BONGARD Olga Loperetti-Pilloud Guy Savoy Irma Perroud

Transcription

BONGARD Olga Loperetti-Pilloud Guy Savoy Irma Perroud
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Vendredi 2 décembre 2005
LE BILLET DE MELLIE
Nécrologies
REMAUFENS
† Georges Suard
Georges Suard est
subitement décédé
le 15 novembre
2005 à l’hôpital de
Fribourg. Une messe de trentième
sera célébrée le
17 décembre 2005
à 18 h en l’Eglise
de Remaufens.
Fils de Robert et Jeanne Suard née Pacifique, Georges Suard naquit le 6 juin 1948
à l’hôpital de Châtel-St-Denis. Grandissant avec sa sœur Eliane et son frère Michel à Palézieux-Gare, Georges Suard ef-
CHÂTEL-ST-DENIS
† Olga Loperetti
Olga Loperetti s’est
paisiblement éteinte vendredi 18 novembre, entourée
de sa famille, à
son domicile de la
Croix Blanche, à
Châtel-St-Denis.
Un dernier hommage lui a été rendu lundi 21 novembre, en l’église de
Châtel-St-Denis.
Née dans l’ancienne poste de Remaufens
le 23 mai 1911, dans la famille de Ernest
et Annette Pilloud-Genoud, Olga a tra-
ATTALENS
† Roland Vionnet
Roland Vionnet
s’est éteint vendredi soir à l’hôpital de
Riaz des suites
d’une longue maladie. Natif d’Attalens où il vit le jour
le 24 août 1928, il
y vécut toute sa vie.
Fils de Jules Vionnet et Clara Uldry, il y suivit toute sa scolarité avant de devenir paysan. C’est le
10 novembre 1956 qu’il épousa Juliette
Savoy à Vuarrat. En 1957, ils eurent le bonheur de donner naissance à leur premier
fils Dany qui allait être rejoint par Michel
en 1961 et Marcel en 1965.
fectua toutes ses écoles à Granges puis à
Fruence et à Bulle. Sa scolarité obligatoire accomplie, il commença un apprentissage de vendeur en alimentation.
Très tôt, il accéda au poste de gérant d’un
magasin basé à Lausanne avant de devenir inspecteur de plusieurs commerces.
En 1971, il unissait sa destinée à Suzanne née Genoud et s’installa dans une petite maison à Remaufens. Il eut le bonheur de donner naissance à Nathalie en
1977 et à David en 1982.
En 1984, il reprenait le magasin villageois
et la boulangerie de Remaufens. Une nouvelle orientation qui lui demanda de la
motivation pour apprendre à faire le
pain, la petite boulangerie et un peu de
pâtisserie. Et c’est grâce à son laborieux
travail qu’il fut élevé au rang de Chevalier du Bon Pain pour sa plus grande fierté. En 1989, il reprit la boulangerie
Maillard de Châtel-St-Denis qu’il géra en
parallèle de son travail à Remaufens. Suite à des problèmes de santé, Georges Suard
dut remettre son commerce en fin d’année 2004.
Lorsque son emploi du temps le lui permettait, Georges Suard aimait bricoler
autour de la maison familiale et se
réjouissait de la saison des champigons
pour allier cueillir cèpes et chanterelles.
Appréciant et respectant la nature, Georges
s’adonnait également à la pêche en rivière
pendant son temps libre.
vaillé, dans sa jeunesse, à l’Hôtel de Ville d’Attalens avec sa sœur aînée. C’est là
qu’elle rencontra son futur mari, Antoine, qu’elle épousa en 1934. L’année suivante, le couple acheta le café de la Croix
Blanche, à Châtel-St-Denis.
En 1935, ils eurent le bonheur de voir naître
leur première fille, Yvette. Deux autres enfants virent le jour dans leur foyer, Liliane en 1938 (qui décédera malheureusement six mois plus tard) et Yvan, en 1940.
De joies en peines, Olga Loperetti avança dans sa vie, rythmée par le travail. A
seulement 45 ans, elle eut la douleur de
perdre son époux, et travailla dur dans
son café, pour élever ses enfants. Dans
«sa» Croix Blanche, qu’elle exploita durant plus de 40 ans, avant de la remettre
à son fils Yvan. Grande travailleuse, mais
femme attachante et énergique, elle était
renommée pour sa gentillesse. Olga
Loperetti considérait en effet ses clients
comme ses amis. Le restaurant était toute sa vie et elle y mettait toute son énergie. Elle eut d’ailleurs la joie de recevoir,
en 1960, le Diplôme d’honneur des
cafetiers restaurateurs.
