Bulletin novembre 2014
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Bulletin novembre 2014
BULLETIN DE SAINT-GEORGES BULLETIN N° 268 www.eglisesaintgeorges.com NOVEMBRE 2014 secretariatsaintgeorges AT gmail.com Eglise Saint-Georges : Quai Fulchiron 69005 Lyon Logement des prêtres : Maison Sainte-Blandine (MSB) 12 bis rue Sala 69002 Lyon 04 72 77 07 90 Recteur : abbé Hugues de MONTJOYE 06 65 23 07 92 abbedemontjoye AT gmail.com Chapelain : abbé Laurent SPRIET 06 14 18 07 61 abbespriet AT gmail.com Et si nous pensions un peu plus au ciel ! L a fête de la Toussaint et le mois des défunts sont une occasion favorable pour penser davantage aux fins dernières. En prononçant le mot « fin dernières » ne prenons pas un air triste comme s'il s'agissait d'une fatalité inéluctable dont il faudrait repousser au maximum l'approche. C'est tout le contraire ! Le chrétien n'est-il pas tendu vers le Ciel, sa vraie Patrie, vers les biens que l'oeil ne peut voir, vers le Christ qui nous a préparé une place, vers les saints ou les héros qui nous ont servi de modèles, et vers tous nos chers disparus enfin qui nous ont précédés sur la route ? Si la mort est une violence faite à la nature, en raison de la séparation de l'âme et du corps, si elle est une conséquence funeste du péché originel, si on peut la redouter à cause du mystère qui l'entoure (et qui la suit...) et des souffrances qui l'accompagnent, cependant n'oublions pas qu'elle est aussi le passage nécessaire vers la vraie vie, la vie éternelle. Sainte Thérèse de l'EnfantJésus sur son lit d'agonie disait juste, par ces mots bien connus : « Je ne meurs pas, j'entre dans la Vie ! ». Et la liturgie de l'Eglise reprend chaque matin après la lecture du martyrologe : « Précieuse en la présence du Seigneur est la mort de ses saints ». Pourquoi pensons-nous si peu au ciel ? Et pourquoi certains chrétiens fuient-ils la pensée du ciel ? Nous sommes faits pour le ciel. Sans doute la terre a-t-elle ses charmes, ses beautés, ses joies, mais qu’est-ce que tout cela en comparaison de Celui qui est la source de tous les biens, qui est la Beauté infinie, qui est Océan de joie et Vie éternelle ? Il ne s'agit pas de nier les biens créés ni de le dénigrer, ce qui ne serait pas un hommage digne du Créateur, mais comment ces biens peuvent-ils cacher pour nous Celui sans qui rien ne serait ? Nous devrions courir vers le Ciel, vers la plénitude de la Vie, et nous trainons les pieds, nous rampons, nous nous cramponnons au sol comme si le ciel allait nous rendre malheureux ! Certes lorsque nous paraitrons devant notre Juge, le jour de notre mort, il nous faudra être prêts, c’est-à-dire bien disposés, et nous devons pour cela être toujours prêts, car nous ne savons ni le jour, ni l'heure. Mais si nous avons vraiment le désir du ciel, le désir de Dieu, c'est que nous sommes déjà prêts. Peut-être pas de grands saints, mais tout de même des enfants aimants et aimés de leur Père du Ciel. Nous n'avons rien à faire de mieux ici-bas que de nous entrainer beaucoup à aimer Dieu et notre prochain, puisque c'est sur l'Amour que nous serons jugés. Rien de plus utile pour nous, rien de plus utile pour l'Eglise et pour le monde. C’est ce qu'enseigne saint Jean de la Croix : « Le plus petit mouvement de pur amour est plus utile que toutes les autres œuvres réunies ». Et la petite Thérèse lui fait écho en disant : « Jésus ne regarde pas tant à la grandeur des actions, ni même à leur difficulté, qu'à l'amour qui fait faire ces actes ». N'est-ce pas consolant ? Quand nous éprouvons de la peine à voir partir un être cher - cela est naturel et il n'y a aucune imperfection à cela - essayons de réveiller en nous le désir du ciel. Vienne le jour des retrouvailles définitives, de l'éternel embrassement, la joie partagée et inamissible dans une communion parfaite ! « Il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur » (Apocalypse 21,4). Que la pensée du ciel et de tous ceux qui nous y attendent nous aide à fuir le mal et à demeurer fidèle au Seigneur, pour que nous ne connaissions pas un jour les pleurs et les grincements de dents, en étant jetés dans les ténèbres extérieures... Rappelons à notre esprit en ce mois des défunts tous ceux que nous avons connus et aimés et qui nous ont quittés. Peut-être verserons nous une larme, ou un torrent de larmes, mais qu'elles sont douces ces larmes, si elles nous ramènent à Dieu ! Il nous paraît long ce chemin semé de deuils et de souffrances, qui mérite parfois d'être appelé une « vallée de larmes », mais qu'est-ce que cinquante ans, cent ans au regard de l'éternité ? Au ciel on n'y pensera bientôt plus... Nous connaitrons peut-être en ce mois qui s’ouvre encore d'autres deuils ; quand un jour ce sera notre tour, nous répondrons à l'appel de la trompette divine et nous dirons « à Dieu » à nos frères de la terre. Et nous continuerons à les aimer, à penser à eux, à désirer qu'ils nous rejoignent au ciel, comme Jésus, l'Ami véritable, nous a préparé une place auprès de lui pour que nous partagions éternellement avec Lui la joie des noces éternelles. Et nous retrouverons tant de monde là-haut, et nous découvrirons tant d’amis… Nous reconnaitrons que nous n’étions sur terre que de passage comme des étrangers et des voyageurs. Notre vraie maison, notre vraie Patrie, c’est le ciel. Puisse Dieu faire grandir en chacun d’entre vous et en moi aussi, l’espérance et le désir du Ciel ! « Fais-nous quitter l’existence Joyeux et pleins d’abandon, Comme un scout, après les vacances, S’en retourne à la maison. O Vierge de lumière, Etoile de nos coeurs, Entend notre prière, Notre-Dame des éclaireurs. » Abbé Hugues de Montjoye + Recteur Ce que je verrai pour la première fois !... (poésie de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, PN 33, Fête du Sacré coeur de Jésus, 12 Juin 1896) 1. Je suis encore sur la rive étrangère, Mais pressentant le bonheur éternel, Oh! je voudrais déjà quitter la terre Et contempler les merveilles du Ciel Lorsque je rêve aux joies de l'autre vie De mon exil je ne sens plus le poids Puisque bientôt vers ma seule Patrie Je volerai pour la première fois! 3.Mon Bien-Aimé, de ton premier sourire Fais-moi bientôt entrevoir la douceur Et laisse-moi, dans mon divin délire Ah! laisse-moi me cacher en ton coeur! Oh! quel instant! quel bonheur ineffable Quand j'entendrai le doux son de ta voix Quand je verrai de ta Face Adorable L'éclat divin pour la première fois! 2.Ah! donne-moi, Jésus, de blanches ailes Pour que vers toi je prenne mon essor Je veux voler aux rives Eternelles Je veux te voir, ô mon Divin Trésor! Je veux voler dans les bras de Marie Me reposer sur ce trône de choix, Et recevoir de ma Mère chérie Le doux Baiser pour la première fois! 4.Tu le sais bien mon unique martyre, C`est ton amour, Coeur Sacré de Jésus. Vers ton beau Ciel, si mon âme soupire C'est pour t'aimer, t'aimer de plus en plus!.... Au Ciel, toujours enivrée de tendresse Je t'aimerai sans mesure et sans lois Et mon bonheur me paraîtra sans cesse Aussi nouveau que la première fois!!!.... Il existe une très belle interprétation musicale de cette poésie par le Père Patrick LEMOINE dans un CD intitulé « Amour pour Amour » (édition Parole et Silence). A écouter sans modération ! La mort de saint Dominique Savio ’est une vérité de foi qu’à sa mort l’homme recueille le fruit de ses œuvres. Mais, parfois, de bonnes âmes, après une sainte vie, voient s’approcher la mort avec épouvante. Dieu, dans ses adorables desseins, veut ainsi les purifier des taches légères qu’elles ont contractées et embellir leur couronne. Il n’en fut pas ainsi de notre Dominique. Dieu a voulu lui donner dès cette vie le centuple qu’il promet à ses amis fidèles avant de les introduire dans la gloire. Et de fait, son innocence conservée jusqu’au dernier moment, C sa foi vive, sa prière continuelle, ses longues pénitences et sa vie remplie de tribulations, tout cela avait mérité à Dominique cette joie, cette paix qu’il goûtait au moment suprême. On peut dire que Dominique s’endormit plutôt qu’il ne mourut. On était au soir du 9 mars 1857. Il avait reçu tous les secours de notre sainte religion. Son air gai, ses yeux éveillés, la pleine possession de luimême émerveillaient tous ceux qui étaient présent, et personne, excepté lui, ne croyait à sa mort imminente. On eût dit qu’il se reposait. Admirable était la tranquillité avec laquelle il recommandait son âme à Dieu. Il faisait de fréquentes oraisons jaculatoires, mais uniquement pour dire à Dieu combien il lui tardait de Le voir. Après avoir récité quelques prières avec Dominique, Monsieur le Curé songeait à partir. « Monsieur le Curé, lui dit le mourant, ne me laisserez-vous pas un souvenir ?