4 Le Mystère de la Chambre Jaune de Gaston Leroux Nom : Classe

Transcription

4 Le Mystère de la Chambre Jaune de Gaston Leroux Nom : Classe
Annexe 4
Le Mystère de la
Chambre Jaune
Nom :_________________________
de Gaston Leroux
Classe : _______________________
Folio Junior Ed. spéciale
ITINERAIRE RAPIDE
Afin de suivre ta progression dans ta lecture, tu peux cocher () dans la dernière colonne
du tableau ci-dessous les chapitres que tu as déjà lus (intégralement ou résumés).
Chapitres
Pages
p. 9
à
p. 41
Passages à lire ou résumés
4
p. 41
à
p. 48
Le château du Glandier est un vieux
château isolé, sujet à de nombreuses
histoires
fantastiques.
Il
était
autrefois envahi par la nature, selon
la volonté des Stangerson qui l’ont
acheté une quinzaine d’années avant le
drame. M. Stangerson, scientifique
très célèbre mais aussi très contesté
dans le monde des savants, souhaitait,
avec sa fille, vivre dans un lieu
paisible afin de poursuivre ses
recherches. Mlle Stangerson, qui
collaborait avec son père, avait alors
20 ans et attirait bon nombre de
soupirants qui se lassèrent tous de
son extrême froideur. Seul un homme,
Robert Darzac, persista. Or quelques
semaines avant le drame, Darzaca
enfin obentu la main de Mlle
Stangerson.
5à8
p. 48
à
p. 88
1à3
A LIRE INTEGRALEMENT
A LIRE INTEGRALEMENT
4
9
p. 89
à
p. 95 (« …cria de sa place
Frédéric Larsan »)
9 (fin) et 10
p. 95
à
p. 101 (« … il va falloir manger
du saignant. »)
p. 101 (« J’avoue que je ne
comprenais rien… »)
à
p. 106 (« …ce défaut moral : la
jalousie »)
10 (suite)
10 (fin)
p. 106 (« Claquant la
porte… »)
à
p. 109
Rouletabille emmène Sinclair et
Darzac près du pavillon du château
Après une série de déductions, le
reporter leur montre un buisson où
l’assassin a dû se cacher. Il explique
que l’homme a quitté ce buisson, a fait
quelques pas sur le chemin de gravier,
puis s’est faufilé à l’intérieur du
pavillon par la fenêtre, vers 17
heures, durant la promenade des
Stangerson. Puis tous trois se
rendent vers l’étang où rôde depuis de
longues heures Frédéric Larsan, et où
se trouvent des traces d’une
bicyclette, ainsi que celles qu’ont
laissées deux types de chaussures :
certaines sont élégantes, d’autres
grossières. Pourtant selon Rouletabille, il s’agit d’un seul et même
homme.
A LIRE INTEGRALEMENT
Sinclair ne comprend pas cette
dernière phrase. Pourtant la réaction
de l’aubergiste, M. Mathieu, est
immédiate : il accepte de préparer un
encas pour les deux héros. Soudain,
« l’homme vert » entre. Il s’agit du
garde-chasse de M. Stangerson,
entièrement vêtu de vert. Or
l’individu est peu apprécié par les
habitants de la région. Il a la
réputation d’approcher un peu trop
certaines femmes mariées. Quelques
instants plus tard, c’est le tour de
Mme Agenoux et de son énorme chat
d’entrer dans l’auberge.
A LIRE INTERGRALEMENT
5
11
p. 109
à
p. 117 («Les concierges
pourraient peut-être nous
renseigner là-dessus… »)
11 (fin) à 16
p.117 (« Le chef de la
Sûreté… »)
à
p. 181
17
p. 181
à
p. 188 (« Et à moi aussi, dit
Frédéric Larsan. »)
17 (fin)
p. 188
à
p. 190
p, 191
à
p. 194
18
Sinclair rapporte ici le texte que le
greffier a écrit lors de la reconstitution de la scène du crime : M. de
Marquet, le juge d’instruction, fait
venir le greffier, M Dax (le chef de la
Sûreté), M. Stangerson et M. Darzac
dans le pavillon, après avoir sondé en
vain tous les murs de la chambre
jaune. Bien maladroitement, Marquet
essaie de trouver une solution. Il est
persuadé que les concierges sont les
complices de l’assassin. Pourtant M.
