ADESSO VOGLIO MUSICA E BASTA

Transcription

ADESSO VOGLIO MUSICA E BASTA
ADESSO VOGLIO MUSICA
E BASTA
(à présent je ne veux que musique et basta)
Voyage à travers le monde musical de Pippo Delbono
©ChiaraFerrin
Du mardi 29 mars au samedi 2 avril 2016 à 20h30
Le mardi 29 mars à 20h30
Amore e carne
Le mercredi 30 mars et le jeudi 31 mars à 20h30
Il Sangue
Le vendredi 1er et le samedi 2 avril à 20h30
La Notte
THÉÂTRE DES BOUFFES DU NORD
37 (bis), boulevard de la Chapelle – 75010 Paris / métro : La Chapelle
Tarif de 12 à 25 euros / tarif abonné de 10 à 20 euros. Réservations : 01 46 07 34 50 / www.bouffesdunord.com
CONTACTS PRESSE
MYRA / Rémi Fort et Valentine Arnaud
01 40 33 79 13 / [email protected] / www.myra.fr
OPUS 64 / Valérie Samuel et Christophe Hellouin
01 40 26 77 94 / [email protected] / www.opus64.com
29 mars
au
2 avril
ADESSO VOGLIO MUSICA
E BASTA
(à présent je ne veux que musique et basta)
Un voyage dans le monde musical de Pippo Delbono, à travers trois spectacles
réunis sous le titre Adesso voglio musica e basta.
Le mardi 29 mars à 20h30
Amore e carne
Le mercredi 30 mars et le jeudi 31 mars à 20h30
Il Sangue
Le vendredi 1er et le samedi 2 avril à 20h30
La Notte
J’ai toujours eu une relation assez importante avec la musique. Qui sait, peutêtre à cause des souvenirs que j’ai en moi, de mon père qui jouait du violon et
qui a dû arrêter soudainement à cause de son travail ; ou bien à cause de cette
supposée descendance familiale de Nicolò Paganini ; sûrement aussi à cause
des années passées à courir derrière les musiciens qui ont changé ma vie, de
Frank Zappa à tant d’autres du rock, jusqu’à arriver à me jeter dans la musique
d’autres peuples, et pour finir me rapprocher de l’art lyrique.
J’ai de plus en plus collaboré avec des musiciens, peut-être parce que j’ai
traversé une crise avec la « famille du théâtre », avec le travail de l’acteur, de
l’artifice de la fiction théâtrale. Avec les musiciens, j’ai trouvé une harmonie
plus proche de mon travail, soit d’acteur soit de créateur de spectacles ; un
travail basé presque totalement sur le rythme, sur la musicalité et non sur
l’interprétation des mots. Sur le rythme, la chorégraphie musicale et dansée des
spectacles, plus que sur la mise en scène.
Je ne veux que musique et basta.
Comme une « horloge de poudre »,
la musique tombe dans la musique.
La musique tombe dans la musique
comme ma voix tombe dans les autres voix.
Je ne veux que musique – et basta »
Pippo Delbono
29 mars A m o r e e c a r n e
à
20h30
Avec Pippo Delbono et Alexander Balanescu
Musiques Alexander Balanescu
Son David Kent
Lumières et surtitrages Simone Goggiano
Durée 1h30
Spectacle-concert en italien, surtitré en français
« Quand on est couché sur la vallée, on sent
Que la terre déborde de sang ;
Que son immense sein, soulevé par une âme,
Est ’amour et chair, ’amour et chair… »
Ce concert est ma rencontre avec le violon.
Le violon dont jouait mon père, le soir, quand il rentrait du boulot.
Le violon qu’il a vendu, après. Et que je n’ai plus entendu.
Le violon qui appartient à un lien présumé de ma famille avec Nicolò Paganini.
Le violon du démon.
Quand j’ai entendu Balanescu jouer du violon j’ai entendu en lui ces notes qui
sortaient comme des cris de l’âme.
J’ai entendu encore ces notes qui ne me laissaient pas dormir la nuit, quand j’étais
petit.
Et j’ai entendu en lui le chant d’autres vies, des exils, des orgueils d’un peuple, le
chant d’une terre belle et amère : la Roumanie.