… - « Eh bien, mon enfant, songe à la mort de N.S. Jésus-Christ. » – « Deo gratias ! » répondit Dominique. Après avoir dit ces paroles, il sembla dormir pendant environ une demi-heure. Puis, soudain, il jeta un regard sur ses parents : « Papa, dit-il, nous y sommes !… Il est temps de me lire les litanies de la bonne mort. » A ces paroles, la mère éclata en sanglots et quitta la chambre du malade. Le père avait l’âme brisée de douleur et les larmes étouffaient sa voix, mais il se fit violence et récita les litanies. Dominique répétait mot à mot ce que son père disait ; toutefois à la fin chaque invocation, il voulait dire seul : « Miséricordieux Jésus, avez pitié de moi ». Arrivé à ces paroles : « Quand mon âme paraîtra devant vous et verra pour la première fois l’immortelle splendeur de votre majesté, ne la rejetez pas de votre présence, mais daignez la recevoir dans le sein de votre miséricorde, afin que je chante éternellement vos louanges », Dominique ajouta : « Voilà ce que je désire : chanter éternellement les louanges de Dieu ». Ensuite il sembla réfléchir à une chose très importante. Mais bientôt, il dit d’une voix claire et joyeuse : « Adieu, mon cher papa ! adieu !… Oh! que c’est beau ce que je vois… ! » En disant ces paroles, le sourire sur les lèvres, le visage épanoui par une joie céleste, il expira, les mains jointes en forme de croix sur la poitrine, sans faire le plus léger mouvement. Don Bosco conclut : Ame fidèle, retourne à ton Créateur. Le ciel t’ouvre ses portes, les anges et les saints t’y ont préparé une belle fête. Ton Jésus que tu as tant aimé, te tend les bras et t’appelle. « Viens, dit-il, viens, ô bon et fidèle serviteur, tu as combattu, tu as remporté la victoire, viens pour toujours partager la joie de ton Seigneur : Intra in gaudium Domini tui ». (in : Vie de Saint Dominique Savio par le R.P. Delhaye sdb) LITANIES DE LA BONNE MORT S eigneur Jésus, Dieu de bonté, Père de miséricorde, je me présente devant vous avec un coeur humilié, contrit et repentant. Je vous recommande ma dernière heure et de qui doit la suivre. Quand mes pieds immobiles m'avertiront que ma course en ce monde est près de finir, Miséricordieux Jésus, ayez pitié de moi ; Quand mes mains engourdies et tremblantes ne pourront plus presser le crucifix contre mon coeur et que, malgré moi, elles le laisseront tomber sur mon lit de souffrances, Miséricordieux Jésus, ayez pitié de moi ; Quand mes yeux, voilés et troublés par l'effroi d'une mort imminente, porteront vers vous leurs regards vagues et expirants, Miséricordieux Jésus, ayez pitié de moi ; Quand mes lèvres tremblantes et froides prononceront pour la dernière fois votre adorable Nom, Miséricordieux Jésus, ayez pitié de moi ; Quand mes joues pâles et livides inspireront aux assistants la compassion et la terreur ; que mes cheveux, baignés des sueurs de l'agonie, se dresseront sur ma tête, annonçant ma fin prochaine, Miséricordieux Jésus, ayez pitié de moi ; Quand mes oreilles, près de se fermer à jamais aux discours des hommes, s'ouvriront pour entendre de votre bouche la sentence irrévocable qui fixera mon sort pour l'éternité, Miséricordieux Jésus, ayez pitié de moi ; Quand mon imagination, agitée par des fantômes effrayants et terribles, sera plongée dans des tristesses mortelles ; que mon esprit, troublé par le souvenir de mes iniquités et par la crainte de votre justice, luttera contre l'Ange des ténèbres qui voudra me dérober la vue consolante de vos miséricordes et me jeter dans le désespoir, Miséricordieux Jésus, ayez pitié de moi ; Quand je verserai mes dernières larmes, symptômes de ma dissolution prochaine, recevez-les, ô mon Jésus, en sacrifice d'expiation, afin que je meure comme une victime de pénitence ; et, dans ce terrible moment, Miséricordieux Jésus, ayez pitié de moi ; Quand j'aurai perdu l'usage de tous les sens, que le monde entier aura disparu pour moi, et que je gémirai dans les angoisses de la dernière agonie et les affres de la mort, Miséricordieux Jésus, ayez pitié de moi ; Quand les derniers soupirs de mon coeur presseront mon âme de sortir de mon corps, acceptez-les comme venant d'une sainte impatience d'aller à vous ; et alors, Miséricordieux Jésus, ayez pitié de moi ; Quand au dernier instant man âme se détachant de mon corps, sortira pour toujours de ce monde, et laissera mon corps pâle, glacé et sans vie, acceptez la destruction de tout mon être comme un hommage que le veux offrir dès aujourd'hui à votre Majesté divine ; et, à cette heure suprême, Miséricordieux Jésus, ayez pitié de moi ; Enfin, quand mon âme paraîtra devant vous, et qu'elle verra, pour la première fois, la splendeur immortelle de votre divine Majesté, ne la rejetez pas de votre présence, mais daignez me recevoir dans le sein de vos miséricordes, afin que je chante éternellement vos louanges ; et, en ce moment solennel, Miséricordieux Jésus, ayez pitié de moi. PRIERE O Dieu, qui, nous condamnant à la mort, nous en avez caché l'heure et le moment, faites que, passant dans la justice et la sainteté tous les jours de ma vie, je puisse mériter de sortir de ce monde dans votre saint amour, par les mérites de Notre-Seigneur JésusChrist, qui vit et règne avec vous dans l'unité du Saint-Esprit pour les siècles des siècles. Amen. Quelques rappels du Catéchisme de l’Eglise Catholique : Le sens de la mort chrétienne 1010 Grâce au Christ, la mort chrétienne a un sens positif. " Pour moi, la vie c’est le Christ et mourir un gain " (Ph 1,21). " C’est là une parole certaine : si nous mourons avec lui, nous vivrons avec lui " (2Tm 2,11). La nouveauté essentielle de la mort chrétienne est là : par le Baptême, le chrétien est déjà sacramentellement " mort avec le Christ ", pour vivre d’une vie nouvelle ; et si nous mourons dans la grâce du Christ, la mort physique consomme ce " mourir avec le Christ " et achève ainsi notre incorporation à Lui dans son acte rédempteur : Il est bon pour moi de mourir dans (eis) le Christ Jésus, plus que de régner sur les extrémités de la terre. C’est lui que je cherche, qui est mort pour nous ; lui que je veux, qui est ressuscité pour nous. Mon enfantement approche (...). Laissez-moi recevoir la pure lumière ; quand je serai arrivé là, je serai un homme (S. Ignace d’Antioche, Rm 6,1-2). 1011 Dans la mort, Dieu appelle l’homme vers Lui. C’est pourquoi le chrétien peut éprouver envers la mort un désir semblable à celui de S. Paul : " J’ai le désir de m’en aller et d’être avec le Christ " (Ph 1,23) ; et il peut transformer sa propre mort en un acte d’obéissance et d’amour envers le Père, à l’exemple du Christ (cf. Lc 23,46) : Mon désir terrestre a été crucifié ; (...) il y a en moi une eau vive qui murmure et qui dit au dedans de moi " Viens vers le Père " (S. Ignace d’Antioche, Rm 7,2). Je veux voir Dieu, et pour le voir il faut mourir (Ste. Thérèse de Jésus, vida 1). Je ne meurs pas, j’entre dans la vie (Ste. Thérèse de l’Enfant-Jésus, verba). 1012 La vision chrétienne de la mort (cf. 1Th 4,13-14) est exprimée de façon privilégiée dans la liturgie de l’Église : Pour tous ceux qui croient en toi, Seigneur, la vie n’est pas détruite, elle est transformée ; et lorsque prend fin leur séjour sur la terre, ils ont déjà une demeure éternelle dans les cieux (MR, Préface des défunts). 1013 La mort est la fin du pèlerinage terrestre de l’homme, du temps de grâce et de miséricorde que Dieu lui offre pour réaliser sa vie terrestre selon le dessein divin et pour décider son destin ultime. Quand a pris fin " l’unique cours de notre vie terrestre " (LG 48), nous ne reviendrons plus à d’autres vies terrestres. " Les hommes ne meurent qu’une fois " (He 9,27). Il n’y a pas de " réincarnation " après la mort. 1014 L’Église nous encourage à nous préparer pour l’heure de notre mort (" Délivre-nous, Seigneur, d’une mort subite et imprévue " : ancienne Litanie des saints), à demander à la Mère de Dieu d’intercéder pour nous "à l’heure de notre mort" (Prière Ave Maria), et à nous confier à saint Joseph, patron de la bonne mort : Dans toutes tes actions, dans toutes tes pensées tu devrais te comporter comme si tu devais mourir aujourd’hui. Si ta conscience était en bon état, tu ne craindrais pas beaucoup la mort. Il vaudrait mieux se garder de pécher que de fuir la mort. Si aujourd’hui tu n’es pas prêt, comment le seras-tu demain ? (Imitation du Christ 1, 23, 1). Loué sois-tu, mon Seigneur, pour soeur notre mort corporelle, à qui nul homme vivant ne peut échapper. Malheur à ceux qui mourront dans les péchés mortels, heureux ceux qu’elle trouvera dans ses très saintes volontés, car la seconde mort ne leur fera pas mal (S. François d’Assise, ). La purification finale ou Purgatoire 1030 Ceux qui meurent dans la grâce et l’amitié de Dieu, mais imparfaitement purifiés, bien qu’assurés de leur salut éternel, souffrent après leur mort une purification, afin d’obtenir la sainteté nécessaires pour entrer dans la joie du ciel . 