Catalogue - Stallergenes
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Catalogue Sommaire Oralair® . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 2 Staloral® . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 3 Immunothérapie sous-cutanée Alustal® et Phostal® . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 5 Alyostal Venins® . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 7 Immunothérapie sous-cutanée Immunothérapie sublinguale Immunothérapie sublinguale Traitement et Diagnostic Produits de Diagnostic ALYOSTAL Prick ® . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 9 Matériel pour Prick®-Tests . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 10 Diagnostic par IDR / TPN / TPC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 11 Autres produits à usage professionnel . . . . . . . . . . . . . . . page 13 Produits de diagnostic Allergènes par famille et par produit Acariens . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 15 Pollens Moisissures et levures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 19 Phanères et insectes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 20 Trophallergènes Prick®-Tests . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 16 21 Notice Oralair® . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 23 Alyostal® ST Apis mellifera . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 24 Alyostal® ST Vespula . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 25 Allergènes unitaire Peu urs des trois adolescents ouffrant de ndésirables, cents traités groupe traité n d’un effet uence, Effet Hyperhémie e. Affections gêne nasale, pharyngien. ée, vésicules inale haute, a peau et du elettiques et hite, grippe. thoracique. ALLERGENES TORISATION prescription être poursuivie pe La boîte d’initiation comprend : - 1 blister avec 3 comprimés de 100 IR - 1 blister avec 28 comprimés de 300 IR e La boîte d’entretien comprend : - Soit 1 blister de 30 comprimés à 300 IR isé - Soit 3allergénique blisters de 30:comprimés à 300 IR Immunothérapie comprimé sublingual de 5 graminées3 conditions minées2 pour adultes et enfants Pour profiter de chaque saison DOSAGE Boîte d’initiation La boîte d’initiation comprend : • 31 comprimés (30 jours de traitement): • 1 blister de 3 comprimés de 100 IR (montée de dose - 2 jours) • 1 blister de 28 comprimés de 300 IR (28 jours de traitement) INDICATION Le traitement débute toujours avec la boîte d’initiation pour • 31 comprimés une durée d’un mois, ensuite le traitement est poursuivi à l’aide La boîte d’entretien comprend : Traitement de la rhinite allergique aux pollens de • 30 jours de trait de boîtes d’entretien. • Soit un blister de 30 graminées, avec ou sans conjonctivite, chez les adultes, incluant les 3 jo comprimés de 300 IR les adolescents et les enfants (à partir de 5 ans), (30 jours de traitement) de montée de la présentant des symptômes Jour 1: cliniques associés,1confirmée comprimé de 100 IR • Soit 3 blisters de 30 par un test cutané positif et/ou la présence d’IgE comprimés de 300 IR 2 comprimés de 100 IR spécifiques aux Jour pollens2: de graminées1. (90 jours de traitement) Jour 3: 1 comprimé de 300 IR Jour 4 et suivants : 1 comprimé de 300 IR par jour Pendant la saison 4 mois avant la saison Phase d’entretien UTILISATION • Il est recommand le matin à jeun • Le comprimé doit dissolution compl • Il est recommand d’Oralair sous surv du médecin) pend • Le comprimé a un Produits de diagnostic 1 comprimé de 300 IR 1 comprimé 300 IR/jour mune 2 2comprimés 100 comprimés deIR/jour 100 IR 1 comprimé 100 de IR/jour 1 comprimé 100 IR Phase d’initiation 3 jours Immunothérapie sous-cutanée Immunothérapie sublinguale N 1 comprimé 300 IR/jour Jour 3 Jour 2 UTILISATION DURÉE DU TRAITEMENT • Il est recommandé de prendre chaque comprimé d’Oralair le matin à jeun • Le comprimé doit être maintenu sous la langue jusqu’à dissolution complète (au moins 1 minute) avant d’être avalé • Il est recommandé de faire prendre le premier comprimé d’Oralair sous surveillance médicale (au cabinet du médecin) pendant 30 minutes • Le comprimé a un goût neutre • Un traitement par Oralair débute 4 mois avant le début estimé de la saison pollinique et se poursuit jusqu’à la fin de celle-ci. • Le traitement dure donc 5 à 6 mois par an • Une immunothérapie allergénique doit en général être poursuivie pendant 3 années consécutives2 1. Summary of Product Characteristics Oralair. 2. B ousquet J, Lockey RF, Malling H-J. WHO Position Paper Allergen Immunotherapy: therapeutic vaccines for allergic dieases. Allergy 1998;53 (suppl 54). 3. Fléole des prés, flouve odorante, pâturin des prés, ivraie vivace, dactyle aggloméré. 2 Allergènes Jour 1 Immunothérapie sous-cutanée Immunothérapie sublinguale Staloral® Solution sublinguale d’extraits allergéniques. Flacons contenant 10 ml d’une solution d’extraits allergéniques, muni d’une pompe doseuse. Produits de diagnostic PRéSENTATION Flacons de différente concentration : Concentration IR-IC/mL Bleu Rouge Violet 10 100 300* * Staloral 300 est uniquement disponible en IR/ml. Anneau de sécurité pour le transport. À retirer avant l’administration de Staloral®. • À administrer par voie sublinguale. • à conserver pendant 2 minutes sous la langue avant d’avaler. Produit Staloral 300 IR Staloral 100 IR-IC Coffret initiation Coffret entretien 3 flacons: 2 flacons de 300 IR 10 - 300 - 300 IR 3 flacons de 300 IR 3 flacons: 2 flacons de 100 IR-IC 10 - 100 - 100 IR-IC 3 flacons de 100 IR-IC CONSERVATION A température ambiante, Staloral® peut être conservé jusqu’à 3 mois (sauf l’allergène ambroisie : 1 mois) Au réfrigérateur, entre +2°C et +8°C, Staloral® peut être conservé jusqu’à 12 mois. 3 Allergènes Couleur du flacon SCHéMA THÉRAPEUTIQUE Les schémas thérapeutiques sont donnés à titre indicatif. Pour les allergènes disponibles uniquement en 100 IR-IC/ml : Utiliser le protocole 10 – 300 en remplaçant le flacon 300 par le flacon 100 puis poursuivre à 8 à 10 pressions par jour en entretien. A llergie per-annuelle : INITIATION ENTRETIEN soit 120 à 240 IR/jour ou 3600 à 7200 IR/mois 300 IR/ml 1 pression = 30 IR > Traitement à suivre toute l’année Il est recommandé de traiter pendant au moins 3 années consécutives (OMS 1998)1. A llergie saisonnière : traitement pré et co-saisonnier Traitement à débuter 3 à 4 mois avant la saison pollinique INITIATION ENTRETIEN 0h30 10 IR-IC/ml 1h00 1 pression = 1 IR-IC 1h30 > Posologie minimum recommandée : 4 à 8 pressions/jour soit 120 à 240 IR/jour ou 3600 à 7200 IR/mois 300 IR/ml 1 pression = 30 IR > Traitement à suivre jusqu’à la fin de la saison pollinique Il est recommandé de traiter pendant au moins 3 saisons consécutives (OMS 1998)1. Alternative proposée si le patient arrive peu de temps avant la saison pollinique : • Traitement co-saisonnier2 à 300 IR directement, sous contrôle médical. • Saison suivante : reprendre le traitement pré et co-saisonnier 3 à 4 mois avant la saison pollinique. 1. WHO consensus paper on immunotherapy 1998; JACI; 102(4pt1) p558-62 2. ECRIT-Study: Efficacy and safety of coseasonal SLIT over a three-year period in patients with grass pollen allergy. Ott, Hagen1; Sieber, Jochen2; Baron, Jens1; Merk, Hans1. Abstract EAACI 2007 Allergènes > Concentration : 300 IR/ml H0 4 Immunothérapie sous-cutanée 1 pression = 1 IR-IC > Posologie minimum recommandée : 4 à 8 pressions / jour Produits de diagnostic 10 IR-IC/ml Immunothérapie sublinguale > Concentration : 300 IR/ml Suspension injectable d’extraits allergéniques adsorbés sur gel d’hydroxyde d’aluminium. Flacon contenant 5 ml d’une suspension d’extraits allergéniques adsorbés sur gel d’hydroxyde d’aluminium. Concentrations disponibles : Gris Jaune Vert Bleu Concentration IR-IC/mL 0,01 0,1 1 10 Produits de diagnostic Couleur du flacon Immunothérapie sous-cutanée PRéSENTATION Immunothérapie sublinguale Alustal® Allergènes Phostal® PRéSENTATION Suspension injectable d’extraits allergéniques adsorbés sur gel de phosphate de calcium. Flacon contenant 5 ml d’une suspension d’extraits allergéniques adsorbés sur gel de phosphate de calcium. Concentrations disponibles : 5 Couleur du flacon Gris Jaune Vert Bleu Concentration IR-IC/mL 0,01 0,1 1 10 Immunothérapie sublinguale CONSERVATION Immunothérapie sous-cutanée • À conserver au réfrigérateur entre +2°C et +8°C. Ne pas congeler. • La durée de conservation d’un flacon d’Alustal® et de Phostal® est de 12 mois. Ne pas dépasser la date de péremption indiquée en clair sur le flacon. SCHéMAS THÉRAPEUTIQUES INITIATION ENTRETIEN Volume en ml S2 0.001 0,1 ml 0.002 0,2 ml S3 0.004 0,4 ml S4 S5 S6 0,8 ml 0.01 0,1 ml 0.02 0,2 ml S7 0.008 > Répéter la dose d’entretien (dose maximale tolérée) en espaçant les injections de 2, 3 ou 4 semaines (maximum 6 semaines). 