La voix et le violon se sont rapprochés en se mélangeant avec les paroles de Pasolini,
de Rimbaud, de Whitman, de T.S. Eliot, pour essayer de retrouver ces fils rouges
secrets, magiques peut-être, qui relient les gens, les histoires, au-delà des différences,
au-delà des nations, des langues, au-delà de l’être encore ici vivant, au-delà de l’être
déjà parti.
Qui sait, peut-être, la musique est ce récit secret qui relie et qui donne de
l’harmonie aux choses.
Pippo Delbono, avril 2011
Production Compagnia Pippo Delbono et Maison de la Culture d’Amiens – Centre de Création et de
Production
Administration, production et tournée Christian Leblanc.
Spectacle créé au Teatro Carignano en juin 2011
30 mars I l s a n g u e
31 mars
à
20h30
Conception et mise en scène Pippo Delbono
Avec Pippo Delbono et Petra Magoni
Luth, orpharion, oud, guitare électrique Ilaria Fantin
Durée 1h15
Spectacle-concert en italien, surtitré en français
Plus qu’un spectacle théâtral, Pippo Delbono a imaginé un concert sous forme
dramatique et entreprend un voyage musical dans le mythe classique d’Œdipe. Il
s’est entouré de Petra Magoni, qui en dresse une lecture sociale et politique
contemporaine, et la lie à l’histoire personnelle de Delbono.
La situation d’orphelin d’Œdipe, dépouillée de sa malédiction divine, du meurtre
du père, du suicide de la mère, devient la situation douloureuse de l’éradication
d’une créature d’aujourd’hui.
« Seul celui qui a approché les limites de la vie, seul cet homme peut être considéré comme
heureux » dit Sophocle en parlant de son Œdipe. C’est cette trace que Pippo
Delbono et Petra Magoni dessinent sur scène, accompagnés par les précieuses
musiques d’Ilaria Fantin.
Note de mise en scène :
Il Sangue est la première étape d’un travail que j’ai entrepris sur les grands mythes de
la tragédie. Les grands mythes du passé, qui restent ceux de l’être humain
d’aujourd’hui, perdu et apeuré par sa condition d’être mortel, soumis à son
inévitable disparition.
J’ai toujours sur mon portable une phrase que m’a envoyée un ami au chevet de sa
mère et qui est extraite du Prométhée enchaîné :
« Prométhée : J’ai empêché les mortels de prévoir la mort.
Le chœur : Par quel remède as-tu guéri ce mal ?
Prométhée : J’ai mis en eux d’aveugles espérances. »
Production Compagnie Pippo Delbono et Maison de la Culture d’Amiens – Centre de création et de production
Coproduction Festival du Teatro Olimpico di Vicenza
1 er avril l a n o t t e
2 avril d ’a p r è s L a N u i t j u s t e
à
20h30
avant les forets
de Bernard-marie koltès
Conception et mise en scène Pippo Delbono
Avec Pippo Delbono
Musique Piero Corso
Durée 1h15
Spectacle-concert en français
Pippo Delbono se confronte pour la première fois à un auteur comme BernardMarie Koltès, en donnant sa voix à la version de La Nuit juste avant les forêts, texte
présenté pour la première fois à Avignon en 1977 et qui a marqué l’écriture
contemporaine jusqu’à la mort de Koltès, disparu prématurément en 1989.
Un voyage quasiment autobiographique qui ouvre la soirée avec une lettre de
François Koltès, le frère de Bernard-Marie, qui a donné son autorisation à Pippo
Delbono de couper, travailler, et tisser le texte original pour croiser deux vies et
deux voix. Un monologue fort, intense, provocateur, impétueux que Pippo
Delbono, accompagné par Piero Corso, interprète avec une grande musicalité,
modulant voix, ton et rythme.
La Notte se conclut avec une lettre de Bernard-Marie Koltès adressée à sa mère : à la
critique qui lui a été faite de ne penser qu’au sexe, l’auteur répond en revendiquant
son concept de l’amour, en utilisant des paroles âpres, douces et mélancoliques
pour exprimer un sentiment de résistance au non-sens du monde qui nous entoure.
Production Compagnie Pippo Delbono et Maison de la Culture d’Amiens – Centre de création et de production
En collaboration avec Garofano Verde
Spectacle créé en juin 2014 au Théâtre Argentina de Rome, dans le cadre du festival Garofano verde.
