Pierre Ducellier dit WINDORF - Pierre Ducellier Windorf peintre

Communiqué :
Pierre Ducellier dit WINDORF
Un Peintre,
Deux vies,
Deux livres,
Deux expositions,
Roman par Stéphane AUDEGUY (1)
Monographie par Aurélie VANDEVOORDE (2)
Les deux ouvrages, à tirage limité, sont réunis sous coffret.
Coffret Windorf : 21x21cm, 88 pages chaque ouvrage, Editions Altamira, 40 euros.
Une rétrospective « Pierre Ducellier, dit Windorf », présentée au Centre Charlemagne de
Bois-Colombes, du 6 au 21 novembre 2010, 7 rue Félix-Braquet, de 14h à 18h. Entrée libre,
Une exposition à la galerie Pierre-François Garcier, à Paris, du 26 novembre au 2 décembre
2010, 50 rue de Laborde Paris 8e, de 14h à 20h.
En 2009, le marchand d’art Pierre-François Garcier se porte acquéreur en salle des ventes, de
tableaux abstraits d’un certain Pierre Ducellier, dit Windorf. Il ne doute pas un instant de son choix,
conquis par les qualités plastiques des compositions géométriques de cet artiste dont il ne sait
pourtant rien. Il ne doute pas non plus qu’un travail de recherches ne tardera pas, à travers les
témoignages de proches, de peintres l’ayant côtoyé ou de galeristes l’ayant exposé, à lui révéler
une part de la vie et de la démarche artistique de Pierre Ducellier, né à Rosny-sous-Bois en 1944
et décédé en 2007.
Rapidement, les recherches prennent l’allure d’une véritable enquête, tant les indices se révèlent
rares, pour ne pas dire inexistants : aucunes traces d’expositions ou presque, pas la moindre mention dans une revue d’art. Pire encore : à Bois-Colombes, où Pierre Ducellier a passé une grande
partie de sa vie, aucuns de ceux qui le fréquentaient n’ont su qu’il peignait ; on ne lui connaissait que
son métier de décorateur d’intérieur. Quant au pseudonyme de Windorf, aux accents germaniques,
nul n’en avait jusque-là entendu parler.
Deux noms, deux vies ? Ducellier à la ville, Windorf dans le secret de son atelier ?
www.Windorf.net
À ce jour, seuls quelques fragments sont parvenus de ce qu’il pourrait bien s’agir d’appeler une
double vie.
Une double vie sur laquelle le romancier Stéphane Audeguy lève une part du mystère avec « Signé
Windorf », composé de deux textes «autobiographiques» du peintre et d’une notice critique.
Demeure bien sûr l’œuvre de Ducellier-Windorf, qui n’a cessé de produire des années 1960 aux
années 2000. Une œuvre forte, haute en couleurs et radicalement abstraite, que l’historienne d’art
Aurélie Vandevoorde, tout en distinguant trois grandes périodes dans la démarche artistique du
peintre, replace dans ce grand mouvement de la seconde moitié du XXe siècle qu’est l’art concret.
(1) Stéphane AUDEGUY
Le premier roman de ce jeune prosateur, né en 1964 à Tours, a fait souffler un air neuf sur les
Lettres françaises. La Théorie des nuages (2005) traverse les continents et l’Histoire, mêle le
ciel à l’intime, et tisse une fiction échevelée. Avec Nous autres (2009), l’écrivain nous conduit au
Kenya où la fiction rencontre les voix multiples de ceux qui font l’âme d’un continent.
Après avoir enseigné le cinéma, Stéphane Audeguy a su trouver dans l’écriture un moyen subtil
de nous faire voir l’invisible.
Lauréat du prix des Deux-Magots 2007 pour son 2e roman « Fils Unique ».
Bibliographie sélective :
L’Enfant du Carnaval, éd. Gallimard, 2009
Nous autres, éd. Gallimard, 2009
In Memoriam, éd. Le Promeneur,2009
Fils unique, éd. Gallimard, 2006
La Théorie des nuages, éd. Gallimard, 2005
(2) Aurélie VANDEVOORDE
Aurélie Vandevoorde est historienne de l’art et commissaire-priseur. Ancienne avocate fiscaliste internationale, son goût pour l’histoire de l’art l’a amenée à rejoindre le marché de l’art il y a
quelques années. Elle a travaillé en tant que spécialiste en tableaux anciens et du XIXème siècle
successivement au sein des maisons de ventes aux enchères Christie’s puis Tajan, dont elle est
aujourd’hui l’un des commissaires-priseurs. En parallèle, Aurélie Vandevoorde a publié plusieurs
articles dans des revues d’art, notamment sur la peintre Adèle Romany : « une artiste à découvrir
», se faisant ainsi une spécialité de redécouvrir des artistes qui ont marqué l’histoire de l’art par
leur anonymat.
(3)Pierre-François GARCIER a formé son goût chez Sotheby’s, puis Christie’s, et enfin auprès
d’un antiquaire du prestigieux carré Rive Gauche, à Paris.
Fort de cette triple expérience, il décide de se lancer en 2004 en tant que marchand et courtier
indépendant. Il s’initie au rachat de fonds d’atelier, et se spécialise dans les écoles de peinture
d’après-guerre, avec notamment Michel THOMPSON, Jean COULOT, Philibert CHARRIN ou
Alexandre GARBELL.
Il n’oublie pas la peinture abstraite d’après-guerre en présentant le travail de Pierre DUCELLIERWINDORF et Gustav BOLIN.
La galerie pierre-francois garcier ouvre ses portes en septembre 2008, boulevard Haussmann,
à Paris. Elle est née du désir de créer un espace intimiste, accessible et convivial, où les amis,
anciens clients et nouveaux adeptes qu’il conseille et accompagne dans leur collection peuvent
venir ‘consulter’ des tableaux, dessins et sculptures dans un lieu qui les accueille simplement.
Contact Presse :
Caroline Rollet
Tel. : +33683427358
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