0.04 0,4 ml S8 0,8 ml 0.08 Il est recommandé de traiter S9 S10 0.1 0,1 ml 0.2 0,2 ml S11 0.4 0,4 ml S12 S13 S14 S15 S16 S17 6 0,8 ml 2 0,2 ml 4 0,4 ml 6 0,6 ml 0,8 ml consécutives (OMS 1998)1. 0.8 1 0,1 ml pendant au moins 3 années 8 1. WHO consensus paper on immunotherapy 1998; JACI; 102(4pt1) p558-62 Allergènes S1 Équivalent IR-IC/inj. Produits de diagnostic Le schéma thérapeutique est donné à titre indicatif. ALYOSTAL® 110 μg PRÉSENTATION Poudre et solvant pour solution injectable. AMM Venin d’abeilles (Apis mellifera) 110 μg 332 826-7 Venin de guêpes (Vespula) 110 μg 332 825-0 Immunothérapie sous-cutanée ALYOSTAL® Immunothérapie sublinguale • 1 flacon contenant 110 μg de venin lyophilisé. • 1 flacon contenant 1,8 ml de solution physiologique phénolée. ou • 5 flacons contenant 110 μg de venin lyophilisé. • 5 flacons contenant 1,8 ml de solution physiologique phénolée. Reconstitution et schéma de dilution : Reconstitution Homogénéiser par retournement 1,1 ml Homogénéiser par retournement Homogénéiser par retournement 0,2 ml 0,2 ml 0,2 ml ALYOSTAL 110 μg Diluant 1,8 ml Diluant 1,8 ml 1,8 ml de solution physiologique phénolée 1,1 ml d’une solution de venin à 100 μg/ml 2 ml de solution à 10 μg/ml 2 ml de solution à 1 μg/ml Diluant 1,8 ml 2 ml de solution à 0,1 μg/ml Allergènes Diluant 1,8 ml Produits de diagnostic Préparation des dilutions CONSERVATION • Avant ouverture et après reconstitution, conserver les flacons au réfrigérateur entre +2°C et +8°C. • Ne pas utiliser le lyophilisat et le diluant au-delà de la date de péremption indiquée en clair sur le flacon. 7 Concentration (μg/ml) Durée maximale de conservation après ouverture 100 ≤ 10 6 mois À utiliser extemporanément Protocoles Venins d’hyménoptères PROTOCOLE D’INITIATION DE TRAITEMENT • Les protocoles ultra-rush, rush et cluster doivent être pratiqués sous surveillance médicale en milieu hospitalier. • Le protocole conventionnel est un protocole ambulatoire. • Le protocole doit être adapté à la réactivité de chaque patient. PROTOCOLE Dose de venin en μg Heure 0 0,5 1 1,5 2,5 3,5 Conventionnel 0,1 1 10 20 30 40 0,01 0,1 1 0,001 0,01 0,1 0,01 0,1 1 5 10 20 30 50 50 100 100 1 2 2 Immunothérapie sous-cutanée Jour 1 Cluster Jour 2 Jour 3 Jour 4 Jour 8 Jour 15 Jour 22 Jour 29 Jour 36 Jour 43 Jour 50 Jour 57 Jour 64 Jour 71 Jour 85 Jour 92 Jour 99 Jour 106 0 1 2 3 0 1 2 0 1 2 0 1 0 1 4 8 10 20 40 60 80 100 100 50 50 100 100 100 100 100 100 100 100 4 8 10 20 40 80 100 100 100 100 100 100 100 * Müller U., Mosbech H. EAACI Position paper: Immunotherapy with Hymenoptera venoms. Allergy. 1993; 14, vol.48: 37-46. PROTOCOLE D’ENTRETIEN DE TRAITEMENT La dose d’entretien est généralement de 100 μg de venin (à l’exception des apiculteurs et des personnes très exposées aux piqûres d’hyménoptères, chez qui cette dose peut être amenée à 200 μg). Elle est habituellement administrée au patient selon une périodicité de 4 semaines. 8 Produits de diagnostic Jour Rush Allergènes Ultra rush Immunothérapie sublinguale Position paper EAACI 1993* Alyostal Prick® Immunothérapie sublinguale PRéSENTATION • Extraits allergéniques glycérinés dosés à 100 IR-IC/ml. • Flacon compte-gouttes de 3 ml. Témoin positif Immunothérapie sous-cutanée Phosphate de codéine 9 % C hlorhydrate d’histamine 10 mg/ml Témoin négatif Glycéro-salin phénolé Produits de diagnostic MéTHODOLOGIE • Déposer une goutte d’allergène sur la peau de l’avant-bras ou du dos. Piquer à travers la goutte d’extrait allergénique à l’aide d’une pointe calibrée. • La lecture du test s’effectue 20 minutes plus tard, par la mesure du diamètre de la papule de la réaction cutanée et sa comparaison à celle des solutions témoins. • Les prick-tests peuvent être réalisés dès le plus jeune âge en tenant compte de la réactivité cutanée. Diamètre des papules Témoins Validation des tests Témoin positif > 3 mm Témoin négatif ≤ 3 mm Résultat Allergènes > 3 mm ou > à 50 % du témoin positif ≤ 3 mm POSITIF NÉGATIF • En cas de dermographisme, l’ensemble des tests, y compris le témoin négatif, est positif. Les résultats ne peuvent pas être exploités. • En cas d’hyporéactivité cutanée, l’ensemble des tests est négatif. Les résultats ne peuvent pas être exploités. CONSERVATION • Avant et après ouverture, conserver les flacons au réfrigérateur entre +2°C et +8°C. • Ne pas utiliser le flacon au-delà de la date de péremption indiquée en clair sur le flacon. • Le phosphate de codéine se conserve à température ambiante. 9 Allergènes Lecture des résultats Matériel pour Prick-Tests STALLERPOINT® PRéSENTATION POINTES STÉRILES À USAGE UNIQUE • Les pointes sont stérilisées par rayons gamma. • Chaque pointe est à usage unique afin d’éliminer les faux positifs liés à l’utilisation antérieure d’un autre allergène par la même pointe. UTILISATION • Chaque goutte d’extrait allergénique est piquée verticalement en imprimant un léger mouvement de rotation à la pointe. Une bonne exécution se traduit par une dépression correspondant au diamètre de Stallerpoint®. Conditionnement Boîte de 1000 pointes présentées en blisters de 10 pointes. Boîte de 100 pointes présentées en blisters de 10 pointes. 0459 Produits de diagnostic Immunothérapie sous-cutanée Immunothérapie sublinguale Caractéristiques DE LA STALLERPOINT® • La Stallerpoint® est une pointe en polyméthacrylate. • La longueur de 1,1 mm permet d’éviter l’effraction dans le derme et toute effusion de sang. • 4 sillons microscopiques permettent un passage progressif et reproductible du réactif dans l’épiderme. PRICK LANCETTE® Allergènes PRéSENTATION LANCETTES stériles À USAGE UNIQUE • Emballage individuel stérile. • Chaque lancette est à usage unique afin d’éliminer les faux positifs liés à l’utilisation antérieure d’un autre allergène par la même lancette. • Pointe standardisée de 1 mm en acier inoxydable. Conditionnement Boîte de 100 lancettes en emballage individuel. 0473 MARQUAGE CE L a démonstration de la qualité et de l’efficacité clinique de ces dispositifs a permis à Lancet® et STALLERPOINT® d’obtenir le marquage CE, désormais obligatoire, conformément à la directive européenne N 93/42/CEE. 10 IDR Lyophilisat d’extraits allergéniques et diluant pour Intra-Dermo-Réaction. • 1 flacon de lyophilisat d’allergène à 100 IR-IC/ml • 4 flacons de diluant physiologique phénolé (4,5 ml) • 1 planche d’étiquettes permettant l’identification des flacons TPN Lyophilisat d’extraits allergéniques et diluants pour Test de Provocation Nasale. • 1 flacon de lyophilisat d’allergène à 100 IR-IC/ml • 4 flacons de diluant physiologique non phénolé (4,5ml) • 4 bouchons nébulisateurs • 1 planche d’étiquettes permettant l’identification des flacons Immunothérapie sous-cutanée Solution sublinguale d’extraits allergéniques. Produits de diagnostic Présentation des produits Immunothérapie sublinguale Diagnostic par IDR / TPN / TPC TPC • 1 flacon de lyophilisat d’allergène à 100 IR-IC/ml • 4 flacons de diluant physiologique non phénolé (4,5 ml) • 5 compte-gouttes de couleurs différentes (rouge, bleu, vert, jaune, blanc) • 1 planche d’étiquettes permettant l’identification des flacons CONSERVATION • Avant reconstitution : Conservation au réfrigérateur entre +2°C et +8°C. Ne pas utiliser l’extrait lyophilisé et les diluants au-delà de la date de péremption indiquée en clair sur le flacon. • Après reconstitution : Conservation au réfrigérateur entre +2°C et +8°C. Une utilisation immédiate des solutions d’ IDR, TPN et TPC reconstituées est recommandée. 