BIOGRAPHIES
Pippo delbono comédien, metteur en scène
Pippo Delbono est né à Varazze (Italie) en 1959. Après avoir commencé sa
formation dans le théâtre de tradition, il se consacre pendant plusieurs années à
l’étude de la relation entre théâtre et danse, en particulier dans les principes du
théâtre en Orient où le travail de l’acteur et du danseur est lié. Les rencontres avec
Ryszard Cielslak, Iben Nagel Rasmussen et Pina Bausch sont alors déterminantes. A
la fin des années 1980 il fonde sa compagnie avec laquelle depuis il crée tous ses
spectacles depuis Il tempo degli assassini (1986) à Dopo la Battaglia (2011). Guerra a
obtenu le Prix de la Critique 1998, Gente di Plastica, le Prix Olimpici 2003 et Urlo, le
Prix Olimpici 2005. En 2009, Pippo Delbono reçoit le « Prix européen des
nouvelles réalités théâtrales » pour l’ensemble de son œuvre et en 2011, Dopo la
Battaglia obtient le prix UBU, meilleur spectacle de l’année. Sa dernière création
Orchidee a été présentée à Milan, Rome, Paris, Toulouse, Caen.
En 1996, sa rencontre avec Bobò, sourd-muet, interné dans l’hôpital psychiatrique
d’Aversa dans le sud de l’Italie depuis 45 ans, marque un tournant dans son travail.
Cette rencontre le conduira à ouvrir sa compagnie à des personnes éloignées du
théâtre et de la danse. Naissent ainsi les premiers moments d’un langage théâtral qui
conditionnera fortement une technique rigoureuse, menant l’expérience vers la
recherche d’une danse moins virtuose mais profondément liée à la vie.
Dans le spectacle Dopo la Battaglia, il ouvre la compagnie à de nouvelles rencontres.
Marigia Maggipinto, danseuse chez Pina Bausch et Alexander Balanescu, violoniste
avec qui il crée Amore e Carne.
En 2012, le Théâtre San Carlo de Naples lui demande de mettre en scène l’Opéra de
Pietro Mascagni Cavalleria Rusticana et il met en scène au ResidenzTheater de
Munich le spectacle Erpessung avec les acteurs du théâtre.
En 2013, Orchidee est un spectacle dans lequel se mêlent étroitement l’intime et
l’universel.
En 2014, le Théâtre Opéra de Poznan (Pologne) lui demande de mettre en scène
l’opéra de Mozart, Don Giovanni. Il collabore avec Petra Magoni, chanteuse rock
italienne pour un spectacle sur le mythe d’Œdipe Il Sangue. Le frère de BernardMarie Koltès lui accorde les droits d’utilisation de La Nuit juste avant les forêts pour
en faire une adaptation toute personnelle avec un vieux compagnon de la
Compagnie, Piero Corso, qui s’intitulera La Notte.
En décembre 2015, il crée au Théâtre National de Croatie à Zagreb la version
Opéra de sa dernière création Vangelo avec le chœur et l’orchestre du Théâtre
National de Zagreb. Cela lui permet de développer de nouvelles collaborations,
notamment avec le musicien Enzo Avitabile. La version théâtre de Vangelo a été
créée au Théâtre Vidy à Lausanne en janvier 2016.
Ses spectacles ont été présentés dans les principales capitales européennes, aux
Amériques et ont parfois dû s’adapter à des situations extrêmes en période de guerre
comme en Irak, en Bosnie, en Albanie ou en Palestine.
Au Festival d’Avignon, Pippo Delbono a présenté : Il Silenzio, Guerra et la Rabbia
(2002), Urlo et Enrico V (2004), I Racconti di giugno (2006), La Menzogna (2009) et
dans le cadre des « Artistes pour un soir » avec le spectacle Amore e Carne (2013).
En 2003, il réalise son premier long métrage Guerra, sélectionné à la 60e Mostra de
Venise, film dans lequel, de la même façon que dans ses créations théâtrales, le réel,
le théâtre, la danse et la poésie se mélangent pour créer un langage narratif
cinématographique original. Ce film a reçu le prix Ovidio d’Argent du meilleur film
au Sulmona Cinema Festival et le David di Donatello, meilleur long métrage
documentaire.
