Élysa, pour savoir, comprendre et agir en sexualité humaine

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Premier site canadien sur la sexualité humaine, Élysa participe au Réseau canadien de la santé- Canadian Health
Network et est supporté par le Ministère de la santé et des services sociaux du Québec.
Un contraceptif masculin enfin efficace et sans effets secondaires, cliquez ici
La masturbation masculine diminuerait le risque de cancer de la prostate.
Voir : Cancer de la prostate - l'éjaculation réduirait les risques et
http://www.cancervic.org.au/cancer1/whatsnew/mediareleases/2003/20030717.htm
Le «chat» est disponible après la diffusion de certaines émissions. Plus de détails à venir.
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Faire du «chat» est-ce de l'infidélité ?
Drogues, alcool, sexe et risques (détails)
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Cette émission est disponible dans son entier sur Canal Savoir et en
téléchargement à Télé-Québec/services éducatifs.
Cette émission est disponible dans son entier sur Canal Savoir, en
téléchargement à Télé-Québec/services éducatifs,
et auprès de l'Audio-visuel de l'Uqam
Vous pouvez transmettre vos commentaires au co-producteur des
émissions : Placide Munger
Drogues, alcool, sexe et risques
Cette émission met en scène les effets sur la sexualité de la consommation des drogues les plus
utilisées par les 15-20 ans. Elle montre également comment et pourquoi le risque de transmission
d'infections par contacts sexuels augmente lors de ces consommations.
Comme pour toutes les émissions de la série websexo.net, elle recourt à des mises en situation
calquées sur la réalité des jeunes, sur l'expression populaire des perceptions et expériences liées
au sujet, sur des témoignages de personnes auxquels les 15-20 ans peuvent s'identifier, sur
l'apport d'une vulgarisation scientifique par un spécialiste de la question et sur une chronique Web
permettant de se documenter encore plus.
D'une durée de 28 minutes, l'émission peut être utilisée séparément du site si elle est
accompagnée d'une discussion ouverte sur l'usage des drogues par les jeunes. Elle tire
cependant avantage à être jumelée à la consultation du site websexo.net et Élysa.
Les liens de la chronique Web: Santé Canada, Réseau canadien de la santé, Tel Jeunes, Rave
Montréal, Service vie
Production : Placide Munger, Denis Vaillancourt
Réalisation : Normand Corbeil
Fermer
Premier site canadien sur la sexualité humaine, Élysa participe au Réseau canadien de la santé- Canadian Health
Network et est supporté par le Ministère de la santé et des services sociaux du Québec.
Un contraceptif masculin enfin efficace et sans effets secondaires, cliquez ici
La masturbation masculine diminuerait le risque de cancer de la prostate.
Voir : Cancer de la prostate - l'éjaculation réduirait les risques et
http://www.cancervic.org.au/cancer1/whatsnew/mediareleases/2003/20030717.htm
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Novembre
2003
Décembre
Questions
Questions publiées en février 2004
publiées enPour
février
connaître le texte de la question, cliquez sur son en-tête.
2004Une RECHERCHE INDEXÉE PAR MOTS-CLÉS peut compléter vos informations.
Questions publiées en janvier 2004
Pour connaître le texte de la question,
Dernière mise à jour : vendredi 13 février 2004
cliquez sur son en-tête.
Une RECHERCHE INDEXÉE PAR MOTS-CLÉS
peut compléter vos informations.
Questions en traitement*
Peu pénétrée et peur du sida
Fantasmes sur d'autres que
l'ami
Soins après une déchirure du
freinQuestions en traitement*
Érections faciles et
masturbations
Peu
Fantasmes
pénétrée
sur d'autres
et peur du
Plus que
de désir
l'amisexuel depuis
sida
l'accouchement
Soins
Réticences
lesbiennes,
qu'en
Érections
Fantasme
après une
penser
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faciles
à
déchirure
masturbations interpréter
du freinComment me décontracter
Questions et réponses*
Fantasme à interpréter
Risque du "fist" vaginal
Diminution des érections
matinales
Dyspareunie et stérilité
Habitude de stimulation et effets
négatifs
Risques de grossesse avec la
"pilule" seulement
Sperme laissé sur la vulve et
risque d'infection
Retour à la page d'accueil
* le texte publié peut différer
de l'original par des corrections de langue
Diminution
Plus de désir
Risque du des
sexuel depuis
"fist" vaginal érections
l'accouchement
matinales
Habitude
Réticences
de
Dyspareunie
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stimulation
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qu'en penser ?
