Bulletin novembre 2014

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Bulletin novembre 2014
BULLETIN DE SAINT-GEORGES
BULLETIN
N° 268
www.eglisesaintgeorges.com
NOVEMBRE 2014
secretariatsaintgeorges AT gmail.com
Eglise Saint-Georges : Quai Fulchiron 69005 Lyon
Logement des prêtres : Maison Sainte-Blandine (MSB) 12 bis rue Sala 69002 Lyon 04 72 77 07 90
Recteur :
abbé Hugues de MONTJOYE 06 65 23 07 92 abbedemontjoye AT gmail.com
Chapelain :
abbé Laurent SPRIET
06 14 18 07 61 abbespriet AT gmail.com
Et si nous pensions un peu plus au ciel !
L
a fête de la Toussaint et le mois
des défunts sont une occasion
favorable
pour
penser
davantage aux fins dernières. En
prononçant le mot « fin dernières » ne
prenons pas un air triste comme s'il
s'agissait d'une fatalité inéluctable
dont il faudrait repousser au
maximum l'approche. C'est tout le
contraire ! Le chrétien n'est-il pas
tendu vers le Ciel, sa vraie Patrie, vers
les biens que l'oeil ne peut voir, vers
le Christ qui nous a préparé une place,
vers les saints ou les héros qui nous
ont servi de modèles, et vers tous nos
chers disparus enfin qui nous ont
précédés sur la route ?
Si la mort est une violence faite à
la nature, en raison de la séparation de
l'âme et du corps, si elle est une
conséquence funeste du péché
originel, si on peut la redouter à cause
du mystère qui l'entoure (et qui la
suit...) et des souffrances qui
l'accompagnent, cependant n'oublions
pas qu'elle est aussi le passage
nécessaire vers la vraie vie, la vie
éternelle. Sainte Thérèse de l'EnfantJésus sur son lit d'agonie disait juste,
par ces mots bien connus : « Je ne
meurs pas, j'entre dans la Vie ! ». Et
la liturgie de l'Eglise reprend chaque
matin
après
la
lecture
du
martyrologe : « Précieuse en la
présence du Seigneur est la mort de
ses saints ».
Pourquoi pensons-nous si peu au
ciel ? Et pourquoi certains chrétiens
fuient-ils la pensée du ciel ? Nous
sommes faits pour le ciel. Sans doute
la terre a-t-elle ses charmes, ses
beautés, ses joies, mais qu’est-ce que
tout cela en comparaison de Celui qui
est la source de tous les biens, qui est
la Beauté infinie, qui est Océan de
joie et Vie éternelle ? Il ne s'agit pas
de nier les biens créés ni de le
dénigrer, ce qui ne serait pas un
hommage digne du Créateur, mais
comment ces biens peuvent-ils cacher
pour nous Celui sans qui rien ne
serait ?
Nous devrions courir vers le Ciel,
vers la plénitude de la Vie, et nous
trainons les pieds, nous rampons,
nous nous cramponnons au sol
comme si le ciel allait nous rendre
malheureux ! Certes lorsque nous
paraitrons devant notre Juge, le jour
de notre mort, il nous faudra être
prêts, c’est-à-dire bien disposés, et
nous devons pour cela être toujours
prêts, car nous ne savons ni le jour, ni
l'heure. Mais si nous avons vraiment
le désir du ciel, le désir de Dieu, c'est
que nous sommes déjà prêts. Peut-être
pas de grands saints, mais tout de
même des enfants aimants et aimés de
leur Père du Ciel.
Nous n'avons rien à faire de mieux
ici-bas que de nous entrainer
beaucoup à aimer Dieu et notre
prochain, puisque c'est sur l'Amour
que nous serons jugés. Rien de plus
utile pour nous, rien de plus utile pour
l'Eglise et pour le monde. C’est ce
qu'enseigne saint Jean de la Croix :
« Le plus petit mouvement de pur
amour est plus utile que toutes les
autres œuvres réunies ». Et la petite
Thérèse lui fait écho en disant :
« Jésus ne regarde pas tant à la
grandeur des actions, ni même à leur
difficulté, qu'à l'amour qui fait faire
ces actes ». N'est-ce pas consolant ?
Quand nous éprouvons de la peine
à voir partir un être cher - cela est
naturel et il n'y a aucune imperfection
à cela - essayons de réveiller en nous
le désir du ciel. Vienne le jour des
retrouvailles définitives, de l'éternel
embrassement, la joie partagée et
inamissible dans une communion
parfaite ! « Il n'y aura plus ni deuil, ni
cri, ni douleur » (Apocalypse 21,4).
Que la pensée du ciel et de tous ceux
qui nous y attendent nous aide à fuir
le mal et à demeurer fidèle au
Seigneur, pour que nous ne
connaissions pas un jour les pleurs et
les grincements de dents, en étant
jetés dans les ténèbres extérieures...
Rappelons à notre esprit en ce
mois des défunts tous ceux que nous
avons connus et aimés et qui nous ont
quittés. Peut-être verserons nous une
larme, ou un torrent de larmes, mais
qu'elles sont douces ces larmes, si
elles nous ramènent à Dieu ! Il nous
paraît long ce chemin semé de deuils
et de souffrances, qui mérite parfois
d'être appelé une « vallée de larmes »,
mais qu'est-ce que cinquante ans, cent
ans au regard de l'éternité ? Au ciel on
n'y pensera bientôt plus...
Nous connaitrons peut-être en ce
mois qui s’ouvre encore d'autres
deuils ; quand un jour ce sera notre
tour, nous répondrons à l'appel de la
trompette divine et nous dirons « à
Dieu » à nos frères de la terre. Et nous
continuerons à les aimer, à penser à
eux, à désirer qu'ils nous rejoignent au
ciel, comme Jésus, l'Ami véritable,
nous a préparé une place auprès de lui
pour
que
nous
partagions
éternellement avec Lui la joie des
noces éternelles. Et nous retrouverons
tant de monde là-haut, et nous
découvrirons tant d’amis… Nous
reconnaitrons que nous n’étions sur
terre que de passage comme des
étrangers et des voyageurs. Notre
vraie maison, notre vraie Patrie, c’est
le ciel. Puisse Dieu faire grandir en
chacun d’entre vous et en moi aussi,
l’espérance et le désir du Ciel !
« Fais-nous quitter l’existence
Joyeux et pleins d’abandon,
Comme un scout, après les vacances,
S’en retourne à la maison.
O Vierge de lumière,
Etoile de nos coeurs,
Entend notre prière,
Notre-Dame des éclaireurs. »
Abbé Hugues de Montjoye +
Recteur
Ce que je verrai pour la première fois !...
(poésie de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, PN 33, Fête du Sacré coeur de Jésus, 12 Juin 1896)
1. Je suis encore sur la rive étrangère,
Mais pressentant le bonheur éternel,
Oh! je voudrais déjà quitter la terre
Et contempler les merveilles du Ciel
Lorsque je rêve aux joies de l'autre vie
De mon exil je ne sens plus le poids
Puisque bientôt vers ma seule Patrie
Je volerai pour la première fois!
3.Mon Bien-Aimé, de ton premier sourire
Fais-moi bientôt entrevoir la douceur
Et laisse-moi, dans mon divin délire
Ah! laisse-moi me cacher en ton coeur!
Oh! quel instant! quel bonheur ineffable
Quand j'entendrai le doux son de ta voix
Quand je verrai de ta Face Adorable
L'éclat divin pour la première fois!
2.Ah! donne-moi, Jésus, de blanches ailes
Pour que vers toi je prenne mon essor
Je veux voler aux rives Eternelles
Je veux te voir, ô mon Divin Trésor!
Je veux voler dans les bras de Marie
Me reposer sur ce trône de choix,
Et recevoir de ma Mère chérie
Le doux Baiser pour la première fois!
4.Tu le sais bien mon unique martyre,
C`est ton amour, Coeur Sacré de Jésus.
Vers ton beau Ciel, si mon âme soupire
C'est pour t'aimer, t'aimer de plus en plus!....
Au Ciel, toujours enivrée de tendresse
Je t'aimerai sans mesure et sans lois
Et mon bonheur me paraîtra sans cesse
Aussi nouveau que la première fois!!!....
Il existe une très belle interprétation musicale de cette poésie par le Père Patrick LEMOINE
dans un CD intitulé « Amour pour Amour » (édition Parole et Silence). A écouter sans modération !
La mort de saint Dominique Savio
’est une vérité de foi qu’à sa
mort l’homme recueille le fruit
de ses œuvres. Mais, parfois,
de bonnes âmes, après une sainte vie,
voient s’approcher la mort avec
épouvante. Dieu, dans ses adorables
desseins, veut ainsi les purifier des
taches légères qu’elles ont contractées
et embellir leur couronne. Il n’en fut
pas ainsi de notre Dominique. Dieu a
voulu lui donner dès cette vie le
centuple qu’il promet à ses amis
fidèles avant de les introduire dans la
gloire. Et de fait, son innocence
conservée jusqu’au dernier moment,
C
sa foi vive, sa prière continuelle, ses
longues pénitences et sa vie remplie
de tribulations, tout cela avait mérité à
Dominique cette joie, cette paix qu’il
goûtait au moment suprême. On peut
dire que Dominique s’endormit plutôt
qu’il ne mourut.
On était au soir du 9 mars 1857. Il
avait reçu tous les secours de notre
sainte religion. Son air gai, ses yeux
éveillés, la pleine possession de luimême émerveillaient tous ceux qui
étaient présent, et personne, excepté
lui, ne croyait à sa mort imminente.
On eût dit qu’il se reposait.
Admirable était la tranquillité avec
laquelle il recommandait son âme à
Dieu. Il faisait de fréquentes oraisons
jaculatoires, mais uniquement pour
dire à Dieu combien il lui tardait de
Le voir. Après avoir récité quelques
prières avec Dominique, Monsieur le
Curé songeait à partir. « Monsieur le
Curé, lui dit le mourant, ne me
laisserez-vous pas un souvenir ?…
- « Eh bien, mon enfant, songe à la
mort de N.S. Jésus-Christ. »
– « Deo gratias ! » répondit
Dominique.