1031 L’Église appelle Purgatoire cette purification finale des élus qui est tout à fait distincte du châtiment des damnés. L’Église a formulé la doctrine de la foi relative au Purgatoire surtout aux Conciles de Florence (cf. DS 1304) et de Trente (cf. DS 1820 ; 1580). La tradition de l’Église, faisant référence à certains textes de l’Écriture (par exemple 1 Co 3, 15 ; 1 P 1, 7), parle d’un feu purificateur : Pour ce qui est de certaines fautes légères, il faut croire qu’il existe avant le jugement un feu purificateur, selon ce qu’affirme Celui qui est la Vérité, en disant que si quelqu’un a prononcé un blasphème contre l’Esprit Saint, cela ne lui sera pardonné ni dans ce siècle-ci, ni dans le siècle futur (Mt 12, 31). Dans cette sentence nous pouvons comprendre que certaines fautes peuvent être remises dans ce siècle-ci, mais certaines autres dans le siècle futur (S. Grégoire le Grand, dial. 4, 39). 1032 Cet enseignement s’appuie aussi sur la pratique de la prière pour les défunts dont parle déjà la Sainte Écriture : " Voilà pourquoi il (Judas Maccabée) fit faire ce sacrifice expiatoire pour les morts, afin qu’ils fussent délivrés de leur péché " (2 M 12, 46). Dès les premiers temps, l’Église a honoré la mémoire des défunts et offert des suffrages en leur faveur, en particulier le sacrifice eucharistique (cf. DS 856 ;), afin que, purifiés, ils puissent parvenir à la vision béatifique de Dieu. L’Église recommande aussi les aumônes, les indulgences et les œuvres de pénitence en faveur des défunts : Portons-leur secours et faisons leur commémoraison. Si les fils de Job ont été purifiés par le sacrifice de leur père (cf. Jb 1, 5), pourquoi douterions-nous que nos offrandes pour les morts leur apportent quelque consolation ? N’hésitons pas à porter secours à ceux qui sont partis et à offrir nos prières pour eux (S. Jean Chrysostome, hom. in 1 Cor. 41, 5 : PG 61, 361C). L’enfer 1033 Nous ne pouvons pas être unis à Dieu à moins de choisir librement de l’aimer. Mais nous ne pouvons pas aimer Dieu si nous péchons gravement contre Lui, contre notre prochain ou contre nous-mêmes : " Celui qui n’aime pas demeure dans la mort. Quiconque hait son frère est un homicide ; or vous savez qu’aucun homicide n’a la vie éternelle demeurant en lui " (1 Jn 3, 15). Notre Seigneur nous avertit que nous serons séparés de Lui si nous omettons de rencontrer les besoins graves des pauvres et des petits qui sont ses frères (cf. Mt 25, 31-46). Mourir en péché mortel sans s’en être repenti et sans accueillir l’amour miséricordieux de Dieu, signifie demeurer séparé de Lui pour toujours par notre propre choix libre. Et c’est cet état d’auto-exclusion définitive de la communion avec Dieu et avec les bienheureux qu’on désigne par le mot " enfer ". 1034 Jésus parle souvent de la " géhenne " du " feu qui ne s’éteint pas " (cf. Mt 5, 22. 29 ; 13, 42. 50 ; Mc 9, 43-48), réservé à ceux qui refusent jusqu’à la fin de leur vie de croire et de se convertir , et où peuvent être perdus à la fois l’âme et le corps (cf. Mt 10, 28). Jésus annonce en termes graves qu’il " enverra ses anges, qui ramasseront tous les fauteurs d’iniquité (...), et les jetteront dans la fournaise ardente " (Mt 13, 41-42), et qu’il prononcera la condamnation : " Allez loin de moi, maudits, dans le feu éternel ! " (Mt 25, 41). 1035 L’enseignement de l’Église affirme l’existence de l’enfer et son éternité. Les âmes de ceux qui meurent en état de péché mortel descendent immédiatement après la mort dans les enfers, où elles souffrent les peines de l’enfer, " le feu éternel " (cf. DS 76 ; 409 ; 411 ; 801 ; 858 ; 1002 ; 1351 ; 1575 ; SPF 12). La peine principale de l’enfer consiste en la séparation éternelle d’avec Dieu en qui seul l’homme peut avoir la vie et le bonheur pour lesquels il a été crée et auxquels il aspire. 1036 Les affirmations de la Sainte Écriture et les enseignements de l’Église au sujet de l’enfer sont un appel à la responsabilité avec laquelle l’homme doit user de sa liberté en vue de son destin éternel. Elles constituent en même temps un appel pressant à la conversion : " Entrez par la porte étroite. Car large et spacieux est le chemin qui mène à la perdition, et il en est beaucoup qui le prennent ; mais étroite est la porte et resserré le chemin qui mène à la Vie, et il en est peu qui le trouvent " (Mt 7, 13-14) : Ignorants du jour et de l’heure, il faut que, suivant l’avertissement du Seigneur, nous restions constamment vigilants pour mériter, quand s’achèvera le cours unique de notre vie terrestre, d’être admis avec lui aux noces et comptés parmi les bénis de Dieu, au lieu d’être, comme de mauvais et paresseux serviteurs, écartés par l’ordre de Dieu vers le feu éternel, vers ces ténèbres du dehors où seront les pleurs et les grincements de dents (LG 48). 1037 Dieu ne prédestine personne à aller en enfer (cf. DS 397 ; 1567) ; il faut pour cela une aversion volontaire de Dieu (un péché mortel), et y persister jusqu’à la fin.Dans la liturgie eucharistique et dans les prières quotidiennes de ses fidèles, l’Église implore la miséricorde de Dieu, qui veut " que personne ne périsse, mais que tous arrivent au repentir " (2 P 3, 9) : Voici l’offrande que nous présentons devant toi, nous, tes serviteurs, et ta famille entière : dans ta bienveillance, accepte-la. Assure toi-même la paix de notre vie, arrache-nous à la damnation et reçois-nous parmi tes élus (MR, Canon Romain 88). Pratique : recevez le bulletin mensuel et/ou les annonces hebdomadaires par courriel : adressez-nous votre demande à : secretariatsaintgeorges AT gmail.com, en précisant : « Abonnement bulletin » et/ou « abonnement annonces paroissiales » Homélie du pape Benoît XVI pour la Toussaint 2006 (extraits) C omment pouvons-nous devenir saints, amis de Dieu? On peut répondre à cette interrogation tout d'abord par une négation: pour être saint, il n'est pas nécessaire d'accomplir des actions et des oeuvres extraordinaires, ni de posséder des charismes exceptionnels. On peut ensuite répondre par une affirmation: il est nécessaire avant tout d'écouter Jésus, et de le suivre sans se décourager face aux difficultés. "Si quelqu'un me sert nous avertit-Il - qu'il me suive, et là où je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu'un me sert, mon Père l'honorera" (Jn 12, 26). Celui qui a confiance en Lui et l'aime d'un amour sincère, comme le grain de blé tombé en terre, accepte de mourir à luimême. En effet, il sait que celui qui veut garder sa vie pour lui-même la perd, et que celui qui se donne, se perd, et trouve précisément ainsi la vie. (cf. Jn 12, 24-25). L'expérience de l'Eglise démontre que toute forme de sainteté, tout en suivant des parcours différents, passe toujours par le chemin de la croix, le chemin du renoncement à soi-même. Les biographies des saints décrivent des hommes et des femmes qui, dociles aux desseins divins, ont parfois affronté des épreuves et des souffrances indescriptibles, des persécutions et le martyre. Ils ont persévéré dans leur engagement, "ce sont ceux qui viennent de la grande épreuve - lit-on dans l'Apocalypse ils ont lavé leurs robes et les ont blanchies dans le sang de l'Agneau" (v. 14). Leurs noms sont inscrits dans le livre de la vie (cf. Ap 20, 12); leur demeure éternelle est le Paradis. L'exemple des saints est pour nous un encouragement à suivre les mêmes pas, à ressentir la joie de celui qui a confiance en Dieu, car l'unique cause véritable de tristesse et de malheur pour l'être humain est de vivre loin de Lui. La sainteté exige un effort constant, mais elle est à la portée de tous car, plus que l'oeuvre de l'homme, elle est avant tout un don de Dieu, trois fois Saint (cf. Is 6, 3). Dans la seconde Lecture, l'Apôtre Jean observe: "Voyez quelle manifestation d'amour le Père nous a donnée pour que nous soyons appelés enfants de Dieu. Et nous le sommes!" (1 Jn 3, 1). C'est donc Dieu qui nous a aimés en premier et qui, en Jésus, a fait de nous ses fils adoptifs. Dans notre vie, tout est don de son amour: comment demeurer indifférents face à un si grand mystère? Comment ne pas répondre à l'amour du Père céleste par une vie de fils reconnaissants? Dans le Christ, il nous a fait don de tout son être, et nous appelle à une relation personnelle et profonde avec Lui. C'est pourquoi, plus nous imitons Jésus et demeurons unis à Lui, plus nous entrons dans le mystère de la sainteté divine. Nous découvrons qu'Il nous aime de façon infinie, et cela nous pousse à notre tour à aimer nos frères. Aimer implique toujours un acte de