Ça Ça décoiffe

Transcription

Ça Ça décoiffe
Ça ...
Ça décoiffe !
SMAC
Côtes
d’Armor
Dossier de Presse
Programmation
Sept-Dec 2015
Exposition
Caroline Crozat
Jeu 17 sept 19h
Vernissage
Gratuit
Tous les sujets de mes peintures viennent de mon vécu, mais ce n’est pas intéressant
en soi. Je tente de dépasser ce qui fait ma spécificité.
Mes personnages ont très rarement une expression.
C’ est la tension des lignes et le rapport des couleurs entre elles qui créent l’émotion.
J’oscille entre brut et urbanité. Je déstructure souvent volontairement la composition, non pas par provocation, mais pour enlever le décor afin d’ éviter l’ennui.
Mettre des personnages plantés dans des décors, est trop facile et rassurant.
Souvent, je « sculpte » dans les sujets par l’extérieur.
Je laisse mon inconscient naviguer entre les personnages « scanning inconscient », pour reprendre le terme
de Paul Klee dans son livre « La Pensée Créatrice ».
Je peins des relations.
Quant aux études, j’aime dessiner surtout les mains et les pieds. Principalement
les miens car ils sont « sous la main ». Quand j’ai un modèle, je le photographie
puis dessine. Je n’aime pas demander à une personne de rester des heures sans
bouger. Je me contente donc de son image « à plat ».
Mon cerveau alors chemine linéairement, et je n’ imagine rien, (même si j’ai bien
conscience que sur le plan conceptuel, toute représentation, est reconstruction
de l’esprit). Dessiner « académique » me repose l’esprit (je ne réfléchis pas) alors
qu’ imaginer mobilise tout mon crâne, voire même tout mon corps pour les grands
formats.
Mon art est une situation.
J’ai besoin du dessin académique comme d’un bon feu de cheminée et de mes pérégrinations avec la peinture pour partir à l’aventure dans des chemins de traverse inconnus. Quand c’est « juste » par rapport à ce
que j’ai au centre de mon plexus solaire, quand je suis alignée, bien axée tête, coeur, ventre, sexe, pieds,
alors, c’est que ma peinture est « finie ».
Pour moi, une peinture, ou toute oeuvre d’art est un mix entre le rationnel, l’irrationnel, l’émotionnel, le
physique, voire même le spirituel. Tout ce qui fait un être humain. Et évidemment, ce qui échappe aussi
de cet être humain.
Caroline Crozat-Placier
+d’infos :
http://carolinecrozat.com/
Biga* ranx / Blackstarliners
Ven 25 sept 21h
Tarifs en Adhérents Jeune résa
prévente
10€
10€
18€
Plein tarif
20€
Le singjay le plus doué de sa génération peut alors aller convaincre les foules de festivals comme Solidays ou
Reggae Sun Ska. En 2012, sort le projet The World of Biga Ranx composé de quatre vinyles confiés chacun
à un producteur différent. A la fin de l'année sort une version remixée de On Time où l'on retrouve aux manettes Elisa do Brasil, Tom Fire, ou Chinese Man. Tom Fire faitTarifs
partieen
en 2013
des beatmakers
officient sur
Adhérents
Jeunequi résa
le copieux double album Good Morning Midnight qui sort en avril. Sans que son succès se traduise dans les
prévente
10€
10€
18€
charts, Biga Ranx effectue en 2014 et 2015 une importante tournée en France et dans les pays limitrophes.
Au milieu de cette activité scénique, le singjay sort l'album Night Bird avec l'espoir de s'imposer enfin totalement.
Biga* ranx
Biga*Ranx Rub a Lounge – Ragga-dancehall - Tours
Adoubé par le singjay Jamaïcain Joseph Cotton, Biga*Ranx explore les sonorités reggae, ragga dub et
les mixe dans un style personnel, le rub a lounge. Il chante en français ou en anglais et son flow ragga
impressionnant est accompagné par des rythmiques dub lentes et lourdes sur lesquelles on vibre, on
ondule et on jump. Sur scène, Biga*Ranx défend avec force les couleurs du reggae avec un message
universel de fraternité et de tolérance, mais il est avant tout là pour nous faire bouger, nous faire danser
avec du bon son dans les tripes. Big Up, Biga !
Gabriel Piotrowski est originaire de Tours (Indre-et-Loire)
où il est né en 1988, mais ses vibrations le portent très tôt
vers la Jamaïque. A quatorze ans, Biga Ranx ne jure que
par Super Cat, Alton Ellis, ou Vybz Kartel. Ce qui ne l'empêche pas d'être sensible au rap, en particulier américain.
Après un voyage initiatique en Jamaïque qui le conforte
dans son choix, Biga Ranx sillonne les routes de France à
partir de 2004 avec le Bandalero Sound System en compagnie du DJ Atili Bandalero. Le singjay français s'acoquine
ensuite avec le DJ autrichien Governor General Rugged
pour former Mus Bus. Biga Ranx ne laisse rien au hasard
et séjourne à Londres pour parfaire son anglais.
Biga Ranx se produit en 2006 sur scène aux côtés de stars
comme Sizzla, Gentleman, ou Steel Pulse. Il y gagne ses
galons de prodige de la scène française. Devenu définitivement « ranx » suite à sa rencontre en 2008 avec Joseph
Cotton, Biga Ranx enregistre le freestyle « Air France Anthem » avec le DJ jamaïcain. La vidéo est plébiscitée sur
les sites de partage de vidéos et contribue à asseoir la réputation de Biga Ranx. Cette aura est confirmée en 2011
par la sortie de l'album On Time, remarqué par la presse et
les sites spécialisés.
+d’infos :
https://www.facebook.com/bigaranxofficial
http://www.music-story.com/biga-ranx/biographie
Blackstarliners
JC Satan
Ven 2 oct 21h
Blackstarliners Dub - Bretagne
Depuis 1997, le trio n'a de cesse d'enflammer les dance floor
répandant leurs basses rondes et puissantes avec force et
conviction. Un dub proche de Zion Train, des Bush Chemists
ou improvisators dub, où l'on se laisse aller à la transe de leurs
morceaux dans des skanks galopants et fiévreux. La soirée
sera chaude !
Reconnus pour leur sens aigu du dance floor et de l'improvisation, le duo breton diffuse une énergie contagieuse et sait faire partager son univers musical.
Une grande place est laissée à la spontanéité, l’utilisation live des machines et des effets analogiques. Le
dub des Blackstarliners est d’une efficacité redoutable, on rentre rapidement dans la danse, puis les genoux se lèvent tout seuls et les épaules balancent.
A noter que ces dub activistes sont aussi à l’origine des soirées « Dub Connection » : le célèbre rendez-vous
Dub de l’Ouest où les plus grands noms du genre se sont produits depuis 2006.
Tarifs en Adhérents Jeune résa
prévente
10€
10€
16€
Plein tarif
18€
JC Satan
JC
Satàn
c'est
la
rencontre
entre
Arthur
(Polar
Strong,
The
Meatards,
Crane
Angels,
etc.),
enfant
surdoué
prenant
les
caves
crasseuses
bordelaises
pour
cour
de
récrée
et
Paula
la
Turinoise,
compositrice,
dessinatrice,
touche‐à‐tout,
adoptée
et
chérie
par
la
caste
garageuse
nationale.
Déjà
remarqués
avec
leur
premier
LP
Sick
Of
Love
(2010),
suivi
par
différentes
collaborations
avec
Le
Pêcheur,
Born
Bad
Records,
etc.,
ils
remettent
le
couvert
en
2011
avec
l’excellent
Hell
Death
Samba
(Slovenly
Records
(US))
qui
sera
accompagné
d'un
important
succès
critique
et
public.
Pour
leur
3ème
opus,
Faraway
Land,
le
groupe
s'associe
au
jeune
et
talentueux
label
par i s i e n Te e n a g e M é n o p a u s e (C a t h o l i c S p r a y, l e P r i n c e H a r r y ) . O n y r e t r o u v e é v i d e m ment
ce
qui
fait
leur
marque:
un
univers
sonique,
d'une
beauté
troublante,
entre
garage
rugueux
et
noisy‐pop
déviante.
Comme
à
l'accoutumée
le
groupe
refuse
de
sombrer
dans
la
redite,
sort
de
sa
zone
de
confort,
brouille
les
pistes,
et
s'en
va
lorgner
sur
les
terres
des
Pixies
ou
enc o r e c e l l e s d e Q u e e n o f t h e S t o n e A g e p o u r a c c o u c h e r d e o n z e p é p i t e s d a n t e s q u e s .
Encore
une
fois,
JC
Satàn
signe,
avec
ce
Faraway
Land,
un
album
audacieux
et
déroutant,
une
musique
décomplexée
qui
à
l'instar
de
Thee
Oh
Sees
et
des
Black
Lips
explose
les
canons
de
la
musique
garage.
Un groupe qui défend donc sa propre vision du dub : une approche énergique où le reggae doit toujours
apparaître de façon subliminale : Dub is Reggae and Reggae is Dub !!