et effets
négatifs
Comment me
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Risques de
grossesse
avec la
"pilule"
seulement
Sperme
laissé sur
la vulve et
risque
d'infection
* le texte publié peut différer de l'original
par des corrections de langue
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Questions publiées en décembre 2003
Dernière mise à jour : mercredi 04 février 2004
Réduire la phase réfractaire
Comment ne pas passer pour
une "slut"
"Recollage" de l'hymen
Trouver et montrer ses zones
érogènes
Questions pour savoir à 12 ans
Masturbation, éjaculation
nocturne, vie sans sexe
Besoin de fantasmer pour
l'orgasme
Aversion sexuelle et désir de la
surmonter
Le point sensible du pénis
Feux sauvages ou ITS ?
Lubrifiant vaginal et chance de
grossesse
ACV et perte de sexualité
Homme nymphomane
Question sur l'identité sexuelle
Vaginale mais il ne me fait pas
jouir
Petit clitoris difficile à stimuler et
orgasme difficile
* le texte publié peut différer de l'original par des corrections de langue
Questions publiées en février 2004
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Questions en traitement*
Peu pénétrée et peur du sida
Fantasmes sur d'autres que
l'ami
Soins après une déchirure du
frein
Érections faciles et
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Fantasme à interpréter
Plus de désir sexuel depuis
l'accouchement
Risque du "fist" vaginal
Diminution des érections
matinales
Réticences lesbiennes, qu'en
penser ?
Dyspareunie et stérilité
Habitude de stimulation et effets
négatifs
Comment me décontracter
Risques de grossesse avec la
"pilule" seulement
Sperme laissé sur la vulve et
risque d'infection
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Féminin
15-19
J'ai eu une relation sexuelle avec un garçon dont je ne sais pas s'il a le sida. Il a
seulement inséré son pénis 3 ou 4 fois puis il s'est retiré. Il ne l'a pas inséré
bien loin puisque c'était la première fois et que cela faisait mal. Il n'avait pas de
condom. Je voudrais savoir si j'ai un risque d'avoir le sida même s'il n'a pas
éjaculé.
La réponse sera publiée ici vers le 20 février
Copyright © 2004. Consultation Élysa enr. Les réponses reproduites doivent mentionner la source et ne pas servir à des fins
lucratives.
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|
Féminin
20-24
Bonjour, votre site est merveilleux et m'aide beaucoup ! Ma question: j'ai un
copain que j'adore, qui me satisfait sur tous les plans, bien que sexuellement
j'ai beaucoup de difficulté à me laisser aller. Le problème, c'est que je fantasme
plus que régulièrement sur d'autres gars de mon entourage au point d'avoir de
sérieuses pulsions sexuelles à leur égard... Je n'ai jamais trompé mon copain,
soit dit en passant... Merci !
lucratives.
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Féminin
15-19
Bonjour!
Il y a quelques jours (dimanche soir) lors d'une relation sexuelle avec mon
copain, celui-ci a ressenti une vive douleur et a beaucoup saigné. Il a pu
observé que son frein s'était "déchiré", bref, une rupture complète du frein si je
peux m'exprimer ainsi.
On m'a affirmé qu'il n,avait qu'à attendre la cicatrisation et que de ne plus avoir
de frein ne changerait rien à sa sexualité. En attendant, on lui a suggérer de
nettoyer sa plaie avec de l'eau et du savon et d'attendre une cicatrisation
complète avant de reprendre sa vie sexuelle.
On m'a aussi dit qu'une chirurgie visant "l'allongement" du frein aurait été
possible avant sa rupture (il avait déjà eu quelques petites coupures) mais que
maintenant, puisqu'il n'y en avait plus, il n'avait qu'à attendre la cicatrisation.
Tout ceci me semble très important et je souhaitais donc avoir un autre avis
sur la question... croyez-vous que ce soit la bonne chose à faire? (ces
renseignements m'ont été donnés dans un C.L.S.C.)
Je vous remercie d'avance pour l'attention que vous porterez à ce message.
lucratives.
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Masculin
15-19
Bonjour, j'ai trop souvent des érections et cela me pose problème. En effet, la
moindre excitation me provoque facilement un érection, par exemple, rien
qu'une danse "rapprochée" avec une fille suffit à en provoquer une, ce qui est
gênant, car même si ces érections s'arrêtent très rapidement, je n'arrive pas à
me contrôler. Est-ce dû a trop de masturbations ?
lucratives.