11 Allergènes Lyophilisat d’extraits allergéniques et diluants pour Test de Provocation Conjonctivale. Reconstitution et schémas de dilution Diluants nécessaires à la reconstitution du lyophilisat • Pour les IDR : prendre 1 ml d’un flacon de diluant physiologique phénolé. • Pour les TPN, TPC : prendre 1 ml d’un flacon de diluant physiologique non phénolé. Après reconstitution, le volume de solution d’extrait allergénique est de 1 ml. La solution obtenue est ensuite diluée au dixième. Reconstitution Préparation des dilutions ALYOSTAL 100 IR Diluant 4,5 ml 1 ml de solution allergénique à 100 IR/ml 0,5 ml Diluant 4,5 ml 5 ml de solution allergénique à 10 IR 0,5 ml Diluant 4,5 ml 5 ml de solution allergénique à 1 IR Diluant 4,5 ml 5 ml de solution allergénique à 0,1 IR Immunothérapie sublinguale 0,5 ml Immunothérapie sous-cutanée 1 ml Précautions particulières d’emploi : Il est nécessaire de prévoir une trousse d’urgence et du matériel spécifique au traitement des réactions sévères : • Adrénaline 1 mg/ml • Matériel pour l’administration d’oxygène • Matériel pour la réalisation d’intraveineuses • Antihistaminiques oraux et injectables • Corticoïdes oraux et pour injections intraveineuses • Bronchodilatateurs Produits de diagnostic • La réalisation des IDR, des TPN et des TPC peut présenter un risque de réactions systémiques. Ces tests doivent être réalisés par un médecin et dans une structure pouvant gérer ce type de réactions. Allergènes Grossesse : en cas de grossesse, il est recommandé de ne pas réaliser de test de provocation. Diagnostic 12 RÉFÉRENCES DISPONIBLES Code IR/IC Dermatophagoïdes farinae 314 IR Dermatophagoïdes pteronyssinus 315 IR Mélange 5 graminées (Dactyle, Fléole, Flouve, Ivraie, Pâturin) 688 IR Bouleau blanc (Betula Alba) 615 IR Alternaria 400 IC Phanères de Chat 507 IR Phanères de Chien 509 IR Glycéro salin (pour voie orale) 2045 Conditionnement 9 ml 5 flacons Diluant physiologique phénolé 4 %0 1,8 ml 50 flacons 2056 Diluant physiologique phénolé 4 %0 4,5 ml 5 flacons 2060 Diluant physiologique phénolé 4 %0 4,5 ml 50 flacons 2061 Diluant physiologique phénolé 4 %0 9 ml 50 flacons Allergènes Produits de diagnostic 2055 Flacon Immunothérapie sous-cutanée Code Diluants Immunothérapie sublinguale Autres produits à usage professionnel 13 Sommaire Pollens de graminées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 16 Pollens d’arbres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 17 Pollens d’herbacées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 18 Moisissures et levures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 19 Immunothérapie sous-cutanée Pollens Produits de diagnostic Acariens . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 15 Immunothérapie sublinguale Allergènes par famille et par produit Phanères et insectes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 20 Prick®-Tests . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 21 14 Allergènes Trophallergènes Acariens Stallergènes a développé son propre système d’élevage d’acariens dans un milieu de culture breveté Stalmite APF® (Animal Protein Free). Immunothérapie sublinguale • Ce milieu nutritif sans produit d’origine animale et humaine est composé d’un mélange d’acides aminés et de substrat végétal. • Stalmite APF® est conforme aux directives de la Pharmacopée Européenne des produits biologiques sur l’éviction du risque de transmission de virus et prion. • Stalmite APF® est sans allergénicité résiduelle. Traitement PRICK ALUSTAL STALORAL ® IR/ml-IC/ml PHOSTAL Produits de diagnostic Diagnostic Immunothérapie sous-cutanée • Stalmite APF® est stable et pleinement adapté aux conditions optimales de développement des acariens. ® IR-IC/ml IR/ml-IC/ml Acariens Acarus siro Blomia tropicalis Dermatophagoides farinae Dermatophagoides pteronyssinus Glyciphagus domesticus Lepidoglyphus destructor Tyrophagus putrescentiae Pyroglyphus africanus 325 335 314 315 324 317 318 333 300 300 300 Mélange d’acariens 15 D.pter/D.Far (50/50) 350 Acariens de stockage (Acarus siro, Glyciphagus domesticus, Lepidoglyphus destructor, Tyrophagus putrescentiae) 330 300 15 Allergènes Code Allergènes références ® Diagnostic Traitement PRICK ALUSTAL STALORAL ® IR/ml-IC/ml PHOSTAL ® IR/ml-IC/ml Immunothérapie sous-cutanée IR-IC/ml Pollens de graminées/céréales Agrostide (Agrostis vulgaris) Avoine (Avena sativa L.) Blé (Triticum vulgare L.) Chiendent pied-de-poule (Cynodon Dactylon L.) Chiendent (Agropyron repens L.) Dactyle aggloméré (Dactylis glomerata L.) Fétuque des prés (Festuca pratensis Hudson) Fléole des prés (Phleum pratense L.) Flouve odorante (Anthoxanthum odoratum L.) Herbes de Bahia (Plaspalum notatum) Houlque laineuse (Holcus lanatus L.) Ivraie vivace (Lolium perenne L.) Maïs (Zea mays L.) Orge (Hordeum vulgare L.) Pâturin des prés (Poa pratensis L.) Seigle (Secale cereale L.) Sorgho d'Alep (Sorghum Halepense) 4 céréales (Avoine, blé, maïs, orge) 601 610 614 705 624 627 630 661 631 660 637 638 642 652 658 671 674 687 300 300 300 300 300 300 300 300 Mélange de graminées/céréales 5 graminées (Dactyle, Fléole, Flouve, Ivraie, Pâturin) 3 graminées (Dactyle, Fléole, Ivraie) 5 graminées/Seigle 5 graminées/4 céréales 300 : disponible en 300 IR/ml IR/ml : référence des produits STANDARDIsés IC/ml : référence des produits NON STANDARDIsés 16 688 701 762 690 Produits de diagnostic Code 300 300 300 300 Allergènes références ® Immunothérapie sublinguale Pollens de graminées Pollens d’arbres Diagnostic Traitement PRICK ALUSTAL STALORAL ® IR/ml-IC/ml PHOSTAL ® IR-IC/ml IR/ml-IC/ml Pollens d'arbres 644 648 645 647 649 650 651 653 668 659 662 666 667 669 675 677 680 300 300 300 300 300 Produits de diagnostic Erable (Acer pseudoplatanus L.) Frêne élevé (Fraxinus elcelsior L.) Genévrier commun (Juniperus communis L.) Hêtre (Fagus sylvatica L.) Marronnier d’Inde (Aesculus hippocastanum L.) Mesquite (Prosopis glandulosa)* Mimosa (Acacia dealbata link.) Mûrier blanc (Morus alba L.) Noisetier (Corylus avellana L.) Noyer (Juglans regia L.) Olivier (Olea europaea L.) Orme (Ulmus capestris L.) Palmier dattier (phoenix dactylifera) Peuplier blanc (Populus alba L.) Pin (Pinus sylvestris L.) Platane hybride (Platanus hispanica x Mill ex Münchh) Robinier faux-acacia (Robinia pseudoacacia L.) Saule Marsault (Salix caprea L.) Sureau noir (Sambucus nigra L.) Tilleul à petites feuilles (Tilia cordata Mill) Troène (Ligustrum vulgare L.) 609 615 619 620 621 716 626 629 632 634 635 300 300 Allergènes Aulne glutineux (Alnus glutinosa (L.) Gaertn) Bouleau blanc (Betula Alba) Charme (Caprinus betulus L.) Châtaignier (Castanea sativa Mill.) Chêne pédonculé (Quercus robur L.) Cupressacée (Juniperus ashei Buchholz) Cyprès d’Italie (Cupressus sempervirens L.) Mélange d’arbres Bétulacées (Aulne, Bouleau, Charme, Noisetier) Fagacées (Châtaignier, Chêne, Hêtre) Oléacées (Olivier, Frêne, Troène) Salicacées (Peuplier, Saule) Mélange d'arbres (Erable, Marronnier, Platane, Robinier, Tilleul) 3 arbres (Aulne, Bouleau, Noisetier)* 17 702 696 715 717 300 718 752 Immunothérapie sublinguale Code Immunothérapie sous-cutanée références ® 300 Pollens d’herbacées Diagnostic Traitement PRICK ALUSTAL STALORAL ® IR/ml-IC/ml PHOSTAL ® Immunothérapie sublinguale IR/ml-IC/ml Pollens d'herbacées Amarante réfléchie (Amaranthus retroflexus L.) 602 Ambroisie à feuilles d’armoise (Ambrosia artemisiifolia L.) 604 300 605 623 625 300 Armoise commune (Artemisia vulgaris L.) Chénopode blanc (Chenopodium album L.) Colza (Brassica napus L.) Houblon (humulus lupulus L.) Luzerne (Medicago sativa L.) Marguerite (Chrysanthemum leucanthemum L.) Ortie dioïque (Urtica dioïca L.) Oseille (Rumex Acetosa L.) Pariétaire officinale (Parietaria officinalis L.) Pissenlit (Taraxacum officinal Web) Plantain lancéolé (Plantago lanceolata L.) Solidage du Canada (Solidago canadensis L.) Soude salsovie (Salsola kali L.) Tournesol (Heelianthus anuus L.) Trèfle (Trifolium pratense) 636 641 643 654 655 657 664 665 673 710 678 679 Mélange d'herbacées Chénopodiacées (Amarante, Chénopode) 714 Composées (Solidage, Pissenlit, Lampourde, Marguerite) 719 Mel.herbacées (Luzerne, Trefles moutarde, Ortie, Oseille) 706 * Non disponible en Phostal® IR/ml : référence des produits STANDARDIsés IC/ml : référence des produits NON STANDARDIsés 18 300 Immunothérapie sous-cutanée IR-IC/ml Produits de diagnostic Code 300 Allergènes références ® PRICK ALUSTAL STALORAL ® IR/ml-IC/ml PHOSTAL ® références Code Moisissures individuelles Alternaria alternata Botrytis cinerea Chaetomim globosum Epicoccum purpurascens Fusarium solani Helminthosporium halodes Merulius lacrymans Mucor racemosus Pellularia pullupans Rhizopus nigricans Pleospora herbarum (Stemphylium botryosum) Trichothecium roseum (Cephalothecium) 400 402 407 409 411 413 447 417 425 IR-IC/ml ® IR/ml-IC/ml Immunothérapie sous-cutanée Traitement Produits de diagnostic Diagnostic Immunothérapie sublinguale Moisissures et levures 426 432 405 Candida albicans 403 Mélange de moisissures 19 Mélange d’Aspergillus (Aspergillus fumigatus, A.nidulans, A.niger) 401 Cladosporium (Cladosporium cladosporioides, C.herbatum) 414 Mélange de Penicillium (Penicillium digitatum, P.expansum, P.notatum) 422 Charbons céréaliers (Ustilago avenae, Tritici, Holci, Zea) 446 Levures de bière et boulangerie (Saccharomyces cerevisiae) 445 Allergènes Levure PRICK ALUSTAL STALORAL ® PHOSTAL IR/ml-IC/ml ® références Code IR-IC/ml ® IR/ml-IC/ml Phanères Phanères de Chat Phanères de Chien Phanères de Cheval Phanères de Cobaye Phanères de Hamster Phanères de Lapin Plumes mélangées (Canard, Oie, Poule) 507 509 516 510 511 512 506 * * Immunothérapie sous-cutanée Traitement Produits de diagnostic Diagnostic Immunothérapie sublinguale Phanères et insectes Insectes 301 307 303 Allergènes Blatte germanique (Blatella germanica) Moustique (Aedes communis) Ephestia * : standardisé mais seulement disponible en 100 IR/ml IR/ml : référence des produits STANDARDIsés IC/ml : référence des produits NON STANDARDIsés 20 code Fruits et noix 172 Anis 169 Abricot 111 Café 171 Amande 177 Cumin 194 Avocat 