Brûlée vive
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Brûlée vive
Brûlée vive Auteur : SOUAD, née entre 1957 et 1958 ; elle vécut en Cisjordanie (très peu d’informations précises sur l’auteur car elle se doit de garder le plus possible son anonymat). Titre du livre : Brûlée vive. Parution : 2004. Genre du livre : Biographie, témoignage. Epoque de l’histoire : années 1970 – 1980. Lieu : Cisjordanie (région du Proche-Orient, entre Israël et la Jordanie), puis plus tard en Suisse. Personnages principaux : Souad : narratrice Adnan & Leila : père et mère de Souad. Hussein : beau-frère de Souad qui tentera de la tuer. Marouan : fils de Souad. Jacqueline : fondatrice de la fondation SURGIR, elle aidera Souad à s’enfuir en Europe. le médecin : il aidera Jacqueline dans sa démarche auprès de la famille de Souad. Assad : frère de Souad. Résumé : Souad grandit dans une famille palestinienne dans un petit village de Cisjordanie. Son père possède une ferme et pratique la culture maraîchère (culture de fruits et légumes). Sa femme n’ayant eu qu’un seul fils et des filles, il se choisira une 2ème femme ce qui entraînera beaucoup de tensions sans pour autant qu’il y ait plus de garçons. Souad fait partie de la majorité de ces filles qui n’auront pas le droit d’aller à l’école. Elle sera considérée comme une esclave parmi les siens et même les animaux seront mieux traités. En grandissant, Souad a l’espoir qu’en se mariant elle échappera à ce sort si dur. Elle fera clandestinement la connaissance du fils du voisin et ce qui ne devait surtout pas se produire, arriva : elle se retrouva enceinte et abandonnée. Le déshonneur de la famille étant arrivé par sa faute, elle devait mourir ! Conclusion : j’ai choisi ce livre qui a attiré mon attention par sa couverture. La lecture de ce livre m’a beaucoup plu. Cependant, entrer dans le vif du sujet s’est avéré un peu difficile. En tant que fille, il m’a fait découvrir des réalités que je ne soupçonnais pas provenant d’autres cultures que la nôtre. Ce livre apporte énormément de détails du quotidien d’un peuple dont on parle beaucoup mais pas sous cet aspect. Anne-Christine de Chastonay 14 novembre 2007