Si vous cherchez des sonorités différentes de ce que
l'on entend depuis plusieurs années, passez votre
chemin... Mais si vous faites partie des derniers massives toujours au top aux alentours de 6h du matin
après avoir passé la nuit à skanker au pied d'un mur
de scoop, servez-vous, et surveillez les dates de
concert de The BlackStarLiners !
Nouveau venu sur la scène dub hexagonale, ce trio
breton pourrait bien s’y trouver une place de choix
avec son électro dub steppa d’inspiration anglaise.
Difficile, en effet, de ne pas percevoir derrière ses
basses profondes l’influence des maîtres Iration Steppas, Bush Chemists ou Vibronics. Une découverte enthousiasmante à suivre de très près.
+d’infos :
https://www.facebook.com/pages/THE-BLACKSTARLINERS/121950261634
+d’infos :
http://www.jcsatan.com/
www.francodiff.org/get/bio/3506/JC%20SATÀN/JC_SATAN_bio_fr.pdf
tav falco
Jabberwocky / Menthol
jeu 8 oct 21h
Tav Falco Garage - Blues - USA
Ancien guitariste des Cramps, Falco mélange avec plaisir
les influences rockabilly, blues ou garage dans une musique
décadente et fougueuse. Des blues rock lancinants ou des
morceaux déjantés à l’ambiance rockab’, les concerts de
ce Willy Deville du Sud nous plongent dans la moiteur fiévreuse des nuits de la Nouvelle Orléans.
Tarifs en Adhérents Jeune résa
prévente
10€
10€
18€
Plein tarif
20€
Gratuit pour étudiants post-bac de l'agglomération briochine
En partenariat avec le sGPU
Jabberwocky
Jabberwocky Electro pop – Tours
Découvert par Alex Chilton à Memphis à la fin des années 70, Tav Falco est l'une des grandes figures de la
scène dite Trash au côté des Cramps, du Gun Club et tous les misfist ayant mélangé le rockabilly originel à
l'énergie punk. Ayant laissé la place de guitariste des Cramps à Kid Congo, Falco mélange au fil des années
les influences blues, tango, new-orleans à la musique de Charlie Feathers et au rock garage. Décadents et
fougueux, les concerts de ce Willy Deville du Sud sont remarquables de classe et flirtent avec le cabaret
blues.
+d’infos :
https://www.facebook.com/tav.falco
Entre spleen et lumière Jabberwocky s'enfonce dans les méandres d'un labyrinthe sonore aux tempos
lourds et lents, chaque détour laissant libre court au mystère et au fantastique d'un monde clair-obscur. Les voix féminines et aériennes portées par des beats intransigeants et un piano organique sont
propices à une transe langoureuse d'où se dégage une sorte de rumeur nocturne qui donne aux morceaux une teinte singulièrement joyeuse et mélancolique à la fois. Leur musique aspire autant à l'ivresse
qu'au vertige de l'illumination et de l'extase.
Tout a commencé dans l’ombre pour Jabberwocky, formé par trois étudiants en médecine. La musique
comme remède, et leur premier titre "Photomaton",
une épidémie, faisant proliférer sur les ondes le spleen
d’une femme fatale, au point de non retour. Propulsés
par ce single envoûtant, ce trio singulier poursuit sa
percée virulente.
Après une première tournée, l’EP Pola est venu confirmer la tendance à capter les auras séducteurs des
instants-photos, et affermir l’inscription sur la scène
électro. Immergés désormais dans les tempos lents
et lourds mais toujours énergiques, Simon, Camille
et Manu, nous font la preuve de leur connaissance du
monde des ombres, avec un premier album : Lunar
lane.
Découvrant ce chemin tracé par cet astre que Nerval
nommait « le soleil noir de la mélancolie », les Jabberwocky poursuivent cette passion de l’oiseau de feu,
au cri strident et vivant dans une vallée désespérante et obscure. Comme un étrange fantôme, que l'on suit
à mesure qu'il nous fuit, et où tout culmine dans un have been, un toujours déjà perdu.
C’est la naissance d’une identité musicale. « Il était temps d’ouvrir cette fenêtre sur la musique que nous
voulons faire, apporter quelque chose de nouveau tout en laissant les portes ouvertes pour la suite. L’idée
étant de reconnaître Jabberwocky quand la musique commence, mais de ne pas toujours savoir à quoi
s’attendre avant de l’écouter » confient-ils.
Cet album réunit de nombreux featurings, et c’est tout le concept du groupe : faire appel à des voix différentes, collaborer avec les artistes qu’ils rencontrent sur leur route. Ces voix surgissent de ces espaces où le
chant vient naturellement sublimer le sentiment du son. Des univers gigognes, inlassablement recommencés dans un état de flou onirique, où se tissent le fil des rêveries ; nouant ainsi les liens qui nous ramènent
continuellement à nous-même comme à l’autre.
Menthol
Menthol est un duo d'hommes qui chante en français une
pop électronique mêlant les ambiances synthétiques d'un
Éric Serra dans Nikita au velours de la voix d'un Étienne
Daho sur Pop Satori. Menthol et ses guitares Gainsbarre
fait danser les cœurs avec les mots, le regard bien haut,
tourné vers le futur.
Le chemin de l’album commence bien par « Maze », c’est l’oreille elle-même : « Je suis ton labyrinthe »,
nous murmure-t-on. Aussi attentive au son lui-même qu’à ce vers quoi il nous entraine, elle suit les échos
qui de loin en loin se répondent, les reflets de tout ce qu’elle recueille sur les parois d’une caverne intérieure.
Comme la mise en abîme d'une nuit, que la musique singularise et change finalement en destin. Nuit qui
nous aspire et dans laquelle plus dure et plus belle est la chute, rendant le dur son de la matière. Et nous,
fantômes disparaissant, marchons seuls dans la brume (« FOG »). Surgit alors « Alastor », démon furtif qui
nous élance dans les dédales de l’épique mouvement et de la passion destructrice. Mouvement qui nous
propulse à la rencontre des évènements comme pour mieux se révéler à nous mêmes : voyage de l'enfance
à l'amour (« Holding up »).
Mais il est de ces évènements nocturnes qui donnent aussi bien l’ivresse que le vertige (« Dizzy Youth »), dessin des replis d’une jeunesse pleine de ces espoirs toujours remis en question. La tête qui tourne et le corps
désarticulé, c'est le temps des pertes et des errances, je-néant-vide-rien (« Erratum »), sonnant comme
la détresse d'une singularité vengeresse. Elle résonne comme le désir débordant, ce feu issu de l'étincelle
des corps, grandissant de façon implacable, symbole brûlant de l’inertie menaçante (« Ignition »). Nuit de
damnation, où l'on n'est plus soi-même, où l'on s'abandonne. Illusion d'une intime réalité où l'on ne fait plus
qu'un avec ce reflet qui prétendait être un autre. Il ne reste plus qu’à prendre le virage au flan, ô délire, pour
aller vers son risque, et délivrer le heureux hasard qui nous sauve de la perte (« Jeopardy »). Nous avons déjà
rencontré ces démons dans nos vieux cauchemars, « qui a rejeté ses démons nous ennuie avec ses anges »
écrit Michaux, c’est pourquoi nous les élèverons en nous! (« Quantif »).
Ce premier album dévoile l'univers des Jabberwocky à la lumière autant qu'il nous entraîne dans son propre
mystère.
+d’infos :
https://www.facebook.com/JabberwockYou
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jabberwocky_(groupe)
+d’infos :
https://www.facebook.com/mentholfr
http://www.ouest-france.fr/musique-menthol-une-mutation-du-groupe-rafale-3047947
ven 9 oct 21h
Tarifs en Adhérents Jeune résa
prévente
10€
10€
25€
Plein tarif
27€
cali
Douze chansons qui frappent tour à tour le cœur, le
bonheur, les heures qu’on croyait oubliées dans le
grand chapiteau de l’enfance. Un passé conjugué au fil
du disque au moment présent.
On en crèverait de larmes de joie, tant ici s’emmêlent
et s’égarent l’une dans l’autre, dans un tourbillon aussi
délicat et animal qu’une chaîne d’ADN, la vie d’avant,
et la vie, maintenant.
Le rockeur qu’on connaît si engagé, ce troubadour qui
souffle des flammes de liesse sur son public depuis
maintenant plus de vingt ans, a chapitré son existence
d’un « Age d’or ».
Et c’est vrai : il ouvre ici ses ailes. En mots. En musique. En confidence. Avec une puissance nouvelle :
celle d’un homme ébloui par la vie, tirant de son expérience une force et une joie pures. Ici, c’est la découverte d’un Cali solaire. Parfois accompagné d’un simple piano bastringue ou d’un fifre comme dans un bal
populaire, parfois bondissant dans une pop électrifiée. Cali est joueur et nous embarque pour un disque
comme un album-concept sur tous ces âges heureux de nos existences, et sur ce qui au final reste, et parfois manque.
