SFERIS, filiale de la SNCF, envisage de recruter plus de 150

SFERIS, filiale de la SNCF, envisage de recruter plus de 150 personnes en 2017 !
SFERIS est une entreprise référente de sécurité ferroviaire qui se développe progressivement sur
tous les métiers de la Maintenance & Travaux au profit de l’ensemble du marché et notamment de
la SNCF. Cinq ans après sa création, l’entreprise poursuit son développement, ce qui la conduit
aujourd’hui à recruter plus de 80 annonceurs. Porteur d’avenir, ce métier offre de larges
perspectives d’évolution, dans une entreprise qui a à cœur de fidéliser et développer ses talents,
notamment via la mise en place d’un véritable parcours professionnel.
En 2012, "l’équipe projet" SFERIS comptait environ 20 salariés. Aujourd’hui, cette filiale de la SNCF
emploie plus de 730 employés. Depuis sa création, la croissance de l’entreprise est soutenue, son
chiffre d’affaires pour 2016 dépasse les 74 millions d’euros. Les chantiers sur lesquels les
collaborateurs SFERIS interviennent sont répartis sur toute la France. L’Ile-de-France reste de loin la
première source de chantiers.
Afin de consolider son activité et d’assurer son développement de manière pérenne, SFERIS
ambitionne de recruter 150 personnes, dont plus de la moitié pour le métier d’annonceur en Ile-deFrance. Pour Aurélie Schneider, Responsable Recrutement SFERIS : "Travailler au sein de SFERIS, c’est
intégrer une entreprise de taille humaine tout en bénéficiant d’un appui d’un grand groupe tel que la
SNCF. Nos équipes sont jeunes et très soudées, l’esprit de groupe y est très fort".
Annonceur, un métier valorisé et en pleine évolution au sein de SFERIS
Si SFERIS emploie aujourd’hui des opérateurs signalisation ferroviaire, poseurs de voie ou des
monteurs caténaires, elle s’est historiquement construite autour du métier d’annonceur. Les
missions principales de ce poste consistent à surveiller et annoncer l’approche des circulations
ferroviaires sur les zones de travaux et à assurer la sécurité du personnel travaillant sur les voies et
aux abords du chantier. "C’est un métier valorisant puisqu’il implique de donner une confiance
aveugle au salarié" explique Hassan Elloubane, ancien annonceur et actuellement chef de chantier.
"SFERIS donne toutes ses chances aux personnes motivées qui ont l’envie de progresser. La formation
interne n’est pas un vain mot puisque chaque année sont proposées des modules de formation à ses
collaborateurs pour que chacun puisse évoluer. L’entreprise écoute vos besoins et fait en sorte que
vous vous y sentiez bien."
Par ailleurs, le métier évolue afin de permettre aux annonceurs d’exercer d’autres missions de
sécurité ferroviaire telles que l’organisation du déplacement d’un Train de Travaux, la gestion des
lorrys automoteurs ou des flux aux passages à niveau, etc. "Nous recherchons des profils capables à
terme d’aller vers la "polycompétence", précise Aurélie Schneider.
L’exemplarité, une qualité indispensable
SFERIS se définit selon cinq valeurs : la sécurité, l’innovation, la réactivité, la cohésion, l’exemplarité.
"Dès les premiers entretiens d’embauche, nous cherchons à retrouver ces valeurs chez les personnes
que nous recevons car ils fondent la philosophie de notre entreprise".
Le recrutement d’un annonceur est particulièrement atypique : le futur candidat doit passer un
entretien du type "assessment center". Si le résultat s’avère positif, le postulant doit ensuite
obligatoirement et avant son embauche passer des examens d’aptitude physique et psychologique
en vue d’être habilité à l’exercice de son futur métier.
Si elles paraissent quelque peu contraignantes, ces mesures n’en sont pas moins impératives pour
assurer la sécurité de tous une fois sur le terrain. "Aujourd’hui nous sommes amenés à opérer sur des
chantiers de plus de 100 personnes. Ainsi, même si le métier d’annonceur peut être accessible sans
diplôme, il requiert une extrême rigueur. En effet, responsables de la vie des gens, nos collaborateurs
doivent avoir comme qualités premières la maîtrise de soi et le sérieux, c’est indispensable" ajoute
Hassan Elloubane.
le 13/01/2017 par Juliette Pignol