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Masculin
30-34
Comment peut-on interpréter chez un homme le fantasme de voir sa femme
faire l'amour avec un autre homme?
lucratives.
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Féminin
20-24
Bonjour, il y a 15 mois j'ai accouché de mon premier bébé. Et depuis ce temps
je n'ai plus aucun désir sexuel AUCUN. Avant ma grossesse j'avais une
sexualité bien active et je n'avais aucun problème avec elle. Jusqu'à tout
récemment mon absence de désir a été le sujet de maintes discussions avec
mon copain, sans que je sois capable de verbaliser le pourquoi de mes
nombreux refus devant ses avances. Parfois je me dis même qu'il devrait peutêtre avoir un maîtresse pour qu'il me foute la paix à ce sujet, mais je sais que
ce serait contourner le problème... Bref je demande de l'aide, un conseil, des
trucs ou une explication pour cette situation, parce que je sens que la tension
monte dans le couple, et je trouve que l'accouchement est loin maintenant pour
expliquer ma perte de libido.
merci
Il y a 15 mois, vous avez accouché d'un premier enfant. Depuis ce temps, vous
n'avez aucun désir sexuel, ce qui cause beaucoup de tension entre vous et votre
conjoint. Comme votre libido se portait très bien avant votre accouchement, vous
vous questionnez sur la cause de votre difficulté actuelle et aimeriez trouver une
réponse.
Tout d'abord, avez-vous consulté votre médecin pour lui expliquer ce que vous
vivez actuellement? Il serait important de le faire afin qu'il puisse vous faire passer
des tests qui révéleront si, au niveau hormonal ou autres, tout est normal chez
vous.
Si tout va bien de ce côté, c'est à l'intérieur de vous et au sein de votre couple qu'il
vous faudra trouver la réponse. En effet, la naissance d'un enfant -et
particulièrement la naissance d'un premier enfant- déstabilise toujours la vie d'une
femme et de son couple. Une période d'adaptation jumelée à une remise en
question de la part des deux conjoints est alors nécessaire. Les causes d'une perte
de désir sexuel sont multifactorielles. il serait donc important que vous vous
questionniez sur certains facteurs qui pourraient être susceptibles de provoquer
votre perte de désir: Avez-vous fait une dépression pendant votre post-partum? Si
oui, a-t-elle été traitée? Avez-vous le sentiment d'être avant tout une mère et non
plus une femme à part entière? Lorsqu'une femme devient mère, elle a parfois
tendance à fusionner énormément avec son bébé, ce qui la comble affectivement
et la rend moins disponible envers son conjoint. Donc, quelle est la dynamique
entre vous et votre bébé? Vous consacrez-vous suffisamment de temps pour
pouvoir bien vous situer face à ce que vous êtes et à qui vous êtes? Vous faitesvous plaisir de temps à autre? Et en ce qui concerne votre couple, avez- vous des
activités qui vous permettent de vous sortir de votre rôle de mère pour vous
ramener à celui de femme désirable et désirante? Selon vous, qu'est-ce qui a
changé depuis la venue au monde de votre enfant? Votre conjoint assume-t-il bien
son rôle de père, vous aide-t-il dans les différentes tâches que vous devez
accomplir? Si, pour une raison ou une autre, vous faites du ressentiment contre lui,
il est possible que cet état d'esprit vous éloigne de lui. Aussi, la perception que
vous avez de votre corps a-t-elle changé négativement? Si vous éprouvez un
malaise face à votre image corporelle, il vous sera difficile de vous réconcilier avec
votre désir sexuel.
Essayer de répondre à ces questions devrait vous aider. Toutefois, si vous avez le
sentiment de ne pas pouvoir y arriver toute seule ou avec votre conjoint, n'hésitez
pas à consulter, ne serait-ce que pour quelques séances. Parler fait toujours le plus
grand bien. Bonne chance.
lucratives.
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Masculin
40-44
Bonjour,
Tout d'abord félicitation pour votre site, il est vraiment très bien.
Voila ma question, je pratique sur ma compagne (40ans) depuis peu de temps
le fist vaginal (tout en douceur), au début elle ne voulait pas, mais maintenant
elle en veut de plus en plus.
