Août 1913 - Site en travaux, le week
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Août 1913 - Site en travaux, le week
^ -«rs • A o u T 30* Année! s N» 61 LB'KBMÉRO ; CnVO CENTIMES X . Dimanche 3 n i i ^ l 9 l 3 i-'iiiisfJ'ffp lo. ET MARITIME Organe Républicain Oémocraticfue de la Région du Nord-Ouest Paraissant Annonces et Réolames Annonces judiciaires (la ligne)... 20 o. Annonces volontaires 2B o. Réclames 60 o. Les annonces sont reçues, au bureau du journal et, à Paris, dans toutes les Agences. On traite à forfait pour les annonces répétées plusieurs fois. RÉF-CJBLIQTJS; F K , A. 3Sr Ç A . I S IC CANTON DE Q U I M P E R L É Élection au Conseil Général du 3 Août 1913 Arthur Négociant COURTIER Membre de la Chambre de Commerce de Qinmper Maire de Quimperlé C A N D I D A T - RÉF3UB1.IC AIN D E G A U C H I CANTON DE PONT-AVEN Élection au Conseil Général du 3 Août 1913 Corentîii Conseiller Général CANDIDAT RÉPUBLICAIN Tous aux Urnes I pas d'abstentions! Y HO Sortant DÉMOCRATE ces étiquettes, nos « purs » radicauxsocialistes, venus hier à la République et qui se figurent qu'elle n'existait pas avant eux, qu'ils n'osent plus s'accoller les épithètës rutilantes qu'ils adjoignaient, naguère encore, à leur titre de Républicain. M. Le Louédec se contente de se dire « seul > candidat républicain, et son sous-verge,.M. Berthou, hésite lui même, à se dire radical ou radical-socialiste, tant ils sentent tous deux combien ce parti par les abus de sa politique de surenchère est discrédité et se décompose. Les électeurs, qui ne sont pas les éternels naïfs que souhaiteraient les incapables du genre de M. Louédec, sont décidés à secouer cette tyrannie anonyme qui pesait sur eux depuis quelques années. Ils veulent les fonctionnaires indépendants des hommes politiques, — et l'on se souvient des abominables vengeances dont ont été victimes certains fonctionnaires qui avaient commis le crime de ne pas se jeter constamment à plat ventre devant M. Le Louédec, — Ils veulent l'autonomie des municipalités respectée, les prérogatives, des maires sauvegardées et non 'plus livrées aux agissements de délégués sans mandat. La République étant « la chose de tous », ils veulent revenir a u x saines traditions, interrompues par une trop longue période de haine et de sectarisme. Ils veulent, conformément à l'immortelle déclaration des Droits de l'Homme, que tout citoyen, fut-il un adversaire politique, ne puisse être molesté à raison de ses opinions, et qu'il ait droit à la pleine justice. Ils veulent s opposer avec énergie aux atteintes à la liberté d'où qu'elles viennent, que l'on respecte toutes les croyances religieuses, toutes ;ies opinions philosophiques. Amis sincères et résolus de l'école laïque, ils se refusent à faire de celle ci un instrument entre | les mains d'un parti politique, c a r c'est en se perfectionnant sans cesse, en observant rigoureusement la neutralité religieuse, que l'école laïquie Nous voici arrivés au mo uent décisif et la parole est désormais à l'électeur. Celui-ci a en mains tous les éléments utiles pour se faire une opinion et, dimanche, par son bulletin de vote, il signifiera à M. Le Louédec et à ses créatures qu'il ne veut plus de la politique de haine, de délation et de rancune qui a si profondément divisé ce pays. Si les questions locales jouent un rôle prédominant dans les élections cantonales, la politique générale ne doit, pas, pour cela, être perdue de vue. Déjà, dans maintes élections partielles,, les électeurs ont montré qu'ils ne voulaient plus de la politique personnelle des radicaux-socialistes dont le parti se désagrège chaque jour davantage ; ils viennent à la politique d'action sociale et de concorde nationale, qui est la nôtre, orientée inlassablement vers le progrès, généreuse et tolérante. Cette politique essentiellement et exclusivement républicaine, fait appel à tous les républicains, sans ostracisme, sans exclusion, pour la défense de la République, car ceux qui, comme M. Le Louédec, osent se prétendre les « seuls » candidats républicains, contribuent surtout, par leurs actes arbitraires et coupables, à rendre odieux le régime républicain et sont pour lui, un véritable danger. Plus que jamais l'entente est facile entre les républicains de bon sens et de bonne foi, même séparés par certaines divergences d'i(Jées mais animés par un égal souci de l'intérêt républicain et national. Le ^ v o i r des républicains de gouvernement est de grouper tous ceux qui, sous des étiquettes différentes, ont le sentiment des responsabilités communes, et d'écarter les candidats qui se parent du noble souci de l'intérêt général, alors qu'ils ne songent qu'à leur propre intérêt et s'efforcent de créer des divisions pour imposer leur règne éphémère, sentent 1 tellement l'inanité 1 de s ' i m p o s e r a à tous et les JEUDI et DIMANCHE Directeur : Armand GAUTIER Les abonnements s» faient d'avance, sauf eonveru Uons ils partent dK i" ou du 16 de chaque mois. UÈDA.CTION, ADMINISTRATION A ANNONCSS On s'abonne au bureau du journal. On peut s'abonntr A QUIMPERLË, Plâoe Hervo. n' 8 bl8 également, sans frais, dans tous les bureaux de poste, ou encore en adressant un mandât-poste au 'Direeteur, T A U A i b h o n k , IM* • M. Armand GAUTIER, place Mervo, à Quimferlé, Adreste Télégraphiqut : Union, Quimperlé des attaques dont elle est parfois l'objet."-' ' • Voilà ce que veulent les vrais républicains c'est-à-dire : opposer le libéralisme qyiQ défendent MM. Courtier et Gorentin Guyho au sectarisme représenté par M. Le Louédec et M. Berthou. Que tous les hommes de bonne volonté se groupent donc pour faire triompher ce programme qui est un programme de progrès social. Nous n'exigerons pas au préalable qu'ils récitent un credo ; qu'ils viennent à nous loyalement sans arrière pensée ; ils seront accueillis la main tendue et non le poing levé, car ici on lutte pour des idées ' et non pour la satisfaction d'intérêts personnels. Réduit à l'impuissance et rejeté dans l'opposition, le parti radicalsocialiste se décompose rapidement et s'effondre dans- l'iadifférence des uns et sous le dédain des autres, parce qu'il n'a jamais eu de doctrine et que sa politique s'esttrouvée constamment en opposition avec l'intérêt national. Les efforts désespérés et désordonnés de M.- Le Louédec pour essayer de remonter le courant qui l'entraîne, lui et ses amis, sont les signes précurseurs de la débâcle prochaine. Nous en trouvons la preuve, qui s'accentue chaque jour, dans les défections retentissantes qui éclaircissent, de plus en plus, les rangs de ses par'tisans. Quand le navire l'ait eau, les rats l'abandonnent ; encore quelques jours et bientôt ce sera le vide complet autour de lui. E t ce ne sera que justice. L'Union Agricole et Maritime. Quels sont ses Actes? ABONNEMENTS (UN Ait) Quimperlé (ville) e f• Finistère et départements limitroplies. e Autres départements 7 — Colonies et étranger 10 — CHOCOLAT I ' DISTRIBUTEUR DE POIREAUX Marianne. — Mais il ne va plus en rester ! Dernier Appel Electeurs ouvriers, attention ! M. Le Louédec aujourd'hui, par ses promesses fallacieuses, espère accaparer vos votes. Rassemblez bien vos souvenirs et dites-vous qu'il n'apu faire Vumon des républicains et que c'est sur la classe ouvrière qu'il avait particulièrement jeté sa haine. Sowenez-vous qu'il a voulu faire supprimer Vallocation départementale de 200 francs pour Vécole maternelle. En un mot, M. Le Louédec n'a fait que le mal autour de lui et n'a réussi qu'à semer la disco'^de. Ayez toujour s à la mémoire cette affaire Podeur, qui montre cet homme sous son véritable jour et n'oubliez pas non plus Vinjare qu'il répand partout q^ie nous, ouvriers, nous ne sommes que les « BassesCartes » c'est-à-dire les gens les plus inférieurs et les plus méprisables. • Puisque nous ne sommes que des êtres insignifiants et qui ne comptent pas pourquoi venir chercher nos votes ? Une fois pour toutes, il ne les attrapas. Electeurs ouvriers, faites votre devoir, votez pour M. Courtier qui, lui, comprend vos intérêts. M. Le Louédec, dans une afïlche grotesque, se vante de ses actes : parlonsen donc. M. Le Louédec a un secrétaire (étranger au pays bien entendu) qui lui souffle tout ce qu'il doit dire, lui fait ses leltres, ses harangues, le pilote et le remplace en tout et pour tout. M. Le Louédec va très rarement à la Chambre : ne comprenant rien aux débals, il charge un camarade de voter pour lui. * M. Le Louédec est soulement connu dans les antichambres des Ministères par son tic que les huissiers s'amusent à imiter dès qu'ils le voient. Si vous voulez vous rendre compte, Vn vrai Syndicaliste. par vous-même, de la culture intellectuelle de M. Le Louédec, c'est facile : choisissez l'instant où il est seul et inlerrogez-le sur un de ces pointsi noirs Le « Seul » Républicain qui obscurcissent l'hçrizon : l'i ncurie administrative, le pillage des finances, M. Le Louédec se largue, avec une la concurrence étrangère, la cris e sair- suffisance qui n'a d'égale que son indinière, l'espionnage impuni, l'élouff econscience d'être le « seul » candidat ment continuel des scandales, la chertô républicain. Ce politicien, qui ramène de la vie, la répartilion des énormes lout à sa personne, avoue ingénuement impôts nouveaux, la dépopulation', l'in- qu'en dehors de lui il n'y a pas de répu, compétence et l'irresponsabilité goublicains, que la République c'est lui, et vernementales, elc... Il vous répondra que toute atteinte à sa personne est ua en bégayant (s'il peut arriver à vous crime de lèse-républicanisme. Cet anrépondre) quelque ânerie monumentale: cien élève des jésuites' n'est pas éloigné vous constaterez lamentablement vous- 4e croire que la République, à laquelle même que M. Le Louédec est aussi in- I ilcest venu timidement il y a à peine capable de penser que de s'expliqaeret, WLe douzaine d''années, n'existait pas à plus forte raison, d'agir. ,av;«inl lui et qu'elle est son œuvre. pJlecteurs I il serait pourtant bon de lui rafraîchir L'avenir est menaçant : La France latoftémoireà ce produit de la faculté traverse en ce moment une période ancartlholique d'Angers, qui doit sa situagoissante ; jamais lo besoin d'hommes l'ioa ipolilique, il ne faut pas hésiter à le énergiques et de bon sens au pouvoir d'ire, au château de la Porte-Néuve, ne s'est fait plus impérieusement sentir. ai'ilUé à l'Action Française, et qui ose Conflerez-vous le soin de vous repréécrire, ayant de tels appuis, que MM. senter, de défendre vos intérêts à une Corendn Guyho et Courtier sont les doublure, à un pantin qui excite la risée candidats des cléricaux et dés royalisde ses collègues et qui est dirigé par un tes. Qué vient-il nous parler de hobesecrétaire'étranger au pays. reaux, lui qui,s'est mis servilem'éiit à triQoapber^' Un groupe d6 Réppblicams. leur remorque, lui qui n'a été élu que grâce à leurs intrigues et qui n'os3 faire un geste sans aller leur en demander la permission. Rappelons-lui qu'en se présentant pour la première fois aux élections du Conseil général en 1905, il se r^clajnait, en bon pe'tit enfant de choeur, de' ses oncles « le chanoine Le Louédec, directeur du petit séminaire de Quimper », et du docteur Le Louédec qui fut l'adversaire le plus résolu de la République dans notre ville. Il est bien venu, après avoir invoq lé de tel% parrainages, et s'est ainsi mis en servage devant les défenseurs du Trône et de l'Autel, de prétendre ê're le « seul » républicain, et de dénier c j litre à ceux qui l'ont toujours été ou qui même ont'contribué à fonder la République au moment où il fallait du courage et de l'abnégation pour se dire républicain, alors que lui n'est venu au régime, avec sa Iroupe d'affamés, que pour en tirer profit I La République, pour lui, c'est l'assiette au beurre ! Mais c'est fini maintenant et on le lui fera bien voir ! A PROPOS DU BOBBET Il n'y avait pas trois mois que nous étions au Conseil municipal que M. Le Louédec, avec une mauvaise foi caractérisée par le dépit de son échec, voulait jeter immédiatement le discrédit sur la gestion administrative municipale de Quimperlé. J'ai eu l'occasion de lui répondre une fois à ce sujet et j'ai démontré que si M. Le Louédec se vantait d'avoir laissé dos disponibilités, ces disponibilités étaient insuffisantes pour payer les dépenses qu'il avait lui-même engagées. Il.y a une chose bien simple : on me reproche d'avoir une mauvaise gestion, d'avoir ruiné la ville, d'avoir mis à sec la caisse du receveur municipal. Je demande des précisions. Il ne s'agit pas de jouer sur les mots et les chiffres. Les électeurs sont juges. Mon compte administratif est à leur disposition; ils peuvent le consulter. Ils y trouveront des crédits réservés, des crédita dépassés et des crédits annulés faute d'emploi comme on en trouvera dans les comptes administratifs de M. Le Louédec. M. Le Louédec sait bien — et il doit l'affirmer ou il esl de "mauvaise foi — qu'un maire peut présenter en fia d'exercice un reliquat d'autant plus important que certaines dépenses sont passées sous silence. C'est ce que faisait M. Le Louédec. Je le mets au défit de me prouver que le reliquat de 5919 fr. 21 était suffisant pour payer les dépenses engagées. Entre mon arrivée à la mairie ol lo vole du budget additionnel j e n'ai engîifçé c o m m e dépenses, que les suivanies: KO f r a n c s , c o m m e subvention a u s y n dicat d'Initiative. HfjO francs, a u s y n d i c a t du B r a i m e n t . .')00 f r a n c s pour a c h a t s et r é p a r a t i o n s d'instruments d e musique. 400 f r a n c s , pour a c h a t de livres a u x bibliothèques s c o l a i r e s . Il n e s ' a g i t p a s d e d i r e : vous d é p e n s e / , vous gaspillez. Indiquez les dépenses que j'ai faites. S'il y a eu g a s p i l l a g e il ne s'agit pas de le dire, il faut le prouver. Quand il nous faudra voter des crédits pour p a r f a i r e les dépenses de l ' a g r a n dissement du c i m e t i è r e vous nous j e t t e : rez e n c o r e la p i e r r e mais vous ne direz p a s a u x é l e c t e u r s que nous s o m m e s obligés de p a y e r le terrain que vous a v e z laissé d e r r i è r e le m u r . V o u s devriez, puisque vous ê t e s en si bonne voie, v o u s v a n t e r de la belle et bonne opération que vous a v e z faite en a c h e t a n t l'immeuble R o m a n c e r pour l'Hôtel d e s P o s t e s . V o u s vanterez-vous que c e t immeuble a coûté fort c h e r à la ville, que vous l'avez a c h e t é s a n s enquête de c o m m o d o et i n c o m m o d o , que vous a v e z m i s sur le dos des contribuables un e m p r u n t de 3 2 . 0 0 0 f r a n c s pour a v o i r un Hôtel d e s P o s t e s que nous M'avons pu e n c o r e a v o i r , p a r c e que, (1 >ns v o t r e incurie vous n'avez pas pris lu précaution de p a s s e r un c o n t r a t f e r m e a v e c l'administration des P o s t e s et T é l é g r a p h e s . Dira-t-on que tout s e p a s s a régulièr e m e n t et l é g a l e m e n t s o u s le r é g i m e de M. L e L o u é d e c ? Dira-t-on qu'en s a qualiié de Maître-Absolu, il n e passait p a s o u t r e a u x décisions de son Conseil Municipal? E l à propos de l'acquisition de c e t immeuble R o m a n c e r veut-il bien nous dire s'il s'est c o n f o r m é à l a délibération du Conseil municipal, délibération qui a v a i t été prise s u r la proposition de M. Piton et d ' a p r è s laquelle on ne devait donner a u c u n e suite au projet d ' a c h a t s a n s c o n n a î t r e d a n s quelles conditions le c o n t r a t serait p a s s é e n t r e la ville et l'administration des P o s t e s . Nous p a y o n s des c e n t i m e s additionnels pour g a r a n t i r l^annuité de l'emprunt d e 3 2 . 0 0 0 fr. VEcho de Bretagne dit e n c o r e que c'est de notre faute. Quant a u x parties de n o t r e p r o g r a m m e qui n'ont p a s e n c o r e r e ç u leur exécution n o u s n'avons j a m a i s pris l ' e n g a g e m e n t d e tout faire en un a n . C h a c u n sait que nous a v o n s d'abord solutionné les questions qui étaient e n g a g é e s et qui ont présenté certaines difficultés. 1° A g r a n d i s s e m e n t du c i m e t i è r e à l a suite d'une faillite. 2» Construction de b u r e a u x d'octroi. L e s p o u r p a r l e r s sont e n g a g é s pour la transformation de l ' é c l a i r a g e . Une solution serait d é j à i n t e r v e n u e si une nouvelle proposition pour l'installation d e l'électricité n'avait été f a i t e H e s proj e t s de c o n t r a t sont prêts et nous ne dés e s p é r o n s p a s de voir Quimperlé éclair é e à l'électricité en 1914. Des p o u r p a r l e r s sont é g a l e m e n t eng a g é s a v e c M. Marsille pour l'acquisition d'un terrain propre à la c o n s t r u c tion d'un lavoir dans le quartier de l'Hôpital. Un projet d'adduction d'eau au Poulou e s t à l'étude et quoiqu'on disent nos dét r a c t e u r s l'eau i r a au Poulou m a l g r é e u i peut-être, mais à leur g r a n d ahurissement. Tout c e l a ne s e fait pas en un jour. A côté de tout un p r o g r a m m e ' de const r u c t i o n s , d'améliorations, il y a aussi la question financière. Un projet d'emprunt s e r a soumis au Conseil municipal pour faire f a c e a u x dépenses qu'il y a u r a lipu d ' e n g a g e r . M. L e Louédec r e p r o c h e à la municipalité d'avoir voté quelques c e n t i m e s additionnels pour équilibrer le budget et en conclut par là que c'est la preuve d'une m a u v a i s e gestion. Nous allons lui poser une dernière question. Puisque le fait d e voler des centimes additionnels d é m o n t r e une m a u v a i s e gestion municipale, que dira-l on au m a i r e de l a c o m m u n e de B a n n a l e c - r p a r t i s a n et défenseur a r d e n t de M. L e L o u é d e c — qui fit v o t e r l'an dernier plus de 8 0 c e n t i m e s pour insuffisance de r e v e n u s et qui c e l l e a n n é e en dem a n d e 7 2 à son conseil municipal. J e ne ferai p a s à mon collègue M. T a n g u y l'injure de p e n s e r , c o m m e M. L e Louédec, qu'il peut ê t r e m a u v a i s administrateur. Kn r é s u m é , mon a d v e r s a i r e e s s a i e d e tromper l'opinion publique a v e c celle question budgétaire, mais le bon s e n s d e s E l e c t e u r s est là pour lui répondre demain. Quimperlé lui prouv e r a une fois de plus qu'il en a a s s e z de s a politique qui n'a fait que s e m e r l a division d a n s le parti républicain. ' A< C o u r t i e r , Maire fM de Quimperlé. Basses Cartes Hier soir j'assistais à une réunion publique chez M. T r é g u i e r , Industriel r u e Ducouôdic. M. L e L o u é d e c s e trouva a u x prises a v e c M. Courtier. A un c e r tain moment M. Le L o u é d e c r e p « ) c h a à M. Courtier d'avoir menti en affirmant que M. L e G a c , de K e r l a v a r e c , avait dit au Maire de Quimperlé : « V o u s êtes l'élu des B a s s e s C a r i e s ». Et bien, moi qui ne suis qu'un simple ouvrier, j e dis que c'esk M. L e L o u é d e c qui ment en affirmant qûe son ferm i e r n'a pas tenu c e l a n g a g e . J e dis aussi que dès le matin de d i m a n c h e M. L e Louédec avait donné des o r d r e s en conséquence pour faire de l'obstruction. Nous s a v o n s quelle e s t i m e M. L e L o u é d e c a pour la c l a s s e ouvrière. Il nous c o n s i d è r e quand il a besoin de nos voix ; a u t r e m e n t et en d e h o r s de c e l a il nx)us méprise. J e dis a u t r e c h o s e . Au lendemain des élections du Conseil municipal de Quimperlé, des a n c i e n s conseillers de M. L e Louédec ne s e g ê n a i e n t pas pour tenir un l a n g a g e e n c o r e plus o r d u r i e r à notre a d r e s s e . Nous m o n t r e r o n s demain que « les B a s s e s C a r i e s » comptent pour quelque c h o s e . Un o n v r i e r menuisier. DIINTON DE COHCARNEliU de conseiller général et, dans neuf mois, de celui de député. Nous espérons être là ce j o u r , cher maître absolu, et nous pourrions avoir à causer. En attendant, voulez-vous parier une chope, que vous battrez mon record ? J e ne suis qu'un pauvre bi-révoqué, de par votre volonté absolue ; vous ferez un tri-révoqué par la volonté des électeurs de Quimperlé. Allons, tiens bon la rampe, Julot, et cramponnes-loi à tes fidèles gardes-corps enrubannés et palmés : ils te conduiront une fois de plus à la défaite. Merci, --mon c h e r Directeur, de votre aimable accueil, et croyez à mes sentiments les meilleurs." EDMOND Élection au Conseil d'Arrondissement DU . , Oui, Pourquoi ? M. Le Louédec prétend qu'il est resté six ans vagué et incolore attaché au ministère de la J u s t i c e . Gomment se fail-il qu'il n'y ait pas poursuivi s& carrière, et, comme la plupart des autres, pourquoi n'est-il pas entré dans la magistrature ? C'est que, de deux choses l'une, ou on l'a trouvé trop peu républicain, ou il était considéré comme un incapable 1 C'est probablement pour c e s deux, raisons. PODEUR, Mes a m i s ont pensé qu'ayant lou.jours habité le pays, j'étais mieux p r é p a r é à en connaître les besoins, p ir c o n s é q u e n t à rendre les plus grands s e r v i c e s à notre beau canton. .Jusqu'ici, j e n'ai eu à m'occuper que des intérêts de la commune de Lanriec, Je m'y suis consacré avec toute mon activité, tout mon dévouement et le désir d'administrer avec j u s t i c e . Plus que Jamais, j e demeure attaché û cet idéal républicain, que nous poursuivons ensemble, et à la réalisation duquel nous aspirons depuis longtemps, idéal de Paix sociale, de Progrès, de J u s t i c e de Liberté. Le mandat dont vous voudrez bien m'honorer, Je le remplirai avec conscience, en soutenant nos idées républicaines. J e m'eflorcerai, par les vdîux que formule le conseil d'arrondissement, de bien servir les intérêts dont vous me confierez la défense. Marins, ouvriers, cultivateurs, c o m m e r çants, vos intérêts me sont connus, j e m'engage à les défendre avec toute mon énergie et à m'occuper de la prospérité du canton. Pas d'abtension, tous aux urne». Vive la République ! Vive le Canton de Concarneau ! Y. Sellin, Maire de l.anriec, Candidat d'Union Républicaine. Ce que pensent de lui ses Collègues — Alors quoi, disait l'un d'eux l'autre Jour à un de nos concitoyens, vous allez casser notre guignoî, — Bah ! déclara un autre conseiller général, la perte de Jules ne sera pas grande, car c'est un sot entier et la moitié d'un aliéné 1 Ses Procédés Tous les soirs, sous la conduite du Ghat-huant Barbenzinc, une bande de hiboux et de crapauds, recrutée parmi de j e u n e s galopins préalablement g r i s é s , parcourt de 10 h. à 11 h. les rues de Quimperlé, troublant le sommeil des habitants, pour Jeter aux étoiles le nom de M. Le Louédec. Ces procédés nocturnes, — p o u r essayer de faire croire à une popularité disparue et qu'il est réduit à s e p a y e r à l u i - m ê m e , — tous les citoyens commencent à en avoir assez et réclament le droit d e ' dormir lranquillen]ent. Il n'y a pas de danger qu'il fasse circuler ses dix ou quinze Jeunes braillards durant le Jour car on les aurait vivement renvoyés se faire moucher le nez par leurs mamans. L'autre soir ils ont été bien reçus, et, j u s t e sous les fenêtres du déprimé, ils ont été accueillis par les cris de « A bas Le Louédec ! la chique à Chocolat!-A l'eau les quat'sous ! » Gela a suffi pour les faire s'enfuir de tous cotés et n o t r e - a g i t é , qui venait de paraître en bannière à sa fenêtre pour les remercier, est prestement rentré dans sa coquille d'escargot. Quand on en arrive à saouler des enfants pour s'en faire acclamer c'est qu'on est bien Uni ! Un petit Souvenir I Vous êtes prié d'assister à la débâcle de JULES LE DÉPRIMÉ qui aura lieu le dimanche 3 août, à 23 heures.. Le deuil sera conduit par Barbenzinc, Tacques 1 " , Ravachol, le flâneur du Pont Isole, l'enfonceur d é p o r t é s , Pilate et le Mal Nommé. L'insigne sera la fleur d'innocence dont Barbenzinc est l'image. On est prié de n'apporter ni fleurs ni couronnes, les poireaux de ses décorés suffiront. Les rares amis qui assisteront au cortège auront droit à un morceau de la veste. De la part de ses cousins et arrières cousins. 11 n'y a pas de lettres de fairepart, le présent avis en lient lieu. Mon c-hcr Directeur, Me donnerez-vous l'hospitalité de votre Journal pour ollrir, c o m m e il y a 15 mois (et avec le môme bonheuiv espérons-le) tous mes vœux à l'Unique républicain de Quimperlé; J'ai nommé Chocolat 1 " . Chaque fois que le Déprimé solliciterait le suffrage universel, J'aimerais me rappeler ainsi à son bon souvenir. Et si tous ceux qui eurent à souffrir de sa malfaisance pouvaient revenir s u r les vilenies qu'ils subirent ; si tous les électeurs se souvenaient de vos colonnes r e m plies, depuis ^ ans, des mauvaises actions du maire révoqué de Quimperlé, ils le révoqueraient demain de son mandat L e Secret d u vote La loi consacrant le secret du vote est enfin volée. Le projet est revenu à la Chambre, amendé par le Sénat : et la Chambre a adopté sans discussion le texte sénalorial. Désormais, dans toutes les élections, il sera fait usage de l'enveloppe, et il y aura une cabine d'isolement alla que l'électeur puisse mettre son bulletin dans l'enveloppe. Une troisième disposition, fort bonne, consistait à faire figurer dans les bureaux de dépouillement un mandataire de chaque candidat. Le Sénat l'avait jadis adoptée, mais la Chambre l'avait, par contre, repoussée. Elle se propose, toutefois, de la voter sous forme d'une loi spéciale, qu'on pense que le Sénat Ratifiera sans difliculté. Le Maire de Quimperlé a l'honneur de faire savoir aux électeurs qui n'auraient pas reçu leur carte, électorale, soit par suite d'omission^ ou pour toute autre cause, qu'ils pourront en réclamer des duplicata dans les bureaux de la mairie. Les électeurs qui ont changé d'adresse sont en outre priés de faire opérer ce changement également dans ces mêmes bureaux. Le Maire, A. COURTIER. PONT-AVEN POUR ETRE CHIC M e s C h e r s Concitoyens M. B e r t h o u , instrument muet de volontés é t r a n g è r e s qui le dominent ou le s u b v e n t i o n n e n t - ' M. B e r t h o u , obligé pour soutenir s a p r o p r e cau&e de faire appel à un porte-parole, — e s s a i e d'exploiter c o n t r e moi une s é r i e d'allégations matériellement fausses ou volontairement dénaturées, J e n'ai p a s à r e n d r e c o m p t e ici d'intenlîons bienfaisantes, n ' a y a n t fait, au m o m e n t e t e n vue des élections, a u c u n e des promesses dont il a parlé. J e n'ai manquié à a u c u n e des sessions du Conseil G é n é r a l o ù les intérêts de n o t r e a r r o n d i s s e m e n t é t a i e n t en jeu. J e n'ai j a m a i s refusé de r e c e v o i r un b r a v e homm% venant r é c l a m e r mon c o n c o u r s , et les n o m b r e u s e s leltres de r e m e r c i e m e n t s r e ç u e s pendant c e s d e u x a n n é e s parlent plus haut que les c a l o m nies de m e s a d i ' e r s a i r e s . Vive le Canton dp Pont-Aoen Vive la République i Corentin GUYHO, ConsPAller Général-sortant. f • • COMMUNES Arzano y Gullligomarc'h.. Locunolé llédéné Kernével Port St-Louis du Uhône, le 29 juillet l'Jl.'J A Monsieur le Directeur de L'Union Aijriolc cl Maritime, Quimperlé. Au Jour le Jour Avis aux^ Électeurs DE Nombra des électeurs «jcrit!1 lur les lùsUs ^^ctorsles da 1813 330 366 545 329 376 430 1.769 708 742 413 1.7G0 711 739 -411 1.941 9''4 1.943 903 527 5(j5 1.338 m DIffirence en en plut molr.i « » liO 5 » » ' n » 3 2 2 » Névez Nlzon Pont-Avan lliec sur-Bélon... .-379 1.321 Baye Glohars-Carnoot. Mellac Qulmparlé Tréméven 159 1.329 359 2.208 316 166 1.321 387 2.331 :m i> Querrien Salnt-Thurlen... Soaép 855 474 1.782 859 474 1.820 M Totaux.... 18^47 18.237 T>n 2 1 9 3 » 191» Le Comité Républicain Canlonal. Mes Ghers Concitoyens, En acceptant de poser ma candidature au mandat de cons'iiiler d'arrondissement du canton de Concarneau, j'ai cédé à de nombreuses sollicitations, dont J'ai été peisonnellement très touché. Ancien secrétaire en chef bi-révoqué de la Mairie de Quimperlé, secrétaire de mairie à Port-Saint-Louis-du-Rhône (Bouchendu-Rliône.) N. B. — Un conseil au Maître absolu : qu'il n'oublie pas dans son afl'olement de voter pour lui-même. CANTON AOUT ÉLEC-rtiURS, M. Roulland, pour raisons âe santé, a déclaré ne pouvoir accepter le renouvellement de son mandat; le Ûomilé Républicain du canton de Çoncariieau, appelé à lui choisir un successeur, a désigné, à l'unanimité, Yves SELLIN, Maire de Lanriec, et le recommande à vos sutl'ragès. Ça ne Colle plus I M. Le Louédec, depuis quelques années, faisait marcher l'administration au doigt et à l'œil, par la crainte qu'il avait répandue dans le monde des fonctionnaires en faisant par vengeance « sauter » quelques-uns d'entre eux. Mais ce temps-là n'est plus ! Les instructions données aux préfets et aux sous-préfets sont cette fois formelles, et il leur est enjoint de rester tranquilles et surtout de ne pas prêter leur appui aux députés, comme M. Le Louédec, qui ne cessent de voter contre le gouvernement. Déjà, du reste, à plusieurs reprises, la désharmonie a été constatée entre le préfet et le sous-préfet, dont les discours et les actes étaient, tant à Bannalec qu'à Quimperlé, une sévère leçon adressée à M. Le Louédec et que, M. Le Louédec seul, dans son incommensurable sottise, n'a pas pu encore comprendre. Epave abandonnée par tout le monde, éconduit par tous les ministères, sa prétendue influence est désormais évaporée, au point qu'une recommandation de lui ne peut que faire le plus grand tort à ceux qui perdent encore leur temps et leur indépendance à le sôllic.iter. 3 voir à FtSHlON-HOUSE LORIENT t Ses Chemises Ses Cravates Ses Chapeaux Prix inconnus Partout ailleurs CHROIUOE REIllOlliLE ll^a^eigucuncul Par arrêté de M. le Président du Conseil, ministre de l'Instruction publique et des Heaux-Arts, en' date du 17 Juillet 1913, M. Navarre, professeur à l'école normijile de Quimper, pourvu du certificat d'aptitude .à l'inspection primaire; a été nommé Inspecteur [ j ' classe), de l'enseignement primaire à Ghâteaulin^ en remplacement de M. Petit, qui a reçu upe aulre destination. L'Ouverture de l a Chasse L'ouverture de la chasse est fixée dans le Finislèr»', le Morbihan, les Côtes-duNord, rille-et-yHaine et la Loire-Inférioure, au dimanclw? 21 septembre. 1 » 17 7 » 28 123 14 » 8 1 » 14 38 a )t w 242 54 4 Nous rappelons que le scrutin s e r a ouvert dans les diverses comhiunes, à 7 h. du matin pour ôtre clos à six heures du soir. Par arrêté de M. le Préfet du Finislere, en. date du ;jO Juillet 1913 : M. Corric Alfred, agent-voyer principal de 2" elasse à Quimper, a été élevé à la 1 " classe de son grade ; M. Uuyader Paul, agent-voyer principal de classe à Quimperlé, a été élevé à la 2" c l a s s e ; Hamon Pierre, agent-voyer ordinaire de 3« classe à Bannalec, a été élevé à la 2° classe ; M. Gautier Jean, agent-voyer ordinaire de 3« classe, chef de bureau de M. l'agent-voyer en chef à.Quimper, a été élevé à la 2« classe ; M. Vasseur Adolphe, agentvoyer auxiliaire de 2° classe à Scaër, a été nommé agent-voyer ordinaire de 4» classe. AU PROGRES Maison QUETTIER 55, rue du Port — LORIENT (à droite en desreruianl la Bove) LA P L U S ANCIENNE LA P L U S IMPORTANTE LA MEILLEURE MMSÛN O'HiSlLlEWIENT DOUf Romiiies. Jeunes Gens & Eniiats Maison de Conflance consacrée 4 5 ans de Succès par Quimperlé Le bal des courses. — A l'occasion des courses de Quimperlé qui auront lieu le 10 août, un grand bal public sera donné le s n r à 9 h. 1/2, dans la Halle Saint-Micliol sous les auspices de l'Union Commerciale et Industrielle. . lintrées : salle, 0 fr. 25 ; galeries, 0 fr. 50. Succès Scolaire, - Notre Ecole su- périeure de j e u n e filles v i e n t d'avoir un brillant succès au concours d'admission aux Rlcoles normales, qui lundi dernier 27 juillet. a commencé 24 Klèves ont été reçues à cet examen ; 14 à rKcoie Normale d'Institutrices de Quimper, M"'" Rio, de Bannalec, reçue 1 " ; Le Gofl', de Quimperlé, reçue 2" ; Kersalé, de Douarnenez, reçue 3* ; Blocg, de Plliouhinec, reçue Diriou, de Kerfeunteun, reçue 9" ; Labory de La Forest, reçue 10* ; Kervella de St-Pierre QuilWgnon, .reçue 12* ; Kerivel, de Douarnenez, re(jue J3' ; Croc, de Morlaix, reçue 15* ; Toullec, (le Pont-l'Abbé, reçue 22« : Coroller, de Gonearneau, reçue 24' M/ossec, de Brest, reçue 20* ; Mlles Barré de CoiïCqLroe^if, polou, de Plougastel, sont admises sur la Ustje supplémentaire. 3 élèves ont été reçues à l'Ecole Normale de Rennes : M"" Leuglet de Pont-l'Abbé, KéryelJ, de Douarnenez, Kerborieu, de Plouhigneau. 3, à Laval : M"" Hascoët de Doëlan, Guillou, de La Peuillée ; et Bernard, de Poullan. à S,t-Bfieuc : M"- Bauguion, de Clohars, Briant, de Lç-ndefiieau. Une, à l'école i^orm.ij^le de Vannes : M"' Hue| de Sarzeau ; et une à l'école .N'ornîale (J^ St" Etienne : .M"" Faurie, de St-EUenne. Le ventre de Quimperlé. — 11 a été abattu pendant le mois de Juillet 1913, 27 bœufs, 7 taureaux, 2 génisses, 16 vaches, 335 veaux, 119 moutons, 1 chevreau, 32 porcs. Jfecensement des jeunes gens de la classe i f f i ^ . — Le Maire de la ville de Quimperlé dçnne ayis qu'en exécution de la loi sur le recruteii?ei;it de l'année que les Jeunes nés en 1893 s.oftt ,teji;ius (^e se présenter à la Mairie, s'ils ont leur domji cile légal à Quimperlé, pour y fa^re leu^ inscription s y r les tab\éaux (jle r,ec^ençement et y formuler les Fépj[?L.n}aii.Qps .(j^j'ilç auraient à faire valoir, La loi oblige les parents ou tuteurs à faire inscrire les Jeunes gens empêchés. Baye Accident. - M. Pierre Derrien, au service de M. Guillaume Picard, cultivateur à Kermorial en Baye, est atteint de plaie de la malléole externe du pied gauche par suite d'un coup de faucille. Le docteur Le Stunf, à Quimperlé, lui a prescrit quelques j o u r s de r§pos. M. Picard est assuré à la G'« générale d'assurances contre les accidents. Locuuolé Accident. — M. Louis Perron, au service de M. Pierre Nigen cultivateur à P r a ténou en Lqcunolé, est atteint d'impotence fonctionnelle di^ gepou gauche, par suite d'une chute de voiture,' ' '' • ' " - Le Docteur Martin fils à Quimperlé lui a prescrit un repos de 15 Jours. M. Nigen est assuré à la C< ' = Générale d'assurances contre les accidents. Mellac Accident. — M. J a c q u e s Lozachmeur, au service de M. André Ollivier, cultivateur à Kergoz en Mellac, présente un écrasement (|e la phalangette du médius et de l'index de là'ma)fit gauche qui a été prise dans une machine à Ï)àttr0;' Le docteur Martin fils à Quimperlé lui a prescrit un mois de repos. M. Ollivier est assuré à la C"= Générale d'assurances contre les accidents. Concarneau Orage. — Dans la soirée de mardi à mercredi un orage d'une extrême violence s'est abattu sur la région de 9 h. à 10 h. Le tonnerre et surtout les éclairs se s u c cédaient sans interruption, avec une rapidité et une intensité inaccoutumées. iU'ne pluie diluvienne est tombée pendant 1 h. 1, 2 environ. On signale au village de Questel en Beuzec-Gonq, un incendie qui a été occasionné par • la foudre à line meule de foin appartenant ^ Le Crùnè, propriétaire audit village. Sauvetage. — Dans la m ê m e soirée, une femme employée à l'usine Billette e t C'S quai Pénérofi, en notre ville, sortait après le travail fini, lorsque trompé par l'obscurité e f croyant marcher de plein Pied s'en alla droit tomber dans le bassin. A ses cris, un marin thonnier nommé Le Bris, de Concarneau, se Jeta résolument à l'eau et avec beaucoiip de ' péii>ç, parvint à ramener cette femme à terré, qui se cramponnait désespérément à lui. Beuzec-Conq 2'- Fête du Guy. — La Comédie Française à Concarneau. — La Fille de Roland, la représentation du phef d'œuvre de Bornier, qu'on nous annonce, promet d'être un événement artistique considérable. En dehors de l'intérêt d'une interprétation de premier ordre : Sociétaires de la Comédie Française et princi- v ol lo vole du budget additionnel j e n'ai e n g a g é c o m m e dépenses, que les suivantes : 1()0 f r a n c s , c o m m e subvention a u s y n dical d'Initiative. 2 0 0 f r a n c s , a u s y n d i c a t du B â t i m e n t . .')00 f r a n c s pour a c h a t s et r é p a r a t i o n s d'instruments d e musique. 400 f r a n c s , pour a c h a t de livres a u x bibliothèques s c o l a i r e s . Il n e s'agit p a s de d i r e : vous dépensez, vous gaspillez. Indiquez les dépenses que j'ai faites. S'il y a eu gaspillage il n e s'agit p a s de le dire, il faut le prouver. Quand il nous faudra voler des crédits pour parfaire les dépenses de l ' a g r a n dissement du c i m e t i è r e vous nous jetler rez e n c o r e l a p i e r r e mais vous n e dir e z p a s a u x é l e c t e u r s que nous s o m m e s obligés d e p a y e r le terrain que vous a v e z laissé d e r r i è r e le m u r . V o u s devriez, puisque vous êtes en si bonne voie, v o u s v a n t e r de la belle / et bonne opération que vous a v e z faite en a c h e t a n t l'immeuble R o m a n c e r pour l'Hôtel d e s P o s t e s . V o u s vanterez-vous que c e t immeuble a c o û t é fort c h e r à l a ville, que vous l'avez a c h e t é s a n s enquête de c o m m o d o et incommodo, que vous a v e z m i s sur le dos des contribuables un e m p r u n t d e 3 2 . 0 0 0 f r a n c s pour a v o i r un Hôtel des P o s t e s que nous n'avons pu e n c o r e avoir, p a r c e que, ( h n s v o t r e incurie vous n'avez pas pris lu précaution de p a s s e r un c o n l r a l f e r m e a v e c l'administration des P o s t e s et T é l é g r a p h e s . Dira-t-on que tout s e p a s s a régulièr e m e n t et l é g a l e m e n t sous le r é g i m e de M. L e L o u é d e c ? Dira-t-on qu'en s a qualité d e Maître-Absolu, il n e passait p a s o u t r e a u x décisions de son Conseil Municipal? E l à propos de l'acquisition de c e t immeuble R o m a n c e r veut-il bien nous dire s'il s'est c o n f o r m é à la délibération du Conseil municipal, délibération qui a v a i t été prise s u r l a proposition de M. Piton el d'après laquelle on ne devait donner a u c u n e suite au projet d ' a c h a t s a n s c o n n a î t r e dans quelles conditions le c o n t r a t s e r a i t p a s s é e n l r e la ville el l'administration des P o s t e s . Nous p a y o n s des c e n t i m e s additionnels pour g a r a n t i r l'annuité de l'emprunt d e 3 2 . 0 0 0 fr. IJEcho de Bretagne dit e n c o r e que c'est de notre faute. Quant a u x parties de n o i r e p r o g r a m m e qui n'ont pas e n c o r e r e ç u leur exécution n o u s n'avons j a m a i s pris l ' e n g a g e m e n t d e tout faire en un a n . C h a c u n sait que nous a v o n s d'abord solutionné les questions qui étaient e n g a g é e s et qui ont p r é s e n t é c e r t a i n e s difficultés. ; 1° A g r a n d i s s e m e n t du c i m e t i è r e à la suite d'une faillite. 2» Construction de b u r e a u x d'octroi. L e s p o u r p a r l e r s sont e n g a g é s pour la transformation de l ' é c l a i r a g e . Une solution s e r a i t déjà intervenue si une nouvelle proposition pour l'installation de l'électricité n'avait été f a i l e H e s proj e t s de c o n t r a t sont prêts et nous ne dés e s p é r o n s p a s de voir Quimperlé éclair é e à l'électricité en 1914. Des p o u r p a r l e r s sont é g a l e m e n t eng a g é s a v e c M. Marsille pour l'acquisition d'un terrain propre à la c o n s t r u c tion d'un lavoir dans le quartier de l'Hôpital. Un projet d'adduction d'eau au Poulou e s t à l'étude et quoiqu'on disent nos dét r a c t e u r s l'eau i r a au Poulou m a l g r é e u i peut-être, mais à leur g r a n d ahurissement. Tout c e l a ne s e fait pas en un jour. A côté de tout un p r o g r a m m e ' de constructions, d'améliorations, il y a aussi la quèslion financière. Un projet d'emprunt s e r a soumis au Conseil municipal pour faire f a c e a u x dépenses qu'il y a u r a lifii d ' e n g a g e r . M. L e Louédec r e p r o c h e à la municipalité d'avoir volé quelques c e n l i m e s additionnels pour équilibrer le budget et en conclut par là que c'est la preuve d'une m a u v a i s e gestion. Nous allons lui p o s e r une dernière question. Puisque le fait de voler des c e n l i m e s additionnels d é m o n t r e une m a u v a i s e gestion municipale, que dira-t on au m a i r e de l a c o m m u n e de B a n n a l e c — p a r t i s a n e t défenseur a r d e n t de M. L e L o u é d e c — qui fit voler l'an dernier plus de 8 0 c e n l i m e s pour insuffisance de r e v e n u s et qui c e l l e a n n é e en dem a n d e 7 2 à son conseil municipal. J e ne ferai p a s à mon collègue M. T a n g u y l'injure d é p e n s e r , c o m m e M. L e Louéd e c , qu'il peut ê t r e m a u v a i s administrateur. Kn r é s u m é , mon a d v e r s a i r e e s s a i e de tromper l'opinion publique a v e c c e t t e question budgétaire, mais le bon s e n s d e s E l e c t e u r s est là pour lui répondre demain. Quimperlé lui prouv e r a une fois de plus qu'il en a a s s e z de s a politique qui n'a fait que s e m e r l a division d a n s le parti républicain. A< C o u r t i e r , Maire de Quimperlé. Basses Cartes Hier soir j'assistais à une réunion publique chez M. T r é g u i e r , Industriel rue Ducouëdic. M. L e Louédec s e t r o u v a a u x prises a v e c M. Courtier. A un c e r tain moment M. Le L o u é d e c r e p r o c h a à M. Courtier d'avoir menti en affirmant que M. L e G a c , de K e r l a v a r e c , avait dit au Maire de Quimperlé : « V o u s êtes l'élu des B a s s e s C a r t e s ». E l bien, moi qui ne suis qu'un simple ouvrier, je dis que c'est M. L e L o u é d e c qui ment en affirmant qïte son ferm i e r n'a pas tenu c e l a n g a g e . J e dis aussi que dès le matin de d i m a n c h e M. L e Louédec avait donné dès o r d r e s en conséquence pour faire de l'obstruction. Nous s a v o n s quelle e s t i m e M. L e L o u é d e c a pour la c l a s s e ouvrière. Il nous considère quand il a besoin de nos voix ; a u t r e m e n t et en d e h o r s de c e l a il n-ous méprise. J e dis a u t r e c h o s e . Au lendemain des élections du Conseil municipal de Quimperlé, des a n c i e n s conseillers de M. L e L o u é d e c ne s e g ê n a i e n t p a s pour tenir un l a n g a g e e n c o r e plus o r d u r i e r à notre a d r e s s e . Nous m o n t r e r o n s demain que « les B a s s e s C a r t e s » comptent pour quelque c h o s e . XJn ouvrier menuisier. de conseiller général et, dans neuf mois, de celui de député. Nous espérons être là ce jour^ cher maître a,bsolu, et nous pourrions avoir à causer. En attendant, voulez-vous parier une chope, que vous battrez mon record ?' J e ne suis qu'un pauvre bi-révoqué, de par voire volonté absolue ; vous ferez un tri-révoqué par la volonté des électeurs de Quimperlé. Allons, tiens bon la rampe, Julot, et cramponnes-toi à Les fidèles gardes-corps enrubannés et palmés : ils te conduiront une fois de plus à la défaite. Merci, vmon c h e r Directeur, de votre aimable accueil, et croyez à mes sentiments les meilleurs." EDMOND PODEUR, Ancien secrétaire en chef bi-révoqué de la Mairie de ()uimperlé, secrétaire de mairie à Port-Saint-Louis-du-Rhône (Bouchendu-Rhône.) N. B. — Un conseil au Maître absolu : qu'il n'oublie pas dans son afl'olement de voter pour lui-même. Ce que pensent de lui ses Collègues — Alors quoi, disait l'un d'eux l'autre Jour à un de nos cùnciloyens, vous allez casser notre guignol ? — Bah ! déclara un autre conseiller général, la perte de Jules ne sera pas grande, car c'est un sot entier et la moitié d'un aliéné ! Ça ne Colle plus I M. Le Louédec, depuis quelques années, i'aisail marcher l'administration au doigt et à l'œil, par la crainte qu'il avait répandue dans le monde des fonctionnaires en faisant par vengeance « sauter » quelques-uns d'entre eux. Mais ce t e m p s - l i n'est plus ! Les instructions données aux préfets et aux sous-préfets sont cette fois formelles, et il leur est enjoint de rester tranquilles el surtout de ne pas prêter leur appui aux députés, comme M. Le Louédec, qui ne cessent de voter contre le gouvernement. Déjà, du reste, à plusieurs reprises, la désharmonie a été constatée entre le préfet et le sous-préfet, dont les discours et les actes étaient, tant à Bannalec qu'à Quimperlé, une sévère leçon adressée h M. Le Louédec et que, M. Le Louédec seul, dans son incommensurable sottise, n'a pas pu encore comprendre. Epave abandonnée par tout le monde, éconduit par tous les ministères, sa p r é tendue influence est désormais évaporée, au point qu'une recommandation de lui ne peut que faire le plus grand tort à ceux qui perdent encore leur temps et leur indépendancè à le solliciter. Oui, Pourquoi ? M. Le Louédec prétend qu'il est resté six ans vague et incolore attaché au ministère de la Justice. Gomment se fait-il qu'il n'y ait pas poursuivi sa carrière, et, comme la plupart des autres, pourquoi n'est-il pas entré dans la magistrature ? C'est que, de deux choses l'une, ou on l'a trouvé trop peu républicain, ou il était considéré comme un incapable ! C'est probablement pour c e s deux, raisons. Ses Procédés Tous les soirs, sous la conduite du Chat-huant Barbenzinc, une bande de hiboux et de crapauds, recrutée parmi de j e u n e s galopins préalablement g r i s é s , parcourt de 10 h. à H h. les rues de Quimperlé, troublant le sommeil des habitants, pour Jeter aux étoiles le nom de M. Le Louédec. Ces procédés nocturnes, — pour essayer de faire croire h une popularité disparue el qu'il est réduit à.se p a y e r à l u i - m ê m e , — tous les citoyens commencent à en avoir assez et réclament le droit de' dormir tranquillenient. Il n'y a pas de danger qu'il fasse circuler ses dix ou quinze Jeunes braillards durant le Jour car on les aurait vivement renvoyés se faire moucher le nez par leurs mamans. L'autre soir ils ont été bien reçus, el, j u s t e sous les l'enôlres du déprimé, ils ont été accueillis par les cris de « A bas Le L o u é d e c ! la chique à Chocolat!'A l'eau les quat'sous ! » Cela a suffi pour les faire s'enfuir de tous cotés et notre agité, qui venait de paraîire en bannière à sa fenêtre pour les remercier, est prestement rentré dans sa coquille d'escargot. Quand on en arriveà saouler des enfants pour s'en faire acclamer c'est qu'on est bien fini ! Un petit Souvenir I Port St-Louis du IlhOtie, le 21» Juillot 1913 A Monsieur lo Directeur (le L'Union Aijriolc el Maritime, Quimporlé. Mon cher Directeur, Me donnere/.-vous l'hospitalité de votre Journal pour offrir, c o m m e il y a 15 mois (et avec le môme b o n h e u r espérons-le) tous mes vœux à l'Unique républicain de Quimperlé ; J'ai nommé Chocolat 1 " . Chaque fois que le Déprimé solliciterait le suffrage universel, j'aimerais me rappeler ainsi à son bon souvenir. Kl si tous ceux qui eurent h souffrir de sa malfaisance pouvaient revenir s u r les vilenies qu'ils subirent ; si tous les électeurs se souvenaient de vos colonnes remplies, depuis ^ ans, des mauvaises actions du maire révoqué de Quimperlé, ils le révoqueraient demain de son mandat Vous êtes prié d'assister à la débâcle de JULES LE DÉPRIMÉ qui aura lieu le dimanche 3 août, à 23 heures.. Le deuil sera conduit par Barbenzinc, Tacques 1 " , Ravachol, le flâneur du Pont Isole, l'enfonceur d é p o r t é s , Pilate et le Mal Nommé. L'insigne sera la fleur d'innocence dont Barbenzinc est l'image. On est prié de n'apporter ni fleurs ni couronnes, les poireaux de ses décorés suffiront. Les rares amis qui assisteront au cortège auront droit h. un morceau de la veste. De la part de ses cousins et arrières cousins. Il n'y a pas de lettres de fairepart, le présent avis en lient lieu. Nombre dei électtura /^jicrits sur les il«Ui électorales de 1813 Diffirence en en plut inoini 329 376 430 » 2 1 5 u 1 K7G0 '(Il 739 "411 » 9 n » Kernôvel Melgven Le Trévoux 547 ?30 366 425 1.769 708 742 413 Névez Nlzon 1.941 9'" 4 r,22 Rlec sur-Bélon... 1.321 Baye Clohars-Garnoot. Mellac 159 1.329 359 2.208 316 166 1.321 387 2.331 m M 14 859 474 1.820 4 U Salnt-Thurlen... ii55 474 1.782 Totaux.... 18.047 18.237 Qulmparlé Soaèr AOUT 1913 ÉLECrtiURS, M. Roulland, pour raisons Se santé, a déclaré ne pouvoir accepter le renouvellement de son mandat; le Comité Républicain du canton de Çoncari\eau, appelé à lui choisir un successeur, a désigné, à l'unanimité, Yves SELLIiN, Maire de Lanriec, et le recommande à vos suffragés. Le Comité Républicain Cantonal. Mes Chers Concitoyens, En acceptant de poser ma candidature au mandat de cons-jiUer d'arrondissement du canton de Concarneau, j'ai cédé à de nombreuses sollicitations, dont j'ai été peisonnellement très touché. Mes amis ont pensé qu'ayant tou jours habité le pays, j'étais mieux préparé à en connaître les besoins, p.ir conséquent à rendre les plus grands services à notre beau canton. .Tusqu'ici, j e n'ai eu à. m'oocuper que des intérêts de la commune de Lanriec, j e m'y suis consacré avec toute mon activité, tout mon dévouement et le désir d'administrer avec justice. Plus que j a m a i s , j e demeure atlaché à cet idéal républicain, que nous poursuivons ensemble, et h la réalisation duquel nous aspirons depuis longtemps, idéal de Paix sociale, de Progrès, de J u s t i c e de Liberté. Le mandat -dont vous voudrez bien m'honorer, j e le remplirai avec consciencP!, en soutenant nos idées républicaines. J e m'efforcerai, par les vœux que formule le conseil d'arrondissement, de bien servir les intérêts dont vous me confierez la défense. Marins, ouvriers, cultivateurs, c o m m e r çants, vos intérêts me sont connus, j e m'engage à les défendre avec toute mon énergie et à m'occuper de la prospérité du canton. Pas d'abtension, tous aux urne». Vive la République ! Vive le Canton de Concarneau ! Y. Sellin, Maire de J.anriec, Candidat d'Union Républicaine. La loi consacrant le secret du vote est enfin volée. Le projet est revenu à la Chambre, amendé par le Sénat : el .la Chambre a adopté sans discussion le texte sénatorial. Désormais, dans toutes les élections, il sera fait usage de l'enveloppe, et il y aura une cabine d'isolement aliu que l'électeur puisse mettre son bulletin dans l'enveloppe. Une troisième disposition, fort bonne, consistait à faire figurer dans les bureaux de dépouillement un mandataire de chaque candidat. Le Sénat l'avait jadis adoptée, mais la Chambra l'avait, par contre, repoussée. Elle se propose, toutefois, de la voter sous forme d'une loi spéciale, qu'on pense que le Sénat .ratifiera sans dilliculté. POUR ETRE CHIC xM. B e r t h o u , instrument muet de volontés é t r a n g è r e s qui le dominent ou le s u b v e n t i o n n e n t - » M. B e r t h o u , obligé pour soutenir s a p r o p r e c a u s e de faire appel à un porte-parole, — e s s a i e d'exploiter c o n t r e moi une s é r i e d'allégations matériellement fausses ou volontairement dénaturées. J e n'ai p a s à r e n d r e c o m p t e ici d'intenUoos bienfaisantes, n ' a y a n t fait, a u m o m e n t e t e n vue des élections, a u c u n e des promesses dont il a parlé. J e n'ai manquas à a u c u n e des sessions du Conseil G é n é r a l o ù les intérêts de n o t r e a r r o n d i s s e m e n t é t a i e n t en jeu. J e n'ai j a m a i s refusé de r e c e v o i r un b r a v e homm'é venant r é c l a m e r mon c o n c o u r s , et les n o m b r e u s e s lettres de r e m e r c î e m e n l s r e ç u e s pendant c e s deux a n n é e s parlent plus haut que les calomnies de m e s a d v e r s a i r e s . Vive le Canton de Pont-Ai^en ! Vive la République / Corentin QUYHO, ComoAller Général-sortant. Pont-Avan 3 A. COURTIER. CANTON DE PONT-AVEN M e s C h e r s Concitoyens Gullligomarc'h.. Locunolé Rédéné DU Le Secret du vote Le Maire de Quimperlé a l'honneur de faire savoir aux électeurs qui n'auraient pas reçu leur ^carte électorale, soit par suite d'omission'^ou pour toute autre cause, qu'ils pourront en réclamer des duplicata dans les bureaux de la mairie. Les électeurs qui ont changé d'adresse sont en outre priés de faire opérer ce changement également dans ces mêmes bureaux. COMIMUNES Élection au Conseil d'Âprondissement Au Jour le Jour Avis aux^ Électeurs ie CANTON DE 1.5)43 903 527 565 1.338 » 3 » m 3 2 )) » r, » 17 » l » 28 123 » » » M • voir à FASHION-HOUSE LORIENT 1 Ses Chemises Ses Cravates Ses Chapeaux Prix inconnus Partout ailleurs GBROIIIIDE RElHOHiLE li^p^ei^neineut Par arrêté de M. le Président du Conseil, ministre de l'Instruction publique et des Beaux-.\rts, en' date du 17 juillet 1913, M. Navarre, professeur à l'école normale de Quimper, pourvu du certificat d'aptitude ^ l'inspection primaire; a été nommé Inspecteur (•ji" classe), de l'enseignement primaire à ChâteauliU; en remplacement de M. Petit, qui a reçu Ufie aulre destination. L'Ouverture de l a Cliassc L'ouverture de la chasse est fixée dans le Finislèrt', le Morbihan, les Cùtes-duNord, rnie-et-yilaine et la Loire-Inférioure, au dimanolw? 21 septembre. 1 Ay^enls-Voyers 14 Par arrêté de M. le Préfet du Finislèi-e, en date du :J0 juillet 1913 : M. Corric Alfred, agent-voyer principal de 2» classe ix Quimper, a été élevé à la 1 " classe de son grade ; M. Ouyader Paul, agent-voyer principal de ;•}' classe à Quimperlé, a été élevé h la classe; Hamon Pierre, agent-voyer ordinaire de 3« classe à Bannalec, a été élevé à la 2« classe ; M. Gautier Jean, agent-voyer ordinaire de 3" classe, chef de bureau de M. l'agent-voyer en chef à.Quimper, a été élevé à la 2 ' classe ; M. Vasseur Adolphe, agentvoyer auxiliaire de 2" classe à Scaër, a été nommé agent-voyer ordina;ipe de 4* classe. 8 1 » 38 M 242 54 Nous rappelons que le scrutin s e r a ouvert dans les diverses comtnunes, à 7 h. du matin pour être clos à six heures du soir. AU PROGRÈS Maison QUETTIER 55, pue du Port — LORIENT (à droite e n desrerutant la Bove) LA P L U S ANCIENNE LA P L U S IMPORTANTE LA «IMSÛN O'HiSlLLEWENT Dour Rqiqiiibs. Mm Maison MEILLEURE liens & Eolaots de Connance consacrée 4 6 ans de Succès ' par Quimperlé Le bal des courses. — A l'occasion de.s courses de Quimperlé qui auront lieu le 10 août, un grand bal public sera donné le s n r à 9 h. 1/2, dans la Halle Saint-Michel sous les auspices de l'Union Commère cinie el Industrielle. Entrées ; salle, 0 fr. 25 ; galeries, 0 fr. 50. Succès Scolaire, - Notre Ecole supérieure de j e u n e filles vient d'avoir un brillant s u c c è s au concours d'admission aux Ecoles normales, qui a commencé lundi dernier 27 juillet. 24 Kléves ont été reçues à cet examen ; 14 à l'Ecole Normale d'Institutrices de Quimper, M"'" Rio, de Bannalec, reçue 1 " ; Le Gofl", de Quimperlé, reçue 2* ; Kersalé, de Douarnenez, reçue .3* ; Blocg, de Plhouhinec, reçue T ; Diriou, de Kerfeunteun, reçue 9" ; Labory de La Forest, reçue 10' ; Kervella de St-Pierre Quilbignon, .reçue 12* ; Kerivel, de Douarnenez, reçue 13' ; Croc, de Morlalx, reçue 15* ; Toullec, de Pont-l'Abbé, reçue 22" : Coroller, de Concarneau, reçue 24'M/ossec, de Brest, reçue 2(j« ; Mlles Barré de Çoncqirne^^, polou, de Plougastel, sont admises sur la Ijsfe §i;ppl,émen taire. 3 élèves ont été reçues à l'Ecole Normale de Rennes : M"" Leuglet de Pont-l'Abbé, KéryeU, de Douarnenez, Kerborieu, de Plouhigneau. 