En 2006, il réalise le film Grido, sélectionné au 1er Festival de Cinéma de Rome. Le
Festival de Locarno de 2009 lui rendra un hommage particulier en projetant tous les
films de Pippo Delbono dont celui réalisé avec un téléphone portable La Paura.
Avec la Cinémathèque Suisse et la maison de production Casa Azul, il réalise Amore
Carne, sélectionné à la Mostra de Venise 2011, section Orrizzonti, puis
Sangue sélection officielle du Festival de Locarno 2013. En 2012, il est l’acteur
principal du film de Yolande Moreau Henri.
En 1999 a été publié Barboni, Il teatro di Pippo Delbono aux éditions UbuLibri et en
2004, Pippo Delbono, Mon théâtre aux éditions Actes sud et Le Corps de l’Acteur,
recueil d’entretiens aux éditons Les Solitaires Intempestifs. En 2005, les Carnets du
Rond Point publient un entretien avec Pippo Delbono.
En 2008, les éditions Actes Sud publient Récits de juin et en 2009 Les Solitaires
Intempestifs publient un livre de Bruno Tackels sur Pippo Delbono.
En 2010, les éditions Actes Sud publient Regards, une série de textes de Pippo
Delbono sur notre réalité quotidienne.
Autres publications : El teatro de la rabia (Punto Aparte) ; Racconti di giugno ; Teatrul
Meu ; Pippo Delbono, Corpi senza menzogna (a cura di Leonetta Bentivoglio) ; Dopo la
Battaglia.
Alexander balanescu compositeur
Alexander Balanescu est un compositeur prolifique et un violoniste de talent.
Il est né en Roumanie et intègre à l'âge de sept ans une école de musique à Bucarest
où il a reçu les enseignements de Dolly Koritzer, Garabet Avakian et Stephan
Gheorghiu. Il poursuit ses études à la Rubin Academy de Jérusalem auprès d’Iair
Kless, au Trinity College de Londres avec Bela Katona et, de 1975 à 1979 à la Julliard
School of New York avec Dorothy Delay où il participe aux masterclass de Pinchas
Zukerman, Itzhak Perlman, Felix Galimir et Robert Mann.
En 1979, Alexander Balanescu devient le leader du Michael Nyman Ensemble avec
lequel il se produit dans le monde entier pendant quinze ans. Durant cette même
période il a été également membre du Gavin Bryars Ensemble.
Pendant quatre ans, il est membre du Quartet Arditti avant la formation de son
propre quartet en 1987 : le Quartet Balanescu. Son quartet travaille étroitement avec
Michael Nyman, Gavin Bryars, Kevin Volans, aussi bien qu’avec John Lurie, David
Byrne, Keith Tippett, Carla Bley, Rabih Abou Khalil, Spiritualized et les Pet Shop
Boys. Le dynamisme du quartet et son approche novatrice du répertoire l’ont fait se
produire dans le monde, des clubs intimes aux stades.
Il collabore avec le monde de la danse : Pina Bausch, Rosemary Lee, Suzy Blok,
Jochen Ulrich, Phillipe Saire et Virgilio Sieni et réalise des musiques de film et pour
la télévision Angels and Insects (Philip Haas), Le Poulpe (Guillaume Nicloux), Il
Partigiano Johnny (Guido Chiesa), Eisenstein (Renny Bartlett) et How I Spent the End of
the World (Catalin Mitulescu) et pour plus de vingt films d’animation principalement
avec Philip Haas. En 2008, il écrit et exécute la musique du film hongrois Tablo
(Gabor Dettre) puis reprend sa collaboration avec Philip Haas pour Skeletons
Warming themselves by the Fire et The Death of Pentheus.
Petra magoni chanteuse
Petra Magoni est née en Toscane à Pise. C’est certainement de là que lui vient sa
passion pour le chant qu’elle étudie au conservatoire de Livourne et à l’Institut
Pontifical de Musique Sacrée de Milan.
Après quelques expériences dans la musique ancienne et dans le monde lyrique, elle
se tourne vers le rock au milieu des années 90. Elle est sélectionnée à deux reprises au
Festival de San Remo avec des chansons « horribile » comme elle a coutume de dire.