Après avoir dit ces paroles, il
sembla dormir pendant environ une
demi-heure. Puis, soudain, il jeta un
regard sur ses parents : « Papa, dit-il,
nous y sommes !… Il est temps de me
lire les litanies de la bonne mort. »
A ces paroles, la mère éclata en
sanglots et quitta la chambre du
malade. Le père avait l’âme brisée de
douleur et les larmes étouffaient sa
voix, mais il se fit violence et récita
les litanies. Dominique répétait mot à
mot ce que son père disait ; toutefois à
la fin chaque invocation, il voulait
dire seul : « Miséricordieux Jésus,
avez pitié de moi ».
Arrivé à ces paroles : « Quand mon
âme paraîtra devant vous et verra pour
la
première
fois
l’immortelle
splendeur de votre majesté, ne la
rejetez pas de votre présence, mais
daignez la recevoir dans le sein de
votre miséricorde, afin que je chante
éternellement vos louanges »,
Dominique ajouta : « Voilà ce que je
désire : chanter éternellement les
louanges de Dieu ».
Ensuite il sembla réfléchir à une
chose très importante. Mais bientôt, il
dit d’une voix claire et joyeuse : «
Adieu, mon cher papa ! adieu !… Oh!
que c’est beau ce que je vois… ! » En
disant ces paroles, le sourire sur les
lèvres, le visage épanoui par une joie
céleste, il expira, les mains jointes en
forme de croix sur la poitrine, sans
faire le plus léger mouvement.
Don Bosco conclut : Ame fidèle,
retourne à ton Créateur. Le ciel
t’ouvre ses portes, les anges et les
saints t’y ont préparé une belle fête.
Ton Jésus que tu as tant aimé, te tend
les bras et t’appelle. « Viens, dit-il,
viens, ô bon et fidèle serviteur, tu as
combattu, tu as remporté la victoire,
viens pour toujours partager la joie de
ton Seigneur : Intra in gaudium
Domini tui ».
(in : Vie de Saint Dominique Savio
par le R.P. Delhaye sdb)
LITANIES DE LA BONNE MORT
S
eigneur Jésus, Dieu de
bonté, Père de miséricorde,
je me présente devant vous
avec un coeur humilié, contrit et repentant. Je vous recommande ma
dernière heure et de qui doit la suivre.
Quand mes pieds immobiles
m'avertiront que ma course en ce
monde
est
près
de
finir,
Miséricordieux Jésus, ayez pitié de
moi ;
Quand mes mains engourdies et
tremblantes ne pourront plus presser
le crucifix contre mon coeur et que,
malgré moi, elles le laisseront tomber
sur mon lit de souffrances,
Miséricordieux Jésus, ayez pitié de
moi ;
Quand mes yeux, voilés et troublés
par l'effroi d'une mort imminente,
porteront vers vous leurs regards
vagues et expirants, Miséricordieux
Jésus, ayez pitié de moi ;
Quand mes lèvres tremblantes et
froides prononceront pour la dernière
fois
votre
adorable
Nom,
Miséricordieux Jésus, ayez pitié de
moi ;
Quand mes joues pâles et livides
inspireront
aux
assistants
la
compassion et la terreur ; que mes
cheveux, baignés des sueurs de
l'agonie, se dresseront sur ma tête,
annonçant
ma
fin
prochaine,
Miséricordieux Jésus, ayez pitié de
moi ;
Quand mes oreilles, près de se
fermer à jamais aux discours des
hommes, s'ouvriront pour entendre de
votre bouche la sentence irrévocable
qui fixera mon sort pour l'éternité,
Miséricordieux Jésus, ayez pitié de
moi ;
Quand mon imagination, agitée
par des fantômes effrayants et
terribles, sera plongée dans des
tristesses mortelles ; que mon esprit,
troublé par le souvenir de mes
iniquités et par la crainte de votre
justice, luttera contre l'Ange des
ténèbres qui voudra me dérober la vue
consolante de vos miséricordes et me
jeter
dans
le
désespoir,
Miséricordieux Jésus, ayez pitié de
moi ;
Quand je verserai mes dernières
larmes, symptômes de ma dissolution
prochaine, recevez-les, ô mon Jésus,
en sacrifice d'expiation, afin que je
meure comme une victime de pénitence ; et, dans ce terrible moment,
Miséricordieux Jésus, ayez pitié de
moi ;
Quand j'aurai perdu l'usage de tous
les sens, que le monde entier aura
disparu pour moi, et que je gémirai
dans les angoisses de la dernière
agonie et les affres de la mort,
Miséricordieux Jésus, ayez pitié de
moi ;
Quand les derniers soupirs de mon
coeur presseront mon âme de sortir de
mon corps, acceptez-les comme
venant d'une sainte impatience d'aller
à vous ; et alors, Miséricordieux
Jésus, ayez pitié de moi ;
Quand au dernier instant man âme
se détachant de mon corps, sortira
pour toujours de ce monde, et laissera
mon corps pâle, glacé et sans vie,
acceptez la destruction de tout mon
être comme un hommage que le veux
offrir dès aujourd'hui à votre Majesté
divine ; et, à cette heure suprême,
Miséricordieux Jésus, ayez pitié de
moi ;
Enfin, quand mon âme paraîtra
devant vous, et qu'elle verra, pour la
première fois, la splendeur immortelle
de votre divine Majesté, ne la rejetez
pas de votre présence, mais daignez
me recevoir dans le sein de vos
miséricordes, afin que je chante
éternellement vos louanges ; et, en ce
moment solennel, Miséricordieux
Jésus, ayez pitié de moi.
PRIERE
O Dieu, qui, nous condamnant à la
mort, nous en avez caché l'heure et le
moment, faites que, passant dans la
justice et la sainteté tous les jours de
ma vie, je puisse mériter de sortir de
ce monde dans votre saint amour, par
les mérites de Notre-Seigneur JésusChrist, qui vit et règne avec vous dans
l'unité du Saint-Esprit pour les siècles
des siècles. Amen.
Quelques rappels du Catéchisme de l’Eglise Catholique :
Le sens de la mort chrétienne
1010 Grâce au Christ, la mort chrétienne a un sens positif. " Pour moi, la vie c’est le Christ et mourir un gain " (Ph 1,21).
" C’est là une parole certaine : si nous mourons avec lui, nous vivrons avec lui " (2Tm 2,11). La nouveauté essentielle de
la mort chrétienne est là : par le Baptême, le chrétien est déjà sacramentellement " mort avec le Christ ", pour vivre d’une
vie nouvelle ; et si nous mourons dans la grâce du Christ, la mort physique consomme ce " mourir avec le Christ " et
achève ainsi notre incorporation à Lui dans son acte rédempteur :
Il est bon pour moi de mourir dans (eis) le Christ Jésus, plus que de régner sur les extrémités de la terre. C’est lui que je
cherche, qui est mort pour nous ; lui que je veux, qui est ressuscité pour nous. Mon enfantement approche (...). Laissez-moi
recevoir la pure lumière ; quand je serai arrivé là, je serai un homme (S. Ignace d’Antioche, Rm 6,1-2).
1011 Dans la mort, Dieu appelle l’homme vers Lui. C’est pourquoi le chrétien peut éprouver envers la mort un désir
semblable à celui de S. Paul : " J’ai le désir de m’en aller et d’être avec le Christ " (Ph 1,23) ; et il peut transformer sa
propre mort en un acte d’obéissance et d’amour envers le Père, à l’exemple du Christ (cf. Lc 23,46) :
Mon désir terrestre a été crucifié ; (...) il y a en moi une eau vive qui murmure et qui dit au dedans de moi " Viens vers le
Père " (S. Ignace d’Antioche, Rm 7,2).
Je veux voir Dieu, et pour le voir il faut mourir (Ste. Thérèse de Jésus, vida 1).
Je ne meurs pas, j’entre dans la vie (Ste. Thérèse de l’Enfant-Jésus, verba).
1012 La vision chrétienne de la mort (cf. 1Th 4,13-14) est exprimée de façon privilégiée dans la liturgie de l’Église :
Pour tous ceux qui croient en toi, Seigneur, la vie n’est pas détruite, elle est transformée ; et lorsque prend fin leur séjour sur
la terre, ils ont déjà une demeure éternelle dans les cieux (MR, Préface des défunts).
1013 La mort est la fin du pèlerinage terrestre de l’homme, du temps de grâce et de miséricorde que Dieu lui offre pour
réaliser sa vie terrestre selon le dessein divin et pour décider son destin ultime. Quand a pris fin " l’unique cours de notre
vie terrestre " (LG 48), nous ne reviendrons plus à d’autres vies terrestres. " Les hommes ne meurent qu’une fois " (He
9,27). Il n’y a pas de " réincarnation " après la mort.
1014 L’Église nous encourage à nous préparer pour l’heure de notre mort (" Délivre-nous, Seigneur, d’une mort subite et
imprévue " : ancienne Litanie des saints), à demander à la Mère de Dieu d’intercéder pour nous "à l’heure de notre mort"
(Prière Ave Maria), et à nous confier à saint Joseph, patron de la bonne mort :
Dans toutes tes actions, dans toutes tes pensées tu devrais te comporter comme si tu devais mourir aujourd’hui. Si ta
conscience était en bon état, tu ne craindrais pas beaucoup la mort. Il vaudrait mieux se garder de pécher que de fuir la mort.
Si aujourd’hui tu n’es pas prêt, comment le seras-tu demain ? (Imitation du Christ 1, 23, 1).
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour soeur notre mort corporelle, à qui nul homme vivant ne peut échapper. Malheur à ceux qui
mourront dans les péchés mortels, heureux ceux qu’elle trouvera dans ses très saintes volontés, car la seconde mort ne leur
fera pas mal (S. François d’Assise, ).