Ses textes, si intimes, ricochent sur Prévert, Apollinaire ou Brel. Le féminin abonde toujours dans ses mots,
mais prend des visages inattendus. « Ostende », la ville-amante, qui sonne déjà comme un classique en
lettres d’argent dans la grande tradition de la chanson française. Ou deux prénoms presque baroques qui
se font face à face : sa fille « Poppée« , tête blonde, qui surgit comme une brise douce, suspendue au filin
transparent d’un piano fantôme. Et « Coco », la tête brune, fille aînée du chanteur, qui prête sa voix à son
père pour un duo. Complices comme deux gangsters. Il y a toujours chez Cali un autre artisan secret qui
veille, Léo Ferré.
La reprise de « L’âge d’or » clôt évidemment le tout. La boucle se boucle d’elle-même. Et Cali récolte ses
moissons d’été.
+d’infos :
http://www.calimusic.fr/biographie/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cali_(chanteur)
david giguère
David Giguère pop - Montréal
Les chansons de David Giguère sont des odes aux sentiments
amoureux, de belles envolées, des mots en accords qui vous
collent aux tympans comme une love story juste assez tourmentée pour être inoubliable. Inspiré par la « fraiche touch »
montréalaise, cet artiste multicartes vous séduira par l’intensité de ses mots et un charisme à vous faire tourner la tête.
"Auteur, compositeur et interprète accompli, il créé des refrains accrocheurs aux sons pop, exploitant les
possibilités de l'électronique".
+d’infos :
https://www.facebook.com/DavidGiguereOfficiel
Mansfield Tya / Théodore, Paul, Gabriel
ven 16 oct 21h
Tarifs en Adhérents Jeune résa
prévente
10€
10€
16€
Plein tarif
18€
Mansfield Tya
Mansfield Tya est un duo français formé en 2002 par Carla Pallone
(violon, piano, harmonium, chant) et Julia Lanoë (chant, piano, batterie), qui officie également au sein du duo electroclash Sexy Sushi.
Le nom du groupe est inspiré par June Mansfield (l'ex femme de
l'écrivain Henry Miller). Originaire de Nantes, le duo débute en 2004
avec un premier maxi de huit titres, intitulé May, suivi quelques mois
plus tard par un premier album intitulé June, qui sort sur le label Vicious Circle en 2005. Composé généralement d'un violon et d'une
guitare électrique, Mansfield Tya propose un mélange déjanté de
folk et de pop sensuel, subversif et dépouillé.
En 2006, Mansfield Tya livre un nouveau maxi, baptisé Fuck, il sera
suivi en février 2009, après avoir acquis une certaine notoriété notamment grâce à des dizaines de concerts à travers la France, d'un
nouvel album, Seules Au Bout de 23 Secondes., toujours via Vicious Circle. L'écriture des textes se fait de
plus en viscérale, fine, douce-amer et provocante, et la musique de Mansfield Tya lorgne de plus en plus
vers une pop sombre et poignante. Le duo féminin revient le 17 octobre 2011 avec un troisième album,
NYX.
Théodore, Paul, Gabriel
Si Crosby Stills & Nash avaient eu trois filles avec la divine et tragique Karen Dalton, elles se seraient appelées Théodore, Paul & Gabriel.
Tout le mystère et la grâce de Théodore, Paul & Gabriel, réside dans la conjonction inespérée de trois
jeunes parisiennes qui revitalisent le folk rock avec la candeur des débutantes et le savoir-faire inné de
celles qui sont prédestinées. L’histoire, quand elle commence, à presqu’un goût de déjà vu : la gare de
Dartford en avril 62, un type a sous le bras un best of de Muddy Waters, un autre vient le brancher, et d’une
conversation sur un quai pluvieux qui pue le fish & chips naissent les Rolling Stones. L’acte de naissance
de Théodore, Paul et Gabriel ressemble fort à cet épisode légendaire : ça se passe dans un café qui jouxte
Science Po. Pauline y suit assidument un cursus universitaire brillant, Clémence, de son côté, hante plus
souvent le dit débit de boisson que les amphis, et puis ce jour là, une chanson de BB King passe à la radio
(ce qui est déjà de bonne augure). L’une s’écrie « J’adore BB King » ! L’autre rétorque « moi, je sais la jouer
à la guitare ! ». La première poursuit : « Moi aussi, alors
rendez-vous chez moi demain à huit heures ».
Des reprises, elles passent à la composition, qu’elles
pratiquent ensemble, brodant sur une idée de l’une
des harmonies des autres, pour aboutir à ce premier
jet mûri de chansons soyeuses et vaillantes. Sur la foi
de ces pépites, et de prestations scéniques convaincantes dans l’univers modeste des groupes débutants,
Theodore, Paul & Gabriel décroche le graal, un contrat
d’édition avec Morgane Music, et de disque avec son
pendant Belleville Records, deux nouvelles entités de
production dont elles sont les premières recrues.
Theodore, Paul & Gabriel, trio de lianes élégantes et délicatement rétro, affichant une androgynie féminine naturelle, insuffle un air nouveau dans la musique hexagonale, un folk rock pétri de références mais en même temps libre, innocent et sexy. Une formule qui va à
l’encontre des formats préétablis, des clichés et du convenu, dont la force réside dans le style, un glamour
de proximité et surtout des chansons boisées et organiques. Des chansons assez solides, assez touchantes,
et assez vraies pour que ces trois filles qui les ont enfantées s’en servent de piédestal pour aller tutoyer l’excellence d’un héritage éternel, celui de la musique qui vient de l’âme.
+d’infos :
http://www.music-story.com/mansfield-tya/biographie
http://www.mansfieldtya.com/
+d’infos :
http://www.live-boutique.com/site/Theodore-44-Paul-38-Gabriel
https://fr.wikipedia.org/wiki/Theodore,_Paul_%26_Gabriel
Hugues Auffray / Hippie Hippie Chic
ven 23 oct 21h
Tarifs en Adhérents Jeune résa
prévente
10€
10€
25€
Hippie Hippie Chic
Plein tarif
27€
Hugues Auffray
Auteur de nombreuses chansons dont il réalise parfois les arrangements
ou la musique, il en cosignera beaucoup avec les paroliers Vline Buggy et
Pierre Delanoë, mais aussi Jacques Plante, Claude Morgan, etc. Hugues Aufray puise également son répertoire dans le folklore espagnol, anglo-saxon
et latino-américain, ainsi que dans le blues et le rock. Il travailla également
avec de nombreux compositeurs, entre autres André Georget, Jean-Pierre
Sabar, Georges Augier de Moussac, Guy Magenta ainsi qu'avec le poète kabyle Lounis Ait Menguellet.
En 1964, Hugues Aufray représente le Luxembourg au concours Eurovision
de la chanson et se classe quatrième avec la chanson Dès que le printemps
revient.
Hugues Aufray en récital au Palais Idéal du Facteur cheval (le 28 juillet
2012). Certaines de ses chansons sont très connues et font désormais partie du patrimoine français, comme Stewball ou Santiano.
Il est le premier chanteur français à découvrir Bob Dylan et à en adapter les chansons. Il l'a rencontré
grâce à la volonté de sa maison de disques, lui-même ne parlant pas anglais. Les traductions de textes
anglo-saxons, notamment ceux de Bob Dylan, édulcorent souvent la crudité du texte original (Mr Tambourine Man). Les arrangements musicaux qui font la part belle à la guitare acoustique dénotent une influence
du folk américain. Il est aussi le premier à se produire sur scène accompagné d'un "skiffle group".
Il ne cesse de se produire en tournée dans toute la France et dans les pays francophones. Il est, dès le 18
octobre 2014, une des vedettes de la tournée Rendez-vous avec les Stars.
+d’infos :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hugues_Aufray
http://www.huguesaufray.com/index.php/bio
Nous sommes un groupe de 6 musiciens, créé il y a deux ans à Saint-Brieuc, avec Pierrick à la batterie, Dimitri à la basse, Adrien à la guitare, Servane au violon et au chant, Anaïs à la guitare et au chant et Lorianne
au chant. Nos compositions sont inspirées de nombreux genres musicaux, allant du Pop au Rock en passant par des morceaux plus progressifs, et caractérisé par trois voix féminines polyphoniques. Gagnants
des tremplins de l'école de musique de Paimpol et du Riboul 9 de la Citrouille avec qui nous avons remporté
des sessions en studio, nous enregistrons actuellement un EP qui sortira très prochainement.
Récemment, nous avons remporté le tremplin du festival du Trouhardoux, avec à la clef un concert pour
l'ouverture du festival en septembre prochain. Nous jouerons également cet été lors des concerts des nocturnes à Saint Brieuc.
+d’infos :
http://hippiehippiechic.bandcamp.com/
http://www.lepenthievre.fr/breves/hippie-hippie-chic-samedi-28-mars-a-la-citrouille_7269/
Sam 24 oct 19h - 22h
Gratuit
The Iving
The Iving est le nom d’une rivière légendaire d’Island et à l’instar de cette ile, ou la trompeuse tranquillité des paysages cache la force destructive de la nature, la voix sensuelle posée sur des mélodies douce
et puissante de « The Iving » nous transporte dans un univers romantique tout en paradoxe à la fois
sombre et étincelant, calme et explosif.