178 Curry 103 Banane 180 Laurier 109 Cacahuète 140 Moutarde 110 Cacao 182 Noix de muscade 117 Citron 183 Paprika 123 Fraise 184 Poivre 187 Fruit de la passion 165 Thé 189 Kiwi 185 Thym 188 Mangue 137 Melon 141 Noisette Immunothérapie sous-cutanée Aromates et condiments Produits de diagnostic code Immunothérapie sublinguale Trophallergènes Prick-tests 142 Noix 115 Noix du Brésil 124 Noix de cajou 147 Olive 148 Orange code Œufs 144 Jaune d’œuf 151 Pêche 108 Pignon de pin 122 Pistache 145 Œuf entier 155 Pomme 143 Blanc d’œuf 21 Allergènes 102 Noix de coco 107 Noix de pécan Céréales et agents de panification code Légumes 195 Alpha-amylase 170 Ail 105 Blé (grain entier) 101 Artichaut 106 Farine de blé* 112 Carotte 176 Farine de lupin 114 Céleri rave 179 Farine de sarrasin 121 Epinard 161 Farine de seigle 128 Haricot vert 104 Isolat de blé 146 Oignon 136 Maïs (grain entier) 153 Petit pois 181 Malt 156 Pomme de terre 149 Orge (crème) 190 Soja 160 Riz 167 Tomate 196 Sésame Immunothérapie sublinguale code 186 Mélange 7 céréales (avoine, blé (grain entier), Immunothérapie sous-cutanée farine de blé, maïs, orge, riz, farine de seigle) Produits de diagnostic * Disponible en traitement code Poissons, crustacées et coquillages code Viandes 118 Colin 157 Porc 119 Crabe 158 Poulet 120 Crevette Allergènes 131 Huître 135 Langouste 138 Merlan 193 Morue 139 Moule code 162 Sardine 903 Latex 166 Thon 22 Autres Notice : Oralair® 23 DENOMINATION DU MEDICAMENT ORALAIR 100 IR & 300 IR comprimés sublinguaux Traitement d’initiation. ORALAIR 300 IR comprimés Rhinite allergique sublinguaux Traitement d’entretien. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Extrait allergénique de pollens des graminées suivantes : dactyle aggloméré (Dactylis glomerata L.), flouve odorante (Anthoxanthum odoratum L.), ivraie vivace (Lolium perenne L.), pâturin des prés (Poa pratensis L.) et fléole des prés (Phleum pratense L.), 100 IR* ou 300 IR* par comprimé sublingual. *IR (Indice de réactivité) : L’unité IR a été définie pour mesurer l’allergénicité d’un extrait allergénique. Un extrait allergénique titre 100 IR/ml lorsque, utilisé en test cutané sous forme de prick-test à l’aide d’un Stallerpoint®, il provoque une papule d’un diamètre de 7 mm (moyenne géométrique) chez 30 sujets sensibilisés à cet allergène. La réactivité cutanée de ces sujets est simultanément démontrée par la positivité d’un prick-test au phosphate de codéine à 9 % ou d’histamine à 10 mg/ml. L’unité IR de Stallergenes n’est pas comparable aux unités utilisées par d’autres fabricants d’allergènes. Excipient : lactose monohydraté. Un comprimé sublingual de 100 IR contient 83,1 à 83,6 mg de lactose onohydraté. Un comprimé sublingual de 300 IR contient 81,8 à 83,1 mg de lactose monohydraté. FORME PHARMACEUTIQUE Comprimé sublingual. Les comprimés de 100 IR sont légèrement tachetés blancs à beiges avec « 100 » gravé sur les deux faces. Les comprimés de 300 IR sont légèrement tachetés blancs à beiges avec « 300 » gravé sur les deux faces. Indications thérapeutiques Traitement de la rhinite allergique aux pollens de graminées, avec ou sans conjonctivite, chez les adultes, les adolescents et les enfants (à partir de 5 ans), présentant des symptômes cliniques associés, confirmée par un test cutané positif et/ou la présence d’IgE spécifiques aux pollens de graminé Posologie et mode d’administration Un traitement par ORALAIR ne doit être prescrit et initié que par des médecins formés et expérimentés dans le traitement des maladies allergiques. Lorsqu’il s’agit d’un traitement pédiatrique, les médecins doivent avoir la formation et l’expérience correspondante chez l’enfant. Afin de permettre au patient et au médecin de discuter de tout effet indésirable et de la conduite à tenir, la première prise du comprimé ORALAIR sera effectuée sous surveillance médicale pendant 30 minutes. Posologie chez l’adulte, l’adolescent et l’enfant (à partir de 5 ans) Le traitement se compose d’un traitement d’initiation (incluant une augmentation de la dose sur une période de 3 jours) et d’un traitement d’entretien. Le traitement d’initiation correspond au premier mois de traitement par ORALAIR 100 IR & 300 IR, comprimés sublinguaux : Petite plaquette thermoformée Jour 1 : 1 x 100 IR comprimé, Jour 2 : 2 x 100 IR comprimés. Grande plaquette thermoformée Jour 3 : 1 x 300 IR comprimé, Jour 4 : 1 x 300 IR comprimé, Jour 5 : 1 x 300 IR comprimé... Jour 30 : 1 x 300 IR comprimé. A partir du 2e mois, le traitement d’entretien doit être initié avec un comprimé sublingual ORALAIR 300 IR par jour jusqu’à la fin de la saison pollinique. Le comprimé doit être placé sous la langue jusqu’à sa dissolution complète (pendant au moins 1 minute) avant d’avaler. Le deuxième jour du traitement, il faut placer simultanément 2 comprimés 100 IR sous la langue avant d’avaler. Il est recommandé de prendre le comprimé le matin, à jeun. Le traitement doit être initié environ 4 mois avant le début estimé de la saison pollinique et poursuivi pendant toute la saison pollinique. Aucune donnée concernant l’efficacité d’ORALAIR au-delà d’une saison pollinique n’est disponible actuellement. Lorsqu’il n’y a pas d’amélioration significative des symptômes au cours de la première saison pollinique, la poursuite du traitement n’est pas justifiée. Il n’y a pas d’expérience clinique concernant l’immunothérapie par ORALAIR chez le jeune enfant (< 5 ans) et chez les patients âgés de plus de 45 ans. Contre-indications Hypersensibilité à l’un des excipients ; Traitement simultané par bêtabloquants ; Asthme sévère et/ou instable (VEMS < 70 % de la valeur théorique) ; Déficit immunitaire sévère ou maladie auto-immune ; Affections malignes (par ex. cancer) ; Inflammations de la muqueuse buccale (tels que lichen plan, ulcération ou mycose). Effets indésirables Lors d’un traitement par ORALAIR, le patient est exposé à des allergènes pouvant provoquer des réactions allergiques locales et/ou systémiques. Il faut donc s’attendre à des réactions allergiques locales légères à modérées (par ex. gonflement buccal ou gêne buccal) au cours de la thérapie. 50% de ces réactions apparaissent au cours des trois premiers jours du traitement (augmentation de la dose). Si le patient souffre de réactions indésirables locales sévères au cours de la thérapie, un traitement symptomatique (par exemple: antihistaminiques) doit être considéré. Dans de très rares cas, des réactions allergiques plus importantes peuvent apparaître, comme une sensation de gonflement dans la gorge, des problèmes de déglutition ou des problèmes respiratoires et des modifications de la voix. Dans de tels cas, il faut immédiatement consulter le médecin et le traitement doit être immédiatement arrêté. Le traitement ne peut être repris que sur les conseils du médecin. Les effets indésirables sont classés selon la convention MedDRA par système et par fréquence : Très fréquent (≥ 1/10) ; Fréquent (≥ 1/100, < 1/10) ; Peu fréquent (≥ 1/1.000, < 1/100) ; Rare (≥ 1/10.000, < 1/1.000) ; Très rare (< 1/10.000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Expérience clinique chez les adultes (étude VO34.04) : Au cours d’une étude clinique menée chez des patients adultes souffrant de rhinoconjonctivite allergique et recevant une dose de 300 IR par jour, 97/155 patients (63 %) ont rapporté des événements indésirables, comparés à 76/156 patients (49 %) recevant un placebo. L’effet indésirable rapporté le plus fréquemment par les patients traités par la dose de 300 IR a été un prurit buccal chez 26 % des patients (5 % dans le groupe placebo). 6/155 patients (4 %) dans le groupe traité et 0/156 patients dans le groupe placebo ont arrêté prématurément leur traitement en raison d’un effet indésirable. Les effets indésirables suivants ont été rapportés chez les patients adultes : Système, Fréquence, Effet indésirable : Affections du système nerveux Fréquent Céphalée, paresthésie ; Peu fréquent Dysgueusie, sensation vertigineuse. Affections oculaires Fréquent Conjonctivite, prurit de l’oeil Peu fréquent Prurit des paupières . Affections de l’oreille et du labyrinthe Fréquent Prurit de l’oreille Peu fréquent Vertige . Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Très fréquent Irritation de la gorge Fréquent Dyspnée, gonflement oropharyngé, congestion nasale, rhinorrhée, rhinite, gorge sèche, éternuement, gêne nasale. Peu fréquent Sensation de gorge serrée, douleur pharyngo-laryngée, irritation du larynx, sécheresse nasale. Affections gastro-intestinales Très fréquent Prurit oral Fréquent Douleur abdominale haute, nausées, dyspepsie, glossite, glossodynie, langue gonflée, oedème de la langue, vésicules buccales, paresthésie orale, oedème buccal, douleur buccale, gêne buccale, bouche sèche Peu fréquent Colite, stomatite, oesophagite, gastrite, dysphagie, hyperchlorhydrie, ptyalisme, gêne abdominale, diarrhée, éructation, hypo-esthésie buccale, oedème palatin, vésicules linguales, trouble de la langue, vésicule labiale. Affections de la peau et du tissu sous-cutané Fréquent OEdème de la face, gonflement du visage, prurit, urticaire Peu fréquent Angiooedème, urticaire localisé. Infection et infestations Fréquent Rhinite. Troubles généraux et anomalies au site d’administration Fréquent Fatigue, sensation de corps étranger dans la bouche Peu fréquent Douleur au point d’application, tuméfaction locale, gêne thoracique, oedèmes périphériques. Affections du système immunitaire Peu fréquent Hypersensibilité. Affections psychiatriques Peu fréquent Anxiété. Ces réactions sont généralement apparues au cours des trois premiers jours de traitement (augmentation de la dose) et ont toutes été transitoires. Expérience clinique chez les enfants et adolescents (étude VO52.06) : Au cours d’une étude clinique menée chez des enfants et adolescents (âgés de 5 à 17 ans) souffrant de rhinoconjonctivite allergique et recevant une dose de 300 IR par jour, 118/139 patients (85 %) ont rapporté des évènements indésirables, comparés à 114/139 patients (82 %) recevant un placebo. L’effet indésirable décrit le plus souvent chez les enfants et adolescents traités par la dose de 300 IR a été un prurit buccal chez 32 % des patients (1 % dans le groupe placebo). 6/139 patients (4 %) dans le groupe traité à la dose de 300 IR et 1/139 patients (1,5 %) dans le groupe placebo ont arrêté prématurément leur traitement en raison d’un effet indésirable. Les effets indésirables suivants ont été rapportés par les enfants et adolescents (5 à 17 ans) : Système, Fréquence, Effet indésirable : Affections du système nerveux Peu fréquent Céphalée Affections oculaires Fréquent Prurit de l’oeil Peu fréquent Hyperhémie oculaire. Affections de l’oreille et du labyrinthe Fréquent Prurit de l’oreille Peu fréquent Congestion de l’oreille, gêne de l’oreille. Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Fréquent Irritation de la gorge, congestion nasale, asthme, éternuement, gêne nasale, dyspnée, irritation du larynx, sensation de gorge serrée Peu fréquent Toux, rhinorrhée, dysphonie, oedème laryngé, oedème pharyngien. Affections gastrointestinales Très fréquent Prurit oral, oedème buccal Fréquent Gonflement des lèvres, langue gonflée, vésicules buccales, stomatite, vomissement, chéilite, glossite, gêne buccale Peu fréquent Douleur abdominale, douleur abdominale haute, nausées, dyspepsie, dysphagie, hypo-esthésie buccale, odynophagie, douleur buccale, oedème de la langue. Affections de la peau et du tissu sous-cutané Fréquent Dermatite atopique, prurit Peu fréquent Eczéma, oedème péri-oral. Affections musculo-squelettiques et systémiques Peu fréquent Douleurs de croissance. Infections et infestations Peu fréquent Nasopharyngite, angine, bronchite, grippe. Troubles généraux et anomalies au site d’administration Fréquent Gêne thoracique Peu fréquent Asthénie, douleur thoracique. Affections du système immunitaire Peu fréquent Hypersensibilité. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE STALLERGENES S.A. 6 rue Alexis de Tocqueville 92160 ANTONY France Tél. 0033 (0) 1 55 59 20 00 Fax 0033 (0) 1 55 59 21 68 NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE ORALAIR 100 IR & 300 IR : BE364515 ORALAIR 300 IR : BE364524 MODE DE DELIVRANCE : sur prescription médicale DATE DE MISE A JOUR/ APPROBATION DU TEXTE: Mars 2010. Notice : Alyostal® ST Apis mellifera 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT Alyostal ST Apis mellifera, poudre et solvant pour solution injectable Venin d’abeille Apis mellifera, 110 µg par flacon. 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Venin d’abeille 110 µg Pour les excipients, cf. section 6.1. 3. FORME PHARMACEUTIQUE Lyophilisat et solution pour la préparation d’une solution pour injection intradermique (diagnostic) ou sous-cutanée (traitement) ou pour prick-test. • Coffret comprenant 1 flacon type pénicilline d’une contenance de 4 ml, multidose, muni d’un bouchon perforable et d’une capsule déchirable en aluminium de couleur naturelle, contenant 110 µg de venin et 1 flacon identique de diluant phénolé contenant 1,8 ml de solution. • Coffret comprenant 5 flacons type pénicilline d’une contenance de 4 ml, multidose, munis d’un bouchon perforable et d’une capsule déchirable en aluminium de couleur naturelle, contenant 110 µg de venin et 5 flacons identiques de diluant phénolé contenant 1,8 ml de solution. 4. DONNEES CLINIQUES 4.1 Indications thérapeutiques Après reconstitution, la solution injectable est utilisée pour le diagnostic ou pour le traitement de l’allergie au venin d’hyménoptère. - Diagnostic : mise en évidence au niveau cutané de l’allergie au venin d’hyménoptère (abeilles). Le recours aux tests cutanés aura lieu après une anamnèse complète du patient et après dosage des IgE. - Traitement : Adulte : Hyposensibilisation par immunothérapie spécifique des manifestations graves de l’allergie au venin d’hyménoptère. Les manifestations graves de l’allergie au venin d’hyménoptère sont les suivantes : choc anaphylactique, angio-œdème avec dyspnée, toute autre réaction systémique entraînant des effets cardiovasculaires ou respiratoires graves. Les effets systémiques modérés, comme un urticaire ou un angio-œdème sans composante respiratoire, ne constituent pas des indications formelles de l’immunothérapie. Pour les patients dont la qualité de vie est gravement altérée par la peur d’être piqués par une abeille le recours à l’immunothérapie peut toutefois être envisagé. Enfant âgé de 5 à 12 ans : Hyposensibilisation par immunothérapie spécifique des manifestations graves de l’allergie au venin d’hyménoptère. Chez l’enfant, les manifestations graves de l’allergie justifiant le recours à l’immunothérapie sont les suivantes : le choc anaphylactique, le bronchospasme grave ou l’œdème laryngé ayant entraîné une dyspnée importante. 4.2 Posologie et mode d’administration Posologie Diagnostic : Le schéma suivant est conseillé dans le cas où le Prick-test est appliqué: DIAGNOSTIC Ne jamais commencer par une I.D.R. PRICK I.D.R. (Seulement si le Prick-test est négatif) - Utiliser pour le premier test la - On peut alors pratiquer une I.D.R. avec solution de 0.0001 µg/ml (10-4) et, si une dilution 100 à 1000 fois plus faible que nécessaire, les concentrations celle ayant donné un prick négatif. supérieures sans dépasser 10 g/ml. - La réaction sera observée au bout Exemple : de 15 à 20 minutes Prick - 10-2 I.D.R. 10-5 µg/ml - Si la réaction est négative, utiliser la solution à 0.01 µg/ml (10-2) ou - En l’absence de réaction, on pourra passer à la concentration immédiatement envisager une I.D.R. supérieure. - La concentration maximale ne peut pas dépasser 0,01 g/ml. Traitement : Le traitement s’effectue en 2 phases : 1. Phase d’attaque Le début du traitement ne devra se faire que dans le cas où l’indication de désensibilisation a été formellement posée par l’allergologue. Dans le tableau suivant, plusieurs schémas sont présentés uniquement à titre indicatif et chaque schéma peut être adapté à chaque patient par le spécialiste allergologue, la seule personne la plus autorisée à déterminer le schéma à suivre, en fonction des données cliniques du patient traité. Tableau Jour Heure 1 2 3 4 8 15 22 29 36 43 50 57 64 71 78 85 92 99 106 24 0 0.5 1 1.5 2.5 3.5 0 1 2 3 0 1 2 0 0 1 2 0 1 0 1 Dose en g de venin Ultrarush Rush 0.000001 0.000001 1 0.1 10 1 20 30 2 40 4 8 10 20 40 60 80 100 100 50 50 100 100 100 100 100 100 100 100 Cluster 0.000001 0.01 0.1 Conventionel 0.000001 0.1 Al-hydroxide 0.000002 1 5 10 20 30 50 50 100 100 1 2 0.04 4 8 10 20 40 60 80 100 100 0.08 100 100 100 100 100 0.2 0.4 0.8 2 4 6 8 10 20 40 60 80 100 Dans le cas où un test diagnostic a été pratiqué, le venin Alyostal peut être administré à doses progressives par voie sous-cutanée jusqu’à la dose maximale bien tolérée (maximum 100 µg). La concentration de départ sera 10 fois inférieure à la concentration “seuil de réactivité”, 10 fois inférieure à celle ayant donnée une I.D.R. positive. La progression des doses, le volume de produit injecté ainsi que la fréquence des injections sont fonction de la sensibilité et du contexte d’utilisation du produit. 