La purification finale ou Purgatoire
1030 Ceux qui meurent dans la grâce et l’amitié de Dieu, mais imparfaitement purifiés, bien qu’assurés de leur salut
éternel, souffrent après leur mort une purification, afin d’obtenir la sainteté nécessaires pour entrer dans la joie du ciel .
1031 L’Église appelle Purgatoire cette purification finale des élus qui est tout à fait distincte du châtiment des damnés.
L’Église a formulé la doctrine de la foi relative au Purgatoire surtout aux Conciles de Florence (cf. DS 1304) et de Trente
(cf. DS 1820 ; 1580). La tradition de l’Église, faisant référence à certains textes de l’Écriture (par exemple 1 Co 3, 15 ; 1
P 1, 7), parle d’un feu purificateur :
Pour ce qui est de certaines fautes légères, il faut croire qu’il existe avant le jugement un feu purificateur, selon ce
qu’affirme Celui qui est la Vérité, en disant que si quelqu’un a prononcé un blasphème contre l’Esprit Saint, cela ne
lui sera pardonné ni dans ce siècle-ci, ni dans le siècle futur (Mt 12, 31). Dans cette sentence nous pouvons
comprendre que certaines fautes peuvent être remises dans ce siècle-ci, mais certaines autres dans le siècle futur (S.
Grégoire le Grand, dial. 4, 39).
1032 Cet enseignement s’appuie aussi sur la pratique de la prière pour les défunts dont parle déjà la Sainte Écriture :
" Voilà pourquoi il (Judas Maccabée) fit faire ce sacrifice expiatoire pour les morts, afin qu’ils fussent délivrés de leur
péché " (2 M 12, 46). Dès les premiers temps, l’Église a honoré la mémoire des défunts et offert des suffrages en leur
faveur, en particulier le sacrifice eucharistique (cf. DS 856 ;), afin que, purifiés, ils puissent parvenir à la vision béatifique
de Dieu. L’Église recommande aussi les aumônes, les indulgences et les œuvres de pénitence en faveur des défunts :
Portons-leur secours et faisons leur commémoraison. Si les fils de Job ont été purifiés par le sacrifice de leur père
(cf. Jb 1, 5), pourquoi douterions-nous que nos offrandes pour les morts leur apportent quelque consolation ?
N’hésitons pas à porter secours à ceux qui sont partis et à offrir nos prières pour eux (S. Jean Chrysostome, hom. in
1 Cor. 41, 5 : PG 61, 361C).
L’enfer
1033 Nous ne pouvons pas être unis à Dieu à moins de choisir librement de l’aimer. Mais nous ne pouvons pas aimer
Dieu si nous péchons gravement contre Lui, contre notre prochain ou contre nous-mêmes : " Celui qui n’aime pas
demeure dans la mort. Quiconque hait son frère est un homicide ; or vous savez qu’aucun homicide n’a la vie éternelle
demeurant en lui " (1 Jn 3, 15). Notre Seigneur nous avertit que nous serons séparés de Lui si nous omettons de
rencontrer les besoins graves des pauvres et des petits qui sont ses frères (cf. Mt 25, 31-46). Mourir en péché mortel sans
s’en être repenti et sans accueillir l’amour miséricordieux de Dieu, signifie demeurer séparé de Lui pour toujours par
notre propre choix libre. Et c’est cet état d’auto-exclusion définitive de la communion avec Dieu et avec les bienheureux
qu’on désigne par le mot " enfer ".
1034 Jésus parle souvent de la " géhenne " du " feu qui ne s’éteint pas " (cf. Mt 5, 22. 29 ; 13, 42. 50 ; Mc 9, 43-48),
réservé à ceux qui refusent jusqu’à la fin de leur vie de croire et de se convertir , et où peuvent être perdus à la fois l’âme
et le corps (cf. Mt 10, 28). Jésus annonce en termes graves qu’il " enverra ses anges, qui ramasseront tous les fauteurs
d’iniquité (...), et les jetteront dans la fournaise ardente " (Mt 13, 41-42), et qu’il prononcera la condamnation : " Allez
loin de moi, maudits, dans le feu éternel ! " (Mt 25, 41).
1035 L’enseignement de l’Église affirme l’existence de l’enfer et son éternité. Les âmes de ceux qui meurent en état de
péché mortel descendent immédiatement après la mort dans les enfers, où elles souffrent les peines de l’enfer, " le feu
éternel " (cf. DS 76 ; 409 ; 411 ; 801 ; 858 ; 1002 ; 1351 ; 1575 ; SPF 12). La peine principale de l’enfer consiste en la
séparation éternelle d’avec Dieu en qui seul l’homme peut avoir la vie et le bonheur pour lesquels il a été crée et auxquels
il aspire.
1036 Les affirmations de la Sainte Écriture et les enseignements de l’Église au sujet de l’enfer sont un appel à la
responsabilité avec laquelle l’homme doit user de sa liberté en vue de son destin éternel. Elles constituent en même
temps un appel pressant à la conversion : " Entrez par la porte étroite. Car large et spacieux est le chemin qui mène à la
perdition, et il en est beaucoup qui le prennent ; mais étroite est la porte et resserré le chemin qui mène à la Vie, et il en
est peu qui le trouvent " (Mt 7, 13-14) :
Ignorants du jour et de l’heure, il faut que, suivant l’avertissement du Seigneur, nous restions constamment
vigilants pour mériter, quand s’achèvera le cours unique de notre vie terrestre, d’être admis avec lui aux noces et
comptés parmi les bénis de Dieu, au lieu d’être, comme de mauvais et paresseux serviteurs, écartés par l’ordre de
Dieu vers le feu éternel, vers ces ténèbres du dehors où seront les pleurs et les grincements de dents (LG 48).
1037 Dieu ne prédestine personne à aller en enfer (cf. DS 397 ; 1567) ; il faut pour cela une aversion volontaire de Dieu
(un péché mortel), et y persister jusqu’à la fin.Dans la liturgie eucharistique et dans les prières quotidiennes de ses
fidèles, l’Église implore la miséricorde de Dieu, qui veut " que personne ne périsse, mais que tous arrivent au repentir " (2
P 3, 9) :
Voici l’offrande que nous présentons devant toi, nous, tes serviteurs, et ta famille entière : dans ta bienveillance,
accepte-la. Assure toi-même la paix de notre vie, arrache-nous à la damnation et reçois-nous parmi tes élus (MR,
Canon Romain 88).
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Homélie du pape Benoît XVI pour la Toussaint 2006 (extraits)
C
omment
pouvons-nous
devenir saints, amis de
Dieu? On peut répondre à
cette interrogation tout d'abord par
une négation: pour être saint, il n'est
pas nécessaire d'accomplir des actions
et des oeuvres extraordinaires, ni de
posséder des charismes exceptionnels.
On peut ensuite répondre par une
affirmation: il est nécessaire avant
tout d'écouter Jésus, et de le suivre
sans se décourager face aux
difficultés. "Si quelqu'un me sert nous avertit-Il - qu'il me suive, et là
où je suis, là aussi sera mon serviteur.
Si quelqu'un me sert, mon Père
l'honorera" (Jn 12, 26). Celui qui a
confiance en Lui et l'aime d'un amour
sincère, comme le grain de blé tombé
en terre, accepte de mourir à luimême. En effet, il sait que celui qui
veut garder sa vie pour lui-même la
perd, et que celui qui se donne, se
perd, et trouve précisément ainsi la
vie. (cf. Jn 12, 24-25). L'expérience
de l'Eglise démontre que toute forme
de sainteté, tout en suivant des
parcours différents, passe toujours par
le chemin de la croix, le chemin du
renoncement à soi-même. Les
biographies des saints décrivent des
hommes et des femmes qui, dociles
aux desseins divins, ont parfois
affronté des épreuves et des
souffrances
indescriptibles,
des
persécutions et le martyre. Ils ont
persévéré dans leur engagement, "ce
sont ceux qui viennent de la grande
épreuve - lit-on dans l'Apocalypse ils ont lavé leurs robes et les ont
blanchies dans le sang de l'Agneau"
(v. 14). Leurs noms sont inscrits dans
le livre de la vie (cf. Ap 20, 12); leur
demeure éternelle est le Paradis.
L'exemple des saints est pour nous un
encouragement à suivre les mêmes
pas, à ressentir la joie de celui qui a
confiance en Dieu, car l'unique cause
véritable de tristesse et de malheur
pour l'être humain est de vivre loin de
Lui.
La sainteté exige un effort
constant, mais elle est à la portée de
tous car, plus que l'oeuvre de
l'homme, elle est avant tout un don de
Dieu, trois fois Saint (cf. Is 6, 3).
Dans la seconde Lecture, l'Apôtre
Jean
observe: "Voyez
quelle
manifestation d'amour le Père nous a
donnée pour que nous soyons appelés
enfants de Dieu. Et nous le sommes!"
(1 Jn 3, 1). C'est donc Dieu qui nous a
aimés en premier et qui, en Jésus, a
fait de nous ses fils adoptifs. Dans
notre vie, tout est don de son
amour: comment
demeurer
indifférents face à un si grand
mystère? Comment ne pas répondre à
l'amour du Père céleste par une vie de
fils reconnaissants? Dans le Christ, il
nous a fait don de tout son être, et
nous appelle à une relation
personnelle et profonde avec Lui.
C'est pourquoi, plus nous imitons
Jésus et demeurons unis à Lui, plus
nous entrons dans le mystère de la
sainteté divine. Nous découvrons qu'Il
nous aime de façon infinie, et cela
nous pousse à notre tour à aimer nos
frères. Aimer implique toujours un
acte de renoncement à soi-même, de
"se perdre soi-même" et, précisément
ainsi, cela nous rend heureux.
