N`oublies jamais

Transcription

N`oublies jamais
N’oublie jamais,
Premier couplet :
Si je sors ma plus belle plume, c’est pour t’écrire,
Une chanson pleine d’amertume, comment te le dire,
As-tu déjà aperçu un arbre sans racine,
Ou bien un caricaturiste qui sans crayon dessine,
L’échine, je ne courbe devant quiconque,
Dans ma chambre les cents pas, je fais en quinconce,
Pour toi me mettrais à genoux pour mieux me faire comprendre,
Car je ne pourrais rester ainsi à toujours t’attendre,
Ma tendre, ma douce, ma bien-aimée,
Ai-je rêvé, serait-ce vraiment notre destinée,
D’être séparés, comme de vulgaires étrangers
Condamnés à ne plus éprouver que de l’amitié,
Sombre sort, la solitude m’oppresse,
Tristesse, paresse, faiblesse, sans cesse me caressent,
J’ai perdu un des sens qu’avait ma vie,
Ainsi que toute la fantaisie qu’abritait mon esprit.
Refrain :
N’oublie jamais, ce que nous avions construit,
Que ton amour pour moi, ne sera jamais proscrit,
N’oublie jamais à quel point tu comptes pour moi,
Que toujours en te voyant je serais en émoi.
Second couplet :
Depuis ton départ, les minutes sont heures,
Tous mes sourires passés sont à présent pleurs,
J’ai peur, car si je suis en mal de toi,
Tu réagis comme si de rien n’était et je le perçois,
Parfois, tu me rappelles combien à tes yeux je compte,
Ce n’est pour mon cœur qu’un si maigre acompte,
La honte, je devrais avoir de t’appeler sans cesse,
Mais de tout ce que j’ai eu tu es mon unique richesse,
Princesse, reviens, ne sois pas têtue,
Toi pour qui savoir m’écouter est une grande vertu,
Perdu, je le suis en ton absence,
Le jour où je t’ai rencontrée, à ma vie tu as donné sens,
L’essence, de notre histoire dans mon quotidien,
N’a d’égal que l’air qui en vie me maintient,
Je tiens, à toi à nous, à notre relation,
Ceux qui te disent « continue sans lui » font de la délation.
Refrain :
N’oublie jamais, ce que nous avions construit,
Que ton amour pour moi, ne sera jamais proscrit,
N’oublie jamais à quel point tu comptes pour moi,
Que toujours en te voyant je serais en émoi.
Troisième couplet :
Les mois ont passé, toujours sans nouvelle,
De ce qui compte à mes yeux et non des ritournelles,
Que tu t’évertues chaque jour à me narrer,
Dénués de toute sensibilité tes propos sont carrés,
Mes souvenirs au fil du temps s’évaporent,
La musique est en ce sens pour moi d’un grand réconfort,
J’adore, écrire des mélodies mélancoliques,
Acolytes, elles sont de notre amour les ultimes reliques,
Mais, bien que tout autour de moi soit morose,
J’entrevois un rayon de bonheur, puis-je dire que j’ose,
Espérer qu’un jour tu me reviennes,
Et qu’à jamais ta vie soit liée à la mienne,
Rappelles toi, tu m’as dit « c’est ainsi » pour conclure,
Mais la fatalité n’a pas sa place dans mon futur,
Le plus dur, je pense, est à présent passé,
Je vois un avenir merveilleux à tes côtés.
Refrain :
N’oublie jamais, ce que nous avions construit,
Que ton amour pour moi, ne sera jamais proscrit,
N’oublie jamais à quel point tu comptes pour moi,
Que toujours en te voyant je serais en émoi.
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