Premier colloque pour Dysphasie Lanaudière

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Premier colloque pour Dysphasie Lanaudière
Premier colloque pour Dysphasie Lanaudière :: Communautaire - Journal La Revue
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Premier colloque pour Dysphasie
Lanaudière
Vanessa Blouin
Mardi 29 octobre 2013
C’est au Collège Saint-Sacrement, à Terrebonne, qu’a eu lieu le tout
premier colloque consacré à la dysphasie organisé par l’organisme
Dysphasie Lanaudière, le 26 octobre. Le président-directeur général
de La Revue, Gilles Bordonado, en était le fier président d’honneur
et sa fille Émilie, l’invitée d’honneur.
Claudine Levasseur, présidente de Dysphasie Lanaudière,
Lyne Simoneau, directrice, Diane Gadoury-Hamelin,
députée de Masson, Émilie Bordonado, invitée d’honneur, et
Gilles Bordonado, président d’honneur, attendaient l’arrivée
des convives avec impatience.
Dysphasie Lanaudière est un organisme créé particulièrement pour les
parents d’enfants dysphasiques. Il compte parmi ses membres plusieurs
professionnels de la santé qui travaillent auprès de ces enfants ainsi que
des membres du milieu des affaires interpellés par la cause.
Faire connaître le syndrome
C’est avec détermination que le comité organisateur a mis sur pied le tout premier colloque régional lanaudois sur la dysphasie. Celuici avait pour mission de permettre aux parents d’enfants dysphasiques de s’outiller face à la dysphasie. Lors de son discours de
bienvenue, Claudine
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Levasseur, présidente de Dysphasie Lanaudière, a mentionné que le colloque est un événement rassembleur qui
a pour but de contrer la solitude que les parents d’enfants atteints vivent. «C’est pourquoi nous avons réuni des professionnels qui
partageront leurs connaissances et leur engagement avec nous tous», a ajouté Lyne Simoneau, directrice de Dysphasie Lanaudière.
Réunis pour la cause
Directement touché par la cause, puisque sa fille Émilie vit avec la dysphasie, Gilles Bordonado, président-directeur général de La
Revue, a accepté le rôle de président d’honneur du colloque. «Je remercie Dysphasie Lanaudière d’organiser ce colloque qui
démystifie ce trouble auprès de gens qui le côtoient quotidiennement à travers leurs enfants», a-t-il lancé.
Sa fille Émilie Bordonado, avec son expérience de la dysphasie, s’est révélé la candidate idéale pour être invitée d’honneur de
l’événement. En livrant un témoignage éloquent, elle s’est dite reconnaissante de la présence de tous, car cela démontre l’intérêt des
gens pour le mieux-être de jeunes comme elle.
De nombreux intervenants tels que Julie Wolfe, orthophoniste, Stéphanie Houle, sexologue et conseillère pédagogique, Christine
Brisebois, enseignante, et Martine Jetté, travailleuse sociale, ont pris part au colloque par le biais de conférences.
Ayant la cause à cœur, les commanditaires suivants ont permis la réalisation de l’événement : Haylem Technologies, BMO Banque de
Montréal, la Ville de Terrebonne, la Commission scolaire des Affluents, l’Office des personnes handicapées du Québec, le Bouclier
Centre de réadaptation en déficience physique et l’Agence de la santé et des services sociaux.
http://www.larevue.qc.ca/communautaire_premier-colloque-pour-dysphasie-lanaudiere-n... 2013-10-31
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Qu’est-ce que la dysphasie?
Comme on peut le lire sur le site Internet de Dysphasie Lanaudière : «La dysphasie est un trouble primaire du langage qui affecte la
sphère expressive ou les sphères expressives et réceptives. Elle affecte, de façon variable, plus d'une composante du langage :
phonologie, morphologie, syntaxe, sémantique et pragmatique. La dysphasie résulte d'une dysfonction neurologique dont l'atteinte
varie d'un enfant à l'autre. On naît dysphasique et on le demeure toute sa vie.»
Pour plus d’information sur ce trouble et sur les services de Dysphasie Lanaudière : www.dysphasielanaudiere.org.
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