3, à Laval : M"" Hascoët de Doëlan, Guillou, de La Feuillée ; et Bernard, de Poullan. à §,t-Brieuc : M"" Bauguion, de Clohars, Briant, de LQ-ndepneau. Une, à l'école i)^orm.?!le de Vannes : M'-' Hue^ de Sarzeau ; et une à l'école " Nornjale <je ' St: Etienne : M"' Faurie, de St-Etienne. Xie v e n t r e de Quimperlé. — 11 a été abattu pendant le mois de juillet 1913, 27 bœufs, 7 taureaux, 2 génisses, 16 vaches, 335 veaux, 119 moutons, 1 chevreau, 32 porcs. ^eçensement des jeunes gêna de la, classe im^. — Le Maire de la ville de Quimperlé (i(?nn,e ayis qu'en e.véculion de la loi sur le recruteineijt de l'année que les j e u n e s nés en 1893 s.o'i?;t ,teflus 4.e gô présenter à la Mairie, s'ils opl leur domji cile l é p l à Quimperlé, pour y fa^re leUiT inscription s j j r les tableaux "(^e r.ec^en$ement et y formuler les Fép}5i.n?aJti.QBÎs auraient à faire v.aloir, La loi oblige les parents ou tuteurs à faire inscrire les j e u n e s gens e m p ê c h é s . Baye Accident. — M. Pierre Derrien, au service de M. Guillaume Picard, cultivateur à Kermorial en Baye, est atteint de plaie de la malléole externe du pied gauche par suite d'un coup de faucille. Le docteur Le Stunf, k Quimperlé, lui a prescrit quelques j o u r s de r^pos. M. Picard est assuré à la C'« générale d'assurances contre les accidents. Locunolé Accident. — M. Louis Perron, au service de M. Pierre Nigen cultivateur à Praténou en Lpcunolé, est atteint d'impotence fonctionnelle du gepou gauche, par suite d'une chute de voiture,' ' • •• - Le Docteur Martin fils à Quimperlé lui a prescrit un repos de 15 j o u r s . M. Nigen est assuré i\ la C® Générale d'assurances contre les accidents. Me I l a c Accident. — M. J a c q u e s Lozachmeur, au service de M. André Ollivier, cultivateur à Kergoz en Mellac, présente un écrasemerit c^e la phalangette du médius et de l'index de la ' m a j h gauche qui a été prise dans une machine à "bàttrg;' Le docteur Martin fils à Quimperlé lui a prescrit un mois de repos. M. Ollivier est assuré à la G'" Générale d'assurances contre les accidents. Concarneau Orage. — Dans la soirée de mardi à mercredi un orage d'une extrême violence s'est abattu sur la région de 9 h. à 10 h. Le tonnerre et surtout les éclairs se s u c cédaient sans interruption, avec une rapidité et une intensité inaccoutumées. Une pluie diluvienne est tombée pendaiit 1 h. 1,2 environ. On signale au village de Questel en Beuzec-Conq, un incendie qui a été occasionné par la foudre à Une moule de foin appartenant M. Le Cràné, propriétaire audit village. Sauvetage. — Dans la m ê m e soirée, une femme employée à l'usine Billette e t C ; quai Pénérofi, en noire ville, sortait après le travail fini, lorsque trompé par l'obscurité et croyant marcher de plein p^ed s'en alla droit tomber dans le bassin. A ses cris, un marin Ihonnier nommé Le Bris, de Concarneau, se j e t a résolument à l'eau et avec beaucoiip de ' pèii^ç, parvint à ramener cette femme à terre, qui "sè cramponnait désespérément à. lui. Beiizec-Conq 2' Fête du Guy. —La Comédie 'Française à Concarneau.— La Fille de Roland, la représentation du chef d'oeuvre de Hornier, qu'on nous annonce, promet d'être un événement artistique considérable. En dehors de l'intérêt d'une interprétation de premier ordre : Sociétaires de la Comédie Française et princi- •im paux pensionnaires de l'Odéon, le charme du théâtre en plein a i r e s t incontestable. Dans toute la France une admirable renaissance du théâtre de la nature prouve combien cette forme primitive Ja seule vraiment rationnelle, répond à un besoin populaire. Les salles du spectacle surchauffées n e permettent pas de goûter pleinement les beautés de la grande poésie lyrique, les décors de toilijs peintes étoulFeut ou tout au moins r e s s e r r e n t les superbes envolées poétiques de nos classiques tragédies et leurs descendants des drames historiques. La Nature seule est un cadre digne des Héros et des Dieux et ces personnages souvent si conventionnels près des ciels de frises reprennent aussitôt sous les véritables d e u x , une vie réelle simple e t naturelle. Celui qui n'a j a m a i s assisté aux spectacles en plein air, ne peut savoir combien c e s représentations au milieu de la verdure augmentent la sensation d'art que provoque toujours l'audition d'une œuvre puissamment émouvante. Nous engageons donc tous nos concitoyens a assister il cet intéressant spectacle, sur qu'ils rossenti' ront à l'audition de la Fille de Roland des sensations nouvelles et pour dire plus insoupçonnées. Tréguiic Kiilln Briend Gustave, de Pont-l'Abbé, a été admis au certillcat supérieur de sciences physiques, chimiques et naturelles. 42, Place Saint-Michel Q U I M P E R L E Tribunal correctionnel de Quimperlé Audience du 29 juillet 1913 Quimperlé. — L'ivresse. — Clémence PierreLouis, 31 ans, braconnier domicilié au Goréquer h Quimperlé a été rencontré par les gendarmes le 17 Juillet courant sur la place Guthiern en état complet debriété. 15 jours de prison. Soaër.— Pour des échalottes et des oignons. — Prat Bertrand fi? ans, journalier à St-Thurien, a été surpris, le 17 Juillet courant, par Mme Colin, débitante au bourg de cette commune en train de voler des échalottes à M- Deschen-r nés instituteur. Il a dérobé en outre deux oignons danx leljardin de iMme Colin. Comme depuis plusieurs mois les voisins du prévenu sont victimes de nombreux vols de légumes le Tribunal inllige à Prat dont l'incpaduite est notoire, 15 jours de prison ayeC sursis. ClQljars-Çarnoët. Le juillet 19^3 le gardp tniriiline Cacjet, dressa procès-verbal à Mahé Julien, 27 ans, patron du b,ateau ^a Sfirce/i0,demeurant à^erampeilayt en iVjo^lan, pour, avoir navigué h pojjlan, les 3 et 7 Juillet ^913, avec des homnips quj n'éti^ient pas portés sur son rôle d'équjpage. Peu satisfait, Mahé pqtregea grossièrement je garde f^def. Le nommé i^imon François, 34 ans, marin^ pMclieur, qui se trouvait à bord de la Siarcelh en lit autant. 8 Jours de prl.ion chacun avec sursis pour les outrages. Mahé est en outre gratifié pour la contravention maritime de 25 francs d'amende également avec sursis. H Y D R O P I S I E - - Gonflement figure, de la mains, des pieds, surtout villes pouvant membres des che- se généraliser et à tout le aux M SHAKERS Trailemenl Normand UN r l i E T I I E i s i i ^ K œ : . U iloi M Ê pur la Uorge MESDA •V> A ^ O U E I R Pour le S9 Septembre 1914 FERME A KERVAVÉON EN RÉDÉNÉ de 20 hectares. Bien plantée çl^ç^, pommiers. 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Il est habile et tres, Boulons, Ulcères, Plaies, Maux de .ïamennemi des pots-de-vin. bes, Vices (lu sang, etc., de demander à l'ins" 'fUlectem, vQtre çUoix es^ fait. tjlul Normand, .'iS, rqe .^riqanq'-Carrfil, à itouen, l'iutéressiinlo brochure explicative AUX UBNKS ET PAS D'AB»TL^T1QN, illustrée, la(|uolle conliont tous les renseigneQuimper uienls et est adressée gratis et franco. — Prix Lycée de Ç u i m p e r . — Voici les r é du trailemenl, 6 fr., T'" Ph'". Franco, Û fr. OU. Dépositaires : Quimperlé, Pharmacie Norsultats complets des examens du baccamale, HABRIAL; Lorient, Pharmacie Normale, lauréat, session de juillet 1913 : BOU'thkLIICU, 1, rue des Fontaines ; ConcarClasse de mathématique^^ - Pierre Colin. neau. Pharmacie .MOCUDE ; Hosporden, PharJean Gaie. Léon GrlIVon, nieiilion assez-bien ; macie GHAPEL ; Scaftr, Pharmacie KEREVEUR René Kéruzoré, Jean Le Grand, mention assezbien ; Adolphe Le.spert, Kmiie Quinlin, Hippolyte Sérazin. ,, , , . . . . B ^ i l ^ f i f t B ? wSlteViMnfSfl'ÎM Classe de philosophie. - Léon Brandi, Muximllien Fitamant, Lionel Floch, Marcel JiiMeaux, Auguste I.e Bras, Jean Le Koux, Alphonse Proutier. ' Classe de Première. — Jean Diival, mention très bien; Joseph Flochiay, mention assez bien ; Alain Caste!, mention assez bien ; I|ervo Lenogré, Ken^ Loussouarn, I.ueien i recthtonf, Léon Driart, merilion assez bien ; Jean Goavec, mention assez bien ; Léon I.e Coz, i>ierro Le Mouroux, Henri Iloignanl, Joseph Bolorol, Pour guérir rapidement les granulation» mention assez bien ; Jo8Ci>h Gourmelen, iiienl'enrouement, la fatigue de la voua, les anlion assez bien ; Léon Le l'âge, Jean l'ennagines herpétiques et autres, les picotements run Pierre Terrier, menlion assez bien. de la gorae, la touao sèche d'irritation, faites u s a g e d e s T A B L E T T E S OU D ' V A T E L . Une Nos félicitations aux élèves, aux prolesseurs boîte de tablettes du docteur Vatel est expéet à l'administration du lycée. diée franco contre mandat-poste de 1 Ir. 35 Succès d'anciens élèves du lycée de Qumpej. adressé à M. BERTHIOT, rue des Llona, 14 — Le Meudec Charles, de Quimper vient d fttre à Parla. admis dans l'un des meilleurs rangs a l'Institut national agronomique. • Béboh Maut-ico, de guimpor, a etu classe 1 aux examens do 1" année de l'Kcole supérieure de commerce de Nantes. M fMM it— « M r ffM ifHiiéê •MMMTI , , WTVfaMTHM « rttêrét, m Bideau Isidore, de Plonéour-Lanvern a subi éMtVM avec succès devant la Faculté des sciences de Rennes les trois examens suivants : " 1 ? certificat de sciences physi<|ucs, chimiques, et naturelles; 2» certillcat de zoologie, mention assejs-bien ; 3° certificat de botanique goention assez-bien. A ç^e Maison 5 HËlimE m a r q u e s diverses, qu'il a marchandées, p a y é e s finalement 12 ou 15 fr. et a v e c lesquelles il a des ennuis. • M C F I E Z - V O U S , c'est un maladroit qui s e te rîiSlià n i '^'^sé rouler p a f un m a r c h a n d roublard, il no din^^eru pas m i e u x vos affaires que les siennes. 2° c a s Des enveloippes vélo Michelin à tringles, qu'il a payées 10 f r „ des c h a m b r e s ii a i r r o u g e s Michelin qu'il a payées 7 fr. PHARMACIEN LAURÉAT Prix)|(ie l'Ecole de Pharmacie, 2 Médailles d'Or, 1 Diplôme d'Honneur corps. ~ P R I E AUX CONSOMMATEURS APPEL AU BON SENS H A B R I A L , du dessous des yeux, des Les liquides absorbés en m ê m e temps que votre nourriturçs 'pendant un mois ont le même p.oids que votre corps entier. La plus grande partie de ces liquides doit traverser les reins (fuJ/;. rognons) e t tout l'appareil urinaire. Qn imagine ?aoilemenHes troubles qui suvv^enc^r^ient si les reins ou les canaux u n n a i r e s s e bouchaient subitement. En quelques heures, lies m e m b r e s e t tout le ço.rps gontiieraiient d'une façon efiVayantd. C'est ce qui se prûchtil dans l'hydropisie. ' On donne le nom d'hydropisie aux en.^ flures blanches, molles, des chevilles, des membres, du corps : si le doigt presse sur ces enflures, il laisse son empreinte fféniase le 22 juillet, u n e et la peau met un certain temps à rede i\ mois, de couleur noire prendre son état normal, avec taches blanches, cornes commenLes ponctions qui enl^ven^ Veau accuçant à pousser et un peu écartées. Cette Les chiens chasseurs. — Malgré les avertismulée dans cer^i,ne.a parùes du corps bête d'une valeur de 120 fr. environ est sements qui leur sont donnés à chaque audien[oscile\ fl^ dPtr.uiseat pas la cause de l'hyan très bon état. Prière k la personne ce, de nombreux cultivateurs ne tiennent £|u-; cjf.o,pisie.qu> l'aurait recueillie, d'en aviser M. Le cun compte de l'iu-rêté préfep(;p,r£^l prj^ d^ns Ip Les l^ilules Poster (Quimperlé : pharDœuf, cultivateur h Trévighon en Trebut cje préyenjr Ifi cjest^^uptifin 'dés'fiiseau:vi et macie Habrial) agissent immédiatement continuent H lajssor divaguer leurs chiens. Kunc. Lcscunll sur les reins et tout l'appareil urinaire ; Pour ce motii, (Kiadeo Hené, ans, journaelles augmentent la quantité des urines lier agricole h. Sl-Cadol en Melgven ; Branquet Accident de travaU. - Mardi vers 9 Pierre, 43 ans, cultivateur à Kernéguen en qui entraînent ainsi avec i'©au en heures du matin le j e u n e Adrien Lucas, Scaër ; Fiche Louis, 65 ans, cultivateur àParcexcès, les sels et liquidas qui causent âgé de 17 ans, domicilié à Douarnenez houal, même commune et Carnot Yves, 26 ans, ces enflure^. était employé comme apprenti maçon cultivateur à Kergoat en Melgven, ont récolté •ifAUiéspharraaoies (3 fr. 50 la boîte s i x au service de l'entrepreneur M. Nouis, chacun 16 francs d'amende. boites pour 19 francs) ou franco par poste ; qui construit actuellement une maison Les deux derniers (jpi seqls bénéficié de la Spécialités Poster, H. Binac, pharmacien, d'école h ï^esponil. Lycas qui revenait sur iQt qp surfîis;"' ' 25 rue Saint • Ferdjti e m û r i p T ^ i aVbip l^orjéi jjo oiseau dé nand, Paris. — Den?^nmortier aux maçons posa le pied sur une dez et exigea, bien, les pierre mal assujettie qui lui fil perdre l'ey4r^tabJea,PijuiiesF0iSquilibre et tomba dans le vide sur le fossé ^ s ù m i M 'ÇER, pour les Heins; du champ voisin d'une hauteur de 9 H i f U / v s o r t La Tisane Américaine des Shakers est un refuse2i0u faites-vous mètres environ. Relevé aussitôt par les moyen des plus efficaces pour aider Vas^ rembourser tout c e ouvriers, le malheureux qui avait perdu tomac, le foie et les intestins à f e t t t f qui ne porte pas la marionnaiseanoe fût çléposé dans le débit de principes ndUrriçièrt de'v6é 'alinJiçtits et i{ fejàter• lès "clècéets l)ôrs"^u çprps. J^ — que déposée ci-contre. ( W i ô u , p^ria^nt ^^e sa famille et le OJoins que les organes digestifs n'accom-: médecin furent prévenus. Ce dprmer après plissent bien leurs fonction^, d,^ n'ç ^u^ai^ «voir constaté l'état de gravité du jeune |tre fqrt et tiîoçi portapt. Venez donc éo ï^uoas décida d'^rgeRpe son transport à fiide 4 i'estqmaç, foie et au* intestins en i'hôpital de Pont-L'Abbô, ^naQt de laTisane Américaine des Shakers. de la chicorée Extra Leroux d'en r e tourner les vignettes TOUS LES ANS AU 30 AVRIL à M. A. LEROUX à Orchies (Nord). Au moment où, par toute la France, se reLes Vignettes non expédiées pour cette éponouvellent par moitié les conseils généque sont valables pour les années suivantes. raux et d'arrondissements, on nous commuD'un goût exquis, d'un arôme agréabji:ji, Q u i m p e r l é . — Marché {du Août. — cette chicorée se • trouve dan^ içufes içs. nique une note qui n'est inspirée par aucune considération politique. Taureaux, le kilo., 0.60 îi 0.65 ; bœufs de épiceries. Le fait est trop rare pour que nous résistions boucherie, 0.70 à 0.75 ; vaches de boucherie, EVllpER ^KS I N l i T A T I Q I ^ au plaisir 'de l'innorer. 0.5D à 0.60 ; bœufs de travail, ordinaire bouvillons, 5ê; à 60 fr. ; vaches laHl'ères,^ É L E Ç T K r a ! ! 145 à 32p ; génisse^', l^Q àSlQ; chevaux, très L e V p r o f e s s i o n s de foi s'oublient, les élevé ; porcs, I.IQ h. 1.2p le kil. ; moutons, fjommeg restent avec leurs qualités, leurs 0.80 à Q.85; veaux, 0.85 à 0.90 f r . ; froment, Qelta intlrmilé effrayante par ses suites .^ptitud^s, ieur^^périence. . „ 19.»» à 2Q.»» ; seigle, 18.»» h ; trop souvent mortelles, est arrêtée, préorge, 29.»» à ; garragin, 2^.)V>. à yous faut des copsejllepg aptifs, lionvenue, au point qu'aucun danger n'est 23.»)> ; avoine, • ï£|.»)) à 20.».»; pommes nêUiS et bons administrateurs. désormais ^ redouter avec la méthode de de terre les 100 kil., 6,.»» à 7.»» ; Vote% donc pour un pandiJat eijergiVéminent spécialiste M. J . G L A S E R , beurre le kil., 2.10 à 2.20 ; œi\fs la douz., que, entpainé auj^ e.Jfercjces physiques : boulevard Sébastopol 38, & Paris. |.10 à 1.20 ; foin,' les 5,00 kil, 3Q.»» à ; par exemple, celui qui ppali|:|ue la bicyAussi, avant d'acheter un bandage quelpaille, les 500 kil., âf.»» à £(5.»» ; son, l e s clette saura s'occuper des cliemins dont conque, les malades des deux sexes a t 100 kil., 17.»» à }8,)i>! ; farine, 1'» qualité, l'entretien rentre dans les attributions de teints de hernies doivent-ils demander à 38.»» à -Sil.»» ; 2» qualité, 95.»» à 30 frl'assemblée, _ ., M. Glaser sa nouvelle et instructive brochure e.xpliquant clairement comment la Pour j u g e r ses capacités aaanci^res, il hernie se soigne et peut se guérir, et qu'il est un moyen infaillible : enverra avec la date de son-passage d^îji^^ E l i B i - e t a ^ n e Le candidat e s t cycliste, quels pneus la région. emploie-t-il ? 1 " c a s - Des enveloppes de Encore une guérison par le PERDU G . près La Gare de la l-'orêt, en Quimperlé, exploitée par M»" V " FENNEC. Jouissance au 29 septembre 1913. é'adresser pour traiter à M. BLONDEAU, chez Mme LE MARTELOT, place des Ecoles h Quimperlé, ou audit notaire. Etude de M" Bigor, h Bannalec A liTIllîl RURALE lOPHIH Située au lieu de B ® r r z » n e J t , en la commune do Wernével, ayant de bous bHimenls, de très bonnes terres labourables et C hectares de belles prairies susceptibles d'augmentation. Contenance 67 journaux environ. Jouissance par mains au 29 septembre 1915. 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C'est d'abord une sensation d'étoutTement et de suffocation qui étreintlagorge,des boufféesde chaleur qulmontent au visage pour faire place aune sueur froide sur tout le corps, l.e ventre devient douloureux, les règles se renouvellent irrégulières ou trop abondantes et bientôt la femme la plus roHxiRor ec portrait buste se trouve affaiblie et exposée auxpires dangort.. C'est alors qu'il faut sans plus tarder faire une cure avec la notaire El R Immédiatement MOULIjV A EAU à Xerruat»»ux en la commune de l'ont-Scorir, avec son renable (dont 5 paires de meules) et dépendances comprenant : terres labourables, prés, Uelle carrière joignant la grand'ro'ite de Lorient. Superllcie : 3 hectares environ. On louerait séparément la carrière. 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RUEIL Usine près de la Gare Sans Concurrence Goanvic-Boédec I - O R I K N T , GORRE & G" A G R I C O L E S MOTO-BATTEUSE, Klude de Wl« Lavolé, notaire à Plouay DE A J O U V E N C E d e l ' A h b é S o u r y Nous ne cesserons de répéter que toute femme qui atteint l'âge de .10 ans, môme celle qui n'éprouve aucun malaise, doit faire usape de In a o u v E N O E de l'Abbé Soury à des intervalles réguliers. si elle veut éviter l'aftlux subit du snng an cerveau, lacongestion, l'attnqne d'npoplcxie.lariiptured'anévrisme etcequi est pis encore, la niort subite. Qu'elle n'oublie pas que le sangqui n'a plus son cours'habituel se portera de prétV'i-ence aux parties losplus faibles et y développera les maladies les plus pénibles : Tumeurs,Cancers, Métrite, Fibrôme, Maux d'estomac,d'intestins, des Nerfs, etc. La « r o u v B N O E se trouve dans toutes les Pharmacies. Le fincon 3 1, 50, franco gare 4 f. 10, les 3 tl. fr.mco contre mand'-p" 10 Ir. 5 0 adressé à ia Pharmacie Mag. DOMONTIER, à Rouen. (Kulice amtenaiit renseiytieiiienls yruHs). Ktude de IM" Lavolé, notaire fe Plouay Premier lot. Une MétAirie, située à Kerléganl, commune de Guilligomarc'h, louée à M. Boudic 550 fr. l'an. Mîse tV p r i x : 1 5 . 0 0 0 f r . mé^'VAMY ETABUSSEMEiVTS RiViBRE, JOVENET k C' A Veoilpe • VMui w vides. Le tout en très bon état. S'adresser à M. DERRIEN, à la Villeneuve-Braouïo, en Quimperlé. — - g g g g g g B g B l Eiivoi franco du Nouvel Alliuiu de Luxe D sur simple demande adressée à Emile TANVEZ, cokswtedr. mm, i b. b. b. Certifié par l'imprimeur. Vu pour 1.1 légalisation de la signature ci-contre Mairie de Quimperlé. — Imprimerie (Armand GAUTIER, Union Agricole et Maritime QUIMPERLÉ. U G<rut, L. GÀU4Ç V " . V - TU t S C ^ A n n é e ? « N» 6 2 \ ')C- Le I V u M É R O CmO g Jeudi 7 Août 1 9 1 3 CENTIMES ET MARITIME Organe Républicaiii Démocratique de la Région Pamissar.t Annonces et Réclames Annonces judiciaires (la ligne)... Annonces volontaires I éclames 20 o. 2B o. 60 o. Les annonces sont reçues au bureau du journal et, à Paris, dans foutes les Agences. On traite à forfait pour répétées plusieurs fois. Lbs ' fiiecdoiiii (iâotooaies du 3 Août 1913 i, les électeurs inscrits de plus, qu'a ga gner péniblement voix (713 voix eu 1912 et 751 eu 191B). La situation municipale de M. Courtier n'est donc pas atteinte-et les espoirs fondés par M. Le Louédec sur la communede Quimperlé se trouvent une fois de plus déçus. On ne veut plus de lui ici. En co.nparant les chiffres du scrutin de dimanche avec ceux de l'élection au Conseil général de bX)7, nous constatons également que la situation de M. Le Louédec, •ians le canton, a fortement diminué et que, si M. Courtier n'avait pas eu contre lui, près des électe u s de la campagne, le désavantage de n'être pas du pays, la face des choses aurait certainement changé. Alors que-, cette année, il y avait 553 inscrits de plus qu'en 1007 M. Le Louélec n'a obtenu, dans tout le canton, que4.7:38 voix au lieu de voix en liX)7, soit un déchet de 4C)4 voix. H perd 337 voix à Quimperlé (751 au lieu de 1.088), 12 voix a Baye (117 au lieu de 121)), IC) voix à Tréméven (178 au lieu de r.)i), 112 voix à Clohars-Carnoët et gagne seulement 13 voix, chiffre fatidique, à Meliac (18^1 au lieu de 171). . Si les éleiHioDs qui oob eu lieu dimanche ne nous out pas doQué, dans le canton de Quimperlé. toute la satisfaction que nous étions eu droit d'en espérer, en revanche celles du canton de Pont-Aven ont été, malgré les efforts désespérés et dénués de toute retenue de nos ad versaires, un magnifique succès pour la politique, propre, loyale et nettement républicaine que nous suivons ici. A Quimperlé, nous avons supporté les conséquences d'une cabale dont le but était de jeter le trouble dans l'esprit des électeurs et de mettre, pour des questions personnelles et de regrettables considérations en dehors de la politique, M. Courtier en minorité dans la ville dont il est maire. A côté des mécontents qui ont ouvertement prêché l'abstention, nous avons vu le parti réactionnaire et clérical conseiller à ses partisans de ne pas voter et même de taire campagne pour M. Le Louédec. • Que celui-ci vienne encore nous dire On volt que c'est' là un^^bîen que M. Courtier à éu les voix des hobereaux et des presbytères alors piètre résultat et que sa situation politique, loin d'être consoUdée par que lui yeul a profité dimanche, une fois de plus, de la tactique qu'ils l'élection de dimanche, s'en trouve plutôt fortement diminuée. suivent un peu partout et qu'ils ap pellent « la politique du pire ». l^t Ce résultat préparatoire et ocpour faire encore plus sûrement du casionnel est loin d'être une intort à la candidature de M. Courdication pour les élections législatitier, ils ont été jusqu'à insérer son ves de l'an prochain; à ce moment, nom, — sans le consulter et de leur il faut l'espérer, les électeurs sau propre initiative, — dans la liste ront se ressaisir et laisser de côté des candidats patronnés par leur toutes leurs petites dissensions perorgane le Nouvelliste de Bretagne, sonnelles, pour ne voir que l'insachant bien que le meilleur moyen térêt général de la F r a n c e et de la parfois, de faire du mal à quelqu'un République ! est de se dire son ami. • * De leur côté M. Le Louédec et ses Dans le canton de Pont-Aven, partisans ont mené contre M. Cour- nous avons constaté les mêmes coatier une campagne violente de ca- litions hétéroclites et les mêmes lomnies et d'insinuaMons perfides, elTorts désespérés pour faire triomils ont semé l'argent de tous côtés, pher une candidature tardive, synpayant largement à boire dans tous dicat pénible de mesquines rancunes, les débits et exerçant sur tous la de haines personnelles et d'ambipression la plus éhontée. tions sourdes qui n'osent encore Malgré tous ce^ efforts et tous se déclarer, tous s'unissant contre ces procédés, la situation munici l'homme droit, sincèrement dévoué pale de M. Courtier, que l'on vou à son pays, qui, sans compromislait surtout atteindre, ne s'en trouve sion, se présentait ia tête haute a u x pas diminuée. Insensibles à tous ces suffrages de ses concitoyens, tel petits moyens qui répugnent à leurs qu'il a toujours été. consciences, les électeurs lui ont Dans les communes de Uiec et de maintenu leur confiance, et les ou- Moëlan, où les adversaires de ^I. vriers» notamment, lui sont re.'îtés Corentin Guyho avaient c j n c e n t i é fidèles. leurs efforts, les électeurs ont consM. Le Louédec n'a pas à se glori- taté, non sans surprise, de's coalifier du résultat de la ville d"e Quim- tions étranges d'opinions totaleperlé, sur laquelle, pourtant, il avait ment opposées. concentré tous ses efforts ; il y Nous avons assisté à l'exploitation subit, en effet, un nouvel échec, éhontée de divisions locales, de froisqui lui est infligé, cette fois il sements municipaux, de jalousies ne pourra le contester, par des professionnelles, de dissensions favoix exclusivement républicaines. miliales ; à l'excitation anarchique L'aspect de la place durant toute du pauvre contre le riche, de l'ignola journée, et l'attitude des électeurs rant contre l'homme insti'uit, de a u moment de la proclamation l'individu taré contre l'homme esdes résultats, lui a bien prouvé, t i m é ; nous avons vu conduire à malgré lescris de quelques braillards l'urne, comme un troupeau, des restés sans écho, qu'il n'avait plus électeurs que l'on avait préalablepour lui l'âme de la foule. ment saturés d'alcool ; nous avons Si, par suite de l'ardente campa- vu faire appel aux instincts les gne d'abstention menée de divers plus bas de certaines catégories côtés contre lui seul, M. Courtier, d'électeurs pour les amener à la tout en conservant la majorité sur politique de sectarisme que l'on son concurrent, a perdu des voix voulait faire triompher. E t cependant malgré tous ces sur l'élection municipale de l'an dernier, M. Le Louédec, malgré ses procédés, souvent répugnants, malefforts désespérés, n'a réussi, en un gré le choix habile d'une candida^n,' alors qu'il y a cependant 123 ture paysanne, en la personne es- JEUDI et RÉDACTION, ADMINISTRATIONFTANNONCES A QUIMPERLE, Place Hervo. n* 8 bl8 T * 1 _ * F " M 0 N « , M» B Adresse TéiéfirapMqut rUnlon, Quimperlé timee du maire d'iinVcom'muné très importante, malgré l'absence de plus de 100 marins retenus à la mer par la pêche et la navigation d'été, malgré le désavantage qu'une courte fin de mandat de quelques mois n'avait pas laissé, au conseiller sortant, la possibilité de rendre tous les services que lui permettra de réaliser une.période de six années ; malgré tout enfin, ~ la candidature de M. Corentin Guyho a triomphé et il remporte la majorité dans quatre communes sur cinq. Ce succès, s'il porte un coup très sensible au clan des envieux et des sectaires qui veulent accaparer par tous les moyens la direction de notre arrondissement, est pour nous,ainsi que l'élection sans concurrent de M. le Commandant Rodallec dans le canton de Scaër, une indication très nette du désir des électeurs de revenir à la politique d'ordre, d'union et de concorde qui est celle que nous avons toujours défendue et que nous saurons faire prévaloir l'an prochain. Les abonnements se fuient d'avanee, sauf conventions ils partent du 1" ou du 16 de chaque mois. On s'abonne au bureau du Journal. On peut s'abonner igaUment, sans frais, dans tous les bureaux de poste, ou encore en adressant un mandat-poste au Directeur, m. Armand GAUTIER, place Hervo, d QuimferU. la violente campagne de calomnies menée avec acharnement contre mes amis et moi, — en dépit de manœuvres imprévues et condamnables, — vous m'avez, continué votre confiance, — vous rendant compte, avec un sûr instinct, qiie vous ne sauriez trouver un mandataire plus dévoué en même temps que plus désintéressé. De cette confiance, je vous suis profondément reconnaissant. Partisan convaincu des libertés municipales, je liens à déclarer que toutes les municipalités, sans exception, trouveront toujours chez moi un défenseur ardent de leurs droils comme de leurs intérHs. Durant les six années dont la perspective nouvelle s'ouvre de ant moi, j'espère vous prouver, mieux que pendant une courte lia de mandat, que, chez moi, les actes répondent toujours aux paroles. Vive le canton de Pont-Aven ! Vive la République ! Corentin G U Y H O , Conseiller Nous donnons ci-après les résultats dos élections au Ga&sôH^-général et- auConseil d'arrondissement qui ont eu lieu le dimanche 3 Août : FINISTÈRE DE IJUIMPERI.É Conseil Général CANTON Haye Cl'iUai-.s-Cariioot. Mollac Quimperlé... Trdméven Totaux... DE QUIMPERLÉ M. LeLouédec M.CourInscrits VotAnts 1907 1913 tier. 160 1.321 387 2.331 302 141 77!) 273 1.559 232 129 620 171 1.088 19i /».r)07 2.081 2.'J02 iMTes Chers 117 .•)Û8 IS'i 751 rs 24 267 85 756 54 1.181! Concitoyens, J'adresse aux 1 1 8 6 électeurs du canton de Quimperlé qui ont bifn voulu m'accorder leurs suffrages dans le scrutin de dimanche, mes plus vifs remerciements. Merci aux amis qui, pondant cette campagne, ont lutté à mes côtés pour défendre ma candi'iature en dépit des calomnies et des injures dont j'ai été l'objet! Merci aux électeurs de Quimperlé, merci aux ouvriers, qui, malgré les moyens employés pour les détourner de moi ont bien voulu me conserver leur confiance ; ils peuvent être assurés que, plus fermement que jamais, je saurai m'en montrer digne. La lutte est pour aujourd'hui terminée. Sans rancune pour ceux qui n'ont pas su unir leurs efforts a u x miens pour le triomphe d une politiijue républicaine, saine, honnête, j'ai l'espoir, en rentrant dans le rang, de voir les électeurs républi cains se ressaisir bientôt pour pré parer en commun le succès des rencontres futures. ' Vive le canton de Quimperlé ! Vive la République ! A. COURTIER, Maire CANTON Niziin.. Pont-Aven Uioc Totaux DE Inscrits 527 51)5 .. 1.338 .. JMTes Chera de Quimperlé. PONT-AVEN Volants M. Guyho M. Berthou 1.280 085 603 3ir, 135 480 203 350 87 363 202 ir,9 809 231 572 3.282 1.720 1.058* Compatriotes, Malgré les difficultés exceptionnelles d'une période électorale où les cultivateurs étaient absorbés par la moisson et les marins retenus en mer p a r la pèche, — malgré (jénéral du Finistère. CANTON DE SCAER Inscrits Votants M. Rodallec L'Union Agricole et Maritime. AHRO\DISSEMEI\T Nord-Ouest DIMANCHE Directeur : ArrhAnd GAUTIER '' annonces les du Querricn St-Tiiurien 85!) Scaër totaux :t28 298 474 1.S20 i-a ).l'i6 262 • 1.119 ' 3.15a 1.752 1.679 JMCes Chers Compatriotes, Je suis profondément louché el reconnaissant du nouveau témoignage de confiance que vous venez de m'accorder au scrutin du 3 août. L'énorme majorité que vous m'avez donnée, en resserrant les liens qui m'unissaient déji aux électeurs du c mton de Siaor, m'impose aussi plus impérieusement le devoir de consacrer toute mon activité et tout mon dévouement à la défense de vos intérêts," Soyez assurés que je n'y manquerai point. Qu'il me soit permis, en vous adressant mes plus sincères remerciements, d'exprimer le vœu que l'entente qui s'est faite sur mon nom soit durable dans notre cher canton de Ssaër. Vive la République I Commandant H. RODALLEC, Conseiller (jénéral du c.anlon de Sraiir. Conseil d'Arrondissement CANTON Bannalec Kernovol Mcigven Le Trévoux DE BANNALEC Inscrits Volants M. Burel Kl. Nicot I.71X) 845 711 705 711 :ni) 417 2il ;i.63l 1.S83 7:)!) /il! Totaux ;i:l7 :i66 166 l.riSI :i:i9 40:i i6;i |.(i7y RÉSULTATS D'ENSEMBLE Conseil Général ARROXDISSEMEXT Çn D E <)Unil»ER imper Inscrits, 7.305 ; votants, -i 612. Suffrages exprimés, 4.578. (Janet, conseiller sortant républicain de gauche 2.014 voix, réélu. '• !)'• IMcquenard républicain libéral 1.45').. Lévenez, socialiste unifié -47(5. Briec Inscits, 1.059 ; votants 1.282. Pennarum, conseiller sortant libéral, 1.200 voix, réélu sans concurrent. JPlogastel St-Oermain Inscrits, 1.95'J ; Votants, 4204; sulFrà-' ges'4.187. Le Bail, conseiller sortant radical, 2,4(35 voix, réélu Le IlénafT, libéral, 1.722. Donarnenez Inscrits, 8.413;, votants,, 4.228; suflrages 4.098. ' Damey, conseiller sortant républicain, 3.45G voix, élu. ' Stéphan, socialiste 604 voix. ABONNEMENTS (UN AK) Quimoerié (ville) s Finistère et départements limitrophes. 6 Autres départements 7 Colonies et ôtrjmger 10 ARROI>'D1$8EIIIE[V"|-'DÏ; fr —• — — B R E S T Brest canton Inscrits, -7.859 ; votants, 3.619. M. Moign, républicain, 1.924. M. I^hillipot, socialiste, 1.643. ' Ballottage. " ' X/andernean Inscrits, 1.94i^ ; votants, 1.293. M. de l'Hôpital, 1.133, élu. M. Calvez, socialiste, 135. " ' JHolène inscrits, 134; votants, 97. M. Larreur, 72, élu. Onessant Inscrits, 721 ; votants, 386. M. Chevillotte, conservateur, sortant, 254, élu. xM. Gontel, radical,, 127. conseiller A r r O X D I S S E I I I E X T d e .%fORLAi\ JSXorlaix M. Larher, 2099, élu. M. Lefevre, républicain de gauche, 1534. Sizun M. Charreteur, radical, 1062, élu. M. Quéméner, libéral, 985. ARR0.\DI8SE»IE\T DE CHATEAULIX Châteanlin M. le docteur Magne, rép.dém., 2336, élu. M. Tirilly, républicain, c. s., 1871. Châteannént-du-iFaou M. Dubuisson, radical, 3328, élu gans concurrent. X>e Mnelgoat ' M. Féjean, radical, c. s.^ 2050, élu sai.s concurrent. Xe Faon M. Louppe, président du conseil ral, est réélu. géné- Conseil d'arrondissement Brest 2' canton Inscrits, 14.180 ; votants, 6.762. M. Le Fur 3 i l 6 voix. M. Pineau 3.096. M. Le Borgne 517. Brest 3' canton Inscrits, 6.959 ; votants, 2.966. M. Gestin 1.356 voix. M. Julien 519. M. Hervagault 1062. Il y a ballottage pour ces 2 cantons. JPleyben M. Buhannec rép. de gauche 2890 élu. Crozon M. Balcon. 2.121 élu. Concarnean M. Sellin républicain, 1.575 élu. M. Campion. socialiste unifié, 577. Fouesnant M. Le Bris, i'ép., 1.890, réélu sans concurrent. Rosporden M. Le Gac rép. 1.191. réélu sans concurrent. Font-Croix .M. Dagorn rép.. 2.928, réélu sans concurrent. Saint-Fol-de'Xiéon M. Henri yeité. conseiller sortant, 1341, élu. Carhaix M. Robou, rép., 3000, élu, sans concurrent. Font-PAbbé M. Pierre Biger, républicain 3.304, élu. modéré, M O R B I H A N Conseil Général Ziorient, 2'' canton M. Bouligand, conseiller sort., 2.670. M. Mestric, 1498. M. Moréau, 589. i Ballotage. Font-ScorJOr M. Guyomar, cons. s., libér., 2159, élu. M. Mouélo, radical, 751. M. Le Halpert, socialiste, 1393. Fort-Iionis M. Paubert, conseiller sortant, 2242, élu. Fln-vigner M. de Kerouallan, c. s., 1607, élu. M. Evànno, républicain 787. Çniberon . M. Le Gloahec, c. s., 1513, élu. '•y • r- Etnbles. — M. Heurtel-Lamy Jean-Marie, ciant, cons. mun. de Guingamp gauche, cons. d'arrondiss., maire d'Elables, gau2.886, élu. • M. Guillois, libéral, c. s., 2102, élu. che, 1.033, élu. Belle-Isle-en-Terre. — M. Louis Uesjars, > . Si-J»MSrevela,y LanvoUon. — M. Edouard Duval, notaire, cons; d'arrond. sort., gauclie, .530, élu. M. l e comte Lan.juinais, député, c. s., maire de Lanvollon, cons. gén. sort., Mael-Carhaix. — M. Jaouen, notaire a 2070, élu. droite, 1.098,élu. Locarn, gauche. 1.723, élu. £ a Trinité Porhoet Paimpol. — M. Louis Armez, députe, Plouagat. — M. Augustin Gocbel, cons. maire de Plourivo, cons. gén. sort., gauM. le marquis du Plessis de (Trénédan, d'arroïKl. sort., droit<^, 1.266, élu. che, 2.553, élu. libéral, 951. Pontrieux. — M. Yves-Marie Le Gatlou, Pléneuf. — M. A. Urvoy de Closmadeuc, Perret, radical, 1453, élu. maire de Plôézal, cons. d'arrond. sort., maire de Planguenoual, droite, 1.182, élu. Rolian droite, 1.266, élu. Qiiintin. — M. Guillaume Limon, sénaM. de Guy, libéral, c. s., 1.885, élu. Perros-Guirec. jr M. Jean-Marje Audren, teur, maire de Sain t-Brandan, cons. gén. maire de Trébeurden, c. d'ar. s., gauche, Onéméne sort., droite, 1.280, élu. — M. Charles Baudet, député, 2.262, élu. M. Brard, député, cons. sort., 2116, élu. Plouaret. — M. F.-M. Gefl'roy, adjoint au docteur-médecin, maire de Caulnes, cons. Qonrin maire de Tonquédec, c, d'ar. s., gaucho, général sortant, gauche, 1295, élu. M. Le Bouard, c. s., lib. 1.DÔ7 élu. 2.947, élu. Evran. — M. Jean Rioche, avocat, conM. Droual, 1.315. M. Pierre-Alexandre, maire de Plounéseiller municipal à Saint-Brieuc, centre, vez-Moëdec, gauche, 2.924, élu. làocminé 154r), élu. Loudeac. — M. Henri Le Vézouet, vétériM. de Lambilly c. s. 1.345. Matignon. — M. P. Durand, négociant, naire à Loudeac, o. d'arr. sort., gauche, M. Goëtmeur, républicain, 1.387, élu. maire de Pléhérel, gauche, 1753, élu. 1.710, élu. V a n n e s (Ouest) Plélan-le-Petit. M. Louis Larère, séCoffinéc. — M. le marquis Le.iMinlier de nateur, avocat à Dinan, maire de PlélanM. Buguel, 0. s., libéral, 1374. la Motte Basse, au Gouray droite, 842, élu, le-Petit, cons. général s., droite, GG2. ~ M. D' Letoux, radical, 1395, élu. Corlag. — M. Eugène Pérennès propriéM. Joseph Béthuel, cons. mun. de Plélan, Çu«Btemhert taire-éleveur à Plussulieu droite, 1.043, gauche, 667. — Ballottage. M. le.comte de Chabannes, libéral, 2333, élu. Plouhalay. — M. Lemonnier, docteurélu. La Cheze. — M. le cte de Pelet, maire médecin il Ploubaliy, cons. génér. sort, Mnzillac de Plémet droite, 1.772. élu. extrême gauche, 801, élu. M. Mauduit, c. s., 1614, élu. Merdrignac. — M. Victor, prop., cons. Béi/ard. — M. Félix Montfort, notaire à mun. à Merdrignac, cons, d'arr. sortant, Xia Moche-JBern»rd Kermoroc'h, c. gén. s., gauche, 1729, élu. gauche, 1.950, élu. Bouvhriac. — M. Personnic, notaire à, M. (lu Boisrouvray, c. s., 2322, élu. Bourbriao, gauche, 1313, élu. Roche fort-euTerre Callac. - M. le Mis de Kerouartz, sénaM. l-'orest, député, c. s., 19G1, élu. teur, cons. gén. sort., droite, 2590, élu. Chaque boite 1 kilogramme brut ou Conseil d'Arrondissement liostrenen. — M. Francis Henry, de Rosnet. Sucre de luxe Chantenay, chaque boite trenen, gauche, 1538, élu. Zàorient /"' canton 1 kilogramme brut ou net. Sucre scié M. Lutouche, radical-socialiste, 807. Sainl-Nicolas-du-Pelem. — M. Le docrangé Chantenay, carton cuir, boites Leur Le Hénair Yves, maire de St-iNicolasM. .louan, libéral, 515.' brunes (genre Paris), contient un ticliet du-Pélem, cons. gén. sortant (gauche), Menneboni prime. 1.868, élu. M.\l, Le Grand, c. s., radical, 1.499. 30 tickets prime donnent droit à 1 kiLézardrieux. — M. Paul Le Troadeo, Kernen, rép. indép., 2.059. logramme brut ou net Sucre Chantenay. député, maire de Lézardrieux, cons. gén. lionneaud, socialiste, 753. Le Sucre Chantenay est le plus blanc, sortant (gauche), 2.012, élu. Byllottuge. le plus pur, sucre le mieux. La Jioche-Derrien, — M. le docteur Le Aurajr Rolland, maire de la Roche-Derrien, cheM.M. Duclos, radical, 1.085. valier de la Légion d'honneur, cons. gén. Martin, libéral, 1.755, élu. sortant (gauche), 1.823, élu. Provost, socialiste, 113. Plestin-les-Grèoes. — M. Louis Le Gall, X.e P a i a i s maire de Plestin-les-Grèves droite, 2.191, .M.M. Serre, radical, c. s., 1.091, élu. M. P o i n c a r é à B a r - l e - D u c élu. Craissac, socialiste, 319. Le programme du voyage de M. PoincaTi'éguier. — M. le vicomte Gustave de I*Jouay ré ù, Bar-le-Duc est arrêté définitivement. Kerguézec, maire de Plougrescant, cons. M. Faboulet de Kerléadec, lib. 2.149, élu. La veille de sa visite aura lieu une regén. sort, extrôme-gauche, 1.636, élu. traite. Belz Gounrec. — M. Georges Le Moign, anLe président de la République arrivera à MM. Pessel, c. s. 417. cien maire de Gouarec, socialiste, cons. la gare, le 17 août à 10 h. 1/2, accompagné Pevedic, radical, 794. gén. sort., 757, élu. de M. Barthou, président du Conseil. Le Rolle libéral 555. Mur. — M. le comte de Kerantlec'h-KerAprès les réceptions des autorités et des JoBBelin nezne, sénateur, maire de St-Gilles-Vieuxfonctionnaires, M. Poincaré passera en reM. du Ilalgouël, c. s. 2.180 élu. Marché, cons. gén. sort, droite, 1.161, élu. vue les sociétés locales. Il présidera un ' Manron Ploutjuenasl. — M. Georges Duval, maire banquet, visitera l'hôpital et quittera Barr MM. Le Borgne, libéral. deLangast, cons. gén. .sorL, droite, 1.810, le-Uuc pour sa résidence de Sampigny Piederrière, radical, élu. élu. 4 h. 30 de l'après-midi. Poutivy Uzel. — M. K. Ollitrault-Dureste, maire M. Barthou inaugurera le local de l'Union M. Keyser, 1.832. de Merléac, président du Comice agricole, populaire. M. de Kervnoaël, 1.706. cons. général sort., droite, 1.299, élu. A l'occasion de la visite du président de M. Robo, 212. la République auront également lieu un l'estival de musique et diverses r é j o u i s Ballottage. Conseil d'arrondissement sances populaires. , Cléguéreo ^ Saint-Brieuc (Nord). — M. Francisque Les préparatifs de la.fète sont déjà comM. Le Berre, 1.534, élu. Guyon, conseiller d'arrondissement sormencés. B»nd tant, 2.346, élu. M. Belleo, libéral, 1.851, élu. Chdtelaudren. — M. Augustin Gorbel, La R. P . cons. mun. à Châtelaudren, c. d'ar. s., Xe Fuonët Le rapport supplémentaire de M. Grousdroite, 1.296, élu.. M. Le Golm, libéral, 2.391, élu. sier sur le projet de Réforme électorale, Lamballe. — M. J.-M. Lesné, négociant M. Perron, libéral, 2.397, élu. a été favorablement accueilli par la Comk Lamballe, cons. d'arr. sortant, droite, V a n n e s (Est) mission de la Chambre, qui, après avoir 2.570, élu. M. Mœllic, maire de Séné, républicain, r e j e t é les contre-projets de MM. AugaMoncontour. — M. Jean Veillet-Dufréche, 2.190, élu. giieur, Renoult, Dessoye, J.-L. Breton, J a maire de Moncontour,cons. d'arr. sortant, M. Guyot de Salins, c. s., libéral, ne se val. etc., a définitivement arrête le texte droite, 2.286, élu. . représentait pas. suivant : Plo'uc. — M. Guillaume Allo, maire de Xa Oncilly 1° Il a été inscrit formellement Lanfains, c. d'arr. sort,, droite, 1.030, élu. M. le marquis de la Bourdonnaye, libéque « si Plouha. — M. Texier, docteur-médecin ral, 2.459; élu, le nombre des suffrages d'une liste ou à Plouha, c. d'arr. sort, gauche, 1.010, élu. M. de Talhouët, conseiller sortant, ne d'un groupement de listes atteint la maDinan (Est). — M. Pommeret, François, .se représentait pas. jorité absolue du nombre des votants, la négociant à Pleuflihen, cons. d'arr. gaumajorité absolue du nombre de sièges est Or andChamp che, 1.562, élu. attribuée à cette liste ou à ce groupement M. Oliviéro, c. s., libéral, 1.528, élu. Dinan (Ouest). — M. Henri Petibon, de listes ». Elven 2» Les départements du iNord et de la maire do Galorguen, cons, d'arr. sort, M. Le Francs, libéral, c. s., élu. Seine seront subdivisés, afin qu'aucune gauche, 1.728, élu.circonscription n'ait à élire plus de quinze Broons. — M. François Forgeoux, négodéputés. C O T E S - D U - N O R D ciant, c. mun. de Broons droite, 1,961, élu, 3" La candidature est autorisée dans Jngon. — M, Bourdé, négociant, maire Conseil Général deux départements. de Plénée-Jugon droite, 1.814, élu, ^ rio^rmel S xj c l a E s Au Jour le Jour Saint-Brieuc (miôi). — M. Julien Sainlilan, maire d'Yiïiniac, cons. gén. sort., gauche, 2.772, élu. PlanciPt. ~ M, Joseph Pilorge, médecin, cons. mun. de Gorseul, gauche. Guingamp. — M. François Kerfant, négo- [27] Feuilleton de l'Union Agricole — Vous me donniez confiance tout & l'heure, par la sympathie avec laquelle vous me parliez de ce gamin de Paris I . . . — Quand on est lancé dans une avent u r e . . . il faut bien avoir recours aux a v e n t u r l e r s i . . . Pourvu que M o s e l l ? . . . faisait Altarus, avec une inquiétude soudaine. Coqueluche \ er par Pierre S A L E S PREMIliRE PARTIE VIII Comment sauver l a reiitc ? — Faudrait être an serin poar'ae tromper, i présent 1 — Va donc, mon brave ! Oa plutôt, a l l o n s ! . . . puisque je te fais un bout de conduite. ' Bt Mosell disparut avec Coqueluche et ses gardiens. Quelques minutes s'écoulèrent, vraiment lourdes pour le prince de Furtzberg, grand-maréchal de la cour, et pour le professeur Altarus, membre correspondant de l'Académie de médecine de Paris •t des principaux instituts du monde I . . . Dans quelle aventure étaient-ils embar qués ? Quel risque courait leur vieille réputation I — C'est enfantin tout ce que nous faisons 1& 1 dit le professeur Altarus au bout d'un Instant. — Cela dépend, mon cher : en cas de réussite, c'est admirable ! . . . — Mais combien ridicule, en cas d'échecl..* ' — Quoi d o n c . . . Mosell? — Est-ce qu'on sali jamais à quoi s'en tenir, avec les p o l i c i e r s ? . . . comme avec les diplomates 1 . . . N'allait-ll pas le faire aborder a gauche, tout à l'heure I . . . où se trouve un b a s t i o n . . . avec une garde de quinze à vingt hommes, commandés par un officier l . . . — C'est par Inadvertance l — Huml Quelques minutes s'écoulèrent encore... Mosell apparaissait enfin, les mains dans les poches, le visage aussi épanoui que lorsqu'il leur avait annoncé que le prince Conrad était roulé. — Ça y est ! fit-il. -Evadé? — Sahs un accroc ! — Pourvu qu'il arrive à temps ! — Ham 1 . . . h n m ! . . . L e rire de Mosell était presque agaçant. Altarus, croyant en deviner toute la signification, marcha rudement sur lui. — Qu'est-ce que vous nous avez manigancé, v o u s ? . . . — Chut ! . . . chut ! . . . fit Mosell. E t 11 penchait l'oreille vers la fenêtre, demeurée entr'ouverte. L'insigne de la Croix Rouge Le Journal Officiel promulgue une loi qui consacre le monopole de l'emblème — Vous ne l'avez pas fait évader d'un c ô t é . . . pour le faire tuer de l'autre ? — Mon cher professeur, nous sommas dans le hasard de la bataille : vous avez voulu lui rendre sa liberté, en le char géant d'une mission d e c o n f i a n c e . . . ce qui, ea cas de réussite, peut nous faire gagner une h e u r e . . . ne fût-ce qu'une demi-heure... c'était une chance a cour i r . . . Mais 11 faudrait, par sainte-Eadoxte I qae tons nos postes fussent endor mts, pour q<ie, la ville étant en petit état de siège, ou pût en sortir sans avoir fait éclater quelque coup de f e u . . . E t s'il y reste, tant p i s . . . on l'a loyalement pré venu qu'il y allait de sa p e a u . . . — On dirait que c'est la solution que vous préféreriez, vous» - Mais, mon cher ! répliquait Mosell, avec une fureur gouailleuse : un coup de f e u . . . par la nutt que nous traversons, mais un coup de feu, c'est trois, c'est quatre, c'est dix coups de f e u . . . c'est l'alarme donnée ! . . . c'est tous ces imbéciles, qui rôdent autour de la préfecture l'arme chargée, qui voudront rallier leur poste, aller aux nouvelles... et nous aurons alorn la roule l i b r e . . . Et une fols dehors, tous les trois, sans la police de Conrad k nos trousses, c'est nous qui sortons de la ville I C'est nous qui sauvons la reine I... Nous devons bien cela, il me semble, à notre vienx souverain 1... A ce moment, un coup de feu retentis sait... E t tandis que Furtzberg détournait la tôte de la fenêtre avec dégoût, et qu'Ai- de la Croix-Rouge au service de santé miitaire et des sociétés qui lui sont rattachées. En conséquence, les commerçants qui utilisaient cet insigne comme ~ enseigne ou inarque de fabrique devront y renoncer, et les seules sociétés : Société de secours aux blessés militaires, Union des F e m m e s de France et Association des Dames françaises, composant la CroixRouge française, auront le droit de s'en prévaloir. Un sous-officier tué p a r une sentinelle Un soldat du 112'' d'infanterie de faction sur les re.nparts de la citadelle de Strasbourg découvrit, un sergent-major qui péchait dans l'eau du fossé. Le soldai, mit le sous-oHicier en état d'arreslution. Celui-ci se dégagea et prit la fuite, en dépit des sommations du factionnaire, ijui lira dans sa direction et l'atteignit niurtellement. \ i^ Le factionnaire a été immédiatement arrêté. Suivant une autre version, le sergentm a j o r avait voulu pénétrer dans une poudrière avec une femme qui l'accompagnait. Il refusa de céder aux injonctions de la sentinelle qùi l'avait invité à se retirer. L ' E n t e n t e cordiale Le « Morning Post » déclare que la France a le droit de conjpter sur l'appui de la Grande-Bretagne en cas de troubles, et.il préconise dans ce but, une augmentation de l'armée expéditionnaire anglaise de 50 à 100.00.0 lionimes. Cette armée devra pouvoir débarquer sur le continent quelques j o u r s après la déclaration de la guerre. Une telle mesure assurerait pondant quelque temps la paix l^luropéenne, en montrant clairement que l'Angleterre est prête, elle aussi, à j e t e r un poiusjsutfisamment lourd J a n s la balance. L e s Cégétistes en prison Les militants de la C. G. T. détenus pour provocation de militaires à la désobéissance, qui avaient demandé à M. Drioux, juge d'instruction, leur mise en liberté provisoire, se sont vu refuser celte faveur par le magistrat. Le réquisitoire contenait cet attendu intéressant : « Attendu que les inculpés, en refusant systématiquement toiRe explication au juge d'instruction, le contraignant à de pms longues investigations et que, à raison d e l à gravite des fails il ne saurait être question de mise en liberté — sauf pour raison de santé — avant la lin de l'instruction. . . » F r a n c e et Russie Le tzar a reçu ce matin à Péterholl" la mission militaire française ; il a donné audience en premier lieu au général Jofl're, chef de la mission, ensuite à M. Delcassé, ambassadeur de France à Sf-Pétersbourg, et entin aux membres de la missjon à chacun desquels il a adressé la parole. Un ballon allemand atterit en F r a n c e Un ballon allemand a atleri dimanche après-midi à Rupt-en-W'ievre, près de Verdun. 11 était monté par trois aéronautes civils de b'rancfort-sur-le-Mein. Le sous préfet et le commissaire spécial se sont assurés du but exclusivement sportif du voyage et de l'identité des passagers. Ils ont pris toutes les mesures de protection accessoires et se ^ ont assurés que rien de suspect ne se trouvait à bord. Ils ont autorisé le retour par voie ferrée, après acquittement des droits 'de douane. Ce ballon avait été poussé en France par des vents contraires. L a Révolution Chinoise . La scission entre le Nord et le Sud du vaste empire Chinois s'affirme de plus en plus. Des combats meurtriers se livrent chaque jour, et la sécurité n'existe plus nulle pari. tarus se cachait les yeux, où 11 était venu une petite larme — Mosell se frottait les mslDs, entr'ouvralt un peu plus les volets, avançait la tête : — Qu'est-ce que Je vous disais !... Un deuxième coup de feu retentissait, un peu plus lointain... puis deux... puis cinq ou six... une salve I . . fit, après un grand silence, on distinguait une galopade d'hommes... ' — Regardez donc, messieurs !... Les Imbéciles! Quinze, vingt, trente hommes, passaient devant eux en courant, se dirigeant vers le fleuve. — Le pauvre garçon ! murmura Altarus : il doit avoir son compte ! —• C'est probable 1... Mais nous, nous sommes libres! répondait triomphalement Mosell. * * Non I... Coqueluche n'avait pas son compte. Mais 11 s'en était fallu de peu. Il avait bien traversé, sans la moindre anicroche, le quai de la Varnlca ; et quoiqu'il eût fait pas mal de tapage pour décrocher la chaîne du canot, on l'avait laissé bien tranquille : preuve qu'on était de mèche avec lui da côté des policiers. Le courant étant assez rapide, il n'avait p»s eu ombre d'hésitation : il lui suffisait de se laisser aller, et il ne se servait guère des avirons que pour éviter les arches des ponts. L e premier fut franchi sans obstacle. Mais comme il dépassait le second, il fut aperçu ; et on lui cria quelque chose Aussi, suivant les ordres consulaires, les vapeurs qui se trouvent à Canton se tiendront prêts à embarquer à Hong-Kong les femmes et les enfantl Anglais, ainsi que les nombreux' Cliinois qui veulent quitter la ville. Mort tragique de deux officiers français Les lieutenants A y me et Montaigu, chargés d'une mission géographique dans le Laos, se sont noyés dans la traversée de la rivière de la X O I K ] à Samphy. L a nouvelle monnaie Nous avons annoncé que la monnaie de bronze va disparaître et qu'elle sera r e m p l a c e par les sous Iroués en nickel. II y aura des pièces de 5 et de 10 centimes. Mais on n'en frappera plus de 25 centimes. Un revanche, nous aurons des demisou^. La commission vient de décider la ci-èalion d'une pièce inédite, peu conforme du reste au système décimal : la [jiùce d'un demi-sou. Celle-ci sera également perforée : elle aura 16 millimètres de diamètre. Dans les Balkans — La journée de samedi, à Bucharest, s'est terminée dans l'optimisme. M. Majorisco ayant déclaré, au cours de la conférence plénière qu'il espérait qu'il n'y aur lit pas eu lieu de prolonger la suspension d armés, une conférence privée a eu lieu e i t r e les délégués serbes, grecs et bulgares. Ces derniers ont présenté les propositions de leur gouvernement concernant la frontière e t o n t demandé que le traitement assuré aux Grecs en territoire bulgare soit assuré aux Bulgares- en territoire Grec. MM. Pachitch et Venizelos ont déclaré ces conditions innacceptables, mais ils ont fait quelques concessions sur leurs conditions présentes. Un est donc entré dans la voie des concessions et il est pro bable qu'elles s'accentueront. - Les ambassadeur» ont décidé de faire aujourd'hui une démarche individuelle, mais en termes identiques, auprès de la Porte, dans le but de montrer que l'Europe est absolument d'accord sur l'évacuation d'Andrinople par les troupes ottomanes. La Russie attendrait pour agir les résultats de la conférence de Bucarest. Compagnie Française d'Assurances sur la Vie. EOTREPIUSE PRIVÉE ASSUJETTIE AU CONTRÔLE DE L'ÉTAT. Assurances en cas de décès et en cas de vie R E aux N Tt aEu xSles plusV Iavantageux. AGÈRES S'adresser : an Siège social à PARIS, 33, Rat L^attt, ou aax Agents geuéraax dans tous les Arrondissemeatt. M. Yves DAVID, Agent Général, Boulevard de ta Gare, Quimperlé GHROlIQHIOHiLB Création d'une école pratique d'agriculture Le conseil général du Finistère a d é c i d é , . dans sa session d'avril 1913, de créer dans le département, une école pratiqùe d'Agriculture. Il a demandé aux communes si elles n'avaient pas de propositions à faire au département pour le choix du domaine sur lequel l'école pourrait être établie ; n n i s la préfecture recevrait volontiers lesotl'res qui pourraient lui être faites par des particuliers. Le domaine destiné à l'école doit avoir une superlicie de 30 hectares environ, d'un seul tenant et se trouver plutôt à proximité d'un centre assez important. Le département pourrait acheter le domaine ou encore le j o u e r pour une durée de 18 années au moins. Si des particuliers avaient des offres à faire dans ce sens là, ils devraient se hâter d'en aviser la préfecture du Finistère, pour que la commission chargée du choix du domaine puisse prendre une décision avant la prochaine session du conseil général. qui devait être : « Qui va là? » ou bien : « Arrête-toi ou on fait feu ! » E n tout cas, supposant que cela allait être suivi d'un coup de feu, il fit biaiser le canot. L e coup de feu reteatlssalt, en effet, Immédiatement suivi d'un second. E l Coqueluche pouvait distinguer, dans l'arche da milieu du troisième pont, une grande animation... des lanternes qui allaient, venaient... des ombres, surmontées de sortes de bâtons qui ne pouvaient être que des fasils... — Mon vieux Coqueluche I t'as pas le poteau; mais je crois bien que tu vas essuyer tout de même les douze balles!... Il se mit doucement à l'eau, se tenant des mains à l'arrière du canot, qui passa sous une arche de côté : quelques coups de feu retentirent, avant que le canot fût entièrement, sous le pont ; et quand Tarant' parut, ce fut une véritable fusillade. Puis le silence... Puis des cris qui avalent une intonation joyeuse... On devait supposer que le gaillard était atteint et couché au fond de l'embarcatton s'en allant à la dérive — alors que Coqueluche n«gealt presque entre deux eaux, et sans aucune failgue, se soute nant à la chaîne du canot... Quelque cent mètres plus loin, il remontait dans rembarcation et donnait de toute son énergie, toute sa vitesse... Il apercevait le pont du chemin de fer... Il était donc hors de la ville... Sauvé, s a n s doute?... E t il allait se livrer à quelques réflexions dont la première était : B o u r s e s ii attribuer a u x é c o l e s supérieure» de C o m m e r c e en I U I 3 M. le Ministre du Commerce et île l'Industrie vient de fixer ainsi qu'il suit le nombre de bourses de l'Elat qui pourront être attribuées, lors de la prochaine rentrée, aux élèves des écoles supérieures de Commerce, savoir : Bordeaux. 