32 33 17 31 33 38 17 En présence de DS Application d'un accord de branche. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Décision de direction. . . . . . . . . . . . Absence de demande des salariés Autre raison.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46 35 17 14 54 31 16 9 49 32 20 9 En absence de DS Application d'un accord de branche. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Décision de direction. . . . . . . . . . . . Absence de demande des salariés Autre raison.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 35 35 20 33 32 39 20 27 34 42 19 * Plusieurs raisons peuvent être avancées par le représenant de la direction. Lecture : en 2010, 69 % des établissements de 11 salariés ou plus, comptant au moins un délégué syndical, sont concernés par une négociation salariale. Lecture : en présence de DS, 49 % des représentants de la direction des établissements de 11 salariés ou plus, non concernés par des négociations salariales, citent notamment l'application d'un accord de branche comme raison de non négociation salariale en 2010. Champ : secteur marchand non agricole. Champ : secteur marchand non agricole. Source : Dares Analyses – Septembre 2014 n° 067 – La négociation salariale d’entreprise de 2004 à 2010 N ° 1 D U C O N S E I L A U X C E E T A U X C H S C T / O C TO B R E 2 0 1 4 / N ° 5 0 2 L’actu juridique avec AuServiceduCE Le dépôt simultané de listes de candidats par un syndicat et sa fédération La Cour de cassation pose une exception au principe jurisprudentiel selon lequel l’employeur n’est pas juge de la validité d’une candidature. (Cass. soc., 10 décembre 1986, n° 86-60297). En effet, selon les juges, si la direction est informée par la fédération de sa volonté de déposer une liste de candidats aux lieu et place des organisations syndicales qui lui sont affiliées, elle peut, sans saisir au préalable le tribunal d’instance, écarter les candidatures déposées par le syndicat affilié pour ne retenir que celles émanant de la fédération. niveau de la rémunération entre salariés relevant de la même catégorie professionnelle. La Cour ajoute que pour qualifier l’identité de situation, il convient aussi de se référer aux fonctions exercées, qui doivent être identiques ou de valeur égale. irrégulière et que l’accord des membres du CE peut être implicite. En effet, aucune contestation de la part du CE n’avait été relevée et « il n’était pas établi que cette personne s’était substituée à l’employeur dans la conduite des débats ». Cass. Soc. 4 juin 2014, n° 12-23.759 Cass. Soc, 8 juillet 2014, n°13-15470 ; Cass.Soc, 8 juillet 2014, n°13-18217 Non-respect de l’accord de modulation : rappel d’heures supplémentaires Un accord de modulation prévoyait chaque année la communication aux salariés d’un programme indicatif de la répartition du travail. L’employeur ne s’étant pas conformé à cette obligation, la Cour de cassation a considéré l’accord comme privé d’effet. Par conséquent, les salariés peuvent prétendre au paiement des heures supplémentaires décomptées sur la base de 35 heures hebdomadaires. Cass. soc., 4 juin 2014, n° 13-60238 La seule appartenance à une même catégorie professionnelle n’est pas suffisante pour qualifier une situation identique Quand un salarié se prévaut d’une inégalité de traitement, il doit tout d’abord apporter au juge des éléments permettant de prouver qu’il se trouve dans une situation identique aux salariés avec lesquels il se compare. La Cour de cassation a récemment estimé que la seule appartenance à une même catégorie professionnelle n’est pas suffisante pour justifier que ces salariés se