Ainsi, nous sommes arrivés à
l'Evangile de cette fête, à l'annonce
des Béatitudes que nous venons
d'entendre
retentir
dans
cette
Basilique. Jésus dit: Heureux ceux
qui ont une âme de pauvre, heureux
les doux, heureux les affligés,
heureux les affamés et les assoiffés de
justice, les miséricordieux, heureux
les coeurs purs, les artisans de paix,
les persécutés pour la justice (cf. Mt
5, 3-10). En vérité, le bienheureux par
excellence est uniquement Lui, Jésus.
En effet, c'est Lui qui a véritablement
une âme de pauvre, l'affligé, le doux,
l'affamé et assoiffé de la justice, le
miséricordieux, le coeur pur, l'artisan
de paix; c'est Lui le persécuté pour la
justice. Les Béatitudes nous montrent
la physionomie spirituelle de Jésus, et
expriment ainsi son mystère, le
mystère de Mort et de Résurrection,
de Passion, et de joie de la
Résurrection. Ce mystère, qui est le
mystère de la véritable Béatitude,
nous invite à suivre Jésus et, ainsi, à
nous acheminer vers elle. Dans la
mesure où nous accueillons sa
proposition et nous nous plaçons à sa
suite - chacun selon ses conditions -,
nous aussi, nous pouvons participer à
sa béatitude. Avec Lui, l'impossible
devient possible et même un chameau
peut passer par le trou d'une aiguille
(cf. Mc 10, 25); avec son aide, et
uniquement avec son aide, il est
possible de devenir parfaits comme le
Père céleste est parfait (cf. Mt 5, 48).
Chers frères et soeurs, entrons à
présent dans le coeur de la
Célébration
eucharistique,
encouragement et aliment de sainteté.
Dans quelques instants deviendra
présent de la façon la plus élevée le
Christ, véritable Vigne, à laquelle, en
tant que sarments, sont unis les fidèles
qui sont sur terre et les saints du ciel.
Ainsi se renforcera la communion de
l'Eglise en pèlerinage dans le monde
avec l'Eglise triomphante dans la
gloire. Dans la Préface, nous
proclamerons que les saints sont pour
nous des amis et des modèles de vie.
Invoquons-les afin qu'ils nous aident à
les imiter et engageons-nous à
répondre avec générosité, comme ils
l'ont fait, à l'appel divin. Invoquons en
particulier Marie, Mère du Seigneur et
miroir de toute sainteté. Qu'Elle, la
Toute Sainte, fasse de nous de fidèles
disciples de son fils Jésus Christ!
Amen.
Repas paroissial annuel au lycée Don Bosco
dimanche 16 novembre
(anniversaire de la Dédicace).
Inscriptions closes le lundi 10 novembre (fiches d’inscription sur les tables ou en pièce-jointe)
Synode sur la famille et « année de la vie consacrée »
A première vue il n’y a pas de
liens entre le synode des évêques qui
a commencé à se pencher sur la
question de la famille dans le monde
de notre temps, et « l’année de la vie
consacrée » décrétée par le pape
François pour l’année 2015. Mais si
nous y regardons de plus près, nous
pouvons trouver bien des relations
intéressantes et éclairantes pour nous
tous.
De quoi s’agit-il ?
Je ne reviendrai pas longuement
sur les « enfumages » médiatiques,
sur fond de cafouillage intra-ecclésial,
qui ont accompagné la première partie
du synode à Rome. Le travail des
évêques n’est pas fini et le texte voté
par les « pères synodaux » à la fin de
leur assemblée n’est qu’un document
de travail pour l’année à venir. Je
rappelle simplement « en passant »
qu’un synode ne prend aucune
décision par lui-même, mais qu’il fait
au pape des propositions à la fin de
ses travaux. A charge ensuite au pape
de
publier
une
« exhortation
apostolique
post-synodale »
en
retenant ce qu’il veut des propositions
épiscopales. En tout état de cause, il
ne faut pas que ce synode important
éclipse l’année de la vie consacrée
voulue elle aussi par le pape. Dans
notre archidiocèse, cette année
s’ouvrira le 21 novembre prochain par
une Messe célébrée à 19h à la
Primatiale en la fête de la Présentation
de la Vierge Marie au Temple de
Jérusalem.
La vie consacrée une alliance
d’amour avec Dieu particulière
En un sens tout baptisé est une
personne consacrée à Dieu et au salut
de son prochain. Tout baptisé est
appelé à suivre Jésus, à conformer sa
vie à la sienne. Dieu s’est fait homme
et il a voulu connaître une vie de
pauvreté, de chasteté et d’obéissance
pour notre salut. Chacun de nous est
appelé à imiter Jésus et donc à vivre
dans la chasteté, la pauvreté et
l’obéissance. Chacun selon son état de
vie (cf. Lumen Gentium n°42).
Cependant, le Seigneur vient au
devant de certaines personnes par le
don d’une vocation spécifique. Il
appelle certains à une donation
radicale à sa suite. Ce qui caractérise
ainsi la vie consacrée c’est la
profession publique (engagement
public et liturgique) des trois conseils
évangéliques (pauvreté, chasteté,
obéissance) pour se donner au
Seigneur avec un cœur « sans
partage » (1 Co 7, 34). C’est Dieu qui
vient faire alliance avec une âme
baptisée pour l’appeler à être
radicalement et exclusivement son
épouse. « Tu m’as séduit Seigneur et
je me suis laissé séduire » (Jr 20, 7).
C’est une alliance sponsale d’une âme
avec Dieu qui a des répercutions
radicales sur toute la vie. La personne
baptisée qui y est appelée renonce à
toute propriété privée, à l’exercice de
sa sexualité, et elle promet obéissance
pour être davantage « tout à tous ».
« Dans la Tradition de l’Eglise, la
profession religieuse est considérée
comme un approfondissement unique
et fécond de la consécration
baptismale » (Vita consacrata n° 30
de saint Jean-Paul II) : « être ton
épouse, ô Jésus (…) être par union
avec toi, la mère des âmes » (Ste
Thérèse de l’Enfant-Jésus).
Des formes diverses de vie
consacrée
La vie consacrée est riche.
Donnons des exemples concrets : un
moine ou une moniale qui vit une vie
strictement contemplative dans la
clôture de son monastère, un religieux
ou une religieuse apostolique qui vit
dans son couvent et qui en sort pour
venir en aide à son prochain (par des
œuvres de miséricorde corporelle ou
spirituelle), une vierge consacrée par
son Evêque qui vit dans le monde, un
ermite, une veuve consacrée qui fait
vœu de chasteté perpétuelle pour le
Royaume des cieux, un membre d’un
« institut séculier » qui lui aussi vit
dans le monde mais qui a prononcé
des vœux de consécration (par
exemple : l’Institut Notre-Dame de
Vie), un membre d’une « société de
vie apostolique »… Nous savons que
notre communauté de Saint-Georges a
eu la grâce de voir un certains
nombres de ses membres entrer dans
la vie consacrée (vie monastique et
religieuse notamment) et qu’elle
compte aujourd’hui en son sein
plusieurs vierges consacrées.
Dans notre diocèse nous avons
deux Carmels (Fourvière et Yzeron),
des bénédictines à Pradines, une
bonne douzaine de paroisses confiées
à des Instituts de vie consacrée ou à
des communautés dites « nouvelles ».
Il y a aussi les centres spirituels
animés par des religieux : Le
Chatelard
(Jésuites),
Valpré
(Assomptionnistes), le centre Don
Bosco (Salésiens), le couvent de la
Tourette (Dominicains), la Neylière
(Maristes)…
Le mariage et la vie consacrée :
deux phares complémentaires de la
fidélité de Dieu
Dieu est toujours fidèle. Les époux
mariés sacramentellement ne sont eux
pas toujours fidèles à leur engagement
pris devant Dieu et la communauté de
l’Eglise. Les consacrés, eux aussi, ne
sont pas toujours fidèles à leur
engagement public de vivre selon les
trois conseils. Et pourtant le mariage
sacramentel d’un homme et d’une
femme baptisés est le signe réelle de
la fidélité du Christ envers son épouse
l’Eglise (cf. Ep 5 et Familiaris
Consortio n° 13 de saint Jean-Paul II).
De même, la personne consacrée est
le signe vivant de l’alliance que Dieu
veut avec chacune de ses créatures et
le signe vivant de ce que nous serons
après la résurrection de notre
corps (les
personnes
consacrées
anticipent dans leur vie d’ici-bas ce
que nous vivrons éternellement corps
et âme avec Dieu). Un mariage fidèle
et saint et une personne consacrée
fidèle et sainte, un prêtre fidèle et
saint sont des signes lumineux et
missionnaires dans le monde qui nous
parlent de la fidélité de Dieu. Ils
témoignent à leur manière de Dieu et
de sa fidélité. A nous de prier pour les
personnes consacrées et pour les
couples mariés, sans oublier les
prêtres, afin que tous contribuent par
leur fidélité à la parole donnée à être
des signes de la fidélité de Dieu. Nous
avons besoin de saints époux, de
saintes personnes consacrées, de
saints prêtres.
Abbé Laurent Spriet +
Quatre nouveaux catéchumènes
Q
uelle joie le Seigneur nous a
faite le dimanche 26 octobre
dernier avec l’entrée liturgique
de quatre nouveaux catéchumènes
adultes ! Emiliane, Virginie, Samuel
et Mirsad comptent sur notre prière
dans leur cheminement vers le
baptême. Le Seigneur est intervenu
dans leur vie. Il leur a donné un
commencement de foi en Lui et Il les
a appelés au baptême. Quel mystère !
La liberté humaine et la grâce de Dieu
sont deux réalités qui nous
dépassent… Nous savons la nécessité
de la grâce dans la vie chrétienne :
sans Jésus nous ne pouvons rien faire
(Jn 15).
Déjà l’an dernier nous avons eu la
grâce de voir le Seigneur baptiser cinq
adultes (Virginie, Rachel, Mélissa,
Iréna, Julie) au sein de notre
communauté. Arnaud avait fait son
entrée en catéchuménat en même
temps que Julie : il a souhaité faire
une pause. Nous devons le porter dans
notre prière et respecter sa liberté.