3 ; Dijon, 3 ; Le Hûvre, •»' ; Lille, 3 ; Lyon, Z 3/4 : Marseille, 3 ; MontpoiUer, 2 ; Nancy, 1 1, 4 ; Nantes, 2 ; Koole des Hautes études commerciales, 3 3/4 ; Ecole supérieure pratique dé commerce et industrie de Paris ( 1 " et 2« cycles). 1 bourse internat, 5 bourses 1/2 pensionnat, 4 bourses externat ; Rouen, 1 2/5 ; Toulouse, 1 2/3. Les candidats à ces bourses devront adresser à la Préfecture de leur domicile ou aux sous-préfectures, avant le 10 Août, une demande sur papier timbré, indiquant l'école à laquelle ils doivent se pré senter, accompagnée des pièces ci-après : 1» Une pièce authentique établissant qu'ils sont de nationalité française, et qu'ils auroni, ans au moins au 1 " octobre ; 2» Un c e n i l i c a t de bonne vie et mœurs ; 3» Un certilicat délivré par le maire de la commune du domicile des parents et constatant la situation de fortune de ces derniers ; 4» Un extrait duTÔle des contributions, délivré par le percepteur. Un duplicata de la demande devra être adressé en même temps au Directeur de l'Ecole pour laquelle la bourse est sollicitée. Quimperlé C o u r s e s de Çnimperlé. — Voici l'arrêté concernant la police des Courses : Nous, Maire de la Commune d'Arzano, Vu les articles i)l et 91 ae loi du 5 avril 1884 ; Gonsidérantqu'il importe de prescrire les mesures de précaution nécessaires pour eviter et restreindre les risques d'accidents qui peuvent se produire dans l'intérieur de l'hippodrome et aux abords du champ de courses. ARRÊTONS CE QUI SUIT : Art. 1". - La date des courses de chevaux qui doivent avoir lieu sur l'hippodrome de Kerlarec sera llxée chaque année par la société des courses de Quimperlé. Art. 2. — Il est interdit aux voilures, cavaliers et piétons de stationner sur la partie de la route de Quimperlé à Arzano qui se trouve en face du champ de Goursen. Des agonis, placés à l'cndroil où seront Iciuis de s'arrêter, à l'arrivée, les voilures et cavaliers, indiqueront aux uns cl aux autres le chemin que chacun devra suivre pour être admis dans l'intérieur de l'hippodrome ou stationner au dehors. Enfin, dans toute l'étendue du parcours de Quimperlé ou d'Arzano à l'hippodrome, les voitures ne pourront se dépasser, soit en allant soit en revenant. Arl. 3. — Aucun échafaudage particulier, au cune bouti(iue, tente ou baraque, ni même aucun étalage ne sera toléré aux abords de l'hippodrome, à moins d'une autorisation spéciale émanant de l'autorité locale et de la Société des Courses, et sans préjudice, en ce qui concerne les débits de boissons, de la déclaration exigée par la loi^ Tout établissement de ce genre, installe irrégulièrement, sera supprimé immédiatement à la requête des agents chargés de maintenir la libre circulation aux abords de l'hippodrome. Art. — 4. Tout ce qui serait de nature à effrayer les chevaux, pendant la durée des courses est formellement interdit. Les tirs de toutes sortes et je<ix bruyants sont expressément défendus aux abords du cliamp de courses. Art. — ». Il est formellement interdit d'aroener des chiens dans l'intérieur de l'hippodrome. Les chiens qui seront trouvés vaguaiil autour de la piste seront saisis et retenus en fourrière, sans préjudice des peines portées par la loi contre les propriétaires de chiens •rrants et dangereux. Art. — 0. Il est ox|iressément défendu de franchir les cordes de la lice ; l'on ne devra s'introduire dans l'intérieur de l'hippodrome que par les entrées ménagées à cet ell'etf et les enfants n'y seront admis que s'ils sont accompagnés. Art. — 7. La lin des courses sera annoncée par une sonnerie île clairon, et -seuleiuent alors la circulation deviendra libre. Art. — 8. Toutes infractions aux disposilions que renferme le présent arrêté Sfn ni punies conformément"aux lois. Art. — 9. Le présent arrêté sera affiché dans la commune d'Arzano, ainsi que dans les communes environnantes. — Voici les noms des chevaux qui ont été engagés pour les courses de dimanche prochain : 1" Bourse, à 1 h. 1/2. — Au trot monté. — Prix de l'Arrondissement. — Hellc-l'etUa, à M. Y. Pouliquen ; Echalotte, à .M. .Micliel Morvan ; Spahi, à Mme veuve Le Floi-h ; Snzanne, h M. Louis Pouliijuen; Kanaris, M. Y. Trouboul ; Diijnilé, ù à M. Manières ; Gentille, à M. H. Suliileau ; Druun, ù, M. Le Grand : Marincltc, à M. Quéiiiar ; Vcmlicnnc, à M. Le Brozec ; Ibin, h. M. Josse. 2» Course, Ji 2 heures. — Au Kaiop. — Prix de Lépineau. — Ciiouennec, à M. le conile de Garcaradec ; Minichc, à M. Pierre Nédélec ; Eya, à, M. Le Gouëdic. 3* Course h 2 h. 1/2. Prix de la Société des steeple-chdse de France. — Allada, à M. Josset ; Nestor, b. M. Lemarié ; lioméo I, à M. II. de Kergos. 4' Course, k 3 h. — Au trot monté. — Prix de Kerjégu. —//écoïnt-, à M. Poché ; Irma, à M. le comte de Gésincourt ; Jofttc, il M. Oerrien ; Idrée, à M. Connen ; h'abi/lie, ù. M Poézé- vara ; Ibis, à M. Josse. 6» Course îi 4 h. — Au trot attelé. — Prix de Kerlarec. — Idréc, à M. E. Connen ; Gentille, M. 13. Subileau ; Impérial, h M. Postée ; Ibil-beuz, ù. M. le vicomte de Hichernont ; Rosine, h M. r:vcn ; /bis, à M. .losse. 7' Course. — Course de Haies. — Cordon Rouge, il M. de Carciiradec ; Giocondn, îi M. le comte de Uodellec. 8* Course. — Steeple. — Musvadinc, ii M. le comte de Carcaradec ; Cordon Houi/e, au précédent ; Madame Oku, ii M. Uoussin ; Xipidas II, à M. P. Morel ; Vergeless, ii M. P. Richard ; (Jrdos, h M. liersihand. A v i s . — M. Piton, trésorier des courses, prie les personnes qui ont déj/i été employées par lui sur l'hippodrome le j o u r des courses et qui désireraient encore cette année contribuer au service, de se faire insrire chez lui, 11, quai Brizeux, vendredi avant midi. - Avis. — La fêta de l'Assomption tomba ut un vendredi, le marché de Quimperlé est reporté au samedi 16 août. Accidents. — En vaquant aux travaux de la ferme, M. François Péron, cultivateur à Lisloc'h, en Quimperlé, s'est fait des contusions assez graves à l'épaule gauche. Le docteur Le Stunf lui a ordonné un repos d'une dizaine de j o u r s . — M. Pocher Philibert, maréchal-ferrant il Quimperlé, est atteint d'une plaie par instrument coupant, plaie ayant intéressé tout l'interligne séparant le pouce de l'mdex de la main gauche. Le docteur Le Stunf lui a prescrit un repos de quinze j o u r s environ. MM. Péron et Pocher sont assurés ii la Compagnie Générale d'Assurances contre les accidents. Perdn. - Il a été égaré un petit calepin, contenant un permis de chasse. Prière de le rapporter au bureau du Journal. Etat-civil. — iV<(issance. — Georges-Charles-.Ioseph Guillou. 9, rue des Ecoles. Dècôs. — .leanne-Marie Le Paou, 63 ans, sans profession,.épouse de François-Marie Colazet, 21, quai Brizeux, - Anna Gouliou, 19 jours, il Kervail. — Stéphan François-Louis, 33 ans (transcription). - Colin Yves, 37 ans, manœuvre, il l'Hospice. Mellae A c c i d e n t . — Samedi dernier, 2 août, vers 7 h. du soir, M. Guillaume Bompol, domestique au service de M. Hollécou, cultivateur à Kerfeulis a été mordu au pouce gauche par un cheval en l'attachant dans l'écurie. Le docteur Le Moaligou lui a prescrit une incapacité de travail de 3 semaines. ivl. Hollécou est assuré à la G" G"= contre les accidents. Ti-éiïtéren Accidents. - M. Jean Gloanec, au service de M. Thomas Naour, cultivateur à Kerlavarec est atteint de tuméfaction au genou droit par suite d'accident. Le docteur Le Stunf lui a prescrit quelques Jours de repos. — Le 30 juillet vers 8 heures du soir, le jeune Joseph Leulon, au service de M. iluiller, cultivateur à Loc-Ivy, en procédant aux travaux de moisson, a été victime d'un coup de faucille à la j a m b e gauche. Le docteur Martin qui l'a soigné, lui a prescrit un repos de dix j o u r s . Samedi dernier, 2 août, vers 10 heures du matin, Mlle Louise Esvan, habitant chez sa mère à Kerbleuc, a été atteinte de brûlure au second degré du bras gauche par de l'eau bouillante, en vaquant aux travaux du ménage. Le docteur Le Stunf lui a prescrit une <iuinzaine de Jours de repos. MM. Naour et Huilier et Mlle Esvan, sont assurés ii la Compagnie Générale d'Assurances contre les accidents. • P o n t - A v e n Vaffabond incorrigible. — Les gendarmes de Pont-Aven ayant supris, Guernalec Jean 37 ans, sans profession ni domicile fi.xe, en état de vagabondage, l'ont mis en étal d'arrestation et conduit ii la m a i s o n d'arrêt de Quimperlé ou il a été écroué, Guernallec a déjà à son actif huit condamnations pour mendicité et vagabondage. ScaPr Vola d'outils. — Samedi dernier, vers 7 heures, M. Toulgoat, maître Carrier ti Loge-Brout en ScaiT, constata que dans la nuit du vendredi, il lui avait été soustrait une boucharde remisée dans une cabane non fermée à clef, située dans une carrière ii environ cent mètres de son habitation, six des ouvriers de M. Toulgoat ont également perdu did'érents outils. La boucharde qui est marquée de la lettre T est estimée k 10 fr. M. Toulgoat qui n'a aperçu aucun rùdeur aux environs de la carrière, ne peut porter .ses soupçons sur personne. Les auti'urs de ces vols sont activement recherchés. ( > u i i n p c r Prix « A n n e - J U a r i e Bourgeois ». — La cérémonie de la rosière qui a eu Heu samedi soir, à l'Hôtel-de-Ville, a eu le succès des années précédentes. Le prix qui consiste en une somme de mille francs, a été attribué, celte année, à Mlle Marie Stervinou, âgée de 21 ans, employée comme couturière il l'asile départemental des aliénés où son père, v e u f depuis plusieurs années avec trois autres lillettes, occupe l'emploi de gardien. La rosière était entourée de sa famille et de quelques invités. La commission, présidée par M. le docteur Picquenard, 1"' adjoint, était lii au complet. Dans une allocution M. le docteur Picquenard, qui sai't si bien présider ces touchantes réunions, a félicité la rosière et a rendu hommage à la mémoire de Mlle Bourgeois, celle généreuse bienfaitrice. M. Picquenard a ensuite remis le prix de mille francs à Mlle Slervinou. Nomination. — M. l'abbé Berthou, professeur ii l'Ecole Notre-Dame du Kreisker, a été nommé aumônier du lycée de Quimi)er, en remplacement de M. l'abbé Pichon. Le P a l a i s On repêche un noyé. — Dans la nuit de dimanche à lundi, le pêcheur Le Fur, figé do 3G ans, marié, père de deux enfants, est tombé accidentellement dans le port et s'y est noyé. 11 appartient ii l'équipage du bateau Ça-Viendra, n" 477, de Concarneau, et est originaire de Trégunc (Finistère). On a retiré le cadavre de la mer. Allaire Broyé par un train. — Un mortel accident dû à l'imprudence de la victime s'est produit samedi soir dans les circonstances suivantes : M. Alphonse Philippo, cultivateur au village de la Vallée, en Allaire, âgé de 25 ans et marié depuis six mois à peine, revenait à la nuit tombante de Saint-Perreux, où il avait assisté à une cérémonie de baptême. Ayant eu la malencontreuse idée de suivre la voie, en vue d'abréger sa route, il fut surpris par le rapide 632, allant de Quimper à Paris, et avant qu'il put se garer, tamponné et broyé par le convoi qui lui passa en entier sur le corps. Ce n'est que dimanche malin que des gens do Saint-Perreux se rendant îi la messe, découvrirent le cadavre décapité et réduit à une masse informe qu'il fut d'abord difficile d'identifier. Reconnu enfin le corps du malheureux Philippo fut rapporté chez s a j e u n e f e m m e dont il est impossible de décrire la douleur. Une enquête est ouverte. F l x a r ' j t x x a sont point en danger. L'auto a été traînée j u s q u e chez M. Bazin ; elle est absolument hors de s e r v i c e . CHEMIN FÊTE DE DE FER D ORLEANS L'ASSOMPTION Vendredi 15 Août —0— Validito exceptionnelle des Billets aller et retour A roccaslon de la fête de l'Assomption 1913. la Compagnie d'Orléans rendra valables du jeudi 7 au dernier train du jeudi 21 Août ; 1" Les billets aller et retour ordinaires, à, prix réduits, délivrés aux prix et conditions des tarifs spéciaux G. V. ri- 2 et 102. ' 2° Les billets aller et retour de Bains de mer dits de Semaine, à pri.\ réduits, exceptionnellement délivrés tous les jours pendant les périodes précitées au.x. prix et conditions du taril' spécial G. V. n" G, chap. Il, S 1", savoir .• la) Aux gares de LaChapelle-du-Gh6ne, Mézeray, Arnage, Neuillé-Pont-Pierre (vià La b^lèche) SL-".\ntoine-du-f{ocher (vià Tours), Baugé ivià La l'ièchei Brion-.lumelleH (vià Saumur), Ploërmel, Pontivy et Ghateaubriant, ainsi (ju'aux gjires et stations intermédiaires comprises mitre ces divers points et Saint-iNazairc (inclus), pour les stations balnéaires de Saint-Nazaire, Pornichet, LaBaule Rscoublac, Le Pouliguen, Batz, Le Groisic et Guérande. (b) Aux gares de l^edon, Ploërmel, Pontivy, Lorient, ainsi qu'aux gares et stations intermédiaires comprises entre ces (juatre points, pour lus stations balnéaires de Quiberon, SaintPierre gniberon et Plouharnel-Carnac ; fcj Aux gares de Lorient et de Landerneau ainsi qu'aux gares et stations intermédiaires comprises entre ces deux points pour les stations balnéaires de Goncarneau, Pont-l'Abbé et Douarnenez. ((/; Aux gaies de Nantes, La Bourse, Ghantenay, La Basse-Indre et Gouëron, pour les stalions balnéaires de Saint-Nazaire, l^ornichet, La Haule-Kscoublac, Le l'ouliguen, Batz, Le Groisic et Guérande, et inversement aux dites stations balnéaires pour les gares Nantes, La Bo'.ir,^e, Ghantenay La Basse-Indre et Gouëron. Vo<a. — Ges dill'érents billets conserveront liiur durée normale de validité lorsqu'elle exl)ii'cra après le 21 août. î o G . Marché aux Bestiaux de la Villette V o r - m a l o QUIMPERLE H i k B H I P H A R M A C I E N LAVRÉAT (1-- P r i x ) > l'Ecole de Pharmacie, 2 Médailles d'Or, I Diplôme d'Honneur Maison renommée . . _ T É L É P H O N E , 34 dans toute la Région pour la qualité de et l'extrême Modicité des Prix ses^JProdaits A CEINTURES ,ÉLASTII)UES En tous Tissus et île tous Modèles ASSORTIMICNÏCONSIDÉRABLE Cabinet d'Essayige Ne rien acheter (sur- tout aux prétendus s-pé- cialistes:le2Mssage)avant de demander toujours nos très prix modérés pour ces Articles comme pour tous les autres pro- duits. Douches — Injecteurs — C H E M I . N S DP. F E R DE Urinoirs Bassins^eJ^ L'ETAT Exciirsioiis d a n s le Worbilian et le Finistère —0— Train spécial à prix réduits de Paris à Lorient, prenant également des voyageurs pour les gares de : Dirinon, Chùteaulin, Douarnenez, Pont-l'Abbé, Quimper, Concarneau, Quimperlé, Gestel, Pontivy, Quiberon, .^uray. Vannes, Ploërmel, St-.Tacut, et les gares intermédiaires comprises entre ces divers points.! Aller. — Départ de Paris-lnvalides le 0 Août 1913 à 22 h. 18, arrivée à Lonsnt le 10 Août 1918 à 11 h. l i . Retour. - Départ (le Lorii-nl 1 • 10 ' o u t 1913 à 15 h. jO, arriver, P,ii'l---I i v . i i i . L d l e 20 Août 1913 à 5 h. 32. PRIÈRE AUX CONSOMMATEURS de la chicorée Extra Leroux d'on l e tourner les vignettes TOUS LES ANS AU 30 AVRIL à M. A. LEftOU.X à Orchies (Nord). Les Vignettes non expédiées pour cette époque sont valables pour les années suivantes. D'un goût exquis, d'un arôme agréable cette chicorée se trouve dans toutes les épiceries. EVITER LES IMITATIONS HERNIEUX M£Mfi/?£ " Plaignons les malades qui ignorent les Pilules P i n k . " Quand on voit le nombre considérable de per-sonnes guéries par les Pilules Pink, alors que tous les autres remèdes avaient é c h o u l on ne peut que plaindre les malades qui ignorent les Pilules Pink. Les Pilules Pink n'ont pas de préférences, elles sont les mêmes pour tous, et si elles ont donné à d'autres de si belles guerisons, pourquoi voudnez-vous que pour vous elles soient sans effet? Voici, car il ne s'agit pas de faire des affirmations sans apporter de preuves, un cas qui vous éclairera, et si la place ne nous était pas mesurée, nous pourrions vous en ciù'r des centaines sembla-bles. Mlle Anna Desbrièros, demeurant au Bois-Roulol, ù Montoeau-les-Mines (Saôneet-Loire), nous a écrit : « J ' a i le plaisir de vous informer que vos excellentes Pilules Pink ont rétabli ma santé, et j ' a j o u t e que, depuis plusieurs années (|ue j e snull'rais, aucun médicament, et j'en ai pris beaucoup, n'avait pu k i r e ce que les Pilules Pink ont fait, .l'étais anémique, faible, et un tout petit ouvrage m'occasionnait une fatigue trop Quelle que .soit la cause de l'étoull'ementi qu'il provienne d'une' crise d'asthme, d'un grande. J e voyais, e t o n me le disait aussi, catarrhe, d'une hronchite chronique, de que mes traits étaient tirés, que mon suites de pleurésie ou-d'influenza, on est souleint était pîlle et (jue j'avais tout à fait lagé instantanément en..faisant usage de la mauvaise mine, .le n'avais j a m a i s d'apPoudre Louis Legras, ce merveilleux remède pétit et, ioujours lasse, j'aurais tout le (|ni a obtenu la plus haute récompense h l'E.xtemps voulu dormir. J.orsque j e marchais position Universelle de l'JOO. Une boîte est exun peu vile, j'étais tout de suite essoufpédiée contre mandat de 2 fr. 10 adressé à flée et prise d'élourdissements. 11 m'est Louis Legras, 13'.), Bd Magenta, à. Paris. arrivé fréquemment aussi, tellement j ' é tais faible, de ])erdre connaissance. Mon sang était tro}) faible, m'avait-on dit, et on m'avait ordonné des forlillants, des toniques; je les ai pris, mais sans consCours du lundi 4 Août 1 » ! » tater d'amélioration. Du j o u r où j'ai eu pris les Pilules Pink, au contraire mon Poids moyen Invendus état de santé !-.'est de suite amélioré, .l'ai KSPioCES Amenés retrouvé l'appétit, les forces, mes malaises ont cessé et j'ai eu de nouveau une 409 137 1.925 Ikuufs.. mine excellente. » 356 18 950 Vaches Si votre santé laisse ;i désirer, si vous 48i \ . 235 Taureaux n'êtes pas aussi fort, aussi bien portant 96 14 1.7',n que vous pourriez être, faites donc dès »)) 120 4.333 aujourd'hui l'essai des Pilules Pink. Ce simple essai suffira pour vous convaincre Poids vif, Pri.v au kilo que vous avez tout intérêt à continuer le traitement, car vous ne îarderez pas à irouver une grande sensation do biené 3' qualité Prix extriSmes 1 "qualité 2' qualité ESPÈCES ê ,re, indice que vos forces sont revenues et <iue les fonctions do votre organisme se font meilleures. 0.64 à 1.10 1 05 0 90 0 81 Bœufs Les Pilules Pink sont souveraines con0.04 1.11 1 08 0 91 0 82 Vaches tre r.inémie, le chlorose, la faiblesse géné80 0 70 0 71 T a u r e a u x . . . 0.02 0.82 rale, les maux d'estomac, migraines, né0.88 l./i4 1 32 1 2(\ 1 10 Veaux vralgies, neurasthénie. 1.34 1.40 1 38 1 36 1 35 Porcs On trouve les Pilules Pink dans toutes les pharmacies et au dépôt, Pharmacie Aspect des ventes. — Vente meilleure pour Gablin, 23, rue 13allu, Paris : 3 fr. 50 la le gros bétail, et pour les veaux, diincile boîte ; 17 fr. 50 les 0 boîtes, franco. pour les porcs. Conseil Pratique I 42, Place Saint-Michel Pontivy Terrible accident d'auto. — Dimanche soir, vers 9 heures, M. le docteur Guilloux, médecin à Ponlivy; rentrait chez lui par la roule de Guémené, lorsqu'entre Pont-Pournant et Parhol il aperçu soudain un soldat devant lui. H eut tôt fait de l'éviter. Mais à peine a-l-il légèrement obliqué qu'un second militaire se trouve sur son chemin. M. Guilloux n'hésite pas un instant : d'un brusque coup de volant, il dirige la machine vers le fossé. Mais, fatalité, l'auto va donner en plein contre un des gros ormeaux qui bordent en cet endroit la roule. Le choc fut épouvantable : l'aîné des enfants de M. Guilloux, qui accompagnait son père, fut projeté à travers la glace sur la route cependant que le docteur donnait un tel coup de poitrine dans le volant que celui-ci sautait eh morceaux. On s'empressa de se porter au secours des deux blessés qui, après les premiers soins nécessaires, furent ramenés ii Pontivy. Bien que leur état soit assez grave, nous devons ajouter que leurs j o u r s ne o ou JURY et HORS CONCOURS \ ous portez un bandage à ressort qui vous torture et qui, laissant glisser votre hernie, écr.ise l'intestin sous la pelote. Vous le remplacez alors par un bandage plus souple dont la puissance est nulle et qui s'allonge démesurément au bout de quelque temps. Votre hernie n'est jamais maintenue et vous ivdoutez l'étranglement fatal. G'est-pour vous la souiVrance physique, aggi-avée par la torture morale. Eh bien, il existe un appareil sans ressort et sans caoutchouc, inventé p.ir M. GLASKEl, spécialiste de Paris. Sans ressort, il est si souple et si léger que les personnes les plus délicates peuvent le porter jour et nuit sans géne. On peut aflirmer que la ceinture est presque inusable et sa puissance est telle, qu'il immobilise radi-calement les hernies les plus volumineuses, les plus rebelles. Ajoutons qu'un système spt'cial donne à cet appareil une puissance (i'clasticité précieuse et constante et c'est là le secret de cette merveilleuse invention. Nous n'insistons pas davantage. Le doute est bien permis à ceux qui ont éprouvé des déc'ptions continuelles. Qu'ils viennent donc essayer cet apiiari'il. Ils i)ourront ainsi se convaincre que le soulagement est Imnnédiat, et il leur sera démontré que grâce à la contention radicale et parf:iif, tout espoir de guérison n'est jamais perdu. En voici une preure : 1'.) avril 1913. <> .Monsieur GLASEli, .Te suis heureux de vous annoncer que ma hernie a complètenTenl disparu grâce ii l'usage de votre merveilleux appareil. " .l'ai obtenu ce résultat malgré l'ancienneté de ma hernie et je vous autori.se à publier ma lettre dans l'intérôt de ceux qui souil'rent. " Votre bien reconnaissant. M A R T R E T NOËL, Il Plemeur-Bodou par Lannion (Gôtes-du-Nord). Aussi i;ngageons-nous vivement toutes les personnes atteintes de hernii's. ollbrts et descentes (hommes, femmes et enfants), venir essayer cet appareil ù : BREST, le 11 août, Hôtel de France. CHATEAULIN. 13 août, Hôtel Grand Maison. PONT-L'ABBÉ, le llaoûl. Hôtel du Lion d'Or. QUIMPER, le 15 août, llôlel de l'Epc, QUIMPERLÉ, le 1(1 août, Uôtel du Lion d'Or jt des Yoi/ageurs. LORIENT, le 17 août. Hôlcl de liretaqne. Pour éviter l élranglemenl dos hernies, deniandor la brochuro gratuiti' à M. GL.\SER, iioulevard Séliastopol, ;}8, l'aris. CHEVAUX COURONNÉS!S G X J É R I S O N prompte e t s a n t traci dts chutes,écorcliur e s , c o u p u r e s , r i q û r e i . crevatses, c a s s u r e s , g e r ç u r e s , i n a l a d i e l d e la p e a u , plaies d e touU n i t u r e . Réapparition e x a c t e du poil par l e v r t i R é p i r a t e u r T r l c a r d . — S e trouT» d a u . t o u t e s l e s bonnes p h a r m a e l s s . — Tlieet» (t t f r . 5 0 it 2tt. SO a r e c l'indication. 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S'adresser au Inirouu du Journal. tant n'importe (|uelle localité. 11 s'agit de plusieurs loO.OOO d'adrnss(^s QUIMPERLÉ (Finistère) devant ôtre écrites 20 t'ois et plus 'HMIABLE ET AUX ENCHÈRES PUBLIÇUES Etude de M" S o p t, notaire sur des enveloppes, bandes, e t c . . , , L e s A g r i c u l t e u r s s o n t i n v i t é s à v e n i r v r s i t e r l e s E t a b i . i s s k m k n t s S A V A R Y , o ù ils p o u r r o n t donc occupation durable. Itevenu à Lorient • EN L ' É T U D E accessoire de l'r. — 150 év. plus v o i r à t o u t m o m e n t e n f o n c t i o n n e m e n t U N M O T E U R A G R I C O L E , s p é c i a l e m e n t a p p r o p r i é E T PAR LE MINISTÈRE en travaillant activement. Le gain p o u r a c t i o n n e r un B a t t e u r e t u n S e c o u e u r . A I . 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GALLIC 3 30''<Année! = L E BJUMÉRO : CIÎVQ CENTIMES Dimanche 1 0 Août 1 9 1 3 wmmmgmmmmÊÊîÉmmmmmÊÊim^^^^ Organe Républicain Démocratique de la Région du Paraissant les JEUDI Annonces et Réclames Annonces judiciaires (la ligne)... Annonces volontaires Réclames ADTOOR DES 2 0 o. 2 B o. BO o. Les annonces sont reçues au bureau du journal et, à Paris, dans toutes les Agences. On traite à forfait pour les annonces répétées plusieurs fois. M U U Il n'est pas content De tout le fatras grossier, touffus et indigeste qui s'étale dans l'Echo de Bretagne, il ressort que la victoire de M. Le Louédec, ne lui a laissé dans le cœur que rancune et ressentiment. Cet homme inquiet n'a jamais su ce que c'était que la joie pure e1. le contentement. Au lieu de paroles de satisfaction et de remer ciements, son jourrtil n'est plein que de i écrimiuatiuns, délations et menaces. Décidément le succès iullue d'une bien étrange façon suj^ cette cervelle mal équilibrée et un étranger qui, s'il en avait le courage, parviendrait à lire son patbos incompréhensible, en déduirait tout naturellement que c'est M. Lé Louédec qui a été battu. E t , au fond, c'est bien cela. Il sent que cette élection de surprise, — due à une coalition et à des complaisances que nous avons dévoilées et dont il n'ose même pas se défendre, — ne consolide pas sa situation politique. L avenir reste pour lui sombre et menaçant ; l'échéance de l'année prochaine ^ le remplit d'inquiétude et il se rend parfaitement compte que, peu à peu, le sol se creuse sous ses pas et qu'au mois de mai prochain il fera l'ultime culbute. Alors, peut-être, dans le calme de la retraite forcée que lui intligeront les électeurs, il retrouvera le repos et la paix de lui même, et, peut-être alors, le sourire qu'il u'a jamais eu, même au milieu de ses plus beaux triomphes, reviendra-t-il e r r e r doucement sur ses lèvres désabusées. Ceux qui ont vraiment de l'affection pour ce pauvre diable, doivent de tout cœur "souhaiter pour lui la venue de ce moment-là. Nous les y aiderons. C A N T O N DE P O N T - A V E N Un tour de passe-passe Dans le but, probablement, de diminuer l'importance d'un succès qui ne lui était pas agréable, la sous-préfecture nous a communiqué, ainsi, bien entendu, qu'à son organe officiel, dos chiffres volontairement erronés sur les résultats de l'élection de dimanche dernier à Moôlan. On nous a dit, en effet, que M. Gorentin Guyho avait obtenu à Moôlan 085 voix etM. BerthouGOo, ce qui ne faisait à M. Gorentin Guyho qu'une majorité de 80 voix dans la commune de Moélan et de 108 voix dans tout le canton. Or, d'après le procès-verbal que nous avons eu sous les yeux à Pont-Aven, les chiffres communiqués par la souspréfecture ne sont pas exacts, car M. Gorentin Guyho a eu réellement à Moôlan 687 voix et non 085, et, — c'est ici qu'est la grosse erreur, — M. Ber- thou n'a eu que 5,15 voix et non (J05 voix comme on s'est plu à lui attribuer trop généreusement. La majorité de M.Corenlin Guyho, que l'on a ainsi essayé de diminuer, a donc été, en réalité, de 17^ (au lieu de 80) dans la commune de Moôlan et de ^(K) (au lieu de 108) dans tout le canton. Il était bon de remettre les choses au point, et de signaler ce "petit tour de passe-passe consistant à enlever 90 voix à un candidat dont on voudrait diminuer le succès. Ci d e s s o u s , rectifies : Moul.Tti Nôvej Xiion .. Inscrits I.04;i ... .527 5(ir) 1.3;I8 .. r..27C Pont-Aven Uieo Totaux du resle, les chiffres Votants M. Guyho 1*1. Berthou .'ilô 087 1.280 iitr, 345 480 87 263 350 ir>9 202 231 572 809 3.282 1.728 l./i68 APRÈS LE V O T E Pour fêter la victoire de bon sens démocratique remportée, le 8 août, sur une coalition violente et inattendue d'éléments municipaux opposés jusque là l'un a l'autre, M. Gorentin Guyho, compte remettre à la niMirie des cinq commuties du canton de Pont-Aven, les sommes nécessaires pour que, un jour annoncé d'avance, il soit fait, dans les rnêmt's proportions, unè dist'ibution de pain aux indigents. Canton d'Arzano Un fait, assez rare ailleurs, s'est produit dans le canton d'Ar^îano, où il ne s'est pas présenté un seul candidat pour le conseil d'arrondissement. La même grève de candidats s'était produit en core à Arzano, il y a douze ans. On nous annonce que le conseiller d'arrondissement sortant, M. Richard, revenant sur sa précédente décision, sollicitera dimanche le renouvellement de son mandat. Seeret ei liibertr dD Vote Le langage parlementaire est délicieusement ironique. G'est ainsi que lorsqu'il s'agit de la Réforme électorale, vous voyez sur la proposition de loi, de retour du Sénat, que la Commission du Suffrage universel de la Chambre a reprise, ces mots réglementaires : « Adoplôo par la Chambre, adoptée avec modifications par le Sénat. » A'imirez l'euphémisme ! Le Sénat,' en réalité, a repoussé la loi votée au PalaisBourbon el l'a remplacée par un projet diumétralement opposé. C'est cela que le protocole parlementaire traduit par cetteexpressionpince-sans v'wq'. Adopté avec modifications par le Sénat. En ce qui concerne la loi sur la liberté et la sécurité du votj, loi qui a été retournée par cinq fois par le Sénat avec dos transformations qui la rendaient méconnaissable, la même formule a servi. Je ne sais pas si tout cela est bien conforme aux principes et aux'traditions parlementaires ; je ne sais pas si le Sénat a bien le droit de jeter bas de fond en comble, les dispositions législatives votées par la Chambre pour élaborer à la place un texte tout différent ; mais la haute Assemblée n'y regarde pas do si près lorsqu'il s'agit d'augmenter ses attributions, surtout en matière financière, par exemple, pour le vole du Budget. Parfois, devant les actes d'indépendance, d'entêtement, d'opposition systématique du Sénat, la Chambre se rebiffe, mais finalement, c'est toujours le Sénat qui a le dernier mot. Témoin ce qui s'est passé relativement à cette loi sur la liberté du vote et pour assurer la sincérité des opérations électorales dont je vous ai dit qulelle fut votée cinq fois par la Chambre et que le Sénat amputa autant de fois. C'est lui, en fin de compte, qui a eu le dernier mol puisque, pour en terminer, la Chambre vient d'adopter son texte trinqué. Sur les trois dispositions principales qui avaient paru nécessaires a la Chambre pour soustraire à la pression et à la fraude notre système de votalion, le Sénat, en effet, n'en a jamais accepté que deux à la fois. Le vote sous enveloppe ne paraît pas l'avoir beaucoup gêné car il l'a constamment admis, chaque fois que la question est revenue devant lui. Par contre, le dispositif d'isolement et l'institutioa de manda- et Nord-Ouest DIMANCHE Directeur : Armand. GAUTIER RSDACTWy, ADMINISTRATION A ANNONCES A Q U I M P E R L E , Place Hervo. n* 8 bis T*Uri:V>HONK, M» B Adresse ré/éjrrap/iiju»Union, Quimperlè laii es du candidat représentant ce dernier aux bureaux de vote, ont été alternativement repoussés et pris en considération par la Haute Assemblée. Mais comme, en dernier, lieu, celle-ci avait admis le vote ^ous enveloppe et l'isoloir, la Chambre l'a prise au mot et c'est ainsi que nous avons enfin une lt)i sur la liberté el le secret du vote, loi que depuis plusieurs législatures on attendait vainement de nos institutions parlementaires. On comprend bien le sens de la résistance du Sénat. Elu du suffrage restreint, c'esl-à-dire en majeure partie des maires, adjoints et conseillers municipaux chargés, au jour d'une élection, d'appliquer la nouvelle loi, le Sénat éprouvait une certaine répugnance à mécontenter ses électeurs, à compliquer leur service el à édi'^ter des pénalités contre eux en cas d'infraction a la loi, La Chambre a d'ailleurs les mêmes faiblesses, lorsqu'il s'agit de ses petits intérêts et c'est ainsi qu'enlre le privilège des Bouilleurs de cru et les surtaxes sur les absinthes, elle, n'ose prendre parti, ne voulant contrarier ni ses électeurs delà campagne, ni ceux de la ville, ni le bouilleur, ni l'en irepositaire. ces rivaux irréductibles. Telle qu'elle est, la loi dont il s'agit rendra de grands services au pays : elle moralisera partiellement le scrutin. Je dis : partiellement, parce que le vote ne sera vraiment irréprochable au point de vue du l'honnêtèiô que lorsque dans chaque section de vote, le candidat aura son mandataire. « L'institution du témoin du candidat, écrivait M. J. Reinach dans son rapport de 1912, est, de toute évidence, le seul moyen d'éviter les fraudes les plus éhontées, celles qui consistent, noiamment, à faire voter par des électeurs c )mplaisants, pour des absents ou pour des morts, ou à introduire dans l'urne des paquets de bulletins — même sous enveloppes — au nom du candidat quia les préférences du bureau. La présence du témoin du candidat au bureau suffila, en outre, à empêcher la plus détestable des pressions, celle qui consiste à' faire conduire des ouvriers ou des paysans dans la salle du vote, comme cela s'est vu, par des agents salariés. » Aussi, pour compléter la loi qui vient d'être votée, la Commission du Suft'rage universel a eu la bonne idée de disjoindre de son texte la disposition qui concernait le mandataire et d'en former la matière d'une proposition à part qui, seule, reviendra devant le Sénat. Espérons que les deux Chambres ne mettront pas, pour se mettre d'accord sur cette loi distincte, aulanl de temps qu'il leur en a fallu jusqu ici pour créer lo vote sous enveloppe el la cabine d'isolement. Quoi qu'il en soit, dans trois mois — :ar la loi ne sera pas applicable avant ce délai — nous ne voterons plus^que sous enveloppe. La Chambre voulait que l'enveloppe fût fermee; le Sénat n'a pas cru celte précaution nécessaire. Ces enveloppes seront opaques, et pour placer dedans son bulletin, l'électeur se rendra dans l'isoloir, partie de la ^alle du scrutin aménagée à celte fin poi^r le soustraire aux regards des intéressés et lui permettre de voler en toute indépendance et séparément. A votre tour, messieurs les fraudeurs. Qu'allez-vous imaginer,maintenant que, selon l'expression du Misanthrope, les électeurs : . » Iront ainsi chercher un endroit écarté. Oi'i, d'être homme d'honneur, on ait la liberté I Maurice DUVAL Au Jour le Jour ^ Vote définitif de la loi de 3 ans Par 254 voix contre 37,ile Sénat, dans sa séance d« jeudi après-midi, la der- Les abonnements se fuient d'avanat, sauf convtvt. tions ils partent du i" ou du i5 de chaque mois. On s'abonne au bureau du journal. On peut s'abonner également, sans frais, dans tous les bureaux de poste, ou encore en adressant un mandat-poste au Directeur, M. Armand QAUTIER, place Bervo, à QuitnferU. nière de la session, a volé ciélLnilivement la loi rétablissant le service de trois ans, donl l'initiative restera comme l'œuvre de M. Bartliou. Nous avons dit qu'antérieurement par 243 voix contre 48, et malgré l'opposition de M. Clemenceau, qui, tout en étant paitisan des trois ans, s'était déclaré hoslile au devancement de l'appel des recrues, la Haute Assemblée avait adopté l'incorporation à vingt ans. La question de l'allocation k 1 fr., 2ô pour les soutiens de famille, soutenue par le gouvernement, fut ensuite accueillie favorablement par 240 voi.\ contre 47. Après avoir ainsi déblayé le lerrain et voté successivement les diilerents articles du projet de loi, tels qu'ils avaient déjà été approuvés par la Chambre, sans modification aucune, la discussion est close. M. Bartliou monte une dernière fois à la tribune pour demander le vote définitif de la loi. Faisant allusion à une molioa do, M. Ilumbert, relative au le'èveinent de la solde des olllciers et sous oilloiors, le président du Conseil termine en disant que le Gouvernement prend l'engagement de demander très instamment à la Chambre ce projet dès la rentrée. « En prenant cet engagement, dit le chef du Gouvernement, nous rendons à l.'armée tout entière l'Iiommage de giatitude et de confiance qui lui est j u s t e m e n t dû et auquel le Sénat voudra certainement être unanime à s'associer. » La Haute Assemblée accueille ces paroles par une salve nourrie d'applaudissements, et l'on passe au vote. — Le Sénat s'est réuni une dernière fois, à deux' heures, l'après-midi, pour ' e n tendre la lecture, par M. Barthou, du décret de clôture. L e s v a c a n c e s de MM. B a r t h o u et Klotz M. Barthou président du Conseil, quittera Paris aussitôt après la clôture de la session parlementaire. M. Barthou, quoique absent de i^aris, continuera à assumer les charges de la présidence du Conseil, l'intérim du ministre de l'Instruction publique étant confié à M. Massé, ministre du Commerce. M. Klotz quittera Paris lundi prochain après le second tour de scrulin pour le renouvellement des conseils généraux. C'est M. Pichoii qui, en son absence, sera chargé de l'intérim du ministère de l'Intérieur. «a» M. J . T h i e r r y au Grand P a l a i s M. Thierry, ministredes Travaux l^ublics a inauguré, mercredi après-midi, l'exposition des emballages du froid et des industries annexes, qui se tiennent au Grand palais des Cliamps Elysées. Reçu par M. Viger, sénateur, ancien ministre, président d'honneur, "ètparM. Baude, président du coiiiité d'organisation, qui lui ont.successivement exposé tout l'intérêt que présente pour les 'produits de l'agriculture et pour notre exportation l'emploi de procédés de transport perfectionnés, M. Thierry a félicité, en termes très heureux, les organisateurs de l'exposition de leur initiative. M. Massé à Nevers M. 'Alfred Massé, ministre du Commerce, de l'Industrie, des Postes et des Télégraphes, a présidé le banquet annuel de l'Amicale des instituteurs et institutrices de la Nièvre. A l'issue de ce banquet, qui réunissait plus de 200 personnes, ont pris successivement la p a r o l e ; le président de l'Amicale, le préfet de la Nièvre, M. Renard, député ; M. Beurrier, maire de Nevers, et M. Alfred Massé, ministre du Commerce et de l'Industrie. Dans son allocution, le ministre a rappelé en termes particulièrement heureux les mesures prises par le gouvernement dont il fait partie pour améliorer la situàlion. 11 a ainrmé la nécessité de défendre l'école la'ique contre les attaques dont elle est l'objet et il a montré que»'tant par ses paroles que par ses actes, le président du Conseil avait placé cette 'pi-éoccupalion au premier rang de celles qui retiennent l'attention du gouvernement. Malgré la présence .du ministre, l'inspecteur d'académie n'assistait pas à ce banquet. Son abstention a entraîné celle des inspecteurs primaires. A B O N N E M E N T S (UN AN) Quimperlè (Ville).... 6 Finistère et départements limitrophes 6 Autres départements 7 Colonies et étranger 10 fp — — — Incident F r a n c o - A l l e m a n d Les journaux de Berlin et de Strasbourg signalent un incident profondément regrettable dont une famille originaire de Bade aurait été victime à Lunéville. L'ouvrier mécanicien Schneider, employé dans une fabrique à Lunéville, fut appelé récemment à Kehl, près Strasbourg, pour accomplir un période de 15 j o u r s au régiment du génie de cette garnison. Sa femme était restée à Lunéville. Plusieurs personnes de la localité ayant appris que Schneider était retourné en Allemagne, pénétrèrent dans sa maison, brisèrent tout le mobilier et s'introduisirent dans une écurie où tout fut brisé. La femme du réserviste, efirayée, s'était empressée de quitter Lunéville avec ses enfants et de se retirer à KehL M. Schneider a obtenu un congé pour retourner à Lunéville en vue de réclamer des dommages-intérêts. A la préfecture de Nancy, comme à la sous-préfecture de Lunéville, de m ê m e qu'au ministère de l'Intérieur, on ignorait encore tout de cet incident. Dans les Balkans J'ai* Est-ce la fin du douloureux conflit fratricide, qui depuis de longs mois ensanglante les territoires des nations alliées pour une action commune contre l'intolérable oppression de l'Empire Ottoman ? G'est du moins le second baisser de rideau de ce drame complexe, tel qu'il est annoncé par la dépêche suivante, venue de Bucharest : '< 6 août. — La paix a été conclue verbalement. Elle s e r a ^ i g n é e demain, nn^»» heures. Stroumitza'"e::t"attribué à la Bulgarie, Cavalla à la Grèce. « La démobilisation sera signée également demain. » A l'heure actuelle, c'est donc chose faite. Reste à savoir quelle sera l'attitude de la Turquie en présence de la situation nouvelle qui réconcilie — en renouvelant le bloc — ses précédents adversaires. — D'après une information de Constantinople, la communication verbale des ambassadeurs à la Porte, au s u j e t de la reddition d'Andrinople, n'aurait pas impressionné les membres du gouvernement, qui maintiendrait ses décisions, et se refuserait à abandonner cette ville dont elle vient de faire occuper les forts par une importante garnison. D'autre part, d'après les renseignements des autorités militaires bulgares, Lozengrade Kirk Kilissé serait occupée par une division turque. Les soldats de cette division déclarent qu'ils n'évacueront j a m a i s la ville, mais que si on les y oblige par la force, ils la détruiront et l'incendieront avant leur départ. Ôtt démobilise La démobilisation de l'armée roumaine a commencé. D'autre part, dans une note qu'il adresse aux puissances, le ministre des Affaires étrangères leur fait savoir que le gouvernement bulgare a décidé de procéder immédiatement après la signature du traité à, la démobilisation de son armée. — Le projet d'armistice dont lecture a été donnée, à la séance plénière, c o m " porte l'occupation provisoire par les alliés de Dédé-Agatch et de .\anthi j u s q u ' à la ratification du traité de Bucharest par le Sobranié. Au Maroc La colonne Clauzel a été de nouveau attaquée, dimanche, par un fort parti de Marocains, au retour d'une marche s u r Ito. Le combat a duré de neuf heures à midi. L'ennemi a été mis en fuite, mais nous avons eu a déplorer la perte d'un sergent et treize hommes tués et dix blessés. Le lendemain, le colonel Clauzel a opéré une contre-attaque el repoussé les rebelles de leur position fortifiée d'Azouz. — Le général Lyautey s'est rendu à Marrakech, où il a remis au sultan Mouley-'^'oussef les insignes de grand-croix de la Légion d'honneur. Le souverain a remercié et a r e m i s en retour au gouverneur la grand-croix de l'ordre chérifien Alauette. Un grand déjeùner offert par le général Brulard a clôturé cette cérémonie. i - V hlaS&ire K r u p p L'attention dè toute l'Europe a ét.ê^retenue tous ces jouBSiderniers par le colossal et s c a u d a l e u ^ g i ^ c è s iatent'ô k des of- liciers h l'occasion de malversations en fournissant à la maison Krupp des indication» compromettant la défense national»». verdict vient d'être rendu .hier, à Herlin. Voici les condamnations qui en ressortant : l.e lieutenant Tilian, deux mois de prison et la destitution ; le lieutenant liinst, quatre mois de prison et la destitution : Schleuder, même sanction ; l'artificier Schmidt, deux et huit mois de prison, dégradation ; l'artificier Droez, trois semaines d'arrêts simples ; le lieutenant Hogf', quarante-trois Jours de prison ; le secrétaire au ministère de la Guerre l'feiffer, six mois de prison et exclusion pendant un an de tout emploi puhlic. du 171*. Le régiment a ensuite défilé pendant que les Allemands tiraient des salves avec les pièces de montagne. Les nombreux touristes qui se trouvaient lii ont éprouvé une vive impres,sion p a r c e fait sans précédent. reins. La gendarmerie à ouvert une enquête. Daniélou s'est fait délivré un certificat médical. — Pogamme .lean de Kerampoi en Quimperlé porte plainte également contre Kermagoret Pierre de Kerrès qui lui aurait également porté des coups. POUR ETRE CHIC P a s s a g e d ' a v i a t e u r . — L'aviateur Poirée qui exécuta ces j o u r s derniers des vols sensationnels aux environs de Brest passé au-dessus de Quimperlé Jeudi soir vers 5 heures se rendan t, à Port-Louis où doit prêter son concours aux fêtes d'aviation qui auront lieu dimanche 10 août. A-ttirressage malheureux. — Notre compatriote l'aviateur Le Bourhis, en se endant au Huelgoat où il devait prendre Dart au meetting d'aviation des li3, IG et 17 août, a eu au moment de l'atterrissage au Huelgoat, une panne de moteur. L'appareil a été mis hors d'usage. L'aviateur est indemne. Ariation Chute mortelle A l'aérodrome de Johannisthal, près Berlin, au cours des épreuves pour l'obtention du brevet de pilote, l'élève aviateur Broks a fait une c h u t e grave, lundi à 8 h. Son appareil a été complètement brûlé. Broks, grièvement blessé, a été retiré par un autre aviateur qui l'a dégagé au péril de sa vie. Il a expiré ii l'hôpital de Britz. PmriB-Berlin L'aviateur J a n o i r a accompli son vol de mercredi de Paris à Berlin dans le brouillard et contre un vent violent, en s'orientant exclusivement à la boussole. il a efiectué le parcours d'Etampes k (land en 5 h. 15 et celui de Gand à J o h a n nisthal en 0 h. 46. Il s'est généralement tenu à une altitude de 800 à l.ûOO mètres. Il a l'intention de reprendre son vol vers Tilsitt et Saint-Pétersbourg. L e « d'Estrées » envahi p a r les rats Pendant son s é j o u r à Lorient, le d'Eslrées bâtiment école, avait été accosté près de l'ancienne frégate Yonne. Or, ce bâtiment école, étant infesté de rats, ceux-ci ont passé à bord du bâtiment école, où l'on n'arrive pas, malgré une chasse énergique, à lès détruire. lExploits de Sous-Marins Les sous-marins de la flottille de Brest ont réussi, ces jours-ci, un intéressant exercice. Il s'agissait, venant du large, d« franchir le Goulet en immersion et de parvenir en rade sans avoir été aperçus des batteries et des postes de la défense lixe. La manœuvre fut réussie. Dans un poste du Goulet, un microphone avait bien révélé la présence d'un sous-marin, le Rubis, mais on n'est pas parvenu h le découvrir. Cet exploit prouve que, dans le rade de Brest, une escadre ne serait pas en sûreté. La Mo^aie " de Billon '' Le Journal Officiel, promulgue la foi portant retrait des monnaies de billon et leur remplacement par des monnaies de nickel perforé. U n krach de 4 0 millions Un des constructeurs d'aéroplanes des plus connus, M. Deperdussin, 26, avenue de Villiers, Paris, chevalier de la Légion d'honneur, a été arrêté ii la suite d'une plainte émanant d'une Société linancière q ù i l e commanditait. Le krach serait de 40 millions. A la Frontière Un heureux incident qu'il convient de signaler, en raison même de la rareté du fait, s'est produit mardi à la frontière franco-allemande, à proximité de Ilemiremont. Au cours d'une marche k la frontière vers le Honeck, le 15" bataillon de chasseurs à pied s'est trouvé soudain en face du 171» régiment d'infanterie allemande en garnison à Colmar. Celui-ci a rendu les hoùneurs auxquels le 15" a répondu. Le colonel Duchet a salué du sabre le che" [28] Feuilleton de V Union Agricole Coqueluche \ par Pierre er SALES PREMlJiRE PARTIE VIII Comment sauver la reine ? — Ça doit être «ntant de la politique que de l'amoiir... c'te maalgance là I Mali ton monologue n'allait pas plus loin. Des ombrea couraient sur la rive' droite, où il lui avait été dit qu'il fallai aborder... Des ordres furent criés ; et i •perçut de petites lueurs, avant d'entend r e des détonations... Heureusement !... Car il avait eu la présence d'esprit de se remettre & l'eau ; et comme il'disparaissait de l'autre côté du canot, une rafale de fer passa à quel ques centimètres au-dessus de lui. . — Mince I... J e dois avoir mes deux douzaines de balles au complet, c'te foisl... II lâcha le bateau, qnl tourna deux ou trois fols sur lui-même et s'en illa buter c o ntre le débarcadère, lequel se couvral Immédiatement de soldats. Des hommes montèrent dans le c a n o et explorèrent le fleuve de ce côté, s'ima ginant qaei llndivida poursuivi avait dû voir à FASHION-HOUSE LORIENT Ses Cheimises Ses Cravates Ses Chapeaux Prix inconnus Partout ailleurs GHRORIIIOE R E O l Q l i L E L'cncoura«^ement au bien La société nationale de l'encouragement au Bien, dans sa séance solennelle, vient de décerner à notre éminent compatriote M« Daniel Le Barazer, avocat à la Cour de aris, la grande Médaille d'or, qu'il reçut des mains de son éminent confrère, M. ilaymond Poincaré, président de la République. Cette récompense suprême lui a été décernée pour avoir recueilli et élevé 16 orphelins de chaufl'eurs-mécaniciens, tués au feu. Détail touchant : M" Le Barazer vient de faire engager, le même jour, ses 10 pupilles. Quimperlé La, Sret&ffne à travers les agea. — La réunion du comité des luttes bretonnes, concours de costumes bretons, danses bretonnes, concours de binious et de cors de chasse, aura lieu le samedi 9 courant, à 8 h. 1/2 du soir, chez M. Louis Tréguier, organisateur de la fête, 11, rue du Couédic. Le comité se compose déjà de 47 membres, les personnes qui désireraient être commissaires de la fête sont priées de vouloir bien se trouver à la réunion sans autre convocation, le présent avis devant servir à prévenir tous les Quimperlois qui désiraient prendre part h l'organisation de cette grande fête, la première de ce genre à Quimperlé. Cette importante épreuve est destinée à savoir qui sera le champion de Bretagne pour les luttes bretonnes. Il lui sera attribué la « ceinture d'or » véritable chefd'oîuvre qui portera en lettres brodées en or l'inscription suivante : Luttes Bretonnes Championnat de Bretagne 1913 Cette ceinture en satin vert, longue de 2 mètres, large de 40 centimètres, sera bordée d'or avec franges du même métal, de 8 centimètres. En outre, le vainqueur recevra un prix de 100 fr. en argent, plus le produit d'une quête faite en sa faveur, ce qui portera ce prix à plusieurs centaines de francs. Les autres prix seront publiés ultérieurement. Une souscription est ouverte pour les personnes désireuses de contribuer au succès de la fête ; elles pourront od'rir leur obole en espèces ou objets d'art et sont priées de l'adresser soit chez le président, M. Tréguier, soit chez le viceprésident, M. Morren, Hôtel de la Gare. Les noms des donateurs seront communiqués à la presse. Aftaires de coups. — Daniélou Louis 31 ans, domestique à Kervez en Quimperlé, a porté plainte contre Bourhis Richard de Lestenach,, qui dans la j o u r n é e du 4 courant, l'aurait frappé et lui aurai donné plusieurs coups à la tête et aux s'enfoncer dans ces parages — cependan que Coqueluche, qui ne s'était nullemen vanté en célébrant ses talents de nageur, tirait une longue coupe, bien silencieuse vers la rive gauche. Il abordait, gravissait doucement la berge. E t alors il se crut bien perdu : c a r à peine sa tête émergeait-elle au r a s de la petite route bordant le fleuve qu'il a p e r cevatt une porte grande ouverte, tou éclairée... II n'avait pas besoin d'un long examen pour reconnaître un poste... avec un râtelier de fusils... des habits sus pendus.. Mais un examen plus approfondi le ras {•urait, au contraire : c a r le râtelier aux armes était absolument vide. Donc, les gens qui venaient de tirer sur lui, en dernier, devaient appartenir A ce poste : ils avaient pris l'alarme en en tendant les coups de feu venant de la ville... ils avaient dû courir, remonter le fleuve... l'avaient franchi par le pont du chemin de fer, sur lequel il se rappelai à présent avoir distingué des ombres.. Sans doute étaient-ils tous sur l'autre rive? En tout cas, 11 ne voyait aucun faction nalre à la porte. E t la plus parfaite im mobilité semblait régner â l'intérieur du poste. Rampant à t r a v e r s la route. Coqueluche arriva sous une fenêtre, se haussa Jusqu'au r a s de l'entablement : les vitres nues lui permirent de constater qu'il n'y avait, en effet, personne dans le poste. Théâtre I>ebris. — Nous apprenons que le théâtre des Folies -Hàvraises ; Direction Débris actuellement à Pont-Aven sera dans notre ville d'ici quelques jours et que la première représentation sera donnée le vendredi soir 15 août. Petit vagabond. — Dernièrement, le commissaire de police fut prévenu qu'un _amin d'une dizaine d'années couchait ,ous les soirs dans ia voiture de M. Bourhis négociant ; interrogé, le gamin a déclaré se nommer Le Golî François âgé de ,reize ans habitant à Lorient, 17 rue des Noyers ; il a même avoué avoir quitté le domicile de ses parents depuis 3 mois. Ce j e u n e vagabond a été remis à' sa famille par les soins de la police. Rospordcn Fête patronale. — Voici le programme de la fête patronale du 18 août 1913 ; Morgat, à Douarnenez, à Port-Manech, à Riec. Ils seront dimanche soir k Douarnenez, le j o u r des courses. A 11 heures du matin, route de Quimper. — Courses de chevau.K. — Au trot : 1" prix,25 Ir.; 2', 15 fr. : .3-, 10 fr. A 2 heures de l'après-midi, route de Quimperlé. — Au galop : 1" prix, 25 fr. ; 2«, 15 fr. ; 3% 10 fr. Les chevaux ayant couru sur les hippodromes seront exclus. Le 3* prix ne sera décerné que s'il y a 4 partants. A 3 heures, roule de Concarneau. — Courses de vélocipèdes. — Internalionale. 50 fr^ de pri.K : 1" prix, 20 fr. et les entrées qui sont llxées àO fr. 50 ; 2% 15 fr. , .3', 10 fr. ; 4-, 5 fr. (parcours. 14 kilomètres). Départ place aux Chevaux, route de Concarneau, Cadul, Ijourg de Melgven, Trinité, arrivée à Coat-Canlon. A 3 h. 1/2, roule de Coray. — Courte locale, 15 fr. de prix, réservée aux jeunes gens de 18 ans et au-dessous. A 4 heures, route de Coray, prairie de M. Richard. — Luttes bretonnes, prix divers d'ime valeur de 30 fr. A 6 heures, place aux Chevaux. — GavoUe d'honneur, flots de rubans. Grande retraite aux llambeaux avec le concours de la subdivision des sapeur.s-pompiers. Danses au biniou sous les halles toute la journée des lundi et mardi. Jeux divers. N.