Chronique sur l`éthique et la culture scolaire

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Chronique sur l`éthique et la culture scolaire
Chronique sur l’éthique
et la culture scolaire
La crise de l’autorité
Denis JEFFREY
CRIFPE-Laval
C
ertains philosophes, tel Alain
Renaut, proclament haut et
fort que l’autorité est non seulement en crise, mais qu’il est
temps que les liens d’autorité entre maîtres et élèves
soient abolis. Est-ce réaliste d’envisager une école sans
autorité? Nous allons discuter de l’autorité dans le
giron du dernier livre d’Alain Renaut, La fin de l’autorité, paru chez Flammarion en 2004. Dans un premier temps, nous présenterons les grandes lignes de
ce livre avant de poursuivre, dans un second temps,
avec quelques commentaires.
Alain Renaut est un philosophe français connu pour
ses ouvrages sur la philosophie politique et la philosophie du droit. Il a, en 1988, attiré l’attention d’un
large public avec la publication de La pensée 68. Essai
sur l’anti-humanisme contemporain. L’an dernier, dans
Une autorité sans autorité ni sanction?, écrit avec A.
Jacquard et P. Manent, il proposait de vivre de façon
moins aveugle la crise de l’autorité qui est intrinsèque au choix irréversible des valeurs de la vie moderne. Alain Renaut poursuit ici sa réflexion sur la
déliquescence des liens d’autorité dans les institutions
familiale et scolaire.
D’entrée de jeu, il campe son propos sur une question qui lui sert de prétexte pour analyser les nombreuses difficultés soulevées aujourd’hui par l’éducation : « entre l’enfant maltraité et l’enfant sacralisé,
comment nous forger de l’enfant contemporain
une représentation qui lui épargnerait désormais aussi
bien les aberrations du passé que certains excès du
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présent? » (p. 7). Il lui semble évident que plus rien
ne demeure aujourd’hui de ce qui régulait chez les
adultes leurs responsabilités à l’endroit des enfants.
Les liens traditionnels d’autorité ont été complètement bouleversés et n’ont pas été remplacés par des
liens d’autorité qui sont aux yeux de tous pleinement
satisfaisants. Évidemment, pour Renaut, il ne s’agit
de renouer avec un type d’autorité traditionnel ni
par ailleurs de croire que les enfants puissent se passer de tuteurs. Il croit plutôt profitable d’interroger
la logique qui a conduit à l’effritement de l’autorité
d’autrefois.
Renaut rappelle que les Modernes sont maintenant
convaincus que tous les êtres humains naissent et demeurent libres et égaux en droit. Malgré leur immaturité et leur dépendance, on considère que les enfants sont protégés par les mêmes droits que les adultes. On ne peut poursuivre une réflexion sur la question de l’autorité à l’endroit des enfants sans tenir
compte de cet acquis de civilisation. Dans la logique
de la modernité, les valeurs de dignité, d’égalité et de
liberté concernent tous les êtres humains considérés
comme semblables, nonobstant leur différence d’âge,
de couleur, de sexe, de culture, etc.
Le problème de l’autorité dans le cadre scolaire attire
largement l’attention. Nombre d’enseignants ne savent plus s’ils doivent revenir à une autorité traditionnelle, relever le défi de créer des nouvelles formes d’autorité dans la classe ou encore renouveler
leurs manières d’exercer leurs responsabilités avec les
élèves. Cette préoccupation n’est certes pas récente.
Les nouvelles théories éducatives ont fortement combattu une position autoritariste jugée coercitive, répressive et antipédagogique. Il semblait même, pour
les tenants de l’école nouvelle, que l’autorité ne soit
plus un problème si on comprend la psychologie de
l’enfant. L’éducation traditionnelle, fondée sur un
rapport de forces où l’élève se retrouve dans une position passive d’obéissance, devait laisser la place à
des liens pédagogiques, entendus comme liens démocratiques. En ce sens, le lien pédagogique devient un
défi permanent pour résoudre les problèmes de discipline et, par conséquent, d’autorité.