1) Il a t il un risque à long terme nous pratiquons cela environ 3x/mois ?
2) Elle désire maintenant d'autres objets de plus en plus imposants, peut-on
dire qu'il y a une limite, ou tant qu'elle supporte il n y a pas à s'inquiéter ?
Merci pour vos réponses
Vous pratiquez, avec votre compagne, le "fist" vaginal, c'est-à-dire l'introduction de
la main dans le vagin de votre partenaire. Vous vous demandez si cette pratique
comporte un risque. En effet, l'introduction de la main dans le vagin peut créer des
lésions importantes ou des déchirures au niveau de la muqueuse vaginale. Comme
ces lésions sont présentes quelques jours, le temps de leur guérison, le vagin
devient un endroit propice à la transmission d'infections. Il est donc important
d'évaluer les risques encourus par cette pratique en tenant compte du contexte
dans laquelle elle se déroule, de la stabilité du partenaire, ainsi que des risques
possibles d'infection. Le risque demeure présent et, peut même augmenter, avec
l'utilisation d'autres objets puisque des lésions et blessures internes peuvent aussi
être provoquées par leur introduction. La douceur, l'hygiène et une bonne
lubrification sont des éléments à considérer. En somme, comme plusieurs pratiques
sexuelles, la prudence est de mise.
lucratives.
|
Féminin
20-24
Mon copain n'a pratiquement plus d'érections matinales... Cela signifie-t-il
quelque chose?
Bonjour, vous vous questionnez sur la signification au fait que votre copain n’a
pratiquement plus d’érection matinale.
Pour débuter, les érections matinales ne se produisent pas nécessairement à
chaque matin et ceci ne signifie pas un problème de santé. Les érections nocturnes
se manifestent à toutes les 90 minutes environ, de façon cyclique durant le
sommeil. Ces épisodes surviennent durant des étapes du sommeil que l'on nomme
phase MOR (mouvements oculaires rapides).
Pour continuer, comment constatez-vous la diminution d’érections le matin ? Est-ce
votre copain qui vous en a fait la remarque ? Si oui, il s'auto observe au réveil et
c'est assez pour qu'il soit moins souvent encore en érection lorsqu'il se regarde ou
se sent. De plus, s’il a ou voit moins d’érections matinales, ceci peut être causé par
le hasard du réveil, un mauvais sommeil (stress), une consommation d’alcool, etc.
Il pourrait aussi être pertinent de vérifier la provenance de votre questionnement,
car vous n’en faites pas part. Si votre conjoint vous expliquer ce malaise, peut-être
serait-il intéressant pour vous de vérifier s’il a le besoin de se faire rassurer. Si c’est
vous qui avez remarquez et que vous semblez inquiète, il pourrait être pertinent de
poser des questions supplémentaires ou de s’informer sur le sujet afin de vous
rassurer.
lucratives.
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Féminin
15-19
Ma question n'est peut-être pas de votre ressort... je me lance néanmoins. J'ai
actuellement 17 ans et demi et suis depuis près de 2 ans avec mon amie, âgée
de 8 ans de plus (soit 16 et 24 ans lorsque nous nous somme connues). Si nos
relations étaient jusque alors épanouies, j'ai l'impression depuis quelques mois
de devoir me forcer à lui faire l'amour, et j'ai du mal à supporter les pratiques
sexuelles dont nous avions l'habitude (cunnilingus, doigt). Je fais alors comme
si de rien. Néanmoins, je m'oblige à agir comme si de rien n'était, par peur de
décevoir probablement. Je me demande donc à quoi sont due ces réticences
d'ordre purement sexuel, alors même que je continue de fantasmer sur mon
amie, ou sur les filles en général?
D'autre part, il me semble lui en vouloir de m'avoir "rendue homosexuelle",
alors qu'à l'âge de notre rencontre, il me semble que j'espérais déjà plus que
tout une relation saphique. Je lui en veux aussi depuis peu de temps de m'avoir
fait jouer "à la grande" beaucoup trop tôt, de m'avoir volé une partie de mon
adolescence. Pourtant, je n'envisage pas, à l'heure actuelle, d'aimer qui que
soit d'autre, et, si je réfléchi "rationnellement", je me sens heureuse de notre
relation.
Ce blocage purement sexuel pourrait-il provenir du fait que je ne suis pas
"réellement lesbienne" (je n'ai jamais eu de relation avec un homme, et pas
forcement l'envie, malgré quelques rares fantasmes)? Une envie d'inconsciente
"d'autre chose", les remord de ne plus être "en phase" avec les filles de mon
âge ? Merci.