-Ji. — La commune de liosporden ne répond pas des accidents qui peuvent se produire à l'occasion de la fête patronale. Régates. — Voici le programme des régates qui seront courues à Concarneau le mardi 12 août prochain, organisées par la Société des llégates, sous le patronage du V. S. F. : Kcriiével Incendie. — Un incendie dont les c a u ses sont restées inconnues à détruit vendredi dernier, un tas de gerbes de blé qui se trouvait dans un champ appartenant à M. Kersulec Christophe delaOrande-Bunère. La gendarmerie enquête à ce s u j e t . Concarneau Le Trio Concarnois. — Ils sont chez nous depuis quelques j o u r s ces trois artistes que tous connaissent ici et qui vont par tout le Finistère faire entendre les belles chansons de Larrieu. Leur première visite a été pour Concarneau, où depuis dix ans, ils ont acquis droit de cité. Ils ont voulu de suito, dire un cordial bonjour aux sardinières, toutes leurs amies qui chantent sans cesse dans les usines comme des moineaux piaillieurs sur un toît. A l'usine Billette entr'autres, ce lut une véritable explosion de j o i e k la vue du Aloëlan Trio. C'est ainsi qu'elles appellent famiEtat-Civil. — Naissances. — Flattrès Anne-Louise. — Kermagoret Pierre-Yves. — lièrement nos artistes. « LeTrio », c'est la Kermagoret Philomène-Marie-Hyacinllie (juchanson, c'est la poésie, c'est la gaieté et meaux). -GharlesAlbeii-Jean. — Hervé Louisecela leur suffit. Dans les moments de trisMarie-Josèpiiine. — Malié Albertine-Marietesse, (Dieu sait combien de ces moments, Emilie. — Briec Henrielte-Léonie-Marie. — les braves filles ont traversé cette année),' Bourhis Joseph. — Orvoën Anne-iMarie-Josèon chante une clianson avec un gai refrain pliine. — Pensec Alain-Prosper. — Caniiec et le chagrin s'envole ! Lucienne-Aimée-Louise. — Bail Léa-GorenlineJosi'iphine. — Kermagoret Henriettc-Thérè»e. • A la venue du Trio dans la ruche bourPublications de Manage. — Nabec Aie.xandre donnante qu'est l'usine toutes les filles et Tanguy Marie-Jeanne. — Le Garrec Franspontanément, se mirent à chanter Les çois-îMarie et Le Bloa Anna. Filets Bleus. Puis, tour à tour, et sans Mariages. — Le Goc Louis-Marie et Kermacesser de travailler, car n o i sardigoret (Vnna-Josèphine. — Nabec Alexandrenières sont toujours payées à, la tache Josepii-Marie et Tanguy Marie-Jeanne-Bernaelles chantèrent tout le répertoire : Dans dette. leurs petits sabots, Friteuse et matelot, Filles Décès. — Mahé Goretitin, 20 ans, (transde chez nous, Les gds de Port-Manech, Les cription). — Braban Mallmrin, 75 ans. — Cornet filles de Pont-Aven, A Douarnenez, Les ChâArttiur-Eugène-Louis, 2G ans. — Guéhu Jeannetaignes de Redon, etc. etc... Malliurine, 84 ans. — Cordonner Louis, 77 ans. — Le Pennec Marie-Yvonne, 39 ans. — CapiToutes les chansons que Larrieu leur taine Joseph-.Marie, 12 ans. — Tanguy Maapporte chaque année furent chantées, thurin-Théodore-Louis, 4 ans 1/2. — Lopin rien n'a été n'oublié, — « Dame ! disaient Marie-Anne, 73 ans. — Drégoire Françoisnos sardinières sans cesser de ranger les Mari(>, 4 ans 1/2. — Péron Mario-Léonie, 20 ans. sardines dans les boites de fer blanc, on — Janin Anna-Marie-Josèphine, 4 mois. — les a chantées tout l'hiver !! — » Hervé Joseph-Marie-Corentin, 75 ans. Ce fut certainement une satisfaction bien douce pour notre poète. Il a vraiment su loucher le cœur de nos filles, il les a fait rire et pleurer tour à tour eu leur disant ce q u e l l e s devaient comprenMaison QUETTIER dre. Il peut y avoir d'autres gloires ainsi 55, rue du Port L O R I E N T que le disait Anatole Le Braz en parlant de Larrieu, mais celle-là est de celles qui (à droite en descendant la Boue) durent éternellement, parce que c'est le peuple qui les conserve, et le peuple est LA P L U S ANCIENNE éternel ! Espérons que longtemps encore nous LA P L U S IMPORTANTE reverrons Albert Larrieu et ses excellents LA^MEILLEURE amis sur la côte bretonne ! M- B. — Plusieurs lecteurs nous demandent à quel endroit et quels j o u r s on peut entendre Le Trio Concarnois. Il ne nous est guère facile de répondre attendu que ces artistes, véritables troubadours moMaison de Oonflanoe consacrée par dernisés, changent tous les j o u r s de pays. 4 6 ans de Succès On les rencontre un peu, au hasard, à. Ppnt-Aven, à Concarneau, k Beg-Meil, à Arzano V o l . — Ces j o u r s derniers, en rentrant des champs où il travaillait, Roallo Joseph, manœuvre à Penprat en Arzano, ne fut pas peu surpris de constater qu'un malfaiteur s'était introduit dans son habitation et lui avait enlevé de son portemonnaie placé dans un coffre servant de banc une somme de 4 fr. 50. Roallo, y a quelque temps déjà, il s'était aperçu qu'on lui avait soustrait 1 fr. 50 et ses soupçons se portèrent sur un de ses voisins qui, le j o u r du vol, avait fait des dépenses au-dessus de ses moyens ; il a porté plainte à la gendarmerie qui vient d'ouvrir une enquête. AU PROGRES MAISON D'HABILLEMENT — G'que je leur collerais hait jours de bloc, A tous ces galllards-Ià fit Coqueluche enchanté, si j'ôtals leur capiston I... P a s même laisser un homme de garde I Rampant toajours, 11 francbit la porte, s'assara une dernière fois qu'il était bien SAtil, et prononça épanoai : — Ça, c'est riche I... extrêmement riche et confortable I Car il y avait, sur la table, i côté de quelques papiers et de vieilles cartes grais seuses. quelques verres encore pleins. Dans les uns, les moyens, était versé du vin... dans d'autres, plus grands, de la bière... et dans les petits. Coqueluche renifla un parfum inconnu de lui, mais à base d'atecol, sans aucun doute... E t 11 en but deux, coup sur coup : c'était de la voïka, liqueur favorite du baron Mosell. — Fallait ça pour se requinquer ! Il n'était pas suffisamment retapé, pourtant : c a r un effroyable éternuement le secouait. —*Ça y eut ! me voilà avec mon rhume de cerveau I... Jolie tenue, pour se présen ter devant une dame de la haute I... sans compter la fluxion de poitrine que je ris» que peut-être, alors que j'ai dix mille balles toutes gagnées devant moi I... Sales frusques!.. D'une façon presque machinale, il en levait son veston, son gilet... L a chemise aussi, qui était glacée I... Àttchlm I... Attchim 1... E t les godillots encore pleins d'eau... C'était pas étonnant que ça fût si lourd! Coqueluche avait même cru, un moment, que ç» allait l'entraîner au fond du fleuve. Or, sur une planchette, s'alignaient des chausaures de rechange, admirablement astiquées... — Mais c'est des monuments, cela I faisait dédaigneusement Coqueluche, et avec quelque fierté de l'élégance de son pied. En tout cas, une de ces bonnes capotes!... E t p u i s ! . . Il se frappait lé front. — J e dois être signalé, déjà... avec mes « frusques » de Parigot I . . tandis que vêtu à la mode militaire du pays !... Pour sûr, v'ià le coup !... Me laissera-t-on le temps, seulement f Il eut le sang-frold d e r e g a r d e r , presque une minute, au dehors Et, ayant constaté que le groupe des hommes continuait ses recherches, là-bas, de l'autre côté du fleuve : — Cherchez bien soigneusement, mes a m o u r s ! . . . Mettez-y même une demiheure si vous voulez... que Coqueluche aie le temps de se fringuer... comme s'il allait & un gueuleton chez mossieu F a l Hères 1... II arrachait, déchirait sa chemise, qnl lui collait sur la peau... Il dut prendre un couteau sur la table, poar couper ses chaussures, qu'il ne serait pas parvenu & enlever sans cela. Mais... — Aïe 1... J e suis fichu ! 11 avait entendu des pas... Il garda le couteau en main, prêt à bien défendre sa vie, si c'était sa dernière heure. Mais comme d'être brave n'empêche Premier départ à une heure et demie. — Première série, 6 mètres entrée 10 francs lettre L : 250 francs à di.slribuer en temps primé, dont 150 francs au premier et un objet d'art; an second une médyille de bronze. 2* et 3" sér'ies : S et 10 mètres, entrée 20 fr. lettres 11 et ; 2rx) francs à distribuer en temp primé, dont 150 francs au prernir el un olijiits d'art ; au 2'. une médaille d'argent ; au une iiic'daille de bronze. Série spéciale de S m. 50 ; entrée 3 francs ; premier pri.\, t',0 francs el une médaille d'argenl ; 2* pri.x, 40 fr. el une médaille de bronze. Handicap breton : entrée 5 francs. Première série, au-dessous de 9 mètres; 100 francs à distribuer en temps primé et au premier une médaille d'argent ; au second une médaille de bronze. Deuxième série, au-dessus de 9 mètres ; 2.'Il francs à distribuer en temps primé et au premier une médaille de vermeil ; au second une médaille de bronze. Iteiizcc-Coiiq 2° Fête du Oui. — La Comédie Française à Concarneau. — La Fille de Roland. ^ Le site choisi pour la r e p r é sentalioa convient admirablement. Il semiile que l'endroit ait été créé pour ces grandes manifestations d'art. La voix parviendra aux derniers spectateurs, -aussi nette, les paroles aussi distinctes qu'aux spectateurs deo premiers rangs. Il est inutile de dire que, étant donné la disposition de la scène et son agencement, on verra admirablement de toutes les places. Le rùle de Berthe sera tenu par J a n e Delvais, cette artiste qui a remporté tant de succès en jouant ce même rôle l'hiver dernier à Paris, n'a pas besoin de nous être présenté davantage, sa renonommée la précède et tout le monde la connaît. • Alexandre qui j o u e r a le rôle de Gérald, est à l'heure actuelle le j r a n d espoir de la troupe tragique de l'ilrastre maison de Molière. Doué d'un physique superbe, d'une voix chaude qui vous prend tout de suite le co^ur, ce j e u n e artiste a j o u é avec un triomphal succès presque tous les grands rôles du répertoire tragique. La carrière à Gerbault est une suite ininterrompue de succès, sa jolie voix et son tempérament très dramatique peuvent se donner libre cours dans le rôle si b i e n v e n u du comte Ahaury. 11 est regrettable que le rôle de Théobald, soit si court, Yvonne Ducos, j o u e avec tant de talent, tant de charme qu'on ne voudrait j a m a i s voir terminer les scènes où elle parait. Décrire la carrière de .Marquet, ce serait écrire l'h^istoire de l'Odéon pendant c e s 20 dernières années. Rappelons seulement que pendant l'inauguration du Théâtre de-la Verdure à Namur, ce fut lui que l'on choisit pour j o u e r devant le Roi des Belges, le rôle de Charlemagne, dans lequel nous aurons le plaisir de l'applaudir le 10 Août. A côté de cés protagonistes de toute première grandeur, les excellents tragédiens de Teste, Olin, Garrick, Guen, formeront une troupe d'une homogénité bien rare en province. Rien ne sera sacrifié aux vedettes. Voici le programme détaillé de cette fête : » A 9 heures du malin. — Ouverture de la fêle. A 11 heures. — Défilé de la noce bretonne. — Déjeiîner champêtre dans le parc (3 fr. 50, café compris). A 1 heure. — Grand concours de costumes bretons, nombreux prix (100 fr. et médailles)A 2 h. 1/2. — Représentalion en plein air, La Fitlc de Roland, par la Comédie Française. A 5 h. 1/2. — Grand concours de danses. Gavotte d'honneur. A 9 heures. — Grand bal. — Prix d'entrée : 1 franc par personne. Le prix des places au théâtre, donnant droit à l'entrée du parc el de la fête, sont les suivants : iléservées, 5 fr. ; premières, 4 fr. ; secondes, 2 fr. ; troisièmes, 0 fr. 50. Les places réservées peuvent être retenues chez M. Jégoudez, pâtissier. pas d'être prudent et malin, 11 avisait une porte et pénétrait dans une petite pièce située au bout de la salle de garde. Par la fenêtre de cette petite pièce, il reconnut des silhouettes militaires, qui marchaient lentement, au bord du fleuve. On cherchait, aussi, de ce côté. — Ils ne m'auront pas laissé le temps de me fringaer ! Il n'osait plus rentrer dans la grande salle, qui se trouvait si lumineuse, sous une énorme lampe & pétrole. Mais, par la porte enfr'ouverte, arrivait assez de lueur pour qu'il aperçût un costume appendu au mur de la petite pièce. — Et quelque chose de chouette, mes enfants !... Tu parles, mon vieux Coqueluche 1 s'écriait-il ^vec enthousiasme : la pelure de l'officier ! . . C'était, en effet, le costume de demitenue, que le chef de ce poste, un lieutenant, devait endosser le matin, pour la relève de la garde. — Mince de chic 1... Ce n'étaient plus des chaussures, balourdes... ni une grossière capote... C'était une fine culotte de drap gris, soutachée... des bottes vernies, à éperons nickelés... un lalpack à plumet rouge... un dolman blanc, à gros galons dorés... et enfin, un de ces vastes manteaux bleu clair avec lequel on devait être aussi beau que les mousquetaires d'an tan. — Il ne nous manquerait qu'un pur sang, monseigneur!... S'agit plus que d'avoir du toupet, et on est hors d'affaire. • m- •• » il «t •» «-• . *i> .i.TivtiN»»»» « -> • • «t jiiifci* «i «-1 ' t .^ï» «iik I i.» • t «yrt.i.,» <• •• -î • ...Wwit-. < v.'vJ • ' -'m-ic w.t » ï'S • «li * J. i,t..i 1 iiw 'i^w".! ii<ài« 13 I •. '•«'..> I ifrt'Mri t t ' t, »et* f ' .''1 • 1 • t-^» l t h u H .•«-iJ>!>-..« t» 4' » »»*MU t « tu» <SlBt.t.« 4 . . •i'.'uti* » 1 ' '...t-JM»' ( ,* t&t, if» '• •irAlu-.Mi tJ' H A B R I A I i , ({-' htt) mioiàk 'f mtmtf ji^i • » « . r!..—t A U Chambré* ' 4 fM f < ît. * '. > • « j* i ir ? .i • > » I ;» «•'» U' » , t t . ; , ». , )« - '.«.Sîte J.»,'*» , f ' J! ? 'Ut I • «ec «t f y-,! ,« Jf«-, • (; «U» » . . • l'»yf«>4 -fif V — C."»' U f»'... . J»'. :r4;:'j«iU»' fJîsOl î y »)!« VJ (JU«t r î-*» ((li'n) ic* «fhr;.-. >* U'fi* {ftlrtl* — i * Ml* ' il', i'. o<j lîs-li((ï»" I.O0, trx/n caïi/if. !»• ^ l.'. «J»-» l • Irni f^^'|U'> i»«>' trf» rin'-i-'jii." Uir«» T« ••» «n i - u I» r>ot»r un>(«r . ir.'rt, ««»» ) Uir»*, j tf»v«Jll<! «Un» r»i»u(elii)ur «-«vm!" i(»Ol. l u •» .-ni-rfi lu |.»r»or .I- «IMU.LIN ' — Mir >|Ue le «lonii» <!« «"Ht. I «1 u>rl )ltt lin i» r<trinaUr<'AUlr<^iii«nl c:<-n( tut i)Ui a i n v c n i ) - p i i f U «Icinonluhlt! ; tu parl'.-'i » il »«il l*; Iruc pour Mon fdiro. Af.h<'l<' ui«" pair»' <1 < n vcloppfil .MICUKUN » IriiiKl'!». lu le» jjttUîrai» 10 fr. pic-ce. l u loKi raH <le<inn» ilv iM>nn<;ii cliniiihrvH k air ruUKC, k < (r. — Uu in^itK' î — Kl Hiin» coKoac... Kl lu rtiviemlrn'i iiit; ilini lit i;a ne vnul pan niitiU.x <)Ut! In .nnle caiiiololv... IJno pnirt- «le pnuux .Mh.ilKMN. iiioiicoloii, gn Uiconduirn )UMiiu'«l«clu»Ht; ! ^iiliiipor t,»» CouramM. — U Socifli- dos oour.stis tic yuimpur a I hotitnjur <lo porUsn h In ooniittlsManco ilf« hiiliiliiiil« IfH (!i.s|iOHiliur.N HUtvuiilo.'i : !• l)o« curluH ironln^i! sur l'Iiippodrome .sont déposùos olioz .M. (;ourm(;l(!ii, Hureim do Tdbuo, y lluo ilo Kcrooii. 2° Lus Curlea dit .i fr. duiiuunl dmil à la pelouse ol «u.v tribunes. 3" Les oarloa donnant droit au paddook sont do r< fr. par jour. Jusqu'au vendredi «oir 15 Aoul, il .sera mis «Il voiilc dos souscriptioii.s de 10 fr. ii trois cnlrùo.s par jour, dont une par jour au paddok. A i>i'rllr du Ki Août, lu vontodcH 8ouacrii)lions sera suspendue ol il no sera plus vondu ((ue des oarles séparées do 5 fr. et do 2 fr. La Iribuno dito dos » Sociélairos » sera oxolusivoinont résorvéo /i .M.M. les sociétaires ol il leur faniille et au.\ personnes munies do cartes d'invilation (ot!S caries 80 disliiiKuent par un fer cliev«l). L'ontroo îles auloiiiolnles sera laxée ii 5 fr. par jour, on outre de la curie de souscripteur ou de sociélaire. Pour M.M, les sociélaire.s celle la.\e esl rôduitedo moitié 5 fr. pour les doux jours. Les personnes(|ui voudruienl faire supplomontor pendant les courses leurs carte» do pelouse pour avoir le droit d'enlror au paddock, trouveront A l'oiilrée du paddook ilos timbres do supidément do 3 fr. Il en sera domiînio à l'enlroe do la tribune centrale (supi'lénienl fr.) A l'entreo do l'Iiippodronio la vente des caries se fora un peu en avant îles tribunes sur le chemin dit de la Forèl et près du moulin St-Jean au bas do la cAte de Cuzon. Il no sera pas vendu de caries au contrôle des voilures. Foucsiinitl Or«Jid» fite bretoaae des Potnmi«rB. — Le dimanche 25 août prochain aura lieu l'i Fouosnanl, sous la présidence d'honneur do M. Louis llémon sénuleur, conseiller général du Finistère, la première grande fiUo bretonne dos l'ommiers. Le programme de celle journée comprendra dans ses gramles lignes les attractions suivantes : Miitin'-e. - Concours île costumes bretons pour enfants. — Danses enfantines avec nombreu.ic prix. A midi. — Hamidel champêtre par sousonplion. Soirée. — Concours de costumes anciens el modernes. — Luttes bretonnes avec Cliampionnal. — Concours de danses brolonnes. — Grande kermesse. Dislribulion des prix. — Ual champêtre avec illuminations. Altraclions el jeux divers. Des affiches ullérieures feront connaître le programme détaillé de la ftHe. ifc- herroiiiiloiiii Mort mceidentmll». — Le Jeune de Kersoao et son journalier, liihgeard lîuillaume 5i ans, déchargeaient mercredi une charrello de gerbes. Diligeard, monlé sur la charrelle. perdit l'éi|Uilibre, il tomba d'une hauteur de 3 mèlres. Il (ul relevé porteur d'une fracture au crâne; la mori avait été instanlannée. Itrioe JDmufr d«a «raies à — Yves Guillou, 23 ans, de Kervennal. chassait des lapins quand son beau-frère, Félix Le Corre, 17 ans. vint le prévenir que son propriétaire désirait lui parler. Guillou lui pwsa l'arm® sans la désarmer el partit. Le Corre le suivil tenant le fusil horizon* tum"*^ *» « 't «-,, ; i , î» 1. : k » •.'t. % •. /» -.ji-.^?! V»»» - eif'.^J'W.?* il -f* 1 I •.>. t '1 Vf t t tw, V :: V iirt i^ î"' k j.ij'.. îis^in.i». tr-• > t.t -1 T •> « l.i»> lu: , p. - i t . x t , « : A » (T ! l'têluiilr •• * ". t^ •< i !/ k .!/••.. » ïï! • • , kt-. !<»•.» . t-.îfcmo l'J «U.. t . ' % fcK irto il» i», , ; i ; >*.>, i» i-^si.. t ' » I a » , h'.^, ir» ' m Si.. i » « » . H^ 'JM kl, . .1 • • » Jfc . iora. Vff «. , 1 7 . . I " <}C«iilit. ï .. k r îi ... \ Xt tr CMtui3* tft r*M vt Jtf*i««a IVormand = B é n a r d = Mailiunr t\\AS. qui liabllf au l'elil Kouchanipl. piv."i Suint-DIé (Vo.sgcs) était alleinle ilcpiiis Irt's longlemp-s d'eczéma. .\près avoir essayé en vain tontes sortes de remèdes : dépuralifs, eaux spéciales, pommades diverses, etc., .Mme Kaa.» vient d'obtenir «ne guérison roinplèle, Ki'ioe Trailemeat Normand Hénard. .\ussi conseillons-nous à tous ceu.it qui sont alleinls de .Maladies de l'eau. Kczémas, Dartre.^ nouions, ricéres, l'Iaies. Maux de Jambes, Vices du sanir, clc., de demander ii l'in-stilut Normand, :58, rue Armand-Carrel, à Kouen, l'inlércs-sanle brochure explicative illustrée, laquelle contient tous les "renseignements, el esl adressée gratis et franco. - Prix du traileir.enl, 6 fr., T'*' Ph'". Franco, 6 fr. 00. Dépositaires : Quimperlé. Pharmacie Normale, HABHIAL ; LorienU Pharmacie Normale, BOUTHELIER, 7, rue des Fontaines ; Concarneau, Pharmacie MOCUDE: ; Rosporden, Pharmacie CHAPEL ; ScaSr, Pharmacie KEHEVEUR H r . I OipitM i'\ l* MUffUm pmur U « « « l i f * B m A S m u u CM A EusTipEs t< a M a s j o r }} Me.>rt co.x s ti>tRA r l c ajimii irtû»f»j; rMTM achelify (sur- tout tttcc prétendus tle «/«»f»irt>ii/e<- MO.* j m IjC^ >l'>uleur« Aussi engageons-nous vivement toutes les personnes atteintes de hernii\s, efforts et descentes (hommes, femmes et enfants!, venir essuyer cet appareil à : BREST, le 11 août. Hôtel de France. CHATEAULIN. 1.3aonl. Hôtel Grand Maison. et des Xoi/ageurs. d'Or. d'Or LORIENT, le 17 août. Hôtel de Dretagne. Pour éviter l'étranglement des hernies, demander la brochure gratuite à .M. GLASER, Boulevard Sébaslopol, 38, à Pans. PRIERE AUX CONSOMMATEURS de la chicorée Extra Leroux d'ep retourner les vignettes TOUS LES ANS AU 3 0 AVRIL à M. A. LEUOU.X à Orchies (Nord). 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C'omplkïltons n^.uveol «nyrtolk» <lu rfiuman*me. de couttf. <>«• U Kr*vdle *'>n\ c»u*u>4 f a r le "> «-jour l «<'canJulaUon> dans le « n g dç l ârtdc unquc qu<» ÎM reins ni.'-;. n> •jHont, n** jwuv<?«t plut élimmer. /,! tt< Kirr<>tei)i )>iii tft m^faih : l'ncnle tfiU-'. •('.-•i; ;» t4li'liV l»«'(n»lc r*{>jr»'f»ll uriqu" «-n '•Ifct i m l c l-i '--«nV «i«rtll' n <1<| fl)<:l»<-ft». .5 •'ïfïKll rXf«(.liont.fii'Hirnl•J»! )'-* jujKj ; »o'Jcftiwr lr»iii «lu iiurntrdunnfi éurloutianuit . 11 la conT1 A/Ot gcitionne «"l j>''ul provoquer do l'inconti1' Itiil'l» 4 ' ti«in«<lr iiior ^aUtiic» normili-nonco ou de la rotenUon. lltri'it :i r| . }ii<l«. : Souvent, cCl^ alI«'Clions ne ^onl précét- liillr!» .) 4||»T ni ivlij49urrtt(i.>irr« 'Or»n<l<~' déct que par un mal de dos. des nrinrs !>• ' •«: , iroubUr? foncées, brftlanlei», un ^^Ul de I- Ililli-Lit .1 .•tfiirwmii an .Mwtil >1 Mielicl ; malaise (féneral. des maux de tètes, sueur» >• liilirui ti rirumion 'le l'»n>i cl ilc Hoiicn frisson». »vrc ir»jffi m b.ilJ-aii i-nln' Hourn ol I.C ll»vm. F,n rendant au rems leui- activiU-, les llillolx >1 l'xruntion A IbiniKO'tl Ku oiilrt-, IPI liillrU (rallor ol rclour onJinm l'iliiti-'H Kolcr (vuunpcrlé i)harmiicie HaIV». <1. livrx-» l'ir Korct 'lu H»:ltc4lJ iJtt I KUt bnnl) chassent vigoureusement el régu(4iiriP(i ri'Hcaii il<- |(uic«<l , pour li-.* Jcs li^remenl l'acide urique les impuretés f x i ' i x .le IKUl (nni-ti-n) cl d Orl«'-an«, ou récil'eau en excès qui causent I hydroi)isie. |iri>«|u<'iii''iil, iiuroiif Icurdun^o ilo Viilidil»; pri»le gontlement du dessous des yeux, des loiiKi'i' il.itHliïsni'^incH condilions que Icx bilIcU chevilles, etc... iti'Jt'IiicN n <l'"<'«U!t. 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N'ons le remplacez aloi-s par un bandage plus souple dont la puissaiiee esl nulle et qui s'allonge dcinesuréinent au bout de quelque temps. Voire M*«M IfM la^lêt«ij0ëm$ i0»^tt hernie n'est jamais maintenue el vous redoutez rélranglenienl fatal. (;'esl pour vous la souIVraiice physi(|ue, aggi-avée par la toraojionoïk.* f ft», «M I ULU, nm tav ture inoi'ale. Kli bien, il existe un appareil H««M sans ressort el sans caoutchouc, inventé par .M. Cil.ASKll, spécialislu de Paris. Sans ressort, il est si souple et si léger que les peisonnes les plus délicates peuvent le porter jour el nuit sans gône. On peut afllrnier que la reiiilurc est presque inusable et sa puissance est telle, qu'il immobilise radicalement les hernies les plus volumineuses, les plus rebelles. Ajoutons qu'un système LE CÉLÉBRÉ "7 spécial donne à cet appareil une puissance d'élaslicité précieuse et constante el c'est là UGENERATE11R_DES CHEVEUX le secret de cotte merveilleuse invention. Nous n'insistons pas davantage. Le doute est bien Rend aux chevp.iis permis h ceux qui ont éprouvé dos déceptions gris leur couleur et continuelles. beauté naturelles (Ju'ils viennent donc e.s.sayer cet appareil. Ils pourront ainsi se convaincre que le soulaSupprime les pelli gement est Immédiat, et il leur sera démontré , cule.>^ el arrête If que grâce à la contention radicale et parfaite, fO^chùte des chevfii.x tout espoir lie guérison n'est jamais perdu, SE RECOPIAUDt riî ICu l oici une preuve : 30 MS OE SUr.CÉS El • 19 avril i'.ti;{. UXE VENTE TOUJOUri " .Monsieur CLASi;i'., " .le suis heureux de vous annoncer q>je ma CTOISSAIIÎE. hernie a complètement disparu grâce à l'usage r.i.i'i" IniHCc lu firwpcrlli! sur deiiicimt de votre merveilleux appareil. V. . HKl'DT : 2S, nne d Eimlilea l'Al.Iï" J'ai obtenu ce résultat malgré l'ancienneté I:N VKNTE PARTOUT de ma hernie cl je vous autorise à publier ma i'xnit'r'«-1' 'fif-w »! mo" no ya l windscih lettre dans I inléréf de ceux qui soulfrent. nOpoNituire.s : à Ouimper, M. CoL « Votre bien reconnaissant. UËC, coifleur rue Saint-François — à MAUTUET NOKL, Quimperlé, M . M A R R E C , coilVeur, rue de il Plemeur-Bodou par I.annion (COtes-du-Nord). la Mairie. l>aiiM l e ^ V o s i i ^ e s Une Ouérison par le r w m . 2 màU PHARMADO LAURÉAT TttL<^HOMf, t'ttAr > dr r\%«amplloa .(toyU'Mt^jKMt Jf UkéHttf 4* rm/iJti^ 4ft ttUUu a yris r/«(«t/r o— A . -/vt^tj.t, ,î« ;» i.'.i- jf rAM»(n|>Um. fUKif «îr» Mijî-t» » pni. f»<}ûit». 4- ' . .l^liVIHtK t du ' \(»ÛI. !,. jUi !u*f»-! >w ( j;ui »«• ^ o r - i x i L O l t » Plaça Saint-Michel QUIMPERLE O . î . ' J I r ^ l i t à r ' i i M i o l o fX/urcs pjitr /iv.^ pi-u- intMifi-^s .\r{u-!<r$ 0)nutif tous tes ptih (illtls. Douches — Injecleurs — Bassins de Lit — Urinoirs i i i : i L \ i Ë G-tie inllrmilé eirrayante p.'ïr ses suites trop souvent mortelles, esl arriMt^e, pn'-veivue, au point qu'aucun danger n'est désormais a redouter avec la luùlhode de i'éminenl spécialiste .11. •!. UI.ASKR, boiilcviiril S«'-l»iislo|»ol rt l*«Hs. Aussi, avant d'acheter un handage quelconque. les malades des deux sexes aiteints de hernies doivent-ils demander à .M. Glasersa nouvelle et instructive brochure expliquant clairement comment la hernie se .soigne el peut se guérir, et qu'il enverra avec 'a date de son passage dans la réi(ion. Klude de M' Grchol. à (Jumii'i rie Nulaire DISSOLUTION OE SOCIÉTÉ AUX termes d'acto rci;u par .M' GACH'KT, nolain; ii Uuin)l)erlé, le 2Ô juillet lOia, S i . l'utrice-Ktienne Marie de SOI.MlNlllAC, proprieUiire iii.-ijeur, demeurant au clii'ili'au de llélon. en la commune de ll:i'c-bur-llélon,usfnU de lu faculté qui lui a été rôservee par l'art, on/.e des sUiluts de la Société en noirî collectif ayant existe enlrelui <îI Mme Louise-Marie LaunElisabi-lh de Lessigiies Itozuvcn, veuvi- de .M. Auguste-Goiistant de SULMIMIIAC, den'ieuranl aussi au château lie Hélon, suivant ucle re.-u par M' G.\Clll-"r, notaire h Quuiijerlé. le 18 juillet IDl'i, publie conormémenl ii la lot; ladite société dissoute par suib' du déd-s de Mme de Si.|r>iinihac,-arrivée ii Helon, le 30 Mai l'.M.'). A déclare conserver pour son compte personnel el exclusif tout l'actif social h char;,'e d'en acquitter le passif. lieux expéditions dudit acte de dissolution do société onLé;lé déposées l'une au grelfe du Tribunal civil de Quimperlé, faisant fonctions de tribunal de commerce, le 2 ao it 1!)13, l'autre au grell'e de la justice de paix de Pont-Aven, le 4 août 1913. Pour extrait : GAClIKT. i;tude de M' Gachot, notaire à (juimperlé Adjudication Amiable LE JEDDI 28 HOOT1913, à H illires Kn l'Etude de M' li.iCHEl DE m i MiliiOHS se joipnani, avec écurie en ai)pentis, sises à Quimperlé, pince l/xngnon, n" .'i, up|iarlenant k .M. Louis Colloberl. Revenu, 4iO francs. Sliso à prix : 7 . 0 0 0 f r . S'adresser à M' (iACHKT. Etude de W' Peyron notaire à Quimperlé A VE¥DRE Par Adjudication Volontaire LE VE\I>REI>I 22 AOL'T 1 9 1 3 à deux heunîs de l'aprés-midi ES L'ÉTUDE ET PAR LE MINISTÈRE hE M* PEYROS U A E P R O P U I K T E sise à Xérède, en Locanolé, comprenant : Maison d'habitation, bâtiments d'exploitation, terres bien plantées en pommiers, à l'exception des parcelles n<" SOO, 801, 802, 81 i. vendues. Très belle pèche dans l'Ellé bordant la propriété. Jouissance par mains au 29 .Septembre prochain. Mi.se à pri.ï : I O.OOO f r . En cas d'oflres suirisantes, on pourra traiter avant l'adjudication. Pour tous remeifjnements, s'adresser à PEYIlfjy, notaire. ASSISTANCE JUDICIAIRE Durillon du 13 ortobr«> 1911 Ktud»; de W" Piton, avoue rue de Quimper. n* !'J à Quimpeile DIVORCE li'un jugement r- ndu par défaut par le tribunal civil de premiiirt>in.Hlance de Quimperlu le ITi janvier 11M3, euregislre el siKmlle. Entre : .Mme .Marie Hélène Kervéadou épouse de Louis .Marrec. fcouiurière, demeurant et domiciliée è Quintperle. rue Kllé. Demanderesse ; El: .M. Louis .Marrec, sellier domicilié à Quimperlé. Défendeur ; Esl extrait ce qui suit : Le Tribunal prononce le divorce enlre la dame .Marie Kervéadou el le sieur l/)Uis .Marrec, au profit de ladite dame .Marie Kervéailou avec les conséquences de droit. l'our extrait jiar le soussigné, avoué de la demanderesse. P . PITON, Elude de M' BIger, .Notaire ù Hannalec A V E N D R E ,1 l'Amiahle I l TliB lifilJI PlIOl'Ilél' RURALE située au lieu de Bcrriguel, en la commune do Kernével, nyant de bons hiUiments, de Irés 'bonnes terres labourables et 0 hectares de belles prairies susceptibles d'auxmenlation. (Contenance (i? journaux environ .louissance par mains au 2î) septembre 1015. Pour tous renseignements, s'adresser audit notaire! Elude de W Péan de Ponfllly, licencié en droit, noUire it l'onlAven. A V E N D R E EN TOTALITÉ OU l'AR LOTS AU GBÉ DES ACgUéKEURB Diverses belles pai^elles de terre sises k Ker*ndré*tt-Ztoyatt en la commune de Itiec-sur-Hélm, en bordure de la route de l'onl-Aven à Hannalec et bien jdacées pour construire. Entrée en jouissance au 29 septembre 1913. S'adresser pour traiter i M. ULO.Nî)EAl.', place des Ecoles, Quimperlé, ui se trouvera sur les lieux à la i isposition des amateurs le samedi 9 août i013, à partir de une heure apré.s-midi. Et pour tous renseignements au notaire. Etude Wl' Barbe, notaire à Moélan Adjudication Volontaire JEn l'Etude LE DIMA>tHE :»! AOUT 1 » 1 » à I heure de l'apreft-midi I>'L\E lUAISOX nu li'jarg de MOELAN en face la .Mairie, [Kiuvanl servir à tout commerce, avec écurie, remise, cour, puits et jardin y atlenanl. Mi.se À prix ; 20.000 f r . Jouissance au 29 septembre 1913. On demande forçeroii.H ou ajuKtcar»» S'adresser ou écrire à M. E. Guillou, rue Amiral-Courbet, CX)NC.\R.VEAU. — A l'occasion de la Fête du Gui h Concarneau, le dimanche 10 Août prochain, h Compagnie d'Orléans mettra en marche ce jour-là enlre Lorient et Rospordeii et retour, un truin spécial dont ci-dessous l'horaire : ALLEH Lorient, déparl 4 5 Fî'-i'porden, « m m - 5 53 10 23 RETOUR Bannalec Quimperié L'emploi régulier des Pilules Sui.sses guérit la constipation sans fatigue ni changement dans les habitudes, et rétablit les fonctions digestives! " A chaque mal son remMe " i li. 30 Quimperié Baiyialec Rosporden, talement, sans qu'il s'en aperçoive le coup p u-lit et la charge vint atteindre Guillou aux reins. Le blessé s'afl'aissa et on le transporta à son domicile. Son état assez grave ne donne pas d'inquiétude. Guillou a été blessé h la main 'droite. 21 h. 54 départ 22 22 10 32. Lorienk, arrivée 2;J 03 Kn outre, le train spécial d'aller correspondra à Ilosporden, avec une navette supplémentaire partant de : Rosporden, départ La Boissière 511.50 O OS Concarneuu, arrivée G 19 A la Chambrée — Vivement c'soir qu'on s'couche ! s'ecria Pitou, le cycliste de la 11° compagnie, en se j e t a n t sur son lit au retour de la manœuvre... j'ai crevé six fois en trois jours, j'ai fait la moitié des étapes h pattes ; j'ai récolté huit j o u r s .le consigne pour avoir porté les plis en retard... avec ça 30 francs de pneus à payer sur mon prêt... Gré fourhi de métier !... — G'est ta faute, répondit tranquillement Duinanet. Tu sais pas où que c'est qu'on les achète, les bons pneus... — J e sais pas ! lit Pitou indigné... eh bon, mon colon ! Des 12, des 15 francs que j e les paye mes enveloppes ! — Tu es un peu là pour le faire estamper... moi, j e sais y faire, j'ai travaillé dans le caoutchouc... écoute-moi. Tu as entendu parler de MICllELLN ? — Sûr que j e le connais de nom. — T'as tort de ne pas le connaître autrement. C'est lui qui a inventé le pneu démontable ; tu parles s'il sait le truc pour les bien faire. .\chète une paire d'enveloppes MlCHELhN à tringles, tu les paieras 10 fr. pièce. Tu logeras dedans de bonnes chambres à air rouge, à 7 fr. — Du même ? — Et sans cognac... Ht lu reviendras me dire si ça ne vaut pas mieux que la sale camelole... Une paire de pneus MICHELIN, moncolon, ça le conduira jusqu'àlacla.«!se ! (jiiîmper X e s Courses. — La Société des courses de Quimper a l'honneur de porter à la connaissance des habitants les dispositions suivantes : 1® Des cartes d'entrée sur l'hippodrome sont déposées chez M. Gourmelen, Bureau de Tabac, 9 Hue de Kéréon. 2® Les Cartes de 2 fr. donnent droit à la pelouse et aux tribunes. 3® Les caries donnant droit au paddock sont de 5 fr. par jour. Jusqu'au vendredi soir 15 Août, il sera mis en vente des souscriptions de 10 fr. à trois entrées par jour, dont une par j o u r au paddok. A porlir du 10 Août, la vente des souscripiions sera suspendue et il ne sera plus vendu que des caries séparées de 5 fr. et de 2 fr. La tribune dite des « Sociétaires » sera exclusivement réservée à iMM. les sociétaires et à leur famille et aux personnes munies de cartes d'invitation (ces cartes se distinguent par un fer à cheval). L'entrée des aulomobiles sera taxée à 5 fr. par jour, en outre de la carte de souscripteur ou de sociétaire. Pour MM, les sociétaires celle taxe est réduite de moitié 5 fr. pour les deux j o u r s . Les personnes qui voudraient faire supplémenter pendant les courses leurs cartes de pelouse pour avoir le droil d'entrer au paddock, Irouveroat à l'entrée du paddocii des timbres de supplément de 3 fr. Il en sera de môme à l'entrée de la tribune centrale (supplément 3 fr.) A l'entrée de l'hippodrome la vente des cartes se fera un peu en avant des tribunes sur le chemin dit de la Foret et près du moulin Sl-Jean au bas de la côte de Cuzon, Il ne sera pas vendu de cartes au contrôle des voitures. Foiicsiianf G r a n d e fête bretonne des Pommiers.— Le dimanche 24 août procham aura lieu à Fouesnant, sous la présidence d'honneur de M. Louis llémon sénateur, conseiller général du Finistère, la première grande fête bretonne des Pommiers. Le programme de cette j o u r n é e comprendra dans ses grandes lignes les attractions suivantes : Matinée. - Concours de costumes bretons pour enfants. — Danses enfantines avec nombreux prix. A midi. — Banqùel champêtre par souscription. Soirée. — Concours de costumes anciens et modernes. — Luttes bretonnes avec Championnat. — Concours de danses bretonnes. — Grande kermesse. Distribution des prix. — liai champêtre avec illuminations. Attractions et j e u x divers. Des affiches ultérieures feront connaître le programme détaillé de la fête. Kci*rciintciiii JUdort accidentelle. — Le .leune de Kerscao et son journalier, Diligeard Guillaume 54 ans,^ déchargeaient mercredi une charrette de gerbes. Diligeard, monté t u r la charrette, perdit l'éfiuilibre, il tomba d'une hauteur de 3 mètres. Il fut relevé porteur d'une fraclure au c r â n e ; la mort avait été instantannée. Uficc I>anffer des armes à fen. — Yves Guillou, 23 ans, de Kervennal, chassait des lapins quand son beau-frère, Félix Le Corre, 17 ans, vint le prévenir que son propriétaire désirait lui parler. Guillou lui passa l'arme sans la désarmer et partit. Le Corre le suivit tenant le fusil horizon- (Quimperié. — Marché du S Aoîit. — Taureaux, le kilo., O.ôO à 0.60 ; bœufs de boucherie, 0.70 à 0.90 ; vaches de boucherie, 0.50 à 0.60 ; bœufs de travail, ordinaire bouvillons, 50 à 60 fr. ; vaches laitières, 140 à 315 ; génisses, 115 à300; chevaux, très élevé ; porcs, 1.00 à 1.20 le kil. ; moulons, 0.90 à 0.95; veaux, 1.00 k 1.10 f r . ; froment, 19.»» à 20.»» ; seigle, 20.»» à 21.»» ; orge, 19.»» à 20.»» ; sarrasin, 21.»» à 22.»» ; avoine, 19.»» à 20.»» ; pommes de terre les 100 kil., 6.»» à 8.»» ; beurre le kil., 1.80 à 2.80 ; œufs la douz., 1.00 h 1.20 ; foin, les 500 kil, 35.»» à 40.»» ; paille, les 500 kil., 30.»» à 35.»» ; son, les 100 kil., 17.»» à 18.»» ; farine, 1 " qualité, 37.»» à 38.»» ; 2» qualité, 34.»» à 35 fr- Fête de l'Assomption Augmentation de la durée de validité des billets à prix réduits —0— A l'occasion cio la fOto de l'Assomption, les coupons (le retour des billets fi prix réduits, désignés ci-après, délivrés à partir du 7 Août, par loutes les gares tlu Réseau de" l'i^tat (ancien liéseau de l'Ouest), à destination de cel^éseau ol dont la validité normale expirerait avant le 21 du même mois, seront exceptionnellement valables jusqu'au dernier train du 21 Août. Billets de bains de mer (valables normalement 3 cl 'i Jous) ; 2" Billets d'aller et retoi^rdinaires (Grandes Lignes) ; 3" Billets d'e.xcursion au Mont Sl-Michel ; 4" Billets d'excursion de Paris et de Rouen avec trajet en bateau entre Itouen et Le Havre. 5° Billels d'excursion à Huelgoal. En outre, les billets d'aller et retour ordinaires, délivrés par les gares du Réseau de l'Etat (ancien réseau de l'Ouest), pour les gares des réseaux de l'Etat (ancien) et d'Orléans, ou récipro.|uenient, auront leur durée de validité prolongée dans les mêmes conditions que les billets inUiiiués ci-dessus. L A BONNE CHANSON D'AOUT Ce numéro de vacances débute par une introduction de Léon de Bercy sur le chansonnier Vincent Ilyspa, spirituellement caricaturé en frontispice par Jean-.Iacques Houssau. Suivent ticux chansons de Botrel : Jean Cot- tcrcau et La Meule de Foin ; deux chansons de Vincent Hysi a : l'ourparlera turco-batl,aniques el liéiuiion électorale ; une amusante fanlaiïie de Th. Barn : Bains de Mer ; la sentimentale chanson de (îaslon Perducet : Le Vieux Moulin ; une composition sur la IV-te de l'Assomption, LE CÉLÉBRÉ CHEVEUX Rend aux cheveux gris leur couleur et beauté naturelles Supprime les pelli I. cules et arrête Ir chute des cheveux 4m r.W'Oi l'ro.iico 'Iv SE RECORÎ<flKDE Hl 30 M DE suncÉs ET USE'VEtiTt TOUJOlir» CBOISSAHTE. fifospeclus: sur iJe>)lC7l"C- :. <HKl'OT: 2 S . aue d-EiigUlen. 1>A1;IS EN VLNTE PARTOUT L'xnter l'.UInmm lut mol!: FtO YaLWtNOSOK D é p o s i t a i r e s : t\ Quimper, M. CoL I J E C , coifleur rue Saint-François — k Quimperié, M. M A R R E G , coill'eur, rue de la Mairie. l e ^ H Maison B A V o s ^ e s ^ Une Guérison par le Trailemenl IVormand Bénard Madame t'WAS, qui habite au Petit Foucharupt. |)rès Saint-i)ié (Vosges) était atleintc depuis très longtemps d'eczéma. Après avoir essayé en vain toutes sortes de remèdes: dépuratifs, eaux spéciales, pommades diver.ses, etc.. Mine Kaan vient d'obtenir une guéri.son comiilèlo, grdcc au Traitement Normand Bénard. Aussi (îonseillons-noiis à tous ceux ([ui sont atteints de Maladies de Peau, Eczémas, Dartrei; Boulons, Ulcères, Plaies, Maux de .ïambes, Vices du sang, elc., de demander à l'inslilul Normand, 38, rue Armand-Carrel, à liouen, l'intéressante brochure explicative illustrée, hupielle contient tous les "renseignements, el esl adressée gratis el franco. — Prix tlu trailenienl, 0 fr., T'" Ph'". Franco, 0 fr. 00. Dépositaires : Quimperié, Pharmacie Normale, HABRIAL; Lorient, Pharmacie Normale, BOUTIIELIEii, 7, rue des Fontaines ; Goncarneau. Pharmacie MOCUDE ; Rosporden, Pharmacie CHAPEL ; Scaôr, Pharmacie KEREVEUR QUIMPERLE A B R I A L | PHARMACIEN LAURÉAT Prix) de l'Ecole de Pharmacie, 2 Médailles d'Or, 1 Diplôme d'Honneur renommée dans tonte la Région et Vextrême T É L É P H O N E , 34 , N pour la qualité Modicité CEINTURES des de ses Produits Prix A ÉLASTIÇUES En tous Tissus et de tous Modèles ASSORTIMENT CONSIDÉRABLE Cabinet d'Essayage Les douleurs (Torticolis, lumbago), les soull'rances des névralgies, (sciatique, in • t('rcoslali;s\ les désordres el co.mplications souvent mortelles du rhumatisme, de la goutte, de la gravelle sont causés par le s'éjour et l'accumulations dans le sang de l'acide urique que les reins {vulg. rognons) ne peuvent plus éliminer. Li ne s'arrêtent pas ses méfaits : l'acide urique en eU'el irrite la vessie (envie fré•qnente d'uriner surtout la nuit). Il la congestionne et peut provoquer de l'incontinence ou de la rétention. Souvent, ces affections ne sont précédées que par un mal de dos, des urines iroubles foncées, brûlantes, un étal de malaise général, des maux de tôles, sueurs frissons. l^m rendant au reins leur activité, les Pilules Poster (Quimperié pharmacie Hahrial) chassent vigoureusement et régulièrement l'acide urique les impuretés l'eau en excès qui causent l'hydropisie, le gontlement du dessous des yeux, des chevilles, etc... Toutes pharmacies (3 fr. 50 la boîte six b o i t e s pour 19 francs) ou franco par poste ; Spécialités Poster, H. Binac, pharmacien, 25 rue Saint - Ferdinand, Paris. — Demandez et exigez bien les véritablesPilules POSTER pour les R e i n s : refusez ou faites-vous rembourser tout ce qui ne porte pas la marquedéposéeci-contre. cata- lane, de René Quignard. Cet intéressant numéro, agrémente de jolies poésies à dire, s'achève sur une pièce (sans droits d'autour) à 4 rôles d'hommes Colibri, par Dul'ragne. 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Eh bien, il existe un appareil sans ressort et sans caoutchouc, inventé par iM. GLASKR, spécialiste de Paris. Sans ressort, il est si souple et si léger que les peisonnes les plus délicates peuvent le porter Jour el nuit sans gêne. Ou peut afllrmer (pie la ceinlure esl presque inusable el sa puissance est telle, qu'il immobilise radicalement les hernies les plus volumineuses, les plus rebelles. Ajoutons qu'un système spécial donne à cet appareil une puissance d'élaslicilé précieuse el constanle et c'est là le secret de cette merveilleuse invention. Nous n'insistons pas davantage. Le doute est bien permis a ceux qui ont éprouvé des déceptions (îonlinuelles. Qu'ils viennent donc essayer cet appareil. Ils pourront ainsi se convaincre que le soulagement est Immédiat, et il leur sera démontré que grâce k la contention radicale et parfait»!, tout espoir de guérison n'est Jamais perdu, En voici une preuve : • l'J avril 1!)13. « .Monsieur GLASKIl, " .le suis heureux de vous annoncer que ma hernie a complètement disparu grâce à. l'usage de voire merveilleux ajjpareil. « ,1'ai obtenu ce résultat malgré l'ancienneté de ma hernie et Je vous autorise à publier ma lettre dans l'intérél' de ceux (pai souirrenl. « Votre bien reconnaissant. M A R T R E T NOËL, a Plemeur-Bodou par Lannion (Côles-du-Nord). Aussi engageons-nous vivement toutes les personnes atteinles de hernies, efforts et descentes (hommes, femmes et enfants), venir essayer cet appareil à : Douches — Injecteurs — Bassins de Lit — ASSISTANCE JUDICIAIRE H E U I V I Ë Décision du 13 octobre 1911 Cette inlirmilé efl'rayante par ses suites trop souvent morlelles, est arrêtée, prévenue, au point qu'aucun danger n'est désormais à redouter avec la méthode de l'éminent spécialiste SI. J . GLASER, Aussi, avant d'acheter un bandage quelconque, les malades des deux sexes atteints de hernies doivonl-ils demander à M. Glaser sa nouvelle el instructive brochure expliquant clairement comment la hernie se soigne et peut se guérir, et qu'il enverra avec '.a date de son passage dans la région. Nolaire DISSOLUTLOÎL DE SOCIÉTÉ Aux termes d'aclo reçu par GAGHlvr, notaire à Quimperié, le 25 juillet 1913, M. Palrice-Etieiine-Marie de SOLMINIHAG, propriétaire majeur, demeurant au château de Bélon, en la communedeRiec-sur-Bélon, usant de la faculté qui lui a été réservée par l'art, onze des staluts do la Société en notrf collectif ayant existé enirolui elMmeLouise-Marie LaureElisabelh de Lessigncs Ilo/.avcn, veuve de M. Augusle-Gonslanl de BOLMI.NIIIAG, demeuraiil aussi au château de Béion, suivant acte reeu par M' GAGHET, notaire à Quim)erlé. le IS Juillet 1912, publié conormémcnt à la l o i ; ladite société dissoute par suile du décès de Mme de Solminihac, arrivée à Bélon, le 30 iMai 1913. A déclaré conserver pour son compte personnel el exclusif tout l'actif social à charge d'én acquitter le passif. Deux expéditions dudit acte de dissolution de société onl«été déposées l'une au greffe du Tribunal civil de Quimperié, faisant fonctions do tribunal de commerce, le 2 a o . i t l 9 1 3 , l'autre au grell'e de la justice de paix de Pont-Aven, le 4 août 1913. Pour extrait ; GAGIII-T. Elude de IVI" Cachet, notaire à Quimperié Adjudication Amiable L E J E D D I 2 8 AOUT 1913, à U heures En l'Etude de M' GUICHET DE DEUX MÂISOHS se joignant, avec écurie en aiipentis, sises à Çuimperléj place Lovignon, n" ">, appartenant à M. Louis Collobert. Revenu, 410 francs. ' Mise a pri.v : 7 . 0 0 0 fr. S'adresser à M« GAGllET. Etude de M' Peyron notaire ii Quimperié A VENDRE L E V E M ) I I E I ) I 22 AOUT Pour éviter l'élranglemenl des hernies, demander la brochure gratuite a M. GLASER, Boulevard Séhastopol, ;J8, a Pans. UNE PROWllETE de la chicorée Extra Leroux d'ep r e tourner les vignettes TOUS LES ANS AU 30 AVRIL à M. A. LEUOUX k Orchies (Nord). Les Vignettes non expédiées pour cette époque sont valables pour les années suivantes. D'un goût exquis, d'un arôme agréable cette chicorée se trouve dans toutes les épiceries. EVITER LES IMITATIONS DIVORCE D'un Jugement rendu par défaut par le tribunal civil de première instance de Quimperié le 15 j a n v i e r 1913, enregistré et signifié. Entre : Mme Marie Hélène Kervéadou épouse de Louis Marrec, couturière, demeurant el domiciliée à Quimperié, rue Ellé. Demanderesse ; Et: M. Louis Marrec, sellier domicilié à Quimperié. Défendeur ; Esl extrait ce qui suit : Le Tribunal prononce le divorce entre la dame Marie Kervéadou et le sieur Louis Marrec, au profit de ladite dame Marie Kervéadou avec les conséquences de droit. Pour extrait par le soussigné, avoué de la demanderesse. P. PITON. Etude de IVI« Biger, à Bannalec A Par Adjudicaiioii Volontaire I»I3 à deux heures de l'après-midi EN L'KTUDE KT PAR LK MINISTÈRE DE M* PEYRON sise à Kérède, en JLocanolé, comprenant : Maison d'habitation, bâtiments d'e.xploitaiion, terres bien plantées en pommiers, à l'exception des parcelles n»" 800, 80!, 802, 814, vendues. Très belle ])ôche dans l'Ellé bordant la propriété. .louissance ])ar mains au 29 Septembre prochain. Mise a prix : 1 0 . 0 0 0 IV. En cas d'ollres sullisantes, on pourra traiter avant l'adjudication. Pour tous remei(/nevients, s'adresser à PEYllON, notaire. Notaire VENDRE A l'Amiable j i TRES B i i E mn RURALE Située au lieu de JBerriguel, en la commune de Kernével, ayanl de bons bâtiments, de très bonnes terres labourables el 6 hectares de belles prairies susceptibles d'augmentation. Gontenance 67 journaux environ Jouissance par'mains au 29 septembre 1915. Pour tous renseignements, s'adresser audit notaire! ij'i Elude de M» Péan de Ponflliy, licencié en droil, notaire à PontAven. A BREST, le 11 août. Hôtel de France. CHATEAULIN. lliaoïU, Ilûtet Grand Maison. PONT-L'ABBE, le 14aoùl, Hôtel du Liond'Or. QUIMPER, le 15 iioùl,-Hôtel de t'Epé, QUIMPERLE, le 10 aoïlt. Hôtel du Lion d'Or et des Xoi/ageurs. LORIENT, le 17 août, Hôtel de nretagnc. PRIERE AUX cisOMMATEUBS Elude de IVI<= Piton, avoué rue de Quimper, n" 12 à Quimperié boulevard Sébaslopol iiH, ù. Paris. Ktude de M" G r c h e t , à Qui m pi rie Urinoirs VENDRE EN T O T A L I T É OU P A R LOTS AU G R É D E S ACQUÉREURS Diverses belles parcelles de terre sises à' ICerandréau-Loyan en la commune de liiec-sur-Bélon, en bordure de la roule de Pont-Aven à Bannalec et bien placées pour construire. Entrée en jouissance au 29 septembre 1913. S'adresser pour traiter k M. BLONDEAU, place des Ecoles, Quimperié, qui se trouvera sur les lieux à la disposition des amateurs le samedi 9 août 1913, à partir de une heure après-midi. El pour tous renseignements au notaire. Etude WI® Barbe, notaire à Moëlan Adjudication Volontaire En mtude L E I>niAI\CHE 3 1 A O U T . à 1 heure de l'après-midi irmii 1913 MAISON au Bourg de M O E L A N en face la Mairie, pouvant servir > k tout commerce, avec écurie, re- I mise, cour, puils et jardin " y ailenarl. •Mise a pri v ; I^O.OOO fr. Jouissance au 29 septembre 1913. On demande DEUX OUVRIERS» roi*{;>-eroii.s o u a j u ! $ t e u r s . S'adresser ou écrire à M. E. Guillou, rue Arairal-Courbet, GONCARNEAU. Elude de IVI« hugène Kerautret, licencié en droit,, notaire à PonlAvnn. Vente par Adjudication mm LE d e ET m ENCHÈRES PUBLIQUES EN L'ÉTUDE ET PAR LE MINISTÈRE DE M« KERAUTRET PROPRIÉTÉ Située au bourg de N È V E Z Comprenant : maison à usage de débit et d'habitation, forge de charronage et jardin. Flevenu annuel 736 francs. Mise a p r i x : 1 2 . 0 0 0 f r . Faculté de traiter avant l'adjudication. Pour tous renseiqnements s'adresser à M'KERAUTRET, notaire d PontAven. 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Je n'ai qu'un regret, c'esl de ne pas l'avoir aciiete plus tût. Veuillez agréer, Monsieur Tanvez, mes bien sincères salutations. A U COSTUME BRETON Le Page Garsmeur. Cidre "en gros, 1, Hampe Gambetta, à Hrest. R É F É R E N C E S Envoi franco du Nouvel Alliuni de Luxe D sur simple demande adressée à Emile TANVEZ, GONSTaOCTEDR, Br6Ve(6, S. 0. D. l Usine de la Tourelle, GUINGAMP (Côtes du-Nonl) CHANGEMENT de DOMICILE POUR CAUSE D'AGRANDISSEMENT M . J é r ô m e T R É G U I E R , vient e t A t e l i e r s ' R u e de la Mairie. de t r a n s f é r e r ses Magasins Son nouvel Etablissement comprend UN VASTE G A R A G E a v e c a g e n c e m e n t e t o u t i l l a g e m o d e r n e s , lui p e r m e t t a n t d ' e x é c u t e r a u x m e i l l e u r e s c o n d i t i o n s t o u t e s les Réparations d'Automobiles et M o t e u r s d e t o u t e s M a r q u e s . 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GALLIC A Louer A VENDRE UNE MAISON MAISON A LOUER » 3 0 * A n n é e ? = IV» 6 1 L E N u i i é r o : CINQ CENTIMES Jeudi 14"Août ldl3 .3?/ v • ! ï . ET MARITIME Organe Républicain Démocratique de la Région Paraissant les JEUDI A n n o n c e s et Réclames Annonces judiciaires (la ligne)... Annonces volontaires Réclames 2 0 o. 2B o. BO o. Les annonces sont reçues au bureau du journal et, d Paris, dans toutes les Agences. On traite à forfait pour les annonces répétées plusieurs fois. Réponse à dejx Obseriiations fopiiiulÉes au Sénat LA I»ÉIII0I>E DK THA\8iriO\ L E S S O U ' I i F A ' S l>r. I A U l L L i : On lit dans le Matin : > Deux quosiions p;iraissenl devoir sarloul être soulevées dans la discussion de la loi militaire au Sén il : d'abord la question de la période Iransiloire de l'hiver prochain, où nous n'aurons sous les drapeau.^ qu'une classe inslruile el deux classes de r e ç ues, ce qui n'est pas sans soulever certaines inquiétudes et certaines aopréh-jasions ; ensuite le coût de la nouvelle loi concernant les H11 »cations aux soutiens de famille, qui motive certaines protestations. Il nous paraît intéressant d'indiquer quelle est, sur ces deux points, la fai^on de voir du Gouvernemeat et du ministère de la Guerre. I. PerioJe transitoire de l'hiver prochain. — On insiste baaucoup dans certains milieux militaires, sur un paragraphe, peu connu, de l'article 3)5 de la loi de 1905 — article qui reste en vigueur dans la loi actuelle, n'ayant été abrogé par aucun texte contraire. L'article 33 « in fine > porte. « Dans le cas où les circonstances p \r aî traient l'exiger, le ministrode l iGuerre et le ministre de la Marine sont autorisés à conserver provisoirement sous les drapeaux la classe qui a terminé sa seconde année de service. Notification de cette décision sera faite aux Chambres, dans le plus bref délai possible « Dans les mêmes circonslan:es et pendant la première année do leur service dans la réserve, les ho'umos peuvent être rappelés sous les drapeaux, par ordre individuel, avec l'asseutimenl du Consèil des minisires. » Le premier de ces deux paragraphe» a déjà fait l'objel de longues discussions; miis, commo.nous venons do le dire, le secoad, quoique fort important, n'a jamais élé jusqu'ici beiucou.) si gnalé et commenté. Or, il résulte du texte ci-(Jo3sus que les hommes de la classe 1010, qui vont être libérés le 10 ou le 30 novembre prochain, resteront, pendant loule l'année qui va venir, à la disposition du minislrede la Guerre qui, si les circonstances l'exigent, peut les rappeler dans les quarante-huit heures, par ordre individuel, avec le seul assentiment du Conseil des minisires, et sans même avoir à consulter le Parlement. Ces hommes seront dans ce qu'on est convenu d'appeler la disponibiliié. Pour les faire revenir au régiment, point ne sera besoin que la mobilisation ail oie proclamée, que des adiches aient élé apposées sur les murs, que des décrets aient élé rendus : il suffira d'un simple ordre d'appel du ministre do la Guerre. Leur cas est entièrement difFérent de tous les autres reservisles et de tous les autres territoriaux, qui no sont tonus de rejoindre leur corps qu' « on c a s de mobilisation ou do rappel de leur classe ordonné par décret. (Article 40). Donc, pendant tout l'hiver prochain, sans qu'il soit besoin de procéder à aucune mobilisation, sans qu'il soit besoin de consulter les Chambres, le ministre de la Guerre aura à sa disposition non seulement la classe instruite el exercée do 1911, mais encore la classe inslruile el exercée de 1010, que par simple ordre individuel il peut, dans les IS heures, rappeler sous les drapeaux, IL Allocations aux soutiens do famille. La loi actuelle a sensiblement augmenté les allocations accordées aux soutiens de famille, puisqu'elle a élevé ces allocations de 0 fr. 75 à 1 fr. 25 ; mais il importe de remarquer la modification que la loi a apportée dans la composition des Commissions qui, en vertu do la loi de 1905, comprenaient le préfet, le directeur des contributions directes, le trésorier payeur général, trois conseillers généraux, c'esl-à-dire trois tonctioimaires et quatre éias, ae com- pfi u r ni plus, iJ .le? qu Un Jll^f il.' p;iix la n uv. iu- l . i . Itr' ev- ui de l't-ll u-^iM un iii et uii diiecteui des i-ou tritjuiiou- direcies, soil trois fductiounaires (dont doux fonctionnaires fiscaux) el plus du tout d'élus. Il est, par suite, infiniment vraisemblat)le que ces Commissions, qui auront à s'inspirer dans leurs décisions des directions générales que le Gouvernement leur donnera par circulaires, se montreront beaucoup plus rigoureuses que les Commissions précédentes, où les influences politiques, locales et électorales avaient parfois libre jeu. Dans la pensée du Gouvernement, qui compte n'accorder les allocations que dans les cas strictement nécessaires, la dépense ne devrait être que de 30 à 35 millions dans la nouvelle loi, au lieu de M millions que coûtait la loi ancienne. Nous sommes loin des 80 millio'is que redoutait la Commission des llnances du Séîiat. Un dernier mot pour finir. On a reproché à la loi actuelle d'avoir été improvisée et hàlivemenl votée ; on s'est me lie servidu moL« bâclé». Vendredi, a la tribune du Sénat, le ministre do la Guerre a déjà fait en partie justice de ce reproche t-n rappelant que la loi de l'.)05, qui n'a jamais passé pour être une loi improvisée ou bâclée, avait nécessité néanmoins par la suite dix-huit retouches législatives. Peul-êlre n'esl-il pas sans intérêt d'ajouter à cette petite statistique le fait que la loi militaire de 1889, qui avait é;é volée a tête reposée par les Chambres, loin de toute menace extérieure el de loule pression dos événements, n'a pas nécessité moins de quatre-vingt-six avis interprétatifs du Conseil d'Etat. Malgré les quelques lacunes et les quelques obs>:urilés que peul contenir la loi de 1913, il est douteux qu'elle nécessite autant de retouches et d'avis interprétatifs que ses devancières. Élections Cantonales SCRUTIN DE BALLOTAGE l'iiiistère Conseil Général Brest, l"'- c a n t o n . - I n s c r i t s , 7859. — v d t a n l s , 420."). — M. Moiiign, répuljlicuin, voi.x, élu ; .M. P t n l i p p o t , s o c i a l i s t e , c. .s. 1947 v o i x . « Conseil d'Arrondissement JBrest, 2'' c a n t o n . — I n s c r i t s , liSOO. — V o l a n t s , 770r). — .M. Le B o r g n e , s o c i a l i s t e , 3!).J3 v o i x , élu ; M. Le b'ur, r é p u b l i c a i n , :i7G2 VOIX. c a n t o n . - - Inscrita, 09,•)9. — v o l a n t s , 3190. — M. GesLin, r é p u b l i c a i n , 1738 voix» élu ; K e r v a g a u U s o c i a l i s t e , 1434 v o i x . Arzano. — iNos l e c t e u r s s e s o u v i e n nent q u e le ilirnauche 3 a o û t , a u c u n c a n didat ne s ' é l a n t p r é s e n t é d a n s le c a n t o n d'Arzano, l'élection d'un c o n s e i l l e r d'arr o u d i s s e i i i e n l ne put a v o i r lieu. D i m a n c h e d e r n i e r , M. Uictiard. c o n s e i l l e r .sortant, revenant s u r sa décision, s'est représente d e v a n t s e s é l e c t e u r s et a é i é élu p a r 7()1 v o i x s u r 787 v o t a n t s . Voici les r é s u l t a t s des diU'érenles c o m munes : ArziUlO GiiilIlKOiniirc'li.. Lociinolo llùdihii' TotiUix... Inscrits Votants 321) 370 4.30 171 l'i'i 202 T)!;") l.OHO 270 7H7 M. Richard 270 ir)S 133 2(X) 7(11 i^Iorbiliaii Conseil Général i o r i e n t , 2® c a n t o n . — I n s c r i t s , 10i)4.'). — v o t a n t s , 3014. — M. Honligand, r a d i c a l , c. s. 2830 v o i x , élu. JPontivy. — M. K e y s e r , r a d i c a l , 2121 v o i x , élu ; de K e r v e n o a ë l , c. s., libéral 180'i v o i x . Conseil d'Arrondissement JLorientf l"' canton. ~ M. L a l o u c h e , 710 voix,, élu. Mennehoni, — M. Le Grand, c o n s . s . , 2357 v o i x , élu ; M. Ivernen, libéral, 2103 v . J B e J z . — M . Le Pévédic, radical, 1024 voix, élu i Le ilollc, libéral, 798 voix. ei l\ord-Ouest DIMANCHE Directeur : Armand G A U T I E R RÉDACTION, ADMINISTRATION A ANNONCES A QUIMPERLE, Place Hervo. n' 8 bis T*I.KP>MOIMK. N* a Adresse Téiégràpitiqu» : Union, Quimperlè Vu Jour le Joui Dans les Balkans Xa du Paix Une d é p è c h e de B u c h a r e s l a n n o n c e q u e lundi, à 10 h. 30, d a n s la s é a n c e de c l ô t u r e de la c o n f é r e n c e , les s i g n a t u r e s o n t é l é a p p o s é e s s u r le t r a i t é m e t t a n t fin h la g u e r r e i n t e r b a l k a n i q u e . A u s s i t ô t la ville a é t é p a v o i s é ^ t a n d i s q u e tonnait le c a n o n , q u e s o n n a i e n t les c l o c h e s , et q u e les m u s i q u e s m i l i t a i r e s e x é c u t a i e n t s u r les plac e s p u b l i q u e s , en p r é s e n c e d ' u n e foule e n t h o u s i a s t e , l e u r s p l u s brillants m o r ceaux. — Le bruit a v a i t c o u r u d'un p r o f o n d diss e n t i m e n t qui s e s e r a i t p r o d u i t e n t r e la R u s s i e , et la F r a n c e , du fait q u e c e l t e d e r n i è r e a u r a i t a p p u y é f o r t e m e n t la c e s sion de Cavalla à la G r è c e a u d é t r i m e n t des B u l g a r e s . La p r e s s e officieuse s ' e s t m ê m e l i v r é e h c e s u ; e t à d e s c o m m e n t a i r e s p l u t ô t désobligeants pour notre nation. Mais le g o u v e r n e m e n t n'est p a s e n t r é d a n s c e l l e v o i e : il a, a u c o n t r a i r e , dit qu'il n ' a v a i t p a s h. c o n n a î t r e d e s s y m p a thies de la F r a n c e p o u r la Grèce, c e l t e d e r n i è r e a y a n t le droil, a u s u r p l u s , de r e v e n d i q u e r q u e l q u e c o m p e n s a t i o n en r a i son d e s s a c r i f i c e s qu'elle s ' e s t i m p o s é e et des brillantes a c t i o n s d e s s e s a r m é e s . — La R o u m a n i e , la B u l g a r i e , la S e r b i e et la G r è c e , ont c o m m e n c é s i m u l t a n é m e n t le l i c e n c i e m e n t d e s t r o u p e s de s e c o n d e m a i n m o b i l i s é e s en v u e de la g u e r r e . — Un a s s u r e q u e , ' m a l g r é l e u r nr.