2. Phase d’entretien La dose d’entretien est généralement de 100 mg excepté chez certains patients plus exposés ou moins sensibles au traitement auquel cas, des doses de 200 mg ou plus peuvent être administrés. Au cours de la phase d’entretien la dose retenue sera administrée toutes les 4 semaines au cours de la première année, puis toutes les 6 semaines les années suivantes. La durée globale du traitement d’hyposensibilisation se situe entre 3 et 5 ans. Mode d’administration 1. Préparation des dilutions décimales Le lyophilisat est remis en solution avec le volume de diluant indiqué sur l’étiquette : soit 1,1 ml pour 110 µg de venin (100µg/ml). - 0.5 ml de cette solution est ajouté à un flacon de 50ml de serum physiologique pour injections (1µg/ml) - 0.5 ml de cette solution est ajouté à un flacon de 50ml de serum physiologique (0.01µg/ml = 10 -2 µg/ml); cette dilution peut être utilisée pour le deuxième Prick test - 0.5 ml de cette solution est ajouté à un flacon de 50ml de serum physiologique (0.0001µg/ml = 10 -4 µg/ml); cette dilution peut être utilisée pour le premier Prick test - une concentration de 0.00001µg/ml = 10 -5µg/ml est obtenue par dilution de 1 ml de la solution à 0.0001µg/ml = 10 -4µg/ml dans 9 ml de serum physiologique 2. Règles générales - Nettoyer la peau et le bouchon perforable du flacon à l’alcool à 70°. - Utiliser une seringue de 1 ml graduée au 1/100e avec une aiguille de 15-5/10e (seringue de type tuberculinique). - Vérifier la concentration du flacon avant usage. - Agiter le flacon pour homogénéiser la dose à injecter. - Ponctionner et mesurer avec précision la dose à injecter. - Injecter par voie sous-cutanée sur la face externe du bras ou dans la région deltoïdienne, en prenant soin de ne pas faire une injection intra-veineuse (procéder à cet effet à une légère aspiration préalable). 4.3. Contre-indications - cachexie ; - affections malignes ; - néphropathie ; - maladies immunitaires ou auto-immunitaires (par exemple : vascularite systémique, périartérite noueuse, déficience immunitaire grave) ; - phase aiguë d’un état morbide quelconque ; - traitement par immunosuppresseurs ou corticoïdes par voie parentérale ou orale ; - traitement par b-bloquants ; - traitement par inhibiteurs de l’enzyme de conversion ; - présence d’une pathologie cardio-vasculaire rendant l’injection d’épinéphrine dangereux ; - en cas de poussée fébrile, de crise d’asthme ou d’asthme mal stabilisé, l’injection ne sera faite qu’après le retour à la normale des signes cliniques ; - enfants de moins de 5 ans. 4.4. Mises en garde spéciales et précautions particulières à l’emploi Mise en garde spéciale Les tests ne peuvent être faits que par des spécialistes entraînés en raison du risque de réactions systémiques qui doivent être traitées d’urgence (voir “Effets indésirables, Précautions particulières et Symptômes de surdosage”). La mise en route du traitement ne peut être faite que par des spécialistes très entraînés et dans un milieu offrant toutes les conditions de sécurité nécessaire (milieu hospitalier avec possibilité de soins intensifs). Risque de réactions systémiques. Précautions particulières d’emploi Le traitement ou le diagnostic de l’allergie au venin d’hyménoptère doit se faire uniquement dans un centre spécialisé et les injections doivent être pratiquées par un médecin ou sous sa responsabilité directe (présence physique). - Ne jamais injecter par voie intraveineuse (aspirer par rétraction du piston avant chaque injection pour vérifier l’absence de sang). - Le médecin doit s’informer de l’éventuelle survenue de réactions locales tardives ou non après une injection antérieure. Dans un tel cas de figure le médecin peut être amené à retarder l’injection ou à adapter le schéma posologique. - Adapter la posologie à la sensibilité du malade en ajustant la dose et la dilution à injecter. - Respecter la progression prescrite par le spécialiste. La réduire si une réaction locale importante est constatée. Revenir au besoin à la dilution précédente. - Demander l’avis du spécialiste chaque fois que la poursuite du traitement pose problème. - Conserver le malade sous surveillance directe au moins une demi-heure après chaque injection. - Eviter un effort violent le même jour. - Prendre un surcroît de précautions lors des changements de flacon (l’allergène ayant pu perdre une part de son activité dans un flacon conservé trop longtemps). - Disposer toujours à portée de main : adrénaline injectable, corticoïdes injectables, antihistaminique injectable. - Eviter après l’injection de provoquer une vasodilatation excessive (bain chaud, douche, sauna). - Essayer de détecter les symptômes d’autres affections allergiques (rhinite, conjonctivite, asthme, urticaire, eczéma atypique) et surveiller l’utilisation de certains médicaments (antihistaminiques et corticostéroïdes) qui peuvent masquer les symptômes allergiques éventuels susceptibles d’apparaître après l’injection. 4.5. Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions - Il est déconseillé d’associer ce traitement à un traitement par immunosuppresseurs ou corticoïdes. - L’utilisation de b-bloquants et d’inhibiteurs de l’enzyme de conversion est contre-indiquée durant un traitement d’hyposensibilisation. 4.6 Grossesse et Allaitement Les tests de diagnostic doivent être évités pendant la grossesse et la lactation. Dans les conditions normales, un traitement d’hyposensibilisation ne devrait pas débuter au cours de la grossesse ; cependant, certaines situations extrêmes (anaphylaxie grave survenue chez la mère après une piqûre d’abeille par exemple) peuvent justifier le commencement d’un tel traitement chez la femme enceinte. Généralement, la survenue d’une grossesse pendant la cure d’hyposensibilisation n’impose pas l’arrêt du traitement. Dans chaque cas, le médecin devra peser le risque d’une piqûre par hyménoptère par rapport aux effets secondaires possibles du traitement. 4.7. Effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines Aucun effet n’est connu à ce jour. 4.8. Effets indésirables Des réactions locales au point d’injection tels que érythème, démangeaisons, prurit, rougeurs, épaississement et infiltration ont parfois été observées. Ces réactions disparaissent généralement dans les 48 heures. Plus rarement des réactions générales comme la fièvre, la fatigue et l’asthénie peuvent se manifester mais sont d’habitude sans gravité. Dans certains cas exceptionnels, les effets indésirables suivants peuvent se manifester : démangeaisons généralisées, gonflement des lèvres, gêne respiratoire, oppression de la poitrine, sueurs profuses et hypotension. Quand ces effets indésirables surviennent, il faut poursuivre le traitement à la dose antérieure bien tolérée et augmenter plus lentement les doses. En cas de réactions répétées, ne pas dépasser la dose tolérée. 4.9. Surdosage En cas de réaction immédiate que peut exceptionnellement déterminer un surdosage accidentel, il faut administrer rapidement au sujet, successivement selon le cas : - la dose d’épinéphrine (adrénaline) suivante : • pour l’adulte : 0,3 à 0,5 ml d’une solution aqueuse à 1/1.000 (1 mg/ml) par voie intramusculaire (IM) ; • pour l’enfant : 0,01 ml/kg d’une solution aqueuse à 1/1.000 (1 mg/ml) par voie intramusculaire (max. 0,5 ml). En l’absence d’amélioration, une deuxième dose peut être administrée par voie intramusculaire après 5 minutes. - et éventuellement une injection IV ou IM d’une ampoule d’un corticoïde soluble injectable. Les traitements symptomatiques par antihistaminiques ou corticoïdes injectables ne doivent pas retarder l’injection d’épinéphrine en cas de choc anaphylactique grave. L’apparition après un certain laps de temps de réactions attribuées à une pathologie immuncomplexe doit être surveillée. 5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES 5.1. Propriétés pharmacodynamiques Après un traitement d’hyposensibilisation par venin d’hyménoptère (voie sous-cutanée), il apparaît que 95% de la population traitée ne montre plus de réactions sévères lors d’une piqûre ultérieure par l’hyménoptère responsable. Cette diminution de la sensibilité correspond à la formation d’immunoglobulines spécifiques contre le venin de l’espèce d’hyménoptère injecté et à d’autres manifestations immunologiques parmi lesquelles interviennent les lymphocytes T régulateurs dont l’activité n’est pas complètement élucidée. Du point de vue clinique, on observe une diminution significative de la sensibilité de l’individu lors d’une piqûre ultérieure du même insecte. 5.2. Propriétés pharmacocinétiques Le venin est métabolisé par l’organisme et stimule le système immunitaire de manière à induire à terme une insensibilité clinique. 5.3. Données de sécurité pré-cliniques Sans objet 6. DONNEES PHARMACEUTIQUES 6.1. Liste des excipients - Poudre: albumine humaine sérique, mannitol. q.s.p. flacon. - Diluant (solvant) physiologique phénolé : chlorure de sodium, phénol, eau pour inj q.s. p. 1,1 ml. Après reconstitution avec 1,1 ml de diluant physiologique phénolé le flacon contient 100 µg de venin/ml. 6.2. Incompatibilités Aucune incompatibilité n’est connue jusqu’à ce jour. Il n’y a aucune influence sur les méthodes de diagnostic. 