Olga Loperetti vivait toujours dans le bâtiment de la Croix Blanche, avec son fils
et sa belle-fille, où elle entourait sa famille de toute son affection.
Que tous ceux que le départ de Olga
Loperetti laisse dans la peine trouvent ici
l’expression de notre sympathie.
De nature très organisée et ordrée, Roland Vionnet géra son domaine de main
de maître mais dans un esprit de grande
simplicité. Profondément attaché à sa ferme et à ses terrains, Roland était une personne très sédentaire qui trouvait son bonheur autour de chez lui avec son épouse Juliette dite «Juju». Homme à la fois
simple et sociable, il avait toujours le mot
pour rire et ne manquait pas une occasion d’engager la conversation avec les
gens qui se baladaient. Très sensible aux
animaux et plus particulièrement aux
vaches et aux moutons, Roland Vionnet
se passionnait également pour les cloches.
Comblé par l’arrivée de ses petits-enfants
Alex (né le 7 février 1999) et Natalia (née
le 18 avril 2002), Roland Vionnet géra sa
ferme jusqu’en 2003 avant de céder le
flambeau à son fils Marcel. Ayant toujours
été très attaché à son domaine et à ses
terrains, Roland continua de garder un
œil attentif sur ce qui s’y passait, ne manquant pas de donner un coup de main
lorsque cela s’avérait nécessaire. Toute
sa famille ainsi que ses amis lui souhaitent un bon voyage pour les champs du
ciel.
Mess.
Mess.
Pompes funèbres
BONGARD
Rte de Montimbert 70
1618 CHÂTEL-ST-DENIS
Tél. 021 948 72 26
Permanence 24 heures sur 24
En souvenir de
Monsieur
Henri Genoud
Son épouse:
Misday Savoy-Aviles Mejias, à Camaguey/Cuba,
et sa fille Vismary.
Chez moi? Je n’y suis pas souvent.
Lorsque le téléphone sonne, je sursaute et me demande toujours qui
cherche à m’atteindre à la maison.
Quelle idée! En fait, c’est facile,
c’est soit ma mère, soit une étude
statistiques. Mon profil doit les inspirer, je passe chaque fois à la casserole. Plus surprenant que la sonnerie du téléphone, mon horrible
sonnette à laquelle je réponds fidèlement par un cri d’effroi. L’autre
soir d’ailleurs, j’ai bien failli faire
une attaque. Reprenant mes esprits
et dans un élan d’une réjouissante
curiosité, j’ai plongé sur l’œil de
bœuf. Pas un ami, ni un amant mais
une petite Coréenne en vente de
culpabilité. J’ai entrouvert ma porte. Je n’ai rien compris à ce qu’elle
m’a dit. En revanche, elle a réussi à
me rendre coupable pour une raison que j’ignore encore. J’aurais dû
lui crier très fort que je venais de
payer mes impôts. Histoire de lui en
foutre aussi gros sur la patate. C’est
pas vrai, non!
Dialoguez avec [email protected]
Mess.
1995 - Décembre - 2005
†
Ça sonne
ATTALENS
† Guy Savoy
Un dernier hommage sera rendu
à Guy Savoy le samedi 2 décembre
à 10 h en l’Eglise
d’Attalens. Guy est
né le 27 septembre 1946. Fils
d’Antoine, boucher d’Attalens et
d’Irma née Perroud, Guy était le
deuxième d’une famille de trois
enfants. Il fit toute sa scolarité à
Attalens, puis un apprentissage de boucher à Vevey, avant de commencer à
travailler avec son père à la boucherie
familiale du quartier de Corcelles. D’un
premier mariage avec Elisabeth, il eut
deux fils, Patrick en 1968 et Christophe
en 1972. La famille s’était enrichie
depuis, puisqu’il avait aussi quatre
petits-enfants, Yasmina, Julien, Julie et
Arnaud.
Guy reprit les rênes de l’entreprise
familiale au début des années 80. Il
était passionné par son travail et y
consacrait tout son temps. Son jambon
de campagne, sa saucisse au choux ou
ses pâtés étaient connus et appréciés
très loin à la ronde. Son temps libre, il
le consacrait à son amour pour les chevaux et la campagne, qu’il partageait
avec sa deuxième épouse Dominique.