renoncement à soi-même, de "se perdre soi-même" et, précisément ainsi, cela nous rend heureux. Ainsi, nous sommes arrivés à l'Evangile de cette fête, à l'annonce des Béatitudes que nous venons d'entendre retentir dans cette Basilique. Jésus dit: Heureux ceux qui ont une âme de pauvre, heureux les doux, heureux les affligés, heureux les affamés et les assoiffés de justice, les miséricordieux, heureux les coeurs purs, les artisans de paix, les persécutés pour la justice (cf. Mt 5, 3-10). En vérité, le bienheureux par excellence est uniquement Lui, Jésus. En effet, c'est Lui qui a véritablement une âme de pauvre, l'affligé, le doux, l'affamé et assoiffé de la justice, le miséricordieux, le coeur pur, l'artisan de paix; c'est Lui le persécuté pour la justice. Les Béatitudes nous montrent la physionomie spirituelle de Jésus, et expriment ainsi son mystère, le mystère de Mort et de Résurrection, de Passion, et de joie de la Résurrection. Ce mystère, qui est le mystère de la véritable Béatitude, nous invite à suivre Jésus et, ainsi, à nous acheminer vers elle. Dans la mesure où nous accueillons sa proposition et nous nous plaçons à sa suite - chacun selon ses conditions -, nous aussi, nous pouvons participer à sa béatitude. Avec Lui, l'impossible devient possible et même un chameau peut passer par le trou d'une aiguille (cf. Mc 10, 25); avec son aide, et uniquement avec son aide, il est possible de devenir parfaits comme le Père céleste est parfait (cf. Mt 5, 48). Chers frères et soeurs, entrons à présent dans le coeur de la Célébration eucharistique, encouragement et aliment de sainteté. Dans quelques instants deviendra présent de la façon la plus élevée le Christ, véritable Vigne, à laquelle, en tant que sarments, sont unis les fidèles qui sont sur terre et les saints du ciel. Ainsi se renforcera la communion de l'Eglise en pèlerinage dans le monde avec l'Eglise triomphante dans la gloire. Dans la Préface, nous proclamerons que les saints sont pour nous des amis et des modèles de vie. Invoquons-les afin qu'ils nous aident à les imiter et engageons-nous à répondre avec générosité, comme ils l'ont fait, à l'appel divin. Invoquons en particulier Marie, Mère du Seigneur et miroir de toute sainteté. Qu'Elle, la Toute Sainte, fasse de nous de fidèles disciples de son fils Jésus Christ! Amen. Repas paroissial annuel au lycée Don Bosco dimanche 16 novembre (anniversaire de la Dédicace). Inscriptions closes le lundi 10 novembre (fiches d’inscription sur les tables ou en pièce-jointe) Synode sur la famille et « année de la vie consacrée » A première vue il n’y a pas de liens entre le synode des évêques qui a commencé à se pencher sur la question de la famille dans le monde de notre temps, et « l’année de la vie consacrée » décrétée par le pape François pour l’année 2015. Mais si nous y regardons de plus près, nous pouvons trouver bien des relations intéressantes et éclairantes pour nous tous. De quoi s’agit-il ? Je ne reviendrai pas longuement sur les « enfumages » médiatiques, sur fond de cafouillage intra-ecclésial, qui ont accompagné la première partie du synode à Rome. Le travail des évêques n’est pas fini et le texte voté par les « pères synodaux » à la fin de leur assemblée n’est qu’un document de travail pour l’année à venir. Je rappelle simplement « en passant » qu’un synode ne prend aucune décision par lui-même, mais qu’il fait au pape des propositions à la fin de ses travaux. A charge ensuite au pape de publier une « exhortation apostolique post-synodale » en retenant ce qu’il veut des propositions épiscopales. En tout état de cause, il ne faut pas que ce synode important éclipse l’année de la vie consacrée voulue elle aussi par le pape. Dans notre archidiocèse, cette année s’ouvrira le 21 novembre prochain par une Messe célébrée à 19h à la Primatiale en la fête de la Présentation de la Vierge Marie au Temple de Jérusalem. La vie consacrée une alliance d’amour avec Dieu particulière En un sens tout baptisé est une personne consacrée à Dieu et au salut de son prochain. Tout baptisé est appelé à suivre Jésus, à conformer sa vie à la sienne. Dieu s’est fait homme et il a voulu connaître une vie de pauvreté, de chasteté et d’obéissance pour notre salut. Chacun de nous est appelé à imiter Jésus et donc à vivre dans la chasteté, la pauvreté et l’obéissance. Chacun selon son état de vie (cf. Lumen Gentium n°42). Cependant, le Seigneur vient au devant de certaines personnes par le don d’une vocation spécifique. Il appelle certains à une donation radicale à sa suite. Ce qui caractérise ainsi la vie consacrée c’est la profession publique (engagement public et liturgique) des trois conseils évangéliques (pauvreté, chasteté, obéissance) pour se donner au Seigneur avec un cœur « sans partage » (1 Co 7, 34). C’est Dieu qui vient faire alliance avec une âme baptisée pour l’appeler à être radicalement et exclusivement son épouse. « Tu m’as séduit Seigneur et je me suis laissé séduire » (Jr 20, 7). C’est une alliance sponsale d’une âme avec Dieu qui a des répercutions radicales sur toute la vie. La personne baptisée qui y est appelée renonce à toute propriété privée, à l’exercice de sa sexualité, et elle promet obéissance pour être davantage « tout à tous ». « Dans la Tradition de l’Eglise, la profession religieuse est considérée comme un approfondissement unique et fécond de la consécration baptismale » (Vita consacrata n° 30 de saint Jean-Paul II) : « être ton épouse, ô Jésus (…) être par union avec toi, la mère des âmes » (Ste Thérèse de l’Enfant-Jésus). Des formes diverses de vie consacrée La vie consacrée est riche. Donnons des exemples concrets : un moine ou une moniale qui vit une vie strictement contemplative dans la clôture de son monastère, un religieux ou une religieuse apostolique qui vit dans son couvent et qui en sort pour venir en aide à son prochain (par des œuvres de miséricorde corporelle ou spirituelle), une vierge consacrée par son Evêque qui vit dans le monde, un ermite, une veuve consacrée qui fait vœu de chasteté perpétuelle pour le Royaume des cieux, un membre d’un « institut séculier » qui lui aussi vit dans le monde mais qui a prononcé des vœux de consécration (par exemple : l’Institut Notre-Dame de Vie), un membre d’une « société de vie apostolique »… Nous savons que notre communauté de Saint-Georges a eu la grâce de voir un certains nombres de ses membres entrer dans la vie consacrée (vie monastique et religieuse notamment) et qu’elle compte aujourd’hui en son sein plusieurs vierges consacrées. Dans notre diocèse nous avons deux Carmels (Fourvière et Yzeron), des bénédictines à Pradines, une bonne douzaine de paroisses confiées à des Instituts de vie consacrée ou à des communautés dites « nouvelles ». Il y a aussi les centres spirituels animés par des religieux : Le Chatelard (Jésuites), Valpré (Assomptionnistes), le centre Don Bosco (Salésiens), le couvent de la Tourette (Dominicains), la Neylière (Maristes)… Le mariage et la vie consacrée : deux phares complémentaires de la fidélité de Dieu Dieu est toujours fidèle. Les époux mariés sacramentellement ne sont eux pas toujours fidèles à leur engagement pris devant Dieu et la communauté de l’Eglise. Les consacrés, eux aussi, ne sont pas toujours fidèles à leur engagement public de vivre selon les trois conseils. Et pourtant le mariage sacramentel d’un homme et d’une femme baptisés est le signe réelle de la fidélité du Christ envers son épouse l’Eglise (cf. Ep 5 et Familiaris Consortio n° 13 de saint Jean-Paul II). De même, la personne consacrée est le signe vivant de l’alliance que Dieu veut avec chacune de ses créatures et le signe vivant de ce que nous serons après la résurrection de notre corps (les personnes consacrées anticipent dans leur vie d’ici-bas ce que nous vivrons éternellement corps et âme avec Dieu). Un mariage fidèle et saint et une personne consacrée fidèle et sainte, un prêtre fidèle et saint sont des signes lumineux et missionnaires dans le monde qui nous parlent de la fidélité de Dieu. Ils témoignent à leur manière de Dieu et de sa fidélité. A nous de prier pour les personnes consacrées et pour les couples mariés, sans oublier les prêtres, afin que tous contribuent par leur fidélité à la parole donnée à être des signes de la fidélité de Dieu. Nous avons besoin de saints époux, de saintes personnes consacrées, de saints prêtres. Abbé Laurent Spriet + Quatre nouveaux catéchumènes Q uelle joie le Seigneur nous a faite le dimanche 26 octobre dernier avec l’entrée liturgique de quatre nouveaux catéchumènes adultes ! Emiliane, Virginie, Samuel et Mirsad comptent sur notre prière dans leur cheminement vers le baptême. Le Seigneur est intervenu dans leur vie. Il leur a donné un