Etre catéchumène n’est pas une
sinécure. Il faut que nous portions nos
catéchumènes et nos néophytes dans
notre prière pour qu’ils puissent
persévérer et même grandir (comme
nous) dans la sainteté et la fidélité au
Seigneur. Cela ne nous dispense par
non plus de les entourer de notre
affection et notre attention tantôt
discrètes tantôt manifestes mais
toujours efficaces.
Enfin, dès maintenant, il faut
considérer l’avenir et continuer à
demander de nouveaux catéchumènes
au Seigneur ! Nous n’avons jamais
trop de catéchumènes puisque le
Seigneur est mort pour tous et qu’Il
veut le salut éternel de tous.
Demandons au Christ la grâce d’être
de bons missionnaires du salut qu’Il
offre à chaque personne humaine.
Abbé Laurent Spriet +
Garde d’Honneur du Sacré-Cœur
« GLOIRE, AMOUR, RÉPARATION AU CŒUR DE JÉSUS »
Petit rappel : Le but du conseil de notre fondatrice est de nourrir notre heure quotidienne et le
mettre en pratique pour réparer et consoler le Cœur blessé de Jésus. Ayons une pensée, une
prière pour ceux et celles qui nous ont quittés.
Voici ce que suggérait Soeur Marie du Sacré-Coeur Bernaud, la fondatrice :
LES AMES DU PURGATOIRE
cette époque de l’année où
l’Eglise les mentionne plus
particulièrement, multiplions les actes
de piété en leur faveur. Nous ne nous
tromperons pas sur leur attente. Ainsi
les âmes de nos frères défunts feront
la douce expérience, qu’au-delà de
leur tombeau, elles restent de la
famille du Cœur de Jésus. Les gardes
d’honneur s’empresseront de recueillir
le précieux sang et l’eau sortis de la
blessure du divin Cœur et les
répandront
comme
une
onde
rafraichissante sur les âmes afin de
hâter leur bonheur éternel. Il faut
qu’une sainte ambition nous anime
durant ce mois : celle de ne laisser
aucune
garde
d’honneur au
purgatoire. Nous ne parlons pas
A
seulement de nos parents qui, sans
aucun doute, ont déjà notre suffrage,
mais de toutes ses âmes détenues au
purgatoire et surtout celles qui sont
délaissées, oubliées. Cette dévotion
est intimement liée à celle du Sacré
Cœur. Ste Marguerite Marie la
pratiquait elle-même à un degré
héroïque, elle avait compris que l’une
des plus douces consolations à offrir
au Cœur très aimant de notre Seigneur
était de lui rendre nombre d’âmes
captives que sa Justice ne pouvait
délivrer lui-même. Faisons célébrer
des messes pour ces « bonnes amies
souffrantes » comme elle les nommait.
Dans la mesure de nos forces et de
notre ferveur, offrons quelques
sacrifices,
quelques
privations :
réprimons
notre
curiosité,
l’impétuosité de notre langue, la
recherche du superflu, le plaisir de nos
sens… en vue de soulager les âmes
qui avaient péché par là-même. Ce
seront de riches aumônes qui nous
seront rendues quand, à notre tour,
nous descendrons dans le feu
purificateur. Nos frères et sœurs de la
Garde d’honneur viendront nous en
tirer comme nous aurons essayé d’en
arracher les âmes qui sollicitaient
notre secours, le Seigneur Jésus ne ditIl pas : « on se servira envers vous de
la même mesure dont vous vous serez
servis envers les autres. »
(Sr Marie du Sacré Cœur Bernaud)
Nous « offrons nos corps en hostie vivante, sainte, agréable à Dieu », au sein du Corps du Christ que nous
formons, et en communion avec l’offrande de son Eucharistie. Catéchisme de l’Église Catholique, n°2031.
Rejoignez, vous aussi, la Garde d’Honneur du Sacré-Cœur à Saint-Georges !
Renseignements auprès de Marie-Odile Bonfils, zélatrice 06 38 66 45 27
et sur le site http://www.gardedhonneurdusacrecoeur.org
CINEMA : L’Apôtre
de Cheyenne-Marie Carron (2014) FR
Nous le projetterons le lundi 12 janvier à l’espace Saint-Ignace (chez
les jésuites, 20 rue Sala). Le film sera suivi d’un témoignage de converti et
peut-être d’un acteur. Retirez vos billets dès maintenant auprès du secrétariat
de Saint-Georges (200 places disponibles maximum).
Banlieue parisienne. Akim est un
jeune musulman qui se destine,
avec son frère Youssef, à
devenir imam. La sœur d'un prêtre
catholique de son quartier est
assassinée par un voisin. Ce prêtre
décide de continuer à vivre auprès
de la famille de l'assassin, car il sent
que cela les aide à vivre. Interpellé
par cet acte de charité, Akim
s'engage dans un chemin de
conversion au christianisme, qui va
l'opposer à son frère et à l'ensemble
de sa communauté. Par son attitude
chrétienne il ébranlera aussi son
frère Youssef. Avec : Fayçal
Safi (Akim),
Brahim
Tekfa
(Youssef, le frère), Sarah Zaher
(Hafsa, la soeur), Salah Sassi
(Abdellah), Norah Krief (Maya, la
mère), Yannick Guérin (le prêtre,
Père Fauré).
Récompense : Prix spécial de la
fondation Capax Dei au festival
Mirabile Dictu (2014).
L’intelligence et le cœur…Tels
sont les deux mots qui peuvent
définir le huitième film de
Cheyenne Carron (courts métrages
compris) devenue par le baptême à
Pâques de cette année CheyenneMarie Carron.
L’intelligence
Elle réside dans cette façon
limpide de mettre en évidence le
mur doctrinal quasiment inviolable
que constitue l’Islam avec le Coran.
Le héros, Akim, et le spectateur à
travers lui, se heurtent tout au long
du récit à ce mur infranchissable.
L’intelligence aussi parce que si le
film s’attache à mettre en évidence
la pression du milieu familial
musulman
sur
Akim,
la
déstabilisation aussi de la famille
suite à sa conversion, le film ne
contient aucune insulte, aucune
scène outrancière vis-à-vis des
musulmans et de l’islam en général
et ne tombe pas dans le piège du
manichéisme. S’il montre l’attitude
hostile des musulmans envers les
« apostats », c’est par un souci de
vérité, mais cela est fait avec une
vraie volonté de lutter contre des
préjugés: Ceux que les Français de
tradition chrétienne peuvent avoir
contre les musulmans, mais sans
doute plus encore ceux que les
musulmans ont à l’encontre des
chrétiens et la mise en relief des a
priori et de leur violence a de quoi
faire réfléchir. Tout est traité avec
un grand respect de chacune des
croyances
des
protagonistes,
chrétiens ou musulmans, avec leurs
doutes et leurs certitudes.
Le cœur
Précisément car seule la charité
peut permettre de surmonter cet
obstacle presque physique. Ici la
charité s’exprime à un haut niveau
au travers de l’exemple du prêtre
qui déclenche chez Akim un choc
émotionnel qui lui permet de sortir
de l’enceinte islamique dans
laquelle il est enfermé par sa
naissance et son milieu. A un
niveau plus modeste, ordinaire ou
quotidien pourrait-t-on dire, la
charité se manifeste par le geste
d’un jeune père de famille blanc qui
propose son aide à Akim après un
petit accident de la circulation. Le
cœur aussi parce que la cinéaste au
travers de son film rend un
hommage particulier à l’Abbé Faure
qu’elle a connu dans son enfance et
sa jeunesse. Ce prêtre a perdu sa
sœur, étranglée par le fils de ses
voisins, des musulmans d’origine
marocaine. En dépit de ce drame,
l’Abbé Faure est resté dans ce
village pour continuer son ministère
proche des parents de l’assassin car
« sa présence les aidait à vivre ». A
ce propos la jeune réalisatrice
précise : « Ce n’est pas mon but
d’encourager les spectateurs à la
conversion ; mon idée, c’est de
laisser une trace de la bonté de cet
homme. Des « DVD » circuleront,
des gens iront le voir au cinéma, et
on se souviendra de cet homme »
(propos recueillis par Rue 89, Le
Nouvel
Observateur.com,
30.08.2014). Le film est réalisé
avec des moyens très limités
puisque le budget s’est élevé à
quarante-cinq mille euros. Malgré
ceci qui affecte quelque peu la
réalisation (des images qui tanguent
un peu trop en raison d’une caméra
tenue au poing pour des raisons
économiques, des raccords de
séquences abrupts) le film est
d’assez bonne facture, basé sur une
construction scénaristique solide,
des dialogues justes, il est
nerveusement mis en scène et
finalement plein d’énergie. On
regrettera une chose, le dernier plan
qui montre Akim et son frère
Youssef, réconciliés comme frères
mais qui prient leur Dieu côte à
côte, chacun à sa façon. Cette image
si elle veut montrer cette
réconciliation humaine de deux
frères de sang a le défaut majeur de
donner à croire au spectateur non
formé que la religion Catholique et
l’islam c’est au fond la même
chose, mettant ainsi sur le même
plan la vérité et l’erreur. D’ailleurs,
la question se pose de savoir si le
film n’aurait pas pu s’arrêter plus
tôt pour éviter cette fin en forme de
« happy-end ». Et dans
cette
perspective, il est vraisemblable que
le moment idéal se situe lorsque la
famille d’Akim réunie autour de
l’oncle et imam le convoque et qu’il
lui est demandé de confirmer son
appartenance à l’islam. Juste après
la question posée, le film pouvait se
terminer sur le visage d’Akim juste
avant qu’il ne réponde ! La
soudaineté de cette chute aurait eu
l’avantage de donner une grande
force au propos, de faire toucher du
doigt au spectateur toute la gravité
de la situation et de rester au cœur
du problème. Moi, Chrétien, que
vais-je répondre si un jour il m’est
demandé d’abjurer ma foi ? Toute
la question est là !