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Or, le lien pédagogique ne peut tout régler. À cet
égard, Alain Renaut prend l’exemple d’Albert Jacquard qui s’inscrit dans la perspective pédagogique.
On se souvient que Renaut a récemment publié un
livre portant sur le thème de l’autorité avec Jacquard.
Ce dernier entend montrer que l’école n’a qu’une
visée, « apprendre à chaque enfant à rencontrer les
autres pour se construire lui-même » (p. 15). Le remède aux liens d’autorité consiste donc pour Jacquard
à « vivre avec une classe ». Cette position est impossible pour Renaut, car elle fait appel à un talent personnel ou à une sorte de charisme dont devrait être pourvu
tout bon éducateur. Cela implique que l’enseignant,
grâce à son charisme, puisse retourner à son avantage
toutes les situations pédagogiques. Par conséquent,
on pourrait penser qu’un enseignant qui tient mal sa
classe aurait moins de talent, ou moins de charisme,
qu’un autre qui tient bien sa classe. L’imputation de
la difficulté à tenir une classe découlerait d’un manque de talent charismatique. Nombre d’enseignants
ont ce charisme pour tenir leur classe, mais nombre
d’entre eux n’en ont pas.
Cette façon d’envisager le problème, qui n’est pas si
loin de la pensée magique, pourrait induire une culpabilité chez les enseignants qui n’ont pas le talent
charismatique. Des enseignants pourraient avoir le
sentiment de vivre un échec parce qu’ils n’auraient
pas de charisme. Le charisme, on le sait bien, n’est
pas une attitude que l’on apprend durant la formation universitaire. Par ailleurs, on ne peut demander
à tous les enseignants d’être en mesure d’utiliser un
talent charismatique pour tenir leur classe. La position de Jacquard, à cet égard, mène à un cul-de-sac,
sinon à une nouvelle forme de domination. Dans l’histoire récente, des politiciens tyranniques ont usé de
leur talent charismatique pour se faire aimer et obéir.
Pour Renaut, il faut bien comprendre les soubassements de la dimension de l’autorité dans les rapports
humains pour être en mesure de voir comment elle
se conjugue avec la démocratie. Renaut propose de
considérer les liens entre maîtres et élèves sans recourir à la force de l’autorité. Il faut même entrevoir,
écrit-il, « de renouveler toutes les relations d’autorité
en faisant apparaître qu’aucun pouvoir ne se peut légitimement exercer, désormais, sans se soucier d’obtenir, d’une manière ou d’une autre, l’adhésion de
ceux sur qui il s’exerce » (p. 19). Partant, quelle forme
d’autorité peut-on envisager, en démocratie, dans le
rapport aux enfants? Si on évite la tentation nostalgique d’un retour de l’autorité traditionnelle et le remède du talent charismatique, devrait-on se tourner
vers une forme légale ou contractuelle de l’autorité
où la relation hiérarchique « entre celui qui exerce
un pouvoir et ceux sur qui ce pouvoir s’exerce est
librement consentie à travers la reconnaissance partagée d’une loi commune » (p. 25)? Cette position
appartient pleinement à la modernité qui fait la promotion des formes contractuelles ou légales de pouvoir. Mais est-il approprié d’importer les formes contractuelles ou légales dans l’école? Les liens entre tuteurs et enfants doivent-ils être contractuels, c'est-àdire dépendre essentiellement du droit?
