Untitled - Vente Du Diable
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laisser distancer par la concurrence, ni de détourner l’attention des clients, dont un tiers sont des femmes. Comment ? Déjà, le contenu éditorial du site a subi un lifting pour optimiser les fonctions et favoriser tion principale, complétée par des phoplus, pour encourager les clics, Vente du Diable mise sur le service personnalisé, en mettant au point des alertes envoyées par SMS. En matière d’offre, l’automobile et ces accessoires, ainsi que les voyages à thématique sportive compètent la gamme de produits, tout maintenant les efforts sur que Vente Privée, le site toulousain Vente du Diable poursuit son (bon)homme de chemin. Spécialisé dans le déstockage de produits dans l’univers masculin - high-tech, bricolage, mode - ce site s’est fait une place sur ce créneau peu encombré et toujours porteur. En effet, il propose entre cinq et dix ventes quotidiennes pour atteindre les 2000 ventes à l’année aux prix « les moins chers du web », indique Olivier de Tremaudan, le p-dg, qui se félicite d’enregistrer un chiffre (10 millions en 2012). Cependant, le site « peut mieux faire en prenant de nouvelles opportunités », comme le souligne Olivier de Tremaudan. En clair, pas question de se Diable table sur un autre canal de vente : le point il y a deux ans est has been en terme d’ergonomie. A compter d’octobre, une nouvelle est lancée », poursuit Olivier de via le mobile à l’approche des fêtes. La société Pckado, propriété mère du site, n’est pas à sa première tentative sur du matériel informatique reconditionné. Mais la concurrence du netbook et la crise lui ont été fatales avant de renaître sous le nom Vente du diable. Pour accélérer son développement, Vente du Diable réalise en 2008 une levée de fonds de 2 millions d’euros auprès du capital-risqueur OTC Asset Management. epuis 2007, Julien Discher commercialise sur son site Streetwear-collection.com des vêtements et accessoires streetwear à destination d’une clientèle de jeunes âgés énormément sur la casquette, qui est désormais un accessoire de mode à part entière », explique-t-il. Pour créer son entreprise avec son associé, Julien Dis- toucher une bourse d’État : « J’avais une bonne connaissance du milieu streetwear et mon associé maîtrisait l’informatique, nous avons donc géré nous-même la création du site et son référencement. Il s’agit d’une niche de marché, qui n’est une dizaine de concurrents, principalement allemands et français. » Le site revendique en période de croisière l’envoi de 400 à 500 colis par mois soit un rythme de quinze à vingt commandes