commencement de foi en Lui et Il les a appelés au baptême. Quel mystère ! La liberté humaine et la grâce de Dieu sont deux réalités qui nous dépassent… Nous savons la nécessité de la grâce dans la vie chrétienne : sans Jésus nous ne pouvons rien faire (Jn 15). Déjà l’an dernier nous avons eu la grâce de voir le Seigneur baptiser cinq adultes (Virginie, Rachel, Mélissa, Iréna, Julie) au sein de notre communauté. Arnaud avait fait son entrée en catéchuménat en même temps que Julie : il a souhaité faire une pause. Nous devons le porter dans notre prière et respecter sa liberté. Etre catéchumène n’est pas une sinécure. Il faut que nous portions nos catéchumènes et nos néophytes dans notre prière pour qu’ils puissent persévérer et même grandir (comme nous) dans la sainteté et la fidélité au Seigneur. Cela ne nous dispense par non plus de les entourer de notre affection et notre attention tantôt discrètes tantôt manifestes mais toujours efficaces. Enfin, dès maintenant, il faut considérer l’avenir et continuer à demander de nouveaux catéchumènes au Seigneur ! Nous n’avons jamais trop de catéchumènes puisque le Seigneur est mort pour tous et qu’Il veut le salut éternel de tous. Demandons au Christ la grâce d’être de bons missionnaires du salut qu’Il offre à chaque personne humaine. Abbé Laurent Spriet + Garde d’Honneur du Sacré-Cœur « GLOIRE, AMOUR, RÉPARATION AU CŒUR DE JÉSUS » Petit rappel : Le but du conseil de notre fondatrice est de nourrir notre heure quotidienne et le mettre en pratique pour réparer et consoler le Cœur blessé de Jésus. Ayons une pensée, une prière pour ceux et celles qui nous ont quittés. Voici ce que suggérait Soeur Marie du Sacré-Coeur Bernaud, la fondatrice : LES AMES DU PURGATOIRE cette époque de l’année où l’Eglise les mentionne plus particulièrement, multiplions les actes de piété en leur faveur. Nous ne nous tromperons pas sur leur attente. Ainsi les âmes de nos frères défunts feront la douce expérience, qu’au-delà de leur tombeau, elles restent de la famille du Cœur de Jésus. Les gardes d’honneur s’empresseront de recueillir le précieux sang et l’eau sortis de la blessure du divin Cœur et les répandront comme une onde rafraichissante sur les âmes afin de hâter leur bonheur éternel. Il faut qu’une sainte ambition nous anime durant ce mois : celle de ne laisser aucune garde d’honneur au purgatoire. Nous ne parlons pas A seulement de nos parents qui, sans aucun doute, ont déjà notre suffrage, mais de toutes ses âmes détenues au purgatoire et surtout celles qui sont délaissées, oubliées. Cette dévotion est intimement liée à celle du Sacré Cœur. Ste Marguerite Marie la pratiquait elle-même à un degré héroïque, elle avait compris que l’une des plus douces consolations à offrir au Cœur très aimant de notre Seigneur était de lui rendre nombre d’âmes captives que sa Justice ne pouvait délivrer lui-même. Faisons célébrer des messes pour ces « bonnes amies souffrantes » comme elle les nommait. Dans la mesure de nos forces et de notre ferveur, offrons quelques sacrifices, quelques privations : réprimons notre curiosité, l’impétuosité de notre langue, la recherche du superflu, le plaisir de nos sens… en vue de soulager les âmes qui avaient péché par là-même. Ce seront de riches aumônes qui nous seront rendues quand, à notre tour, nous descendrons dans le feu purificateur. Nos frères et sœurs de la Garde d’honneur viendront nous en tirer comme nous aurons essayé d’en arracher les âmes qui sollicitaient notre secours, le Seigneur Jésus ne ditIl pas : « on se servira envers vous de la même mesure dont vous vous serez servis envers les autres. » (Sr Marie du Sacré Cœur Bernaud) Nous « offrons nos corps en hostie vivante, sainte, agréable à Dieu », au sein du Corps du Christ que nous formons, et en communion avec l’offrande de son Eucharistie. Catéchisme de l’Église Catholique, n°2031. Rejoignez, vous aussi, la Garde d’Honneur du Sacré-Cœur à Saint-Georges ! Renseignements auprès de Marie-Odile Bonfils, zélatrice 06 38 66 45 27 et sur le site http://www.gardedhonneurdusacrecoeur.org CINEMA : L’Apôtre de Cheyenne-Marie Carron (2014) FR Nous le projetterons le lundi 12 janvier à l’espace Saint-Ignace (chez les jésuites, 20 rue Sala). Le film sera suivi d’un témoignage de converti et peut-être d’un acteur. Retirez vos billets dès maintenant auprès du secrétariat de Saint-Georges (200 places disponibles maximum). Banlieue parisienne. Akim est un jeune musulman qui se destine, avec son frère Youssef, à devenir imam. La sœur d'un prêtre catholique de son quartier est assassinée par un voisin. Ce prêtre décide de continuer à vivre auprès de la famille de l'assassin, car il sent que cela les aide à vivre. Interpellé par cet acte de charité, Akim s'engage dans un chemin de conversion au christianisme, qui va l'opposer à son frère et à l'ensemble de sa communauté. Par son attitude chrétienne il ébranlera aussi son frère Youssef. Avec : Fayçal Safi (Akim), Brahim Tekfa (Youssef, le frère), Sarah Zaher (Hafsa, la soeur), Salah Sassi (Abdellah), Norah Krief (Maya, la mère), Yannick Guérin (le prêtre, Père Fauré). Récompense : Prix spécial de la fondation Capax Dei au festival Mirabile Dictu (2014). L’intelligence et le cœur…Tels sont les deux mots qui peuvent définir le huitième film de Cheyenne Carron (courts métrages compris) devenue par le baptême à Pâques de cette année CheyenneMarie Carron. L’intelligence Elle réside dans cette façon limpide de mettre en évidence le mur doctrinal quasiment inviolable que constitue l’Islam avec le Coran. Le héros, Akim, et le spectateur à travers lui, se heurtent tout au long du récit à ce mur infranchissable. L’intelligence aussi parce que si le film s’attache à mettre en évidence la pression du milieu familial musulman sur Akim, la déstabilisation aussi de la famille suite à sa conversion, le film ne contient aucune insulte, aucune scène outrancière vis-à-vis des musulmans et de l’islam en général et ne tombe pas dans le piège du manichéisme. S’il montre l’attitude hostile des musulmans envers les « apostats », c’est par un souci de vérité, mais cela est fait avec une vraie volonté de lutter contre des préjugés: Ceux que les Français de tradition chrétienne peuvent avoir contre les musulmans, mais sans doute plus encore ceux que les musulmans ont à l’encontre des chrétiens et la mise en relief des a priori et de leur violence a de quoi faire réfléchir. Tout est traité avec un grand respect de chacune des croyances des protagonistes, chrétiens ou musulmans, avec leurs doutes et leurs certitudes. Le cœur Précisément car seule la charité peut permettre de surmonter cet obstacle presque physique. Ici la charité s’exprime à un haut niveau au travers de l’exemple du prêtre qui déclenche chez Akim un choc émotionnel qui lui permet de sortir de l’enceinte islamique dans laquelle il est enfermé par sa naissance et son milieu. A un niveau plus modeste, ordinaire ou quotidien pourrait-t-on dire, la charité se manifeste par le geste d’un jeune père de famille blanc qui propose son aide à Akim après un petit accident de la circulation. Le cœur aussi parce que la cinéaste au travers de son film rend un hommage particulier à l’Abbé Faure qu’elle a connu dans son enfance et sa jeunesse. Ce prêtre a perdu sa sœur, étranglée par le fils de ses voisins, des musulmans d’origine marocaine. En dépit de ce drame, l’Abbé Faure est resté dans ce village pour continuer son ministère proche des parents de l’assassin car « sa présence les aidait à vivre ». A ce propos la jeune réalisatrice précise : « Ce n’est pas mon but d’encourager les spectateurs à la conversion ; mon idée, c’est de laisser une trace de la bonté de cet homme. Des « DVD » circuleront, des gens iront le voir au cinéma, et on se souviendra de cet homme » (propos recueillis par Rue 89, Le Nouvel Observateur.com, 30.08.2014). Le film est réalisé avec des moyens très limités puisque le budget s’est élevé à quarante-cinq mille euros. Malgré ceci qui affecte quelque peu la réalisation (des images qui tanguent un peu trop en raison d’une caméra tenue au poing pour des raisons économiques, des raccords de séquences abrupts) le film est d’assez bonne facture, basé sur une construction scénaristique solide, des dialogues justes, il est nerveusement mis en scène et finalement plein d’énergie. On regrettera une chose, le dernier plan qui montre Akim et son frère Youssef, réconciliés comme frères mais qui prient leur Dieu côte à côte, chacun à sa façon. Cette image si elle veut montrer cette réconciliation humaine de deux frères de sang a le défaut majeur de donner à croire au spectateur non formé que la religion Catholique et l’islam c’est au fond la même chose, mettant ainsi sur le même plan