Vous vous demandez pourquoi, depuis quelques temps, vous avez le sentiment de
vous obliger à avoir des relations sexuelles avec votre copine. Vous émettez
plusieurs hypothèses pour expliquer vos nouvelles réticences.
Plusieurs éléments peuvent en effet entrer en ligne de compte. Déjà, les
questionnements que vous vivez présentement peuvent avoir un lien avec votre
baisse de désir. Vous vivez une remise en question qui implique votre relation de
couple, il est donc possible que cela ait une incidence sur votre vie sexuelle. Le fait
de continuer de fantasmer sur votre copine ou sur les filles en général démontre
seulement que le fantasme vous implique moins émotionnellement que la relation
sexuelle en elle-même. Votre relation semble vous satisfaire sur certains points,
puisque vous dîtes que rationnellement vous êtes heureuse avec cette personne.
Mais qu'en est-il du côté émotionnel?
Vous semblez avoir des regrets. En vouloir à votre copine est une bonne hypothèse
de vos réticences face à vos pratiques sexuelles. Pourquoi lui en voulez-vous si
vous dîtes que vous espériez plus que tout une relation saphique? La rendre
responsable de votre malaise actuel ne peut qu'accentuer ces réticences lors de
vos relations avec elle. Les hypothèses que vous apportez en dernier peuvent avoir
du sens. Mais sachez que ce que vous vivez peut se vivre autant dans une relation
homme/femme sans nécessairement remettre en question l'orientation sexuelle. La
culpabilité, les regrets et les questionnements que vous vivez sont assez intenses
pour qu'ils aient une incidence sur votre vie sexuelle. Vous forcez à avoir des
relations sexuelles avec votre copine ne peut qu'envenimer les choses. En discutez
avec elle serait un bon point de départ, la communication ne peut que vous aider.
Vous semblez proche de ce que vous ressentez, poursuivez vos réflexions. Élysa
ne possède pas tous les éléments pour vous indiquer quelle piste serait la plus
juste, consulter un sexologue pourrait sans doute vous aider à y voir plus clair.
lucratives.
|
Féminin
20-24
J'aurais souhaité avoir plus d'informations sur la dyspareunie et si un risque de
stérilité y était lié? Merci d'avance.
Dans un premier temps, vous souhaitez avoir plus d'informations sur la
dyspareunie. La dyspareunie est une dysfonction sexuelle reliée aux douleurs
ressenties lors de la pénétration. On distingue plusieurs types de dyspareunie, dont
la dyspareunie de pénétration ou superficielle ( douleur au début de la pénétration
du pénis dans le vagin), la dyspareunie profonde ( douleur dans le bas du ventre
pendant et ou à la fin de la pénétration ), ainsi que la primaire ( survenant lors d'une
première relation sexuelle ) ou secondaire ( apparaissant après un traumatisme
psychologique ). Les causes peuvent être psychologiques (traumatisme sexuel
antécédent, crainte actuelle, anxiété, ...) ou physiologiques (vestibulite vulvaire,
infections vaginales, cystite, endométriose, ...). La dyspareunie est la dysfonction
sexuelle la plus souvent associée à une cause physiologique. Une consultation
médicale est donc à conseiller en premier lieu. Si la cause est de type
psychologique, un suivi thérapeutique avec traitement incluant la détente, l'auto
exploration, le massage du périnée, les dilatateurs ou différents exercices apporte
habituellement des résultats positifs.
Concernant le risque de stérilité y étant relié, la dyspareunie n'influence pas la
fertilité en tant que tel. Si, par contre, une cause physiologique y est reliée telle que
l'endométriose ou une pathologie des ovaires, c'est cette cause qui pourrait
comporter un risque de stérilité si elle n'est pas traitée. Encore une fois, une
consultation médicale est prioritaire dans ce cas. Il est aussi possible que la douleur
lors des relations sexuelles entraîne une baisse de désir et d'excitation sexuelle,
ainsi que de la lubrification vaginale. Il est certain que ces effets ne constituent pas
des conditions idéales pour concevoir un enfant, mais n'a aucune incidence sur la
stérilité. La dyspareunie n'influence donc pas la fertilité, mais devrait néanmoins
être traitée.
lucratives.