Pour répondre à ces questions, Alain Renaut entreprend de fouiller les fondements philosophiques qui
ont mené à la démocratie de droit dans les sociétés
modernes. Une large partie de son livre, les sections I
et II, s’intéresse à cette archéologie de la pensée politique des Modernes. D’après ce qu’on y lit, ce qui
institue le pouvoir en démocratie n’a pas une source
transcendante – tel un dieu ou un ensemble de vérités révélées – mais a une source immanente à l’humanité elle-même. Toutefois, le pouvoir du peuple ne
peut être absolu, sinon l’acte de gouverner serait continuellement fragilisé par les mouvements populaires et par l’incapacité du gouvernement à incarner la
volonté populaire. Les dérives du processus de modernisation du pouvoir sont considérables, pensons
notamment à la technobureaucratisation (le règne des
experts), au culte des leaders ou encore au désintérêt
de la vie politique d’une part de plus en plus grande
de la population. Les discussions philosophiques au
cours du dernier siècle ont pourtant permis de mieux
comprendre l’autorité d’un gouvernement de droit.
On ne peut ici reprendre dans le détail la réflexion
du philosophe, mais uniquement présenter ses conclusions : « nous vivons la fin de l’autorité, que cette
fin de l’autorité nous confronte moins à une catastrophe qu’à des interrogations inédites sur les pratiques de pouvoir et que ces interrogations nouvelles
ont pour horizon l’avenir de la démocratie, à la fois
comme régime et comme culture » (p. 88). De plus,
Renaut fait l’hypothèse que « c’est uniquement par
un surcroît de modernité que nous sauverons la vie
politique et ce qui nous attache à elle, c'est-à-dire les
valeurs de la démocratie » (p. 122). Il propose, à l’instar de plusieurs auteurs contemporains, d’instaurer
une authentique raison publique sous la forme de la
mise en place d’une sorte de continuum délibératif
traversant l’ensemble du champ social. Puisque le
débat constitue l’une des principales conditions
de la démocratie, il lance le projet de « développer
systématiquement un tel espace public de discussion
et de délibération avec de réelles procédures participatives qui conditionneraient de façon ultime la validité de tout jugement prétendant avoir une portée
politique et énonçant ce qu’il faut faire, dans tel ou
tel domaine de la vie de la cité, pour nous rapprocher
d’objectifs partagés » (p. 123). Il s’agit donc, pour
Renaut, de jouer le jeu de la démocratie jusqu’au bout.
Le peuple, sinon chacun des citoyens, deviendrait
ainsi un tiers participant, à la fois responsable et engagé, des décisions politiques. L’hypothèse de Renaut
se prolonge dans un plan pour associer chacun, selon
son niveau et les phases de sa vie, à de tels espaces de
discussions et de décisions. Le fait même de participer au débat public aurait un effet éducatif (p. 128).
Le principe de rendre publics les choix portant sur
les affaires communes et de faire connaître les arguments qui les ont dictés est un acquis de l’histoire des
sociétés démocratiques et modernes (p. 129).
Pour Renaut, le fonctionnement démocratique serait
dorénavant inscrit, du moins partiellement, dans les
mœurs léguées par la modernité. Exprimé sous la
forme du slogan, cela donne à peu près ceci : « nous
sommes tous démocrates parce que nous sommes
modernes, et parce que nous sommes démocrates,
nous désirons tous participer au débat public sous un
mode délibératif engagé et responsable ». Faut-il encore le rappeler, l’auteur n'est pas sociologue, mais
philosophe. Cheminons tout de même avec lui jusqu’au bout de son argument.
Si la tradition démocratique en modernité continue
à se développer, ce serait même l’institution de l’autorité des hommes et des femmes politiques qui en serait radicalement modifiée, et qui pourrait même être
remplacée par une légitimation beaucoup plus aiguë
des arguments qui soutiennent les décisions politiques. En revanche, Renaut est bien conscient des difficultés concrètes qui émanent de ce type d’organisaFormation et Profession
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tion du pouvoir. Entre autres difficultés, il entrevoit
le refus d’individus qui n’ont pas reçu en héritage les
valeurs de la modernité, ou le refus de ceux et celles
qui ne croient plus au progrès politique de la modernité. Faudra-t-il forcer tous les êtres humains à être
libres et démocrates?
