mercredi 9 octobre 2013
Transcription
mercredi 9 octobre 2013
Christian Polge 13, Rue Arago 30100 ALES Téléphone 06 14 11 69 04 Mail : [email protected] mercredi 9 octobre 2013 Lettre recommandée avec A.R. Objet : information et recours Monsieur, Je porte par la présente à votre connaissance les éléments suivants. Je réside à titre occasionnel sur la commune de Bonnevaux depuis 40 ans. J’ai fait part à la mairie de mon intention de me domicilier sur la commune. 1) La mairie de Bonnevaux à affiché une offre d’embauche de secrétaire administratif courant juillet dernier à laquelle j’ai postulé dans les délais (date butoir 10 juillet). Une douzaine de candidatures ayant été agréées dont la mienne (cf. : pièce 1), j’ai été reçu en mairie par le maire et deux autres personnes (commission recrutement) en entretien. J’ai été informé par le maire semaine suivante que le choix avait été fait d’une personne ayant « une expérience dans la fonction ». J’ai eu connaissance par la suite et fortuitement que la personne pressentie s’était désistée sans que je sois autrement contacté. En conséquence j’ai adressé le 23 aout (cf. : pièce 2) un mail réitérant ma disponibilité et mon acceptation des contraintes y afférent. J’ai appris enfin (toujours aussi fortuitement) que le choix discrétionnaire du maire avait été fait d’une tierce personne hors révision des candidatures initiales, n’ayant pas l’expérience du poste et « cerise sur le gâteau » compagne de l’un des conseillers municipal. 2) J’avais précisé lors de l’entretien que ma candidature était éligible au CUI-CAE, à charge pour la mairie si elle le souhaitait de compléter le contrat de 10h à hauteur des 20h exigées hors dérogation. Sans suite donc… Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir à l’ordre du jour de la réunion municipale de septembre (cf. : pièce 3) la proposition de création d’un post en CUI de 20h hebdomadaires de secrétariat ? La réunion municipale du 09 septembre a éclairé l’artifice. L’identité du bénéficiaire pressenti pour ce poste est celui de l’une des anciennes conseillères municipales ayant fort opportunément récemment démissionné. Devant le questionnement quant au bien-fondé de cette création (le pour quoi faire ?) la mutualisation est évoquée (50/50) avec une autre commune (cf. : pièce 4). Bref il s’agit moins de répondre à une nécessité fonctionnelle effective que d’occuper quelqu’une à moindre frais par une création « ex nihilo ». Je considère le clientélisme dans les deux cas manifeste quant au second il relève davantage du bureau d’aide sociale. Considérant être l’un des « dindons » de cette farce grotesque je vous invite à me faire connaître votre position quant à cette mascarade. Dans l’attente de vous lire je vous prie d’agréer, Monsieur le Sous-préfet, l’expression de mes respectueuses salutations. Pièces jointes : 4