Une invitation au voyage sonore, alors laissez-vous emmener dans ces contrés mélodiques.
mer 4 nov 19h
Gratuit
vernissage de l'exposition de Jérôme Ragot
Entremêlant poésie et sculpture voire danse, les œuvres de JRo, bien
qu’empreintes de simplicité volontaire, invitent le spectateur à réfléchir sur la profondeur de sa nature et sur sa place d’Homme au carrefour des Possibles. Multimodales, ses recherches mettent en jeu un
triple-processus de défragmentation, rétro-progression et métissage.
Tout à la fois dispersif et constructif, ce processus « composite » amalgame divers matériaux (bois, cartes à jouer, sable...) et techniques
(sculpture, collages, gravure...) dans un style proche de l’art singulier.
Gravure sur disque vinyle ou comment « court-circuiter » la technique
de la gravure et poursuivre la révolution.
Les disques vinyles « sacrifiés » sont des disques de chansons « révolutionnaires » : chants de l’armée rouge, BREL, BRASSENS…
En cassant ces idoles, je suis, il me semble, au plus prêt des idées libertaires de ces chanteurs. En outre,
en brisant ces représentations d’un système marchand (ces disques ont été pressés à plusieurs milliers
d’exemplaires), je brise une nostalgie.
Techniquement, j’ai d’abord massicoté ces disques vinyles en carreaux, carrés et rectangles.
Puis, j’ai créé ou repris un motif (ex. : motif romain dit en « opus spicatum » - en épi de blé) que j’ai ensuite collé.
De fait, au lieu de graver la plaque de cuivre ou de zinc (comme dans
la gravure traditionnelle), ce sont les sillons du disque vinyle qui vont
servir de creuset pour l’encre.
Les étapes suivantes sont conformes à la gravure : application de
l’encre, enlèvement du surplus, application du papier, passage sous
presse à graver.
Ce travail fut un essai, un bel essai transformé en une série de gravures : j’ai effectué une révolution.
+d’infos :
https://www.facebook.com/pages/The-Iving/296258300568817
+d’infos :
http://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/saint-brieuc/exposition-jerome-ragot-artiste-tou
che-a-tout-06-10-2014-10373747.php
ALAn STIVELL
JEU 5 nov 21h
Tarifs en Adhérents Jeune résa
prévente
10€
10€
18€
Plein tarif
20€
ALAn STIVELL
Alan Stivell - Musique celtique - Bretagne
Alan Stivell est à la base du concept de Musique Celtique et de sa diffusion dans le grand public. Pour autant, ce que les gens mettent dans ce mot est restrictif malgré sa richesse. Le terme « Musique Celtique
» auquel tient beaucoup Alan Stivell, n’évoque pas tous les aspects de sa musique. Alan Stivell est tout
autant un des chantres du « Cross-over » ; car il a été, est un des ardents défenseurs des métissages culturels. Si Alan Stivell a popularisé la Musique bretonne et celtique modernes, il a été, dans le monde, un des
précurseurs de plusieurs genres musicaux : Folk-rock ou Ambient, et surtout World-Music, dont il a été le
théoricien dès son album Reflets en 1970.
A partir de 9 ans, ses premiers récitals soulèvent l’émotion du public de l’Unesco, de la cathédrale de
Vannes, de l’Olympia et font renaître la harpe celtique. Il se passionne pour la civilisation et surtout la
musique celtique, qu’il conceptualisera, modernisera et popularisera. Très tôt, il dessine les premières
harpes électriques, ébauche une symphonie, en même temps que ses premiers enregistrements à la harpe
celtique et peu avant l’idée du Rock celtique.
En 1966, il commence à chanter. L’année suivante, il signe
son premier contrat international avec Universal (exPhilips). Ses premiers récitals ont déjà une influence. L’album
« Reflets » marque le coup d’envoi. C’est aussi un manifeste pour une musique métissée (un des précurseurs de
la future « World-Music »). Son 3ème album, « Renaissance de la harpe celtique», enregistré en 1971, suscite la
vocation de milliers de harpistes à travers le monde. Son
« Pop-Plinn », fusion rock-breton, puis surtout le concert
(fév. 1972) et l’album à l’Olympia (2 millions d’ex. vendus) entraînent un énorme engouement : on parle d’un «
phénomène Stivell » qui change l’image de la Bretagne.
Ayant déjà joué en Italie, en Irlande et à Londres (Queen
Elizabeth Hall en 1968 avec les Moody Blues), sa carrière
internationale se développe surtout à partir de 1973 : les
grandes salles d’Europe, d’Amérique, d’Australie, les festivals rock, les plateaux télé. Il passe régulièrement au
nouveau Festival Interceltique de Lorient (sa Symphonie
celtique en 1979-80) qu’il affectionne. Alan, pourtant,
n’est pas à l’aise avec ce statut de « star » : pendant les
années 80, il sort des albums qui lui tiennent à cœur, mais
plus difficiles et tourne beaucoup à l’étranger (Italie, USA,
Canada…). Après « Légende » et « The Mist of Avalon »,
en 1993, il actualise ses titres incontournables (avec no-
tamment Kate Bush) : l’album « Again » et la tournée qui suit en 1994 sont un triomphe (jusqu’à 1000 disques
vendus par jour). A nouveau, grand public et nouvelles générations sont au rendez-vous. Il est suivi par un
magistral album réalisé par Martin Meissonnier, « Brian Boru ». Pour « 1 Douar », il invite Youssou N’Dour,
Jim Kerr, Paddy Moloney, John Cale.
– 100.000 de ses disques se vendent tous les ans (jusqu’à la crise du disque).
Les débuts du nouveau siècle sont marqués, notamment, par l’album anniversaire «Au-delà des mots»,
son livre «Telenn, la harpe bretonne» et le DVD «Parcours» (en quelques mois DVD d’or), puis les albums «
Explore » et « Emerald ». Hier et aujourd’hui, ses concerts sont complets et très différents d’une année sur
l’autre.
Sa démarche a toujours été marquée par
•
•
•
•
•
•
•
•
•
une grande écoute des autres,
des métissages inédits,
la recherche et l’innovation, les nouvelles technologies,
en même temps que l’attachement à sa culture propre
C’est, depuis le début, une fuite en avant :
quand il ébauchait les « harpes du futur »,
quand il «électrifiait » sa première harpe bardique (il joue actuellement sur un tout dernier prototype).
quand il introduisait des instruments nouveaux du monde du rock ou d’autres cultures
puis quand il amena les premières influences électro et hip-hop à se mêler aux sonorités bretonnes.
Ses recherches musicales continuent. Elles ne doivent pas faire oublier : le chanteur, au phrasé aussi inimitable qu’original et l’auteur, qui mixe très naturellement styles et langues.
+d’infos :
http://www.alanstivell.bzh/language/fr/
Baden Baden / ALB
ven 13 nov 21h
Tarifs en Adhérents Jeune résa
prévente
10€
10€
18€
Plein tarif
20€
Baden Baden
Baden Baden Indie – Pop Paris
Le trio parisien nous invite à plonger dans le bruit pour nous extraire du tumulte d'un quotidien où l'on
perd pied, à prendre le temps de la réflexion et de la contemplation. Ils explorent la passion amoureuse,
le regard de l'autre ou la fuite en avant dans leurs chansons écrites en français à la mélancolie joyeuse. La
musique, entre pop atmosphérique et rock lancinant, révèle avec douceur et ferveur les textes puissants
du chanteur où mille élcairs nous illuminent, nous faisant prendre conscience des petits moments qui
font que la vie est magique .
Transformer l’essai. En rugby comme en musique, c’est souvent le plus difficile. Combien d’artistes révélés
par leur formidable coup d’essai n’ont-ils honoré leurs promesses, tenu la distance ? Deux ans après Coline
(2012), premier effort salué par la critique, conjuguant idéalement une mélomanie anglo-saxonne avec
une écriture bilingue déjà personnelle, Baden Baden a décidé de “plonger dans le bruit”, pour reprendre le
titre d’ouverture du second album. Ce titre n’est d’ailleurs pas innocent puisqu’il annonce un disque entièrement écrit en français. Fini, donc, le savant bilinguisme qui fit aussi la réputation du groupe, découvert
par l’immense chanson Anyone en 2010 et capable de fulgurances pop comme Évidemment.
de ses partis pris. Sa manière de multiplier les chœurs sur quelques titres
nous a immédiatement séduits”, dit le guitariste Julien Lardé. Effectivement, un morceau comme À tes côtés semble réverbérer de partout, servi
par un texte idoine : “Mes envies me devancent”.
Plus cohérent et plus affranchi, Mille éclairs renferme onze plages qui
prolongent certaines thématiques propres à l’univers de Baden Baden :
la passion amoureuse (L’Échappée), le regard de l’autre (Hivers), la fuite
en avant (J’ai plongé dans le bruit), les mots bleus (Dis leur), la tristesse
contemporaine (M.a.c.)… Quelques formules font mouche dès la première
écoute : “Je regarde le monde/Mais le monde ne me voit pas”, “D’origine
insulaire/J’ai connu l’éphémère” ou encore “En sursis, moi je suis un hiver
quotidien”. Les musiciens ont aussi exploré deux passages instrumentaux
(Finalmente au mitan, Criminel en conclusion), qui rappellent les bandesson contemplatives et désertiques de Mogwai.