trouvent dans une situation identique. Dans les faits, il s’agissait d’une inégalité au Cass. Soc, 2 juillet 2014, n°13-14216 Présence de personnes étrangères à l’entreprise dans une réunion consultative du CE Dans 2 arrêts rendus le même jour, la Cour de cassation considère que la présence d’une personne extérieure à l’entreprise (en l’occurrence, un avocat et un consultant) lors d’une réunion d’information-consultation sur un projet de licenciement collectif n’est pas une procédure Le refus d’un salarié de retirer son voile peut justifier un licenciement pour faute La Cour de cassation a jugé que le licenciement pour faute d’une salariée qui refuse de ne plus travailler non-voilée est fondé. En effet, les juges confirment que les clauses du règlement intérieur visant à restreindre la liberté religieuse au sein de l’entreprise sont valides, à condition toutefois que ces limites soient justifiées par la nature de la tâche à accomplir, et proportionnées au but recherché. En l’espèce, les juges ont considéré que le travail au sein d’une crèche remplissait ces conditions. Le non-respect de cette interdiction par le salarié est donc susceptible de justifier son licenciement disciplinaire Cass. ass. Plénière, 25 juin 2014, n° 13-28369 Tél. 01 55 56 62 14 [email protected] BON À SAVOIR Annonces cumulées de créations d’emplois en Septembre 2014 Annonces cumulées de suppressions d’emplois en Septembre 2014 (Source : Veille Emploi Secafi) Nord-Pas-de-Calais Nord-Pas-de-Calais Nord-Pas-de-Calais Nord-Pas-de-Calais -551 -551 213 22 213 BasseBasseNormandie Normandie Bretagne Bretagne 225 11 225 416 416 Pays de la Loire Pays de la Loire 330 330 Picardie Picardie HauteHauteNormandie Normandie 82 82 125 125 Île-de-France Île-de-France ChampagneChampagneArdenne Ardenne 651 11 651 Centre Centre 238 238 BasseBasseNormandie Normandie Lorraine Lorraine 538 538 39 39 Bourgogne Bourgogne 325 325 Alsace Alsace 117 117 Aquitaine Aquitaine 217 217 Bretagne Bretagne -548 -548 -364 -364 Pays de la Loire Pays de la Loire -602 -602 FrancheFrancheComté Comté 22 22 PoitouPoitouCharentes Charentes PoitouPoitouCharentes Charentes 95 95 Limousin Limousin 15 15 Midi-Pyrénees Midi-Pyrénees 510 510 Chiffre clé du mois (Source : Veille Emploi Secafi) Auvergne Auvergne 159 159 -673 -673 Rhône-Alpes Rhône-Alpes 834 834 LanguedocLanguedocRoussillon Roussillon 134 134 Picardie Picardie HauteHauteNormandie Normandie -104 -104 -69 -69 Île-de-France Île-de-France -1 761 761 -1 Centre Centre -69 -69 -500 -500 Bourgogne Bourgogne -120 -120 Limousin Limousin ChampagneChampagneArdenne Ardenne -85 -85 Auvergne Auvergne -7 -7 -359 -359 219 219 Corse Corse 16 16 Midi-Pyrénees Midi-Pyrénees -59 -59 -239 -239 Alsace Alsace -796 -796 FrancheFrancheComté Comté LanguedocLanguedocRoussillon Roussillon -74 -74 9/10 En 2013, en France métropolitaine, près de 9 actifs occupés sur 10 sont des salariés, 86,5 % étant en CDI -345 -345 Rhône-Alpes Rhône-Alpes -274 -274 Aquitaine Aquitaine Provence-AlpesProvence-AlpesCôte d'Azur Côte d'Azur Lorraine Lorraine Provence-AlpesProvence-AlpesCôte d'Azur Côte d'Azur (Source : INSEE) -42 -42 Corse Corse 00 N ° 1 D U C O N S E I L A U X C E E T A U X C H S C T / O C TO B R E 2 0 1 4 / N ° 5 0 3 Vu pour vous… BIEN SE LOGER POUR BIEN TRAVAILLER SECAFI, en partenariat avec la CGT, lance une grande enquête nationale afin d’évaluer le lien entre logement et travail. Selon le CREDOC (2011), en cinq ans, 500 000 personnes sont passées à côté d’un contrat de travail faute d’avoir trouvé un logement et 40 % des entreprises se disent affectées par les difficultés de logement de leurs