Après un album éponyme c’est sous différents pseudonymes qu’elle enregistre des
albums dance, pop ou électro. Très éclectique, elle collabore également avec le
rappeur italien Stev et de nombreux musiciens jazz comme Stefano Bollani, Antonello
Salis, Ares Tavalozzi.
En 2003, elle rencontre le contrebassiste Ferruccio Spinetti. Elle crée alors avec lui
Musica Nuda, duo culte qui a vendu plus de 200.000 disques et donné plus de mille
concerts de par le monde notamment à l’Olympia à Paris et au Paris Jazz Festival, au
Théâtre Antique de Lyon, à Rome, Milan, Naples, Saint Pétersbourg, New York.
En 2009 , elle est la reine de la nuit dans une Flûte enchantée débridée créée à
l’initiative de Roma Europa et des Nuits de Fourvière intitulée Il Flauto Magico secondo
l’Orchestra di Piazza Vittorio. Ce spectacle a été présenté notamment au Théâtre
Antique d’Erode à Athènes, à l’Opéra de Rotterdam et à la Maison de la Culture de
Bobigny.
ILARIA FANTIN musicienne
llaria Fantin est diplômée du Département de Musique ancienne au Conservatoire
de Vicenza (Italie) et achève sa spécialisation avec les honneurs du Conservatoire de
Vérone en 2012 avec Maestro Franco Pavan.
Elle a joué sous la direction de nombreux chefs d'orchestre comme Stefano
Montanari, Simone Kermes, Paolo Faldi, Alberto Rasi, Julian Podger,
Bettina Hoffmann, Christopher Hogwood...
Son activité de concert est intense en Italie et à l'étranger explorant toutes les
périodes de la musique ancienne - de la musique médiévale à la Renaissance
jusqu’au baroque - se produisant dans des festivals comme Alte Musik Festival
(Feldkirchen), Concertgebouw Amsterdam, Femas Sevilla, Pavia Barocca, Festival
All’ Improvviso
(Pologne), Festival Radovljica (Slovenie), Festival Biblico (Vicenza), Festival
Internazionale di Musica Vocale (Mantova), Fundacion Juan March (Madrid),
Festival Echi Lontani (Cagliari), Junges Musikpodium (Dresde), Baromus Festival
(Croatie), Voces Festival (Lecco), Festival Musica Cortese (Gorizia), Festival Bozen
2015, Nebílovy - Plzeň European Capital of Culture 2015 (République Tchèque),
Fora do Lugar - Festival Internacional de Músicas Antigas (Portogallo)…
Ilaria Fantin collabore régulièrement avec des compagnies de théâtre notamment
comme musicienne dans Il Sangue avec Pippo Delbono et Petra Magoni.
Elle a enregistré pour plusieurs labels accompagnant le chanteur Pino de Vittorio
mais aussi Petra Magoni, avec qui elle a enregistré un album à Londres.
Piero Corso compositeur
Piero Corso a commencé sa carrière de musicien en 1974 en travaillant avec
différents artistes, chorégraphes, metteurs en scène, musiciens, compagnies :
Gruppo della Rocca, Lindsey Kemp, Hector Malamud, Laurie Booth, Giovanna
Marini, Jojy Hirota, Alvin Curran, Tristan Honsinger, Cie du Tournesol/Philippe
Boulay, Teatro T.I.R.
Sa collaboration avec Pippo Delbono a débuté en 1984.
Il travaille actuellement avec la Company Blu, Irène Russolillo, Claudia Catarzi et
toujours avec Pippo Delbono.
PROCHAINEMENT AU THÉÂTRE
DES BOUFFES DU NORD
5 avril
au
MIES JULIE
D’ August Strindberg
Adaptation et mise en scène Yaël Farber
16 avril
26 avril
au
archipel
De Marie NDiaye
Mise en scène Georges Lavaudant
30 avril
10 mai
au
verso medea
D’après Euripide
Mise en scène Emma Dante
28 mai
14 juin
au
9
juillet
monsieur de
pourceaugnac
Comédie-ballet de Molière et Lully
Mise en scène Clément Hervieu-Léger
Avec Les Arts Florissants,
sous la direction de William Christie

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