6.3. Durée de conservation Voir la date d’échéance (EX) imprimée sur l’emballage (mois, année - dernier jour du mois). 6.4. Précautions particulières de conservation Avant et après reconstitution, le produit doit être conservé entre + 2 et + 8° C. Ne pas utiliser le produit au-delà de la date de péremption indiquée sur l’étiquette du flacon. 6.5. Nature et contenu de l’emballage • Coffret comprenant 1 flacon type pénicilline d’une contenance de 4 ml, multidose, muni d’un bouchon perforable et d’une capsule déchirable en aluminium de couleur naturelle, contenant 110 µg de venin et 1 flacon identique de diluant phénolé contenant 1,8 ml de solution. • Coffret comprenant 5 flacons type pénicilline d’une contenance de 4 ml, multidose, munis d’un bouchon perforable et d’une capsule déchirable en aluminium de couleur naturelle, contenant 110 µg de venin et 5 flacons identiques de diluant phénolé contenant 1,8 ml de solution. 7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Stallergènes Belgium S.A. Chaussée de Louvain 277 1410 Waterloo 8. NUMERO D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE : 1128 IS 3 F12 9. STATUT LEGAL DE DELIVRANCE Sur prescription médicale. 10. DATE DE PREMIERE AUTORISATION / DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION A. Date de première autorisation : 23.12.1998 B. Date de renouvellement : 07.03.2005 11. DATE DE DERNIERE MISE A JOUR / APPROBATION DE LA NOTICE A. Date de dernière mise à jour du résumé des caractéristiques du produit Août 2004 B. Date de l’approbation du résumé des caractéristiques du produit. Octobre 2004 25 Notice : Alyostal® ST Vespula Suite de la notice : Alyostal® ST Apis mellifera 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT Alyostal ST Vespula, poudre et solvant pour solution injectable Venin de guêpe vespula, 110 µg par flacon. 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Venin de guêpe vespula 110 µg Pour les excipients, cf. section 6.1. 3. FORME PHARMACEUTIQUE Lyophilisat et solution pour la préparation d’une solution pour injection intradermique (diagnostic) ou sous-cutanée (traitement) ou pour prick-test. • Coffret comprenant 1 flacon type pénicilline d’une contenance de 4 ml, multidose, muni d’un bouchon perforable et d’une capsule déchirable en aluminium de couleur naturelle, contenant 110 µg de venin et 1 flacon identique de diluant phénolé contenant 1,8 ml de solution. • Coffret comprenant 5 flacons type pénicilline d’une contenance de 4 ml, multidose, munis d’un bouchon perforable et d’une capsule déchirable en aluminium de couleur naturelle, contenant 110 µg de venin et 5 flacons identiques de diluant phénolé contenant 1,8 ml de solution. 4. DONNEES CLINIQUES 4.1 Indications thérapeutiques Après reconstitution, la solution injectable est utilisée pour le diagnostic ou pour le traitement de l’allergie au venin d’hyménoptère. - Diagnostic : mise en évidence au niveau cutané de l’allergie au venin d’hyménoptère (guêpes). Le recours aux tests cutanés aura lieu après une anamnèse complète du patient et après dosage des IgE. - Traitement : Adulte : Hyposensibilisation par immunothérapie spécifique des manifestations graves de l’allergie au venin d’hyménoptère. Les manifestations graves de l’allergie au venin d’hyménoptère sont les suivantes : choc anaphylactique, angio-œdème avec dyspnée, toute autre réaction systémique entraînant des effets cardiovasculaires ou respiratoires graves. Les effets systémiques modérés, comme un urticaire ou un angio-œdème sans composante respiratoire, ne constituent pas des indications formelles de l’immunothérapie. Pour les patients dont la qualité de vie est gravement altérée par la peur d’être piqués par une guêpe le recours à l’immunothérapie peut toutefois être envisagé. Enfant âgé de 5 à 12 ans : Hyposensibilisation par immunothérapie spécifique des manifestations graves de l’allergie au venin d’hyménoptère. Chez l’enfant, les manifestations graves de l’allergie justifiant le recours à l’immunothérapie sont les suivantes : le choc anaphylactique, le bronchospasme grave ou l’œdème laryngé ayant entraîné une dyspnée importante. 4.2 Posologie et mode d’administration Posologie Diagnostic : Le schéma suivant est conseillé dans le cas où le Prick-test est appliqué: DIAGNOSTIC Ne jamais commencer par une I.D.R. PRICK I.D.R. (Seulement si le Prick-test est négatif) - Utiliser pour le premier test la - On peut alors pratiquer une I.D.R. avec solution de 0.0001 µg/ml (10-4) et, si une dilution 100 à 1000 fois plus faible que nécessaire, les concentrations celle ayant donné un prick négatif. supérieures sans dépasser 10 g/ml. - La réaction sera observée au bout Exemple : de 15 à 20 minutes Prick - 10-2 I.D.R. 10-5 µg/ml - Si la réaction est négative, utiliser la solution à 0.01 µg/ml (10-2) ou - En l’absence de réaction, on pourra passer à la concentration immédiatement envisager une I.D.R. supérieure. - La concentration maximale ne peut pas dépasser 0,01 g/ml. Traitement : Le traitement s’effectue en 2 phases : 1. Phase d’attaque Le début du traitement ne devra se faire que dans le cas où l’indication de désensibilisation a été formellement posée par l’allergologue. Dans le tableau suivant, plusieurs schémas sont présentés uniquement à titre indicatif et chaque schéma peut être adapté à chaque patient par le spécialiste allergologue, la seule personne la plus autorisée à déterminer le schéma à suivre, en fonction des données cliniques du patient traité. Tableau Jour Heure 1 2 3 4 8 15 22 29 36 43 50 57 64 71 78 85 92 99 106 0 0.5 1 1.5 2.5 3.5 0 1 2 3 0 1 2 0 0 1 2 0 1 0 1 Dose en g de venin Ultrarush Rush 0.000001 0.000001 1 0.1 10 1 20 30 2 40 4 8 10 20 40 60 80 100 100 50 50 100 100 100 100 100 100 100 100 Cluster 0.000001 0.01 0.1 Conventionel 0.000001 0.1 Al-hydroxide 0.000002 1 5 10 20 30 50 50 100 100 1 2 0.04 4 8 10 20 40 60 80 100 100 0.08 100 100 100 100 100 0.2 0.4 0.8 2 4 6 8 10 20 40 60 80 100 Suite de la notice : Alyostal® ST Vespula Dans le cas où un test diagnostic a été pratiqué, le venin Alyostal peut être administré à doses progressives par voie sous-cutanée jusqu’à la dose maximale bien tolérée (maximum 100 µg). La concentration de départ sera 10 fois inférieure à la concentration “seuil de réactivité”, 10 fois inférieure à celle ayant donnée une I.D.R. positive. La progression des doses, le volume de produit injecté ainsi que la fréquence des injections sont fonction de la sensibilité et du contexte d’utilisation du produit. 2. Phase d’entretien La dose d’entretien est généralement de 100 mg excepté chez certains patients plus exposés ou moins sensibles au traitement auquel cas, des doses de 200 mg ou plus peuvent être administrés. Au cours de la phase d’entretien la dose retenue sera administrée toutes les 4 semaines au cours de la première année, puis toutes les 6 semaines les années suivantes. La durée globale du traitement d’hyposensibilisation se situe entre 3 et 5 ans. Mode d’administration 1. Préparation des dilutions décimales Le lyophilisat est remis en solution avec le volume de diluant indiqué sur l’étiquette : soit 1,1 ml pour 110 µg de venin (100µg/ml). - 0.5 ml de cette solution est ajouté à un flacon de 50ml de serum physiologique pour injections (1µg/ml) - 0.5 ml de cette solution est ajouté à un flacon de 50ml de serum physiologique (0.01µg/ml = 10 -2 µg/ ml); cette dilution peut être utilisée pour le deuxième Prick test - 0.5 ml de cette solution est ajouté à un flacon de 50ml de serum physiologique (0.0001µg/ml = 10 -4 µg/ ml); cette dilution peut être utilisée pour le premier Prick test - une concentration de 0.00001µg/ml = 10 -5µg/ml est obtenue par dilution de 1 ml de la solution à 0.0001µg/ml = 10 -4µg/ml dans 9 ml de serum physiologique 2. Règles générales - Nettoyer la peau et le bouchon perforable du flacon à l’alcool à 70°. - Utiliser une seringue de 1 ml graduée au 1/100e avec une aiguille de 15-5/10e (seringue de type tuberculinique). - Vérifier la concentration du flacon avant usage. - Agiter le flacon pour homogénéiser la dose à injecter. - Ponctionner et mesurer avec précision la dose à injecter. - Injecter par voie sous-cutanée sur la face externe du bras ou dans la région deltoïdienne, en prenant soin de ne pas faire une injection intra-veineuse (procéder à cet effet à une légère aspiration préalable). 