salariés. La question du lien entre emploi et logement est à double sens : avoir un emploi doit permettre d’avoir un logement. Mais lorsque le logement est inadapté, c’est l’accès à l’emploi mais aussi la santé, les conditions de travail au jour le jour, et l’équilibre avec la vie de famille qui s’en trouvent dégradés. SECAFI s’est associé à la CGT pour élaborer le programme « Bien se Loger pour Bien Travailler ». Pierre angulaire de ce programme, une grande enquête nationale en ligne propose, au travers de 48 questions ciblées, d’explorer, dans un premier temps, le lien entre logement, conditions de santé et inclusion sociale, puis, dans un second temps, le lien entre logement, travail et revenus. Cette enquête anonyme est ouverte à tous, en suivant le lien : www.bien-se-loger.fr. Elle sera en ligne jusqu’à la fin du mois de décembre 2014, après 4 mois de recueil de données. Les résultats de l’enquête feront l’objet d’une publication début 2015. Pour en savoir + Écrivez-nous à [email protected] LES RENCONTRES SECAFI Information-consultation du CE sur la stratégie et Base de données économiques et sociales Jeudi 16 octobre, à Clermont-Ferrand, de 9h00 à 13h00 Mardi 18 novembre, à Lyon, de 9h00 à 13h00 Pour plus de précisions, contactez Ghislaine Stéphano au 04 78 63 78 68 Loi du 5 mars 2014 : les nouvelles obligations comptables du CE applicables au 1er janvier 2015 SEMAPHORES, en partenariat avec SECAFI et AuServiceduCE, vous invite à ses journées d'information et de rencontres. Tous les comités d'entreprise sont concernés par la nouvelle loi. Des RDV dans votre région : Le 16 octobre, à Nancy et Limoges Le 21 octobre, à Bordeaux et au Mont-St-Aignan Le 28 octobre, à Roissy Le 4 novembre, à Clermont-Ferrand, Rezé, Perpignan, Paris et Toulouse Le 6 novembre, à Besançon Le 13 novembre, à Reims, Toulon, Angers, Hérouville-St-Clair, Dunkerque et Bordeaux Pour vous inscrire, contactez Nathalie Vieuble au 02 31 53 04 10 10 ans d'intervention sur les RPS. Où en sommes-nous de la prévention ? Mardi 4 novembre, à Orléans, de 9h30 à 12h30 Les expertises et les missions de diagnostic relatives aux rps ont beaucoup évolué depuis ces dernières années. Conjointement à l’évolution des connaissances sur le sujet, les positionnements des acteurs de la santé et de la sécurité dans les entreprises se sont transformés. Sommes-nous passés d’une logique de sanction à une logique de prévention des RPS ? Agir contre les troubles musculo-squelettiques Mercredi 12 novembre, à Paris, de 9h00 à 12h30 Vincent Jacquemond, consultant-expert CHSCT, animateur métier santé & sécurité chez SECAFI et auteur du guide « Agir contre les troubles musculosquelettiques » répondra à vos questions pour mieux faire face à ce phénomène. Pour plus de précisions sur ces 2 événements, contactez Jean-Matthieu Sassier au 01 53 62 71 13 L.S.E. Un an après ? Mardi 18 novembre, à Lille, de 8h45 à 12h15 Pour plus de précisions, contactez Blandine Gosselin au 03 20 14 64 44 Vous êtes invité(e) à ces débats. Accueil café à 8h30. Attention, nombre de places limité. Pour vous inscrire, merci de bien vouloir remplir le formulaire sur le site http://www.secafi.com, rubrique « Agenda ». La e-letter de Secafi Octobre 2014 - N°50 Directeur de la publication : Mustapha Omari, Directeur général délégué, Secafi Rédactrice en chef : Pascale Pujol E-mail : [email protected] Secafi, une société du Groupe ALPHA Pour vous abonner à la e-letter d’information de SECAFI, merci de vous inscrire sur le site secafi.com : http://www.secafi.com N ° 1 D U C O N S E I L A U X C E E T A U X C H S C T / O C TO B R E 2 0 1 4 / N ° 5 0 4