Asperge - Chambre d`Agriculture du Gard

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Asperge - Chambre d`Agriculture du Gard
Fiche Technique
Production Développée en Languedoc-Roussillon
Filière Maraichage
Septembre 2008
Asperge
Rédigée par :
Christophe GARCIN
Chambre d’Agriculture de l’Hérault /
CEHM
Potentiel des marchés
Production, à retenir...
Production mondiale :
Production
Principaux pays producteurs
Il faut distinguer deux filières différentes
pour l’asperge : l’asperge verte et
l’asperge blanche. Les méthodes de
production pour la blanche ou pour la
verte sont différentes. Les zones de
consommation sont également bien
différentes :
d’une
façon
générale
l’asperge
blanche
est
surtout
consommée en Europe (Allemagne et
Suisse) et l’asperge verte est plutôt
consommée dans les zones hors Europe
(USA, Japon).
La production d’asperge est destinée
pour deux types de marché : le frais et
l’industrie (conserve et surgelé) à parts
égales pour la production mondiale. La
production orientée pour la conserve est
aujourd’hui concentrée en Chine et au
Pérou où les industriels ont beaucoup
investi
ces
dernières
années.
La
production destinée au frais se trouve
dans toutes les zones de production.
Production mondiale 227 500 ha pour
800 000 tonnes.
56% de verte et 44% de blanche.
(chiffres EuroASPER 2008).
Les zones de production mondiale
d’asperge au cours de ces 15 dernières
années ont changées. Les pays leaders :
USA et Espagne, ont vu leur production
diminuer fortement au bénéfice de
nouveaux pays producteurs : la Chine
(pour la conserve) et l’Allemagne (pour
le frais).
Asie : 93 500 ha – 235 000 tonnes (en
légère baisse depuis 2001) surtout pour la
conserve. 50% blanche et 50% verte.
Amérique : 65 000 ha – 315 000 tonnes
(en baisse depuis 2001) frais et conserve, 15%
blanche et 85% verte.
Europe : 65 000 ha – 230 000 tonnes
(stable depuis 2001) surtout pour le frais, 90%
blanche et 10% verte.
Pays producteurs :
- Chine : 80 000 ha, conserve et marché
intérieur. 50% blanche et 50% verte.
- Pérou : 20 000 ha et 193 000 tonnes.
conserve et frais. 30% blanche et 70% verte.
- Allemagne : 21 500 ha et 94 000 tonnes,
marché intérieur de l’asperge blanche fraîche.
96% blanche et 4% verte.
- USA : 18 000 ha et 65 000 tonnes. 100%
verte.
- Mexique : 15 000 ha et 65 000 tonnes,
exportation. 100% verte.
- Espagne : 9 500 ha et 36 000 tonnes.
Conserve et marché du frais. Uniquement pour
l’exportation pour la filière du frais. 70%
blanche et 30% verte.
- Italie : 6 600 ha et 45 000 tonnes, pour le
marché local. 15% blanche et 85% verte.
- France : 5 500 ha et 19 000 tonnes, marché
national. 85% blanche et 15% verte
- Grèce : 4 000 ha et
exportation. 99% blanche.
17 000
tonnes,
Le Pérou s’est maintenu en orientant sa
production vers le marché du frais. Le
coût de la main d’œuvre est le principal
facteur qui explique ces modifications.
En Allemagne, l’augmentation de la
production d’asperge s’explique aussi par
sa consommation nationale qui est très
importante (1,2 kg/habitant contre 0,5
en France), permettant une excellente
valorisation
de
la
production.
Synthèse régionale « Alternatives Agricoles à l’arrachage de la vigne »
1
Partie 2 : Fiche Asperge
L’Allemagne a également la possibilité
d’employer à moindre coût une main
d’œuvre hors Union Européenne.
Au niveau mondial, la
d’asperge verte augmente.
production
Production en France
Il existe trois zones de production en
France :
Bassin Sud-Est : Gard, Hérault,
Vaucluse et Aude pour 1400 ha et
4700 tonnes
Bassin
Sud-Ouest :
Landes
et
Gironde pour 1400 ha et 4800 tonnes
Bassin Val de Loire : Maine et Loire,
Indre et Loire, Loir et Cher pour 1200
ha et 3 000 tonnes
En Languedoc-Roussillon,
Gard : 680 ha et 2 230 tonnes.