Au final, le coup de foudre est immédiat sur Mille éclairs, plongeant l’auditeur dans un disque à la fois plus homogène et plus compact, au charme insidieux, à l’addiction vénéneuse.
Dépassant toutes les attentes suscitées par Coline, Baden Baden transforme donc magnifiquement l’essai
et s’offre ainsi des lendemains qui chantent. À (re)découvrir absolument.
+d’infos :
http://www.badenbaden.fr/bio.html
https://www.facebook.com/badenbadenmusic
ALB
Pour passer ce cap dans sa discographie, le
trio fondateur de Baden Baden a décidé de
lâcher prise. Comme l’explique son chanteur et parolier Éric Javelle, “l’écriture dans
ma langue maternelle s’est faite naturellement”, au fur et à mesure que les compositions voyaient le jour, entre Paris et Gatteville-le-Phare (Manche) où l’intéressé a
éprouvé le besoin de larguer les amarres,
loin des tumultes de la vie citadine, pour
écrire – face à la mer – la deuxième moitié
de Mille éclairs. Il est d’ailleurs beaucoup
question d’écumes, de vagues de nuit et de vents contraires dans les paroles. “Je connais les couleurs qui
se marient à toi”, comme une évidence exposée dans le single J’ai plongé dans le bruit. Le groupe parisien
appartient à cette génération spontanée qui participe à l’effervescence pop hexagonale depuis le début de
la décennie.
YZG7879HGT est le code secret de la porte d'entrée du clavier maître de la salle des machines de la commande d'une des manettes du cerveau de Clément Daquin, homme-orchestre brillant au physique proche
de Patrick Dewaere et à la créativé non loin de celle de Michel Gondry.
Déjà, sur son premier LP, Baden Baden mariait la langue d’Alain Souchon (dont il reprit La Vie ne vaut rien)
avec les sonorités rêveuses de Grandaddy période The Sophtware Slump (2001). Cette fois, en décidant de
confier le mixage à l’Anglais Barny Barnicott, au curriculum vitæ imposant (Arctic Monkeys, Bombay Bicycle Club, Cloud Control), le triumvirat a paradoxalement déplacé le curseur outre-Manche pour un album
écrit dans sa langue maternelle. Autant pour se frotter à une pointure anglo-saxonne que pour s’ouvrir à de
nouvelles perspectives. “En écoutant les propositions de mixes de Barny, nous étions surpris par certains
En 2007, alors que Reims n'est pas encore tout à fait à la mode, un drôle de type sort de sa
cave studio bunker de temps en temps pour acheter un Bò Bún ou bien un fer à souder. Il répare peut être une de ses machines étranges auxquelles il donne vie chaque jour, ou converse
avec une boite à rythmes, tripote des boutons, ou conçoit des décors pour la tournée de Yuksek.
Pas fou le toutou, plutôt sympa, Clément Daquin pilote ALB comme il pilotait jadis les laptops de son école
d'arts graphiques. Ses machines sont ses copains, et si le ALB de 2007 est un trio, on peut y ajouter tout un
Alb Pop – Electro-geek – Reims
On se souvient des mange disques, des premières consoles de jeux vidéo ou des claviers analogiques aux
sons si particuliers, pour Alb ce ne sont pas des souvenirs mais la base d'une inspiration fertile proche de
l'onirisme Do ItYourself de Michel Gondry. Sur scène, les chansons du duo pétillantes ou nostalgiques,
nous font voyager de 1985 à 2025, guidés par un geek aux manettes d'une centrifugeuse poétique. Clément Daquin est aux manettes de claviers et de machines customisées ou à la guitare, tandis que le batteur nous fait vibrer par des rythmiques lancinantes ou syncopées. Entre bidouilles sonores électroniques
empruntées au 8 bit et mélodies de guitares pop-rock, le duo nous emporte dans un retour vers le futur
planant et dansant, tels Doc et Mc Fly au volant d'une Dolorean musicale.
tas de jouets de geeks adulescents mi-figue mi-raisin, mi-Pop mi Pac-Man. L'album "Mange-Disque"
sera le premier bonbec orange d'un gosse du Nord
perfectionniste.
Ca et là, pastiches de pochettes de disques pour
chaque chanson, concept sonore dingo où l'on
consulte une notice de pharmacie pour grignoter le CD aux allures de vinyle. La musique est
pop, baroque, électronique, avec un son précieux,
des constructions dansantes et tristounettes.
Il faudra quelques années à Clément pour accoucher
d'un
nouveau
tableau
musical.
Ce
coup-ci
sa
nouvelle
toile
Pop
a des allures de laser. Celui de TRON sur lequel le funambule Daquin danse d'un bout à
l'autre croisant tour à tour Jean-Michel Jarre, Beach Boys, Electric Light Orchestra, François de Roubaix, Eagles, William Sheller ou la french-touch des papas Phoenix et Rob.
Pas étonnant qu'Alex Gopher et Jean-Benoît Dunckel y signent des remixs dans le prochain EP.
Depuis le départ de son bassiste chez les Bewitched Hands et de son chanteur Alio, Clément s'est tourné
vers son copain le microphone.
Et si le stylo le gratouillait déjà par le passé, Daquin chanteur va de plus belle s'inspirer des voyages avec
Yuksek lors de sa tournée mondiale de 2011/2012 pour lequel certains découvrent un Clément partenaire du
producteur beau gosse. Daquin vagabond voit la fin du monde à Macao et ses textes s'épaississent. Il faudra
désormais compter avec Daquin songwriter.
Le geek de 2007 est désormais un musicien quasi kraut-rock au concept album encore une fois passionnant, mixé par Stéphane "ALF" Briat. Et oui, ALF rencontre ALB pour un second album écrit au fer à souder
émotionnel. Le disque est conçu comme une progression de l'acoustique à l'électronique, allant de la pop
au prog, de la légèreté à la tension pour terminer vers la sérénité. De la flute bucolique d'"Hypoballad" à
la console Nintendo de "Golden Chains", des plages de "Natures Synthétiques" aux envolées futuristes de
"Oh!Louise", des textes photographiques de "Back To The Sun" aux confessions familiales groovy de "Never
Miss You". Oui ALB écrit des chansons. Mais aussi des sons. Ceux qui renvoient à nos souvenirs d'enfance,
lorsque l'on ne veut pas aller à l'école. Clément gamin veut encore regarder la télé et entendre un Moog
pour la première fois dans la bande originale de "L'Histoire Sans Fin".
No One Is Innocent
ven 13 nov 21h
Tarifs en Adhérents Jeune résa
prévente
10€
10€
18€
Plein tarif
20€
No One Is Innocent
Après être entré dans la cour des grands du
rock en 94 avec leur premier album et son
single, « La Peau » qui marquera au fer rouge
la génération électrique des 90’s, No One persiste et signe dans le coup d’éclat avec « Utopia » en 97. D’une force et d’une énergie live
des plus rares, No One est présent sur toutes
les routes d’Europe, on les croise aussi au Chili,
en Argentine ou sur les festivals américains
comme le South By South West.
Tous ceux qui ont pu les voir sur scène le savent
, les No One restent un phénomène live et leur
réputation scénique n'est plus à faire, chaque
concert se joue comme si c'était le dernier.
Avec la sortie en 2004 de « Revolution.com » puis de « Gazoline » en 2007, la machine semble atteindre une
vitesse de croisière jamais dérangée par la routine, que leurs penchants soient rock, electro, blues, suaves
ou déchirés, No One Is Innocent laisse une trainée de poudre partout derrière lui. Pour preuve le DVD coup
de poing « Siempre De Suerte » qui au delà de ravir les fans de toutes les périodes impose le groupe comme
la référence du rock enragé sur l’hexagone.
Toujours à l’écoute de son époque, des bruits de la rue et des sonorités nouvelles, No One s’engage une
nouvelle fois en 2011 sur des sentiers interdits, faisant de la place aux grooves électroniques avec un
« Drugstore » survolté, un album qu’il défendront une nouvelle fois sur scène avec une force incroyable
applaudie par la critique.
Et sur scène, 25 ans plus tard, c'est la course aux souvenirs. On croit être observé par R2D2 tout le long du
concert, flanqués de claviers et de batteries du ALB duo. Une formule scénique sans playbacks, avec des
programmes lancés par un Clément et son batteur tels Doc et Mc Fly au volant de la DeLorean, face à face,
très occupés, inquiets de nous ramener en 1985 ou en 2025, année où Louise écoutera les chansons de son
papa Daquin sans rougir. Zombie Zombie, Silver Apples, ou simplement un show geek ou les White Stripes
auraient louché plus sur un Atari que sur un vieux piano? ALB lorgne vers le dancefloor aussi. Mais avec une
petite envie de rentrer jouer à la console. Ou au fer à souder des machins et des trucs et des bidules. NOM
DE ZEUS!