la vérité et l’erreur. D’ailleurs, la question se pose de savoir si le film n’aurait pas pu s’arrêter plus tôt pour éviter cette fin en forme de « happy-end ». Et dans cette perspective, il est vraisemblable que le moment idéal se situe lorsque la famille d’Akim réunie autour de l’oncle et imam le convoque et qu’il lui est demandé de confirmer son appartenance à l’islam. Juste après la question posée, le film pouvait se terminer sur le visage d’Akim juste avant qu’il ne réponde ! La soudaineté de cette chute aurait eu l’avantage de donner une grande force au propos, de faire toucher du doigt au spectateur toute la gravité de la situation et de rester au cœur du problème. Moi, Chrétien, que vais-je répondre si un jour il m’est demandé d’abjurer ma foi ? Toute la question est là ! Un mouvement de métanoïa Mais, et c’est sans doute le plus extraordinaire, simple dans ses moyens et sa forme le film est tellement sincère et vrai qu’il parvient à faire poindre à fleur d’image au-delà de l’espérance et de la charité qui l’irradient déjà ce « phénomène » si difficilement représentable qu'on appelle la foi : une grâce qui peut vous tomber dessus sans crier gare. Dieu vient rejoindre Akim dans sa volonté d'être un musulman exemplaire alors qu’il se prépare à devenir imam, et lui montre qu'au-delà des traditions reçues, toute idée que l'on se fait de Lui est nécessairement incomplète et, bien souvent, à l'image de nos propres limites...Ce mouvement de métanoïa est très finement restitué et rendu notamment perceptible par le jeu tout en subtilité et sincérité du jeune Faycal Safi qui interprète Akim. Le film devient alors lui-même apôtre, ce qui est la volonté de CheyenneMarie Carron qui veut « être apôtre en passant des messages chrétiens par le cinéma »…« Je ne peux pas évangéliser, c’est la grâce qui doit permettre de s’exprimer. Je ne suis qu’un instrument de la bonne parole. [...] Les gens ont soif de spiritualité plus que jamais, et la percée du cinéma catholique n’est pas un phénomène qui va passer de sitôt. La France a besoin de beau, de grâce et de grandeur. ». Voilà un film qui, déjà à l’origine privé de tout financement du Centre National du Cinéma, mériterait d’être correctement distribué et qui est injustement maltraité par les réseaux professionnels de distribution. Heureusement, la fondation catholique Capax Dei au Festival Mirabile Dictu a su réparer partiellement cette injustice en récompensant ce film pour le talent, pour le courage dans la prise de risque et pour son message universel et donc catholique. Mirabile dictu (Belles choses à dire) : 4/5. Un paroissien. Le DVD du film « Cristeros » sera disponible dès le 17 novembre. Ne manquez pas de l’acheter pour vous-mêmes et pour offrir. Mois des âmes du purgatoire (novembre) RAPPELS : Indulgences pour les défunts L es indulgences sont la rémission devant Dieu de la peine temporelle due pour les péchés dont la faute est déjà pardonnée. À certaines conditions, le fidèle acquiert cette rémission, pour lui-même ou pour les défunts, par le ministère de l’Église qui, en tant que dispensatrice de la rédemption, distribue le trésor des mérites du Christ et des saints. (Compendium, 312) Pour gagner l’indulgence plénière, en plus d’exclure toute affection au péché, même véniel, il est requis d’accomplir l’œuvre indulgenciée et de remplir les trois conditions : confession sacramentelle, communion eucharistique et prière aux intentions du Souverain Pontife. Les trois conditions peuvent être remplies plusieurs jours avant ou après l’accomplissement de l’œuvre prescrite ; cependant, il convient de recevoir la communion et de prier aux intentions du Souverain Pontife le jour même où l’on accomplit l’œuvre. Du 1er au 8 NOVEMBRE: Une indulgence plénière, applicable seulement aux âmes du Purgatoire, est accordée au fidèle : - qui visite dévotement le cimetière et prie pour les défunts, ne serait-ce que mentalement, entre le 1er et le 8 novembre. - le jour où est célébrée la commémoration de tous les fidèles défunts (ou bien, avec le consentement de l’Ordinaire, le dimanche précédent ou suivant, ou le jour de la solennité de la Toussaint), visite pieusement une église ou un oratoire et y récite le Pater et le Credo. Source : Pénitencerie Apostolique, Manuel des Indulgences, Rome, 1999-2000, concessions 29 et 33. Prière à Notre-Dame de Montligeon Notre Dame libératrice, prenez en pitié tous nos Frères défunts, spécialement ceux qui ont le plus besoin de la miséricorde du Seigneur. Intercédez pour tous ceux qui nous ont quittés afin que s’achève en eux l’œuvre de l’Amour qui purifie. Que notre prière unie à celle de toute l’Église leur obtienne la joie qui surpasse tout désir et apporte, ici-bas, consolation et réconfort à nos frères éprouvés ou désemparés. Mère de l’Église, aidez-nous, pèlerins de la terre à mieux vivre chaque jour notre passage vers la Résurrection. Guérissez-nous de toute blessure du cœur et de l’âme. Faites de nous des témoins de l’Invisible, déjà tendus vers les biens que l’œil ne peut voir, des apôtres de l’espérance semblables aux veilleurs de l’aube. Refuge des pécheurs et Reine de tous les saints, rassemblez-nous tous un jour, pour la Pâque éternelle, dans la maison du Père, par Jésus, le Christ, notre Seigneur. Amen. Dates à retenir Catéchisme (CP à CM2) : mercredi de 9h30 à 10h45 à la MSB. Lycéens : de 19h à 20h à la MSB par l’abbé Spriet. Prochains cours le 5 novembre puis 19 novembre Etudiants et jeunes pros : un soir par mois à 19h30. Prochaine rencontre le lundi 17 novembre «Sacrosanctum Concilium et la réforme liturgique » par l’abbé de Montjoye (au cercle Charles Péguy, 15 rue Sala). Topo, suivi d’un dîner partagé (porter quiches, salades, boissons…). Fin vers 21h30/22h. Soirée jeunes couples : un soir par trimestre à la MSB à 20h (dîner-débat). Prochaine rencontre : jeudi 26 novembre Catéchisme pour jeunes pros et adultes : un lundi par mois de 20h à 22h au collège Bx F. & J. de Fatima avec l’abbé Spriet. Prochaine rencontre : lundi 10 novembre « La Sainte Trinité » (CEC 185-278) Initiation à l’Ancien Testament : un soir par mois de 20h15 à 21h30 à la MSB avec l’abbé de Montjoye. Prochaine rencontre : jeudi 20 novembre. Rosaire Vivant des jeunes (18-25 ans) : une fois par mois de19h à 21h à la MSB. Contact : [email protected]. Prochaines rencontres : mardi 4 novembre (la théorie du genre) et jeudi 20 novembre (« qui est mon prochain ? ») Nuit d'adoration : vendredi 7 novembre de 22h30 (en raison de la veillée de prières et de témoignage pour les chrétiens d’Orient ; voir annonce infra) à 9h du matin Exceptionnellement il n’y aura pas d’adoration méditée pour la Garde d’Honneur. Adoration à l’église jusqu’à 23h30, à la crypte de 23h30 à 9h du matin. Les garçons qui souhaiteraient dormir à la MSB pendant la nuit d’adoration peuvent se manifester (deux cellules et un dortoir disponibles, apporter son sac de couchage). Evangélisation de rue : vendredi 7 novembre autour de l’église de 22h30 à 23h30 pendant l’adoration. Contact : Joseph Coutin 06 98 64 88 67 ou [email protected] Servants de messe : répétitions samedi 8 novembre de 14h30 à 15h30, puis le samedi 22 novembre à 14h, suivi d’un enseignement et goûter à la MSB (fin à 16h15) Responsable des enfants de chœur : Théo Soubeyrand-Sévenier : 06 61 95 10 80 ou theo.sevenier AT hotmail.fr Chœur grégorien (chœur d’hommes et chœur de femmes) : répétitions le mardi après la messe, de 19h15 à 20h. Journée grégorienne à l'abbaye Notre Dame de Triors : samedi 6 décembre. Inscriptions au secrétariat. Aucune participation financière n'est demandée pour ces journées. Chacun peut, selon ses possibilités, laisser un petit don à l'abbaye dans une enveloppe que je fais circuler ou dans le tronc de l'église. Chorales polyphoniques : N’hésitez pas à rejoindre une des deux chorales ! pour la messe de 10h30 : répétition le mardi à 20h et le dimanche à 10h Contacter Felipe Lesage : 06 48 63 07 64 pour la messe de 19h : répétition le jeudi à 20h et le dimanche à 18h Contacter Sarah Lyonnet : 06 65 01 42 82 NOUVEAU : "Appréciation de la Musique Sacrée" Pour tous ! À partir du mois de novembre et une fois par mois, se dérouleront à la Maison Sainte-Blandine des rencontres mensuelles visant à cultiver un imaginaire commun au sujet de la musique de notre Église chez nos paroissiens par le biais de l'écoute de morceaux choisis, de petites lectures et d'échanges. Voici le plan des deux premières rencontres: - Mercredi 7 novembre à 20h : La Musique Sacrée Aujourd'hui Marco Frisina, Eric Whitacre, Olivier Messiaen, Almeida Prado etc. - Mercredi 3 décembre à 20h : La Musique Sacrée à Saint Georges Exposé de ce qui a été fait à Saint Georges. Conférence saint-Vincent