La question du lien hiérarchique entre les adultes et
les enfants n’est pas résolue pour autant. Par contre,
l’éducation devient obligatoire pour atteindre l’idéal
de la participation de tous à la vie démocratique. Cela
implique un pouvoir qui exerce une influence forte
auprès de tous les jeunes qui ont le devoir de fréquenter l’école. Mais comment s’exerce ce pouvoir dans
une classe composée d’élèves qui bien souvent résistent aux apprentissages? Est-ce que l’école est véritablement un espace démocratique ou un espace
« intermédiaire » où les élèves apprennent le jeu de la
démocratie? Le destin des liens entre le maître et les
élèves, ou entre les parents et leurs enfants, sera-t-il
d’ordre contractuel? Selon Renaut, la famille et l’école
demeurent les deux espaces les moins touchés par la
modernisation des mœurs. C'est pourquoi le problème de l’autorité y semble plus complexe.
Les sections III et IV du livre d’Alain Renaut abordent de plein fouet la question de l’autorité à l’école.
Dans le cadre scolaire comme dans celui de la famille,
« comment conserver ou redonner de la consistance
à des pouvoirs qui doivent s’exercer aujourd’hui, de
plus en plus, d’égal à égal, entre des êtres humains
proclamés comme libres et égaux en droit? » (p. 139).
Est-ce que la reconnaissance de droits aux enfants efface les différences entre le maître et les élèves ? Alexis
de Tocqueville et Hanna Arendt s’étaient déjà posé
ces questions. Pour cette dernière, la perte de l’autorité aboutit à une crise de l’éducation. Elle suggère
que la situation des enfants s’est dégradée. Renaut
accepte bien que l’éducation soit en crise, mais, pour
lui, ce n’est pas un constat négatif. Il n’y a pas eu
dégradation de l’éducation. Bien au contraire, la
reconnaissance de droits aux enfants les fait passer à
un statut de sujets, c'est-à-dire d’individus capables
d’être les auteurs de leurs idées et de leurs actes. Il
faut entendre qu’une sphère de liberté ou d’autonomie leur reviendrait.
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Dans la culture démocratique, l’enfant est notre semblable et notre égal, mais jusqu’où l’enfant est notre
égal, et dans quelle mesure il ne l’est pas? (p. 150).
Dans quelle mesure les parents doivent-ils associer
leurs enfants – ou les maîtres leurs élèves – aux décisions qui les concernent? Bien sûr en fonction de leur
âge, de leur maturité, de leur connaissance de la situation, mais que vaut leur parole?
Pour Renaut, dans la société moderne, nous avons le
devoir de structurer toutes les relations de coexistence
entre les êtres humains sur les valeurs de liberté et
d’égalité fixées dans le droit (p. 153). Ce qui d’emblée
abolit le recours à l’autorité définie comme une position de supériorité des uns par rapport aux autres.
Renaut n’ose pas présenter ce que serait une école
sans liens d’autorité entre maîtres et élèves, mais il
pense que cela vaut la peine de tenter l’expérience de
la démocratie dans l’école (p. 172). Or, il reconnaît
l’impossibilité d’évacuer toute autorité, notamment
l’autorité des savoirs établis, comme les règles de grammaire et les tables de multiplication. De plus, fondant toujours son argument sur la logique du droit,
il prévient que les droits-libertés de la charte doivent
être équilibrés par des droits-protections spécifiquement pour les enfants. Si les enfants n’avaient que
des droits-libertés, aucun adulte ne pourrait acquitter ses obligations envers les enfants. Si les enfants
jouissaient uniquement de droits-protections, on ne
serait pas tenté de leur donner des expériences de liberté à vivre. L’avenir est pour Renaut dans l’articulation de ces deux types de droit.
