circuit 5

Balisage :
1à2
jaune,
2à5
blanc-rouge,
5à6
jaune
FORÊT DE NOTRE DAME À 20 KM
AU SUD-EST DE PARIS
A 500 m, emprunter à
droite l’allée Jacquette
puis, à gauche, le chemin
perdu qui rejoint le chemin de
la Louvetière. Le prendre à
gauche. A l’approche d’une
clairière, tourner à droite dans
le chemin de la Traverse.
Au Pavillon des Friches
de la forêt Notre-Dame,
franchir la passerelle sur
le fossé et entrer dans le
bois en face du parking.
Traverser la zone de piquenique, puis tourner à gauche
pour gagner l’allée Verte.
L’emprunter à gauche. Au
bout, tourner à droite (chemin
Jean de la Fontaine).
S’engager après sur la
gauche dans le chemin
en sous-bois (chemin des
Quatre Chênes). Prendre à
droite l’allée suivante (chemin
des Grands Clos). A l’intersection, à gauche chemin de la
Louvetière. Puis à droite pour
cheminer en sous-bois (chemin du Pavé). Traverser l’allée
Jacquette et poursuivre jusqu’au chemin de la Tille sur la
droite. Prendre à gauche le
chemin des Grands Clos. Au
bout du chemin, poursuivre
sur la droite, allée Verte.
Tourner à gauche
pour regagner
le Pavillon des
Friches.
V OI R
➜
CA VA
Au carrefour, tourner
encore à droite (chemin
du Serpent) pour rejoindre le
carrefour Royal. Emprunter à
droite la route Royale. Passer
devant le portail du château
des Marmousets (domaine des
Marmousets) tout près du
centre de modélisme.
En chemin :
LA QUEUE-EN-BRIE
Domaine
départemental
des Marmousets :
château XVIIIe et
e
XIX s, glacière,
sentier pédagogique.
LA QUEUE-EN-BRIE
Le domaine
départemental
des Marmousets (15 ha)
Chemin des Marmousets.
Tél. : 01 43 99 82 80.
Cet ancien rendezvous de chasse se
➜
compose aujourd’hui
de 4 parties distinctes :
la partie intra-muros,
cernée de douves,
où l’on découvre
le château, ses dépendances, un jardin à la
française architecturé
par des alignements
de marronniers et les
vestiges d’un bassin.
L’esplanade ou demilune traditionnellement située face
aux bâtiments, offre
le recul nécessaire
pour contempler
l’architecture de la
bâtisse ou pour réunir
les équipages avant
la chasse.
On y remarque une
glacière*.
le parc extra-muros,
animé de mares,
d’équipements de
jeux. Il abrite
un jardin de plantes
aquatiques :
25 espèces différentes
(soit environ 4 000
plantes) peuvent être
observées depuis un
ponton.
Centre
départemental
de modélisme.
A proximité :
LA QUEUE-EN-BRIE
Centre
départemental
de modélisme
des Marmousets.
BOISSY-SAINT-LÉGER
Château
de Grosbois
(XVIe et XVIIe s).
Av. du Maréchal de
Lattre de Tassigny.
Tél. : 01 45 10 24 24.
Ouverture les dimanche
et jours fériés : 14h-17h
pour les individuels,
uniquement en visites
guidées. Fermeture
annuelle du 1/12 au 15/3.
SANTENY
Ferme des Lyons
XVIIe-XIXe s.
Route de Lésigny.
Ferme seigneuriale
avec colombier
du XVIIe s (privé).
Château de
Santeny (1868)
(ne se visite pas).
Petit château du
Rollet (XVIIIe s).
2 route de Marolles
(ne se visite pas).
Lavoir (1881)
Rue de la Fontaine.
5
E
T L D
U
UR
TO
E
➜ Départ :
parking du
Pavillon des
Friches en forêt
Notre-Dame
➜ Arrivée :
parking du
Pavillon des
Friches en forêt
Notre-Dame
Niveau :
facile
Durée :
2 h 20
Longueur :
7 km
CIRCUIT
DES FRICHES
A
Forêt
Notre-Dame
Extrait de carte 1/25 000 © IGN Paris 2002
Accès :
Voiture : RN 4 depuis Paris jusqu’à Pontault-Combault.
Au rond-point du Pavé de Pontault, prendre la route des Friches
(petit chemin qui longe la forêt) et le suivre jusqu’au parking
du Pavillon des Friches.
Sentier pédagogique
créé par l’ONF et le
département du Valde-Marne.
*La Glacière
Le domaine des
Marmousets n’a été doté
d’une grotte glacière
qu’au XVIII e s, lorsque
la vogue de cette
“fabrique” intégrée
aux parcs a pris son
essor.
La glace y était gardée,
les sorbets confectionnés,
mais elle servait
également à entreposer,
pendant les chaleurs
de l’été, des provisions
alimentaires périssables,
fruits, gibier…
La glacière était installée
sous une butte de terre
couvertes d’arbres
destinés à apporter de
l’ombrage.
Un vestibule conduisait
à la cavité souterraine
où la glace était déposée
sur une cage en bois.
Un puisard permettait
l’évacuation des eaux
de fonte. Récupérées
par traîneau, la neige
et la glace des mares
et des douves étaient
entreposées en couches,
puis mises au contact
de vapeur d’eau
bouillante. Le processus
de “condensation”
se trouvait accéléré :
la vapeur, se transformant en solide,
comblait les espaces
de façon à former
une masse compacte.
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