Stangerson ne croit absolument pas à
leur complicité, même s’il lui paraît
surprenant qu’ils fussent dehors à
cette heure si tardive.
A LIRE INTEGRALEMENT
Soudain, Mathilde sort du boudoir.
Elle est choquée par le récit qui lui
est fait ; pourtant Rouletabille remarque que la lettre écrite par le criminel
a disparu ; Mathilde doit donc nécessairement connaître le nom de son
assassin, son visage et le moyen dont
il s’est échappé de la chambre jaune.
Pourquoi se tait-elle donc ?
A LIRE INTEGRALEMENT
Ce chapitre est un extrait du journal
de Rouletabille qui, le lendemain de
cette étrange nuit, décide d’aller
observer les traces laissées par
l’assassin, tout en sachant qu’elles
seront difficiles à interpréter : il
souhaite élucider le mystère (y
compris l’étrange disparition de la
veille) grâce à des preuves concrètes.
Or, une fois dans la galerie, il
comprend la vérité, mais ne peut y
croire.
6
19
20
21 à 23
p. 194
à
p. 204 (« …avec des
revolvers »)
p.
à
p.
p.
à
p.
Selon Sinclair, à nouveau narrateur de
l’histoire, M. Arthur Rance, qu’a connu
Rouletabille lors du dîner à l’Elysée,
est arrivé au château. C’est en fait un
ami des Stangerson qui vient de
temps à autres au Glandier.
Par ailleurs, Rouletabille explique à
Sinclair que les concierges Bernier
n’étaient pas couchés lors de
l’attentat, car ils braconnaient dans le
parc du Glandier. De peur d’être
renvoyés par M. Stangerson, ils ont
préféré ne rien dire dans un premier
temps. Mais Rouletabille comprit très
vite la solution à cette énigme grâce à
la phrase que le père Jacques avait
prononcée: « Maintenant, il va falloir
manger du saignant. » et qui signifie :
« Plus de concierges (car ils étaient
arrêtés), plus de gibier ! ».
Rouletabille et Sinclair vont manger à
l’auberge du Donjon.
204 (« -Oui, dit-il,… »)
A LIRE INTEGRALEMENT
210
210
215
p. 215
à
p. 238
Arthur Rance reconnaît Rouletabille
Pour ce dernier, Rance n’a absolument
rien à voir dans l’affaire. Puis, Sinclair
et le reporter rentrent au château et
préparent la surveillance de la
chambre de Mathilde. Sous les ordres
de Rouletabille, Sinclair s’installerait
dans un réduit d’où il pourrait
observer toute la galerie droite,
pendant que son ami surveillerait la
galerie tournante. Mais en passant
devant la porte entrouverte de la
chambre de Mlle Stangerson, les deux
compères remarquent qu’elle verse le
contenu d’une fiole dans le verre de
son père.
A LIRE INTEGRALEMENT
7
24
p. 239
à
p. 244 (« Nous en étions
là… »)
24 (fin) à 29
p. 244
à
p. 313
Darzac revient au Glandier et apprend
la triste nouvelle : Mlle Stangerson
est entre la vie et la mort. Après
Darzac, c’est au tour de M. de
Marquet d’arriver au château pour
mener l’enquête : il sait que le père
Bernier a tiré sur l’assassin de
Mathilde qu’il croit être le garde. Or
ce dernier a été tué d’un coup de
couteau. Selon Marquet, le cadavre du
garde n’a donc rien à faire avec
l’affaire de Mlle Stangerson et il
suppose que le coupable de ce nouveau
crime est le Père Mathieu, jaloux de
l’attention que le garde portait à sa
femme. Mais il ne peut expliquer la
disparition de l’assassin de Mlle
Stangerson.
A LIRE INTEGRALEMENT
8