écon-' l e n t e m e n t du t r a i t é de B u c h a r e s l , l'Aut r i c h e ni la R u s s i e n'en d e m a n d e r o n t p a s l i révision. — D'après u n e I n f o r m a t i o n t r è s a u t o r i s é e , l'Italie, à, la c o n f é r e n c e d e s a m b a s s a d e u r s , p r o p o s e r a , a u s u j e t des îles d e la ,.Mer lîgée, u n e f o r m u l a a y a n t t o u t e s c h a n c e s d ' ê t r e a c c e p t é e p a r l ' u n a n i m i t é des puissances. — Le g o u v e r n e m e n t de la P o r t e s e m b l e plus r é s o l u q u e J a m a i s à c o n s e r v e r And r i n o p l e , en dépit des o b s e r v a t i o n s des jiuissances. A c e s u j e t , on c o m m u n i q u e le télég r a m m e s u i v a n t de C o n s t a n l i n o p l e : « lin f a i s a n t l e u r c o m m u n i c a l - i o n v e r b a l e il la P o r t e , m e r c r e d i d e r n i e r , les a m b a s s a d e u r s ont d é c l a r é q u ' a u c a s où la T u r q u i e ne s e s o u m e t t r a i t p a s a u x l e c o m m a n d a tions d e s p u i s s a n c e s , celles-ci lui retirer a i e n t tout s e c o u r s m o r a l e l f i n a n c i e r . Les abonnements se faient d'avance, sauf conventions ils partent du i" ou du 15 de chaque mois. On s'abonne au bureau du journal. On peut s'abonner également, sans frais, dans tuun la bureaux de poste, ou encore en adressant un mandat-poste au Directeur, J M. Armand GAUTIER, place Servo.àQuimferU. ilflftONlilOnfiiilOiiiLE Les eoncerJs ItoIrcI Gédant a u x s o l l i c i t a t i o n s de s e s c o m p a t r i o t e s et a m i s , T h é o d o r e Botrel, d o n n e r a c e s l e m p s - c i une s é r i e de c o n c e r t s de b i e n f a i s a n c e en B r e t a g n e ; c ' e s t ainsi qu'il s e f e r a e n t e n d r e en c o m p a g n i e de M m e B o t r e l (el de l e u r s d é v o u é s c o l l a b o r a t e u r s A n d r é Golomb et G e o r g e s L a u n a y ) à Garantec, à Plestin-les-Grèves, à l^errosG u i r r e c à S t - Q u a y - P o i ' t r i e u x , a u Val-AndréPléneuf, à T r é g u i e r et, enfin, à P a i m p o l le 23, a u profit d e s v e u v e s el o r p h e l i n s d e s Islandais p é r i s en m e r a u c o u r s de la dern i è r e c a m p a g n e de p è c h e . Contributions Indirectes P a r a r r ê t é tie M. le Gonseiller d ' E t a l , D i r e c t e u r Général d e s C o n t r i b u t i o n s Indirectes ; M. R o u g i e r , c o m m i s dos c o . d n l m M o n s i n d i r e c t e s à R o c h o f o r I , est noniuié ;i la s o u s - d i r e c t i o n , de Hro-^L, rn r«',iiii>laceinent de M. Dubos, n o m m é c o m m i = p r i n c i p a l à Lisieux. M. Guyard, c o m m i s p r i n c i p a l d e s c o n t r i b u t i o n s i n d i r e c t e s à S t - R e n a n , e s t élevé, s u r p l a c e , à la 4" c l a s s e de son g r a d e . 'Concours de iniisii|uc ù \ annes Un c o n c o u r s de m u s i q u e o r g a n i s é p a r la m u n i c i p a l i t é de V a n n e s , a u r a lieu les 15, 10 et 17 a o û t c o u r a n t . Voici le p r o g r a m m e tel qu'il v i e n t d ' ê t r e arrêté : Samedi I a août. — C o n c o u r s m u s i c a l : orphéons, harmonies, fanfares, trompes de c h a s s e et t r o m p e t t e s ; à 8 h. 30, c o n c o u r s de l e c t u r e à v u e (à h u i s clos) ; — à 9 h. 30, c o n c o u r s d ' e x é c u t i o n (public). A i4 h. .30, g r a n d délité des S o c i é t é s . R a s s e m b l e m e n t s u r la Rabine ; d é p a r t : place Ganibetta, r u e s C a r n o t , T h i e r s , p l a c e de l'Hôtel de Ville, r u e du Mené, Saint-Nicolas, du R o u l a g e ; e n t r é e d e s S o c i é t é s a u p a r c de la P r é f e c t u r e p a r la r u e de la Gonliance. . A l'issue du délilé, a u p a r c , r e m i s e du fanion de la F é d é r a t i o n ; m o r c e a u x d'ensemble ;distribulion des-récompenses aux vieux musiciens. A 20 h. 30, i l l u m i n a t i o n de la Rabine, g r a n d festival. Dimanche 17 août. — P r o m e n a d e on m e r oirerte a u x S o c i é t é s . Quimperlè Les Courses. - Dimanche dernier ont e u lieu les c o u r s e s a n n u e l l e s de (Juimperlé s u r le bel h i p p o d r o m e de K e r l a r e c , d o n t les l o u a n g e s ne s o n t p l u s à faire ; — Le c o r r e s p o n d a n t du Malin à Sainlc a r il e s t de fait r e c o n n u que cest P é L e r s b o u r g c r o i t s a v o i r q u e la R u s s i e del'un des m e i l l e u r s h i p p o d r o mes et m a n d e r a à la F r a n c e , sinon oMlciellement l'un d e s plus solides de la r é g i o n . Il a du m o i n s a u c o u r s d ' e n t r e t i e n s a m i c a u x e n c o r e l ' a v a n t a g e de s e p r ê t e r m e r v e i l ([ue le g o u v e r n e m e n t de P a r i s p r e n n e des l e u s e m e n t h t o u t e s les c o u r s e s , el si la m e s u r e s p o u r e m p ê c h e r q u e le n o u v e a u d i s t a n c e c|ui le s é p a r e de la ville s e m b l e v e r s e m e n t p r é v u do 10 millions ne s o i t p a s un p e u longue, a r r i v é a u but l'on s e fait au g o u v e r n e m e n t , t u r c , d a n s la c r a i n t " trouve largement récompensé de s e s q u e c e l t e o p é r a t i o n ne n u i s e à la b o n n e ell'orls p a r le r i a n t a s p e c t de la c a m p a h a r m o n i e des r e l a t i o n s f r a n c o - r u s s e s . g n e e l des frais o m b r a g e s des bois d'al e n t o u r . A u s s i , , n o m b r e u s e était la foule a u c h a m p de c o u r s e s . A Constantinople Dès le m a t i n les v o i t u r e s c o m m e n c e n t L ' a m b a s s a d e de F r a n c e est en feu à a r r i v e r et à u n e h e u r e de l ' a p r è s - m i d i , Un i n c e n d i e a é c l a t é d i m a n c h e , à dix l'aflluence e s t d e s p l u s considérable. h e u r e s à la r é s i d e n c e d'été de l ' a m b a s s a d e Les a t t e l a g e s , les a u t o s délitent s u r la de F r a n c e , à T h e r a p i a , p e n d a n t un g r a n d r o u t e s a n s i n t e r r u p t i o n , tandis q u e les d î n e r olliciel, d o n n é à l ' o c c a s i o n d u rep i é t o n s y f o n n e n l un long r u b a n pittol o u r de M. B o m p a r d . Le feu a p r i s a u p r e r e s q u e . IAÎS a b o r 1 s du c h a m p s o n t d é j à m i e r é t a g e et s ' e s t r.ipideinent d é v e l o p p é . g a r n i s de s p e c t a t e u r s et les t r i b u n e s , en Les d a m e s o n t fui p r é c i p i t a m m e n t s a n s f a r a n d o l e s , en un r i e n de t e m p s s o n t l)rendre l e u r s c h a p e a u x ni l e u r s m a n t e a u x e n v a h i e s p a r le public, bien qu'il y ait de s o i r é e . d e s fêles de t o u s c ô t é s , et q u e la m o i s s o n Le s e c r é t a i r e de l ' a m b a s s a d e d'Italie, a b o n d a n t e de c e t t e a n n é e r e t i e n n e les préposé aux archives, a été grièvement cultivateurs. blessé. 11 a é t é t r a n s p o r t é î'i l'hôpital de Puis la m u s i ( i u e fait s o n e n t r é e à Kerl^éra. larec, a u x s o n s e n t r a î n a n t s d'un p a s reOn ne s i g n a l e j u s q u ' i c i a u c u n a u t r e acdoublé. Klle s e fait e n t e n d r e e n t r e les c i d e n t de p e r s o n n e . d i l f é r e n l c s é p r e u v e s , a i l m i r a b l e m e n t sec o n d é e p a r la s o n n e r i e dos c o r s de c h a s s e si c o n n u s et a p p r é c i é » du public. Aviation On J o u i t d'un c o u p d'iiîil s p l e n d i d e : le soleil s e fait s e n t i r s a n s toutefois ê t r e JBrindejonc décoré g ê n a n t , é c l a i r a n t la v a s t e p e l o u s e , o ù l'on Le brillant a v i a t e u r b r e t o n B r i n d e j o n c p e u t a d m i r e r les t o i l e t t e s les p l u s c h a r dos Moulinais, d o n t on n'a p a s oublié la m a n t e s el les p l u s v a r i é e s , (jui J e t t e n t t r i o m p h a n t e r a n d o n n é e a u - d e s s u s de l'I-luu n e n o t e g a i e s u r l ' h i p p o d r o m e et q u e r o p e e n t i è r e , v i e n t d ' o b t e n i r la J u s t e r e v i e n t r e h a u s s e r le brillant u n i f o r m e d e s c o m p e n s e de s e s e x p l o i t s . L'Of/iciel puolliciers qui vont prendre part aux blie s a n o m i n a t i o n , a u titre de l ' a é r o n a u épreuves. Chacun s'intéresse vivement t i q u e , a u g r a d e de c h e v a l i e r de la I^égion aux diverses courses (|ui s'eirectueiil d'honneur. t o u t e s s a n s le m o i n d r e i n c i d e n t . P e n d a n t Chute mortelle t o u t e l e u r d u r é e , le pari m u t u e l e s t p r i s A B r u c k , en B r a n d e b o u r g , l ' a v i a t e u r R o - ' d ' a s s a u t p e u t - ê t r e e n c o r e p l u s q u e les a n n é e s p r é c é d e n t e s , et s u r la p e l o u s e ens e l e r e t l'élève a v i a t e u r S t é p h a n o n t fait v a h i e , c ' e s t k g r a n d ' p e i n e f|uc l'es J o u e u r s une chute lundi-matin. Tous deux ont élé p e u v e u l s e frayer un passage el e n g a g - r Liiés. ^ A B O N N E M E N T S (VN AM) Quimperlè (ville) 6 fr Finistère et départements limitrophes e — Autres départements 7 — Colonies et étranger 10 — leurs paris. Partout, ce ne sont que vivais et a p p l a u d i s s e m e n t s à la fin d e c h a q u e é p r e u v e ; le p u b l i c m a n i f e s t e h a u t e m e n t s o n e n t h o u s i a s m e a u x c o u r s e s de h a i e s , s t e e p l e - c h a s e et m i l i t a r y . H n o u s est i m p o s s i b l e de t e r m i n e r s a n s oJfrir, a u x m e m b r e s d u c o m i t é , n o s plus s i n c è r e s f é l i c i t a t i o n s p o u r c e l l e fêle si bien o r g a n i s é e , s a n s o u b l i e r les b u r e a u x et les c o m m i s s a i r e s qui, s a n s m é n a g e r l e u r p e i n e , et b r a v a n t les f a t i g u e s ne nég l i g è r e n t rien p o u r la p l e i n e r é u s s i t e d e c e t t e brillante r é u n i o n s p o r t i v e . Gelte réussite constitue déjà une r é c o m p e n s e de l e u r l a b e u r à laquelle s e J o i n t l ' e x p r e s sion de r e c o n n a i s s a n c e d e la p o p u l a t i o n et d u C o m m e r c e d e la ville. R e n d o n s n o m m a g e é g a l e m e n t a u zèle e t à l ' a c t i v i t é de la g e n d a r m e r i e qui a s s u r a d ' u n e f a ç o n p a r f a i t e le s e r v i c e d ' o r d r e g r â c e a u q u e l il n'y e u t a u c u n a c c i d e n t à d é p l o r e r , et r e m e r c i o n s , la S o c i é t é d e s c o m m e r ç a n t s qui, p o u r c l o r e d i g n e m e n t l a fêle, o r g a n i s a le s o i r , a u x halles Si-Michel, un bal qui e u t le p l u s g r a n d s u c c è s p r è s de la J e u n e s s e i n f a t i g a b l e qui n e m a n q u a p a s une danse. Voici les courses : résultats des difTére.iies 1" Course, trot monté. —- 1 " Belle-petilc, il M. Y. Pouliqiien ; 2* Saplii à'^Mme Vve Le •'loch ; 3", Draf/a, à M Legrand. Nota. — r.enlillc, à .\I. Subileau, arrivée troisième, a été distancée, le jockey à l'arrivée n'ayant pu juslilter d'une diQérence de poids réglementaire. ^ 2' Course, au galop. — i " Eyra, à M. Le Gouédic ; 2' Minichc, à M. Pierre Nédélec. 3" Course, Société des steeple-chases de France. — 1 " Allada, à M. Josset ; 2», Nestor, à M. Lemarié. 4"-0o(irse, au trot. — l " Hérome,kU. Poclu- ; 2', Irma, à M. de Gésincourt ; S*. Jobic, à M. Derrien. Course. — Pas d'engagement. C« Course, au trot attelé. — 1" Ibis, à M. iosse : 2», Gentille, à M. Subileau ; 3', Rosine, à M. Even. 7- Course, haies. — 1", Cordon-Rouge, à .M. de Carcaradec; 2", Gioconda. à.M. de Rodellec. 8" Course, steeple-chase. — 1", Urdos. à M. Rer.sihanJ; 2*, Mascadine, à .^L de CariMr.i ioc; 3% Xéphias II. à M. Morel. Théâtre des Folies Mavra.ises. — Gomme nous l'annoncions dans notre d e r n i e r n u m é r o , le t h é â t r e d e s folies liav r a i s e s ( d i r e c t i o n Débris), e s t a r r i v é c e m a l i n où il s'installe s u r la p l a c e .Nationale. Il d é b u t e r a v e n d r e d i s o i r p a r Le Maître de Forges, pièc3 sensationnelle qui c e r t a i n e m e n t s e r a du g o û l d e s a m a teurs. I.e t h é â t r e Débris qui e s t m o n t é d ' u n e façon i ) a r f a i l e , et d'un c o n f o r t i r r é p r o c h a b l e , p o s s è d e des a r t i s t e s de v r a i t a l e n t , ([ui ne m a n q u e r o n t c e r t a i n e m e n t p a s d e donner satisfaction aux n o m b r e u x spect a t e u r s qui a u r o n t s û r e m e n t à c œ u r d'aller a p p l a u d i r c e t t e t r o u p e d'élite. L e g r a n d s u c c è s o b t e n u p a r le t h é â t r e D é b r i s , à C o n c a r n e a u et à P o n t - A v e n , e s t le m e i l l e u r g a g e de s a p o p u l a r i t é . Convocation. — L e s r é p a r t i t e u r s de la c o m m u n e île Q u i m p e r l è s o n t c o n v o q u é s p o u r le lundi 18 a o û t salle de la m a i r i e de Q u i m p e r l è . Ar/.ano Incendie. — Un i n c e n d i e d ' u n e e x t r ê m e violence, a éclaté vendredi dernier, v e r s 0 h e u r e s d u soir, au village d e P o r z , en Ar/.ano. Le feu t r o u v a n t u n a l i m e n t facile et l'eau faisant d é f a u t , t o u t le v i l l a g e . faillit d e v e n i r la p r o i e d e s f l a m m e s . T r o i s é c u r i e s , d e u x g r a n g e s , d e u x h a n g a r s ainsi q u e p l u s i e u r s tas d e paille o n t é l é c o m p l è t e m e n t c o n s u m é s , c e n'est q u ' à g r a n d p e i n e (|ue l'on p u t p r é s e r v e r les m a i s o n s d'habitation. La f e r m e qui a p p a r t i e n t à MM. P o r t i e r , de la c o m m u n e de Pont-Scorlf, é t a i t habitée par 4 localaires. Bourdin François, Bourdin .h^seph, Le Du P i e r r e e t la v e u v e Yhuel. Bourdin F r a n ç o i s qui e s t i m e s e s p e r t e s à 4.200 fr. n ' e s t a s s u r é q u e p o u r 3.900 fr. à la C" VVvbninc. B o u r d i n .losepli e s t i m e les s i e n n e s à 2.000 l'r. est a s s u r é p o u r la m ê m e s o m m e i|ue s o n f r è r e et à la m o i n e G'^ L e Du P i e r r e é v a l u e à 2.500 fr. le p r é judice t]ui lui est c a u s é et e s t a s s u r é p o u r 7..500 fr à VUrbaine. La v e u v e Y h u e l s e t r o u v e l é s é e «le 3.000 fr. et e s t a s s u r é e p o u r la m ê m e s o m m e <iue le p r é c é d e n t e t à la m ê m e C ' . M. P o r t i e r .loseph, p r o p r i é t a i r e de Le Du et Yhuel e s t i m e s e s p e r t e s à 5.000 fr. c o u v e r t e s p a r u n e a s s u r a n c e . M. P o r l i c r Yves, propriétaire des frères Bourdin" é v a l u e le p r é j u d i c e qui lui est c a u s é à 4.500 l'r. c o u v e r t é g a l e m e n t p a r u n e a s s u r a n c e . On i g n o r e les c a u s e s de l ' i n c e n d i e , la g e n d a r m e r i e e n q u ê t e . ( Rédéné . Acoideut. — M. Malliuria Derrien au s W v i c e de M. J u l e s La Roclie, p r o p r i é t a i r e au c h â t e a u de K e r j u l e s e s t a t t e i n t de piilegraon de l'index de la main g a u chb p a r jiuile d'une p i q û r e . Le d o c t e u r Le S t u n f à Qui m perlé i u i a p r e s c r i t une i n c a p a c i t é t e m p o r a i r e de t r a v a i l de 15 j o u r s . . M. La R o c h e e s t a s s u r é èila Cie g é n é r a l e d ' a s s u r a n c e s c o n t r e les a c c i d e n t s . Moëlan r t t 9 B , — Voici le p r o g r a m m e de la f é t e et du c o n c o u r s a g r i c o l e qui a u r o n t lieu Ips d i m a n c h e 24 et lundi 15 a o û t 1913 : Dimanche 2 4 août A :> heures du soir. - Course de vélos. liUernalionale : 1 " prix, 15 fr. ; 2», 10 fr. ; 3% 5 fr. Lundi 2 5 août A 9 heures du matin. — Courses de chevaux. — Internationale. — Au trot : 1" prix, 20 fr. ; 2-, 15 fr. ; 3', 10 fr. — Entrée, 1 fr. Internationale. — Au galop : 1" prix, 20 fr. ; 2', 15 f r . , 3', 10 fr. — Entrée, 1 fr. Communale. - Au galop : 1" prix, 20 fr. ; 2', 15 fr. ; 3', 10 fr. A 10 heures. — Concours de charrues pour jeunes gens au-dessous de 20 ans. — 1" prix, 12 fp. ; 2', 10 fr. ; 3», 8 fr. ; 5 fr. Cidre ! 1 " prix, 5 Ir. ; 2», 3 fr. ; 3', 2 fr. ; 'i*, l'fr. Beurres : 1 " prix, 5 fr. ; 2', 3 fr. ; 3'. 2 fr. ; V, 1 fr. Plantes fourragères : 1" prix, 10 fr. ; 2-, 8 fr. • 3' 5 fr. ' A iV heures. — Course d'hommes : l " prix, r> fr. ; 2'. 3 fr. ; 3», 2 fr. Course d'enfants au-dessous de 15 ans : 1" prix, 2 fr. ; 2', 1.50 ; 3-, 1 fr. ; '»', 0.75 : 5», 0.50 ; C.'. 0.25. A 1 heure de l'après-midi. — Courses de vélocipèdes. — Internationale : 1" prix, 20 fr. ; 2-, 15 fr. ; 3», 10 fr. - Entrée, 1 fr. Communale : 1 " prix, 20 fr. ; 2', 15 fr. ; 3«, 10 fr. — Entrée, 1 fr. A 2 h. 1/2. — Course attelée : 1" prix, 40 fr.; 2», .30 fr. ; 3*, 20 fr. — Entrée, 2 fr. A 3 heures. — Course en sacs : 1" prix. 3 fr. ; 2-, 2 fr. ; 3', 1 fr. i Concours de fumeurs : 1" prix, deux paquets de 0 fr. 50 ; 2', un paquet de 0 fr. 80 ; 3-, un paquet de 0 fr. 50. Concours de buveurs : 1" prix, 2.50 ; 2', 2fr.; 3*, 1.50 ; 4-, 1 fr. ; 5', 0.50 (chaque concurrent devra se pourvoir de son litre de cidre). A 4 h. 1/2. — Grandes luttes bretonnes, 50 fr. de prix, prix d'honneur 15 fr. ou' un mouton. Jet du boulet : 1" prix, 5 fr. ; 2', 3 fr. ; 3', 2 fr. Baquet russe. Màt de cocagne. Danses toute la journée. Gavotte d'honneur. A 9 heures. Grande retraite aux flambeaux. .Sota. — Le Comité ne répond pas des accidents qui pourraient survenir pendant les courses et les jeux. Pont-Aven m u t dm ohmaM». — S u r p r i s p a r les g e n d a r m e s de P o n t - A v e n , alors q u ' i l s se l i v r a i e n t au p l a i s i r de la c h a s s e a u x envir o n s de R a g u é n è s , MM. Gautherin J e a n P i e r r e et B o n n e a u M a r i e - F r a n ç o i s , tous d e u x de P a r i s et en c e m o m e n t en v i l l é g i a t u r e en B r e t a g n e , ont été gratifiés c h a c u n d'un p r o c è s - v e r b a l pour c h a s s e en temps prohibé. I.o l ' o u i d u JEmourmat M»uvetMffe. — LuncH dern i e r , v e r s 6 h e u r e s du soir, Mme v e u v e B u h a c , de Lorient, a c c o m p a g n é e de s e s e n f a n t s et de q u e l q u e s a m i s , t r a v e r s a i t la L a ï t a , a u Pouldu, dans le c a n o t de p a s s a g e . Le vent é t a i t t r è s fort et il y avait de la houle. Tout à c o u p , alors q u e l ' e m b a r c a tion s e t r o u v a i t au milieu de la r i v i è r e , Mme B u h a c , p e r d a n t l'équilibre, t o m b a à l'eau. Aux c r i s p o u s s é s p a r les p e r s o n n e s p r é s e n t e s , les d o u a n i e r s Morice, Flohic, et le s i e u r Garo, r e t r a i t é , se p o r t è r e n t au p l u s vite, en b a r q u e , s u r les lieux de l'accident. Cependant, le fils de Mme Buh a c , â g é de 17 à 18 ans, qui se trouvait a v e c elle dans le canot, s'était J e t é tout habillé h son s e c o u r s . Il parvint à s o u t e n i r sa m è r e à la s u r f a c e pendant q u e l q u e s i n s t a n t s , m a i s b i e n t ô t à bout de forcos, il c o u l i à pic a v e c elle. A ce m o m e n t heur e u s e m e n t les d o u a n i e r s a r r i v è r e n t et r é u s s i r e n t à les a c c r o c h e r a v e c le ir ligne B r u n e i . Des s o i n s é n e r g i q u e s furent auss i t ô t p r o J i g u é s a Mme B u h a c , q u i ne donn a i t plus s i g n e de vie, et a p r è s q u e l q u e s i n s t a n t s , on la vil, a v e c J o i e , r e p r e n d r e ses sens. Nous a d r e s s o n s a u x c o u r a g e u x t e u r s toutes nos félicitations. sauve- Concarneau Xi« fêi0 d a Oui. — X a Comédie' J F r M Ç A i f * à Conc»rue»u. — Ce fut un c o n t e des mille et une n u i l s q u e la f(He du Gui dans le grand p a r c de Kériolct. Tout y a c o n t r i b u é , un g r a c i e u x site, un l e m p s s u p e r b e , une foule n o m b r e u s e et c h o i s i e aux é l é g a a t e s toilettes de nos j o l i e s tour i s t e s a u x q u e l l e s se m ê l a i e n t a g r é a b l e m e n t les coifres et les c o l l e r e t t e s de dentelle de non m o i n s j o l i e s p a y s a n n e s des cantons environnants. Le p a r c , dès son o u v e r t u r e , e s t sillonné p a r les n o m b r e u x c o s t u m e s b r e t o n s m o d e r n e s et a n c i e n s , c ' e s t un c h a t o i e m e n t de b r o d e r i e s d'or et d'argent, les r u b a n s et les c o l l e r e t t e s f r é m i s s e n t au vent, les b r o d e r i e s r o u g e s , v e r t e s et bleues sont d e s plus p i t t o r e s q u e s et la noce b r e t o n n e f o r m é e d'une v i n g t a i n e de c o u p l e s c o m m e n c e à défiler au son des binious et fanf a r e s de t r o m p e s . C'est bien l'Ame bretonne |[qui é m a n e de t o u t e s c e s c h o s e s v i e i l l e s ou n e u v e s . C'est la bravoure dans l e s b r o g o u s - b r a z ; elle a p p a r a î t e n c o r e dans les duuses r y t h m é e s au c a r a c t è r e s é r i e u x et que nous avons j a l o u s e m e n t gardés. Dans les c o i n s o m b r a g é s du parc, on r e n c o n t r e de n o m b r e u s e s c o n s t r u c t i o n s r u s t i q u e s où les d a m e s de Concarneau q u i ont eu la g r a c i e u s e idée de r e v ê t i r le c o s t u m e b r e t o n , v e n d e n t le d é l i c i e u x c i d r e de F o u e s n a n t , des s a n d w i c h s au pain de seigle et des c r ê p e s b r e t o n n e s , e t c . P l u s loin, c e sont des h u t t e s r e m p l i e s de fleurs de gui, d'épingles b r e t o n n e s et a u t r e s a c c e s s o i r e s de la fôte. En a v a n ç a n t v e r s le nord du p a r c a u x a b o r d s d'un c h e m i n c o u v e r t , se t r o u v e un vallon où coule un m i n c e r u i s s e a u , boisé en m a s s e du c ô t é de la r o u l e . C'est dans c e c a d r e m e r v e i l l e u x et o m b r a g é q u e c e t r o u v a i t d r e s s é e la s c è n e où s'est déroulée c e t t e p i è c e de M. de B e r n i e r La Fille de Roland. T o u s les a c t e u r s ont a d m i r a b l e m e n t i n t e r p r ê t é leur rôle, ils ont été f r é q u e m m e n t applaudis et r a p p e l é s , e t tout le p u b l i c qui a eu le b o n h e u r d ' a s s i s t e r à cette représentation g a r d e r a un long s o u v e n i r de ce théiltre en plein a i r d e r r i è r e lequel se profilaient a r b r e s et vieilles t o u r s . Nous ne dirons J a m a i s assez c o m b i e n Mlle .Tane Delvais, r e p r é s e n t a n t la n i è c e de Charlemagne, a tenu tout l'auditoire sous le c i i a r m e ' i n c o m p a r a b l e de son talent, d r a p é e dans sa r o b e de drap d'or, elle a été p a r m o m e n t j u s q u ' a u s u b l i m e dans son rôle. M. Alexandre, dans le r'ôle de Gérai a été m e r v e i l l e u x a u s s i . Ces deux a r t i s t e s surtout ont"été a c c l a m é s et c o u v e r t s de fleurs p.ar les s p e c t a t e u r s . La r e p r é s e n t a t i o n t e r m i n é e , le p u b l i c a rappelé les a c t e u r s et leur a fait une ovation d e s p l u s c h a l e u r e u s e et des plus m é r i t é e , p o u r n o u s a v o i r fait p a s s e r des m i n u t e s e.xquises trop rapides à notre gré. Nous a j o u t o n s q u e les c o n c o u r s de c o s t u m e s et d'enfants s a n s o u b l i e r les c o n c o u r s de d a n s e s , e u r e n t un v é r i t a b l e s u c c è s et q u e les a p p a r e i l s photographiq u e s n'ont p a s c h ô m é en ce m o m e n t . A s s i s t a i e n t à la féte, MM. Chaleil, p r é fet ; F e n o u x , s é n a t e u r ; Bouquet-Nadaud, s e c r é t a i r e général ; Roger, c h e f d e c a b i n e t . Nous a d r e s s o n s toutes nos félicitations a u x o r g a n i s a t e u r s de la fêle qui a été des plus r é u s s i e . Voici les r é s u l t a t s des difterenls cours : con- Concours de costumes. — Hommes : 1" prix 20 fr., à François Guyader, de Concarneau ; 215 francs, a Pelleter, de Beuzec-Conq ; 3*, 10 fr. a Laurent Aringuet de Ponl-Aven ; i», 5 francs, à Oaïfl'as, de Concarneau. Femmes ; 1" prix, 20 francs, h Mme Ilerlédan, de Ponl-Aven ; 2% 15 francs, à Mme Cliavigny, de Brest ; 10 francs à .Mlle Louise Uospape, de Concarneau ; 4', 5 francs, a Mme Ménorval, de Beuzec-Conq .5% 5 francs, à Mlle Pelleter, de Beuzec-Conq. Costumes d'enfanls. — Allanic, iferlédan et Gaonac'h. Concoui-s de Danses. — 1" prix, Mme Guyader et M. Louis Guyader, de Beuzec-Conq ; •>' prix, Mme Herlédan, de Pont-Aven, et M. François Le Goc, de Rosporden ; 3- prix, Groupe-Troalen, d'Elliant ; 4» prix. Groupe Pelleter, de Beuzec-Conq ; 5* prix. Groupe Guillermou. de Beuzec-Conq. Incendie. — V e r s deux h e u r e s du m a lin, dans la nuit du 10 au 11 c o u r a n t , les h a b i t a n t s é t a i e n t r é v e i l l é p a r le clairon d'alarme. Le feu venait de p r e n d r e dans l'usine de Mme P é n a n r o s cadet, dans un l a s de c a i s s e s . Le l i e u t e n a n t Le T e n d r e dirigeait les s e c o u r s q u i f u r e n t p r o m p t e m e n l o r g a n i s é s et au bout de peu de t e m p s le feu fut c i r c o n s c r i t . T r e n t e mille boîtes de s a r d i n e s et de Ihon ont été e n d o m m a gées. Avia. — Le Maire de Concarneau inform e s e s a d m i n i s t r é s q u e le marr^hédu vendredi 15 en raison de la fête de ce j o u r est a v a n c é au j e u d i 14. La Sécurité des vieux jours, Le travailleur le plus modeste peut l'obtenir comme le fonctionnaire, s'il veut s'imposer une légère retenue sur son gain journalier pour se constituer une retraite, c'est-à-dire une renie viagère, qu'il touchera à partir du jour (ju'il s'est assigné pour le repos. Mais une telle opération doit filre faite avec une prudence absolue, et pour cela il est nécessaire de ne s'adresser (ju'à une Société de tout premier ordre, comme « L e P h é n i x » (enlreprise privée assujettie au contrôle de ri'^tat), l'une des Compagnies d'assnranoes les plusancienno.s cl les |)lns honorablement coniuics. ' S'adresser au Siège social, à Paris, rue Laffayclle, ou aux Agents généraux. M. Yves David, agent géniM-al, boulevard do la Gare, Quiniporlé. St-Goazec Vol d'nn billet de lOOfr. — Pendant l'absence des é p o u x Autret un m a l f a i t e u r s'est introduit dans leur maison la porte n ' é t a n t f e r m é e qu'au v e r r o u et a dérobé dans l ' a r m o i r e un billet de 100 fr. Les é p o u x Autret s o u p ç o n n e n t un individu q u ' i l s ont s u r p r i s chez eux au m o m e n t où ils e n t r a i e n t ; c e dernier p r é l e n d i t qu'au m o m e n t où il e n t r a i t un j e u n e garçon sortait de la m a i s o n . Onésime RECLi;s Atlas de la plus Grande France 160 planches in-i-jen couleurs et IfiO pages de texte, en 20 livraisons. Paris Attinger livr.?s, éditeurs, 2, rue Antoine-Dubois, mise en vente de la sixième livraison. La librairie Attinger frères vieni do inollre en vente la n» livraison de l'Atlas de la idus urande France, l'ouvrage en cours du maître Onësime Reclus. 11 aborde cette l'ois le groupe des régions Normande cl Parisienne L ne promiè-e carte, d'ordre physique, en montre l'unité ; puis la région Normande, son èvolution économique vers l'élevage et l'indiistrie sont étudiées séparément. Lu part l'aile aux récentes exploitations du minorai de l'er montre avec quel scrupule d'actualité ces cartes sont établies. La livraison contient, en outre, les départements de la Corse, de la Côte-d'Or, des Cûtes-du-Nord, do la Creuse. Le,texlo, fortement documenté >.'1 accompagné de cartons schématiques, ne le cède en rien l'artisque et scienlillque cartographie. CHEMINS DE F E R DE L ' É T A T o-S-o QUIDESILLDSTRÉSDESBÂIliSDEMERETEXGOBSIOHS DO BÉSE&D D'. L'ETÂT -)0(Au m o m e n t des V a c a n c e s et des d é p a r t s p o u r la c a m p a g n e e l les B a i n s de Mer, l'Administration des C h e m i n s de F e r de l'Elat a l ' h o n n e u r de rappeler à MM. les v o y a g e u r s que, pour leur faciliter le choix d'une villégiature, elle met en vente deux Guides I l l u s l r é s d e son Réseau l'un relatif aux lignes de Normandie et de Hrelagne, l'uulre aux Lignes du Sud-Ouesl : Ces deux guides, sous c o u v e r t u r e s artistiques el illustrées de n o m b r e u s e s g r a vures, c o n l i e n n e n l les r e n s e i g n e m e n t s les plus utiles tels q u e : la description des sites et lieux d ' e x c u r s i o n — les principaux horaires des trains — les prix des billels de bains de m e r e l d'excursion — le tableau des m a r é e s — les c a r i e s du littoral — des plans de Villes — une liste d'Hôtels, R e s t a u r a n t s , e t c . . . ' Le Guide des Lignes de Normandie el de B r e t a g n e est m i s en v e n t e au prix de G fr. 50 et celui des Lignes du Sud-Ouest au p r i x de G fr. 30 dans les b i b l i o l h è q u e s des g a r e s du R é s e a u , dans les bureaux de Ville et les p r i n c i p a l e s Agences de Voyages de Paris. Ces deux p u b l i c a t i o n s sont é g a l e m e n t adressées, ensemble ou séparément, f r a n c o à domicile, c o n t r e l'envoi de leur valeur, en l i i n b r e s - p o s l e nu S e c r é t a r i a t des Chenùiis de fer de l'I'.tal (Publicité), 20, rue de Rome, à Paris. L ' h o m m e qui a un bon e s t o m a c n'y pense J a m a i s II m a n g e ce qu'il lui plaît el trouve bon c e qu'il mange. Celui qui a un mauvais e s t o m a c mange r a r e m e n t ce qui lui plaît et ne trouve J a m a i s bon ce qu'il m a n g e . Son e s t o m a c le t r a c a s s e avant, pendant, et après les r e p a s . C'est une o b s e s s i o n . Les Pilules Pink s o n t là p o u r v o u s r e d o n n e r le b o n h e u r de bien digérer. Elles v i e n n e n t de rendre ce b o n h e u r à M. Paul Potet, garçon boucher, chez M. Vaugin-Debaut à .luniville (Ardennes;. Il écrit : Couraes. — D i m a n c h e dernier, se sont d i s p u t é e s s u r l'hippodrome du Ris, les c o u r s e s de Douarnenez dont voici les r é sultats : u c i t e: Chaque boîte 1 k i l o g r a m m e b r u t ou net, Sucre de luxe Chantenay, c h a q u e boîte 1 k i l o g r a m m e b r u t ou net, Sucre scié rangé Chantenay, carton cuir, boîtes b r u n e s (genre Paris), c o n t i e n t un tickel prime. 30 t i c k e t s p r i m e d o n n e n t droit ii 1 kil o g r a m m e b r u t ou n e t Sucre Chantenay. Le Sucre'Chantenay e s t le p l u s ,blanc, le p l u s p u r , s u c r e le m i e u x . LA HIRNIE LA NOUVELLE DÉCOUVERTE de M. A . C L A V E R I E le grand Spécialiste de Paris La henrnie a été longtemps considérée comme une iiilirmilé incurable, mais les blessés ne doivent plus aujourd'hui souflrir de leur hornie depuis la belle découverte de M. A . C L A V E R I E , le grand Spécialiste de P.iris ot depuis les perfectionnements nonveaux (ju'il il (liM'ni"''roment apporir-; .'i ses Hi. rveilk'ux appareils lirevelés. (ir.'ire à une iiivenlioii récente, il n'est pas de hernie (|ui n'si^le à l'action de cos incomparables cniatiinis. Son nouvol Appareil à ceinture renforcée i;l, à pelote " N A T U R A '' permcl aux personnes, même se livrant aux plus pénibles méliors, d'oblenlr sans gone la disparilion dos liornios les plus volumineuses et les plus glissantes. !.a valeur inoslimahlo de celle innovation vient d'ôtre (consacrée par un Grand P r i x a rKxposilioii anglo-laline de Londres on raison (le la portée humanitaire do colle belle décôuverto. On sait que M. A. C L A V E R I E a organisé depuis longtemps dans noire région des voyages réguliers pour permettre aux p-3r.>o:ines s^oufl'ranl de Hernies, Efforts, Descentes, etc., de profiler des avantages de sa méthode el d'échapper ainsi aux manœuvres des faux spécialistes. Aussi nous con^seillons vivement à nos Lecteurs de rendre visite à l'éminenl Spécialiste qui recevra de 9 h. à 5 h. en donnant à chacun les conseils el renseignements désirés h : LORIENT, Dimanche 17 août, llôlel de Bretagne. QUIMPER, Mercredi 20. llôlel de l'Epée. CHATEAULIN, Jeudi 21, llôlel de la Grand'MaiHon. QUIMPERLE, vendredi 22, Hôtel du Lion d'Or. CARHAIX,. samedi 23, llôlel de France. Le " Traité de la Hernie " par A . C L A V E R I E el le " Livre d'Or " des preuves de guérison sont envoyés graluilement el discrètement sur demande à M. A. C L A V E R I E , 234, Faub. Si-Martin, a Paris. Tribunal correctionnel de Quimper Clohars-Fouesnant, — Clorennec Corentin, 2'.i ans, au Dreiuiec, est condamné i 50 fr. d'umondo avec .surfis pour coups cl olessures sur la pe-rsonne de la l'emnie (Juillou. Fouesnant. — .lourdain Yves, "lO ans, est condamné à 8 jours do prisou avuc sursis pour avoir à l'aide d'un vern; qu'il tenait à la main, hlessé grièvement Urien François, laitleur de pierres. Quimper. — Terrier .lean-.Marie, :J8 ans, plâtrier, a voyagé sans billet de GhiUoaulin à •Quinipor. Coût : 25 l'r. d'amende. Douarnenez. — B..., ébéniste, se présentant eu étal d'ivresse chez son .père qu'il frappa, ce dornier ne voulant pas lui donner à boire, est appréhendé pour ce fait, il est condamné à 25 fr. d'amende. Plogoff. — Poulhazan Jean, 52 ans, de Trogor, esl condamné à IG fr. d'amende pour avoir laissé son chien chas.sesur ses propriétés. Quimper. — LeI'aure Hoger, 20 ans. carrossier, est condamné à i mois d'emji ijonnemonl pour vol de chaussures au préjudice de Mme Le Gall. HERmr Le bonheur de bien digérer Douarnuuc z 1" Course, au trot monté. — 1" Illico, ii M. Le Bihan, Melgven ; 2 " Ibil Heux, à M. de Richemonl, (Juimperle ; 3*, Hergère, i\ M. Gargadi'nnec, Pont-Croix ; 4", Illico, à .M. Le Brozec, Moëlan. 2', Au galop. — 1" prix, Marlin, a .M. Le Lay, Scaër ; 2-, llanla, à M. Nédellec, Guongat ; 3', l'ctite, a M. Quiniou, Douarnenez ; 4", Polémon, à M. Grall, Quimper. 3', Au trot monté. — 1" prix, Ilim, ii M. Ollivier, Plouvan ; 2*, Ibil lieux, il M. de Richemonl, Quim perlé ; 3',//<tco, à M. Le Bihan, Melgven ; 4*, Bergère, à M. Gargadennec, Pont-Croix. 4", Course de haies. — 1" prix, Marlin, a M. Le Lay, Sca^r ; 2», La Baslide II, a M. Nédel lec, Guengal ; 3% Canis Belli, à M. Bellec Jean, Landivisiau. 5' Au trot aHelé. — 1" prix, Ibil Deux, à M. de Richemonl, Quimperlé ; 2», Illico, a M. Le Bihan, Melgven ; 3', Bergère, h M. Gargadennec, Pont-Croix. (j*, Sleeple-chase. — 1" prix, llasda, a M. Nédellec, Guengat ; 2', Martin, à M l.e Lay, Scaër ; 3*, Canin Belli, a M. Bellec Jean, Landivisiau. I . « Vos Pilules Pink viL-nneiil d f l l V o i u e r une r e m a r q u a b l e c u r e . Elles ont guéri mon m a u v a i s e s t o m a c et m'ont l'ail ret r o u v e r des digestions p a r f a i t e s . Il était v r a i m e n t t e m p s pour moi de prendre vos Pilules, c a r tous les a u t r e s r e m è d e s ayant é c h o u é , m a santé n'était v r a i m e n t pas brillante. Comme J e m ' a l i m e n t a i s très mal, que la n o u r r i t u r e ne me profilait pas. J ' é t a i s afl'aibli el, pour peu q u e la maladie d ' e s t o m a c eût duré e n c o r e . J e m e s e r a i s p r o b a b l e m e n t vu dans l'obligation .le c e s s e r de travailler par man(iùe de forces. Dès q u e J'ai eu pris vos Pilules, J e m e suis senti m i e u x . Les c r a m p e s d'estom a c sont devenues plus r a r e s et, a p r è s les r e p a s . J e n'ai i)lus resisenli c e l l e imp r e s s i o n de m a l a i s e général ipii, a u p a r a v a n t , durait tant que durait la digestion. Aujourd'hui, j e suis tout à fait bien et j ' a i r e p r i s des forces. » Les Pilules Pink r é g é n è r e n t le sang, tonifient les n e r f s , elles sont s o u v e r a i n e s c o n t r e l'anémie, la c h l o r o s e des j e u n e s filles, les m a u x d ' e s t o m a c , la f a i b l e s s e g é n é r a l e , la n e u r a s t h é n i e . Elles sont en v e n t e dans toutes les Pharmacies cl au dépôt. P h a r m a c i e Ga)lin, 23, r u e Rallu, Paris : 3 fr. 50 la boîte ; 17 fr. 50 les 6 boîtes, f r a n c o . MEMBUe DU JUflY »t HORS CONCOURS N'ouhi portez un baialage a ressorl (]ui vous lorturo el cpii, laissant glisser votre hernie, écrase rintesUn sous la polote. Vous le remplacez alors par un bandage plus souple dont la puissance est nulle et qui s'allonge démesurément au bout do quel(iuo lemps. Votre horiiie n'est Jamais maintenue et vous redoutez rélranglonieul fatal. C'est pour vous la souH'rance physique, agg'-avée par la torture morale. Kh hien, il existe un appareil sans ressort cl sans caoutchouc, invonlo jiar .M. C.LASF.H, spécialiste do Paris. Sans ressort, il est si souple et si léger que les peisonnes UJS plus dciicates pouvont le porter Jour el nuil sans gêne. On peut al'lirnior (pie la ceinlure esl presiiuo inusable el sa puissance est tollo. qu'il immobilise railiculcuioiit les hei'iiies les plus volumineuses, los plus u'oliollos. Ajoutons qu'un système siM'cial donne à cet appariùl uno puissance .rflasticilé précieuse el oonslaule et c'est là lo secret do colle uiorvoillouscî invention. Nous u'iiislstons pa- davantage. Lo doute esl bien l'eruiis à ceux qui onl éprouvé des déceptions conllnuollos. nu'ils viennent donc essayer cet appareil. Ils pouri'ont ainsi se convaincre i]ue le soulagement est Immédiat, ol il leur sera démontré (|uo .irràco a la contention radicale ot parfaite, tout espoir (le guérison n'est jamais perdu, KH roici une preuve ; 19 avril liU;?. " .Mon.sieur CLASKIi. .le suis heureux de vous annoncer (j'ie nia hernie a complètement disparu gràco a l'usage de votre morveilloux appareil. " .l'ai obtenu ce résultat malgré l'ancienneté do ma hernie et je vous autorise a publier ma lettre dans l'iulérôt de ceux qui soull'ronl. " N'otro bien reconnaissant. MA HT a ET NOËL, à Plemeur-Bodou par Lannion (Côles-du-Nord). Aussi !;engagcons-nous vivement tontes les personnes atteinles de hernios, etl'orts et descentes (hommes, femmes el eni'anls), venir essayer cet appareil à ; PONT-L'ABBÉ, le l iaoùl. Hôtel du Lion d'Or, QUIMPER, lo 15 .août. Hôtel de VEpé, QUIMPERLÉ, le K; août. Hôtel du Lion d'Or el des \'o!/ageun>. LORIENT, lo ir août, llôlel de Bretagne. Pour é\ ilor l'élranglomenl dos hernies, doniander l;i brochure gratuite i'i .M. tiL.ASKIt lioulevard Sébastopol, ;J8, à Pans. Q u î m p o r l é . — Foire du II Août. — T a u r e a u x , le kilo., G.OO à O.Gô ; b œ u f s de boucherie, 0.75 ti G.SO ; v a c h e s de b o u c h e r i e 0.(30 à. 0.05 ; b œ u f s de travail, "ordinaire bouvillons, 50 à G5 fr. ; v a c h e s l a i t i è r e s , 145 k 3 1 5 ; g é n i s s e s , 119 à 3 0 0 ; c h e v a u x , très' élevé ; p o r c s , 1.10 à 1.20 le kil. ; m o u l o n s , 0.85 à 0.90; v e a u x , 0.00 à l.GO f r . ; f r o m e n t , 25.»» à, 26.»» ; seigle, 17.»» à 18.»» ; orge, 17.»» à 18.»» ; s a r r a s i n , 22.»» à 23.»» ; avoine, 20.»» à 21.»» ; p o m m e s de t e r r e les 100 kil., 6.»» à 8.»» ; b e u r r e le kil,, 1.90 à 2.80 ; œ u f s la douz., 0.90 à 1.10 ; foin, les 500 kil, 35.»» à 38.»» ; paille, les 500 kil., 3(5.»» à 35.»» ? son, l e s 100 kil., 17.»» à 18.»» ; f a r i n e , 1 " q u a l i t é , 3.^.»» à .36.»» ; 2« q u a l i t é , 32.»» à 33 f r . AVIS DE CONVOI Vous prié d ' a s s i s l e r au convoi e l à la c.orr'monie funèi)re de Mme Vve C. LE GOC Née Marie-Anne LE GUERNEC • 'éoAdée à Quimperlé, le Mardi 12 Août 1913, dans sa 4S« a n n é e , munie des s a c r e m e n t s de l'église. La c é r é m o n i e r e l i g i e u s e a u r a lieu en l'église p a r o i s s i a l e de NotreDame de r.Xssomplion d e Q u i m p e r l é , le J e u d i 14 Août 1913, à 9 h e u r e s 1/2 du matin. Le deuil se r é u n i r a à la m a i s o n m o r l u a i r e , rue ilu Couédic, n" 4. De profundis !... L)<. LA P A R T D E S F A M I L L E S LE (LUERNEC, L E G o c e t TRÉGUIER jM Eludes de IW" Bot, avoué à Q u i m perlé, rue S a v a r y ( a n c i e n n e Grand' Hue), n" 20, et de W Barbe, notaire à Moëlan. VENTE Par Licitation LE JEUDI 11 SEPTEMBRE 1 9 1 3 a une heure de l'après-midi E N L ' É T U D E E T PAR L E M I N I S T È R E DE M' B A R B E NOTAIRE A MOËLAN D'UNE P E T I T E P R O P R I É T É Sise aux lieux dita KERANORÉO et LE HUERNE ou LE VERN Eu la Cuaiinunc de HIOEL.W EN UN LOT & SDR LÀ MISS i PâiX DS 1.400 Ir. 11 sera, au.K lieu. J o u r el heure s u s indiqués, procédé à l'adjudication, au plus offrant et d e r n i e r e n c h é r i s s e u r de la propriété dont la d é s i gnation suit : DÉSIGNATION : Di'parlement du Finistère. Arrondissement de Quimperlé. Canton de. Ponl-Aven. Commune de Moëlan. Aux lieux dits JKerandréo et he Muern ou Le Vern. 1» Un PrédilPrat-arVern-bihan, donnant du nord s u r r o u l e de Moëlan ù. Quimperlé, de l'est s u r t e r r e à Quenlel, de l'ouest '•ur t e r r e à Vve Pézennec e l du midi s u r r o u l e , figur a n t au c a d a s t r e sous le n» 6 p. de la section E. de la c o m m u n e de Moëlan, lieu dit Kerandréo, p o u r une c o n t e n a n c e de 5 a r e s . 2° Une pièce de terre labourable dite iMnnec Prat-ar-Vernbilion, donnant du nord s u r t e r r e s à (iarrec, de l'ouest s u r terre à P i e r r e Le Doze, du midi s u r route de Moëlan à Quimperlé, figurant au c a dastre sous le n" 10 de la section E de la c o m m u n e de .Moëlan, lieu dit Kerandréo, pour une c o n t e n a n c e de 4 a r e s 30 c e n t i a r e s . 3" Une JMaison el écurie d'allac h e , c o u v e r l e s en c h a u m e , figurant au c a d a s t r e ^ous le n" 435 de la section D (le la c o m m u n e de Moëlan, lieu dit le Huern ou le V e r n . 4° Une pièce de terre labourable, dite. Lannec-ar-Vern, donnant du nord et du sud s u r t e r r e s à J o s e p h Capitaine, de l'est s u r t e r r e à Pierre Le Doze et de l'ouest s u r t e r r e s à J o s e p h C ipitaine, tigurant au c a d a s t r e sous le n" 435 de Ta s e c lion D de la c o m m u n e de Moëlan, lieu dil le Huern ou le Vern p o u r une c o n t e n a n c e de 10 a r e s (50 cenliar.'S. •Ili-sc à p r i x tlxée p a r l e tribunal : i. 100 fr. Celle vente est p o u r s u i v i e en e x c c u l i o n d'un j u g e m e n t du t r i b u nal civil de Quimperlé en date du 2 j u i l l e t 1913, e n r e g i s t r é et signifié, rendu conlradiclo'irement. Entre : Mademoiselle Adélaïde Le Bloa, m é n a g è r e , d e m e u r a n t au b o u r g de .Moëlan. D e m a n d e r e s s e ayant p o u r a v o u é M' BOT, d e m e u r a n t à Quimperlé, rue Savary, n» 20. Et : 1° Mme .Marie-Julienne Malcoste, veuve de M. P i e r r e Le lUoa, j o u r n a 1 i ère, ( le m eu ran l au I )o urg d e Moëlan, en nom j e r s o n n e l au besoin e l en sa qualité de tutrice naturelle et légale de P i e r r e , Y v e s et Fran(;oise Le Bloa, s e s trois e n f a n t s m i n e u r s n é s de son union avec ledit P i e r r e Le Hloa et domiciliés de droit avec elle. Défenderesse a y a n t pour a v o u é M" PITON, d e m e u r a n t h Quimperlé, rue de Quimper, n" 12 ; 2° M. J o s e p h Le Bloa, c u l t i v a t e u r , domicilié à Clerc'h-Burtul, c o m m u n e de Moëlan ; 3» M. X a v i e r Le Bloa, c u l t i v a t e u r , domiçilié à Goat-du-Miny, c o m m u n e de R i e c - s u r - B é l o n ; 4» Mme J e a n n e - L o u i s e Le Bloa, ménagère, épouse sous l'assistance Marchi aux Bestiaux de la Villette Coiiri^dii lundi 1 1 Août 101 ESPÈCES Bœufs "Vaches Taureaux Veaux Porcs Amenés Invendus 2.520 1.259 246 1.008 4.122 50 30 Poids moyen 409 350 484 ô 19 »» 96 120 Poids vif, Prix au kilo ESPÈCES Bœufs Vaches Taureaux... Veaux Porcs A. DEMARTHE Dentiste Diplômé 4, rue Thiers — QUIMPERLÉ 0.03 à 1.09 0.03 1.10 0.01 0.81 0.95 1.50 1.30 1.40 1 04 1 00 75 1 44 1 39 0 0 0 1 1 89 90 75 38 38 0 0 0 1 1 80 81 70 15 3i A toutes les personnes atteintes cl'asthino, de catarrhe, d'oppression, de toux grasse et opiniù tre (suites de bronchites) nous conseillons la Poudre Louis I.egras. Klle calme toujours instantanément l'oppression, les crises d'asthme, la suirocation et l'essoufflement des emphysémateux. Le soulagement est obtenu en moins d'une minute et la guérison vient progressivement. Une boîte est expédiée contre mandat de 2 fr. 10 adressé i\ Louis Legras", Bd .Magenta à Paris. et l'autorité de M. Louis Goanvic, manœuvre, avec lequel elle demeure au bourg de Tréguno ; 5» M, Louis Goanvic, manœuvre, demeurant au bourg de Trègunc, en nom personnel et pour assister et autoriser la dame Jeanne-Louise Le Bloa, son épouse. • Ces derniers défendeurs ayant pour avoué M» BOT, sus-nommé. Cette vente aura lieu en présence ou lui dûment appelé de M. .Alain Madic, cultivateur, demeurant à Kergonstance, commune de Moëlan, subrogé-tuteur desdits mineurs Le Bloa. • Outre les clauses et conditions insérées au cahier des charges dressé pour parvenir à la vente et déposé en l'étude de M» B.-VllBb:, notaire îi Moëlan, où toute personne peut en prendre communication, la propriété ci-dessus désignée sera vendue en un lot, telle qu'elle est décrite plus haut, au plus offrant et dernier enchérisseur, eten l'étude de M» B.vUBt: le jeudi 11 septembre 1913, à une heure de l'après-midi, sur la m i s e h prix de 1 . 4 0 0 fk*. Pour plus amples renseignements voir le cahier des charges ou s'adresser à M« BOT, avoué poursuivant. Quimperlé, le 13 août 1913. L'avoué pourmivaut, Em. BOT. Etude de Wi» Em. Bot, avoué à Quimperlé, rue S i v a r y , (ancienne Graid'Rue), n» 20. V E N T E JPar Licitation LE M E R C R E D 1 1 0 SEPTEMBRE 1913 à 1 heure de l'après-midi A l'Audience de» Criées du Tribunal Civil de Quimperlé, au Palais de Justice, sis place Nationale (audience des vacations). U PROPRIÉTÉ DE KERAÎ\'V;AR«AM En la Cuininuuc de Mel^ven EN UN LOT & SOR Là MISE k PRIX BE 40.000 Fii. Il sera, aux lieu. Jour et heure susindi( ués, procédé ii l'adjudication au p us oll'rant et dernier enchérisseur de la propriété dont la désignation suit : DÉSIGNATION : Département du Finistère ; Arrondissement de Quimperlé ; Canton de Bannalec ; Commune de Meli/ven ; Au lieu dit Kerangargam. Article premier. — Une Maison neuve, construite en pierres, couverte en ardoises, ouvrant au midi p'arune porte et deux fenêtres au rezde-chaussée, trois fenêtres au premier étage, trois fenêtres au grenier et ouvrant au nord par une porte et deux fenêtres au rez-dechaussée et trois fenêtres au premier étage. Elle comprend en soussol deux caves, quatre pièces au rez-de-chaussée, quatre pièces et un cabinet au premier étage, vaste grenier au-dessus. Art. 2. — Une vieille maison, avec appentis derrière, construite en pierres, couverte en ardoises, ouvrant au midi par une porte et deux fenêtres au r«zde-cliaussée et trois fenêtres au grenier. Art. 3. — En retour de la maison article'lî ci-dessus, n u e petite crèche en ruines. Art. 4. — Un puits avec auge en pierre. Art. 5. — Un bâtiment construit en pierres, couvert en ardoises, divise en deux par un mur de refends, servant d'écurie et ouvrant au nord par une porte et un portail en bois, grenier à foin au-dessus. Art. 6. — Un autre bâtiment construit en pierres, couvert en chaume, servant d'étahle, ouvrant au nord par deux portes, grenier à foin au-dessus. Art. 7. — Une grange neuve construite en pierres, couverte en ardoises, avec grenier à foin audessus, ouvrant à l'ouest par deux 42, Place Saint-Michel Q U I M P E R L E G Maison H A B S U A L , PHARMACIEN LAURÉAT (1'-- Prix) de l'Ecole de Pharmacie, 2 Médailles d'Or, 1 Diplôme d'Honneur renommée dans tonte T É L É P H O N E . 34 la Région pour la qualité Ve.tremeJ^icité BANDAGES, Prix extrêmes Vquallté 2* qualité 3' qualité Conseil Hebdomadaire portes. DE EVITER LES IMITATIONS Aspect des ventes. — Vente calme pour le gros bétail, meilleure pour les veaux, difTiciie pour les poros. DE de la oliiccrée Extra Leroux d'en r e tourner les vignettes TOUS LES ANS AU 30 AVRIL à M. LEROUX à Orchies (Nord). Les Vignettes non expédiées pour cette époque sont valables pour les années suivantes. D'un goût e.xquis, d'un arôme agréable cette chicorée se trouve dans toutes les épiceries. 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Joibâtiments désignés sous les articles gnant du nord la route de Concar1, 2, 3, 5 et G. neau à Rosporden, de l'est la route .\rt. 9. — Une grande aire à de Cadol à Melgven, du sud le n° 49 battre dans laquelle il existe un ci-dessus et de l'ouest chemin. Foshangar, construit en pierres et sés au cerne sauf au sud. couvert eij chaume, et un four en Art. 22. — Une pièce de terre ruines. en nature de lande dite Froslac'li, Art. 10. — Un courtil dit Liors- ligurant au cadastre sous le n" 448 Moan-Alleur. de la section A, pour une contenance Art. 11. — Trois courtils réunis de 8 a. 11 ca. A cette parcelle a été dits ar-jardins, Hors-draon-anty et annexé le sol de l'ancienne route liors-ar-puns. L'ensemble des ,'arti- de Concarneau à Rosporden, mais ticles ci-dessus désignés figurant aussi une portion dudit n" 448 a dû au cadastre sous les n"' 29, 30, 31, être prélevée pour la rectification 32, 33, 34, 35 et 30 de la section M, de la route. L'ensemble joignant du de la commune de Melgven, pour nord le n" 449 à la ville de Concarune contenance totale de 55 a. 85 ca'. neau et un chemin, du sud la route et a ses fossés au cerne. de Concarneau à Rosporden et de Art. 12. — Une parcelle de l'ouest le n" 449 ci-dessus. terre labourable composée de la Art. 23. — Une parcelle de réunion des parcelles dites al-leurterre en nature de prairie dite (juer L" 20, ar-scoudouec n" 27, et Foënnec-poul-kézec, figurant au cajardin-scoudouec n" 28, de la section dastre sous le n" 452 de la section A, AI, du cadastre de la commune de pour une contenance de 20 a. 13 ca. Melgven, pour une contenance toJoignant du nord prairie à la ville tale d'après le cadastre de 1 h. 48 a. de Concarneau, de l'est un petit va99 ca., ayant ses clôtures au cerne, gue, du sud la route de Concarneau sauf partie au sud bout est. Joignant à Rosporden, de l'ouest le n»] 455 p. du nord les n»» 30, 29 et 28 du cah. la ville de Concarneau. Fossés au dastre, de l'est chemin, du sud Gourcerne sauf an nord. melin. Pelleter et Mme Vve KerArt. 24. Une pièce de terre guélen, de l'ouest Le Beuse. Poullou.\rt. i3. — Une pièce de terre en nature de lande dite labourable formee de la réunion r/ia:, figurant au cadastre sous partie des parcelles dites Parc-an-allée n" du n» 455 de la section A. joignant du 49, Parc-an-allée n° 50 et Coat-Parc- Nord le n" 454 dont partie aux venan-allée n" 51, de la section M, de la deurs et partie à la ville de Concarcommune de Melgven, poui une neau, de l'est le surplus du n» 4.ô5 h contenance totale d après le cadastre la ville de Concarneau. du sud la de 2 ha. 19 a. 4 ca., ayant ses clô- route de Concarneau à Rosporden tures Jiu cerne, .loignant du nord le et de l'ouest Goiran. Fossés au nord n» 47 du cadastre, de l'est la route a u s u d e t à l'ouest. Celte parcelle tie Gadol à Melgven, du sud le n° 52 figurait au cadastre pour une contenance totale de 1 ha. 40 a. 54 ca., ci-après et de l'ouest chemin. Art. 14. -— Une parcelle de mais la ville de Concarneau en a terre en nature de clieniui et en exproprié ime contenance de 55 a. pal lie ])lanlée, ligurant au cadastre dans sa partie est. Art. 25. — Une parcelle de sous le nom de nenl-d'anéach n" 52, sous prairie dite Foënnecde la section M, pour une contenance terre ligurant au cadastre tle 18 a. 17 ca Joignant du nord les Poullourdlaz, n"" 50 et 51 ci-dessus, de l'est la sous partie du n» 454 de lasection A. roule de Cadol à Melgven, du sud le Joignant du nord Hervé, du nordn» 53 ci après et de l'ouest chemin. est et de l'est le surplus du n» 454 k Al. 15. — Une grande pièce de la ville de Concarneau, du sud le terre, actuellement divisée en deux n" 455 ci-dessus aux vendeurs, et de par un fossé, sous carrière, lande l'ouest Goiran. F o s s é s à l'ouesL Cette et terre labourable, dite Parc-ar- parcelle figurait au cadastre pour Uroëz, ligurant au cadastre sous le une contenance totale de 03 a. 90 ca. n" 53 de la section M, pour une mais la ville de Concarneau en a excontenance de 2 ha. 42 a. 8 ca. Joi- proprié une contenance de 32 a. gnant du nord le n" .52 ci-dessus, 14 ca. Art. 26. — Une parcelle de de l'est la roule de Cadol à Melgven, du sud un ctiemin d'exploitation et terre dite Parc coz-d'antraon, partie de l'ouest chemin. Pelleter, Le Gall sous lande et partie, sous prairie, formée de la réunion des n " 13 et et Gourmelin. 14 de la section M, pour une conteFossés au cerne sauf à l'ouest. Art. 10. Une pièce de terre la- nance totale d'après le cadastre de bourable (Jile (rostac'h-d'nnéac'h, 1 ha. 29 a. 06 ca. Joignant du nord la llguraiit au cadastre sous le n" 232 route de Concarneau à Rosporden, de la section M, pour une conte- de l'est les n " 15 et 16 ci-après, du nance de 94 a. 05 ca. Joignant du sud le n" 17 ci-)iprès, et de l'ouest nord le n" 231 ci-après, de l'est MM. Lé Beuze. Fosses sur la route. Art. 27. — Une pièce de terre de Lanascol et Jeannès, du sud sous lande et pâture, J e a n n è î , et de l'ouest la roule de labourable formée de la réunion de deux parCadol à Melgven, fossés à l'ouesL Parc-coz-coste-anArt. 17. — Une pièce de terre celles, l'une dile hent-bras, au ca'Iastre sous le n° 15 labourable dite Parc-an-ilis, rant au cadastre sous le n" 231 de la de la section M, pour une contesection M, pour une contenance de nance de 87 a. .31) ca. ; l'autre dite 1 lia. 98 a. 74 ca. Joignant du nord Parc-coz, au cadastre sous le n» 42 Le Beuze, de l'est de Lanascol, du de la section M, pour une contenance sud le n" 232 ci-dessus, de l'ouest (le 1 ha. 18 a. 40 ca. L'ensemble joila route de Cadol h Melgven. Fossés gnant du nord la route de Concarneau à Rosporden et l'ancien cheil l'est au sud et à l'ouest. Art. 18. — Un courtil, dit liors- min annexé au n» 43 ci-après, de parc-an-porz, ligurant au cadastre l'est chemin, du sud les n»" 41 et 16 sous le n" 48 de la section M, pour ci-après, et de l'ouest le n" 14 ciune contenance de 2 a. 80 ca, Joi- dessus. Fossés au cerne sauf au gnant du nord chemin et le n" 47 ci- sud. après, de l'est le n" 47 ci-après et le Art. 28.— Une parcelle de terre n" 49 ci-dessus, du sud et de l'ouest labourable dite Parc - coz - créis, chemin. Fossés sur les chemins. ligurant au cadastre sous le n® 16 Art. 19. — Une parcelle de de la section M, pour une conteterre labou/rable dite Parc-an- nance de 1 ha. 5 a. 13 ca. Joignant Porz, ligurant au cadastre sous le du nord le n" 15 ci-dessus, de l'est n" 47 de la section M, pour une con- le n" 41 ci-après, du sud le n» 17 et tenance do 1 ha. 91 a. 84 ca. Joignant de l'ouest les n"" 13 et 14 ci-dessus. du nord le n" 40 ci-après, de l'est la Fossés au nord et à l'ouest. route de Cadol à Melgven, du sud Art. 29. Une grande parcelle les n»* 49 ci-dessus et de l'ouest de terre labourable formée de la chemin et partie du n" 48. Fossés réunion de deux parcelles, l'une dite au cerne sauf au sutl. Parc-an-von, au cadastre sous le Art. 20. — Une parcelle de n" 41 de la section M, i)our une conterre labourable dite Parc-alé- tenance de 1 lia. 40 a. 89 ca. ; l'autre tan, figurant au cadastre sous le n» dile Parc-bilnin-pel. au,cadastre sous 40 de la section M, pour une conte- le n" 40 de la section M, pour une nance de 2 lia. 4 a. 29 ca. Joignant contenance do 92 a. 40 ca. L'ensemdu nord le n" 45 ci-après, de l'eat la ble joignant du nord le n" 42 ci-desroule de Cadol à Melgven du sud sus,' de l'est chemin, du sud le n» 39 le n° 47 ci-dessus, de l'ouest, che- ci-àprès, de l'ouest les n°" 16 ci-desmin. Fossés au cerne sauf au sud. sus, 17 et 21 ci-après. Fossés au Art. 21. — Une parcelle de nord, à l'est et l'ouest. terre labourable dH.