Hérault : 250 ha et 1 045 tonnes.
Aude : 200 ha et 700 tonnes.
La production des Pyrénées-Orientales et
de la Lozère est très faible.
Le Gard et l’Hérault ont été pendant très
longtemps les premiers départements
producteurs d’asperge en France.
En
effet,
cette
culture
est
complémentaire de la culture de la vigne
au niveau du calendrier et du matériel.
De plus le Languedoc est la région la
plus précoce de France, ce qui lui a
permis de se positionner très tôt en
saison sur le marché européen.
Il y a 20 ans, les viticulteurs cultivaient
traditionnellement de l’asperge qui leurs
assurait une entrée de trésorerie au
printemps. Un réseau commercial très
structuré s’était constitué dans ces
départements avec des coopératives
importantes. Elles ont orienté leur
production vers les marchés allemand et
Suisse très porteurs. A la fin des années
80, le Sud de la France était le premier
exportateur européen d’asperge.
Mais l’augmentation du prix de la main
d’œuvre associée à la perte d’un marché
allemand ont entraîné la chute de la
production languedocienne, amorcée en
premier lieu par la crise de la fusariose
(1990).
Aujourd’hui le Languedoc joue encore un
rôle important pour la production
d’asperge française. La production est
traditionnellement basée sur l’asperge
blanche.
Aujourd’hui,
le
réseau
commercial a des difficultés à répondre à
l’augmentation de la demande en
asperge verte à cause de la concurrence
espagnole.
La
consommation
en
Languedoc-Roussillon est plutôt orientée
vers l’asperge verte.
Organisation commerciale
En Languedoc-Roussillon, en 2007, il
existe
une
organisation
de
producteur (OP) : Cofruit d’Oc qui assure
la commercialisation de 600 tonnes
d’asperge
(deuxième
opérateur
français). Cofruit d’Oc est la seule OP
restant parmi les 5 metteurs en marché
existant à la fin des années 90. C’est la
conséquence de la baisse importante des
volumes au cours des ces 20 dernières
années.
Il
existe
également
des
producteurs
expéditeurs,
spécialisés
dans cette production et les cultures
légumières dans la région de Mauguio et
de Bagnol-sur-Cèze.
La structure Cofruid’Oc possède deux
marques reconnues sur le marché
national : « Célestine » pour l’asperge
blanche
et
« Sauvageonne »
pour
l’asperge verte, positionnées toutes deux
sur un segment haut de gamme. Pour
l’asperge blanche, il existe également la
marque Asperge d’Oc et le label « Sud
Nature » (asperge produite dans les
règles d’une agriculture raisonnée).
Le potentiel de commercialisation pour
l’asperge verte « Sauvageonne » est
supérieur à la production actuelle.
Prix
L’asperge est un légume particulier :
c’est le produit saisonnier par excellence.
En effet, il n’est pas possible de produire
de l’asperge toute l’année sous nos
conditions climatiques et l’asperge ne
peut pas être stockée. Dans ce contexte,
l’asperge est soumise à de fortes
variations de prix en fonction du marché
et des différentes catégories.
Les fourchettes de prix sont très
importantes : pouvant aller à plus de
10 € du kilo pour de la +22mm blanche
en début de campagne à moins de 1 €
Synthèse régionale « Alternatives Agricoles à l’arrachage de la vigne »
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Partie 2 : Fiche Asperge
pour de la 12-16 mm violet-vert au cœur
de la saison.
La consommation intérieure est en
baisse. Ce phénomène est très lié à la
baisse de la production nationale. Le
marché à l’export est aujourd’hui limité
au marché suisse sur une catégorie très
spécifique (+22 mm).
Les circuits courts sont très importants.
La fraîcheur est un atout incontournable
pour ce légume. La grande distribution
qui
représente
42%
des
ventes
d’asperge n’est pas du tout adaptée à
l’asperge (légume cher et qui se
détériore rapidement). Les marchés
physiques représentent 40% des ventes,
ce qui est extrêmement élevé par
rapport aux autres légumes.
