Haute joaillerie - coart

Transcription

Haute joaillerie - coart
Sous le Haut Patronage de Son Excellence
M. Charles Aznavour
Représentant Permanent de la République d’Arménie auprès de l’UNESCO
L’ Association des Joailliers Arméniens présente,
en première mondiale, une prestigieuse
exposition
co/art
HAUTE JOAILLERIE UN SAVOIR-FAIRE ARMENIEN
Du 16/ au 18/ février 2013 - Paris
Pour la première fois, des joailliers arméniens du monde entier
exposeront ensemble leurs plus belles réalisations
dont une bague ornée du plus gros diamant jaune du monde (110 carats)
de taille « Asscher »
au Grand Hôtel Intercontinental-Paris
2, rue Scribe 75009 Paris – Métro Opéra
Exposition ouverte le 16/02 de 12 h à 23 h, le 17/02 de 10 h à 18 h, le 18/02 de 10 h à 20 h.
Renseignements : www.coart-expo.com
Les événements autours de l’exposition
/Grand dîner de gala
Samedi 16 février à 20 h 30
précédé d’un cocktail à partir de 19 h 30
/Cocktail de clôture
Lundi 18 février à partir de 18 h
En présence de M. Charles Aznavour, et de nombreuses personnalités,
dans les salons de l’Hôtel Intercontinental.
Renseignements et réservations au 06 84 81 65 54
Pour toute information complémentaire, veuillez contacter
Houry Simonian, coordinatrice de l’AJA France
au 06 84 81 65 54
[email protected]
www.coart-expo.com
www.ajainternational.com
A propos de « co/art »
S’il y a un métier arménien par excellence, c’est assurément celui de la joaillerie.
Les arméniens maîtrisent le travail de l’or et des métaux depuis la nuit des temps, depuis dit-on que
l’arche de Noé s’est posé sur le mont Ararat. A Constantinople et dans tout l’Empire Ottoman, les
Sultans faisaient appel exclusivement aux joailliers arméniens. La joaillerie, nécessitant un travail sur
pierres et métaux précieux, les joailliers transmettaient leur métier de père en fils, préservant ainsi leur
savoir-faire à travers les générations.
En France, Colbert, ministre du roi Louis XIV, fonda en 1664 la compagnie française des Indes,
spécialisée dans le négoce avec l’Asie. Il nomma Macara Avanchinz, un arménien de la NouvelleJoulfa en tant que premier directeur. Avanchinz mit en place des réseaux commerciaux et introduisit
en France des joailliers arméniens de l’Empire Ottoman, de Perse et de l’Inde.
Ce métier d’art se perpétue encore de nos jours et donne aux arméniens la réputation de maîtres
joailliers, d’Istanbul à New York, en passant par Hong Kong et Singapour, jusqu’aux ateliers des
prestigieuses maisons de la Place Vendôme.
L’exposition « co/art », la première en son genre, se propose de mettre en lumière à la fois des
créations uniques et un savoir-faire.
Cette manifestation exceptionnelle mettra en avant des chefs d’oeuvres de la grande joaillerie, de la
haute horlogerie ainsi que les créations de jeunes bijoutiers-orfèvres talentueux.
L’Association des Joailliers Arméniens de France, organisatrice de cette exposition en collaboration
avec l’Ambassade de la République d’Arménie en France, est heureuse de partager cette occasion
unique de découverte, réunissant professionnels et amateurs de bijoux, ayant en commun une
passion pour le merveilleux. Cette même passion qui a fait de Paris, la capitale du luxe.
Hovel Chenorhokian
« co/art » Organisateur
AJA , mission et vision
L’AJA, Association des Joailliers Arméniens, a été créée à Erevan en 1997 avec comme principal
objectif de contribuer au développement de l’industrie joaillière en Arménie. Pour atteindre cet objectif,
il fut essentiel de créer un réseau regroupant les bijoutiers arméniens du monde entier.
Au cours des quinze dernières années, l’AJA s’est développée pour devenir l’une des premières
associations professionnelles arméniennes. A travers ses réseaux régionaux et internationaux, ses
membres ont pu construire des relations d’affaires.
L’AJA est actuellement présente en Australie, au Japon, à Hong Kong, en Thaïlande, au MoyenOrient, en Arménie, en Russie, en Europe, au Canada et aux Etats-Unis, et continue à aller de l’avant.
L’AJA a fait une fulgurante avancée sous la présidence de M. Gagik Gevorkyan, grâce à sa
généreuse contribution et au travail tenace du conseil d’administration. En moins de deux ans, les
résultats suivants ont été réalisés :
- La revue trimestrielle de l’AJA, qui surpasse de par son contenu et sa qualité la plupart des
publications professionnelles internationales.
- Le site web de l’AJA et ses reportages vidéo hebdomadaires.
- Le salon international annuel de Erevan.
- Une association fructueuse avec l’organisation CIPJO.
Le prochain projet AJA sera le développement de la zone franche. L’Arménie représente ainsi un
grand intérêt pour les principaux négociants de bijoux en France, en Italie, en Espagne et en
Allemagne. L’AJA, en coopération avec le Ministère de l’Economie de la République d’Arménie, va
développer et exploiter une zone franche, avec pour objectif de créer des milliers d’emplois d’ici
quelques années.

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