(}Parc-an-poul, Art. — 30. — Une .parcelle de actuellement divisée en deux par terre labourable dite Parc-bihanun talus, ligurant au cadastre sous tost, figurant au cadastre sous le le n" 45 de la section M, pour une n® 39 de la section M, pour une QQn- Correspondance Douches — Injecteurs — Bassins de Lit — Urinoirs tenance de 71 a. 59 ca. Joignant du nord le n" 40 ci-dessus, de l'est chemin, du sud les n " 37 et 38 ci-après, de l'ouest le n» 21 ci-après. Fossés au nord et à l'est. Art. 31. — Une prairie formée de la réunion de 4 parcelles dénommées ainsi qu'il suit au cadastre de la section M : Foénnec-Névez sous le n® 17. pour une contenance de 48 a. 59 ca. ; ar Glazen sous le n® 18 pour une contenance de 9 a. 82 ca. ; Foënnec-Funtun sous le n® 19 pour une contenance de 17 a. 70 ca., et LiorsCanap sous le n® 20 pour une contenance de 20 a. 72 ca. L'ensemble joignant du nord-ouest le n® 13 ci-dessus, du nord et du nord-est le n® 16 ci-dessus, de l'est les n®» 40 et 41 cidessus, du sud le n® 21 ci-après et de l'ouest Le Beuze. Fossés au cerne. Art. 32. — Une parcelle de terre labourable dit Parc-nrSler, formée de la réunion de deux Darcelles figurant au cadastre sous es n®' 21 et 22 de la section M, pour une contenance totale de 1 ha. 4 a. 55 ca. Joignant du nord les n®» 20, 19 et 17 ci-dessus, de l'est- les n®" 40 et 39 ci-dessus et le n® 38 ci-après, du sud et de l'ouest Le Beuze. Fossés au sud et à l'ouest. Art. 33. — Une parcelle de terre labourable dile Parc-al-leur, figurant au cadastre sous le n® 38 de la section M, pour une contenance de 1 ha. 13 a. 82 ca. Joignant du nord le n® 39 ci-dessus, de l'est le n® 37 ci-après et les n " 33, 32; 29 et 28 ci-dessus, du sud lo n® 27 ci-dessus, de l'ouest Le Beuze et les n®~22 et 21 ci-dessus. Fossés au noril, au sud et h l'ouest. Art. 34. Une parcelle de terre labourable dile lÀors-Radennec, figurant au cadastre sous le n® 37 de la section M, pour une contenance de 22 a. 75 ca. Joignant du nord le n® 39 ci-dessus, de l'est chemin, du sud les n®» 30 et 33 ci-dessus, de l'ouest le n® 38 ci-dessus. Fossés au cerne sauf au sud. Art. 35. — Une parcelle de terre labourable composée de la réunion de deux parcelles l'une dile fioslac'h-d'antraon, au cadastre sous le n® 43 de la section M. pour une contenance de 15 a. 09 ca. l'autre dile Pen-ar-Garront, au cadastre sous le n® 44 de la section M. pour une contenance de 5 a. 4 ca. à celte parcelle a été annexé le sol do l'ancien chemin de Concarneau à Rosporden qui passait au sud du n® 43. L'ensemble joignant du nord la route de Concarneau à Rosporden, de l'est chemin, et du suc le n® 42 .ci-dessus. Fossés au nord et h l'est. 1 Contenance totale de ladite propriété ving-neuf hectares, soixantequatre ares, quarante-cinq centiares ci 29 to 64 ïi. 45 c. Telle au surplus que ladite métairie se poursuit et se comporte avec toutes ses circonstances et dépendances, sans aucune exception ni réserves. Mise à prix fixée par le Tribunal, 40.000 fr. Cette vente est poursuivie en exécution d'un jugement du tribunal civil de Quimperlé en date d u 9 J u i l let 1913, enregistré et signifié, rendu contradictoirement : Entre: M. Jean-Marie Sancéau, propriélaire cultivateur, demeurant à Kerangargam, en la commune de Melgven. Demandeur ayant pour avoué M" BOT, demeurant à Quimperlé, Rue Savary n® 20. ' E t : M. Louis Sancéau, propriétaire cultivateur, demeurant a Trouée en la commune de Melgven pris en sa qualité de tuteur datif de la mineure Mélanie Sancéau née du mariage de M. Jean-Marie Sancéau avec dame Charlotte Le Meur, tous deux décédés, domiciliée de droit avec lui. Défendeur ayant pour avoué M« PIEDOYE, demeurant à Quimperlé Hue Savary, n" 23. Cette vente aura lieu en présence ou lui dûment appelé de M. I^aurent Le Meur, propriétaire cultivateur, demeurant au village de Tromadur, en la commune de Melgven subrogé-tuteur de ladite mineure Sancéau. Outre les clauses et conditions insérées au cahier des charges dressé pour parvenir ù. la vente, et déposé au greffe du Tribunal civil de Quimperlé où toute personne peut en prendre communication la proprié- té ci-dessus désignée sera vendue en un.lot, telle qu'elle est décrite plus haut, au plus offrant et dernier enchérisseur, à l'audience des criées du tribunal civil de Quimperlé le mercredi 10 septembre 1913, a une heure de l'après-midi (audience des vacations) sur la mise à prix de 4 0 . 0 0 0 francs. Pour plus amples renseignements voir le cahier des charges, ou s'adresser à M' BOT, avoué poursuivant., Quimperlé, le 13 août 1913. L'avoué poursuivant. Em.BOT Etudes de Wl» E m . B o t , avoué à Quimperlé, ruo r^ v.i'-y (ancienne GranirRin", n® A) cl de W Kerautrei notaire à Pont-.\ven. VENTE PAR LIGITATION LE ,MAHDI 9 SEPTEMBRE I » I 3 En à 2 heures de l'après-midi l'Elude et par le Ministère. de M' KEKAUTBET, Solaire à Pont-Aven OmiVIEUBLES Sis au lieu dit CROIX KERMÉUN En la Commune de IVé\6z EX U.\' LOT & suv la Mise à Pri.x de 1.200 l'r. Défendeurs, ayant pour av- ué, M« PIEDOYE, demeurant à Quimperlé, rue Savary, n® 23. Cette vente aura lieu en présence ou lui dûment de M. Pierre .Naviner, marin-pêcheur, demeurant à Korascoët, commune de Névez, subrogétuteur desdits mineurs Sellin. Outre les clause.^- et concfitions insérées au cahier des charges dressé pour parveTiir à la vente et déposé en l'étude de M' KERAUTRET, notaire à Pont-Aven, où toute personne peut en prendre communication, la propriété ci-dessug désignée sera vendue en un seul lot, telle qu'elle est décrite plus haut, au plus ofl['rant et dernier enchérisseur et en l'étude dudit M« KEUAt.'TRET,le IWardi9Septembrel913, à deux heures de l'après-midi, sur la Mise à prix de 1.200 fr. Pour plus amples renseignements, voir le cahier des charges ou s"adressèr à M« BOT, avoué poursuivant. Quimperlé, le 12 Août 1913. L'avoué poursuivant, E m . BOT. Etudes de M® Yves-Marie Fournis, avoué-licencié à. Quimperlé, quai Brizeux, n®6, et de M» Morvan, notaire à Scaër. VEÏTTE p a r Iiicitation Judiciaire EN D E U X LOTS Il sera aux lieu, j o u r et heure sus-indiqués, procède à 1-adjudica- Le Samedi « Septembre I9IÎI à 2 h. de l'après-midi tion au plus ofl'rant et dernier enchérisseur de la propriété dont la EN L ' É T U D E désignation suit : E T P A R L E M I N I S T È R E D E M* MOKVAN nÉSIGNA TION î NOTAIRE A SCAËR Déparlement du Finistère ; Arrondissement de Quimperb' ; Canton de Pont-Aven ; Commune de Névez. Au Heu dit Croix-Kerméun. Article premier. — Une longère de bâtiments, construits en pierres et couverts en chaume, servant d'iwbitation dans la partie du levant, d'écurie dans la p:irtie du milieu et de grange dans la partie du couchant, lille ouvre au midi sur la cour article 2 ci-après, par deux port.es, une baie et deux foni^tres au rez-de-chaussée, une gerbière au LH-enier. Art. 2. — Au midi et au coucluint de l'article 1"'. cour. Art. 3. — Au nord des articles précédents, un petit courtil, planté avec haie au nord, levant et couchant. Tous ces immeubles, d'un seul tenant, paraissent inscrits à la matrice cadastrale de la commune de Névez, sous le n» 837 p de la section B, pour une contenance approximative de 6 ares 70 centiares, et sont bornés au midi par cliemin de Mesmeur, au couchant par terre à Guillaume Drouglazel et au nord et au levant par terre à Joseph (îuernalec. Tel on outre que le tout se poursuit et comporte avec ses circonstances et dépendances sans exception ni réserve. Mise à prix, fixée par le tribunal, 1.200 fr. Cette vente est poursuivie en exécution d'un j u g e m e n t flu tribunal civil de Quimperlé, en date du 2 juillet 1913, enregistré et signifié, rendu contradictoirement. Entre: 1® Mme Suzanne Guillou, veuve en premières noces de Yves Héloury, on second mariage tle Joseph Guernec et en 3 " noces de Jean Naviner, ménagère, demeurant à Poulioré, en la commune de Nèvoz. 2° M. Yves lléloury, marin-pêcheur, demeurant à Kerascoi'-t, communé de Névez. Demantleurs, ayant pour" avoué, M" BOT, depieurant à Quimperlé, rue Savary, n® 20. E t : i® M. Louis Sellin, tailleur d'iiabils, demeurant à Poulioré, commune de .Névez, e n . n o m personnel et en sa fiualitè de tuteur naturel et légal de Louis, Anna, Pierre, Victorine et Elisa Sellin, ses enfants mineurs, nés de son mariage avec feue Marie-Josèphe lléloury, et domiciliés de droit avec lui. 2® M. Yves Sellin, célibataire maj e u r , marin de l'Etat, domicilié à Poulioré, commune de Ncv' z. D'UN MOULIN A EAU & D'UN COURTIL sis à Tréganou en la commune de Scaër, et i r u X E M.VISOX à us de commerce, sise au bourg de Scaër. Mises à prix : lot, 4 . 0 0 0 f r . ; 2«lot, 1 0 . 0 0 0 (V. l>ÉSlGi\A riOi\ : Déparlement du Finistère. — Arrondissement de Quimperlé. — Canton et Commune de Scaër. — Aux lieux de TREGANOU et du bourg de SCAFR. PREMIER LOT Au lieu de Tréganou. Article 1®'. — U n e m a s i o n d ' h a b i t a t i o n . couverte en ardoises, comprenant au rez-de-chaussée le moulin et à l'élaKC une chambre, droits d'eau et autres appartenances. Art. 2. ~ Un petit courtil dé- nommé Liars. d'une contenance de 5 ares 5i centiares, le tout figurant au plan cadastral de la commune de Scaër pour une contenance de 729 mètres c a r r é s et d'un revenu de 204 fr. 05. Jouissance au 29 septembre 1913. Mise à prix fixée par le tribunal 4 . 0 0 0 fr. DEUXIEMEL0T Au bourg de Scaër. Article 1'^' — U n e m a i s o n d ' h a b i t a t i o n à usage de commerce, composée de 4 pièces au rez-dechaussée, 4 pièces à l'étage et grenier, ouvrant du nord sur la Grand' Rue par une porte et 3 fenêtres au rez-de-chaussée et 3 fenélres à l'étage. Art. 2. — Au midi de l'article précédent, line é c u r i e e t r e m i s e , c o u r avec i)assage par la pelile ruelle en face de la maison Kersulec. Ces deux articles occupés par M. Bernard, débitant. Art. 3. — Au levant de l'article 1 " et faisant corps de bâtiment, u n e autre maison d'habitation oc- cupée par M. Guyader, boulanger, composée d'une pièce au rez déchaussée, d'une pièce à l'étage ot grenier, ouvrant du nord sur la Grand'Rue par une porte et une 1'.nètre au rez-de-chaussée et 2 fenêtres à l'étage. Tous ces bâtiments sont c o u v e i l s en ardoisesCes trois articles figurent au plan cadastral de la commune de Scaëç sous les n®" 1156 et iirirt contenance de rés fit il'un revenu Joinasftnoe au 29 1156 portion pour 455 mètres carde 370 fr. 82. septembre 1913. Etude de IW« Biger, notaire h. Bannatec ADJUDICATION VOLONTAIRE Etude de M" Donnart, notaire ii Pont-Croix ETABLISSEMENTS A VENORE RIVIERE, JOVBNBT & r ù raminble Mise à prix ll.xée par le tribunal 10.000 fr. PAU L O T S P KIN KL.NC OU EN D É T A I L Kn rElwJe liudil il' HlOh.li Cette vente est poursuivie en exé1.081 l u M i o s . cution (i'un j u g e m e n t rendu oontra- LE DIMANCHE 25 AOUT 1913 SUO p i n s c l s n p i n s . dictoirement par le tribunal civil de ft'iO c h à t n i s n i e r s . à 1 tieures première instance de Quimperlé. le Oa p e i i p l l o r s . 18 Juin 1913, enregistré. omieaii.x. E n t r e : Madame Marie-Anne Le n o eliènos. De/., propriétaire, veiwe de M. Fran14 acacias. çois Lharidon, demeurant au Moulin située .'i Landrévoazeo en la comJouissance immédiate. Exploitad e ' Tréganou, en la commune de mune de Kernével, comprenant une Scaër, demanderesse ayant pour maison d'iiabitalion, une crèche, tion facile. avoué constitué près le tribunal civil une écurie, un hangar, nouvellec e s arbres se trouvent sur -la de Ouimperlé M» FOURNIS, avec ment construits et couverts en ar- métairie de Kernon en Meilan. élection de domicile en son étude doises, un pulls et six journaux de Pour tous renseignements s'adressise à Quimperlé, quai Brizeux, n^e. lionne terre labourable. ser à M« DONNA RT. •louissHnce no 29 septembre 1913. Et : 1» M. Christophe Lharidon, On Irriterait avant l'adjudication meunier, demeurant a Tréganou en Gi'undc .llnisou tic Cuiinaiico^ on cas (l'otliTS suflisantes. ladite commune de Scaër ; S'adresser audit notaire ou à M. 2® M. François Lharidon, meunier, tlémery, propriétaire. demeurant à Tréganou en Scaër ; 3» Mlle Marie-Anne Lharidon, célibataire majeure, sans profession, i - U u d e (le iVI« Péan de Ponfllly, 17, B r a n d ' r u e 17 demeurant à Tréganou en Scaër. licencié en droit., notaire à Pont4" M. Yves Lharidon, soldat d'inAven. fanteriecoloniale, cap Samt-.lacques, domicilié à Tréganou en Scaër. Draperies, Houenneries, Soieries 5» M. Mathurin Lharidon, ouet Nouveautés. — Toiles de lil et de vrier boulanger, domicilié à Trécoton. EN TOTAl.lTÉ OU l'AR LOTS ganou en S c a ë r ; Mérinos, Molletons, Flanelles, Cou6 ' Mlle Thérèse Lharidon, sans AU GRÉ UKS ACQUÉR' MRS tils, Couvertures, fiileL.^ lainn marin profession, célibataire majeure, de •'t colon. Bonnelt'rie, Velours i " meurant à Tréganou en Scaër ; marque La Clef. J u l e pour limeubl»'7" Mlle Louise Lharidon, domesments, Plumes, Duvi't, Lainf-s el li(|ue. demeurant à Paris, 10, rue de sises à Kermndréa,n-Xéoy&n en la Crins pour Literies. Constantinople. commune de lUec-sur-Béiun, en bor.Vêtements confectionnés et .sur Défendeurs ayant pour avoué dure de la route de Pont-Averi à constitué près le môme tribunal Bannalec et bien placées pour cons- mesure pour Hommes, Jeunes Gens et Enfants. Vestons cuir et imperM' FOURNIS, avec élection de domi- truire. méables. cile en son étude sise à Quimperlé, Entrée en jouissance au 29 sepquai Bri/.eux, n» 6. tembre 1913.' A t e l i e r de Confection 8" M. .lean Cosquer, cultivateur, S'adresser pour traiter h M. BLONdemeurant au Merdyen la commune DKAlj, place des Ecoles, Quimperlé, concernant tout le costume de tîuiscrill" (Morbihan), pris tant en ui se trouvera sur les lieux à la campagne. son nom personnel que comme tuisposition des amateurs le samedi teur nnturel et légal de Marie-Anne, 9 août 1913, à partir de une. heure UN B O N T A I L L E U R B R E T O N Anna et Grégoire Cosquer ses trois après-midi. enfants issus de son mariage avec Et pour tous renseignements au est attaché à la maison, coupe feue Anna Lharidon ; et travail très soignés. ' 9® M. Y v e s - L e Goc, propriétaire, notaire. demeurant au bourg de Scaër, pris en sa qualité de tuteur ad /toc de Seul dépositaire des tissus hyLouis Lharidon enfant mineur issu giéniques du D'' J A E G I I E R . du mariage de feu François LhariGrands Assortimenls dans tous cas don, avec Mme Marie-Anne Le Dex, Articles. — Marchandises de pre• ledit sieur Le Goc faisant fonctions mier choix el d des prix définnl taule de tuteur à raison de l'opposition concurrence loyale. existant entre les intérêts dudil mineur et ceux de Marie-Anne Le Dez, Pri.v lî.xc i n v a i ' î a b l e sa mère et tutrice légale et ceux de JLa. Maison délivre toujours M. Christophe Lharidon son subrogétuteur. des Timbres de Commerce. Autres défendeurs ayant pour Plouay, PontSUCCURSALES avoué constitué près ledit tribunal Aven, Rosporden. M» PIEDOYE, avec élection dedomicile en son étude, sise à Quimperlé, r u e Savary, n» 23. L'adjudication des immeubles susdésignés aura lieu en l'étude et par le, ministère de M» MORVAN, notaire il Scaër, le samedi 6 septembre 1913 à deux heures de l'après-midi, aux plus offrants et derniers enchérisseurs, en deux lots et sur les mises à prix ci-dessus indiquées, aux clauses et conditions du cahier des charges déposé en l'étude dudit M" MORVAN, où toute personne peut en prendre communication. Elle se fera en présence en l'absence de 1® M. François-Louis M A C m n ^ AGI^COLE^^ Lharidon, meunier au moulin de Tréganou en Scaër appelé à y assister en sa qualité de subroge-tu'IFR IJR'-,'!» A teur des mineurs Cosquer susafli'.^^s fVMOoo ju/- iimpic drntviidr ^ nommés et 2® M. J é r ô m e Jallré, ou'Vv V..^ UJineS nyOHO-ÉLeClBIQlJCi dt vrier sellier, demeurant au bourg de Scaër, appelé également en sa qualité de subrogé-tuteur ad hoc du mineur Louis Lharidon sus-nommé. Pour plus amples renseignements s'adresser à M' FOURNIS, avoué poursuivant ou à M" MORVAN, notaire, dépositaire du cahier des charges. Fait et rédigé par l'avoué poursuivant soussigné. F > Usiner DE LATOURELL^E « Quimperlé, le 11 Août 1913. \ c G U I N G A M P . Yves-Marie FOURNIS, Avoué-licencié, UNE PROPiaETÈ Charles A QUIMPERLÉ Les Agriculteurs sont invités à venir visiter les E T A B L I S S E M E N T S S A V A R Y , oîi ils pourront voir à tout moment en fonctionnement iJN mOTEUR AGRICOLE, spécialement approprié pour actionner un Batteur et un S e c o u e u r . Ces moteurs étant très simples, il suffit de quelques heures pour être mis au courant de leur mise en inarche, de leur fonctionnement et de leur entretien ; ils sont très robustes et livrés avec toutes garanties. Un des Ingénieurs ou Agents (le l'Usine est d'ailleurs envoyé pour assurer l'installation et la bonne marche clo tout moteur vendu. 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G â L L I C 30* Année: = W 6 S L E NniiÉRO : C I N Q C E N T I M E S D i i n a n c h e ^ l 7 1 A o â t : i 9 1 3 ET MARITIME Organe Républicain Démocratique de la Région Paraissant Annonces et Réclames Annonces Judiciaires (la ligne)... Annonces volontaires Réclames 2 0 o. 2 B o. BO o. Les annonces sont reçues au bureau du journal et, à Paris, dans toutes les Agences. On traite à forfait pour les annonces répétées plusieurs fois. les JEUDI et Direoteup : Armand G A U T I E R RUDACTION, ADMINISTRATION 4 ANN0NCB8 A Q U I M P E R L E , Plaoe Hervo. n* 8 bis T r i : U É ^ H O N K , N* s Adreite Tilégraphiqut : Union, Quimperlé SOYONS MODERES AVEC ENERGIE Li P m ^BIIGÂRBST Agricole Coqueluche \ par Pierre er SALES P R E M I û R B PARTIE VIII Comment sauver l a veine ? Cette mervelllease transformatloo ne lui enlevait rien de sa gaminerie, ni do son lang-frold. Il ramassa toutes ses frusques, trouva une porte de sortie donnant sur la campagne. Et il partit, fort délibérément. — Orientons - nous , maintenant 1 . . . G'qu'on est bien, tout de môme, dans une pelure d'offlclerl... c'que ça fait doux et ebaud... Il en oubliait le manque de Iluge... Mais n'avalt-11 pas un col glacé, comme 11 en avait vu chez les grands chemisiers de la rue de la Paix ? Il se représenta, très exactement, la topographie de la ville, du fleuve, de la campagne, rase de ce côté, tandis que sur l'autre rive, 11 apercevait très bien le rideau de la forôt... — Ousqu'll faut que J'arrive?... et sans barguigner... Car c'te pauv' dame I... SI o n a l l a l t l a surprendre, parce qu'J'aiété 9l>llg6 de me trlngaer I,.. Mais comment ]\ord-Ouest DIMANCHE à Londres le 31 mai dernier. Il entrera, en effet, en exécution tel qu'il a été signé, et si les puissances échangent des vues sur son contenu, ce ne sera Il y a quelques années, obéissant aux conseils du président actuel de pas, comme on a pu le craindre, pour tout remettre en question par une revila République, nous avons entrepris une campagne de propagande qui sion contre laquelle proteste le besoin était, selon l'expression de M. Poincaré « une véritable croisade dans un d'apaisement de l'Europe entière, mais pays troublé et désorienté », en faveur d'un programme « répondant aux pour prendre note du nouvel état de choses qu'il établit. sentiments profonds et aux aspirations permanentes du pays. » La question de la revision n'aurait Depuis lors, nous avons pratiqué sans défaillance une politique qu'on d'ailleurs pas été soulevée si l'Autrichen'a vu pactiser ni avec la réaction, ni avec ses succédanés occasionnels ; Hongrie, après avoir déclaré, avant la nous n'avons tendu la main qu'à des républicains, réellement animés seconde guerre balkanique, qu'elle n'ind'un sage esprit laïque et pénétrés de leurs devoirs envers la démocratie ; terviendrait pas pour empêcher les annous ne sommes intervenus que pour défendre le progrès h la fois contre ciens alliés de régler le partage terriceux qui le redoutent et contre ceux qui le compromettent, l'ordre contre torial à leur guise, soit qu'ils préférassent les voies diplomatiques, soit qu'ils c e u x qui se font les avant-coureurs de l'émeute et de l'anarchie, la patrie recourussent aux armes, n'avait ancontre ceux qui la renient et menacen t de la trahir. noncé, lorsque la guerre intestine Si on relit maintenant sur les murs de l'arrondissement les affiches tourna contre ses prévisions, c'est-àsalies de MiM. Le Louédec et J . Berthou, que constate-t-on ? C'est que, dire se termina par l'écrasement de la au cours de la présente période électorale, on a vu des radicaux-socia- Bulgarie dont elle avait attisé les convoitises que les conditions de paix de listes de la veille aft'ecter d'adopter en bloc le programme de leurs conBucarest devaient être soumises a l'exacurrents républicains démocrates, faire bon marché de l'étiquette que, men et à l'approbation des puissances. de tout temps, ils avaient portée et ne vouloir se dire que réfyublicain» La Russie crut devoir émettre une opinion analogue, mais sans y attacher au tout court, afin de se rallier les suiîrages des naïfs ? C'est l'équivoque. Nous ferons, pour notre part, tout ce qu'il faudra fond suffisamment de prix pour en faire même un échange de vues avec Paris pour qu'elle cesse au plus tôt et que les élections de 1914 se fassent reet avec Londres. marquer par leur absolue franchise. Ce j o u r lù pas de masques, et les Dès le premier jour on a considéré à drapeaux déployés ! Bucarest le traité comme définitif, et Organisons nous ; défendons nos idées propres, et soyons persuadés les télégrammes chaleureux échangés entre le roi Charles et l'empereur Guilque la victoire finale est à ce prix : laume démontrent qu'en Allemagne. on^ Etre modéré a v e c énergie etjdindre le courage au bon sens. ^; partage cette opinion, quel que puisse , " I . Comité local être l'avis de la diplomatie austro-honde l'Alliance Républicaine Démocratique. groise. C'est en Allemagne que l'opinion a été peut-être la plus exaspérée de la La date du 10 août 1913 qui marquera duplicité tortueuse et si pronfondément dans l'histoire des Balkans et aussi dans égo'iste de cette diplomatie et le sentiment de l'opinion allemande se reflète celle de l'Europe est particulièrement certainement dans cette appréciation Le traité signé le 10 aoûl à Bucarest glorieuse pour la Roumanie et pour son d'un journal de Berlin : « L'Europe est rétablit la paix dans les Balkans et souverain le roi Charles dont elle cou- tellement fatigué des horreurs balkanifonde en Orient un ordre de choses ronne le long règne do sagesse. Dans ques que les efforts de la Ballplatz pour nouveau. Il est exclusivement balkani- lu crise sanglante qui vient de se ter- les maintenir à l'ordre du jour des souque. C'est au saliit du canon et par un miner si heureusement, la Roumanie cis européens resteront vains. Lo fauTe Deum, auquel assistait le roi de est apparue en arbitre de la situation. teur de désordre autrichien ne pourra Elle a joué ce rôle avec autant de ferRoumanie, qu'a été célébré ce premier meté que de modération. Elle devient la provoquer de nouveaux troubles, queltraité où les jeunes royaumes taillés ou que grand qu'en soit son désir. » du moins agrandis dans les anciens gardienne de l'équilibre établi sous ses L'équilibre balkanique est donc établi territoires de la Turquie d Europe ont auspices. C'est une grande tâche, mais et aussi favorable au libre développeelle est digne de l'accomplir. eux-mêmes réglé leurs destinées. ConLes délégués grecs, serbes, monténé- ment des Etats co-partageants qu'à la clu après une guerre entre les co-parpaix de l'Europe. L'enchevêtrement des lageants, en dehors de toute collabora- grins et bulgares ont droit également à races en Macédoine ne permettait aution européenne et à la suite des efforts la reconnaissance générale pour avoir cune répartition conforme aux vœux de infructueux de l'Europe de réaliser un délivré l'Europe des angoisses qui l'oppressent depuis si longtemps, les pre- tous les intéressés. La répartition acaccord entre les anciens alliés, il conluelle, n'est pas plus illogique ou injuste sacre les résultats de cette seconde miers en modérant leurs prétentions, que n'importe quelle autre. Avec le guerre et le nouvel équilibre oriental les seconds en se résignant à payer la temps, les tassements et les adaptations tel que le conçoivent les premiers inté- rançon des fautes de leur pays. Le traité de Bucarest paraît appelé à se feront, à la seule conditioji que l'Euressés, c'est-à-dire les Etats balkaniques un meilleur sort que celui qui fut signé rope ne s'avise pas d'y toucher. Le vaineux-mêmes. [29] Feuilleton de l'Union du y passer, de l'autre côté, avec tous ces voie, puts un escalier menant au tablier, Idiots qui s'entêtent... Vous pouvez donc où une vole étroite était réservée aux pas revenir par chez vous, tas de serins ! piétons. Il soumit alors. Coqueluche la suivit, en se rapetissant — Sont-ils gentils I... Gomme ça obéit derrière le parapet. Bientôt, U était de bien I... mieux qu'au dolgl et & l'œil 1... l'autre côté du fleuve, au bord de la forêt. rien qu'à la pensée, les soldats de ce pays 1 Il s'y jeta, marcha le long de la lisière Le poste, ayant abandonné défloUifeet déboucha enfin sur une longue route, ment ses recherches, remontait le fleuve, toute droite, évidemment celle qui lui et comme l'avait si parfaitement deviné avait été Indiquée par le chef do la police. Coqueluche, apparaissait bientôt, sur le Il eut, alors, une dernière souleur : car tablier du pont du chemin de fer... traon avait laissé là un homme en faction. versait la Yarnlca... et allait rentrer Coqueluche falUlt se rejeter dans le bols, chez sol. et tirait déji son sabre. — Imbécile que j'étais! —• Faudrait tout de même pas qu'Us y arrivent trop tôt 1 11 n'avait qu'à se montrer fort tranquilIls étalent peut-être encore à deux lement, au contraire, et à marcher droit cents mètres. sur ce factionnaire, qui, aussitôt lui préCoqueluche eut tout le temps d'étaler, sentait ses armes, lui adressait môme la sur le chemin qu'Us allaient suivre, et parole, du ton le plus respectueux. son veston... gilet... sa chemise... ses Coi^ueluche ne broncha pas plus que godillots... aujtquels 11 adressa un pleur s'il comprenait, répondit du geste le plus ému : car avait-on trlmardé, ensemble 1 assuré et continua sa route, en se disant : Puis 11 se rejeta en plein champ ; et à — Plus que deux stades.... c'est bien meisure que les soldats s'éloignaient de la comme cela qu'U a dit, le gros pcrel. et l'affaire est ligne du chemin de fer, lut, s'avançait 'Une petite demi-heure 1 vers le pont. Au moment où 11 y arriva, U dans le sac 1 entendit des cris et put distinguer la IX masse des soldats, et probablement leur L e f r i o m p l i c du p o è t e officier, qui se penchaient sur ses défroC'était une délicieuse maison de gardé ques, puis qui s'élao^lent en plein ch^i^p, persuadés que l'homme avait filé dans chasse, bâtie en pleine forêt, avec tout Juste un Jardinet autour, perdue dans cette direction, et qu'un complice avait son cadre de chênes, de hêtres séculaires, dû lut apporter des vêtements de red'une végétation Intense. change. - - Pas moyen de s'y tromper l fit CoCoqueluche trouva, au bas du talus du queluche. chemin dô fer, une petite porte à oiaire- Les abonnements se faient d'avance, sauf conventions ils partent du 1" ou du iS de chaque mois. On s'abonne au bureau du journal. On peut s'abonntr également, sans frais, dans tous les bureaux de poste, ou encore en adressant un mandat-poste au Directeur, M. Armand GAUTIER, place Hervo, à QuimferU. eu bulgare n'est ni étranglé ni écrasé. Il reste supérieur à chacun de ses trois adversaires balkaniques, inférieur seuement à la Roumanie, perdant ainsi 'occasion qu'il avait rêvée, comme il en avait rêvé tant d'autres dans son accès de folie mégalomane, d'établir son hégémonie jusque sur ses voisins de la rive droite du Danube. Mais si la Bulgarie ne se résignait pas à sa défaite relative, si elle nourrissait des espoirs de revanche, les gouvernements roumain, grec, serbe, et monténégrin ont déjà esquissé un pacte d'assurance contre une politique offensive de la Bulgarie et, au besoin, contre les entreprises de la politique autrichienne ou italienne si elles devaient se traduire par des actes. Il reste encore à régler entre la Bulgarie, la Serbie et la Grèce la nT>stion des libertés scolaires et religieuses de leurs nationaux dans les territoires qui leur sont respectivement dévolus. Elle fera l'objet de tractations de gouvernement à gouvernement. Celle des indemnités de guerre relèvera du tribunal de La Haye. Mais les aulres problèmes dont la solution reste attribuée aux puissances, reviennent au premier rang et, parmi ceux-ci,l'évacuation d'Andrinople est un des plus difficiles à régler. Néanmoins il est probable que des mesures pourront être prises pour rappeler à la Turquie qu'économiquement tout au moins elle dépend de l'Europe. Quant aux îles et aux frontières d'Albanie, il faut attendre les résultats des réunions reprises à Londres par les ambassadeurs pour apprécier si ces questions ont fait un progrès appréciable vers l'entente désirable. Quant à la question des îles en particulier qui doit consacrer un accroissement considérable de la puissance maritime de la Grèce destiné à se développer encore par l'attribution du dodécanèse lorsque l'Italie l'aura évacuée, elle intéresse au premier chef l'équilibre méditérranéen, ce qui suffit à dire que son règlement ne doit surprendre la Triple-Entente par aucun imprévu et qu'il doit nous trouver, nos alliés, nos amis et nous, attentifs et unis. Georges LAURENCE \u Jour le Jour Dans "les B a l k a n s Le méconlentement, populaire bulgare relalivemenl au traité de tiuciiarest, con- C'étalt bien là qu'U devait trouver, ou attendre, la grande dame à qui U était chargé de dire : « Les trois vieux font dire à la dame qu'elle ne doit pas demeurer une seconde de plus dans le pavillon, et qu'elle doU rentrer à la ville, si, du moins, 11 est encore temps pour elle, d'y arriver au petit jour... Sinon, qu'elle continue son chemin!... qu'elle alUe Jusqu'au bout... Et nous, les trois vieux bronzes, nous avisons, et nous allons à elle !... » Une petite Inquiétude lui venait, à présent : Allait-elle parler le français, au moins?... — Oh ! oui, une dame, une grande dame... Hein, Coqueluche, quand tu voyais jouer la Tour de Nesle, au théâtre de Bellevllle, lu ne te doutais pas que tu en connaîtrais, toi aussi, un jour, des grandes dames !... et que tu risquerais ta peau à leur service!... Heureusement, l'acte du danger était passé ; et on devait le chercher bien loin, deIll'autre de laprévenir Varnlca. n'avait côté plus qu'à la belle dame. Et puis, lesté de ses cinquante jaunets, U gagoeralt la première gare et filerait vers la frontière... où ces messieurs si gentils, si généreux, ne manqueraient pas de lui faire tenir le reste de la somme. Mais ce détail ne l'intéressait plus que médiocrement : évidemment, neuf mille balles à recevoir encore, cela vaut de la considération... mais bien inférieure à cette Joie de faire le chevalier, d'être mêlé à une si mystérieuse aventure... et de sentir son àmo de poète s'éveiller A B O N N E M E N T S (VN AH) Quimperlé (ville) 6 fr Finistère et départements limitrophes e » Autres départements 7 — Colonies et étranger 10 — linue d'entretenir des craintes au suje de la stabilité de la paix qui vient d'être conclue. Les diplomaties s'emploient néanmoins à arrondir les angles et à ménager un terrain d'entente entre les divers Etats ballcaniques, en ce qui concerne le partage et l'attribution des territoires de l'ancien empire ottoman en Europe. — A la suite de la démarche dont avait été ctiargé par le gouvernement français le ministre de France à Bucharesi, M. Blonde!, auprès du roi Garol, en vufIf féliciter de l'heureuse issue de la giierr»*, le roi de Roumanie a adressé à M. f'oiacaré le télégramme suivant : Bucharest, 11 août 1913. — « J'ai reçu avec une vive .joie les félicitations que M. Blondel m'a transmises de votre part à l'occasion de la conclusion de la paix. .le m'empresse de vous remercier cordialement de ce témoignage de sympathie. 11 m'a été particulièrement agréable de voir combien en France on a apprécié nos efforts pour ramener le calme dans la péninsule balkanique dont la situation était devenue un objet d'inquiétude pour l'Europe. — Le bruit court que le tzar Ferdinand va quitter sa capitale pour effectuer un voyage en Europe de plusieurs semaines. Ce voyage serait commandé par l'état délabré de la santé du souverain. La reine accompagnera son mari. Le gouvernement italien vient de répondre aux ambassadeurs des puissances, à la suite de la démarche faite auprès de lui, en vue de l'évacuation des îles de la Mer Egée, que l'Italie détient un gage depuis la cessation de la guerre tripolitaine que la question de ces îles est réglée par le traité de Lausanne. D'autre part, la formule transactionnelle présentée par sir Edouard Grey, ambassadeur d'Angleterre, semble donner satisfaction à l'Ilalie qui gardera son gage jiisqu'à ce que la .Turquie ait exécuté les obligations que la paix italo-turque lui impose, dit-elle, en Tripolitane. L'Italie rendra ces îles à la Turquie qui s'en remettra aux puissances pour leur attribution définitive, étant sous entendu que oelle-ci doit être faite au profit de la Grèce. — L'Agence Havas publie le communiqué ci-dessous : « Le moment semble venu de mettre au point les renseignements contradictoires quiontétépubliés sur l'attitude respective des gouvernements français et russe dans l'ailaire de Gavalla. Aucun des deux n'a jamais demandé à l'autre le sacrifice de son point de vue. L'un et l'autre se sont toutefois constamment communiqué leurs sentiments à ce sujet. La Russie savait que la France inclinait à ce que Gavalla, ville grecque, fût attribuée à la Grèce. La France n'ignorait pas le désir de la Russie • d'assurer à la Bulgarie ce port sur la mer Egée. Les deux gouvernements savaient qu'aucun d'eux n'attachait à son opinion une importance telle qu'il eût à demander à son allie de faire le sacrifice de ses préfé- comme en ses plus belles nuits de Montmartre, lorsqu'il grimpait au haut de sa chère Butte, au pied du Sacré-Cœur 1... pour contempler Paris sous le soleU levant, et s'abandonner à son Inspiration. Ce n'était que la lune, pour le moment, qui pouvait l'inspirer, mais si brUlante, découpant chaque chose comme sous la la laeur à peine atténuée des globes électriques... — Un chic tableau ! falsalt-ll en dessinant dans l'air la silhouette du pavillon de chasse, un geste artistique, avec le pouce en l'air, comme II l'avait vu faire à un copain, rapln du marquis Caulalncourt. E l quels arbres !... quel ciel I... d'un bleu profond, Illuminé d'étoiles autrement éclatantes que celles de Paris 1... Ça pouvalt-U bien être les mêmes, ainsi qu'on le lui avait affirmé à l'école? Quel beau quatrain U eût composé là 1... — Mais c'est pas pour cela, mon Jeune Coqueluche, que tu te trouves, sur le coup de deux heures du matin, en pleine forêt... en face de c'te jolie cambuse... S'agit d'y entrer. Prudemment, par exemple !... II détacbaU son sabre... c'est-à-dire le sabre du lieutenant... qu'U avait laissé traîner jusqu'alors avec une Joie vraiment enfantine.... II poussait sans le moindre bruit la porte à claire-voie de la grUle qui était ouverte, faisait le tour de l'habitation, arrlvaU devant la porte princi pale, que la clarté de la lune lui permettait de bien examiner... un solide morceau, tout garni de ferrures, de pointes.., presque une porte de prison l . • , , - I rfiiiTs, les liTiilancfîs île la poiitiqu»* rAlt? (les puissances »tl les fuils (levant les i/illifT lous deux à l'une îles solutions. i^i queiiUun (le la revision étant aujouil hui tranché»; i»ar la négative, il n'y a pas il iusisler s u r celle ailaire. Ce qui est cerlain, n'est, ijiie j a m a i s l*; contact entre les lieux pays n'a été plus intime <|u'en ce moment. » — On annonce de Saint-Pétershourpr que MM. Sazonon et Delcassé ont ré^lé détinilivemenl dans le sens de son attribution A la (Iréce, le question de la ville de Ravala, sur la mer Egée. M. I»e|ca.s3é a communiqué à M. Sa/.o nofl' un long' télégramme de son goiivernemenl. au s u j e t de l'avance faite à Ja Turquie par la Bamiue Ottomane de la somme de 40 millions. — Le roi Charles de Roumanie vient de conférer k M. Poincaré le collier de .-ion i>rdre Carol 1 " . L e s élections de Rochefort A la suite de la suppression des diflérents services de la marine afférents à leur port de guerre, les habitants de Rochefort, tant élus qu'électeurs, ont décidé de faire la grève du scrutin. (;'est ainsi que dimanche dernier, M. ^ Houdilié a été, aux termes de la loi, élu conseiller général du canton sud en remplacement de M. le docteur Marianelli, démissionnaire, par 2ô voix sur û.834 votants, et MM. Rocheteau et Breil, également élus par 20 et 18 voix sur 5.834 inscrits, conseillers d'arrondissement de Rochefori, en remplacement de MM. Blanchard i!l Bougnon, démissionnaires. Hn raison des conditions dans lesquelles se sont produites ces élections, la préfecture a refusé de « proclamer » l'élection et a (léci.Jé de soumettre au Conseil d'Etal en vue d'en faire prononcer l'annulation, les résultais donnés, le 10 août, par le scrutin de ballottage, dans le canton sud de Rochefort. Aviation X>es triomphes de JBrindejonc Nous signalions dans notre dernier numéro, la promotion du glorieux aviateur Breton, Brindejonc des Moulinais, au grade de chevalier de la Légion d'honneur. Dès le lendemain de cette promotion, le roi de Suède a conféré au hardi pilote la croix de chevalier de 1'° classe de l'ordre de Wasa. — L'aviateur Brindejonc des Moulinais est parti mercredi de Marseille, à 9 h. 30, par la voie des airs, à destination de Dinard. Il compte effeçtu<îr ce voyage en quatre étapes : de Marseille à Montpellier, de Montpellier à Bordeaux, de Bordeaux à Angoulême, et enfin de cette dernière ville à Dinard. Vn be»u raid On signale de Rouen, qu'après une randonnée de 2.500 kilomètres sur un hydravion de 119 chevaux h. travers la Belgique, la Hollande, l'Allemagne et l'Angleterre, l'aviateur Levasseur, emmenant un passager, est parti mardi matin de Berk-Plage. Il a passé par Dieppe, Pécamp, Le Havre. Il a remonté la Seine, et s'est arrêté à Rouen pour se ravitailler. Il est reparti ensuite pour Paris. Hydroavions c o n t r e sous-marins Depuis quelques j o u r s ont lieu, k Venise, des manœuvres fort intéressantes entre hydroaéroplanes, torpilleurs et sous-marins. Tous les hydroaéroplanes avaient été mobilisés pour ces manœuvres. Ils devaient signaler la présence et la marche des sous-marins. On a constaté que ceux-ci ne sont j a mais invisibles pour un hydroaéroplane. Ils peuvent être toujours signalés, même s'ils naviguent à une grande profondeur. L e feu à un sous-marin En sautant sur des chilFons imbibés d'essence, un rivet chaud'é au rouge a déterminé un commencement d'incendie à bord du sous-marin Arai/o en stationnement au Mourillon, près Toulon. Une grande llamme s'échappa du petit navire, qui fut aussitôt entouré d'une épaisse fumée. Le foyer, activement combattu, grilce aux secours envoyés par la direction du port, put être rapidement éteint et les dégfits matériels ne sont pas très importants. Mais l'alerte a été des plus vives. L e s Conseils de revision M. Klotz, ministre de l'Intérieur, a adressé aux préfets une circulaire les invitant à présider eux-mêmes les séances des conseils de révision. Elle indique que les .opérations devront se poursuivre même le dimanche. L e k r a c h Deperdussin iNous avons annoncé l'arrestation J du constructeur d'aéroplanes et d'automobiles Deperdussin, tx la suite d'une faillite, considérée comme frauduleuse, dont le montant s'élèverait à 40 millions. Le tribunal de Reims vient, à, son tour, de le condamner à réparer les conséquences pécuniaires de l'accident d'aéroplane survenu au dernier concours militaire d'aviation de cette ville, et dans lequel le soldat Jarry fut tué par l'aviateur Prévost. La mère du soldat Jarry a obtenu lO.OOO francs de dommages-intérêts. Le tribunal de commerce de la Seine, présidé par M. Petit, a déclare l'ouverture de la faillite Deperdussin, à dater du r> àoût. M. ReyiKiud a été nommé liquidateur. Un canot à v a p e u r du « Condé » coxilé à Quiberon Au cours des manœuvres navales que la deuxième escadre légère a exécutées au polygone naval de Quiberon, la chaloupe à vapeur du croiseur Condé coulé à la suite d une voie d'eau. L'équip.'ige a pu être sauvé. La chaloupe a été renflouée p a r l e s remorqueurs de Lorient. Le contre-torpilleur Rapière s'est également fait quelques avaries et a dû rallier Lorient. 1,'escadre, qui a terminé hier ses tirs d'honneur sur le lonnprre, est rentrée à Brest mercredi. POUR ETRE CHIC voir à FASHION-HOUSE LORIENT Ses Chemises Ses Cravates Ses Chapeaux Prix inconnus Partout ailleurs TRIBUi^E LIBRE Celle tribune est ouverte à toutes les communications que l'on voudra bien nous adresser et dont l'auteur nous aura fait connaître son nom. Ces articles ne sont que l'expression de l'opinion personnelle de leurs auteurs et n'engagent en rien la responsabilité du journal. Monsieur J e vous prie de vouloir bien insérer ce qui suit dans votre plus prochain numéro : E n f i n ça y est ! Nos j e u n e s « Gaises » nos nouveaux conseillers ont élaboré une réponse, que nous trouvons dans ['Echo du 8 août. De l'avis de la cabaretière chez qui se tenait le concile, l'opération fut des plus pénibles. C'était le dimanche 3 août dans la soirée que ces conseillers du « dernier cri » se réunirent en une assemblée sensationnelle, afin de décider, s'il y avait lieu de répondre à. un article paru ici-même à la « Tribune Libre » du 27 juillet. La j o u r n é e n'avait pas été chaude : (élection au conseil général, un seul candidat) mais la nuit le fut davantage. Réunis dans une salle de débit, après maintes libations, le s u j e t fut promptement alîordé. Sortant un journal de sa poche avec l'article en évidence le premier le soumit à son voisin. Celui-ci se contenta de le regarder de cet air intelligent d'une oie qui aurait trouvé une paire de manchettes : il ne savait pas lire. Toutefois, reprenant quelque peu de ses esprits, il poussa du coude son voisin, au grand risque de lui faire perdre l'équilibre. Ce second, après avoir échangé avec son verre quelques* doux épancheinents consentit enfin à. tourner vers lui deux yeux en boules de loto; sans interrogation il articula péniblement qu'en efi'et il pouvait lire et môme écrire. Le numéro futpromptement remis sous son nez et après quelques efibrts pénibles pour se tenir droit sur son siège il annonça que oui, en efi'et, il y voyait bien quelque chose ; mais il ne savait pourquoi, il n'y distinguait pas très bien. Enfin il fut décidé purement et simplement que l'on enverrait l'article à M. précisément et que nous connaissons fort bien) et qu'on le chargerait de la réponse. Puis ceci réglé, la petite fête continua à battre son plein jusqu'à trois heures du matin. Par la fenêtre entre-baillée tout le bourg pouvait entendre ces voix avinées chantant h tue-tête et à tour de rôle des obscénités à faire frémir de vieux marins. Au refrain tous reprenaient en chœur ; mais chacun évidemment sur son petit air préféré. A un certain moment même la cacophonie fut telle que les chiens du quartier se mirent h. hurler ii la mort. C'était touchant. Quelqu'un était bien entré prétendant tout doucement d'abord et plus fort ensuite qu'il ne leur reconnaissait pas le droit de mettre ses oi-eilles au martyr attendu qu'ils lui appartenaient ; mais que pouvait sa faible voix contre une meute pareille. A l'aube cependant tout ce beau monde se mil en route, insultant les poteaux kilométriques qui ne se retiraient pas II leur passage, et les barrières qui ne s'ouvraient pas seules. Lorsqu'on est conseiller municipal de Saint-Tliurien que diable ! pourquoi aussi ces clôtures no se dérangeraient-elles pas à leur passage ? Seraient-elles par hasard réactionnaires ? Quant à la réfutation de l'article de l'Echo nous n'y perdrons pas grand temps. A propos de la gavotte d'honneur l'on parle surtout d'un bout de ruban qui coûte 30 centimes ; or l'auteur de l'article était un simple spectateur, son attention ne fut attirée d'ailleurs que lorsque sous les huées de la foule les deux ou trois polonais qui présidaient à sa distribution furent obligés de se retirer. Quant aux veuves non secourues nous le? connaissons et aussi ceux qui reçoivent h leurs places des gratifications. Dans tout cet article de l'Echo nous ne voyons qu'une chose : contradiction pure et simple sans un seul argument. Contra- diction simple et en iin mot qu'un perro- quet pourrait très bien apprendre : « Tu gracieuses j e u n e s filles, en toilettes superbes, se tiennent là autour de tables es réactionnaire et moi républicain. » ongues recouvertes de grandes nappes, Il est vrai que chacun de nos édiles se et c'est un frou-frou de soie moirée, de forge une République à sa peUte image. coiltes blanches, de fin mérinos. Pour l'un c'est le tremplin de l'honneur ! L'antique mode, paraît-il, voulait que Pour l'autre celui de la perpétration Vépouseur entonnât un chaiit spécial pour d'une vengeance inassouvie, suite de appeler sa « belle », que des compagnes vieilles rancunes, pour le plus grand nomcachent. Mais non, cette chose si simple bre le moyen indispensable à satisfaire sa n'a pas lieu, et l'on s'asseoit tout bonnecupidité. ment en faoe de certaines friandises : pain de Savoie, galettes au sucre, biscuits Mais que voulez-vous ? C'est la leçon du secs et pâtes brisées, que l'on arrosera grand « Maître absolu ». tout à l'heure de Champagne. En voilà encore un qui aurait bien pu Elle montre enfin, sa figure rose, la gengarder sa mauvaise graine dans son proiille « douce ». Sa toilette^ est exquise^ pre jardin. Une longue fieur d'oranger.^'qui prend auV bon entendeur Salut ! dessus de son sein gauche, tombe sur son ' lablier blanc aux moires délicates et légèf ' "Un groupe res. Autour de son col à la mode de Pontde Républicains démocratiques. Aven, court, en fintj guirlande, le superbe virginal, il grimpe vers la coifie aux rubans d'un bleu diaphane, pour retomber en tronçons amincis le long des reins, sur une j u p e en velours noir. h'Ècho de Bretagne, organe du triste L'une des dpmoiselle>s d'honneur, qui l'an dernier encore n'était qu'une "lillette fantoche qui nous tient lieu provisoireravissante, sourit à la ronde. Plus tard ment de député, et pour quelques anelle sera vraiment belle, et, quand son nées de conseiller général, n'a pas encore tour viendra de convoler en j u s t e s noces, digéré le très mince succès dans les camil me semble que j'aurai plaisir à la pagnes ni la défaite dans la ville de son regarder mieux. candidat aux dernières élections. Il contiMais l'heure est venue d'aller voir monnue donc à dégorger son venin sur tous sieur le Maire, et c'est sous une averse ceux qui n'ont pas été des siens pendant cinglante qu'il nous faut partir. Le défilé la campagne électorale. L'Union Agricole du cortège perdra beaucoup de son charme, à cause des parapluies qui case respecte assez pour ne pas suivre chent les minois roses, et les beaux juz l'Echo dans une polémique aussi grossière. p o r s blancs des demoiselles risquenl Bavez ! Bavez 1 Echo de Bretagne, dépenfort d'être maculés de boue avant qu'arsez dans votre feuille de choux toute la rive le soir. salive que Jules économise à la Chambre, jusqu'à l'avarice (ce dont nous ne pouvons Onze heures. Bras-dessus, bras-dessous du reste; que le louer, car cela lui évite maintenant, les mariés sortent de l'église de sortir les aneries monumentales dont et passent sous des fiots de rubans multiil est coutumier), mais de toute cette colores tenus par de vieilles femmes. bave répandue sur les uns et sur les auToute la gent miséreuse du bourg est là tres, soyez persuadé qu'il ne restera rien : sur cette place, et des mains se tendent le coup de ijalai de l'an prochain en aura et d'humbles voix psalmodient j e ne sais raison ainsi que du grotesque soliveau quelles tristes prières. Sous les ondées pour qui vous coassez si surabondamcinglantes, ils se courbent, les épaules ment. rentrées et la mine souffreteuse, pareils à L'Union Agricole. ces loques humaines qui n'attendent plus que l'heure de la décrépitude finale. Par pitié, on leur donne des sous et ils se retirent en remerciant, pour regagner des taudis sombres où, du moins, il ne U i V E j ^ O C E pleut pas. M a r d i . — Presque sous m^s fenêtres, Arrêté, une minute, le cortège reprend depuis hier, c'est un remue-ménage de sa marche et s'engoufi're chez une merfemmes. On va niarier la demoiselle de cière. L'usage veut, en efi'et, que les garma plus proche voisine, et ce gros événeçons paient aux filles de larges rubans ment a mis en branle toutes les matrones roses que ces dernières, séance tenante du quartier. Deux cents personnes au épinglent à leurs corsages, en sorte qu à moins seront de noce et, pour le repas la sortie les couples sont plus gais. Des sardanapalesque qui se prépare il a fallu causeries s'entament, des lazzis s'entrede toute nécessité, recourir aux bons officroisent et parmi celte j e u n e s s e rieuse, ces des unes et des autres. Elles ne depeut-être, déjà, quelque chaste roman mandent pas mieux d'ailleurs, ces fem^ d'amour commencera-t-il d'éclore. mes : la plupart, en efi'et, sont bien pauChez la nouvelle mariée, pour la deuvres et cette perspective de bombance xième fois, il faut manger des gâteaux et n'est point faite pour leur déplaire, aussi boire du vin. D'ordinaire, cette collation travaillent-elles avec courage. se fait à la p o r t e , mais aujourd'hui AU PROGRES Maison QUETTIER 55, rus du Port — LORIENT (à droite en descendant la Bove) LA P L U S ANCIENNE LA P L U S I M P O R T A N T E LA M E I L L E U R E MAISON D'HABILLEMENT Maison de Confiance consacrée 4 5 ans de Succès par Dernière Réponse T E R t ^ E D ' f l J O H C S Dans un hangar voisin, les chaudrons s'accumulent et des plats, par piles énormes s'entassent. Aux poutrelles enfumées, des veaux pendent. Un porc grogne sourdement dans un coin sur la paille, et un bœuf placide attaché dehors, rumine sans savoir que tout à l'heure la grosse masse du boucher va l'étendre sur le sol. Des torchons blancs passés à la ceinture, les femmes en travaillant bavardent. Elles causent de tout et de rien, et leurs voix en notes grêles m'arrivent, confuses comme un bourdonnement d'abeilles. Dans sa chambre, la future mariée j e t t e un dernier regard à ses habits de lioce. Ils doivent être beaux, sans doute, car elle est riche. Son profil nettement se détache sur une blanche muraille ; sans être précisément belle, elle est bien jolie avec ses cheveux noirs ébourifl'és sous un serre-tête en soie bleue. Ses j o u e s pleines ont l'exquise fraîcheur des pêches mûres, encore humides de rosée matinale. Elle ne sourit pas ; elle paraît même soucieuse et presque grave. Peut-être essaye-t-elle d'entrevoir de quoi sera fait demain. 11 sera fait de beauté, de j e u nesse et d'amour, paysanne jolie. Femme d'abord, mère ensuite, et mère heureuse j e veux le croire, tu regarderas passer les ans. Puis la maturité viendra, tes tempes grisonneront un peu et plus tard, bien plus^tard, comme d'autres femmes tes devancières, tu seras une petite vieille toute cassée, déjà prête pour la tombe. M e r c r e d i . — Pour cette noce de ma j e u n e voisine la Névézienne, j'ai arboré le chapeau de paille des gars bretons. Dans le vieu.v bourg paisible, les trains ont déversé déjà une foule d'invités, venus de Trégunc, de Riec, de Nizon, de Pont-Aven et d'ailleurs. Tout ce monde, en belle toilette, se promène de droite et de gauche, s'éparpille sur la plaôe très ombreuse, se répand dans l'église ou se faufile dans les auberges. Il y a même des petits qui sont venus et des petites, des bouts d'hommes étonnés de se voir en culottes et des blondines aux cheveux d'or, un peu gênées dans la tenue de fête qu'elles portent sans doute pour'la première fois. Tiens ! Le futur marié ! C'est un j e u n e homme solidement pris dans une veste noire toute garnie de velours. Accompagné de sa sœur et de son beau-frère, suivant une coutume ancienne, il se rend chez sa « douce » pour manger des gâteaux et boire un doigt de vin. Tous les guenilleux des bourgades environnantes le suivent à distance, par politesse. Ils auront leur part de noce aussi et, tout à l'heure, au passage du cortège, des aumônes tomberont dans leurs coiffures graisseuses ou eurs sébiles grossières. 