4.3. Contre-indications - cachexie ; - affections malignes ; - néphropathie ; - maladies immunitaires ou auto-immunitaires (par exemple : vascularite systémique, périartérite noueuse, déficience immunitaire grave) ; - phase aiguë d’un état morbide quelconque ; - traitement par immunosuppresseurs ou corticoïdes par voie parentérale ou orale ; - traitement par b-bloquants ; - traitement par inhibiteurs de l’enzyme de conversion ; - présence d’une pathologie cardio-vasculaire rendant l’injection d’épinéphrine dangereux ; - en cas de poussée fébrile, de crise d’asthme ou d’asthme mal stabilisé, l’injection ne sera faite qu’après le retour à la normale des signes cliniques ; - enfants de moins de 5 ans. 4.4. Mises en garde spéciales et précautions particulières à l’emploi Mise en garde spéciale Les tests ne peuvent être faits que par des spécialistes entraînés en raison du risque de réactions systémiques qui doivent être traitées d’urgence (voir “Effets indésirables, Précautions particulières et Symptômes de surdosage”). La mise en route du traitement ne peut être faite que par des spécialistes très entraînés et dans un milieu offrant toutes les conditions de sécurité nécessaire (milieu hospitalier avec possibilité de soins intensifs). Risque de réactions systémiques. Précautions particulières d’emploi Le traitement ou le diagnostic de l’allergie au venin d’hyménoptère doit se faire uniquement dans un centre spécialisé et les injections doivent être pratiquées par un médecin ou sous sa responsabilité directe (présence physique). - Ne jamais injecter par voie intraveineuse (aspirer par rétraction du piston avant chaque injection pour vérifier l’absence de sang). - Le médecin doit s’informer de l’éventuelle survenue de réactions locales tardives ou non après une injection antérieure. Dans un tel cas de figure le médecin peut être amené à retarder l’injection ou à adapter le schéma posologique. - Adapter la posologie à la sensibilité du malade en ajustant la dose et la dilution à injecter. - Respecter la progression prescrite par le spécialiste. La réduire si une réaction locale importante est constatée. Revenir au besoin à la dilution précédente. - Demander l’avis du spécialiste chaque fois que la poursuite du traitement pose problème. - Conserver le malade sous surveillance directe au moins une demi-heure après chaque injection. - Eviter un effort violent le même jour. - Prendre un surcroît de précautions lors des changements de flacon (l’allergène ayant pu perdre une part de son activité dans un flacon conservé trop longtemps). - Disposer toujours à portée de main : adrénaline injectable, corticoïdes injectables, antihistaminique injectable. - Eviter après l’injection de provoquer une vasodilatation excessive (bain chaud, douche, sauna). - Essayer de détecter les symptômes d’autres affections allergiques (rhinite, conjonctivite, asthme, urticaire, eczéma atypique) et surveiller l’utilisation de certains médicaments (antihistaminiques et corticostéroïdes) qui peuvent masquer les symptômes allergiques éventuels susceptibles d’apparaître après l’injection. 4.5. Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions - Il est déconseillé d’associer ce traitement à un traitement par immunosuppresseurs ou corticoïdes. - L’utilisation de b-bloquants et d’inhibiteurs de l’enzyme de conversion est contre-indiquée durant un traitement d’hyposensibilisation. 4.6 Grossesse et Allaitement Les tests de diagnostic doivent être évités pendant la grossesse et la lactation. Dans les conditions normales, un traitement d’hyposensibilisation ne devrait pas débuter au cours de la grossesse ; cependant, certaines situations extrêmes (anaphylaxie grave survenue chez la mère après une piqûre de guêpe par exemple) peuvent justifier le commencement d’un tel traitement chez la femme enceinte. Généralement, la survenue d’une grossesse pendant la cure d’hyposensibilisation n’impose pas l’arrêt du traitement. Dans chaque cas, le médecin devra peser le risque d’une piqûre par hyménoptère par rapport aux effets secondaires possibles du traitement. 4.7. Effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines Aucun effet n’est connu à ce jour. 26 4.8. Effets indésirables Des réactions locales au point d’injection tels que érythème, démangeaisons, prurit, rougeurs, épaississement et infiltration ont parfois été observées. Ces réactions disparaissent généralement dans les 48 heures. Plus rarement des réactions générales comme la fièvre, la fatigue et l’asthénie peuvent se manifester mais sont d’habitude sans gravité. Dans certains cas exceptionnels, les effets indésirables suivants peuvent se manifester : démangeaisons généralisées, gonflement des lèvres, gêne respiratoire, oppression de la poitrine, sueurs profuses et hypotension. Quand ces effets indésirables surviennent, il faut poursuivre le traitement à la dose antérieure bien tolérée et augmenter plus lentement les doses. En cas de réactions répétées, ne pas dépasser la dose tolérée. 4.9. Surdosage En cas de réaction immédiate que peut exceptionnellement déterminer un surdosage accidentel, il faut administrer rapidement au sujet, successivement selon le cas : - la dose d’épinéphrine (adrénaline) suivante : • pour l’adulte : 0,3 à 0,5 ml d’une solution aqueuse à 1/1.000 (1 mg/ml) par voie intramusculaire (IM) ; • pour l’enfant : 0,01 ml/kg d’une solution aqueuse à 1/1.000 (1 mg/ml) par voie intramusculaire (max. 0,5 ml). En l’absence d’amélioration, une deuxième dose peut être administrée par voie intramusculaire après 5 minutes. - et éventuellement une injection IV ou IM d’une ampoule d’un corticoïde soluble injectable. Les traitements symptomatiques par antihistaminiques ou corticoïdes injectables ne doivent pas retarder l’injection d’épinéphrine en cas de choc anaphylactique grave. L’apparition après un certain laps de temps de réactions attribuées à une pathologie immuncomplexe doit être surveillée. 5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES 5.1. Propriétés pharmacodynamiques Après un traitement d’hyposensibilisation par venin d’hyménoptère (voie sous-cutanée), il apparaît que 95% de la population traitée ne montre plus de réactions sévères lors d’une piqûre ultérieure par l’hyménoptère responsable. Cette diminution de la sensibilité correspond à la formation d’immunoglobulines spécifiques contre le venin de l’espèce d’hyménoptère injecté et à d’autres manifestations immunologiques parmi lesquelles interviennent les lymphocytes T régulateurs dont l’activité n’est pas complètement élucidée. Du point de vue clinique, on observe une diminution significative de la sensibilité de l’individu lors d’une piqûre ultérieure du même insecte. 5.2. Propriétés pharmacocinétiques Le venin est métabolisé par l’organisme et stimule le système immunitaire de manière à induire à terme une insensibilité clinique. 5.3. Données de sécurité pré-cliniques Sans objet 6. DONNEES PHARMACEUTIQUES 6.1. Liste des excipients - Poudre : albumine humaine sérique, mannitol. q.s.p. flacon. - Diluant (solvant) physiologique phénolé : chlorure de sodium, phénol, eau pour inj q.s. p. 1,1 ml. Après reconstitution avec 1,1 ml de diluant physiologique phénolé le flacon contient 100 µg de venin/ml. 6.2. Incompatibilités Aucune incompatibilité n’est connue jusqu’à ce jour. Il n’y a aucune influence sur les méthodes de diagnostic. 6.3. Durée de conservation Voir la date d’échéance (EX) imprimée sur l’emballage (mois, année - dernier jour du mois). 6.4. Précautions particulières de conservation Avant et après reconstitution, le produit doit être conservé entre + 2 et + 8° C. Ne pas utiliser le produit au-delà de la date de péremption indiquée sur l’étiquette du flacon. 6.5. Nature et contenu de l’emballage • Coffret comprenant 1 flacon type pénicilline d’une contenance de 4 ml, multidose, muni d’un bouchon perforable et d’une capsule déchirable en aluminium de couleur naturelle, contenant 110 µg de venin et 1 flacon identique de diluant phénolé contenant 1,8 ml de solution. • Coffret comprenant 5 flacons type pénicilline d’une contenance de 4 ml, multidose, munis d’un bouchon perforable et d’une capsule déchirable en aluminium de couleur naturelle, contenant 110 µg de venin et 5 flacons identiques de diluant phénolé contenant 1,8 ml de solution. 7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE Stallergènes Belgium S.A. Chaussée de Louvain 277 1410 Waterloo 8. NUMERO D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE : 1128 IS 4 F12 9. STATUT LEGAL DE DELIVRANCE Sur prescription médicale. 10. DATE DE PREMIERE AUTORISATION / DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION A. Date de première autorisation : 23.12.1998 B. Date de renouvellement : 07.03.2005 11. DATE DE DERNIERE MISE A JOUR / APPROBATION DE LA NOTICE A. Date de dernière mise à jour du résumé des caractéristiques du produit Août 2004 B. Date de l’approbation du résumé des caractéristiques du produit. Octobre 2004 Un accès direct pour chacune de vos demandes Stallergenes LB-S02-2012-FR Chaussée de Louvain, 277 Leuvensesteenweg B-1410 Waterloo Tél.: 02/357.06.60 • Fax.: 02/357.06.67 E-mail : [email protected] www.stallergenes.be