Il est difficile de caractériser les prix
pour l’asperge. Les prix peuvent être très
hauts car l’offre est déficitaire à cause
d’un refroidissement climatique, fréquent
au printemps. Quelques jours après,
cette offre peut devenir très vite
excédentaire et faire chuter rapidement
les cours.
De plus la consommation est également
très concentrée sur des dates « clefs »
qui sont Pâques, l’Ascension, la fête des
mères ou Pentecôte. L’objectif pour les
producteurs est d’offrir la plus grande
quantité d’asperges possible pour ces
fêtes.
Synthèse
La région bénéficie d’un savoir-faire
solide, d’une bonne complémentarité
avec le travail de la vigne, d’un
positionnement
précoce
dans
la
campagne de commercialisation et d’une
organisation commerciale autour de
marques reconnues sur un segment haut
de gamme. Toutefois, ce produit très
saisonnier subit des aléas importants sur
les prix de vente et se trouve confronté à
une concurrence forte liée notamment au
faible coût de main d’œuvre. En France,
la consommation baisse sur le créneau
de l’asperge blanche, alors que le
marché mondial augmente sur l’asperge
verte. Sur la région, la filière s’essouffle
à cause de la baisse de la consommation
et du coût élevé de la main d’œuvre.
Impact environnemental
Impact des intrants
Pour la fertilisation, l’impact de l’asperge
sur l’environnement est relativement
faible. De plus l’utilisation de la
fertiirrigation permet de fractionner les
apports.
En
général
6
à
7
passages
phytosanitaires sont nécessaires. Le
climat sec du Languedoc limite le
développement
des
maladies
(Stemphylium et rouille). Au niveau des
insectes, la mouche et le puceron sont
les 2 parasites à maîtriser.
Impact sur la ressource en eau
L’asperge est une culture qui est
résistante à la sécheresse. Mais il a été
démontré
que
les
irrigations
permettaient d’augmenter le rendement
et la rentabilité de la culture.
Toutefois, les apports d’eau nécessaires
sont relativement faibles : environ 300
mm par an.
Impact sur les paysages
L’impact sur le paysage est partagé. Il
est positif en période végétative (de juin
à octobre). Il est négatif entre les mois
de décembre et les mois de mai à cause
de l’utilisation de paillages plastique mal
perçus par la population.
Impact sur la biodiversité
Des études doivent être menées afin
d’apprécier l’impact de la culture de
l’asperge sur la biodiversité.
Synthèse
L’impact
environnemental
est
globalement
indifférent,
hormis
le
paillage plastique mal perçu.
Synthèse régionale « Alternatives Agricoles à l’arrachage de la vigne »
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Partie 2 : Fiche Asperge
Contraintes
techniques
agronomiques
et
Type de sols
L’asperge apprécie les sols légers
(sableux, sablo-limoneux) et profonds.
C’est dans ce type de sols que les
résultats sont les meilleurs. En sol
argileux le potentiel de rendement est
plus faible qu’en sol léger. Mais il est
possible de cultiver l’asperge dans des
sols lourds dans certaines conditions :
pas de stagnation d’eau pendant
l’automne et l’hiver, drainage, travail du
sol indispensable, apport de matière
organique. En sol argileux la culture de
l’asperge blanche est plus difficile mais
pas
impossible
en
prenant
les
dispositions nécessaires.
La présence de cailloux est proscrite
pour une production d’asperge blanche
mais pas pour l’asperge verte.
Topographie
Culture réalisable mais difficile avec des
sols en pente : mécanisation délicate,
pénibilité de la récolte, risque d’érosion
par les pluies…
Adaptation au climat
L’asperge est particulièrement bien
adaptée au climat méditerranéen. Pas de
contre-indication climatique. C’est une
plante qui peut se cultiver en sec, même
si les résultats sont inférieurs aux
parcelles irriguées. Les zones qui
s’éloignent du littoral seront plus
tardives. Les risques de gelées existent
pendant
la
récolte
mais
les
conséquences sont relativement peu
importantes : asperge blanche perte de
la récolte du jour ; asperge verte perte
de 3 à 4 jours de cueillette.
Calendrier de production
Mars
Implantation
Juin à
octobre
Fertilisation
Irrigation
Protection
Novembre
à février
Buttage
et paillage
Mars à mai
Récolte
Implantation de la production
L’asperge est une culture pérenne. Elle
mobilise une parcelle pendant 8 à 10
ans.