11 s'annonce bien mauvais, le temps, pour cette noce. Sur le ciel gris courent de gros nuages noirs, précurseurs d'averses prochaines. Il brume môme déjà et des parapluies s'ouvrent. Entrons donc chez les parents de la uture et montons dans s a chambre. De c'est impossible. Tout est im^^-ossible d'ailleurs, môme la d a n s e . Alors les groupes s'éparpillent pour flirter à' 1 aise dans les auberges voisines, car la demeure des nouveaux époux est absolument prise par des tables qui n'attendent plus que l'instant du repas. "Il arrive enfin, cet instant ; aux sons d'un canti.que, les binious l'annoncent. Que chacun donc en hâte cherche sa place et que les filles se mettent auprès des gars. Moi, c'est en plein grenier que j e me trouve avec une foule d'autres. On m'avait bien ofi'ert un siège dans la chambre d'honneur, mais j e n'en ai point voulu, sachant que là une étiquette stupide retient les langues "et vous empêche d'observer. Sous la toiture où l'eau clapote, nous sommes une soixantaine assis sur dea bancs longs qiii fléchissent, mais hélas ! point de pichets anciens ni de belles chopes en faïence peinte ! Toutefois, e l c o m m e compénsation, l'àme bretonne plane 'en ce lieu. Aucun costume de ville ne s'y trouve, aucune parole de « gallec » entre les convives ne s'échangent. D'accortes paysannes vous servent avec des sourires gentils et, quand sonne l'heure des chansons, des complaintes retentissent, toutes pleines encore de la grâce un peu sauvage de l'antique Breiz-Isel, Et puis les histoi res commencent, des histoires d'autrefois sur le mariage, la mer, les anàons et la mort. Cependant il faut descendre, danser quand même entre deux éclaircies, pour vite se réfugier sous un hangar voisin aux premières gouttes des diluviennes averses. — Oh ! mais, dit tout à coup une demoiselle, nous avons la salle de Marie-Çoise. La salle de ,Marie-(;oise ! Personne n'y songeait vraiment, bien qu'elle fût à deux pas. Vite donc, allons chez cette brave dame avec les binious. Par e.vemple, elle est un peu petite pour tout ce monde, la salle de Marie-Çoise ! Mais c'est égal, en se serrant, on arrive à y exécuter quelques gavottes, un « jabadao » et même un « stoupik-vihan » des plus comiques. Puis un phonographe entame une marzurke et des paysannes rieuses s'exercent à cette danse de caractère. ICst-ce un bien ? Est-ce un mal ? J e n'ose me prononcer encore, mais ce serait évidemment un mal si le pathéphone venait à détruire pour j a m a i s chez nos campagnards, l'amour des gavoltes et l'oubli des binious. Maintenant c'est le soir ; il ne pleut plus, mais l'heure du départ pour quelques-uns a sonné. Autant dire que la noce est finie. Il ne reste là que les gens du bourg en train de payer leur écot et de boire un dernier verre. Chez MarieÇoi.se, les garçons et les filles mazurkent encore, plus élroitement enlacés à me s ire que baisse le crépuscule. Mais où sont-ils donc les mariés j e u n e s et beaux. En silence ils sont partis vers le bonheur et vers l'amour.... Pierre KERMADEG. SaROHIlDE REmOHiLB Promotion violette Dans la promotion violette qui a parue hier à l'Officiel, nous relevons les noms de M. Pelluet inspecteur primaire à Quimperlé, promu otTicier de l'Instruction publique. MM. Besançon directeur de l'école primaire publique à Rosporden, Nicolas directeur de l'école de pêche de Concarneau, Kéruzoré directeur de l'école primaire publique de Scaër au grade d'officiers d'Académie. Ecole pratique de Laiterie de lierliver Les examens de Sortie des élèves de l'Ecole pratique de Laiterie de Kerliver ont eu lieu le 5 août, sous la présidence de M. Cirosjean, Inspecteur Général de l'Agriculture. IG élèves ont obtenu le diplôme de l'école. Ce sont : Mlles Férec, Sanquer, Callec Le Bihan, Colin, Roignant, Landrein, Rosmorduc. Le Gall, Bouard, Jan, Le Borgne Emzivat, Gourmelon,. QuélTélec, Bourlet. Une médaiUe de vermeil a été demandée à M. le Ministre de l'Agriculture, pour Mlle Férec ; des médailles d'argent, pour Mlles Sanquer, et Callec ; une médaille de bronze pour Mlle Colin. La médaille d'argent offerte par M. Louppe, président du Conseil général, a été attribuée à Mlle Le Bihan ; la médaille de bronze olferte par la Commission administrative de l'Etablissement, à Mlle Roignant. Les examens d'admission auront lieu le deuxième lundi d'octobre. Pour tous renseignements, s'adresser à l'école, à Kerliver, par Hanvec. Coiieours de poulinières Par décision du 12 juillet 1913, M. le ministre de l'Agriculture a fi.xé comme suit, la composition du J u r y chargé de décerner les primes au concours de poulinières qui doit avoir lieu à Quimper, le 8 septembre prochain : MM. L'Inspecteur général des Haras du 3° arrondissement ou son délégué, président ; Le Colonel, commandant la circonscription de remonte militaire de Caen ou son délégué ; Corme, vétérinaire départemental ; Fenoux, conseiller général. Membres suppléants : MM. Soulière, professeur départemental d'agriculture ; Le Moal, vétérinaire à Quimper. Quimperlé Condamnation. — Guernalec Jean 37 ans sans profession ni domicile fixe, dont le casier judiciaire est orné de 10 condamnations a été condamné pour vagabondage à six mois d'emprisonnement. Théâtre des Folies JSavraises. — Hier soir devant un public nombreux, le théâtre des Folies Havraises (Direction Débris) a débuté par Le Maître de Forges. Cette pièce interprétée d'une façon p a r faite par les excellents acteurs que possède la direction, à été très goûtée des spectateurs, qui ont manifesté hautement leur enthousiasme. Cet excellent début ne peut être que de très bon auirure pour le Théâtre Débris qui s'etforçera de son côté d'interprété devant les Quimperlois les nouvelles pièces à succès. Ce soir à 8 h. 1/2 Le Bossu ou Le Petit Parisien drame en 10 tableaux. Le théâtre des Folies Havraises est dans notre ville pour 15 j o u r s seulement. Etat-civil, — ^ah&anccs. — MargueriteMarie [.e Lang,2;^,placeSaint-Michel.—HervéLouis Le Gall, 3, place Guthiern. — Louis-René Bonlben, 4, rue .Mellac. — Françoise-Marie Bolou, place Saint-Michel. — Marie-Augustine Nigen, à Kcrstrado. — Marie-Françoise Le Muout, place des Ecoles. Publication de mariage. — Pierre-Louis Noblel, employé de chemin de fer à. Tours et Marie-Françoise Le Gall, sans profession, à Quiiuperlè. Mariage. — Louis-Marie Daniel, mouleur à Tréméveii et Marie-Miclielle Gardiec, sans profession à Quimperlé. Dt'cés.-Marie-Anne Tanguy, 30 ans, cuisinière, célibataire, i), rue de Pont-Aven. — Marie-Jeanne Ilerlédan, G3 ans. sans profession, veuve de Yves Tliiée et de Jean Guillou, route dc,l'onl-.\vcn. I.e Trévoux Coups. - Marguerite Le Naour, femme Fraval du village de Langor Le Trévoux, vit paraît-il, en très mauvaise intelligence avec sa voisine la femme Salaun, cette dernière sans motif aurait insulté et frappé la femme Fraval, qui se trouvait dans une position intéressante, celle-ci est allée immédiatementconsultéun médecin. La gendarmerie à ouvert une enquête. Kiec-sur-Itélon État-Civil. — ^'aissanccs. — Noblet Jo- sépliine-Anna-Lucia, du Moulin-Poulfanc. — •Marrec •Rene-^yrille, de Landemeur. — Nahé- lou Jean Louis-Ghîirles, de Kercô, — OlUvler Aiimi-Marie. do Landomcur. — Hnon i;.!orKes, (J« I.iirtdelolh.'ii». — Cunével l-iu'i<!-l...iiis.'. de Ponlbellfc. - His(iu;iy Louis-CiigôiK- Marif, dubourK-— '"'H'ilou mue, db Kercston. - Boulic .loséphine-Philr.rii^;iiPFrancint! d« l;i PorW^Neuve. — Petit.jean Krancine-.leanrie-FiiK'^nie, de Parc-Milincr. Cochennec Yves-.loseph, de Kerhad. — Huthon Marie-.losèphc-Aiina-Marceline, de Kerjoa. — Daniel Aliette-MaKaeleine-MarKUerile, de Kernivinen. — Le (iar ,If.st-i)hiiie-Cécile-Sinionne, de Kervégant. — Néliaz Uiiillaume-Alain-Kran(;.,.•, de St-Carrec. — Kannou Corentin-PierreYves, de Landemeur. Décôn. — Dervout Yves, marin-pecheur, ... ans, veuf de Marie-Philom^ne Morvan de Landelothan. — Piriou, anonyme (mort-né sexe masculin) de Kerorichen. — Cnadou Jean-Louis-François-Marie, soldat au 5- régiment d'artillerie coloniale, 21) ans (transcription). — Tanguy François-Marie, cultivateur, 49 ans, époux de Mélanie Penglaou de Kerlaouen. — Gourlet Marie-.Ioséphine, 3 ans, 8 mois de Pont Lagarde. - Le Bourhis MarieMagdeleine, sans profession, 79 ans, veuve de Joseph Naviner de Lannéguy. Cycliste et Médecin — Allons, ne le tracasse pas mon ami, dans 8 j o u r s la pelle n'y paraîtra plus. — Oh 1 ce n'est pas ma j a m b e qui m'ennuie, M. le Docteur, elle se racommodera toute seule maintenant ; mais les enveloppes de mon vélo ont été esquintées dans la bûche, il faudra que j e paie encore 12 ou 15 fr. pour en avoir d'autres. — Comment tu achètes des enveloppes à 15 francs mais c'est bien trop cher, mon garçon : une bonne enveloppe vélo, ça vaut 10 francs rien de plus. Si j e te faisais payer nia consultation d'aujourd'hui 40 sous plus cher que d'habitude, est-ce que lu en serais mieux soigné. , Eh bien, ton enveloppe k 12 fr. et meme à 15 fr. ne peut pas Être meilleure qu'une enveloppe MICHELIN vendue partout 10 fr. Crois-moi, les marchands qui refusent de vendre les enveloppes MICHELIN ou la chambre à air rouge MICHELIN et proposent d'autres articles plus chers ne cherchent qu'à gagner davantage dessus. Quand tu seras rétabli, va acheter pour 10 fr. une enveloppe MICHELIN à tringles. Si lu as dedans une bonne chambre rouge MICHELIN qui vaut 7 francs, lu pourras rouler tranquille. Tu n'as qu'à l'adresser à un marchand de vélos consciencieux, pour les a v o i r ; j e peux te citer entre autres à : _ „ Quimperlé : SELLIN, 7, rue Mellac ; LE MOALIGOU, 10, rue Brémond-d'Ars. ScaCr Etat civil du moia de Judllet. Naissances. — Bourvic Marie Catherine, de Neusiou. - Trévarin Louis François Marie, de Saint-Jean. - Morvan Louis Jacques .Marcel, du Bourg. — Derrien André René, de 'I reouzal. — Nicolas Henri Louis Marie, du iVjoulin du Pont. — Daéron Marie Françoise de 1 reouzal — Pichon René François, de Pont-.Meur. 7Tanguy Mélanie Marie, de Parc-niar. Ilenafr Jean Joseph, du Bourg. Favennec Simonne Marie Louise, du Bourg. - ï'û Dez François Louis Joseph, de Bodilin. — -lacoien Marie Jeanne, de Miné Guern Zu. — Le Ster François Léontine de Gleumerrien. Mariages. • Merdy Emile Marie et Tanguy Amélie Jeanne Marie. — Salaiin Yves Guillaume et Le Berre Marie Jeanne. — Lucas Yves et Le Meur Louise Isabelle. . , ,, Décès. - Moysan Madeleine, 9 mois, de boarem Vian. — Fournier Jérôme, 65 ans, célibataire. — Goroller Marie Renée, 8 ans, de Kerhuel. - Le Meur Marie Hélène, 06 ans, epouse Bertrand Christien, du Bourg. - Le Dez llenrj Marie, 3 ans, de Coadri. - Ollivier ^larie, Oa ans, veuve Le Gall. de Kerlen. - Ollivier b>ancoise, 12 ans, du M e r d y . - J é ç o u Jeanne Marie 11 ans, de Kergaouen. — Montorl Marie Jeanne 28 ans ép. de Yves Le Fur, de Pontigou. — Jégou Marie Louise, 8 ans, de Kergaouen. Lijour Rosine, 18 mois, du Bourg. - Le berrec Félix, 2 ans, de Glenmerrien. Lorient Conraes cyoliates. — Le dimanche 17 Août, aura lieu à Lorient une grande course cycliste, organisée par le VeloSport-Lorienlais et courue sous les règlements de r U. V. F. Nous avons au programme un grand match en trois manches, entre Le Masson de Brest ; Beyls de Paris ; Jacquard de Paris. _ Régionale, séries et finale, 20,10 et o tr. Interrégionale, séries et finale, 40, 25 et 10 fr. Course d'encouragement reservee aux coureurs n'ayant pas gagné un prix supérieur à 20 fr. Prix : 10, 8, 6, 4 et 2 fr. Donc belle journée en perspective. # TISANE TIbAINt SHAKERS AMERICAINE DES L E riBiwi.Kwi kc MEILLEUR i = Les mérites de la Tisane Améri- ^O^^Qf",® cainodes Shakers comme remède _ S pour restoniac ont été indiibi5 % tablement prouvés. L a dys^ % pepsio et la Tisane ne % sauraient exister ^ ^ # MESDARflES K VMM «tM M««/«tM R M M W , wrw^^mm^ « étMVM wmmiwmmf, 1 ionoui, I Mwv*. PRIERE AUX CONSOMMATEURS de la chicorée Extra Leroux d'en retourner les vignettes TOUS LES ANS AU 30 AVRIL à M. A. LEROUX à Orcliies (Nord). Les Vignelles non expédiées pour celle epo que sont valables pour les années suivantes. D'un goût exquis, d'un arôme agréable cette chicorée se Irouve dans toutes les épiceries. E ^ T E R L E § IMITATIONS s: r \ ' .-1 i)i:i(,n0 mal son remède," Tout mal de dos est une bonne raison pour soigner vos reins. Les ve'ms {vulg rognons) sont situés au bas du dos. Si le dos est faible, si on res sent de la gène, des élancements le malin en se levant ou en se baissant, les reins sont faibles, fatigués, ralentis, peut-être même blessés. Les reins ont suffisamment à faire lorsqu'ils fonctionnent normalement pour conserver le sang pur et chasser les poisons {acide vrique) aussi lorsqu'ils sont afiaiblis soit par excès de travail ou par refroidissements, soit à la suite d'écarts de régime ou par toute autre cause, ils ont vite fait de se ralentir au point qu'une simple faiblesse des reins peut devenir : gravelie coliques néphrétiques, goutte, r h u m a l i s m e , hydropisie albuminurie chronique ou mal de Brighl, que seul un docteur est capable d'atténuer et dont seul il peut quelquefois relarder l'issue trop souvent fatale Les Pilules Foster (Quimperlé : pharmacie Habrial) fortifient et remettent vite en état les reins faibles, ralentis ou congestionnés ; l'urine devient plus abondante ; les poisons qui irritaient ces organes sont ainsi vigoureusement expulsés. 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F]h bien, il existe un appareil 6ans ressort et sans caoutchouc, inventé par M. GLASER, spécialiste de Paris. Sans ressort, il est si souple et si léger que les personnes les plus délicates peuvent le porter .jour et nuit sans gêne. On peut affirmer que la ceinlure est pre.sque inusable et sa puissance est telle, qu il immobilise radicalement les hernies les plus volumineuses, les plus rebelles. Ajoutons qu'un système spécial donne à cet appareil une puissance cl élasticité, précieuse et constante et c'est là le secret de cette merveilleuse invention. Nous n'insi-stons pas davantage. Le doute est bien permis à ceu.x qui ont éprouvé des déceptions continuelles. Qu'ils viennent donc essayer cet appareil. Ils pourront ainsi se convaincre (|ue le soulagement est Imnfiédiat, et il leur sera démontré que grâce à l'a contention radicale et parfaite, tout espoir de guérison n'est jamais perdu, En voici une preuve 19 avril 1913. « Monsieur GLASr^R, <• Je suis heureux do vous annoncer ciue ma hernie a complètement disparu grâce à l'usage de votre merveilleux appareil. " J'ai obtenu ce résu tat malgré l'ancienneté de ma hernie et je vous autorise à publier ma lettre dans l'intérêt de ceux qui soulfrent. « Votre bien reconnaissant. MARTHET NoËL, à Plemeur-Bodou par Lannion (Côtes-du-Nord). Aussi engageons-nous vivement toutes les personnes atteintes de hernies, efforts et descentes (hommes, femmes et enfants), venir essayer cet appareil à : QUIMPERLE, le 10 août, llûtcl du Lion d Or et des Voyageurs. LORIENT, le 17 août, Hôtel de Bretagne. Pour éviter l'étranglement des hernies, demander la brochure gratuite à M. GLASER Boulevard Séhastopol, à Pans. C o i i t a i i c e s Un boulanger atteste l'efficacité du Trailemenl Normand Bénard Monsieur Améilée (.UGE boulanger à Surville (Manche), était atteint depuis longtemps d'ulcères varnipieux, le faisant cruellement HoullVir. Après avoir essayé en vain toutes sortes (le remèdes : eaux siiéciales, pommades diverses, emplâtres, etc., M. Luce vient d'obt.Miir une guérison complète en (|ucl(iues jours grâce au Traitemeiit Normand Rénard. <• Publiez ma guérison, nous écrit-il, alln de faire connaUre c.e |)récieux remède il c(!ux ([ui souffrent ! » Aussi conseillons-nouH à tous ceux qui sont atldiils (le Maladies île Peau, Eczémas, Dartres lîoutons, Ulcères, Plaies, Maux de Jambes, Vices (lu sang, etc., de demander à l'institul Normand, UH, rue Armand-Garrel, à Rouen, l'intéressante brochure explicative illustrée, hKiuelle contient tous les renseignements, cl est adressée gratis et franco. — Prix du traitement, 0 fr., T ' " Ph'". Franco, G fr. &). 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DEUXIÈME LOT A u bourg de S C A E R A r t . , 1 " . — U n e Maison d'iiabit a t i o n à usage de commerce, composée dé 4 pieces au rez-de-chaussée, 4 pièces à l'étage et grenier, ouvrant du nord sur la Grand'Rue par une porte et 3 fenêtres au rezde-chaussée et 3 fenêtres à l'étage. Art. 2. — Au midi de l'article précédent, une écurie et remise, cour avec passage par la petite ruelle en face de la maison Kersulec. Ces deux articles occupés par M. Bernard, débitant. Art. 3. — Au levant de l'article 1"'' et faisant corps de bâtiment, u n e a u t r e m a i s o n d ' h a b i t a t i o n occupée par Guyader, boulanger, composée d'une pièce au rez-de-chaussée, d'une pièce à l'étage el grenier, ouvrani du nord sur la Grand' Rue par une porte et une fenêtre au rez-de-chaussée et deux fenêtres à l'étage. Tous ces bâtiments sont couverts en ardoises. Ces trois articles figurent au plan cadastral de la commune de Scaër sous les n»» 1156 el il56porlion pour une contenance de 455 mètres carrés et d'un revenu de 375 fr. 82. Jouissance au 29 s e p t e m b r e 1913. Mise à prix fixée par le tribunal 10.000 fr. Pour plus amples renseignements consulter le cahier des charges en l'élude de M« MORVAN, notaire à Scaër ou s'adresser à M» FOURNIS, aVoué poursuivant. Pour insertion sommaire : Yves-Marie FOURNIS, avoue-licencié. Elude de M» Etchéoopar, notaire â Quimperlé ' A I . O U H R Pour le 29 Septembre UNE i9i4 FERME A KERVAVÉON EN RÉDÉNÉ de 20 hectares. Bien plantée de pommiers. S'adresser à M" ETGHECOPAR. Elude de M« Qaohet, notaire à Quimperlé ADJUDICATION AIMIABLE EN DBUX LOTS Le Vendredi 12 septembre 1 0 1 3 à 10 h. du matin DE DEUX MAISONS se joignant, sises à Quimperlé, place Lovignon (ancienne propriété Le Goll'). Mises »\ prix 3 . 0 0 0 rr.& 1.000 fr. Revenu global 000 fr. Faculté de réunion des deux lots. S'adresseç à M* CACHET. Modicité des de ses Produits Prix A ÉLASTIIIUES En tous Tissus et de tous Modèles Gabinet d'Essayage Ne rien acheter (surtout aux prétendus spêciaKstesdepassagé)avant de demander nos prix toujours très modérés pour ces Articles comme pour tous les autres produits. boulevard Sébastopol 3 8 , à Parist VENTE la qualité ASSORTIMENT CONSIDÉRABLE Cette infirmité effrayante par ses suites trop souvent mortelles, est arrêtée, prévenue, au point qu'aucun danger n'est désormais à redouter avec la méthode de l'éminent spécialiste M. J . GLASER, Eludes de m« Yves-Marie Fournis, avoué-licencié à Quimperlé, quai Brizeux, n®6, et de M» Morvan, notaire à Scaër^ pour ^CEINTURES H E R M E Aussi, avant d'acheter un bandage quelconque, les malades des deux sexes atteints de hernies doivent-ils demander à M. Glaser sa nouvelle et instructive brochure expliquant clairement comment la hernie se soigne et peut se guérir, et qu'il enverra avec la date de son pacsage dans la région. PHARMACIEN LAURÉAT Douches — Injecteups — Bassins de Lit — Urinoirs Etude de M'' Cachet, notaire à Quimperlé Adjudication Amiable LE JEUDI 2B AOUT 1913, à 14 En l'Etude de M' CACHET DE DEUX MAISONS se joignant, avec écurie en appentis, sises à Quimperlé, place Lovignon, n" /j, appartenant à M. Louis Colloberl. Revenu, 410 francs. Mise h prix : 7 . 0 0 0 fr. S'adresser à M" CACHET. Etude de M« Peyron nolfui'i; à Quimporlé A VENDRE Par Adjudication Volontaire LE VENDREDI 22 AOUT 1 9 1 3 à deux heures de l'après-midi • EN. L'ÉTUDE ET PAR LE MINISTÈRE DE M* PEYRON Etude de M» Péan de Ponfllly, licencié en droit, notaire à PontAven. A V E I X D R E EN TOTALITÉ OU PAR LOTS AU GRÉ DES ACQUÉREURS Diverses belles parcelles de terre sises à Kerandréau'Iioyan en la commune de Riec-sur-Bélon, en bordure de la route de Pont-Aven à Bannalec et bierx placées pour construire. Entrée en jouissance au 29 septembre 1913. S'adresser pour traiter à M. BLONDEAU, place des Ecoles, Quinjperlé. Et pour tous renseignements au notaire. Etudes de M« Le Clech, notaire à Bubry et de M« Le Gailo, notaire à Plouay (Morbihan). A V E N D par adjudication POUR CAUSE DE R E CESSATION DE COMMERCE UNE PROPRIETE L E MARDI 19 AOUT sise à iCéredey en Locanolé, comprenant : Maison d'habitation, bâtiments d'exploitation, terres bien plantées en pommiers, à l'exception des parcelles n»' 800, 801, 802, 814, vendues. Très belle pêche dans l'Ellé bordant la propriété. Jouissance par mains au 29 Septembre prochain. L'HOTEL DU GOMMERGt Mise à prix : 1 0 . 0 0 0 fr. En cas d'ofires sullisanles, on pourra traiter avan' l'adjudication. Pour tous renseignements, s'adresser à M'-- PEYRON, notaire. Etude M" Barbe, notaire ^ à Moëlan . Adjudication Volontaire JEn l'Etude LE IMMAACHE iil AOUT 1 9 1 » 1913 à 2 heures En l'Etude de M' LE GALLO notaire à Plouay DE PLOUAY tenu par M. Gosserez, comprenant : - Salle de café, salles à manger, salon, cuisine, 10 chambres, grand grenier, caves, écuries, remises, hangarS; cours et dépendances. Superficie 700 mètres c a r r é s . Situation exceptionnelle. — Pays de chasse et de pèche. 3iise à prix, 3 2 . 0 0 0 fr. avec facilités de paiement. Faculté de traiter avant l'adjudication. Le matériel de l'hôtel sera cédé à l'amiable ou à dires d'experts. Pour tous renseignements s'adresser à M" LE GALLO, notaire à Plouay. à 1 heure de l'après-midi Elude de M« Lavolé, notaire à Plouay au Bourg de MOELAN ADJUDICATION D'LIVE MAISON en face la Mairie, pouvant servir à tout commerce, avec écurie, remise, cour, puits el jardin y attenant. Mise a prix ; 2 0 . 0 0 0 fr. Jouissance au 29 septembre 1913. Elude de M" hugène Kerautret, licencié en droit, notaire à PontAven. Vente par Adjudication «MIABLE ET AUX EHCHÈRES PUBLIQUES ET EN L'ÉTUDE PAR LE MIMSTÈRE DE KERAUTRET L E MARDI 19 AOUT 1 9 1 3 à deux heures de l'aprôs-midi D'UNE PROPRIÉTÉ Située au bourg de N É V E Z Comprenant : maison à usage de débit eld'Iiabitalion, forge de cliarronage el jardin. Revenu annuel 735 francs. Mise a prix : 1 2 . 0 0 0 fr. Faculté de traiter avant l'adjudication. Pour tous rensei(ineinents s'adresser à M" KKnAllTRF/r, notaire à PontAven. __________ Etude de M» Le Clec'h, notaire à Guiscriir A UXE à VENDRE VOLONTAIRE En l'Etude et par le Ministère de M' LAVOLÉ Ifûtaire à Plouay LE LUNDI 25 AOUT à 1 heure 1913 Premier lot. — Une Métairie, située à Kerlégant, commune de Guilligomarc'h, louée à M. Boudic 550 fr. l'an. Mise.a p r i x : 1 5 . 0 0 0 fr. Deuxième lot. — Au bourg de Guilligomarc'h, une Maison et un Courtil, donnant sur la place du Bourg, contenant 5 ares 08 centiares, loués à M. Le Gruz, moyennant 80 fr. l'an. Mise à prix : 3 . 0 0 0 tr. Pour tous renseignements, s'adresser à M« LAVOLE, Notaire à Plouay. m i . FAVIER et GUILLEMOT, maîtres maréchaux-ferrants à Beuzec-Gonq, ont décidé d'appliquer, à partir du 1""' septembre 1913 le tarif suivant (tarif minimum) : Abonnement de campagne. 20fr. »» Forrure (ville e! campaune) le fer :.... 0 75 Ferrure d'àno, le fer 0 60 llelevage oe la f e r r u r e , • moitié du prix du fer. Saignée 1 »» Toilette 1 »» A partir du l"" j a n v i e r 1914 les gros fers el les fers de luxe seront payés 0 90 l'amiable PROPRIETE situéeàTré^nirizit^enGUlSCRlFF, d'une contenance de 13 hectares. S'adresser audil M* Le CLEC'H. On demande une personne sérieuse avec bonnes références, pour s'occuper d'une malade. S'adresser au bureau du journal. Elude de M ' Lavolé, notaire à Plouay L e s Adjudleation Volontaire LE Ef< L'ÉTUDE liE M' LAVOLÉ, NOTAIRE A PLOUAY LA Belle Propriité Rurale de P O N T - F O R I E C en la commune, près le bourg el, la gare de MESLAN. Contenant environ 83 hect. d'un seul tenant. Gisement de Koalin dans terrains avoisinant gare, route et ruisseau. Actuellement divisée en 4 fermes, baux résiliables en cas de vente. L'adjudication aura lieu en 4 lots avec faculté de réunion. Premier lot. — X.» ferme PiC»rda, 21 hectares 28 ares 54 centiares. Alise a p r i x : 2 5 . 0 0 0 f r . Deuxième lot. — X « ferme £X«a volé, 17 hectares 51 ares 28 centiares. Alise a p r i x : 3 8 . 0 0 0 fi>. Troisième lot. — h a f o r m e C a dei, 19 liectares 48 ares 80 centiares. Alise a p r i x : ; 3 5 . 0 0 0 f r . Quatrième lot. — X a ferme Mel legouarch, 24 hectares 39 ares 16 centiares. Alise ù p r i x : 2 7 . 0 0 0 f r . En cas d'ofi'res suffisantes on traiterait avant l'adjudication. Pour tous renseignements s'adresser à iM' LA VOLE, notaire à Plouay. Ktuiles ild IVl" Paul Morel, avoué licencié, 5, rue du Palais à Quim per et de IVl" Manière, notaire i Quimper. 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Le Fibrôme .E^iigcr ce portrait se développe peu à peu, 11 pèse sur les organes inférieurs. occasionne dos douleurs dans le bas-ventre et les reins. La malade s'allaiblit et les perles abondâmes la l'oroont à .s aliter presque coniinuelleinent. A f f V> V H f D V 9 A toutes ces malheureuses il faut aire et redire : Faites une cure avec H U I l l 17 l i A S U l X I l SJlMEDi 20 8EPTEMBi!Elâl3.à2titiurâ<; DE M A L A D I E S A Louer pour le 29 septembre PROPRIETE BOISÉE Écrire T. S. Jl au journal. O n d e m a n d e J r n ï e de 13 à t i ans, ayant certilicat d'études pour emploi de bureau et pouvant servir de garçon. S'adresser au bureau du J o u r n a l . CUiVRERIE, V E R R E R I E J . 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Annonces volontaires 26 o. Réclames BO o. La Loi de Oeleose NatiODale L a loi de irois ans est enfin volée et proinaljçuée. C'est un grand el heureux événement. Désormais, les autres puissances, celles qui nous sont hoUiles aussi bien que nos amies el nos alliées, savent que la F r a n c e républicaine, lout e a demeurant résolument pacifique, esl prête à tous les sacrifices pour détendre l'intégrité de son territoire, pour garantir les droits el la dignité de la patrie. Quand une démocralie s'impose librement les lourdes c h a r g e s militaires, fiscales et sociales qui résultent de la loi nouvelle, elle peut être fière d'elle-même et regarder avec confiance l'avenir. Ses rivaux et ses ennemis sont coQlraints de la respecter et de la redouter. C'est la garantie décisive de la paix. Lorsque l'Allemagne décida ses énormes accroissements d'effectifs, si nous avions maintenu le stalu quo, si nous avions accepté une situation d'infériorité aussi redoutable, nous pouvons dire s a n s exagération que c'en était fait de la F r a n c e . Sinon maintenant, du moins dans deux ans, dans cinq ans, dans dix ans, à une échéance plus ou moins proche mais certaine, nous n'évitions pas une agression qui paraissait sans risques. Nous étions à la m^^rci de notre redoutable voisine. Notre sécurité, notre existence n'avaient d'autres garanties que le bon plaisir de l'Allemagne. L e cabinet Briaod ne put se résoudre à envisager cette humiliante éventualité. Après avis du Conseil supérieur de la g u e r r e avis unanime el — il faul le répéter — rendu en toute indépendance, sans aucune pression du ministre de la Guerre, du président du conseil ni de M. le Président do la République, le gouvernement déposa le projet de loi tendant à établir le service de trois ans. Après la chute du ministère Briand, dont il faisait partie, M. Barthou a courageusement poursuivi l'œuvre entreprise. Il lui revient l'ho'ineur de l'avoir menée à bien, à force d'énergie et de talent. Etmaintenant, à nous, républicains, de la défendre i Les socialistes, en effet, ne se consolent pas du vole patriotique de la Chambre et du Sénat. Ils entendent combattre la loi nouvelle devant les électeurs. Ce s e r a , {'Humanité nous le déclare, leur plate-forme aux élections prochaines. Ils font appel d'ores et [30] Feuilleton de l'Union Agricole Coqueluche \ er par Pierre SALES PREMIiiRB' PARTIE . IX L e t r i o m p h e du p o è t e « — L'endroit est donc pas sûr... qa'oD a si bien lolgné la loarde ? Il gratta* doacement, contre le panneau... puis donna deux petits coups... Ainsi qu'on l'en avait prévenu, le paTilion devait être vide — à moins que la dame ne fût dej& arrivée et érltât de répondre?... Il ouvrit, et se trouva i peu prè« dans la noir; mais un rayon de lune, filtrant par le haut d'un volet, lui permit de constater qu'il était dans la pièce principale, peut-être la seule du rez-de-chaussée. — Hum ? fit-il doncemeat : hum ? Il ne reçut encore pas de réponse. — Bon !... y a personne... c'est comme au cbàteau de la belle au bols dormant. Il fit le tour de la pièce en tâtonnant, suivit les murs, les meubles, les sièges. Toujours personne I Il revint vers le milieu de la pièce, à l'aTeuglette, et se heurta k une table. Il ^ o r n e n t mb maina dessus, rencontra les JEUDI et Directeur : A r m a n d DIMANCHE GAUTIER RÉDACTION, ADMINISTRATION & ANNONCES A Q U I M P E R L E , Place Hervo. n' 8 bis Tifel.ifcp»HOIMK, N» 8 Adresse Télégraphique; Union, Quimperlé Les abonnements se faieni d'avance, sauf conventions ils partent du i" ou, du i5 de chaque mois. On s'abonne au bureau du Journal.'On peut s'abonner également, sans frais, dans tous les bureaux de poste, ou encore en adressant un mandat-poste au Directeur, M. Armand GAUTIER, place Servo, à Quimferlé. deja « aux travailleurs, aux vrais répul)licams, pour co'iibiitlro eu 1914, avec la même ard ur, les réactionnaires el leurs alliés radicaux ». La prétention esl bouffonne de la part de MM. les unifiés de nous décerner ou de nous refuser des brevets de répiihiicanisme. Dans la circonslance, d'ailleurs, ils ne réussiront pas à empêcher la vdrité d'éclaler à lous les yeux. Ils ont beau clamer : « Loi de réaclion ! » ils n'empocheront pas que la loi, présentée el soutenue par deux ffouvernemenls républicains, a été votée par une m;ijorilé incontestablement républicaine. La preuve en esl faite dans celle slatislique très précise où sont analysés les voles de la Chambre et du Sénat. A la Chambre, pour la loi, 358 voix; conlre, 204. Au Sénat, pour, 244 ; conlre, 3(5. Si on défalque de ces chiffres les socialistes unifiés et les conservateurs, voici les résultais : A la Chambre, pour, 289 ; conlre, 131. An Sénat, pour, 213 ; contre, '30. Enfin, si l'on veul ne tenir compte que des voix des quatre groupes de gauche de la Chambre el des deux groupes de gauche du Sénat, qui constituent la majorité républicaine sur laquelle doit nécessairement s'appuyer lout gouvernemenl, nous trouvons : A la Chambre, pour, 2 1 2 ; contre, 131. Au Sénat, pour, ITtî ; conlre 30. La loi de trois ans esl donc bien une loi républicaine, présentée par des réipublicains, défondue par des républicains, votee par des républicains. Nous tenons à le constater, moins pour en tirer un argument de polémique que pour l'honneur de notre parti, pour P'ouver que les deux termes «républic t i n s » el «patriotes » sonl toujours synonymes, el que nous n'abandonnons ni les traditions glorieusesdelaRévoIution française ni les enseignemonls des hoi-os de la Défense nationale ! I es réactionnaires ont volé avec nous dit-on. C'esl vrai. Ils ont fait leur devoir comme nous avons fait le n(Mre. M Clémonceau a heureusement répondu : « Quand nos soldais marcheront à l'ennemi, les républicains marcheront avec les réactionnaires. Il n'y aura plus ni républicains ni réactionnaires : il y aura des Fran(;ais. » Ajoutons que la loi de 1913 est encore une loi républicaine par les principes qu elle mainlienl. Elle organise, comme la loi de 1905, le service militaire «obligatoire » et « égal pour tous ». Si des retouches y sonl apportées, elles no lendronl pas, on peut en être assuré, , à rétablir des-privilèges au proiit de quelques-uns.Elle conservera son caractère démocratique. Mais nous ne nous bornerons pas à défendre la loi conlre les socialistes et contre les républicains qui en poursuivent avec eux l'abrogation. Ainsi que le disait justement M. Boudenoot, au nom de la commission de l'armée, celle loi nécessaire n'est pas une fin, mais un commencement On a été unanime à reconnaître que nous n'avions pas liré de la loi de UX)5 le maximum de puissance militaire que nous en pouvions légitimement attendre. Il importe de ne pas retomber dans les mômes erreurs. Au Jour le Jour quelques objets, dont un en métal avec un verre... — Unelanterne !...S1 c'est des gens précautioQDenx, la boite de flambantes doit pas être loin. Car faudrait qun je me rende un peu mieux compte, tout de même. La boite d'allumettes était bleu U. Il en craqua une, allnma la lanterne, et recom mença son Inspeclion. Il etatt dans une assez grande pièce, aux murs faits de troncs à pelae rabotés. La table du milieu, ainsi qu'il convenait au décor, était large et épaisse : un petit monument. Au mur, un lourd bulTet, chargé de vaisselle... une horlopte ancienne... un dressoir, très lourd aussi... et quelques sièges rappelant ceux des cabarets d'an tau. Coqueluche retrouvait un de ces décors plttoreiiques de vieux rorasins, dont 11 raffolait. Une porto menait A la cuisine, qui s'ouvrait sur le collier. Ët un petit escalier vernissé condnlsalt aux chambres. ~ Serait-elle là-haut, la dame ? Coqueluche eut un petit sourire égrillard : s'il s'agissait d'amour, en effet, ce devait être plutôt dans rintlmltô d'une chambre qu'on attendait?... Il monta doue au premier étage, où 11 constata l'existence de deux ptccea vldex, l'une «entant la famée et le coureur des bols, l'autre relativement coquette. — C'est la demoiselle qui loge par Ici I... et qui s'est défilée... comme le papa... pour que rien ne gêne le rendez vous... Ceci était dans l'ordre. — Donc, personne, personne du tout !.,. Ët la dame qui n'arrive pas!... Ah çal ah ç U . . . Coqueluche se grattait la nuque. — Voilà bien du temps de passé, déjà I... Gn m'a expédié pour gagner une heure... ou même rien qu'une demi-heure... et 11 fallait que je fasse filer la dame d'Ici : évidemment, pour que d'fiutres l'y trouvent pas... Et s'ils arrivaient tout d'un coup, ces autres!... Ta peau serait-elle encore en danger, mon vieux Coqueluche ?... 11 n'en avait pas peur, du danger I... Mais sa bonne étoile le protégerait-elle toujours ? Eu tout cas, 11 avait reçu les mille balles. Il tâtalt ce charmant rouleau. - Ça ne fait rien : j'aimerais autant qu'elle vienne tout de suite, la dame ! Il alla guetter, un Instant, sur le seuil du pavillon. Il ne distingua rien. Il rentra dans la pièce, et machinalement, s'assit devant la table, sur laquelle 11 posait son talpack, son sabre. Puis, d'un geste Instinctif, 11 fouillait dans ses poches... c'est à-dlre les poches de l'offlcler, mettait la main sur un carnet : i.'avalt il pas le droit de l'ouvrir, puisque c'était lui, pour l'instant, l'of- brables cartes postales qu'il avait vendues... mais pas celle du r o i . . Celle de la reine I... — Etait elle glroude, tout de môme, sous sa couronne avec son voile et son costume brodé 1 . . . A ce moment, Coqjueluche ne savait plus très bien si l'Image qu'il avait devant les yeux était réellement l'Image de la reine, ou celle de la carte postale?... car, en réalité, 11 n'avait guère aperçu que son Undau et son voile, et de très loin : au moment précis où la voiture de la relue était passée devant l'endroit où 11 stationnait, le brave Coqueluche était en train de se débattre entre les mains des policiers de Mosell. Mais Coqueluche était poète !...la figure de la carte postale s'animait... ses yeux luisaient... 11 voyait le sourire do ses lèvres... Bientôt sa main.. guidée par uue main Inconnua... l'Inspiration... lui faisait prendre le crayon placé au bord du carnet. Et l'ayant lout grand ouvert, ca carnet, et placé de travers, pour qu'il pût largement écrire, 11 traçait déjà ces douze syllables : ficier/ — Ç* sonne bien, ma foll... ou plutôt ça ne sonne pas... ça vous a un petit air graclenx... SI on ne craignait de se lancer des coups de pied dans les quilles, je dirais que ça sent son dix septième siècle,., ou son dlx.hultlème... dix-sept ou dixhuit... j'sals jamais au Juste... mais où on faisait des petites choses galantes l... i. A B O N N E M E N T S (VN AM) Quimoerlé (ville) Finistère et départements limi- trophes Autres départements Colonies et étranger s fr e 7 — io - du ministre. Un important service d'ordre avait été organisé aux abords de la gare. De nombreux landaus et autos stoppent (ii^ns la cour d'honneur. Amiraux, généraux, sénateurs, députés, conseillers généraux et l'onclionnaires sont conduits dans une déper.dance de lapare aménagée en salle d'attente, A 9 heures arrive M. Julien Sauve, sous-préfet de Bresl ; le chef de gare le reçoit et lui annonce que le train ministériel à 1 heure 50 de retard. Après trois quarts d'heure d'attente le train est annoncé, M. Massé est salué par le préfet du Finistère, le vice-amiral Cbochepral et toutes les autorités présentes. Après les présentations très courtes, le ministre monte en voilure. M. Poincaré à B a r - l e - D u c Le présideat de la République s'est rendu diinanclie à Bar-le-Uuc, accompagné de Mme Poincaré. Le Lrain présidentiel qui avait quitté Sampigny à 10 heures du malin est rentré en gare de Bar leJ>uc à 10 h. 35. AussiLùl, que le train eut stoppé, des salves d'arlillerie relent,issent en même temps que se font, entendre des sonneries de clociies. Le docteur Moulin, maire de Bar-leDuc, souliaile la bienvenue au chef de riital, qui est également salué par MM. • La première voilure est occupée par M. Jules Develie, Grosdidier et Ciiaries HumMassé, le préfet du Finistère, le préfet bert, sénateurs ; Maginol, Thierry, Lefé• maritime et le maire de Brest. bure et iNoël, députes de la Meuse ; les ' « Il appartient maintenant à l'admiEncadré par les gendarmes à cheval le bureaux du Conseil général et du Conseil nislration de la guerre de bien se servir cortège gagne l'hôtel Continental, M. d'arrondissement, amsi (|ue par le général de l'outil de premier ordre qui lui est Massé déjeune rapidement, puis reçoit Sarrail. Trois jeunes lilles offrent une successivement les délégations présentes. confié et de ne jamais le laisser rouil- gerbe de lleurs au président. Kn.-iuile M. Les réceptions terminées, le cortège se ler. Poincaré se rend k la prélecture où, sur reforme el se rend à l'exposition par les tout le parcours, il esL l'ulijiil d ovalions « Que l'application de la loi de trois rues Emile Zola et Amiral Linois. La visite enthousiastes. ans soit le signal d'une activité nouvelle de l'Exposition terminée, les personnaetd'un rajeunissement de nos méthodes Après avoir pris quelques instants de lités officielles remontent en voiture et repos, M. Poincaré passe devant les auto- gagne le hall Fautras, ou a lieu le banet de nos procédés militaires ; qu'on rités départementales. Il serre la main à porte sans tarder — en demandant s'il quet, comprenant mille couverts. Au la plupart des meml)res de ces délégale faut au Parlement les voies et moyens Champagne des discours sont prononcés tions. Le président se rend ensuite dans la nécessaires — notre matériel, notre arimr MM. Le Frapper, Louppe, Alexis Rolsalle du Conseil général, où se trouvaient mement el nos cadres à l a hauteur de land. M. Massé se lève, remercie tout d'aréunis les membres du corps enseignant, tous les besoins des armées modernes ; bord le comité de l'Exposition et prononce, les instituteurs et les institutrices ; à lous un discours. Des vivats et des applaudis•en un mol, que l'administration de la il leur serre la main. Les receplions tersements accueillent la fin du discours, guerre mette entièrement en œuvre minées, le président se retire dans ses line fois le calme rétabli, M. Massé contoutes les ressources qui lui sonl fourapparlemenls privés en attendant l'heure fère un certain nombre de décorations : nies. » du départ pour le banquet. Palmes académiques, officiers, d'acaTel était le vœu qu'exprimait au Sénat A 11 11. 15, le cortège se reforme pour se démie, chevalier du mérite agricole, ohejM. Boudenool.au nom de la commission .rendre au manège de cavalerie, où a lieu ^de l'armée. Nous nous v.associons de le banquel. Au dessert, des discours sonl valier du Cambodge, des médailles'd'ho'nneur du travail, des médailles d'honneur jtout cœur. El nous veillerons avec le prononcés par le maire de lUr-le-Duc, M. agricoles. Le cortège ministériel, se rend ^sentiment de nos propres responsabiliMaginol, dépulé, el M. Develie, sénateur. ensuite à la fête hippique, suivie d'é'lés, à ce qu'il ne demeure point lettre M. Poincaré, prenant alors la parole, propreuves sportives. Tandis que la fête nonce un discours vivement acclamé par morte. Charles CHAIJMET sportive se poursuit, M. Massé se fait les 1.200 convives, aux crix de Vive Poindéputé, conduire au pont Gueydon, où il s'embarcaré ! Vive la France! Vive la République! ^Membre de la Commission Centrale Exéciilive que sur la vedette du préfet maritime, du Parti républicain ilémocrati(]Uc. Vive la Lorraine ! accompagné des principaux personnages A 2 heures, le pré.sidenl quille la salle oinoiels. La vedelte appareille et gagne (lu l)anciuel, fait une visile à l'iiospice, ' Conseils Républicains la rade, ou des explications sont données inaugure les nouveaux biUimenls de l'Iiôau ministre sur les grands travaux de la L'heure a suiim'' pour tous les b0)is cHojjens pilal el remet 500 fr. pour améliorer Maon. La vedette accoste ensuite le Jeatilie se montrer, tle parler, et d'acjlr. fl esl l'ordinaire dos hospitalisés. Jlrrt. Le ministre et sa suite visitent les temps de pratiquer' une politiriue claire, A i 11. 1.Ô, le iirésident de la République parties principales de ce bâtiment. hii/ale et résolue. Il esl temps de réveiller quillail Bar-le-Duc pour rentrer à SampiM. .Massé a quillé Bresl à ."> h. 30 du soir les énertjies assoupies ; temps de protester gny avec Mme Poincaré. Il eu esl reparti salué par loules les autorités présentes. contre la sottise des résignations cl la lâcheté lundi à 9 h. -io pour Commère^ qui esl le ^ des découragements. Désormais il ne faut berceau de sa vie politique. A l'issue d'un plus gue les niasses soient abreuvées de fjux banquet de 1.000 couverts servi au maD a n s les B a l k a n s espoirs et nourries d'illusions ; désornuns nège de cavalerie, plusieurs discours ont plus de l'onnules creuses et promesses téété prononcés et à 2 li. 30 le président de L'horizon politique recommence à s'asmérairi's ! la liépublique reprenait le train pour sombrir de manière inquiétante dans les Sampigny. BnlUans, si on s'en rapporte du moins à HxlraiUJu (.liscoiirs do M. Raymond POINGARÉ à VAlliame llcpul>licaine Démocrniiijue l'agitation qui règne en ce moment dans les divers chancelleries. M. Massé à Brest C'est ainsi que le Berliner Tageblatt puLe meilleur moyen de servir l'Ecole M. Massé, ministre du Cominerec^ est blie un dépèche de Saint-Pétersbourg, laïque est encore d'y ramener la paix par arrivé à Brest dimanche malin. Dès 8 h.30 annonçant que M. Sa7,onoli; ministre des la pratique loyale d'une neutralité rassudu matin une l'ouïe nombreuse se diriAll'aires étrangères, a convoqué d'urgence rante pour les familles. geait vers la gare pour assister à l'arrivée Corentin GUYHO. les ambassadeurs d'Allemagne, de France 11 ne commettait pas, du reste, grande indiscrétion : car ce n'était qu'un carnet de service, avec des heures, des noms de soldats, Indications de manœuvres, de relèves de garde. Et ce n'était pas de vilaine curiosité non plus que de découvrir, dans ce carnet, une des Inuom- Duss6-,je !\ vos beaux yeux paraître ridicule... Il avait toujours été brouillé avec les dates. Peut-on d'ailleurs exiger trop d'exactllude d'un poète?... Pourvu qu'il fasse des vers ! Et le second prenait place tout de suite : Dussé-je m'attirer un regard do travers... - J'en al-t'y de l'Inspiration, c'te nuit I Dussé-je m'attirer un regard de travers. J e vais vous faire un don, un don bien minus[cule. — Tu parles, s'il esl minuscule !.,. quoique ron aie mille balles d'acompte... et neuf mille en perspective 1... Mais ce n'était la richesse, cela, que pour une petite Montmartroise. — Et à vous, madame, c'est une couronne que vous a offerte le beau vieillard I,.. Avec mol, faudra vous contenter d'une couronne de fieurs... et de mes pauvres vers... C'est vrai que j'ai lu quelque part que si les rois et les reines sont les fils aîaés des dieux, les poètes sont leurs cousins germains. Allons, mon petit, termine d'abord ton quatrain I... Car le quatrain, c'est pour commencer... t'iras bien jusqu'au sonnet, c e soir ! Il posait la carte postale contre le porteallumettes, bien éclairé par la lanterne. Et 11 reprenait avec enthousiasme : Diissé-Jc à, vos beaux yeux paraître ridicule, Diissé-je m'attirer un regard de travers. J e vais vous faire un don, un don bien minus[cule. Kl n'ayant rien de mieux, je vous offre m e s - .Vtoi, Rostand l d'Autriche, de Turquie, ainsi que les ministres de Roumanie et de Serbie. - D'après une note de source ottomane la Turquie occuperait la rive droite de la Marit/a si la Bulgarie ne cessait pas im médialement ses sévices sur les Turcs habitant cette région. D'autre part, une dépéclie officielle de Constantinople à Berlin signale que les Turcs auraient déjà mis leur menace exécution, et occuperaient déjii les terri toires bulgares autour de Gumuldskina. Par ailleurs, une activité fiévreuse rè gne autour d'Andrinople, de Kirk-Kilissé ot de Tcliadaltja : les Turcs s'attachent |)rjncipalement à fortifier ii nouveau ce dernier et important point stratégique. Les milieux politiques et diplomati ques ont éprouvé une vive impression " l'annonce du voyage du roi Ferdinand de Bulgarie- à Ischl, où il doit se rencontrer avec l'empereur François-Joseph. On se demande si ce ne seraient pas là les pré liminaires d'une abdication. — On annonce de Bucharest que le Conseil des ministres de Roumanie a dé cidé que la ratification du traité de paix aurait lieu prochainement. A Vienne, on croit savoir, d'autre part que Te traité de paix de Bucharest sera probablement communiqué aux puissan ces au commencement de la semaine. Les puissances e.\amineront s'il y a lieu d'y t'aiIV des modifications. — Mardi les Turcs ont occupé Kuchul KakyaU, dans la région de (iumuldjinn après en avoir chassé la petite garnison hulgarf, qui a perdu «luelques hommes au cours de l'engagement. — Los puissances confèrent au s u j e t des nouvelles démarches îi faire auprès de la Turquie, en raison de sa marche en avant en Thrace, mais on ne sait rien, à Londres, relativement à l'assertion contenue dans une dépêche de Sofia, suivant laquelle la Bulgarie aurait été informée que les puissances s'entendaient en c » moment entre elles pour contraindre la Turquie à respecter le traité de Londres — On assure que le ministre des Finances de Bulgarie aurait manifesté l'intention de chercher à. conclure prochainement à l'étranger un emprunt de GOO millions. Ministère des Afiaires E t r a n g è r e s M. Gérard, ambassadeur de la République près S. M. l'empereur du Japon est admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite. M. Regnault, ministre plénipotentiaire de 1 " clase, chargé de mission, est nommé ambassadeur de la République près S. M. l'empereur du Japon. M. Delavaud, ministre plénipotentiaire de 1 " classe, en disponibilité, est réintégré dans le cadre de l'activité et chargé de mission. L'affaire Deperdussin Tous les créanciers de M. Deperdu'fesin à l'exception du comptoir induslriel et colonial sont tombés d'accord pour faire opposition au j u g e m e n t de faillite rendu r é c e m m e n t par le tribunal do commerce Naufrage d'un Cinqu*ut»'d«nx paquebot victimes Le vapeur State of Culif'ornia, en pleine vitesse, a heurté un roc, dimanche malin dans la baie de Gambier. I l a c o u l é en cinq minutes. La plupart des passagers de 1 " classe n'ont môme pas eu le temps de se lever. Vingt-cinq passagers au moins et 27 hommes d'équipage ont péri. Le capitaine et AO autres personnes ont pu se sauver sur des radeaux. La cargaison et le courrier sont perdus. Un grêlon de 1 0 kilos La « Wiener Allgemeine » annonce un rare phénomène météorologique. En Hon grie, le comtat de Maros-Torda est actuellement ravagé par des inondations. Le village Erdoe-Szakal aurait été ravagé par des grêlons atteignant le poids invraisemblable de 10 kilos, par suite d'un vent violent agglomérant les grêlons. On signale aussi la chute de cinq blocs de glace, du poids de 50 kilos. L e collage des timbres En vue d'accélérer le timbrage des correspondances, M. Massé, ministre du Commerce, de l'Industrie, des Postes et des Télégraphes, vient de décider l'installation dans les bureaux importants de Paris et de la province, de machines- à timbrer à grand rendement. L'amélioration est importante ; mais pour que cet outillage nouveau et perfectionné donne le rendement maximum, il est essentiel que, sur les lettres qui se présentent au timbrage de la machine, le timbre-poste soit collé à la partie supérieure à droite des enveloppes, du côté d e i a susoription. Le public favorisera donc le timbrage (les lettres - ot il a tout intérôt à le faire — en pla(;ant toujours la figurine d'allranchissement sur l'enveloppe comme il est dit ci-dessus. LE PHENIX Compagni» Française d'Assuranoat sur la Vie. BimK»M*CraiVÉKA»SOJKTTIE AU CONTn6l.B DE L'ÉTAT. Assnra&oes en oas de décès et en cas de vie R E aNu xTt aEu xSles plusV Iavantageux. AGÈRES .S'adr«ii8r : tn Siéra BocltU & PAR I S, 33, Hu» Lâfaytttê, I i>a «oz Aftuto («niNox d«ui tout lei ArrondUismenti. M. Yves DAVID, Agent général, Boulevard de la Gare, Quimperle TERRE m D'AJONCS comgsE de l&endes k Msdumolselle Josèphs GOHABRé. Elle avait bien soixante-dix ans, cette bonne Kate), lorsque j e la connus. Le visage labouré de rides profondes, le menton en pointe de galoche, des cheveux d'étoupe souS un serre-tête d'autrefois elle évoquait les sorcières anciennes qui rôdaient le soir dans les landes et venaient heurter aux portes le j o u r de la fiMe des morts. Au demeurant, une excel lente femme et une conteuse admirable. Elle vendait des bonbons et des poires, des po[res bien jaunes, petites comme des nôties, et qu'elle faisait' j a u n i r dans la paille pour les rendre plus délicieuses et plus molles. A tous les pardons, on la voyait aux meilleures places, proprement vêtue malgré son indigence extrême, avec une grande coifl'e toujours blanche, le grand col des vieilles et l'antique tablier de « pillaous », fait de mille brindilles de laine patiemment assemblées. Et les enfants, qui la connaissaient bien, se pressaient autour de son petit étalage. Tous voulaient goûter à ses poires ou sucer ses berlingots. J'ai été un de ceux-là. Mais où j e la revois mieux, cette Katel, c'est dans .sa\chaumière de Kerantrec'h. (ili ! cette ctiaumière maintenant occupée par d'autres ! Elle dominait le bel étang de Rosporden tout plaqué de nénuphars, line porte branlante maintenue par des lanières de cuir, en voilait la mystérieuse pénombre. Quand on l'ouvrait, cette porte, des images pieuses vous arrêtaient une seconde. Elles se trouvaient là contre une cloison grossière, disposées au hasard ; le Christ mourant y coudoyait la Madeleine repentante et la Pèche miraculeuse de Tébéréade s'unissait au tableau du Dernier Juijenimt. Ensuite, peu à peu les meubles se dessinaient. D'abord une très ancienne horloge puis une armoire aux moulures naives, puis un banc-cofi're au pied d'un lit clos, et enfin, une table en chêne massif, poussée tout contre une fenêtre minuscule non loin de l'ùtre noir. C'est là, qu'aux tombées tristes des froids hivers, Katel nous disait ses meilleures légendes. Par exemple, personne n'aurait voulu pénétrer seul chez elle. On formait des groupes, les nuits de veillées. Le lieu de réunion était sur la place du Boulouard. Tous nous apportions quelque chose, du lard, du cidre, des pommes, des châtaignes et môme du pain. Ensuite, les garçons donnant le bras, aux tilles, nous nous acheminions vers sa demeure en sautillant pour avoir plus chaud. On babillait durant le trajet ; les j e u n e s .gens pinçaient les demoiselles, des j o u e s se frôlaient et parfois des rires gais fusaient, entrecoupés de soupirs. Chez Kate on s'asseyait autour de l'âtre sur des escabeaux vermoulus. Une chandeîle de résine éclairait mal la pièce,donnant aux reflets des ombres, des aspects de fantômes. Et la vieille se recueillait, un fuseau entre les doigts comme les fées primitives. Un m i t o u noir venait souvent rôder autour de nous et nous nous demandions souvent avec une petite pointe d'angoisse, &i cette bête de ténèbres n'avait pas quelque afié-^ rité mystérieuse avec cette femme si' vieille et si près de la tombe. Dans l'àtre la chandelle crépitait, i e vent hurlait au dehors et les chouettes en chasse lançaient des appels lugubres. Puis Katel enfin commençait. Elle commençait en « brezonnec » une de ces horiliantes histoires de revenants qui font dresser les cheveux sur la tête. Sa voix chevrotante avait des intonations sépulcrales et ses mains dressées comme devant quelque spectre terrible, lui donnaient une attitude inquiétante et tragique. Alors il nous semblait qu'une légion de revenants allait envahir sa demeure, que le diable en personne allait surgir de l'atre noir et nous nous serrions les uns contre les autres, glacés soudain d'un froid mortel... L'histoire finie, on respirait mieux et Katal, souriante, nous versait du cidre. Puis on faisait griller des châtaignes sous la cendre et les rires de nouveau éclataient vibrants et j e u n e s . Le terrible était l'instant du départ, dans la nuit, on se serrait beaucoup par crainte des anàons et une fois au lit, longtemps, longtemps, les histoires de la bonne Katel empêchaient le sommeil de venir. Où donc sont-elles toutes les vieilles conteuses de légendes •?... Définitivement enfouies sous la terre ?... Oh ! non, j e suis sûr qu'elles viennent encore rôder le soir autour des vieilles églises, des humbles chapelles et des tristes chaumières ; seulement on ne les craint plus et leurs pe tites fîmes demeurent sans voix... Pierre KERMADEC. CHRONlQDfi R B U L B lliiKM-uife des Cuiiiinissions <l'ncliat d'étuluiiM en 1 0 1 9 Les commissions chargées de procéder, en France, à l'achat des étalons de pur sang, de demi-sang et de trait pour la remonte des dépôts de l'Etat, en 1913, se réuniront aux dates et lieux ci-après : 3 Octobre et j o u r s suivants à Landerneau, sur le champ de foire, à 8 heures du matin. (Etalons de derni-sang ; étalons de trait de race bretonne). MM. les éleveurs qui désireraient présenter des étalons aux réunions de Landerneau sont invités à adresser; avant le 24 septembre prochain, aux Directeurs des dépôts d'étalons des ciroonsoriptions intéressées, les noms, les origines, les signalements complets et les performances, s'il y a lieu, des animaux qu'ils comptent soumettire à l'examen des commissions. ' Avis aux réservistes et territoriaux , Les hommes des réserves, sont informés qu'ils pourront à l'avenir déclarer leurs ctiangements de résidence ou de domicile aussi bien à la mairie ou dan§ les commissariats de police de leur nouvelle résidence qu'à la brigade de gendarmerie dont elle dépend. Celte mesure a pour but de leur rendre plus facile la déclar-ation dont il s'agit. Contributions Indirectes Par arrêté do M. le Conseiller d'Etat, Directeur général des Contributions Indrectes, en date du 14 août 1913, M. LeTollec, préposé à Brest, est nommé commis à Rosporden, en remplacement de M. Pinson, appelé sous les drapeaux. Remonte Pour e.xécution des ordres de M. Le Ministre de la guerre, le comité du dépôt de Guingamp se réunira à Plouescat sur la Place, le mardi-23 septembre à 7 h. .30 du matin. Des concours de primes de majoration aux chevaux d'armes (Artillerie) auront lieu à Rosporden, le 21 octobre, pour les départements de la circonscription du dépôt d'Hennebont ; à Ladivisiau, le 23 octobre pour le Finistère, circonscription de Lambaile. En plus de la commande normale le comité achètera dans les localités désignées ci-dessus des chevaux de 5 à 10 ans dans les catégories suivantes et aux conditions énumérées ci-dessous. Chevaux de selle pour la troupe : Dragon, Légère, Artillerie type dragon. Chevaux de troupe d'artillerie : Batteries montées. Age de 5 à 10 ans. Pas de maximum de taille, minimum 1 m. 52. L'estimation sera basée sur la catégorie et la durée probable des services ; quant aux juments, celles ayant tous les caractères d'animaux en plein travail seront seules admises à une majoration de prix. Celles conservées jusqu'alors à la reproduction devront y être maintenues dans l'intérêt de l'élevage et ne répondant pas d'ailleurs à la condition de mise en service immédiat à exiger des chevaux à acheter. Les éleveurs sont invités à présenter leurs chevaux eux-mêmes. Sapeurs-Pompiers Par décret en date du 4 août courant, M. Rivier Jean, domicilié au Huelgoat, a été nommé Sous-lieutenant à la subdivision de sap'ouî's-pompiers de Huelgoat. Instruction Publique Par arrêté de M. le Ministre de l'Instruction Publique et des Beaux-Arts, en date du 12 août courant, M. Albert Rose a été désigné pour remplir, pendant l'année scolaire 1913-1914, les fonctions de répétiteur de langue anglaise à l'école normale d'instituteurs de Quimper. T a x e sur les Gardes Chasse La loi de finances du 30 juillet 1913, institue une taxe annuelle sur les gardes chasse dont l'assiette est confiée au service des contributions directes. Les personnes ayant des chasses gardées devront en faire la déclaration avant le 31 août courant, à la Mairie de la commune où sont situées ces chassses. l/l'lxposition Bretonne d'Hennebont Kou croyons devoir rappeler que nous ne sommes plus qu'à une quinzaine de j o u r s de l'ouverture du Congrès de la Fédération Régionalisle de Bretagne. Nos lecteurs se rappellent que cette société où sont inscrits tant de bons bretons désireux de travailler au relèvement intellectuel et économique de leur pays, organise une exposition à l'occasion de son congrès d'été qui a lieu cette année dans la gracieuse ville d'Hennebont du 24 août au l " septembre. Celte exposition a pour but de faire connaître et par suite apprécier les produits bretons de toute nature, non seulement chez nous, mais aussi dans toute la France et même à l'étranger. Ce qui nuit en efl'et le plus à l'industrie de notre pays, n'est que nos fabricants se fient trop à la supériorité de leurs produits et ne font pas suffisamment de réclame autour d'eux. Ils se laissent distancer par leurs concurrents extrarégionaux. L'exposition Bretonne est une occasion unique oll'erte à nos industriels pour se faire connaître. Les Objets seront reçus jusqu'au 22 août inclus par M. Bigot, délégué local de l'Expiisitioii lîn^tonno d'Hennebont. Pour tous rensoignemcnts s'adresser à M. Mocaër, commissaire général, 54 rue de la Comédie, Lorient. Chaque boîte 1 kilogramme brut ou net. Sucre de luxe Chantenay, chaque boîte 1 kilogramme brut ou net, Sucre scié rangé Chantenay, carton cuir, boîtes orunes (genre Paris), contient un ticket prime. 