|
Féminin
25-29
Bonjour, j'ai une super belle complicité avec mon copain et merci a votre site
j'ai réussi à répondre à plusieurs des questions que je ne posais. Durant l'auto
masturbation, j'ai longtemps utilisé le frottement de mon clitoris sur des objets,
exemples: coussin, sofas.... et je me demande si cela peut causer des effets
négatifs sur mon sexe? Je me demande ça car j'ai parfois de la misère à
atteindre l'orgasme avec mon copain? Nous nous demandons aussi en quoi
consiste terme "venir" pour une fille? Merci de me répondre
lucratives.
|
Féminin
15-19
Bonjour! je vous ai déjà écrit mais sans aucune réponse pourtant mon
problème est assez personnel donc il ne peut y avoir de réponses. Mon
problème le voici: je n'arrive pas à me décontracter assez pour que mon copain
puisse me masturber (ceci dit je n'aime pas vraiment ça, je préfère autrement,
mais je ne sais pas comment lui dire!) j'ai déjà été pénétrée mais pas jusqu'au
bout et depuis j'ai peur qu'il m'arrive la même chose que la dernière fois,
pourtant j'ai réellement envie de le faire avec mon copain mais je fais un
blocage! Pouvez-vous m'aider SVP. Merci d'avance et bravo pour votre site
super méga cool.
Vous nous témoignez d’un embarras à vous faire masturber par votre copain.
Comme vous le signifiez, vous n’aimez pas cette pratique lorsqu’il l’exerce.
De ce fait, il est possible que vous ressentez une gêne à vous laisser-aller au
moment de l’acte masturbatoire, puisque vous n’aimez pas sa façon de faire autant
que la vôtre. Pour remédier à cette situation, la meilleure chose à faire demeure de
communiquer vos besoins, vos craintes et vos préférences sexuels à votre
partenaire. Il est vrai qu’il peut être difficile de trouver une bonne façon de lui dire,
mais ne vous découragez pas, il en existe plusieurs; il suffit de trouver celle qui
vous convient. Discuter sur le sujet vous permettra sans aucun doute de connaître
l’opinion de votre partenaire et de vous exprimer sur les sentiments qui vous
tressaillent. Il pourrait être avantageux de ne pas en discuter dans les moments où
vous ressentez particulièrement un malaise par rapport à la situation qui vous
préoccupe. Il peut être positif de choisir un moment dans la journée où vous serez
susceptible d’être à l’écoute de vous-même, calme et confiante. Favoriser
également un endroit où la discussion serait propice et favorable pour vous deux.
Vous mentionnez également que vous avez déjà été partiellement pénétrée une
première fois et que vous craignez depuis que cela vous arrive de nouveau. Le
blocage, dont vous parlez proviendrait peut-être de là, et peut-être aussi comme la
tension que vous évoquez lorsque votre partenaire vous masturbe. De cause à
effet, votre première expérience ne fût peut-être pas à la hauteur de vos attentes et,
craignant que cela ne vous arrive de nouveau, vous bloqueriez à ce moment de
peur, en pensant à votre expérience passée. Communiquer à votre partenaire vos
expériences antérieures sur le sujet vous permettra peut-être de vous sentir plus en
confiance et de vous détendre au moment des échanges sexuels.
Élysa ne peut davantage comprendre et mieux expliquer votre « blocage » puisque
certains éléments apparaissent manquants. Consulter un ou une professionnel(le)
en ce sens pourrait être bénéfique. Pour l’instant, en discuter avec votre partenaire
aiderait à vous libérez en partie. Si vous êtes incapable de vous ouvrir à lui, il
pourrait être intéressant de vous questionnez sur le pourquoi il en est ainsi. Prenez
un temps de réflexion pour vous interroger sur cette dernière question et n’hésitez
pas ensuite à passer à l’action, vous n’en serez que plus rassurée.
lucratives.
|
Féminin
15-19
Bonjour, j'ai 18 ans et mon copain et moi nous nous posons des questions au
sujet des risques de grossesses lorsqu'il y a utilisation de la pilule
contraceptive. Nous sommes ensemble depuis un an très bientôt et depuis le
temps où nous avons commencé à avoir des relations sexuelles, nous utilisons
la pilule contraceptive et le condom à la fois (parfois avec spermicide et d'autre
fois sans spermicide). Je prend la pilule depuis plus d'un an et je la prend
religieusement, j'en ai jamais oublié une car j'ai une phobie de tomber enceinte.