Un mouvement de métanoïa
Mais, et c’est sans doute le plus
extraordinaire, simple dans ses
moyens et sa forme le film est
tellement sincère et vrai qu’il
parvient à faire poindre à fleur
d’image au-delà de l’espérance et
de la charité qui l’irradient déjà ce
« phénomène » si difficilement
représentable qu'on appelle la foi :
une grâce qui peut vous tomber
dessus sans crier gare. Dieu vient
rejoindre Akim dans sa volonté
d'être un musulman exemplaire
alors qu’il se prépare à devenir
imam, et lui montre qu'au-delà des
traditions reçues, toute idée que l'on
se fait de Lui est nécessairement
incomplète et, bien souvent, à
l'image de nos propres limites...Ce
mouvement de métanoïa est très
finement
restitué
et
rendu
notamment perceptible par le jeu
tout en subtilité et sincérité du jeune
Faycal Safi qui interprète Akim. Le
film devient alors lui-même apôtre,
ce qui est la volonté de CheyenneMarie Carron qui veut « être apôtre
en passant des messages chrétiens
par le cinéma »…« Je ne peux pas
évangéliser, c’est la grâce qui doit
permettre de s’exprimer. Je ne suis
qu’un instrument de la bonne
parole. [...] Les gens ont soif de
spiritualité plus que jamais, et la
percée du cinéma catholique n’est
pas un phénomène qui va passer de
sitôt. La France a besoin de beau,
de grâce et de grandeur. ». Voilà un
film qui, déjà à l’origine privé de
tout financement du Centre
National du Cinéma, mériterait
d’être correctement distribué et qui
est injustement maltraité par les
réseaux
professionnels
de
distribution. Heureusement, la
fondation catholique Capax Dei au
Festival Mirabile Dictu a su réparer
partiellement cette injustice en
récompensant ce film pour le talent,
pour le courage dans la prise de
risque et pour son message
universel et donc catholique.
Mirabile dictu (Belles choses à
dire) : 4/5.
Un paroissien.
Le DVD du film « Cristeros » sera disponible dès le 17 novembre.
Ne manquez pas de l’acheter pour vous-mêmes et pour offrir.
Mois des âmes du purgatoire (novembre)
RAPPELS :
Indulgences pour les défunts
L
es indulgences sont la rémission devant Dieu de la peine temporelle due pour les péchés dont la faute est déjà
pardonnée. À certaines conditions, le fidèle acquiert cette rémission, pour lui-même ou pour les défunts, par le
ministère de l’Église qui, en tant que dispensatrice de la rédemption, distribue le trésor des mérites du Christ et des saints.
(Compendium, 312) Pour gagner l’indulgence plénière, en plus d’exclure toute affection au péché, même véniel, il est
requis d’accomplir l’œuvre indulgenciée et de remplir les trois conditions : confession sacramentelle, communion
eucharistique et prière aux intentions du Souverain Pontife. Les trois conditions peuvent être remplies plusieurs jours
avant ou après l’accomplissement de l’œuvre prescrite ; cependant, il convient de recevoir la communion et de
prier aux intentions du Souverain Pontife le jour même où l’on accomplit l’œuvre.
Du 1er au 8 NOVEMBRE:
Une indulgence plénière, applicable seulement aux âmes du Purgatoire, est accordée au fidèle :
- qui visite dévotement le cimetière et prie pour les défunts, ne serait-ce que mentalement, entre le 1er et le 8 novembre.
- le jour où est célébrée la commémoration de tous les fidèles défunts (ou bien, avec le consentement de l’Ordinaire, le
dimanche précédent ou suivant, ou le jour de la solennité de la Toussaint), visite pieusement une église ou un oratoire et y
récite le Pater et le Credo.
Source : Pénitencerie Apostolique, Manuel des Indulgences, Rome, 1999-2000, concessions 29 et 33.
Prière à Notre-Dame de Montligeon
Notre Dame libératrice, prenez en pitié tous nos Frères défunts, spécialement ceux qui ont le plus
besoin de la miséricorde du Seigneur. Intercédez pour tous ceux qui nous ont quittés afin que
s’achève en eux l’œuvre de l’Amour qui purifie. Que notre prière unie à celle de toute l’Église leur
obtienne la joie qui surpasse tout désir et apporte, ici-bas, consolation et réconfort à nos frères
éprouvés ou désemparés. Mère de l’Église, aidez-nous, pèlerins de la terre à mieux vivre chaque jour
notre passage vers la Résurrection. Guérissez-nous de toute blessure du cœur et de l’âme. Faites de
nous des témoins de l’Invisible, déjà tendus vers les biens que l’œil ne peut voir, des apôtres de
l’espérance semblables aux veilleurs de l’aube. Refuge des pécheurs et Reine de tous les saints,
rassemblez-nous tous un jour, pour la Pâque éternelle, dans la maison du Père, par Jésus, le Christ,
notre Seigneur. Amen.
Dates à retenir
Catéchisme (CP à CM2) : mercredi de 9h30 à 10h45 à la MSB.
Lycéens : de 19h à 20h à la MSB par l’abbé Spriet. Prochains cours le 5 novembre puis 19 novembre
Etudiants et jeunes pros : un soir par mois à 19h30. Prochaine rencontre le lundi 17 novembre
«Sacrosanctum Concilium et la réforme liturgique » par l’abbé de Montjoye (au cercle Charles Péguy, 15 rue Sala).
Topo, suivi d’un dîner partagé (porter quiches, salades, boissons…). Fin vers 21h30/22h.
Soirée jeunes couples : un soir par trimestre à la MSB à 20h (dîner-débat). Prochaine rencontre : jeudi
26 novembre
Catéchisme pour jeunes pros et adultes : un lundi par mois de 20h à 22h au collège Bx F. & J. de
Fatima avec l’abbé Spriet. Prochaine rencontre : lundi 10 novembre « La Sainte Trinité » (CEC 185-278)
Initiation à l’Ancien Testament : un soir par mois de 20h15 à 21h30 à la MSB avec l’abbé de
Montjoye. Prochaine rencontre : jeudi 20 novembre.
Rosaire Vivant des jeunes (18-25 ans) : une fois par mois de19h à 21h à la MSB. Contact :
[email protected]. Prochaines rencontres : mardi 4 novembre (la théorie du genre) et jeudi 20
novembre (« qui est mon prochain ? »)
Nuit d'adoration : vendredi 7 novembre de 22h30 (en raison de la veillée de prières et de témoignage
pour les chrétiens d’Orient ; voir annonce infra) à 9h du matin Exceptionnellement il n’y aura pas d’adoration
méditée pour la Garde d’Honneur. Adoration à l’église jusqu’à 23h30, à la crypte de 23h30 à 9h du matin. Les
garçons qui souhaiteraient dormir à la MSB pendant la nuit d’adoration peuvent se manifester (deux cellules
et un dortoir disponibles, apporter son sac de couchage).
Evangélisation de rue : vendredi 7 novembre autour de l’église de 22h30 à 23h30 pendant
l’adoration. Contact : Joseph Coutin 06 98 64 88 67 ou [email protected]
Servants de messe : répétitions samedi 8 novembre de 14h30 à 15h30, puis le samedi 22
novembre à 14h, suivi d’un enseignement et goûter à la MSB (fin à 16h15)
Responsable des enfants de chœur : Théo Soubeyrand-Sévenier : 06 61 95 10 80 ou theo.sevenier AT hotmail.fr
Chœur grégorien (chœur d’hommes et chœur de femmes) : répétitions le mardi après la messe,
de 19h15 à 20h.
Journée grégorienne à l'abbaye Notre Dame de Triors : samedi 6 décembre. Inscriptions
au secrétariat. Aucune participation financière n'est demandée pour ces journées. Chacun peut, selon ses
possibilités, laisser un petit don à l'abbaye dans une enveloppe que je fais circuler ou dans le tronc de l'église.
Chorales polyphoniques : N’hésitez pas à rejoindre une des deux chorales !
pour la messe de 10h30 : répétition le mardi à 20h et le dimanche à 10h
Contacter Felipe Lesage : 06 48 63 07 64
pour la messe de 19h : répétition le jeudi à 20h et le dimanche à 18h
Contacter Sarah Lyonnet : 06 65 01 42 82
NOUVEAU : "Appréciation de la Musique Sacrée"
Pour tous ! À partir du mois de novembre et une fois par mois, se dérouleront à la Maison Sainte-Blandine des
rencontres mensuelles visant à cultiver un imaginaire commun au sujet de la musique de notre Église chez
nos paroissiens par le biais de l'écoute de morceaux choisis, de petites lectures et d'échanges.
Voici le plan des deux premières rencontres:
- Mercredi 7 novembre à 20h : La Musique Sacrée Aujourd'hui Marco Frisina, Eric Whitacre, Olivier Messiaen,
Almeida Prado etc.
- Mercredi 3 décembre à 20h : La Musique Sacrée à Saint Georges Exposé de ce qui a été fait à Saint Georges.
Conférence saint-Vincent de Paul : si vous voulez donner de votre temps pour visiter des personnes
seules (à domicile ou en maison de retraite), rejoignez notre équipe de la Conférence Saint-Vincent de Paul ! Il y a
des personnes à visiter peut-être près de chez vous sans que vous le sachiez. Merci d’avance. Prochaine réunion de
l’équipe « Saint-Georges » mercredi 12 novembre à 20h15.
Scouts d’Europe à Saint-Georges : Contact : Hubert Engelmann 06 99 05 46 66
Foyers Domus Christiani : Contact : Bernard et Chantal PERREAU :
bernardperreau AT gmail.com - tel : 09 81 15 62 60 - www.domus-christiani.org.
Pèlerinage à Ars : Pèlerin d’un jour : un vendredi par mois (généralement le premier vendredi du
mois), nous proposons à ceux qui n’ont pas l’occasion, d’aller à Ars et à ceux qui le souhaitent, de se regrouper et
d’aller dans ce beau lieu de Miséricorde. Départ 9h devant l’église St Georges, retour départ d’Ars entre 15h et
15h15 ! Prochaine date : vendredi 7 novembre. Contact impératif : Isabelle Tixier 06 15 40 40 68.