de Paul : si vous voulez donner de votre temps pour visiter des personnes seules (à domicile ou en maison de retraite), rejoignez notre équipe de la Conférence Saint-Vincent de Paul ! Il y a des personnes à visiter peut-être près de chez vous sans que vous le sachiez. Merci d’avance. Prochaine réunion de l’équipe « Saint-Georges » mercredi 12 novembre à 20h15. Scouts d’Europe à Saint-Georges : Contact : Hubert Engelmann 06 99 05 46 66 Foyers Domus Christiani : Contact : Bernard et Chantal PERREAU : bernardperreau AT gmail.com - tel : 09 81 15 62 60 - www.domus-christiani.org. Pèlerinage à Ars : Pèlerin d’un jour : un vendredi par mois (généralement le premier vendredi du mois), nous proposons à ceux qui n’ont pas l’occasion, d’aller à Ars et à ceux qui le souhaitent, de se regrouper et d’aller dans ce beau lieu de Miséricorde. Départ 9h devant l’église St Georges, retour départ d’Ars entre 15h et 15h15 ! Prochaine date : vendredi 7 novembre. Contact impératif : Isabelle Tixier 06 15 40 40 68. Equipe fleurs : contacter Brigitte Horiot : bhoriot AT gmail.com Garderie : Pour que la messe demeure recueillie, merci de ne pas laisser les enfants crier dans l’église. L’éducation commence dès le plus jeune âge. Si les gazouillis ne sont pas une vraie gène, les cris le sont pour vos voisins, pour le célébrant, parfois même pour le prêtre qui essaye de confesser à côté, et pour vous-mêmes. La garderie se tient à la crypte (entrée par l’escalier derrière l’orgue ou par la petite porte extérieure, côté nord). Merci. Equipe Sainte Marthe (« panier du curé ») : rejoignez l’équipe des cuisinières pour porter un repas par mois (pour trois personnes) ou des courses à la MSB. Contact : Marie-Odile Bonfils : 06 38 66 45 27 Ménage spécial étudiants : samedi 29 novembre (10h-12h) pour que l’église soit propre comme un sou neuf pour accueillir les nombreux touristes du 8 décembre ! Le ménage sera suivi d’un repas à la maison Sainte-Blandine. S’inscrire à l’avance pour le repas auprès de l’abbé de Montjoye. Veillée de prière et de témoignage en communion avec les Chrétiens d’Orient vendredi 7 novembre à Saint-Georges avec SOS Chrétiens d’Orient 18h30 : messe chantée (messe votive du Sacré Cœur) 20h : témoignages : Roueda Khoury (Syrie), Père Anis Hanna (Irak) 22h30 : adoration (toute la nuit) Concerts de musique sacrée à Saint-Georges avec l’ensemble instrumental et vocal Agamemnon Samedi 22 novembre à 20h30 Accademia della Morte - Cantates et sonates de l'institution ferrarese Entrée libre Le Père Richard Wasik, de l’Aide à l’Eglise en Détresse, viendra prêcher le dimanche 23 novembre à Saint-Georges (8h30, 10h30 et 19h), et vous proposer les différentes manières de soutenir l’action de l’A.E.D. http://www.aed-france.org/ Inauguration de la stèle des Conciles de 1252 et 1274 vendredi 21 novembre à 20h à la Primatiale Deux conciles ont eu lieu à Lyon dans la primatiale Saint-Jean, en 1252, avec le pape Innocent IV, et en 1274, avec le pape Grégoire X. Le concile de 1252 a réuni 150 évêques, abbés et supérieurs généraux. Le concile de 1274 a réuni 500 évêques et 70 abbés ou prieurs. Saint Bonaventure mourut au cours de la 4ème session et saint Thomas d’Aquin mourut en venant au concile. Samedi 29 et dimanche 30 novembre : RELIQUES du Bx Jose Sanchez del Rio à Saint-Georges Cristero mexicain de 14 ans torturé puis exécuté, héros du film « Cristeros » Les enfants seront invités à vénérer les reliques Veillée pour la Vie naissante Samedi 29 novembre de 20h30 à 21h30 à la basilique de Fourvière Présidée par le Cardinal Barbarin En union avec le Pape et de nombreux diocèses de France et du monde. Écoute de la parole. Témoignages. Catéchèse du cardinal Barbarin. Prier et chanter avec Marie. Contact : [email protected] / 04 78 814 830 « Mission du 8 » à Saint-Georges Soirée d’évangélisation et d’adoration à l’église Saint-Georges vendredi 5 décembre Dîner de 20h à 21h au cercle Charles Péguy, topo de 21h à 22h (abbé Laurent Spriet), adoration et évangélisation de 22h à 23h. Contact : Joseph COUTIN : 06 98 64 88 67 ou : josephcoutin @ yahoo.fr PELERINAGE A ROME AVEC LES ETUDIANTS du 13 au 19 avril (avec l’abbé de Montjoye) Places limitées. Prix approximatif : 400 € (transport, logement, repas, visites) Renseignements et inscriptions dès maintenant auprès de l’abbé de Montjoye STATUES PELERINES Statue pèlerine de ND de France : pour solenniser la prière du rosaire en famille, préparer ou renouveler une consécration mariale, ou simplement donner la joie aux enfants que nous sommes de recevoir chez eux leur Mère du Ciel. Statue pèlerine de l’Enfant-Jésus de Prague : pour faire prier en particulier les enfants à la maison. Une valise et différents livrets, brochures, images, chapelets, accompagnent chaque statue. Les statues se récupèrent à la sacristie le dimanche après la messe et sont rendues le dimanche suivant, avant la messe, au même endroit. Carnet de famille Nos joies : Naissance d'Adélaïde, premier enfant d'Edouard et de Blandine LANGLOIS, le 3 octobre Naissance d’Augustin, quatrième enfant de Pierre-Antoine et Madeleine-Sophie FARHAT, le 26 octobre. Baptême de Foucauld, cinquième enfant de Vincent et Marie-Hombeline PONCHON de SAINT-ANDRE, le 26 octobre. Première Communion de Marie-Liesse, fille de David et Aude VALANCOGNE, le 12 octobre. Mariage de Gilles de LA LAURENCIE et d'Isabelle CAMUS à Chessy-les-Mines (69) le samedi 25 octobre. Entrée en catéchuménat d'Emiliane et Virgine DESMAREST, de Samuel VEYS et de Mirsad TORPELLI, le dimanche 26 octobre. Nos peines : Rappel à Dieu de monsieur Guy EYMARD-DUVERNAY, père de Chantal PERREAU, le 23 octobre, à la suite d’un tragique accident, muni des sacrements de l’Eglise. Nous assurons sa famille de nos plus sincères condoléances et de nos prières pour le repos de son âme et pour la consolation de ceux qui restent. R.I.P. Petites annonces : Nous recherchons d'urgence une personne pour garder nos enfants (18 mois et 3 ans) les mercredis (de 8h30 à 18h30 environ) et les vendredis (de 9h30 à 18h30 environ). Le vendredi, le grand est à l'école jusqu'à 16h30. Nous habitons Oullins. Rémunération 8 euros/heure. Contact : 06 86 86 54 96 ROSAIRE POUR LA VIE : chaque 3ème samedi du mois Esplanade de Fourvière, devant la statue de Saint Jean-Paul II Prochain rosaire pour la Vie: 15 novembre 2014 à 10h30 Pour célébrer les 20 ans de la mort du Professeur Lejeune et de la création de la Fondation : Exposition : « Jérôme LEJEUNE : une découverte pour la vie » du 24 novembre au 3 décembre de 10h à 18h30 à la Maison des Familles, 52 Cours Charlemagne, Lyon 2e Cette exposition explore l’univers de la génétique et certains des enjeux bioéthiques actuels, à travers la figure du Prof. Jérôme Lejeune et sa découverte de la trisomie 21. Débat : Quelle place pour l’homme « diminué » dans une humanité « augmentée»? Mardi 25 novembre à 20h30 à l’Université Catholique de Lyon, 23 place Carnot 69002 Lyon Débat avec Fabrice HADJADJ, écrivain, philosophe et Jean-Marie LE MENE, Président de la Fondation Jérôme Lejeune. Libre participation aux frais Pièce de théâtre « Jeanne et les Posthumains» de Fabrice HADJADJ par La Compagnie De Bas en Haut Les 26, 27, 28 et 29 novembre à 20h30 et le dimanche 30 novembre à 17h au théâtre de la Solitude, chez les Maristes, 29 chemin de Montauban, Lyon 5e Comme un prolongement des avertissements lancés par Jérôme Lejeune durant sa vie, cette pièce pose la question de la valeur de la vie et de sa transmission, de la place de l’homme dans une société tout-technologique ; ce spectacle permettra au public de poursuivre la réflexion sur les défis éthiques et scientifiques qui se profilent. Public à partir de 15 ans. En pré-vente : Plein tarif: 15€; Tarif réduit: 12 € ( - de 18 ans, étudiants, groupes : + de 10 personnes) https://www.weezevent.com/jeanne-et-les-posthumains Informations pour ces trois évènements : 07 85 40 86 68 Théologie du corps : 2 propositions en novembre 1. Jeudi 27 et vendredi 28 novembre 2014 au Domaine Lyon Saint Joseph, 38 allée Jean-Paul II à Sainte-Foy-lèsLyon : colloque inaugural proposé par l’institut de théologie du corps - ITC, fondé en 2014 par Yves Semen. Cet institut a pour but de diffuser largement auprès d’un public francophone l’enseignement de Jean-Paul II sur la théologie du corps et de former des formateurs certifiés. Contact : [email protected] Informations détaillées sur : http://institutdetheologieducorps.org Forum Wahou : 2 jours pour entrer dans la théologie du corps et de l’amour humain de Jean Paul II, pour s’émerveiller du projet de Dieu et poser un regard nouveau sur son propre corps. Avec la participation du cardinal Philippe Barbarin et de Mgr Jean-Pierre Batut. Au programme : conférences, témoignages, ateliers en lien avec la pastorale de la famille. Ce forum est destiné aux adultes à partir de 20 ans. Espace café, espace prière et confession, espace librairie, stands et nurserie. Inscription avant le 15 novembre. Contact : [email protected] 2. ASSEMBLEE DES EVEQUES DE FRANCE A LOURDES Prions pour nos évêques réunis en assemblée plénière à Lourdes du 4 au 10 novembre Relance de la campagne du DENIER DE L’EGLISE Opération « Toussaint 2014 » Amis qui venez à l’église, chaque dimanche, ou de façon épisodique pour les grandes fêtes (Toussaint, Noël, Rameaux, Pâques…), ou encore pour les baptêmes, mariages et enterrements, vous êtes-vous déjà posé la question des moyens dont dispose l’Eglise pour assurer sa mission ? L’Eglise vit essentiellement des dons des catholiques : votre participation à la quête notamment, mais aussi le Denier de l’Eglise (appelé autrefois le « denier du culte »), cette collecte annuelle qui a pour finalité de rémunérer les prêtres et les salariés du diocèse. Beaucoup de catholiques ne participent pas encore au Denier, ne connaissant pas l’importance de cette collecte. C’est pourquoi nous nous adressons à vous tous. Vous trouverez plus de renseignements dans la lettre d’information du Denier de l’Eglise (sur les tables à l’entrée de l’église). Cette lettre donne des nouvelles du diocèse et fait le point sur sa situation financière. Certains d’entre vous l’ont déjà reçue par courrier. N’hésitez pas à en prendre d’autres exemplaires pour les distribuer à des proches et devenir ainsi « ambassadeurs du Denier ». Merci de votre attention et de votre participation au Denier. Votre don est un signe d’attachement à l’Eglise et à sa mission. A la rencontre des témoins lyonnais ème 2 édition du Pèlerinage dans la Ville proposée par la pastorale du tourisme, du 8 au 12 novembre 2014. 4 jours pour aller à la rencontre de grands témoins de la foi en visitant les lieux qu’ils ont fréquentés. Des endroits ouverts de façon exceptionnelle pour mieux connaître de grands chrétiens : Gabriel Rosset au Foyer Notre-Dame des Sans-Abri, le père Antoine Chevrier au Prado, Pauline Jaricot à la maison de Lorette, Frédéric Ozanam à l’église Saint-Nizier, Claudine Thévenet à la maison de Fourvière où elle a vécu, le curé d’Ars et sa maison natale à Dardilly L’accès aux différents lieux de pèlerinage se fait en transport en commun, sans réservation préalable, sans frais à acquitter. Contact : [email protected] / 04 78 81 48 81 Service catholique des funérailles Le Service Catholique des Funérailles, installé à Lyon depuis quelques mois, apporte aux familles en deuil, un service complet de pompes funèbres. Il associe un service funéraire de qualité, prodigué avec délicatesse, en refusant toute surenchère commerciale. Les membres de ce service s’engagent aux côtés des personnes en deuil pour les aider à vivre un hommage digne, vécu dans l’espérance chrétienne. SCF Service Catholique des Funérailles 7 rue du Plat 69002 Lyon - Tél. 04 72 16 29 08 Courriel : accueil.69 AT s-c-f.org Site web www.s-c-f.org Dons : Tous ceux qui désirent un reçu fiscal pour leur don à Saint-Georges doivent impérativement le libeller à « A.D.L Saint-Georges ». Seule l'association diocésaine est habilitée à délivrer des reçus fiscaux. Les dons sont ensuite reversés à Saint-Georges. Vous pouvez également faire un virement permanent sur le compte de Saint-Georges (ou sur le compte ADL-Saint-Georges si vous désirez un reçu fiscal). Offrande des messes : Messe : 17 € ; Neuvaine : 170 € HORAIRES DES OFFICES Messes : dimanche : 8h30 (rite lyonnais) ; 10h30 (grand’messe) ;19h du lundi au vendredi à 18h30 mardi messe supplémentaire à 8h45 (sauf 21 et 28 octobre) samedi messe unique à 9h (rite lyonnais) Messes en dehors de Saint-Georges par les prêtres de Saint-Georges : L’abbé Spriet dit également la messe le mercredi (période scolaire seulement) à 11h15 à Saint-Pierre-de-Vaise (messe du collège) et le jeudi à la chapelle du collège à 8h45 (pour les familles), l’abbé de Montjoye un vendredi sur deux à 8h30 pour les familles à l’école SaintDominique Savio. Il y aura parfois des messes supplémentaires à 06h30 (le matin). Elles seront annoncées aux messes dominicales précédentes. Adoration Eucharistique : dimanche de 17h00 à 19h00 (vêpres à 18h00) du lundi au vendredi à 17h30 Confessions : le dimanche avant et pendant les messes (sauf empêchement) et de 17h à 18h du lundi au vendredi de 17h30 à 18h15 (lundi et vendredi : abbé Spriet ; mardi, mercredi et jeudi : abbé de Montjoye) le samedi de 9h30 à 10h30 sur rendez-vous Chapelet : du lundi au vendredi à 18h Un sou c’est un sou… Il est proposé par les diocèses de France d’effectuer le don versé habituellement à la quête par un prélèvement régulier, qui permet de délivrer un reçu fiscal et ainsi d’augmenter de façon significative le montant de votre don. Le diocèse vous donne alors des jetons bleus que vous pouvez donner à la quête pour manifester par ce geste votre participation à la messe célébrée. Grâce à ces quêtes prélevées, l’Etat donne avec vous à la quête ! Une aide précieuse pour les paroisses. Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à contacter Didier Chambefort, notre comptable : 06 45 90 44 97 ou dchambefort AT gmail.com NOVEMBRE 2014 A SAINT-GEORGES Samedi 1 er Dimanche 2 Lundi 3 Mardi 4 Mercredi 5 Jeudi 6 Vendredi 7 er 1 du mois TOUSSAINT Vingt-et-unième dimanche après la Pentecôte 8h30 10h30 19h 8h30 10h30 19h Commémoraison de tous les fidèles défunts Adoration et confessions de 17h à 18h ; Vêpres 18h Adoration et confessions de 17h à 18h ; Vêpres 18h Messes à : 6h30 - 7h - 8h45 - 18h30 - 19h (chantée) adoration et confessions de 17h30 à 18h15 chapelet à 18h St Charles Borromée, évêque et confesseur Les saintes reliques (LYON) 8h45 18h30 de la férie 18h30 18h30 Rosaire Vivant des jeunes à 19h adoration et confessions de 17h30 à 18h15 chapelet à 18h Cours pour lycéens (19h-20h) Pèlerinage d’un jour à Ars Soirée prière et témoignages avec les Chrétiens d’Orient (20h-22h30) de la férie 18h30 De la Sainte Vierge (messe Salve sancta parens) 9h 10h30 Répétition des enfants de chœur de 14h30 Vingt-deuxième dimanche après la Pentecôte 8h30 10h30 19h Messe sonnée de Saint-Hubert (rallye Belle Courre) Adoration et confessions de 17h à 18h ; Vêpres 18h Lundi 10 St André Avellin, confesseur 18h30 Mardi 11 St Martin, Apôtre des Gaules, évêque et confesseur 18h30 Mercredi 12 St Martin 1er, pape et martyr 18h30 St Didace, confesseur 18h30 St Josaphat, évêque et martyr 18h30 Nuit d’adoration de 22h30 à 9h (évangélisation de 22h30 à 23h30) Samedi 8 Dimanche 9 Jeudi 13 Vendredi 14 Samedi 15 Chapelet à 9h30 ; confessions de 9h30 à 10h30 Caté pour adultes et jeunes pros (collège BFJF) adoration et confessions de 17h30 à 18h15 chapelet à 18h Pas de messe à 8h45 Réunion de la Conf. St-V. de P. à 20h15 St Albert le Grand, év., conf. et docteur 9h Chapelet à 9h30 ; confessions de 9h30 à 10h30 Vingt-troisième dimanche après la Pentecôte 8h30 10h30 19h REPAS PAROISSIAL ANNUEL à Don Bosco Adoration et confessions de 17h à 18h ; Vêpres 18h Lundi 17 Saint Eucher (LYON) 18h30 Mardi 18 Dédicace des Basiliques St Pierre et St Paul 8h45 18h30 Ste Elisabeth de Hongrie, veuve 18h30 St Félix de Valois, confesseur 18h30 Présentation de la T.S. Vierge Marie 18h30 Dimanche 16 Mercredi 19 Jeudi 20 Vendredi 21 Etudiants et jeunes pros à 19h30 (cercle Ch. Péguy) adoration et confessions de 17h30 à 18h15 chapelet à 18h Cours pour lycéens (19h-20h) Rosaire Vivant des jeunes à 19h Cours sur la Bible à 20h15 Ouverture de l’année de la vie consacrée Chapelet à 9h30 ; confessions de 9h30 à 10h30 Répétition des enfants de chœur à 14h00 suivi d’un enseignement et d’un goûter à la MSB (fin à 16h15) Concert à 20h30 avec l’ensemble Agamemnon Prédication du P. Richard WASIK de l’AED (vente à la sortie au profit de l’AED) Adoration et confessions de 17h à 18h ; Vêpres 18h Ste Cécile, vierge et martyre Patronne des musiciens 9h Vingt-quatrième et dernier dimanche après la Pentecôte 8h30 10h30 19h Lundi 24 St Jean de la Croix, confesseur et docteur 18h30 Mardi 25 Ste Catherine d'Alexandrie, v. et martyre 8h45 18h30 St Silvestre, Abbé 18h30 Jeudi 27 de la férie 18h30 Vendredi 28 de la férie 18h30 Samedi 29 De la Sainte Vierge (messe Salve sancta parens) 9h Ménage de l’église par les étudiants de 10h à 12h (suivi d’un déjeuner à la MSB) Dimanche 30 Premier Dimanche de l'Avent 8h30 10h30 19h Adoration et confessions de 17h à 18h ; Vêpres 18h (Présence des reliques du Bx Jose Sanchez del Rio) Samedi 22 Dimanche 23 Mercredi 26 adoration et confessions de 17h30 à 18h15 chapelet à 18h Soirée jeunes couples à 20h Chapelet à 9h30 ; confessions de 9h30 à 10h30