Autopiqueur Accu-Chek Multiclix La révolution du barillet jetable

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Autopiqueur Accu-Chek Multiclix La révolution du barillet jetable
Nouveautés
Autopiqueur
Accu-Chek
Multiclix
La révolution du
barillet jetable
© ROCHE DR
Des lancettes bien à l’abri dans des
barillets sécurisés, une ergonomie
encore améliorée, une douceur
de piqûre qui progresse toujours :
l’autopiqueur Accu-Chek Multiclix
fait disparaître nombre d’obstacles
à l’autosurveillance de la glycémie
et fixe un nouveau standard
de sécurité, de douceur et de facilité
d’utilisation. Le kit Accu-Chek Go,
avec ce nouvel autopiqueur, sera
disponible dans quelques semaines.
De gauche à droite :
Un barillet prêt à l’emploi.
Un barillet dont les six lancettes ont été utilisées.
Très reconnaissable à sa ligne rouge,
il ne peut plus être inséré dans l’autopiqueur.
Vue de l’intérieur du barillet : une innovation
qui, derrière son apparente simplicité,
a fait l’objet de nombreux brevets.
Des lancettes
constamment à l’abri
“Je mets un barillet de
six lancettes le matin et
l’autopiqueur est prêt pour
la journée.” “Le midi, je
ne fais plus attendre les
collègues à cause du changement de lancette.” “Des
avantages qui incitent à se
faire plus de glycémies.” Les
propos des patients diabétiques
qui testent l’autopiqueur
P♦
Accu-Chek Multiclix depuis
novembre ne trompent pas :
c’est une innovation, une vraie,
qui facilite la vie des malades
et les incite à un suivi plus
rigoureux. Ceci, en particulier,
en raison d’une révolution
technique : la lancette individuelle, à placer et à retirer après
chaque piqûre, laisse place à un
barillet jetable de six lancettes.
Pour charger son autopiqueur, le patient insère
le barillet contenant les six lancettes par simple
pression (image 1), puis remet l’embout en
place (image 2). Après chaque piqûre, il lui
suffit de faire pivoter le bouton d’armement
(image 3) pour préparer une nouvelle lancette.
Quand les six lancettes ont été utilisées, il retire
le barillet sécurisé (image 4) et le jette dans une
poubelle. Résultat : la sécurité totale, puisque
tout contact accidentel avec la lancette, avant
ou après utilisation, est impossible.
échoRoche officine avril 2006 numéro 21
Changer de lancette
en toute discrétion,
en un tour de main
“En rendant la lancette invisible,
puisqu’elle ne sort du barillet
que le temps de la piqûre, nous
levons de multiples obstacles à
une meilleure autosurveillance”,
souligne Marie Pené-Marie,
de Roche Diagnostics. Quels
obstacles ? La vue de l’objet
coupant, tout d’abord, qui
peut faire monter l’appréhension et rendre la piqûre
plus douloureuse ; le risque
de contact accidentel, avant
utilisation (perte de stérilité) ou
après (possibilité d’infection) ;
les tracas occasionnés par le
transport de lancettes neuves
et usagées dans un sac ;
le manque de discrétion
d’un changement de lancette
dans un lieu public – bureau,
restaurant – qui pousse certains diabétiques à utiliser
plusieurs fois la même…
“Avec ce nouvel autopiqueur,
il suffit d’un aller-retour du
bouton d’armement pour
changer la lancette.” L'appareil
permet de réutiliser une
lancette – même s'il est préférable de toujours la changer – mais
pas de revenir en arrière quand
on est passé à la suivante.
Toute nouveauté suppose
un temps d’adaptation. Pour
Accu-Chek Multiclix, dont
l’ergonomie a été particulièrement soignée, il devrait être
réduit au minimum. Ainsi
le barillet usagé, avec sa ligne
rouge bien visible, se distingue aisément du barillet neuf ;
de plus, il est impossible de
le remettre sur l’autopiqueur.
Une fenêtre de lecture permet de compter le nombre de
lancettes encore disponibles :
il y en a autant que de lignes
bleues apparentes.
Barillets usagés :
un déchet banalisé !
Enfin, et c’est un point clef,
le barillet contenant les six
lancettes usagées est un déchet
ordinaire, qui peut être jeté en
toute légalité avec les ordures
ménagères ou les poubelles du
bureau. “C’est la fin d’un cassetête, pour les patients comme
pour les phar mac iens qui
récupèrent les lancettes usagées”
estime Marie Pené-Marie.
Notons enfin que Accu-Chek
Multiclix, avec ses multiples
sécurités, permet de rendre
autonome plus tôt un enfant
diabétique astreint à l’autosurveillance glycémique : il ne
risque absolument rien…
Protégé par de nombreux
brevets, le nouvel autopiqueur
réunit aussi toutes les fonctions qui ont fait le succès
de Accu-Chek Softclix, en particulier les onze profondeurs
de piqûre et le système de
propulsion extrêmement précis des lancettes. Ces dernières,
pour rentrer dans le barillet,
voient leur diamètre fortement
réduit : la piqûre n’en sera que
plus douce…
Accu-Chek Multiclix sera
vendu en association avec le
lecteur Accu-Chek Go. Les
deux appareils font désormais
figure de référence en matière
de simplicité et de sécurité
pour l’utilisateur. ■
“C’est la première fois
que je n’ai pas mal”
Depuis novembre, un groupe test
de patients diabétiques utilise
quotidiennement Accu-Chek Multiclix.
La plupart l’ont définitivement adopté.
Un vrai confort d’utilisation
“C’est le grand luxe par rapport à tous les appareils
que j’ai connus depuis presque trente ans que
je suis diabétique. Les premiers faisaient un mal
de chien.”
“C’est la première fois que je n’ai pas mal.”
“Je n’ai plus de traces sur les doigts. C’est important
pour moi qui n’aime pas attirer l’attention.”
“Je n’ai plus des mains de diabétique.”
Pratique
“Quand on part, même s’il y a oubli des lancettes
à la maison ou oubli d’achat à la pharmacie,
les lancettes sont toujours là.”
Contact : [email protected]
“Le compteur de lancettes est très pratique.”
1
“Fini les lancettes qui traînent au fond du sac,
un barillet de rechange suffit.”
2
Sûr
“On ne peut pas se piquer par accident, ce qui
arrivait une fois sur dix auparavant.”
“C’est important pour moi et surtout pour mon
entourage. Depuis que j’utilise cet autopiqueur,
je surveille moins les enfants qui m’entourent, il n’y
a plus de risque pour eux.”
3
Un changement de lancette facilité
“Avec un système traditionnel, je ne changeais pas
à chaque fois, par flemme, par manque de temps,
par souci de discrétion, pour éviter de faire attendre
les gens.”
© ROCHE DR
4
échoRoche officine avril 2006 numéro 21
“Pour moi qui travaille dans une blanchisserie, c’est
plus pratique et plus hygiénique. On a simplement
besoin de tourner pour avoir une nouvelle lancette
et il n’y a aucun contact.”
♦P

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