Equipe fleurs : contacter Brigitte Horiot : bhoriot AT gmail.com
Garderie : Pour que la messe demeure recueillie, merci de ne pas laisser les enfants crier dans l’église.
L’éducation commence dès le plus jeune âge. Si les gazouillis ne sont pas une vraie gène, les cris le sont pour vos
voisins, pour le célébrant, parfois même pour le prêtre qui essaye de confesser à côté, et pour vous-mêmes. La
garderie se tient à la crypte (entrée par l’escalier derrière l’orgue ou par la petite porte extérieure, côté nord).
Merci.
Equipe Sainte Marthe (« panier du curé ») : rejoignez l’équipe des cuisinières pour porter un repas par
mois (pour trois personnes) ou des courses à la MSB. Contact : Marie-Odile Bonfils : 06 38 66 45 27
Ménage spécial étudiants : samedi 29 novembre (10h-12h) pour que l’église soit propre
comme un sou neuf pour accueillir les nombreux touristes du 8 décembre ! Le ménage sera suivi d’un
repas à la maison Sainte-Blandine. S’inscrire à l’avance pour le repas auprès de l’abbé de Montjoye.
Veillée de prière et de témoignage
en communion avec les Chrétiens d’Orient
vendredi 7 novembre à Saint-Georges
avec SOS Chrétiens d’Orient
18h30 : messe chantée (messe votive du Sacré Cœur)
20h : témoignages : Roueda Khoury (Syrie), Père Anis Hanna (Irak)
22h30 : adoration (toute la nuit)
Concerts de musique sacrée à Saint-Georges
avec l’ensemble instrumental et vocal Agamemnon
Samedi 22 novembre à 20h30
Accademia della Morte - Cantates et sonates de l'institution ferrarese
Entrée libre
Le Père Richard Wasik, de l’Aide à l’Eglise en Détresse, viendra prêcher
le dimanche 23 novembre à Saint-Georges (8h30, 10h30 et 19h),
et vous proposer les différentes manières de soutenir l’action de l’A.E.D.
http://www.aed-france.org/
Inauguration de la stèle des Conciles de 1252 et 1274
vendredi 21 novembre à 20h à la Primatiale
Deux conciles ont eu lieu à Lyon dans la primatiale Saint-Jean, en 1252, avec le pape
Innocent IV, et en 1274, avec le pape Grégoire X. Le concile de 1252 a réuni 150 évêques, abbés et supérieurs
généraux. Le concile de 1274 a réuni 500 évêques et 70 abbés ou prieurs. Saint Bonaventure mourut au cours de la
4ème session et saint Thomas d’Aquin mourut en venant au concile.
Samedi 29 et dimanche 30 novembre :
RELIQUES du Bx Jose Sanchez del Rio à Saint-Georges
Cristero mexicain de 14 ans torturé puis exécuté, héros du film « Cristeros »
Les enfants seront invités à vénérer les reliques
Veillée pour la Vie naissante
Samedi 29 novembre de 20h30 à 21h30 à la basilique de Fourvière
Présidée par le Cardinal Barbarin
En union avec le Pape et de nombreux diocèses de France et du monde.
Écoute de la parole. Témoignages. Catéchèse du cardinal Barbarin. Prier et chanter avec Marie.
Contact : [email protected] / 04 78 814 830
« Mission du 8 » à Saint-Georges
Soirée d’évangélisation et d’adoration à l’église Saint-Georges vendredi 5 décembre
Dîner de 20h à 21h au cercle Charles Péguy, topo de 21h à 22h (abbé Laurent Spriet), adoration et évangélisation
de 22h à 23h. Contact : Joseph COUTIN : 06 98 64 88 67 ou : josephcoutin @ yahoo.fr
PELERINAGE A ROME AVEC LES ETUDIANTS
du 13 au 19 avril (avec l’abbé de Montjoye)
Places limitées. Prix approximatif : 400 € (transport, logement, repas, visites)
Renseignements et inscriptions dès maintenant auprès de l’abbé de Montjoye
STATUES PELERINES
Statue pèlerine de ND de France : pour solenniser la prière du rosaire en famille, préparer ou renouveler une
consécration mariale, ou simplement donner la joie aux enfants que nous sommes de recevoir chez eux leur Mère du Ciel.
Statue pèlerine de l’Enfant-Jésus de Prague : pour faire prier en particulier les enfants à la maison.
Une valise et différents livrets, brochures, images, chapelets, accompagnent chaque statue. Les statues se récupèrent à la
sacristie le dimanche après la messe et sont rendues le dimanche suivant, avant la messe, au même endroit.
Carnet de famille
Nos joies :
Naissance d'Adélaïde, premier enfant d'Edouard et de Blandine LANGLOIS, le 3 octobre
Naissance d’Augustin, quatrième enfant de Pierre-Antoine et Madeleine-Sophie FARHAT, le 26 octobre.
Baptême de Foucauld, cinquième enfant de Vincent et Marie-Hombeline PONCHON de SAINT-ANDRE, le 26 octobre.
Première Communion de Marie-Liesse, fille de David et Aude VALANCOGNE, le 12 octobre.
Mariage de Gilles de LA LAURENCIE et d'Isabelle CAMUS à Chessy-les-Mines (69) le samedi 25 octobre.
Entrée en catéchuménat d'Emiliane et Virgine DESMAREST, de Samuel VEYS et de Mirsad TORPELLI, le dimanche 26
octobre.
Nos peines :
Rappel à Dieu de monsieur Guy EYMARD-DUVERNAY, père de Chantal PERREAU, le 23 octobre, à la suite d’un tragique
accident, muni des sacrements de l’Eglise. Nous assurons sa famille de nos plus sincères condoléances et de nos prières
pour le repos de son âme et pour la consolation de ceux qui restent. R.I.P.
Petites annonces :
Nous recherchons d'urgence une personne pour garder nos enfants (18 mois et 3 ans) les mercredis (de 8h30 à 18h30
environ) et les vendredis (de 9h30 à 18h30 environ). Le vendredi, le grand est à l'école jusqu'à 16h30. Nous habitons
Oullins. Rémunération 8 euros/heure. Contact : 06 86 86 54 96
ROSAIRE POUR LA VIE : chaque 3ème samedi du mois
Esplanade de Fourvière, devant la statue de Saint Jean-Paul II
Prochain rosaire pour la Vie: 15 novembre 2014 à 10h30
Pour célébrer les 20 ans de la mort du Professeur Lejeune et de la création de la Fondation :



Exposition : « Jérôme LEJEUNE : une découverte pour la vie »
du 24 novembre au 3 décembre de
10h à 18h30 à la Maison des Familles, 52 Cours Charlemagne, Lyon 2e
Cette exposition explore l’univers de la génétique et certains des enjeux bioéthiques actuels, à travers la figure du
Prof. Jérôme Lejeune et sa découverte de la trisomie 21.
Débat : Quelle place pour l’homme « diminué » dans une humanité « augmentée»? Mardi 25
novembre à 20h30 à l’Université Catholique de Lyon, 23 place Carnot 69002 Lyon
Débat avec Fabrice HADJADJ, écrivain, philosophe et Jean-Marie LE MENE, Président de la Fondation Jérôme
Lejeune. Libre participation aux frais
Pièce de théâtre « Jeanne et les Posthumains» de Fabrice HADJADJ par La Compagnie De Bas en
Haut Les 26, 27, 28 et 29 novembre à 20h30 et le dimanche 30 novembre à 17h au théâtre de la Solitude, chez les
Maristes, 29 chemin de Montauban, Lyon 5e Comme un prolongement des avertissements lancés par Jérôme
Lejeune durant sa vie, cette pièce pose la question de la valeur de la vie et de sa transmission, de la place de
l’homme dans une société tout-technologique ; ce spectacle permettra au public de poursuivre la réflexion sur les
défis éthiques et scientifiques qui se profilent. Public à partir de 15 ans. En pré-vente : Plein tarif: 15€;
Tarif
réduit: 12 € ( - de 18 ans, étudiants, groupes : + de 10 personnes) https://www.weezevent.com/jeanne-et-les-posthumains
Informations pour ces trois évènements : 07 85 40 86 68
Théologie du corps : 2 propositions en novembre
1.
Jeudi 27 et vendredi 28 novembre 2014 au Domaine Lyon Saint Joseph, 38 allée Jean-Paul II à Sainte-Foy-lèsLyon : colloque inaugural proposé par l’institut de théologie du corps - ITC, fondé en 2014 par Yves Semen. Cet institut
a pour but de diffuser largement auprès d’un public francophone l’enseignement de Jean-Paul II sur la théologie du
corps et de former des formateurs certifiés. Contact : [email protected] Informations détaillées
sur : http://institutdetheologieducorps.org
Forum Wahou : 2 jours pour entrer dans la théologie du corps et de l’amour humain de Jean Paul II, pour
s’émerveiller du projet de Dieu et poser un regard nouveau sur son propre corps. Avec la participation du cardinal
Philippe Barbarin et de Mgr Jean-Pierre Batut. Au programme : conférences, témoignages, ateliers en lien avec la
pastorale de la famille. Ce forum est destiné aux adultes à partir de 20 ans. Espace café, espace prière et confession,
espace librairie, stands et nurserie. Inscription avant le 15 novembre. Contact : [email protected]
2.
ASSEMBLEE DES EVEQUES DE FRANCE A LOURDES
Prions pour nos évêques réunis en assemblée plénière à Lourdes du 4 au 10 novembre
Relance de la campagne du DENIER DE L’EGLISE
Opération « Toussaint 2014 »
Amis qui venez à l’église, chaque dimanche, ou de façon épisodique pour les grandes fêtes (Toussaint, Noël,
Rameaux, Pâques…), ou encore pour les baptêmes, mariages et enterrements, vous êtes-vous déjà posé la question
des moyens dont dispose l’Eglise pour assurer sa mission ?