Je la prend tous les jours environ dans la même intervalle d'heures, soit entre
4:30 am et 8:30 am.
Mon copain et moi aimerions avoir des relations sexuelles sans utiliser le
condom et nous aimerions savoir s'il y aurait des risques de grossesse étant
donné les circonstance ci haut citées. Il est aussi à noter que des tests de
dépistage des MTS ont été passés avant que l'on ait des relations sexuelles
ensemble afin de s'assurer de leur absence donc, il n'y a pas de problème sur
se plan.
En souhaitant avoir une réponse très bientôt. Merci beaucoup!
Bonjour, vous vous questionnez sur le fait de pouvoir devenir enceinte ou non lors
d’une relation sexuelle sans condom, mais avec l’utilisation de la pilule
contraceptive.
Comme vous l’avez fait, il était important de passer des tests de dépistages des ITS
(infections transmises sexuellement) avant d’avoir des relations sexuelles non
protégées. Comme aucune infection n’a été détectée et que l’utilisation de la pilule
contraceptive semble appropriée, les risques de devenir enceinte sont relativement
mince. Le taux d’efficacité de cette pilule, si elle est bien utilisée, ce qui semble être
votre cas, varie de 98% à 99,8%, selon les types de pilules. Donc, les probabilités
que vous deveniez enceinte à la suite d’une relation sexuelle non-protégée par le
condom sont minimes, mais elles sont encore plus minimisées avec l’utilisation
d’une autre méthode contraceptive.
lucratives.
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Féminin
25-29
J'aimerais simplement savoir si le fait de s'endormir après avoir fait l'amour,
sans s'être lavé après, et d'avoir le sperme de son partenaire sur ses organes
génitaux peut causer une vaginite ou un autre genre d'infection. Est-ce que ça
favorise la prolifération des bactéries de laisser ''sécher'' le sperme et de se
laver que le lendemain ? Merci.
Vous aimeriez savoir si le fait que le sperme demeure un laps de temps
relativement long sur les organes génitaux interne (vagin) et externe (vulve) peut
causer une vaginite ou un autre genre d’infection.
Le sperme peut avoir, un effet alcalinisant (le contraire d’acide) sur les sécrétions
vaginales. Sa composition peut diminuer l’acidité de la flore vaginale, ce qui peut
faciliter l’implantation d’une flore plus variée, donc différente de la flore naturelle.
Toutefois, une infection vaginale découle de facteurs dits exogènes et endogènes.
Dans un premier temps, les facteurs exogènes réfèrent à tout ce qui a pu se
produire à l’intérieur de notre corps pour qu’une infection se déclare. Un
dérèglement hormonal engendré par une grossesse, la période prémenstruelle, la
prise ou l’arrêt de la pilule contraceptive de même que les maladies qui affectent
notre système immunitaire telles que le VIH ou le diabète, ainsi qu’un dérèglement
du PH vaginale quelconque (par exemple la prise d’antibiotique) en sont quelques
exemples.
Dans un deuxième temps, les facteurs endogènes font référence à la virulence de
la souche bactérienne, c’est-à-dire que certaines bactéries qui causent les
infections vaginales sont plus fortes que d’autre.
Bref, tous ces facteurs entrent en jeu dans le développement d’une infection
vaginale. Le sperme ne peut donc pas en être la cause directe, mais il peut
favoriser le développement d’une infection causée par autre chose. Tout comme le
stress, certains types de tissus et certains facteurs d’hygiènes (réactions
allergiques à certains produits nettoyants, etc.) le peuvent.
Si actuellement vous éprouvez des symptômes qui s’apparentent à ceux d’une
vaginite ou d’une infection vaginale, vous laver immédiatement après une relation
sexuelle ou évacuer le sperme de votre partenaire ne règlera probablement pas ces
symptômes. Si le sperme peut favoriser l’infection déjà présente, il ne peut en être
l’essentiel cause. Consulter un médecin afin d’obtenir un diagnostic précis et un
traitement adéquat sous ordonnance pourrait être propice. Il existe grand nombre
d’infections vaginales de tous types et de tous genres. Si vous êtes de celles dont
l’infection récidive, en parler à votre médecin pourrait s’avérer favorable. Plus il
aura de détails sur vos habitudes sexuelles et également sur vos habitudes
d’hygiène corporelle, plus il sera en mesure de vous aider.
lucratives.
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