La parcelle doit être préparée un an
avant la plantation : drainage, apport de
matière organique, travail du sol,… La
réussite d’une aspergeraie est liée à une
bonne implantation au cours des deux
premières années. La plantation est
réalisée au mois de mars sous forme de
griffes (asperges d’un an) achetées chez
des pépiniéristes spécialisées. La qualité
des griffes est un élément très important
pour réussir son implantation. Il existe
une liste des variétés recommandées par
le CEHM (Centre Expérimental Horticole
de Marsillargues) au niveau régional en
fonction du type de sol et du créneau de
production.
La profondeur de plantation ne doit pas
excéder 20 cm. La densité de plantation
traditionnelle est de 12 000 griffes par
hectare : 3 griffes tous les mètres et
inter-rang de 2,5 mètres.
Récemment des systèmes d’implantation
intensifs
ont
été
développés :
augmentation de la densité de plantation
(30 000 griffes par hectare), irrigation
localisée, mécanisation de la récolte,
utilisation de paillage à ourlet…
Ce mode de conduite permet d’améliorer
la rentabilité de la parcelle. Mais
l’accompagnement
technique
des
producteurs et la préparation du projet
un an avant la plantation pour ce type de
parcelle est obligatoire.
Synthèse régionale « Alternatives Agricoles à l’arrachage de la vigne »
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Partie 2 : Fiche Asperge
Conduite de la production
Le calendrier d’une aspergeraie adulte
peut se diviser en 3 phases :
La récolte : du mois de mars au mois
de mai. Une récolte quotidienne voire
tous
les
deux
jours
est
à
programmer,
La phase végétative du mois de juin
au mois d’octobre : fertilisation,
protection contre les maladies et les
ravageurs, irrigation (si possible),
La phase de repos végétatif de
novembre à février : préparation des
buttes, couverture avec les paillages
plastique.
Irrigation
L’asperge est une plante qui est
naturellement adaptée à un climat
méditerranéen, c’est à dire à des
conditions
sèches.
Toutefois,
les
rendements en conditions non irriguées
sont inférieurs aux parcelles irriguées
(environ 20% de moins). Le calibre est
plus petit sur des parcelles non irriguées.
Sans irrigation l’intensification de la
culture (haute densité) n’est pas
possible.
En résumé, l’asperge est une culture qui
peut se réaliser sans irrigation. Mais le
résultat agronomique sera inférieur et la
rentabilité de la culture dépendra de la
valorisation économique de la production
(circuits courts).
une
très
bonne
rémunération
et
l’utilisation d’une main d’œuvre familiale.
Mécanisation
Spécifique : butteuse, pailleuse.
Après la récolte, nécessité d’avoir les
installations pour le lavage et le stockage
au froid.
Sensibilité au précédent vigne
Au niveau sanitaire, il n’y a pas de
restriction pour la culture de l’asperge.
Mais le sol après un précédent vigne
peut être compacté et appauvri en
matière organique. Il sera nécessaire de
réaliser un travail du sol approprié et
d’effectuer un apport important de
matière organique.
Contrainte de main d’oeuvre
La main d’œuvre constitue le poste le
plus important dans les coûts de
production d’une aspergeraie : 60 à 70%
du coût de production. La problématique
associée à la main d’œuvre (disponibilité
et coût) est un des facteurs principaux
de la baisse de cette culture dans notre
région.
Contrainte foncière
Pas de contrainte particulière si ce n’est la
topographie régulière et un bon drainage
(absence d’eau stagnante en automne).
Evitez les parcelles caillouteuses.
La création d’une aspergeraie de quelques
dizaines d’ares peut se justifier dans
l’objectif de vente en circuits courts avec
Synthèse régionale « Alternatives Agricoles à l’arrachage de la vigne »
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Partie 2 : Fiche Asperge
Dispositif réglementaire auquel la
production est soumise
Dans le cadre de l’OCM, les exploitations
regroupées en OP reconnues peuvent
bénéficier
d’aides
en
fonction
du
programme opérationnel rédigé par l’OP.
Mais l’OCM Fruits et Légumes est
actuellement en pleine évolution et les
modalités ne sont pas toutes connues pour
l’instant.