L’Eglise vit essentiellement des dons des catholiques : votre participation à la quête notamment, mais aussi le Denier
de l’Eglise (appelé autrefois le « denier du culte »), cette collecte annuelle qui a pour finalité de rémunérer les prêtres
et les salariés du diocèse.
Beaucoup de catholiques ne participent pas encore au Denier, ne connaissant pas l’importance de cette collecte. C’est
pourquoi nous nous adressons à vous tous. Vous trouverez plus de renseignements dans la lettre d’information du
Denier de l’Eglise (sur les tables à l’entrée de l’église). Cette lettre donne des nouvelles du diocèse et fait le point sur
sa situation financière. Certains d’entre vous l’ont déjà reçue par courrier. N’hésitez pas à en prendre d’autres
exemplaires pour les distribuer à des proches et devenir ainsi « ambassadeurs du Denier ».
Merci de votre attention et de votre participation au Denier. Votre don est un signe d’attachement à l’Eglise et à sa
mission.
A la rencontre des témoins lyonnais
ème
2 édition du Pèlerinage dans la Ville proposée par la pastorale du tourisme, du 8 au 12 novembre
2014. 4 jours pour aller à la rencontre de grands témoins de la foi en visitant les lieux qu’ils ont
fréquentés. Des endroits ouverts de façon exceptionnelle pour mieux connaître de grands chrétiens :
Gabriel Rosset au Foyer Notre-Dame des Sans-Abri, le père Antoine Chevrier au Prado, Pauline
Jaricot à la maison de Lorette, Frédéric Ozanam à l’église Saint-Nizier, Claudine Thévenet à la maison
de Fourvière où elle a vécu, le curé d’Ars et sa maison natale à Dardilly
L’accès aux différents lieux de pèlerinage se fait en transport en commun, sans réservation préalable,
sans frais à acquitter. Contact : [email protected] / 04 78 81 48 81
Service catholique des funérailles Le Service Catholique des Funérailles, installé à Lyon depuis quelques
mois, apporte aux familles en deuil, un service complet de pompes funèbres. Il associe un service funéraire de qualité,
prodigué avec délicatesse, en refusant toute surenchère commerciale. Les membres de ce service s’engagent aux côtés
des personnes en deuil pour les aider à vivre un hommage digne, vécu dans l’espérance chrétienne.
SCF Service Catholique des Funérailles 7 rue du Plat 69002 Lyon - Tél. 04 72 16 29 08
Courriel : accueil.69 AT s-c-f.org
Site web www.s-c-f.org
Dons : Tous ceux qui désirent un reçu fiscal pour leur don à Saint-Georges doivent impérativement le libeller à
« A.D.L Saint-Georges ». Seule l'association diocésaine est habilitée à délivrer des reçus fiscaux. Les dons sont ensuite
reversés à Saint-Georges. Vous pouvez également faire un virement permanent sur le compte de Saint-Georges (ou sur le
compte ADL-Saint-Georges si vous désirez un reçu fiscal).
Offrande des messes : Messe : 17 € ; Neuvaine : 170 €
HORAIRES DES OFFICES
Messes :
 dimanche : 8h30 (rite lyonnais) ; 10h30 (grand’messe) ;19h
 du lundi au vendredi à 18h30
 mardi messe supplémentaire à 8h45 (sauf 21 et 28 octobre)
 samedi messe unique à 9h (rite lyonnais)
Messes en dehors de Saint-Georges par les prêtres de Saint-Georges : L’abbé Spriet dit également la messe le
mercredi (période scolaire seulement) à 11h15 à Saint-Pierre-de-Vaise (messe du collège) et le jeudi à la chapelle du
collège à 8h45 (pour les familles), l’abbé de Montjoye un vendredi sur deux à 8h30 pour les familles à l’école SaintDominique Savio. Il y aura parfois des messes supplémentaires à 06h30 (le matin). Elles seront annoncées aux messes
dominicales précédentes.
Adoration Eucharistique :
 dimanche de 17h00 à 19h00 (vêpres à 18h00)
 du lundi au vendredi à 17h30
Confessions :
 le dimanche avant et pendant les messes (sauf empêchement) et de 17h à 18h
 du lundi au vendredi de 17h30 à 18h15 (lundi et vendredi : abbé Spriet ; mardi, mercredi et jeudi : abbé de Montjoye)
 le samedi de 9h30 à 10h30
 sur rendez-vous
Chapelet : du lundi au vendredi à 18h
Un sou c’est un sou…
Il est proposé par les diocèses de France d’effectuer le don versé habituellement à la quête par un prélèvement régulier,
qui permet de délivrer un reçu fiscal et ainsi d’augmenter de façon significative le montant de votre don. Le diocèse
vous donne alors des jetons bleus que vous pouvez donner à la quête pour manifester par ce geste votre participation à
la messe célébrée. Grâce à ces quêtes prélevées, l’Etat donne avec vous à la quête ! Une aide précieuse pour les
paroisses. Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à contacter Didier Chambefort, notre comptable : 06 45 90 44 97
ou dchambefort AT gmail.com
NOVEMBRE 2014 A SAINT-GEORGES
Samedi 1
er
Dimanche 2
Lundi 3
Mardi 4
Mercredi 5
Jeudi 6
Vendredi 7
er
1 du mois
TOUSSAINT
Vingt-et-unième
dimanche après la Pentecôte
8h30
10h30
19h
8h30
10h30
19h
Commémoraison
de tous les fidèles défunts
Adoration et confessions de 17h à 18h ; Vêpres 18h
Adoration et confessions de 17h à 18h ; Vêpres 18h
Messes à : 6h30 - 7h - 8h45 - 18h30 - 19h (chantée)
adoration et confessions de 17h30 à 18h15 chapelet à 18h
St Charles Borromée, évêque et
confesseur
Les saintes reliques (LYON)
8h45
18h30
de la férie
18h30
18h30
Rosaire Vivant des jeunes à 19h
adoration
et
confessions
de 17h30
à 18h15
chapelet
à 18h
Cours pour lycéens (19h-20h)
Pèlerinage d’un jour à Ars
Soirée prière et témoignages
avec les Chrétiens d’Orient (20h-22h30)
de la férie
18h30
De la Sainte Vierge
(messe Salve sancta parens)
9h
10h30
Répétition des enfants de chœur de 14h30
Vingt-deuxième
dimanche après la Pentecôte
8h30
10h30
19h
Messe sonnée de Saint-Hubert (rallye Belle Courre)
Adoration et confessions de 17h à 18h ; Vêpres 18h
Lundi 10
St André Avellin, confesseur
18h30
Mardi 11
St Martin, Apôtre des Gaules,
évêque et confesseur
18h30
Mercredi 12
St Martin 1er, pape et martyr
18h30
St Didace, confesseur
18h30
St Josaphat, évêque et martyr
18h30
Nuit d’adoration de 22h30 à 9h
(évangélisation de 22h30 à 23h30)
Samedi 8
Dimanche 9
Jeudi 13
Vendredi 14
Samedi 15
Chapelet à 9h30 ; confessions de 9h30 à 10h30
Caté pour adultes et jeunes pros (collège BFJF)
adoration
et
confessions
de 17h30
à 18h15
chapelet
à 18h
Pas de messe à 8h45
Réunion de la Conf. St-V. de P. à 20h15
St Albert le Grand, év., conf. et docteur
9h
Chapelet à 9h30 ; confessions de 9h30 à 10h30
Vingt-troisième
dimanche après la Pentecôte
8h30
10h30
19h
REPAS PAROISSIAL ANNUEL à Don Bosco
Adoration et confessions de 17h à 18h ; Vêpres 18h
Lundi 17
Saint Eucher (LYON)
18h30
Mardi 18
Dédicace
des Basiliques St Pierre et St Paul
8h45
18h30
Ste Elisabeth de Hongrie, veuve
18h30
St Félix de Valois, confesseur
18h30
Présentation de la T.S. Vierge Marie
18h30
Dimanche 16
Mercredi 19
Jeudi 20
Vendredi 21
Etudiants et jeunes pros à 19h30 (cercle Ch. Péguy)
adoration
et
confessions
de 17h30
à 18h15
chapelet
à 18h
Cours pour lycéens (19h-20h)
Rosaire Vivant des jeunes à 19h
Cours sur la Bible à 20h15
Ouverture de l’année de la vie consacrée
Chapelet à 9h30 ; confessions de 9h30 à 10h30
Répétition des enfants de chœur à 14h00
suivi d’un enseignement et d’un goûter à la MSB (fin à 16h15)
Concert à 20h30 avec l’ensemble Agamemnon
Prédication du P. Richard WASIK de l’AED
(vente à la sortie au profit de l’AED)
Adoration et confessions de 17h à 18h ; Vêpres 18h
Ste Cécile, vierge et martyre
Patronne des musiciens
9h
Vingt-quatrième et dernier
dimanche après la Pentecôte
8h30
10h30
19h
Lundi 24
St Jean de la Croix, confesseur et docteur
18h30
Mardi 25
Ste Catherine d'Alexandrie, v. et martyre
8h45
18h30
St Silvestre, Abbé
18h30
Jeudi 27
de la férie
18h30
Vendredi 28
de la férie
18h30
Samedi 29
De la Sainte Vierge
(messe Salve sancta parens)
9h
Ménage de l’église par les étudiants de 10h à 12h
(suivi d’un déjeuner à la MSB)
Dimanche 30
Premier Dimanche
de l'Avent
8h30
10h30
19h
Adoration et confessions de 17h à 18h ; Vêpres 18h
(Présence des reliques du Bx Jose Sanchez del Rio)
Samedi 22
Dimanche 23
Mercredi 26
adoration
et
confessions
de 17h30
à 18h15
chapelet
à 18h
Soirée jeunes couples à 20h
Chapelet à 9h30 ; confessions de 9h30 à 10h30