+d’infos :
http://www.lexpress.fr/culture/musique/alb-en-pleine-lumiere_1505807.html
https://www.facebook.com/albalbalbalb
80 dates plus tard, après avoir suivi la tournée Française de Motörhead en 2012, No One reprend son souffle
pour se concentrer sur un nouvel album. Un album qui s’annonce déjà comme une des plus belles salves
du combo. Un retour aux sources sonores, gonflé à bloc par le besoin de hurler et d’en découdre avec la
morosité ambiante. Revivifié au Raw Power, deux guitares au front, le No One 2015 s’annonce comme la
claque nécessaire et attendue pour réveiller les ondes et exciter vos neurones.
+d’infos :
http://www.nooneisinnocent.net/
https://fr.wikipedia.org/wiki/No_One_Is_Innocent
BISON BISOU
DARCY
Darcy - Punk-Rock – Rennes
Le chant de la colère, Darcy offre un rock écorché vif puisant dans l’énergie du punk avec des paroles
chantées en français. Ils reviennent aux fondamentaux du rock : guitare/basse/batterie, et nous servent
un son brut et énervé de « bile jaune ».
Bison Bisou - Indie-Rock – Lille
Dans leurs veines coulent des émotions instinctives, brutes et impulsives. Baignés dans l’indie rock des
années 90, leur musique s’inspire de métal, de math-rock, de grunge ou de punk hardcore, ils jouent avec
spontanéité des morceaux aux Beats cinglants, au chant cinglé, aux riffs sanglants, comme la charge d’un
animal en rut !
Les 5 garçons de Bison Bisou ont grandi dans l’indie des 90’s, dansé sur du post-punk dans des clubs bizarres, tout en ayant des vues perverses sur certains groupes post rock ésotériques. Dans leurs veines
coulent des émotions animales, brutes et impulsives. Beat cinglant, chant cinglé, riffs sanglants, attachons
les sangles. Après deux splits fougueux à souhait, le groupe toujours plus audacieux s’active aujourd’hui à
la composition d’un premier album qu’il enregistrera cet hiver.
+d’infos :
https://www.facebook.com/BisonBisou
+d’infos :
https://www.facebook.com/darcymusic
sam 14 nov 19h - 22h
WEK
WEK Rock Saint Brieuc
Happy Birthday ! 10 ans que WEK se donne à fond dans
un rock puissant et mélodique aux influences old school.
Pour célébrer comme il se doit cet anniversaire ils nous
réservent un beau concert avec de nombreuses surprises. 10 ans et toujours la même énergie, celle du rock
et de la jeunesse éternelle, We’re Eternal Kids !
Gratuit
jeu - ven 19/20 nov
Peace And Lobe
Ce projet est engagé par la Mutualité Française Bretagne et les
structures de musiques actuelles en Bretagne, représentées par
La Citrouille dans les Côtes d’Armor, et porte sur la prévention des
risques auditifs auprès des jeunes bretons.
Prévention des risques auditifs : entre culture et santé L’exposition
au bruit :
un réel problème de santé publique
Une ambiance sonore devient dangereuse pour le système auditif
à partir de 85 décibels, alors que la sensation de douleur n’apparaît
qu’à 120 décibels, ce qui laisse une vaste zone d’exposition à risque
sans que l’organisme ne soit alerté…
De nombreux paramètres entrent en cause pour expliquer les atteintes auditives : durée d’exposition, niveau sonore, type de bruit,
lieu… Les problèmes auditifs sont d’autant plus importants à l’heure
actuelle qu’ils sont aussi le fait d’une accumulation de nombreux
facteurs : professionnels, environnementaux, personnels, liés aux
loisirs…
Les conséquences du bruits sur l’organisme sont variées :
• Surdités précoces partielles puis presbyacousie avec vieillissement accéléré des organes de l’audition
• Hyperacousie : hypersensibilité au bruit
• Acouphènes : sifflements aigus d’intensité variable, perçus de façon continue ou discontinue
• Diminution de la vigilance et de l’attention
• Augmentation de la fréquence cardiaque et de la pression artérielle
Les pertes auditives entraînent des difficultés de communication et de ce fait sont souvent source d’isolement et de dépression chez les personnes atteintes. Il n’existe aujourd’hui aucune solution a posteriori.
Même si la technologie progresse en matière de correction auditive, la guérison est impossible, l’information et la prévention s’avèrent indispensables.
Chaque type de musique engendre des spectres sonores propres, mais tous, à un fort niveau constituent
un risque pour l’audition et la santé. Une campagne de mesure relative aux lieux de loisirs bruyants, financée par le Ministère de la Santé en 1994 montre qu’il existe un réel danger pour l’audition dans les concerts
(qu’ils soient organisés en salle ou en plein air et quel que soit le type de musique) et pour les discothèques,
notamment du fait de sonorisations de forte puissance et très localisées près de la scène.
+d’infos :
https://www.facebook.com/corsonofficial
http://fr.wikipedia.org/wiki/Corson_(chanteur)
La prévention : pour que l’écoute de la musique reste un plaisir
Il est d’autant plus difficile d’agir que la musique relève d’un phénomène sociologique et l’écoute à un fort
niveau sonore est une véritable mode qui peut conduire à des excès. C’est également un phénomène de
santé publique, car des classes d’âge entières sont concernées.
La législation existante, relative à la limitation du volume sonore à 105 décibels dans les lieux de diffusion
des musiques actuelles, ne suffit pas dans le sens où elle est peu connue et/ou respectée et, où une grande
difficulté réside dans l’application et le contrôle de cette loi (de par la diversité des lieux de diffusion concernés : par exemple discothèques, festivals de musique organisés par des associations…). Aussi, il est indispensable de pouvoir accompagner au mieux ce décret pour lui assurer une efficacité optimum.
La musique en Bretagne tient une place importante, et doit faire l’objet d’un accompagnement en terme de
prévention des risque auditifs (prévention pour soi-même et également vis à vis des autres).
Objectifs
Finalité : prévenir les risques auditifs liés à l’écoute et la pratique de la musique chez les jeunes bretons.
Objectifs principaux :
• Développer chez les jeunes une prise de conscience des risques auditifs
• Favoriser une modification des comportements pour aider les jeunes à adopter les bons réflexes et attitudes préventives, et à mieux repérer les signaux d’alarme afin de préserver le plaisir de l’écoute et la pratique de la musique.
Objectifs intermédiaires :
• Proposer une démarche pédagogique, attractive et ludique, intéressant les jeunes
• Mobiliser les établissements scolaires dans le projet, et les aider à relayer l’action au sein de leurs établissements.
• Communiquer sur cette thématique afin de sensibiliser le large public, les jeunes
musiciens amateurs et professionnels, les élus et les décideurs.
Bukowski / Punish Yourself
sam 21 nov 21h
Tarifs en Adhérents Jeune résa
prévente
10€
10€
16€
Bukowski
Bukowski Rock Métal - Paris
Consacrés en 2012, meilleur groupe français du Hellfest, Bukowski revient avec l'album « On the rocks »,
un son puissant qui ne laisse pas de répit, on est frappés par la hargne et la violence du combo. Le son de
Bukowski est sur le fil du rasoir entre métal et rock, les mélodies de guitares et des voix sont contrebalancées par une rythmique forte et agressive et ça tape fort, très fort ! L'intensité de leurs performances
sur scène déboîtera quelques cervicales !
BUKOWSKI est un power trio originaire
de Paris, formé en 2007, composé de Mathieu Dottel, Niko ottey et Julien Dottel.
Leur premier album Amazing Grace sorti en
2009, suivi d’une tournée internationale, est accueilli chaleureusement par une presse et un public enthousiastes. Rock Hard salue d’ailleurs la
prouesse en insérant BUKOWSKI dans son Top
entre Megadeth et Kiss !
Fort de ce premier opus, Bukowski parcourt la
France, l’Europe et l’Argentine pour plus d’une
centaine de concerts avec Mass Hysteria, Gojira,
Therapy ?, Fu Manchu etc…
Le groupe ne ménage pas ses efforts et continue sur sa lancée avec un second album, The Midnight Sons, enregistré en Septembre 2011 par Francis Caste.
L’album est acclamé par la critique et permet au groupe d’assurer une grosse tournée en 2011/2012, avec
notamment des lives aux deux plus gros festivals de metal français, le SONISPHERE France 2011 avec Metallica, Anthrax, Megadeth, Slipknot… et le HELLFEST 2012 en compagnie de Guns N’ Roses, Mötley Crüe,
Ozzy Osbourne, Refused…
L’album fut sacré Meilleur Album Rock 2011 au référendum des auditeurs de Ouï FM, et consécutivement
en Décembre 2012, BUKOWSKI a été élu meilleur groupe français au Hellfest Edition 2012 !
BUKOWSKI
réalise
une
ascension
qui
laisse
présager
un
avenir marquant pour le metal français et semble aujourd’hui impossible à stopper.
Nul doute que 2013 sera l’année de la consécration pour BUKOWSKI, avec un nouvel album qui sortira début 2013 chez Verycords / Warner.