Ainsi, on pouvait souvent le voir au
volant de son tracteur, aux alentours de
sa ferme de Vuarat, faire les foins ou
faucher de l’herbe.
En 1995, il remit la boucherie à Beat
Yerly, mais continua encore longtemps
d’y travailler pour donner des coups de
main ou faire les livraisons. C’est à la
même époque qu’il commença à voyager et, quelques années plus tard, il fit
la connaissance de sa dernière épouse,
Misday, sur l’île de Cuba.
En 2002, il apprit qu’il était atteint
d’une leucémie chronique. Il décida
alors de passer plus de temps à Cuba
où il y effectuait de longs séjours
auprès de sa femme. Il adorait jouer
aux dominos et boire un bon verre de
rhum avec ses amis cubains. Le climat
et la douceur de vivre de cette île lui
faisaient un peu oublier sa maladie.
C’est là-bas, à Camaguey, qu’une grave
et subite pneumonie l’emporta le 24
novembre 2005, entouré de sa femme
et de ses amis.
Mess.
LA DIRECTION ET LE PERSONNEL
DE LA BOUCHERIE SAVOY SA,
À ATTALENS
ont le profond regret de faire part du
décès de
Monsieur
Guy Savoy
ancien patron, collègue et ami
130-177601
1995 - 2005
Dix ans déjà, le souvenir reste.
«Aller toujours de l’avant et ne pas s’arrêter;
persévérer courageusement;
les épreuves sont là pour nous grandir.»
En souvenir de
Sa maman:
Irma Savoy-Perroud, à Châtel-St-Denis.
Irma Perroud
Ses enfants et petits-enfants:
Patrick et Natacha Savoy-Piccand, Yasmina et Julien, à Remaufens;
Christophe et Catherine Savoy-Vienne, Julie et Arnaud, à Granges/Vse.
une messe d’anniversaire
Sa sœur et son frère:
Jacqueline Savoy et son ami Peter Greder, à Mollens/VS;
Claudy et Hélène Savoy-Genoud, à Attalens.
sera célébrée en l’église d’Attalens, le dimanche 4 décembre 2005, à 10 heures.
130-177357
une messe d’anniversaire
Ses nièces:
Caroline et David Bovay-Savoy, et leurs enfants, aux Paccots;
Brigitte Savoy, à Attalens.
Ses oncles et tantes, ses cousins et cousines, les familles Savoy, Burri,
Gabriel et Anzévui,
sera célébrée en l’église de Progens, le
dimanche 4 décembre 2005, à 9 heures.
Ta famille
130-176770
ainsi que les familles parentes et amies,
ont le chagrin de faire part du décès de
Profondément touchée par les nombreux témoignages
de sympathie et d’amitié reçus lors du décès de sa chère maman et grand-maman, la famille de
Olga
Loperetti-Pilloud
Monsieur
Guy Savoy
enlevé subitement à l’affection des siens à Camaguey/Cuba, le jeudi 24
novembre 2005, à l’âge de 59 ans.
LA BOUCHERIE ÉMONET
À CHÂTEL-ST-DENIS
a le profond regret de faire part du
décès de
La messe du dernier adieu sera célébrée en l’église d’Attalens, le samedi 3
décembre 2005, à 10 heures.
Monsieur
Guy repose en la chapelle ardente du Châtelet, à Attalens.
En lieu et place de fleurs, vous pouvez penser à la fondation contre la leucémie du Dr Dubois-Ferrière, CCP 12-108-6.
Cet avis tient lieu de lettre de faire-part.
130-177481
remercie très sincèrement toutes les personnes qui ont
pris part à sa douloureuse épreuve.
Un merci particulier s’adresse à M. l’abbé Joye, à la doctoresse Mme Reiff, aux
sœurs de l’institut, ainsi qu’à M. et Mme Bongard, des pompes funèbres, et à leurs
collaborateurs.
Un grand merci aux dames du Réseau santé, qui, pendant des années, ont
entouré notre chère Olga.
Guy Savoy
ancien associé et ami
La messe de trentième
Pour les obsèques, prière de se référer à
l’avis de la famille.
sera célébrée en l’église de Châtel-St-Denis, le samedi 17 décembre 2005,
à 18 heures.
130-177450
130-177151

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