Que penser du livre de Renaut? Tout d’abord, qu’y
sont posées des questions très pertinentes sur la place
de l’autorité dans la société moderne. Toutefois, il
aurait été enviable que Renaut creuse davantage le
sens du mot « autorité » au lieu de le réduire à un
pouvoir mystérieux et indiscutable. Cela aurait eu
l’avantage de montrer le fonctionnement de plusieurs
figures d’autorité dans la société moderne. Je pense
entre autres au policier, au juge dans un tribunal, à
l’arbitre sportif, au savant, au gardien de prison, etc.
Son propos, fondé sur l’évolution des normes de droit,
apporte très peu de compréhension sur la crise de
l’autorité dans l’école et dans la famille. Il est d’ailleurs
étonnant de constater qu’un philosophe qui plaide
pour la délibération publique n’ait pas lu les travaux
publiés en sciences de l’éducation sur la question de
l’autorité. Il me semble que la première obligation
pour participer à un débat public consiste à bien
maîtriser son dossier. Sinon, il y a danger d’errance.
À moins qu’un individu, et il semble que ce soit le
cas de Renaut, ne désire pas participer au débat, mais
uniquement défendre sa propre position. À cet égard,
Renaut tombe dans le piège le plus trivial de la vie
démocratique : ne pas considérer la parole de l’autre.
En outre, sa réflexion est orpheline de connaissances
sociologiques sur l’autorité. Sa méconnaissance du terrain, autant familial que scolaire, le conduit à proposer des idéaux sans entrevoir leurs contraintes. Je disais plus haut que Renaut est un philosophe, mais ce
n'est pas parce qu’on est philosophe qu’on doit éviter de lire les travaux en sciences humaines et sociales. S’il était mieux informé des travaux dans ces domaines, surtout ceux qui touchent l’éducation, il
aurait posé les mêmes questions, mais sa démarche
de compréhension en aurait été enrichie.
Pourquoi de nombreux chercheurs considèrent-ils
que les enfants ne peuvent être responsables de tous
leurs actes? Comment une personne en position
d’autorité doit-elle agir avec un enfant agressif ? Estce que la personne qui tient un rôle d’autorité est
nécessairement un tyran? J’aurais bien aimé que Renaut aborde son thème à partir de situations réelles.
Il aurait pu inscrire son propos dans une autre logique, celle du maître qui ne refuse ni les traditions, ni
la modernité, mais qui sait que les enfants sont incapables d’assumer concrètement un certain nombre
de responsabilités pour eux et pour le bien public.
C’est pourquoi un adulte doit être responsable pour
eux. De plus, le maître n’est pas tant dans une position de supériorité devant les élèves – comme le suggère Renaut – mais bien dans une position de responsabilités. Son pouvoir, en fait, implique cette dimension de responsabilités sur des élèves ne pouvant toutes les assumer.
À cet égard, les droits accordés aux enfants diffèrent
des droits accordés aux adultes du fait, d’une part, de
l’exigence de protection et d’éducation des enfants,
et, d’autre part, de leur incapacité d’assumer pleinement la responsabilité de leurs actes. Les limitations
juridiques imposées aux enfants ne contredisent cependant pas leur valeur et leur dignité. En termes
juridiques, les enfants sont égaux en dignité même si
leur liberté est limitée. Reconnaître des droits à des
enfants, les mêmes droits qui sont accordés aux adultes (par la Convention de 1989) ne suffit pas pour les
protéger ni pour les rendre responsables. On peut
avoir l’impression qu’on a pris à la légère les obligations qui viennent avec les libertés qu’on leur accorde.
Viennent de paraître aux Presses de l’Université
Laval, dans la collection « Éducation et culture »,
l’ouvrage de M’hammed Mellouki et Clermont
Gauthier, Éducation et culture. Les enseignants,
les jeunes et les musées : regards croisés,
l’ouvrage de M’hammed Mellouki, La rencontre.
Essai sur la communication et l’éducation en milieu interculturel ainsi que l’ouvrage de Denis
Simard, Éducation et herméneutique. Contribution à une pédagogie de la culture. La collection
« Éducation et culture » est dirigée par M’hammed
Mellouki, Denis Simard et Clermont Gauthier.
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