4eme Album prévu au Printemps 2015 chez Verycords / Warner
+d’infos :
http://peaceandlobepaysdelaloire.fr/
http://www.lerif.org/missions-actions/gestion-sonore-et-prevention/peace-and-lobe
Plein tarif
18€
+d’infos :
https://www.facebook.com/Bukowskitheband
Punish Yourself
Punish Yourself est un groupe français originaire de Toulouse
qui se produit sur les scènes autant métal, que gothique, electro et indus, dans des tenues exubérantes, arborant des maquillages fluorescents recouvrant entièrement leurs corps, et
exhibant un goût prononcé pour le macabre et le sexe. Souvent catégorisé comme métal industriel malgré les dénégations du groupe (qui a toujours déclaré jouer du « rock'n'roll
électronique »), revendiquant des influences aussi variées
qu'Iggy Pop, Ministry, White Zombie ou la techno hardcore,
Punish Yourself se place au croisement de différents mouvements extrêmes, et rassemble un public hétéroclite, attiré aussi bien par les extravagances visuelles du groupe que
par sa musique chargée de références (qui vont des Cramps
à Skinny Puppy en passant par Alien Sex Fiend). Parfois accusé d'un certain simplisme, le groupe a pourtant su s'aventurer hors des sentiers battus, notamment avec leur album
instrumental, Cult Movie, qui doit plus au Kraut-Rock et aux
musiques de film qu'au rock industriel classique, et l'étonnant
versus avec Sonic Area, Phenomedia.
Punish Yourself est avant tout un groupe de scène, et ils expérimentent leurs titres en concert avant de les
sortir en album. Avec des centaines de concerts à leur actif, ils ont tourné un peu partout en Europe (France,
Belgique, Hollande, Angleterre, Allemagne, Espagne, Portugal, Hongrie, Roumanie, Suisse…) mais aussi
au Canada et au Japon, et participé à des évènements majeurs comme le Sziget Festival, Dour (quatre fois,
dont trois d'affilée) les Eurockéennes, Garorock, les Vieilles Charrues, le Wave Gotik Treffen, le Hellfest…
Yanis Odua / Dubmatix / Ti Jam
ven 27 nov 21h
Tarifs en Adhérents Jeune résa
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20€
Yanis Odua
YaniSs Odua vient de fêter ses vingt ans de carrière et
il nous offre avec son nouvel album « Moment Idéal »
un véritable petit bijou musical.
Douze titres de Reggae pur agrémentés de vibes parfois latinos, parfois urbaines, toujours universelles, qui
posent le chanteur martiniquais comme l’une des voix
de l’année avec laquelle il faudra compter.
Peu d’artistes possèdent comme lui dans leur répertoire un hymne reggae incontournable tel que l’anthologique morceau «La Caraïbe». Avec «Rouge, Jaune,
Vert» et «Chalawa», ses nouveaux singles, il ajoute
2 nouveaux Hits à son répertoire qui fait déja des ravages en live.
Artiste multi-cartes ayant démarré sur scène à l’âge
de 12 ans, il a, depuis 2002 et la sortie de son album
«Yon pa Yon» (Sekel/ SonyMusic) unanimement salué
par la critique, participé à l’aventure du label Legalize
Hits, sur lequel il sortira le projet « High Tunes », nominé aux Trophées des Arts Afro-Caribéens, et « Hit 2 Hits » qui a remporté le trophée du Meilleur Album de
l’Année 2008 aux Victoires du Reggae.
Véritable show man, il a déjà donné plus de 800 concerts et tourne inlassablement depuis le début de sa
carrière en séduisant le public Reggae francophone mais également une plus large audience comme le
prouvent les duos qu’il a posé régulièrement avec des artistes de la carrure de Tiken Jah Fakoly, ou bien
encore Ky-Mani Marley.
Son Moment Idéal Tour est un véritable succès et après plus de 100 dates en 2013/2014, il enchaine cette
année avec les plus grands festivals et une grosse tournée sur la fin d’année, toujours accompagné de son
groupe Artikal Band.
Pas de doute, YaniSs Odua est l’artiste français à suivre pour cette année 2015, et pour encore bien des
années !
+d’infos :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Punish_Yourself
http://punishyourself.free.fr/
+d’infos :
https://www.facebook.com/yanissodua
https://fr.wikipedia.org/wiki/Yaniss_Odua
Dubmatix
Dubmatix -Sound-system Dub – Toronto – Canada
les « French Sessions » de dubmatix rendent hommage aux Mc's, Singers et toasters que le producteur à rencontré pendant ses tournées dans l'hexagone. Il nous offre un dub fin et généreux dans
la continuité du son jamaïcain. Ainsi dans ses morceaux aux petits oignons on retrouve les voix de
Taïwan MC, de Joe Pilgrim ou Skaya pour notre plus grand plaisir et pour que la parole de Jah emplissent les hauts parleurs !
Yellam, Guive, Taïwan Mc, Jah Jah Man, Tribuman, Patko, Face T mais aussi Volodia et la seule représentante
féminine L.M.K. C’est également avec ces deux derniers chanteurs qu’il signe l’hymne du Reggae Sun Ska
présent également sur l’album.
Une belle combinaison à découvrir donc, énergique et positif THE FRENCH SESSIONS symbolise toute une
génération de chanteurs français passionnés et en plein essor, mis à l’honneur par le son extra de King Dubmatix ! Dubmatix est un artiste qui exploite avec finesse toutes les richesses du recoin dub-reggae et qui a
de quoi en surprendre plus d’un !
Baignant dans l’univers musical de son père Bill King, célèbre jazzman des années 1970, le travail du son
devient vite le domaine de prédilection de Jesse. Il commence par les percussions, apprend la basse, obtient un diplôme d’ingénieur du son, devient producteur-programmateur sur la radio CHUM FM de Toronto
pour finalement laisser complètement parler sa créativité musicale.
Dubmatix sort son premier album intitulé Champion Sound Clash en 2004. Il connaît un grand succès au
Canada puis en France avec les titres « War, Peace & Dub », « Dub Phanatique » ou « Island Sun ». En 2006,
Dubmatix livre son second album Atomic Subsonic qui contient des tubes (« Champion Sound », « Warning
») et fait fureur. Il est suivi en 2008 par Renegade Rocker qui le nomine une première fois au Juno Awards.
Il remporte en 2010 le Juno Awards du meilleur enregistrement de l’année avec « Gonna Be Alright » feat
Prince Blanco. Cette récompense n’est que le reflet de l’enthousiasme que suscite son quatrième album
System Shakedown sorti en 2010 chez Echo Beach.
+d’infos :
http://www.dubmatix.com/
https://soundcloud.com/dubmatix
Ti Jam
Huit musiciens, regroupés autour de trois chanteurs aux styles complémentaires, offrent un reggae inspiré aux vibrations positives et communicatives. Sur scène, Ti’Jam partage son amour de la
musique, les yeux ouverts dans une époque troublée.
+d’infos :
https://www.facebook.com/pages/Ti-Jam/172225052952435
En 2015, Le dub maker canadien Dubmatix est de retour avec un nouvel album, THE FRENCH SESSIONS.
Un bel hommage rendu aux affinités qu’il a avec la France. Au cours des 200 dates effectuées en 7 ans un
peu partout dans l’Hexagone, il a vu grandir, se développer toute une nouvelle génération de Mc’s, toasters, singers français, un éventail varié qui constitue cette nouvelle scène montante du reggae, dub ou bass
music. Après les avoir rencontrés au cours de différents shows, le producteur a eu l’idée de rassembler ces
talents sur un même album dédié à sa longue histoire avec la France. On y retrouve S’Kaya, Joe Pilgrim, Jr
dim 29 nov 17h
Tarifs en Adhérents Jeune résa
prévente
5€
10€
12€
Plein tarif
14€
The New Kids
Hindi Zara
ven 4 dec 21h
Tarifs en Adhérents Jeune résa
prévente
10€
10€
25€
Plein tarif
27€
Hindi Zara
Hindi Zahra Chanson soul – world – France
Les New Kids présentent « On the Rockx !! », une ré‐création jeune public pour ceux et celles qui aiment
danser, crier, ou tout simplement le rock avec un grand Rrrrrrrhhh !! Des compositions originales, des
textes réfléchis et un énorme sens de l’humour. Sans oublier son lot de jeux et de références musicales :
des Hivers à AC/DC en passant par les Ramones.
On the Rocks est un concert de rock pour le jeune public dans lequel sont intégré des actions et des interactions à but pédagogique. Il ne s’agit pas seulement de la découverte du monde du spectacle, du concert
et du rock en particulier, mais également d’une certaine culture et d’une attitude que l’on peut avoir (ou
non) lors de ses rassemblements publics. Culturel car les morceaux font globalement référence à l’histoire
du rock : les compositions originales ont été pensée et imaginée à partir de standard du rock. Preuve en
est la reprise de « Do you wanna dance » des Ramones qui s’harmonise parfaitement avec le reste de la
set‐list. Morceaux largement inspirés de Nirvana, AC/DC, ou The Datsuns… Mais pas uniquement puisque
l’introduction du concert se fait sur les 4 saisons de Vivaldi.