Risque
financier
et
intérêt
économique pour l’exploitant
Résultats économiques et facteurs de
risque
Pour l’asperge blanche, en pleine
production, le rendement visé est de 5
tonnes/ha en système traditionnel et de
9 tonnes/ha en système intensif.
Pour l’asperge verte le rendement visé
en pleine production est de 6 tonnes/ha.
La vente en circuits courts permet de
mieux valoriser la production.
Besoins de trésorerie
Les scénarios sont différents selon le
choix du type de plantation réalisée :
traditionnel ou intensif.
Pour un système traditionnel, le coût de
l’implantation est estimé à 10 000 €.
Amorti sur 8 ans cela représente un
amortissement de 1 250 € par an.
Pour un système plus intensif, le coût de
l’implantation est estimé à 16 000 €,
c’est à dire un amortissement de 2 000 €
par an.
Risque financier lié aux investissements
Les investissements spécifiques sont liés
à la préparation de la récolte (butteuse,
pailleuse). Ces opérations peuvent être
effectuées par des entrepreneurs ou des
CUMA.
La marge brute est très variable selon le
système de production, le rendement
(très lié aux conditions climatiques), la
qualité de la production et le débouché
commercial.
Le prix de vente est très variable d’une
année sur l’autre. Une étude a été
menée par le CER (Cellule Economique
Régionale) du Gard en 2006. Le bilan est
le suivant :
Asperge blanche en traditionnel : sur
la base de 5 tonnes/ha à 2,65 €/kg.
Marge brute : 4 950 €/ha, Marge
directe : 3250 €/ha, Résultat : 1 550
€/ha.
Asperge blanche en traditionnel : sur
la base de 9 tonnes/ha à 2,65 €/kg.
Marge brute : 11 600 €/ha, marge
directe : 8 560 €/ha, résultat : 6 860
€/ha.
Asperge verte : sur la base de 6
tonnes/ha à 2,80 €/kg. Marge brute :
7 000 €/ha, marge directe : 5 600
€/ha, résultat : 3 900 €/ha.
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Partie 2 : Fiche Asperge
Personnes ressources
Chambres d’Agriculture :
Yves NOUET, conseiller culture maraîchère – Chambre d’Agriculture du Gard - Mas de
l’Agriculture BP 48078 30 932 Nîmes Cedex9
Christophe GARCIN – CEHM / Chambre d’Agriculture de l’Hérault - Mas de Carrière
34590 MARSILLARGUES
Cyril Sévely, conseiller fruits et légumes – Chambre d’Agriculture de l’Hérault - Mas
de Saporta CS 10010 34 875 Lattes Cedex
Sylvia Gasq - Chambre d’Agriculture du Vaucluse (conseillère culture légumière)
Instituts techniques :
Jacques POISSONNIER – CTIFL/HORTIS - Centre Technique Interprofessionnel des
Fruits et Légumes – Domaine de Lalande 47110 Ste LIVRADE sur LOT
Organisations professionnelles et interprofessionnelles :
BRM - Comité Économique Agricole du Bassin Rhône Méditerranée - Bâtiment U —
MIN 84000 AVIGNON - Nâturopole — Bâtiment C 66350 TOULOUGES www.brmfl.com
Opérateurs économiques :
Georges FANDOS – Cofruid’Oc (suivi technique pomme et asperge)
Vincent BOUSQUET – AudeCop – Société Viaspa (conseil Privé spécialisé dans
l’asperge)
Christian BEFVE – Consultant privé spécialisé dans l’asperge.
Bibliographie
« L’asperge » Didier ADAM, CTIFL, 1999
Revue Culture Légumière
Revue Réussir Fruit et légume
Revue Végétable
Bilans de campagne 2000-2007, SNM
Mémento Agreste 2006
Documents CGAER du Gard
Références technico-économiques 2006-2007 – Chambre d’Agriculture du Vaucluse
Liens Internet :
Site FAO : http://faostat.fao.org/DesktopDefault.aspx?PageID=567&lang=fr
Site Agreste : http://www.agreste.agriculture.gouv.fr
Site BRM : http://www.brmfl.com
Site http://www.fruits-et-legumes.net
Site http://www.cehm.net
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Partie 2 : Fiche Asperge

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