chez le coiffeur - stereofiction: label of concorde music club

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chez le coiffeur - stereofiction: label of concorde music club
BOUTIQUE CHIC
CHEZ LE COIFFEUR
SF001LP – DISPONIBLE EN EP 12’’
http://www.boutique–chic.com
+33 (0)1 47 24 30 73
[email protected]
File under
Rare groove / Disco / Broken-beat
Boutique Chic: Chez le coiffeur sort sur le nouveau label parisien Stereofiction créé en 2004 par Thomas Deligny. En 2002
sous le nom de Concorde Music Club, il publiait deux albums très remarqués : Stereo-fictions en 2002 et Alternative-fictions
en 2003, proposant une musique cinématique élégante matinée de pop et d’électronique. On a pu le croiser depuis, aux
platines de la Mezzanine de l’Alcazar et de la Favéla Chic ou encore au Festival de Cinéma de Berlin ainsi que dans de petits
clubs parisiens underground. Stakhanoviste de la production, il a également réalisé le dernier album de Bill Pritchard (AZ) et
celui de Discover (XIII Bis), de nombreux remixes (Pinker Tones, Ariel Wizman, Gamine, Polnareff, Enrico Macias…) et de la
musique à l’image (courts-métrages, théâtre, pubs…).
Boutique Chic: Chez le coiffeur inaugure donc une nouvelle collection thématique à l’accroche ravageuse : « Danser en
souriant ». Ce premier opus est composé de 4 titres à l’influence clairement capillaire. Cette collection s’agrandira dans les mois
à venir, avec les volumes suivants aux titres délicieusement évocateurs: Lingerie fine & Belle dentelle, Chhhut…maison close,
Pâtisserie & Gourmandises… Une compilation CD reprendra par la suite les meilleurs moments de Boutique Chic.
Côté visuel, rendant hommage au style graphique des années 50, la pochette réalisée par l’agence Restez Vivants illustre à
merveille l’univers du disque : une certaine idée de la modernité influencée par le passé, un style reflétant « l’élégance à la
française », le tout concocté dans leurs propres studios par des artisans qui retrouvent ainsi le charme du petit commerce, plus
proche d’un univers à la Jacques Tati que de superproductions Hollywoodiennes. Pour ce faire, Thomas Deligny s’est entouré
de trois camarades de jeux qui ont en commun cette passion d’un son tout à la fois rétro et résolument moderne.
Le très anglophile Chris Joss a déjà sorti trois albums : The Man with a Suitcase (Pulp Flavor), Dr Rhythm (Irma) et You’ve Been
Spiked (Eighteen Street Lounge). Ses productions discographiques s’exportent directement de La Rochelle (où il vit) à Washington
où est basé le label sur lequel il est signé : E.S.L. (fondé par Thievery Corporation). Il a récemment signé des remixes pour le
documentaire Inside Deep Throat et une de ses musiques a été utilisée pour la série Six Feet Under. Chris, multiinstrumentiste (batterie, basse, guitare, claviers…), a composé Brilliantine a gogo, ce subtil cocktail de disco, de house et de
boucles de violons hypnotisantes, saupoudré de slogans tels que : « Once hair has been cut short, only time can change it
back ! ».
Minimatic est chauve. C’est peut-être l’une de ses sources d’inspiration pour écrire La raie O milieu, titre pour le moins aussi
ambigu que son parcours artistique en zig-zag, qui lui a fait côtoyer entre autres Jean Croc, Tony Allen, Didier Sinclair, The
Film… Ce passionné de musiques, également programmateur (club Cithéa à Paris…) et DJ, a fondé son propre label,
Soundadelic. Son Ministudio où s’empilent de petites merveilles de synthés vintages lui a permis de composer ce cha-cha
électro qui, à l’image du Mange des tomates de Jack Ary, risque de devenir un classique. Un gimmick d’orgue irrésistible que
ne renierait pas Jean-Jacques Perrey, la voix de sa troublante chanteuse attitrée, Juliette Percheron, et une rythmique jouée
au véritable peigne fin… Après l’écoute de ce morceau, une évidence s’impose: « Vous devriez porter la raie o milieu ».
Le Grand David, sorte de Roger-Roger des temps modernes, est devenu un personnage incontournable de l’illustration sonore
notamment grâce à son superbe album Nu Kitsh (Zomba, 2002). Activiste d’une musique décalée, rétro et drôle, il ne cesse de
composer des thèmes toujours à son image : débraillée mais classe… Il est également remixeur de ses amis de Rinôcérôse, de
Bobby Lapointe ou encore clavier des Négresses Vertes le temps d’une tournée. C’est depuis sa base secrète de Montreuil, à
mi-chemin entre caverne d’Ali Baba(-cool) et rêve de collectionneur des années 50 à 70, qu’il a enregistré Bigoudis party, avec
son riff de Clavinet qui taquine le cuir chevelu, entre funk old-school et groove r’nb.
Depuis son studio La Piscine, Georges Deligny, alias Thomas Deligny alias Concorde Music Club, nous bombarde son
Panique au Salon, mélange de big-beat et d’electro-mambo avec des percussions à base de samples de ciseaux, un titre
explosif aux vocaux entêtants qui résume l’esprit du disque:
« C’est chic, non ? »
« C’est très bien ! »
80 boulevard national, 92000 Nanterre, France :: +33 (0)1 47 24 30 73 :: www.stereofiction-music.com

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