Les paroles sont elles aussi adaptées (tout comme le niveau sonore) et parle des problèmes et questionnements que peuvent se poser les enfants : la violence à l’école, les punitions, l’amour et l’amitié, la famille
et les parents, la fête, et le rock bien entendu… toujours avec cette double lecture, puisque le spectacle
s’adresse aux familles et peut être entendu de plusieurs façons.
+d’infos :
http://www.furne‐records.com/TheNewKids/
http://minilien.fr/a0nv8i
Un retour aux sources avec « Homeland », ce nouvel album
élaboré au Maroc, terre natale de la chanteuse. Hindi Zahra a
profité de ce temps d'introspection et de solitude pour se replonger dans la musique de son cœur. Les influences viennent
du monde entier, chantant en Berbère, en français ou en anglais elle nous invite dans une soul mondiale progressive avec
comme guide sa voix somptueuse, chaleureuse et douce. Des
chansons qui se meuvent comme des marées ou des nuages
au tempo chaloupé et capiteux qui nous donne un cap dans
ce voyage qui libère les corps et les coeurs en douceur, en
profondeur.
Zahra Hindi est née le 20 janvier 1979 à Khouribgha, au Maroc. Descendante d'une grande lignée de musiciens berbères et touaregs, elle compte parmi ses aïeux des membres du groupe Oudaden. Ses parents
et oncles initient la jeune fille à la culture amazighe et lui enseignent les rudiments de la musique traditionnelle gnaoua. En devenant chanteuse et modifiant l'ordre de son patronyme, Hindi Zahra n'a de cesse
de préserver cet héritage et de le mêler à des musiques plus contemporaines comme le blues, le jazz ou le
reggae, de même que sa musique emprunte au répertoire classique égyptien.
Après un passage obligé par la scène, la chanteuse entre en studio pour enregistrer un premier EP 4 titres à
l'automne 2009 est suivi d'un album Handmade (Deluxe Productions) le 11 janvier 2010, porté par l'acoustique « Beautiful Tango ». L'album est une réussite qui se classe dans les charts de plusieurs pays européens
et lui amène une renommée internationale. En France, Handmade reçoit le Prix Constantin en 2010 et la
Victoire de la musique de meilleur album de musiques du monde en 2011. Hindi Zahra est de retour en avril
2015 avec Homeland précédé de peu par le single « Any Story ».
+d’infos :
http://www.music-story.com/hindi-zahra/biographie
MAZARIN
Dubmatix -Sound-system Dub – Toronto – Canada
les « French Sessions » de dubmatix rendent hommage aux Mc's, Singers et toasters que le producteur
à rencontré pendant ses tournées dans l'hexagone. Il nous offre un dub fin et généreux dans la continuité du son jamaïcain. Ainsi dans ses morceaux aux petits oignons on retrouve les voix de Taïwan MC,
de Joe Pilgrim ou Skaya pour notre plus grand plaisir et pour que la parole de Jah emplissent les hauts
parleurs !
Guizmo / Sianna
ven 11 dec 21h
Tarifs en Adhérents Jeune résa
prévente
10€
10€
18€
Plein tarif
20€
Guizmo
Guizmo grandit tour à tour à Valenton, dans le quartier « Les Polognes », à Villeneuve-la-Garenne, dans
le quartier ZUS de « La Caravelle » ainsi qu'à Savigny Le Temple dans le quartier "Le cartel" classé Zone
de sécurité prioritaire. Il baigne toute son enfance dans la musique urbaine grâce à une mère jeune, qui
écoute beaucoup de rap, notamment des groupes français tels que La Cliqua et Secteur Ä. Ce n'est cependant qu'en 1998 que Guizmo a une révélation, après que son frère lui a fait écouter Changes de Tupac. De
nombreux autres rappeurs l'influencent par la suite, tels que Salif et The Notorious B.I.G., ainsi que des
groupes comme Lunatic et Chiens de Paille. Dans une interview donnée dans Rap Mag, il révèle ne s'être
vraiment investi dans la musique qu'à
partir de 2008. Son pseudonyme a
pour origine le personnage de Gizmo
dans le film Gremlins. Il confie lors
d'une interview à « P'tit Délire » qu'il
s'apparente à Sir Doum's par rapport
à ses débuts, sa technique.
Mazarin concocte des chansons truffées de boucles bricolées, de claviers espiègles, de gimmicks attrape-coeurs, il mêle guitare classique et bidules électroniques, mots flâneurs et accords mineurs, pour
mieux peindre, par petites touches, les contours d'une mélancolie domestique et radieuse. Ce n'est rien du
tout, mais c'est déjà beaucoup.
Mazarin c’est le nouveau projet solo de Pierro(t), ex-chanteur du duo LA CASA. Comment oublier le tube
«Go go go» sorti en 2009 ? Ca y est, vous vous souvenez !! Tête d’affiche des plus grands festivals Français
(Francofolies, Solidays, Printemps de Bourges...), ils collaborent également avec Hubert-Félix Thiéfaine
qui sollicite leurs talents de compositeurs pour deux morceaux, dont « La ruelle des morts ».
L'album « Suppléments de mensonge » obtiendra d’ ailleurs 2 Victoire(s) de la musique 2012 et La Casa
participa à la fête avec une première partie à l'Olympia….
Un premier EP 6 titres, quelques festivals de renom (Le Chainon manquant, Couvre-feu, Festival Bebop) et
une sélection – parmi plus de 600 groupes - en finale de L'Ampli Ouest-France en
décembre 2014.
+d’infos :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Punish_Yourself
http://punishyourself.free.fr/
Inscrit, à l'instar de son groupe, dans
une mouvance à la croisée du New
School et du Old School, il envahit
les blogs et autres réseaux sociaux.
Le natif de Villeneuve-la-Garenne
impressionne par ses punchlines affutées, et son flow acerbe, le tout Associé à une attitude "laid back" qui cache
une énergie surprenante. Après avoir
impressionné lors de ses clashs et de ses nombreux freestyles, qui totalisent plus de 2 millions de vues sur
internet, Guizmo arrive avec un premier projet solo. Un 14 titres intitulé "Normal", sera la première missive
qui le fera découvrir au grand public. Entouré notament de ses acolytes Nekfeu et Alpha Wann sur les titres
"Sales Races" et "Back in the Dayz", ainsi que des autres membres actifs de L'Entourage ( Deen Burbigo, Eff
Gee, Jazzy Bazz, 2 Zer du S-Crew et Doum's ) sur deux freestyles, Guizmo ne cesse de gravir les échelons
du Hip Hop à une vitesse fulgurante... Et ce n'est que le début de son ascension.
+d’infos :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Guizmo_(rappeur)
http://www.booska-p.com/biographie-guizmo.html
Sianna
sam 19 dec 19h30
Née à Bamako le 17 Avril 1995, Sianna Dwayna (de son vrai prénom Anaïs)
est une artiste de la scène rap qui a grandit en province, à Beauvais (60).
Sianna a recemment signé un contrat d'édition chez Warner Chappell, et
faisait parti du groupe Crack House.
Blind Test-007
En Mai 2013, après avoir assisté au concert de la Sexion D'Assaut à Beauvais, encouragé par son collègue Soldat Baab, Sianna demande un freestyle
vidéo à l'une des toutes dernières recrues du Wati-B, la chanteuse Lynda
Sherazade. Après avoir freestyler, le manager de Lynda lui propose de la
mettre en contact avec un de ses amis producteur et dénicheur de talent,
l'ancien rappeur Seven (Fababy, Soraya Hama, Abis, Jehnia...) . Après avoir
écouté et validé certains couplets de Sianna, le producteur lui propose de
faire une séance d'essaie 3 jours plus tard dans un grand studio parisien ;
c'est alors que né le titre "Passe Moi La Télécommande". Après ça, Seven
décide de s'occuper de Sianna avec son ami réalisateur et ingénieur du son,
Mohand (signé chez Warner Chappell).
Au mois de Juillet 2013, Sianna signe son premier contrat avec Warner Chappell avec comme producteurs
Mohand et Seven. Plusieurs artistes comme Mac Tyer, Lynda Sherazade, Dinos, H Magnum, Sofiane, Niro,
Black Kent et d'autres ont exprimé leur soutient pour Sianna après avoir entendu en exclu quelques morceaux. Septembre 2013, Sianna sort le clip "Passe Moi La Télécommande" sur Booska-P, Générations et
d'autres sites de Hip-Hop Français. Quelques semaines après, c'est le morceau "Kick Off" est demandé par
Pascal Cefran pour passer en exclu dans l'émission de radio "Parlez Vous Cefran?" sur Générations 88.2. Et
en Décembre, c'est Canal Street qui demande à sortir en exclusivité le clip "Sianna" sponsorisé par Wize &
Ope (marque en partenariat avec le rappeur américain Lil Wayne).
+d’infos :
http://www.trackmusik.fr/media/s/sianna
+d’infos :