30 tickets prime donnent droit à 1 kilogramme brut ou net SucTe Chantenay. Le Sucre Chantenay est le plus blanc, le plus pur, sucre le mieux. ^ Quimperlé XHaiinction honorifique. — Dans la liste des médailles d'honneur du travail, décernées lors de la visite de M. Massé à Brest, nous relevons le nom de M. J u l e s François Thomas, le sympathique chef de gare de Quimperlé, auquel nous adressons nos meilleures félicitations pour cette récompense si bien méritée. Ecole primaire supérieure de Jeunes ûlles de Quimperlé. — Voici les ."ésultats obtenus aux examens pendant l'année scolaire 1012 1913 : M. Pieri^ Péron, au service de M. Louis Caëric, propriétaire agriculteur à Kerlescouarn, présente une piqûre s e p t i q u e à la région thénar de la main droite, faite avec une dent de fourche. Ces lésions produiront pour les blessés plusieurs j o u r s d'incapacité de travail. MM. Nigen et Caëric sont assurés à la Cie Générale d'assurances contre les accidents. Bannnlec Grave accident de motocyclette. — Mercredi dernier, apro? .-ivoir quitté la foire de Bannalec, M. Couloaarn, agent Houruft.': d'enxcini.ement piimaim stupcrieiir.— d'assurances, filait en mot^isur Kernével ; ayant dépassé ce bourg avant d'arriver à 10 élèves roçiifiâ ; Mlles Le Bihan. de l'île de B;itz ;Callec Gabrielle, de Hoscofï'; Kérenneur, la Grande Boissière, il descendait à une ' do Lainbé/.elicc. ; Talloc, de Pont-Aven: Pérou, pelite allure la pente douce qui aboutit au do Tclgriic ; RO.SIIRI. rie Hanvoc ; TaiiKiiy, lerrible tournant de la route de KerBratian, Le SaiiK, de Quimperlé ; l.e Page, de louann (|u'il méconn.iissaitpresque, il ne Plonévez-Porzay. put virer assez vite et sa moto alla s'éBrevet élémentaire. — 38 élèves reçues. craser contre le talus. Par un hasard miSession d'octobre ; Mlles Burban. de Quimraculeux M. Coulouarn n'eut que des conperlé ; Castrée Blanclie, de Piogon' ; Hasroét Jeanne, de Douélan ; Renaud d'Audierne ; Putusions peu graves, sauf complication, ren, de Larmor. au.'< j a m b e s et aux bras. Un cycliste M. Session de Juin : Mlles Baupuion, de GloCoohennec de Quistinnic le suivait, il le hars ; Le Blan, d'Audierne ; Boënnec, d'Arfil conduire en voiture à Rosporden ou il gol ; Bourlôs, du Faou ; Boussard, de Crozon ; fut pansé par le docteur Richard qui lui a Briant, de Landerneau ; Brenneur, de Quimprescrit un repos de 15 j o u r s provisoireRerlé ; Gaill, de Lannilis ; Callec Marie, de ment. Inutile de. dire que Coulouarn est Roscod' ; Castrée F.mma, de Pl0f,'0rt' ; Coroller assuré contre tous ces accidents. On ne Hosalie, de Penmarch ; Dumoustier, de SlPierre Quilbignon : Flécher,, de Clohars; Floch compte plus les accidents survenus à cet de Tréboul ; Gloux, de Concarneau ; Jourdrin, endroit, il y a quelques années un comde St-Pierre Quilbignon ; Kerspern, de Rosmerçant de Bannalec faillit mourir étoufté porden ; Lemaire, de Pont-Aven ; Mens, d'Audans une mare voisine où sa voiture avait dierne ; Meunier, d'Arzano ; .Moulin, de Brest; versée. Depuis on se tait et nul ne songe Nédélec, de La Roclie-Maurice ; Nilias, de à avertir d'une façon très visible les •voyaQuimperlé ; Olivier, de Quimperlé ; Patud, de geurs, personne encore n'y ayant trouvé Plonévez ; Le Person, de Quimperlé ; Le Pogam, d'Hennebont ; Le Koch,. de Goncarneau , une mort immédiate. Houzet, de Quimperlé ; Rozo," de Goncarneau ; l'iion, de Tréboul ; Seignard, de Goncarneau ; Vigouroux, de Port-Launay. nreret mpérieur. — 10 élèves reçues, 2 admissibles. Session d'octobre. — Reçues : Miles Burin, de Pont-l'Abbé ; Laouénan, du Faou ; Pennec Anna, du Pont-de-Buis ; Pnstfïc Francine. de Brest. Session de Juillet. — Elèves reçues, 0 ; admissibles, 2. Reçues : Mlles Le Baut, de Quéménéven ; Camus, de Telgruc ; Labory Joséphine, de Ponl-r.\bbé ; Martin, du Faou ; Kerboriou, de Ploulgneau ; Germaine Rozo, de Goncarneau. Admissibles : Mlles Kérivel, de Douarnenez ; Tromeur, de Morlaix. Postes et Télégraphes. — 2 Elèves reçues • Mlles Anniel, de Brest etBurin.de Pont-l'Abbé. Certificat d'études primaires supérieures. — 3f) Elèves reçues : Mlles 1"' Massonneau, de Quimper et Péron, du Pont-de-Buis;.3', Faurie, de St-Elienne ; 4', Billant. de Brest ; 5% Lasbleis, du Juch ; C«, Le Coroller, de Goncarneau ; 7', Dirou, de Kerfeunteun ; 8% Jourdrin, de St-Pierre Quilbignon ; 9% Barré, de Goncarneau ; 10% Olivier, de Quimperlé ; 11«, Lenglet, de Pont-l'Abbé ; 12", Riou. de Tréboul ; 1.3*, Burban, de Quimperlé et Duroquier, dè Kerstran, en Brecti ; 15-, Andrieux, de Lambézellec ; 1(3', Gaill, de Lannilis ; 17", Moulin, de Brest ; 18", Person, de Quimperlé et Nédélec, de La Roche Maurice ; 20', PruuIF, du Illoître Pleyben ; 21", Castrée Emma, de Plogo.T ; 22", Boënnec, d'Argol ; 23", Dumoustier, de St Pierre Quilbignon ; 24", Cosquer, de Gréach ar Monl ; 25', Labadès Germaine, de Mellac ; ?C*, Guitel, de Brest ; 27*, Seignard, de Goncarneau ; 28", Brenneur, de Quimperlé ; 29*, Lemaire, de Pont-Aven ; 30", Briant, de Landerneau ; 31', Gallec Marie, de Roscofl' ; 32", Dolou, de Plougastel ; 33". Dénlel, de Toulé ; 3'i', Le Guillou, de La Fouillée ; 35". Bernard, de Poullan ; .3fi*, Rozo, de Goncarneau. Concours d'admission au.c écoles normales. — 24 Elèves admises aux diirérentes Ecoles. A Quimper. — 1 4 admjses: Mlles Rio, de Bannalec, 1" ; Le GolF, de Quimperlé, 2" ; Ker•salé, de Douarnenez, 3* ; Bloch, de Plouhinec, 7" ; Dirou, de Kerfeunteun, 9» ; Labory, de La Forest, 10" ; Kervella, de St-Pierre-Quilbignon, 12" ; Kérivel, de Dpuarneuez, 13", Groc, de Morlaix, 1.')" ; Toullec de Pont-l'Abbé, 22» ; Coroller Anne-Marie, de Goncarneau, 24" ; Miossec, de St-Marc, 2G" ; Barré, de Goncarneau, Dolou, de Plogastel liste supplémentaire. .'V Rennes. 3 élèves admises : Mlles Lenglet, de Pont-l'Abbé ; Kerboriou, de Plouhigneau ; Kéreyil de Douarnenez. A Laval. — 3 élèves admises : Mlles Bernard, de Poullan, Hascoët, de Douëlan ; Guillou, de La Feuillée. A St-Brieuc. — 2 élèves admises : Mlles Bauguion, de Glohars ; Briant de Landerneau. A Vannes. — Mlle iiaet de Sarzeau. A St-Elienne. — Mlle Faurie de St-Etienne. Accident de travail. — Kervarrec Louis, 15 ans, apprenti a j u s t e u r aux établissements Rivière, Jovenet et Cie, a eu le pouce do la main droite pris dans un engrenage, lui occasionnant un écrasement et l'arrachement de l'extrémité de ce doigt. H subit de ce fait une incapacité de travail d'un mois. Conseil municipal. — Le conseil municipal se réunira jeudi 21 août à 8 heures du soir, salle de la mairie, pour la session ordinaire d'aoûL Etat-civil. — Naissances. — MarieAdrienne Goalen, à Kervail. — Josepli-Yveï Le Goll', à l'Hospice. — Jeanne-Françoise-Renée Le Roy, 3, rue de l'Abattoir. — Reconnaissance de Emile-Jean Le Glanche. — Julien-Louis Bonnefoi, 24, place Saint-Michel. — LouiseYvonne Le Bec, 4, rue Terre-de-Vannes. — Julien-Jacques Le Lang, 9, rue du Bourgneuf. — Mario-Joséphine-Perrine Jégou, 16, rue Tcrro-de-Vannes. — Barbe-Julie. Moren, rue Tcrro-de-Vannes. l'ubiications de mariages. — François Cadet, iustituLeur libre à Cloliars-Garnoët et EmmaEugénie Kerniagorot, s. p,, à Quimperlé ; \alonlin-Alain-Mario Custel, professctu' à 'école r.iiuimei'cialo à Saiul-Na/.aire, ot Mai-ie- ^ Maduloiiui-Augustine Gordier, professeur à 'écolo supérieure à Quimperlé, résidant à Provins. Mariage. — Gharles-Ferdinand-Marie Guinvarch, instituteur libre à Riec-sur-Bélon, ot .leanne-Mario-Anne Vincent, s, p. à Quimperlé. Décès. — Marie-.leanne Le Corre, 50 ans, ménagère, épouse de Laurent Clémence, ù l'Hospice. — Pierre Laurent, 5'.) ans, journalier, époux do Françoise Gorlou, 19, rue dollars. Tréméven A c c i d e n t s . — Mme Pélagie Cariou, épouse de M. Vincent Nigen, propriétaire agriculteur à Kerlescouarn, s'est écrasée l'orteil du pied en vaquant aux travaux de la ferme. Scaftr Accident. - Mlle Marie Anne Duigou, habitant chez son père à Crech-Courant est atteinte de phlegmon du m a j e u r de la main droite par suite d'une piqûre d'épine. Catte lésion produira pour la blessée quelques jours d'incapacité de travail. M. Duigou est assuré à la C " G " d'assurances contre les accidents. Moclan Fêtes. — Voici le programme de la fête et du concours agricole qui auront Heu les dimanche 24 et lundi 15 août 1913 : Dimanche 2 4 août A 5 heures du soir. — Course de vélos. — luternationale : 1" prix, 15 fr. ; 2', 10 fr. ; .3", 5 fr. Lundi 2 5 août A 9 heures du matin. — Courses de chevaux. — internationale. — Au trot : l " prix, 20 fr. ; 2", 15 fr. ; 3", 10 fr. — Entrée, 1 fr. Internationale. — Au galop : 1" prix, 20 fr. ; 15 fr., 3", 10 fr. — Entrée, 1 fr. Communale. — Au galop : l " prix, 20 fr. ; 2', 15 fr. ; 3-, 10 fr. A 10 heures. - Concours de charrues pour jeunes gens au-dessous de 20 ans. — l " prix, 12 fr. ; 2", 10 fr. ; .3", 8 fr. ; 4", 5 fr. Cidre : 1" prix, 5 ir. ; 2", 3 fr. ; 3", 2 fr. ; 4», 1 fr. Beurres : l " prix, 5 fr. ; 2", 3 fr. ; 3», 2 fr. 4", 1 fr. Plantes fourragères : l " prix. 10 fr. ; 2", 8 fr. ; 3", 5 fr. A 11 heures. — Course d'hommes : 1" prix, 5 fr. ; 2'. 3 fr. ; 3", 2 fr. Course d'enfants au-dessous de 15 ans : 1" prix, 2 fr. ; 2", 1.50 ; .3", 1 fr. ; 4", 0.75 ; 5", 0.50 ; 6", 0.25. 1 heure de l'après-midi. — Courses de vélocipèdes. — Internationale : l"' prix, 20 fr. ; 2", 15 fr. ; .3-, 10 fr. - Entrée. 1 fr. Communale : 1 " prix, 20 fr. ; 2", 15 fr. ; 3", 10 Ir. — Entrée, 1 fr. A 2 h. 1/2. — Course attelée : 1" prix, 40 fr. ; 2", 30 fr. : .3", 20 fr. - Entrée, 2 fr. A 3 heures. — Course en sacs : l " prix, 3 fr. ; 2', 2 fr. ; 3", 1 fr. Concours de fumeurs : l"' prix, deux paquets do 0 fr. 50 ; 2", un paquet de 0 fr. 80 ; .3", un paquet de 0 fr. 50. Concours de buveurs : l"'- prix, 2.50 ; 2", 2 fr. ; 3". 1.50 ; 4", 1 fr. ; 5", 0.50 (chaque concurrent devra se pourvoir de son litre de cidre). •V 4 h. 1/2. — .Grandes luttes bretonnes, 50 fr. de prix, prix d'honneur 15 fr. ou un mouton, .lot du boulet : 1"' prix, 5 fr. : 2", 3 fr. ; 3% 2 fr. Baquet russe. Mât de cocagne. Danses toute la journée. Gavotte d'honneur. A 9 heures. — Grande retraite aux flambeaux. Nota. — Le Comité ne répond pas des accidents qui pourraient survenir pendant les courses et les jeux. Kiec-sur-Bélon Un refus anti-démocratique M. B e r t h o u , maire de R i e c - s u r Bélon, a refusé d'accepter la somme que M. Corentin Guyho lui faisait offrir, c o m m e a u x a u t r e s Municipalités du Canton, pour une distribution de pains a u x indigents. On conçoit sans peine le mobile de ce refus ; m a i s les p a u v r e s se trouveront pâtis de la s u s ceptibilité d'amour p r o p r e dont il s'agit. Goncarneau Accident en mer. — Le 18 courant, le nommé Jatl'rézic Correntin, marin-pêcheur à bord du Ziù'lpatron Le Deuil se trouvant en mer a été renversé au cours d'une m a n(P.uvre par un coup d'écoUte et de ce fait a T t c immédiatement envoyé à terre où le uiùdecin lui a reconnu la fracture d'une côte. Quimper Lycée de Çuimper. — Le lycée La Tour d'Auvergne continue de prendre!une sérieuse extension. Presque neuf, avec ses belles classes bien éclairées, ses vastes dortoirs installés fort convena|jlement sous le rapport de l'hygiène et du bien-être, cet établissement semble vraiment hospitalier et ne peut qu'attirer la jeunesse laborieuse. Sa prospérité régulière est due, d'autre part, tant à la bonne direction du lycée qu'à la valeur de l'enseignement donné dans les difTérentea classes. Les s u c c è s rm r e m p o r t é s nluKiue année .preuve manifeste. cti sonl. imo On se rappelle, en effet, que l'an dernier la proportion des reçus aux (li\ers baccalauréats accusait 80 pour 100. Presque tous les élèves présentés cette année ont été i-galement admis. Nombreux, dit-on, sonl les j e u n e s gens qui doivent cislrer fin 6". A ce propos nous ne pouvons que conseiller aux fami T.'.s de songer à placer leurs enfants en temps utile dans cette classe importante. Ils devraient, dans leur intérêt, s'y trouver à 10 ou 11 ans pour être bacheliers à 17 ou 18 ans, atin de pouvoir préparer ensuite avec succès les concours d'admission aux grandes écoles du gouvernement sans être atteints par la limite d'âge. Combien en avons-nous entendu regretter leur entrée tardive au lycée, lorsque, animés des plus belles dispositions, ils se voyaient entravés dans leurs entreprises faute de temps. Bien décidés à fairp des éludes secondaires, ceux-là n'auraient pas dû subir l'e.xainen du certillcat d'études primaires, qui les a rais dans l'obligation de rester trop longtemps à l'école communale. Cours préparatoire aux écoles des Arts el Métiei's. — Un cours préparatoire aux Ecoles des Arts et Méliers, absolument indépendant des ^autres classes, est fort bien organisé au lycée de Quimper sous la direction de professeurs distingués. Pour subir le concours d'entrée à l'une de ces écoles, qui forment des ingénieurs expérimentés, il faut être pourvu soit du certificat d'études secondaires du premier degré, délivré îi l'issue de la classe de troisième des lycées, soit du certificat d'études primaires supérieures pbtenu dans les écoles primaires supérieures ou au lycée ; mais une préparalion spéciale est, en outre, nécessaire pimr assurer le succès à ce concours. Trois élèves du cours du lycée ont été cette année admissibles à l'école nationale d'Arts et Métiers d'Angers. Classes Enfantines. — Les deux classes enfantines comprennent un nombre restreint d'élèves, qui peuvent lous recevoir les soins attentifs de maîtresses éprouvées. Ces j e u n e s enfants se trouvent, en outre, dans les meilleures conditions d'hygiène. Le lycée reçoit les plus j e u n e s élèves dès l'âge de quatre ans. Une personne de confiance est spécialement shargée de leur donner les soins particuliers de propreté que réclame leur tige. Rappelons que les tarifs des frais d'internat sont peu élevés au lycée de Quimper : Pensionnat : 7« et 8», 540 fr. par an ; à partir de la 6», 693 fr., sans d'autres frais que ceux que nécessite, une fois pour toutes, la composition du trousseau. Les tarifs de l'externat sont k la portée de toutes les bourses : -45 fr. par an en enfantine, 54 fr. en 9» et en 10% 63 fr. en 7« et en 8« el 108 fr. à partir de la 6». M. le Proviseur se fera un plaisir d'être à la disposition des familles lous les j o u r s à partir du 10 septembre. £ e s CouraeB. — L'hippodrome Oti Cuzon, complètement transformé par la nouvelle Société des Courses toujours à l'affût du progrès, a réouvert ses portes avec un champ de courses unique dans toute la Bretagne. C'est la p r e m i è r e fois que nous assistons & une réunion où grùce à un système d'arrosagejiabilement combiné, les pistes présentent l'aspect d'un gazon d'un beau vert. De même les divers tracés comportent une régularité absolue avec une magnifique ligne droite et le parcours des cross comprenant 40 obstacles dont la plupart en terrain varié rappelle les parcours si réputés de la Croix de Berny. Ajoutons que la nouvelle Société se propose de consacrer des sommes importantes à l'édification de nouvelles tribunes comprenant tous les perfectionnements raedernes et d'augmenter le chiffre de ses ressources en réservant une large part ii l'élevage breton. Malgré lachaleur accablante, la foule est toutefois immense, le coup d'œil de ces belles toilettes où le blanc domine, manifeste l'élégance el la gaieté. En résumé, g r â c e ' a u x membres de la commission qui ont droit à tous les éloges, le programme de ces épreuves très intéressantes, s'est déroulé avec la plus parfaite régularité sans que nous ayons à relater le plus petit accident. Nous signalons deux sonneurs de cors de l'hallali llochard, en tournée dans la région, et dont le j e u harmonieux et pur a été goûté de tous. Voici les résultats : P r e m i è r e Journée. — Samedi 1 6 août Prix de la ville de Quimper, au galop, 1.200 fr. 2.000 m. — i" Eyra A. Le Couédic, H' La Belle Helyetle, comte A. de Goyon ; 3' Caouennec, comte de Carcaradec. — Non pl. : Miniche {P. Nédellec). Pari mutuel, 0 . 11.50 ; pl. 6.50 et 7. Prix du département. - Trot monté, 1.20(J fr. 3.200 rn. — 1" Kcr-DlamanM iSt-Hoye), 2' Kabin n comte de Oéalncourt ; .r Karb (K. Ollivier) ; 4' Kerguzal (Le Gouai-). — .Non pl. : Kabylie, Kiss-Mé-Kerpalud. — Puri innluci, g. 7.50 ; pl. 11, I5.r.0. Prix spécial de la Société sportive d'encouragement (1" catégorie;, au galop. — !" La Rouillante, R. Zentz d'Alnots ; X' Love, à M. de Carcaradec ; S'Saint-Yves, il M. LoCouétIic; 4* Acacio, Blays. — Non pl. : Express Marbella. — Pari mutuel, g. 32.50 ; pl. 10 ; pl. C. 50; course superbe. Prix du chemin de fer d'Orléunn. — Trol attelé, ;uo fr. — /•' Yvonnicli (A. Morou) ; ê' Ibis (.Ios.se), i" Irma, comte do Gésincourt. — Non pl. Ibil-Beuz et Kis$-Me. — Pari mutuel, g. 19 ; pl. 9.50, 11. Prix de circonscription, 2.00() fr., I.ÎJOO mètres. — Sans Gêne, J. Vigot; J?* Kasteltm, G. do ' Servigny Tambour, Le Keuntouii ; Lady {G. Gaude), S' Lorientaise (G. Guude). — l'ari mutuel, g.45.50 ; pl. 5.50, 0.50. Poule des haclis et lamters, stoepic-oliabe, ' 4 1 . 0 0 0 f r . :?.500 m è t r e s . — 1" Da.v II, ( L . L e Cerf), D'.V.' . l'rix de l'Odet, haies, steeple-Chase, 1.700 l'r., l.(«Xi fi-. 1" Marbella, Dantion ; ? Urdns, M. Hersihaud : Xiptiiaa II, P. Morel ; 4" Sous Vents, A. Roussin. ~ Non pl. ; Trafalt/ar. — Parti mutuel, g. 42, pl. 12 el C. I.e total des mises au pari muluRl a été do CABINET A. DEMARTHE Dentiste Diplômé 8.750 friuiGs. Deuxième journée. — Dimanche 17 août Prix de la Fori't. — Trot monté, 1.700 fr., 4.000 m. — 1" Indien (Boussard) ; .lobic (Derrien) ; s- Ibil lienz^de Richèmont). — 1" 6 fr. 50. Prix du gourernement. — Galop, 1.200 fr.< 2.000 m. — -/" Eyra (A. Le Couédic); S'Express (Fumagalli) ;.'.'» Miniché (P. Nédéiec). — 1" 11.50. Prix de l'Hippodrome. — Au trot, 700 fr. — 3.200 m. — I" Kabyle (Subileau) ; S' Kabyle (Garreau), .i' Kiss-Me (E. Connen). — N. pl. : Kabylie, Kerpaiud, Kerguzul. — l " gag. 0, pl. 5. Prix de la Société d'encouragement (4' série)'. — Galop, 2.000 fr., 2.000 m. — 1" Love (comte de Carcaradec). i' Acacio; .i' Sptante {Comte de Langle). — 1" 8.50. Prix de la Société des Steeple-ckases de France, steeple-chase militaire, 800 fr., 3.000 m. — I" Allada (Josset) ; — s- Graceful (SaintRaymond). Prix de la Société des, Steeple-chases de France, steeple-chas«^ 1.500 fr., ;i.500 m. — I" St-Ignace (.1. Thirouin) ; S' Mme Oku (A. Roussin). — 1 " (5.50. :!• Prix de la Société des Steeple-chases de France, cross-country ( l " catégorie). — 1.500 fr., 5.000 m. — / " Poltron (G. Gaucle) ; f Gentil II (llainonic) ; Ladt/ (G. ,Gaude) ; 4' Fleur de Mai 17// (Vigot). - 1" gag. 21.50, pl. 8. Incendie d a n s le camp forain. — Dimanche soir, le feu a pris dans la boutique de croustillons hollandais à ,M. llénin, à, Locmaria, et a pu être éteint avant de se communiquer aux autres baraques. M. llénin n'étant point assuré une quête a été faite parmi les forains pour le tlédommager de ses pertes. Mme Hénin a eu les pisds légèrement brûlés. Envoi de témoins. — A la suite de la réunion des Courses du 17 courant, M. le Marquis de Plœuc, président de la société des courses avait envoyé ses témoins MM. Gaude et de Malherbe à M. Fléchelle Lefévre. Voici la lettre que ces Messieurs lui adresse : Mon Cher ami » A la suite d'une discussion avec M. Flé« chelle Lefèvre, dont les termes ont été « jugés oll'onsants par vous, vous nous « avez constitués comme témoins. « M. Fléchelle Lefùvro ayant rétracté ses « paroles nous considérons notre mission « comme terminée. » Signé : G. Gaude et A. de. Malherbe. Etat-civil. — Xaissances. — Hélias Simone. — Pérou Ktiaiie. — Le Hénall' Jeun. — Guido Georgetle. — Caradec Marie. Décès. — Loz-ichnieur Anne, un an. — Bourbigot .Murguerile, 2 mois, — .lézéquel Hervé, épou.x llénatl', 4^ ans. — Seznec Yvonne, 8 mois. — Lhuval Cécile, 2.') ans. — Le Reste Jea.i, 5i ans, époux Nicolas. Ergué-Armcl Accident d'automobile. — Lundi dernier, le j e u n e Priol Jean-Marie, 12 ans, en traversant la route pour rentrer chez lui regardait une auto arrêtée, mais il n'en aperçut pas une autre venant en sens i n ^ r s e . Le conducteur de cette dernière freina vainement pour éviter l'enfant. Le garde-boue gauclie le projeta sous les roues du véhicule et il fut traîné sur un parcours de 2 mètres. Le conducteur releva le petit Priol qui fut transporté chez ses parents. Il en a été quitte pour une blessure au-dessous du genou gaucli". Foiiesuaiit Sécurité des routes. - Dernièrement Alfred Caramaro, 16 ans, de Quimper, revenait à Fouesnant; en face de Pen-His un des porcs qui se trouvaient sur la route passa devantsa bicyclette; en voulant l'éviter il vint se j e t e r entre la roue gauche de l'auto de M. Hricard, en villégiature au château de Kernarret et fut renversé. Craignant des complications un médecin mandé en hiUe prescrivit son envoi à l'hospice de Quimper. Erg;ué-(jiab6i'ic Un poivrot veut se noyer à tout prix. — Le 15 courant, Primel, 30 ans, domestique ù Kéristin, se j e t a daus le .let. M.M. Hascoët, de Ty-Névez, et Doaré, purent le sortir de l'eau el lui ,prodiguèrent des soins. Remis, Pri.-nel s'élança de nouveau dans la rivière, les sauveteurs se j e t è r e n t à sa suite et saisirent Primel qui allait disparaître. Après les soins qui lui furent encore donnés il retourna chez lui. Uoiidoiiallcc A c c i d e n t . — M. Yves Macé au service de M. Louis Beux, agriculteur à Craou Morc'h est atteinte d'orthrile traumatique au genou droit par suite d'un coup de fourche. Cette lésion produira pour le blessé une incapacité temporaire de travail de 15 j o u r s . M. Beux est assuré à la C" Générale d'assurances contre les accidents. Goulien Suicide. — Dimapche matin, Danzé Hervé, de Trévern, vit un liomme pendu il un arbre. Il coupa la corde el esseya de ranimer ce dernier en opérant les tractions de la langue et des bras, mais sans réfeullats; on n'a pu établir l'identité de ce malheureux qui, d'après la rumeur publique serait Michel Durand, dont la femme habite la commune dé Cléd«n-Gap-Sizun. <iiOll6/.CC Mort accidentelle. — La petite Anna Ster, 22 mois, conlléu Ji sa tante, la femme Cariou, fut découverte par cette dernière dans un ruisseau la face en avant, elle avait déjà cessé de vivre. Laiidivisiuii Courses. - Les courses de Landivisiau seront courues le dimanche 24 août, sur rhii)podrome de Cros-ar-Leuriou. Les courses, qui comprennent 7 épreuves, commenceront ù. 1 U. 1/2 do l'après-midi. DE DENTAIRE 42, Place Saint-Michel G . 4 , rue Thiers — Q U I M P E R L É H QUIMPERLE A B R I Ail«| PHARMACIEN LAURÉAT ( h ' Prix)](ie l'Ecole de Pharmacie, 2 Médailles d'Or, 1 Diplôme d'Honneur Maison renommée ^ ^ T É L É P H O N E , 34 dans toute la Région pour la qualité de ses et l'extrême Modicité des Prix B A N Produits A CEINTURES ÉLASTIQUES En tous Tissus et de tous Modèles , ASSORTIMENT CONSIDÉRABLE Cabinet d'Essayage Ne rien acheter (surtout aux prétendus spécialislesiepassage)avant de demander nos prix toujours très modérés pour ces Articles comme pour tous les autres produits. 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Lorieiit Courses cyclistes. — Le programme des courses cyclistes comportait un match entre le Brestois Lemasson et les deux Parisiens, Beyl et Jacquart. Lemasson a gagné brillamment, faisant preuve d'une grande supériorité. Voici les résultats : Départementale. — 1", Huiban ; 2», David ; Le Levé. Match à trois, I" manche. — 1", Lemasson ; 2", .lacquart ; 3% Beyl. Gagné par 2 longueurs 5' manche. — 1". ' ~ Beyl• ; 2' Lemasson à un pneu ; 3» Jacquart. .•;» manche. — 1" Lemasson ; 2", Beyl, à 20 longueurs ; 3% Jacquart. Course d'encouragement. — 1", David ; 2', Buclion : 3", Guivarh. Interrégionale. — 1", Lemasson ; 2', Beyl, à 2 longueurs ; .3', Jaetjuart. Course pédestre. — 1", Philippe ; 2% Crampon. Avis Utile La gOne respiratoire, l'oppression, l'essoulllenient, la lou.\ opiniâtre qui persistent après une bronchite ou une pleurésie disparaissent rapidement en employant la poudre Louis Legras, ce remède incomparable qui a obtenu la plus haute récompense à l'Exposition Universelle de 1900. Le soulagement est instantané, les complications sont évitées et la guérison définitive survient rapidement. Une botte est e.xpédiée contre mandat 2 fr. 10 adressé à Louis Ldgras, 13(1 .Magenta, 139, ù Paris. Marché aux Bestiaux de la Villette pigeonneau.x, des poussins, mérite également la m o r t : nul ne peut vous inquiétier pour cela. Mais allez donc prétexter que le veau, le cochon ou la vache du voisin foulent aux pieds votre récolte pour les abattre: bien certaini'ment, vous êtes j u s ticiable du tribunal de paix qui comparera les deux pertes causées et vous fera payer la diflérenco. On voit les distinctions à établir. Et nous parlerons pas des défauts de clôture dont peut arguer le propriétaire de l'animal tué, pour se plaindre ! . . . Le mieux, en pareil cas, est de faire constater le fait par lo garde champiHre, si c'est possible, do traduire votre voisin devant le Juge de paix. Vous n'aurez ainsi rien h rrnindre. HENRY BORGKZb; LES RÉSIGNÉS Chez les malades, les malades femmes particulièrement, nous trouvons trop fréquemment hélas ! cé type que nous appelons « les résignés ». Il y a longtemps que leur santé a décliné, ils vont de -mal en pis etcomme les médicaments ordonnés n'ont pas apporté le soulagement attendu, ils se figurent qu'il n'y a pas de remède à leur mal, qu'ils sont inguérissables. lin fait ces désespérés chimérique ne sont bien souvent ni plus ni moins atteints que d'autres malades que nous avons parfaitement guéris. Leur indilTérence, leur résignation incompréhensible devant la souffrance permettent au mal de s'encrer de s'enraciner, si bien qu'il sera quelquefois trop tard, l'orsqu'on les décidera à se. soigner, pour que l'intervention médicale même la plus énergique, *ut raison de leur mal. C'est à celte catégorie que nous nous adressons aujourd'hui, les priant de lire • .. 4 O. .Mme Ferrand, toute j e u n e l e m m e de 21 ans, demeurant à Paris, (5, passage Kuzner, nous a écrit : Cours <lii lundi 18 Août 1 9 1 » ESPioCES 47 22 2.485 1.227 228 1.713 3.942 Bœufs Vaches Veaux Poids moyen Invendus Amenés 40!) 356 484 96 120 "2 41 Poids vif. Prix au kilo': ESPÈCES Bœufs Vaches Taureaux... Veaux Porcs Pri* extrêmes 1"qualité' 2' qualité 3' qualité 0.64 à 1.10 0.63 l . H 0.63 0.82 0.94 1.44 1.36 1.40 1 05 1 06 81 1 38 1 39 0 0 0 t 1 !)l 92 77 32 38 0 0 0 1 1 80 80 72 10 37 Aspect des ventes. — Vente l le gros bétail, meilleure pour calme pour les porcs. L e s bêtes du voisin lin principe, tout animal domestique qui s'introduit dans une propriété étrangère est censé y occasionn er des dégâts. Par conséquent, en principe aussi, le propriétaire lésé à le droit de se défendre. Mais comment ? Beaucoup de gens, fi la campagne, considèrent avo.ir le droit de tirer sur l'animal intrus. Cela mérite des distinctions. S'agit-il de pigeons? Le cas n'est pas douteux : du moment où ces dévastateurs sont pris en tlagrant délit de pillage dans votre Jardin, votre champ, vous pouvez leur lancer votre plomb tout ii votre aise. S'agit-il do poules, de lapins, d'oies, de dindes, de cannards ? Nous conseillerons d'être plus circonspect, à moins que les dégâts causés par eux ne soient manisfestes. Imaginez en ellet toute une basse-cour égarée dans votre propriété (chose fréquente à la campagne où lu volaille e r r e librement) ; si vous tuez à tort et £i travers sans considérer le rapport de votre défense à l'importance du préjudice présumé, vous pouvez ê t r e . poursuivi en d o m m a g e s - i n t é r ê t s . . . Il va sans dire, du reste, qu'en aucun cas vous ne pouvez vous approprier les animaux tués. Un chat qui se permet de rôder chez vous et do vous dérober de la viande, des Q u i m p e r l é . — Marché du Août. — Taureaux, le kilo., 0.55 à 0.60 ; bœufs de boucherie, 0.70 à0.80; vaches de boucherie, 0.00 à 0.G5 ; bœufs de travail, ordinaire bouvillons, 50 à 60 fr. ; vaches laitières, l/iO à 340 ; génisses, 115 à320; chevaux, très élevé ; porcs, 1.00 à 1.15 le kil. ; moutons, 0.90 à 0.95; veaux, 0.90 à 0.85 f r . ; f r o m e n t , 26.»» à 26.50 ; seigle, 18.»» à 19.»» ; orge, 17.»» à 18.»» ; sarrasin, 17.»» à 18.»» ; avoine, 18.»» à 19.»» ; p o m m e s de terre les 100 kil., 6.50 à 8.»» ; beurre le kil., 1.90 à 2.80 ; œufs la douz., 0.95 à 1.10 ; foin, les 500 kil, 35.»» à 40.»» ; paille, les 500 kil., 30.»» à 35.»» ; son, les 100 kil., 16.»» à 17.»» ; farine, 1 " qualité, 36.»» à 37.»» ; 2' qualité, 34.»» à 35 f . LA FRANCE DE DEMAIN Hcvuc Mensuelle. — Organe du comité nupleix. — Abonnement : France : 15 fr. — Etranger: 18 fr. ; 2G, rue de Grammont, Pnris. Sommaire du numéro du SO .Août 1913 .lacques Cœur : Du danger de idées fiscales actuelles. — Emile Hinzelin : Notre Afrique du Nord. — 11.-P. de Diusse : Les Spahis sénégalais. — Louis Le Barbier : Notre flotte marchande. — Lettre d'un Annamite. — C. des Varennes : Chronique coloniale. — H. de Rauville : L'lnva.?ion. — Guénot : L'Expansion coloniale française. — Ce que dit l'Alsace. — Les Livres. Numéro spéciuen gratuit sur demande. L A HERNIE La hernie n'est plus une Infirmité pour 1. s blessés fiui adoptent tes Nouveaux appareil» sans ressort de M. A. GLAVERIE. Essentiellement perfectionnes, se sont le-; seuls qui assurent sans gêne, l'occlusion in/(•'/(•«/f df" l'anneau inguinal ainsi qu'une oonleution toujours garantie des tumeurs même les plus volumiueuses en procurant à lous un soulagement immédiat et un bien-être absolu. Dans notre région, oîi la renommée fin grand Spécialiste est particulièrement répandue, nombreux sont les blessés qui ont été délivrés des soutl'rances et des inquiétudes de leur inlii-mité grâce à l'efficacité unique <lc l'incomparable méthode inventée par M. A. CLAVERIE. Aussi, nous sommes heureux de rappeler nus lecteurs la présence parmi nous du ivnonnné Spécialiste en leur recommandant vivttinenl de ne pas manquer de profiter de son passage pour lui rendre visite de 9 h. à 5 h. à : CHÂTEAULIN, Jeudi 21 Août, Hôtel de la Grand'.Maison. QUIMPERLE, Vendredi 22, Hôtel du Lion d'or. CARHAIX, Samedi 23, Hôtel de France' « CEINTURES-MAILLOTS » CLAVERIE< pour lous.les déplacements des organes chez la Eenime (Hernies ombilicales, Descentes et Déviations de la matrice, Rein mobile, etc). ^PRIÈRE AUX CONSOMMATEURS « Depuis longtemps j'étais atteinte d'une anémie lente. Mes forces m'avaient abandonnée, jo n'avais plus mes bonnes couleurs d'autrefois, l'n petit travail, un léger ellort étaient de trop pour mes petites forces et j e ne pouvais même plus travailler il des petits travaux d'aiguille sans avoir des points de côté et ressentir une grande fatigue. Mon sommeil était fragile, au moindre bruit j e me réveillais et alors j e ne pouvais plus me rendormir Mes digestions étaient pénibles et, comme je souirrais tout le temps, j'étais toujours triste. .le ne m'intéressais plus à rien et comme tout ce qu'on avait t'ait pour me guérir n'avait pas réussi. J'étais résignée. Ma mère, souffrante, ayant essayé les Pilules Pink et s'en étant très bien trouvée, j'ai voulu moi aussi prendre les Pilules Pink car sa guérison si rapide m'avait donné de l'espoir pour moi. .l'ai donc suivi le traitement des Pilules Pink q u i a réussi parfaitement là où tous les autres n'avaient rien pu faire, .l'ai le plaisirde vous i n f i r m e r (luc j e suis maintenant rétahlic. Lus personnes (|ui m'ont vue si malade ne me reconnaissent pas. » llésignés, désespérés, si votre maladie a pour origine la pauvreté du sang, la faiblesse (les nerfs, les Pilules Pink doivent vous guérir. Même si les autres médicaments ont échoué, les Pilules Pink vous guériront: les Pilules Pink ne ressemblent en rion aux autres médicaments, lîllesont guéri d'innombrables cas d'anémie, de chlorose des j e u n e s lillos, de maux d'estomac, migraines, névralgies, sciati(|ue, rhumatismes, neurasthénie. On trouve les Pilules Pink dans toutes les i)liarniacies et au dépôt. 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LOT UNÎQUE 1° Une mmlMon d*h»hitation construite en pierres, couverte en ardoises, ayant : Rez-de-chaussée comprenant couloir accédant à l'escalier, une pièce éclairée par une porte et une fenêtre, une autre pièce éclairée par une porte seulement. Premier étap;e composé de deux pièces. Vaste g r e n i e r o c c u p a n l tout l'étage. Cette maison donne du nord sur terre à M. Gannévet et petite cour ci-après, du midi sur la roule de Ros-Bras, du levant sur maison à Antoine Bisquay, du couchant sur maison aux héritiers Collobert. Ses pignons levant el couchant sont mitoyens. 2® Au nord de cette maison n n o p * t i t e * o o n r donnant du nord et du levant s u r terre à M. Gannévet, du couchant sur maison aux héritiers Collobert et du midi sur la maison ci-dessus décrite. L'ensemble de ces immeubles figure au plaa cadastral de la comm u n e de. Riec-sur-Bélon sous les numéros,633 et 634 de la section E pour une' contenance de96centiares. Tel au surplus que lesdits immeubles se poursuivent avec leurs circonstances et dépendances sans aucune exception ni réserve. M i s e à p r i x fixée par le tribunal 2 . a o o fi». Cette vente est poursuivie en exécution d'un j u g e m e n t , du tribunal civil de Quimperlé, en date du 9 Juillet 1913, enregistré et signifié, rendu contradictoirement : Entrq : M. Jean-Louis Le Gouar, facteur en retraite, demeurant à Quimper, Place St-Corentin, n» 16. Demandeur ayant pour avoué M"^ BOT, demeurant à. Quimperlé, rue Savary, n® 20. Et: 1® M. Jean Le Gouar, mineur émancipé, cordonnier, demeurant chez M. René Huiban, à KerentrecliLanester, rue de l'anse, n® 10. 2® M. Guillaume Lédan, boulaner, demeurant à Quimper, rue des ouvres, n® 14, pris en sa qualité de curateur ad hoc de M. Jean Le Gouar, nommé à cette fonction à cause de l'opposition d'intérêts qui existait originairement entre ce dernier et M. René Le Gouar, son cura teur. Défendeur ayant pour avoué M® PITON, demeurant à Quimperlé, rue de Quimper, n® 12. .3» M. René Le Gouar, facteur des postes, demeurant à CtiiUeauiin, pris en sa qualité de curateur à l'émancipation -'de Jean Le Gouar. son frere sus-nommé. Ce dernier défendeur ayant pour avoué M* BOT sus-nommé. Outre les clauses et conditions ins é r é e s nu c a h i e r d e s charges dressé pour parvenir à la vente, et déposé en l'étude de M» PKAiN 1)1-: PONFILLY, notaire à Pont-Aven, où toute .personne peut en prendre communication, la propriété ci-dess u s désignée sera vendue en un lot, telle qu'elle est décrite plus haut, au plus offrant et dernier enchérisseur, et en l'étude dudit M» PKAN DE PONFILLY, le lundi 8 septembre 1913, à.2 h. de l'après-midi, sur la mise h prix de 2.aU0 fr. Pour plus amples renseignements voir le cahier des charges ou s'adresser il M® BOT, avoué poursuivant. Quimperlé, le 16 août 1913, L'avoué poursuivant, A Louer de Suite JXne des ETABLISSEMEIVTS r Chambriera UNE MAISON NEUVE Xia Maison des Timbres FABRIQUE D'HORLOGERIE, SUR DEMANDE MAISON A LOUER I BIJOUTERIE OD Demanile pour une propriété située sur la rivière de Quimperlé L'i\ le mari connaissant le Jardmage, la culture la femme l'entretien d'une maison et de la basse-cour. Références e.\igées. S'adresser i5, rue Hocho, LORlIîNT. REVUE DES PETITES FILLES Paraissant le 15 de chaque mois Abonnement : Un An. — Paris, 7 fr. ; Seine, 8 fr. ; Départcmenf, 9 fr. ; Union, postale, 11 f Vingt-quatre pages oe texte par numéro - Morale, Education. Instruclion, Récréation, .Petils Travaux ot Ouvrages, Patrons pour Poupées, Kloffes imprimées dans chaque numéro. Cartonnages coloriés, Figurines à découper, Décors de 55, rue du Port, 55 Théâtre, Surprises, Concours, Musique, & 8, Cours de la Bôve, L O R I E N T Courrier de Chiffonnette. Abonnements à partir du 15 de chaTéléphone 31 que mois. 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QoiMPEni.É, — Imprimerie (Armand GAUTIER Union Agricole et Maritime U Gérant. L. GALl^li 30» Année? = N» 6 7 Dimanche S^'Aoùt 1 9 1 S L b I V i n i É R O t CRAP CENTIMES ET MARITIME Organe Républicain Démocratique de la Région Paraissart Annonces et Réclames Annonces judiciaires (la ligne)... Annonces volont&ires Réclames 2 0 o. 2 B o. BO o. Les annonces sont reçues au bureau du tournai et, à Paris, dam toutes les Agences. On traite à forfait pour les annonces répétées plusieurs fois. les JEUDI et AVIS DE CONVOI Vous èles prié d'assister au convoi et à la cérémonie funt'-ljre île Monsieur A n i i a n d l i i T i i Maître-Imppimeup Directeur de I' • Union Agricole i Maritime» et de la • Côte d'Armor » Président de la Société de Panification > La Famille » décédé à Quimperlé, le Jeudi 21 Août 1913, dans sa 44" année, muni des sacrements de l'église. La cérémonie religieuse aura lieu en l'église parc-issiale de SainteCroix de Quimperlé, le Samedi 23 Août 1913, à 4 h. de l'après-midi. Le deuil se réunira à la maison mortuaire, 9 bis, plaoe liervo. /)e profundis j. !... De la part de' Mme Veuve .VrinaïKl GAUTIEU, son épouse ; île Mlles Jeanne et Solange Uautikr, ses lilles; des Familles G A U T I E R , Hobitaillik .Directrice : M - " " V ^ " Armand G A U T I E R RÉDACU-ION, ADMINISTRATION A ANNONCES A Q U I M P E R L E , Plaoe Hervo. n* 8 bis Tikl_Ar>HONK. N' B Adrestâ Télégraphiqut : Union, Quimperlé et SABLÉ. r- La • •> ri 1011 des'Rcactionnaires La politique n'est pas si difflc^e qu'on se l'imagine. Lorsqu'on discute, même avec un ami qui n'est pas do voire avis, on le traite de réaclionnaire pour que les imbéciles vous donnent raison. C'est simple et à la portée de toutes les intelligences. Les dirigeants du Comité exécutif du parti radical et radical-sociàliste n'ont pas d'autre politique. Dès que vous n'admirez pas la force de leur raisonnement ordinaire, ils vous qualifient de profane rétrograde, c'est-à dire de réactionnaire cabotin. Aussi ne soyez pas étonné qu'il y ait tant de réactionnaires, alors qu'ils ont toute la peine du monde à faire élire un de leurs candidats. Mais lorsqu'il n'y en a plus, il y en a encore. Demandez à M. BoufFandoau ? Actuellement, ils sont agités. Ils dressent les listes de proscriptions, qu'ils lanceront comme une bulbe d'excom- [3î] Feallleton de V Union Agricole Coqueluche \ er par Pierre SALES PREVJluRE PARTIE IX Le triomphe du poète * * Il était >1 SDcbanté de lut-môm », et si emporté dans son Inspiration po6tlqae qa'il n'avait pas entendo la porte s'oa vrlr... et qu'il fallut qu'an souffla tflleurât presque sa nuque pour qu'il s'apergut qu'il n'était plos seul... un souffle dAlicieuz, parfumé, et dégageant un cbarme al magoètique que Coqueluche frissonnait aussitôt Jusqu'au fond de son ôtre et se disait : * C'est la grande dame ! » Il en était si troublé a l'avance, lui qui avait ri au milieu de la grêle de balles qu'on lui décochait, qu'il osait à peine se retourner. L a forme féminine se penchait sur lui, effleurait son épaule, et une main flnalement gantée se posait sur ses vers, tandis que ces mots étaient dits avec une ironie t r è s tendre : — J e ne vous savais pas poète 1 Coqueluche eut la sensation certaine q^all <leT«iuU cramolfli. S t tandis qu'U l o II est certain que les électeurs se trouveront amenés, par là'- force des choses, à se prononcer entre les trois politiques eu présence et en concurrence dans le pays : la politique d'entente, ouverte ou déguisée, avec les révolutionnaires, nécessairement démagogique et contraire a u x intérêts généraux ; la politique franchement réactionnaire des anciens partis, demeurés fidèles à leurs espérances et comptant, pour les réaliser, sur les divisions et les fautes des républicains ; et enfin la politique démocratique d'action sociale et de concorde nationaler sans compromis sion, ni avec les partis de réaction, ni avec les partis de désordre, orientée inlassablement vers le progrès, généreuse et tolérante ; C'est la nôtre. Politique essentiellement et exclusivement républicaine, — faisant appel à tous les Français pour la défense nationale, mais rien qu'aux républicains — à tous les républicains, sans ostracisme, ni exception, — pour la défense de ia République. Il n'est pas de doctrine plus orthodoxe, plus inattaquable au point de vue des traditions du Parti républicain. Aussi convient il de dédaigner les allégations de ceux qui s'obstinent à nous la reprocher comme une sorte de trahison ~ allégations fantaisistes dont, l'absolue injusti-îe est évi lente pour tous les hommes de bonn^ foi. Les réfuter, ce serait du temps perdu, puisqu'elles ne reposent sur rien et que les faits qui, prétend-on, les motivent, sont imaginaires. Le Parti Républicain Démocratiq'ic \ord-Ouest DIMANCHE MARCHE VERS L'AVENili ! t du ne procède, ni par intimidation, ni Les abonnements se faient d'avanet, sauf conven. fions ils parlent du i" ou du iS de chaque mois. On s'abonne au bureau du journal. On peut s'abonner également, sans frais, dans tous les bureaux de poste, ou encore en adressant tin mamtat-poste au Directeur, Mme Vve A. GAUTIER, place Bervo, à Qutmferlé. doute co qui (xpliqiie leur ,pré/ërcnce pour les. nioulotip, p rce que ces animaux inoflensifs suivent en bêlant le ^berger ou le boucher qui les conduit. Une des futures victimes des inspirations du Confjilé exécutif s'est donnée la peine superflue de confectionner une statistique pour les éclairer, statistique que nous reproduisons sjins songer à les convaincre : A la Chambre, pour la loi : .TKS voix ; contre .204. Au Séiat, pour : 2'1-1 contre 30. Si on défalque de ces chiffres les sociàHstes unifiés el les conservateurs, on trouve : A la Chambre, pour : 289, contre : 131. Au Sénat ; pour : 213, contre : ;îO. C'est parce qu'il y a trop de réactionnaires, disent-ils ! Il faudrait pourtant s'entendrp : vous écrive/ de temps à autre qi c 1 réactionnaires sont déci;rn , qn'ils nVxistent plus. Comment se iMi il .^u ils ressuscitent en si grande abondance? M. Camille Pelletan, qu'il faut toujours citer en pareil cns, explique ce mystère de cette fa(;on. Le.i jjarlis de droite, par sommation, mais seulement par persuasion. Son unique instrument que le corpa électoral décime chaque d'action, c'est une inlassable propagande ; c'est l'affirmation constante de fois qu'on le consulte, ces partis que le ses doctrines. S>n respect des convictions d'autrui, ses égards pour les pays désavoue et réduit à l'état'di rnipersonnes sont pour lui une règle invariable: sa volonté de servir uni- no7'ité de plus en plus faible, reprenquement les intérêts de la F r a n c e et de la République est absolue. « Il nent l'amntacje a mesure que la France les condamne : Ws noMS ont donné un n'exploite pas la République », il n'est pas « un parti de profiteurs et de président de la République ; ils forment parasites Il est, et il ne veut être que ceci : Un groupe jde citoyens de la majorilé du ministère ; ils imposent bonne volonté passionnément 'et exclusivement attachés à l'idéal répule service de trois ans, repoussé par la blicain d'émancipation, de fraternité et d'honneur national. . i . majorité des républicains ce n'est pas trop de dire que, de ptfs Comité local de l'Alliance Républicaine Démocratique. ^ous regrettons vivement la disparition prématurée de M. Armand GaïUier, nous plaignons, avec ta ville entière, la douleur des siens ; mais, si les hommes, même jeunes, succombent ainsi, les idées de liberté et de justice leur survivent ; M. Thiers aoait fait inscrire sur sa tombe. « Il a aimé sa patrie et il a eu le culte de h vérité » Notre ami, — et c'est son honneur — mérite qu'on lui applique la même épitaphe. en plus ils gouvernent. (Dépêche de Toulquse, n° dullAoul). ' Si les réactionnaires se mulliplienf aussi miraculousemenl, c'est qu'on est généralement le réaclionn-iire de quelqu'un. Ainsi, les exécuteurs du Comité radical el radical s c i a l i s l o sont à leur municalion au Congrès de Pau. La première charrette qui conduira à la guillotine radicale les ministres DumonI, Clémentel et Massé, grince déjà sur le pavé de la rue de Valois. Peut être M. Kloiz y sera-t-il aussi hissé? Mais où les exécuteurs sont embarrasses, c'est lorsqu on leur fait remarquer que deux de leurs vice-présidenls sur trois méritent le couperet. Et ces dignitaires ne sont pas de la « pelile bière » ! Il s'agit de MM. Doumergue et Trouiilot, deux anciens minisires, doni les lumières aveuglent leurs amis poliliques. Pourquoi aussi ont-ils vo!é la loi « réactionnaire» de trois ans? M. Clé menceau l'a bien volée, mais les radicaux qu'il a enfantés le laissent tranquille. Ils préfèrent guillotiner ceux qui ne crient pas trop fort. C'est sans tour exécutés par M. .Jaurès, qui les trouve bien réaclionnaires. Il est vrai que M. Jautôs traitait de la même sorte son ami allemand Bebel, qui vient de mourir. Le citoyen Bebel était patriote, donc archi-rétrograde pour M. Jaurès. Le 7 mars 11X)4, au cours de li discussion du budget de la guerre au Reichslag, il s'écria au grand scandale de nos socialistes antimilitaristes . « Si jamais on attaquait TAilomagne, si son PX S tence était en alors, jo vous en donne ma parole, du plus je-une au plus vieux, nous serions prêts à mellre le fusil sur l'épaule et à marcher. Et si je parle ainsi, ce n'est pas pour vous plaire à vous (la droite) mais pour nou?, car cette terre est aussi notre Patrie. reloarnait enfla, ses yeux clignotèrent... Et quel bourdonnement exquis en son oreille, d'entendre une belle voix chaude murmurant : Coqueluche balbutia aussi cette v s g a e réponse : — Lieutenant, aux... a u x hussards de la reine... En face de qui, diable ! ne trouvait-Il?... L'habitante de ce logis ?... Oa quelque servante?... Peut-être une demolFoUe de compagnie venant en avance ?.,. Mais allalt-ll le lui demander ?... risquer de compromettre la gronde d a m i qu'il devait sauver? Décidément 11 était lancé dans une aven ture bldn compliquée... mais combien charmante 1 — Vous faisiez donc des vers à la reine, monsieur le lieutenant ? Ces mots avalent été pronorcés avec un petit rire, sentant l'embarras, la timidité. — Elle est si belle ! avoua-t-ll. — Vous la connaissez donc ? — Si Je la connais ! C'est-à-dire que... pour être franc... voyons... . Il réfléchissait ; et bien sincèrement : — C'est peut-être pas de l'avoir vue... ce qu'on appelle vue.,, que je pourrais dtre que je la connais 1... Mats j'en ai tant en sous les yeux, de ses portraits !... — Oui... on les vendait par milliers, le jour du couronnement... E t . . . sur un Hlmple portrait... vous voici presque amoureux, monsieur le lieutenant ? — Est ce que toutes les femmes de ce pays ne méritent pas qu'on soit toqué d'elles I... mais surtout de la reine... Ah ! ce qu'elle doit être gironde ! L a paysanne parut légèrement stupé- faite : elle croyait pourtant bien connaître la langue franç<»lge ! et elle ne voulut pas demander d'explications sur ce terme... pea!-être unedernlère expression dn parisianisme?... Un assez long moment, elle regarda le lieutenant, el se laissa bleu dévisager par lui. Nouveau venu, sans aucun doute, aux hussards de la reine, II ne connaissait pas encore la souveraine. Il était inutile, en ce moment du moins, de le détromper. Mais que faisait-il là?... Etait-ce qu'il attendait?.. Appartenait-Il au grand-duc Frllz, qui s'était servi de lut, soit pour le guider, solt pour lut faire prendre patience en attendant qu'il arrivât lui-même ?... N'avalt elle pas compris que la volonté dn trio ministériel, soutenue par les pernicieux et conseils de sa mcre, ne l'envoyait à sainte Eudoxte que sous la protection du grand duc Frl'z, cousin du roi, en qui son époux mourant l'avait presque remise?... Ils se contemplaient toujours l'un l'autre, brûlant de se parler... ne l'osant pas. Coqueluche d'ailleurs commençait à ne plus sentir aussi vlvempnt la nécessité de sa mission : tout, bientôt, s'évanouissait devant cette créature, au moins aussi belle que la r e i n e . . qni avait même quelque ressemblance avec elle... 11 osa le dire. — J e parle qu'elle n'a pas de plus beaux yeux que vous, la reine de ce pays ! Fut-ce le plaisir causé par cette admiration?... Qa un trouble réel ?... A. R. D. Duss(5-je à vos beaux yeux paraître ridicule... Mais voili que ce n'était p»s du tool la grande dame qa'll attendait 1 II n'avait en face de lui qu'une paysanne... JcllmeDt séduisante par exemple, avec des yeux magnlAques, les yeux qui lisaient si bien ce vers : Dussé-je m'attirer un regard de travers, E ' une bouche adorable qui prononçait st câltaement : .le vais vous faire un don, un don bien minus[cule, Kl n'ayant rien de mieux, je vous oll're mes [vers.. Coqueluche ne réfléchissait pas encore k cette anomalie d'une paysanne grégo rlenne capable de lire si bien le f r a o ç t l s : il entendait ses vers et en perdait la boule I Ne raurait-ll pas perdue, d'ailleurs, rien que devant cette taille si ronde, si souple ! devant ce cou qui se trouvait tout prôi de ses lèvresà lui... qui semblait s'olTrlr !..i Mats la paysanne, ayant flai de lire les ver» et regardant enfln Coqueluche, avait en un mouvement en arrière : — J'avais cru 1... balbutiait-elle : vous... vous ôtes donc nouvellement aux hussards de la reine, monsieur le lieutenant ?... car je croyais bien en connaître tolus les officiers 1 A B O N N E M E N T S (UN AN) Quimperlé (ville) 6 fr Finistère et départements limitrophes e — Autres départements 7 — Colonies et étranger io - iNous nous défendrons jusqu'à noire dernier souille, je vous le jure ! » — Peut-on être réactionnaire à ce point là se dit M. .Jaurès ? Oui, et on ne s'en porte pas plus maL Souhaitons à notre pays beaucoup d j réactionnaires de cet ordre, c'est-à dire beaucoup de patriotes. René SALLMS. Au Jour le Jour F r a n c e et Russie La mission française a assisté, à Krasnoié-Séio, il la revue du régiment PréoIjaJensiii, qui a eu lieu en présence de l'empereur, à l'occasion de la fête du régiment. Au Imnquel qui a suivi, de nombreux toasts ont été portés des deux parts. Le Izar en personne en a clôturé la série en IjuvanL à la glorieuse armée française, au général Joll're el au.x officiers de sa suite. La musique de la garde a ensuite exécuté la « .Marseillaise » que tous les assistants onl écoutée debout. Ztes ffénéranx décorés J'offre et d'A.ma,r par le tza,r Le tzar a décerné au général Jofl're la plaque, avec diamants, de l'ordre de Saint Ale.xandre Newsky, el au général d'Amar les insignes de l'ordre de l'Aigle Blanc. Tous les autres membres de la délégation française onl reçu des décorations ou des cadeau.x précieux. flS»' Dans les Balkans La situation balkanique continue à demeurer excessivement troublée, et les informations les plus contradictoires circulent relativement aux intentions des belligérants en expectative. Il semble, toutefois, que l'intervention officieuse et pacifique de la France, de la-Hu-sio, et même de IWlIemugiie, doive amener une détente prochaine, tant entre les allies balkaniques qu'enlre ceux-ci et le gouvernement ottoman. — Aux observations qui lui ont été faites par les représentants des puissances. la Porte a déclaré qu'elle n'avait Jamais ou l'intention de faire franchir à ses armées l'ancienne frontière lurcol)uigare, ni de s'installer en Thrace el à l'ouesl (le la .Marilza. De son côté, le grand vizir a affirmé que l'armée turque avait arrété S(>n mouvement en avant, ayant reçu l'ordre formel de ne pas l'aire un pas de plus. — 11 n'en est pas moins vrai que les Grecs ont dû évacuer Dédéagatch, port important de la mer Egée, situé entre Cavalla el Kud. Les Turcs auraient réoccupé cette ville. — On annonce de Soda que la démobi- A cet instant précis, comme un voile s'étendit sur le feu de ces beaux y e u x ; et, on même temps, la paysanne grégorienne se laissait aller sur un siège... sou coude tombait lourdement sur la table... sa tête s'appuyait sur sa main... — Ah , mon Dieu ! . . murmurait-elle, mon Dieu !... qu'al-ja donc?... Sainte Eudoxte 1... Pourquoi suis je lasse ainsi?... Ses yeux s'étaient clos, son corps s'affaissait encore. — Eh bien, eh bien, ma petite I... lastantanément, Coqueluche allait, sans hésiter, jusqu'au bout de sa galanterie, osait prendre la taille de la jeune femme, qui semblait prête à défaillir. Elle prononça alors... mais à peine... ces mots : — Qui vous envole?... Si c'est le granrt duc F r l ' z ? . . . Ce furent les dernières paroles qu'entendit Coqueluche. Avant qu'il eût répondu, tl sentait ce corps, qui s'alangulssait tout entier, s'abandonner presque dans ^es bras. — Ah 1... Ah çà Elle va pas roe tourner de l'œil I... E t si je m'occupe de celle c l . . e t si la grande dame arrivait tout à coup I... Mademoiselle t mademoiselle ! . . Les yeux de la paysanne se rouvraient, malsavecuneexpresslonétrange... Voyaitelle réellement?.. Oa quel désordre s'emparait de son esprit, qu'elle souriait i inconnu?... lisalion est complèlemenl terminée. Les troupes roumaines quitteront définitivement le territoire bulgare le 28 de ce mois — La Roumanie a consenti une indeumilé à la Bulgarie en compensation des dégâts occasionnés par ses troupes pendant leur s é j o u r sur le territoire de cette nation. Les communications télégraphiques et par voies ferrées ont été reprises entre les deux pays. — Une dépêche de Solia dit que l'uliase ratifiant le traité de paix paraîtra incessamment. Il sera soumis à la sanction du yobranié, dès l'ouverture de la session d'automne. L'échange des ratifications se fera ii Rucharest. L e premier sauvetage aérien Un dirigeable en panne remorqué par un autre dirigeable Pour la première t'ois s'est produit un sauvetage aérien. Le nouveau dirigeable militaire Ela, qui a fait sa première sor• tie lundi v i e n t d e p r ê t e r a s s i s t a n c e à u n dirigeable de la marine dont les moteurs • ne fonctionnaient plus et l'a remorqué, • iiu moyen d'un oAble, Jusqu'à son hangar îi Farnborough. Le trajet ainsi parcouru par les deux dirigeables — 15 kilomètres — a été fait en .Ti minut.es. ' c8» Aviation lloland Garros, revenant de Commercy avec un(> passagère, de conserve avec Audemars, a été obligé d'atterrir au paro (le Hejiiival, près de Meaux. à la suite d'une panne do moteur. — On a n n o n c e de S a i n t - P é t e r s b o u r g q u e l'aviateur .lanoir, dont l'absence de nouvelles n'avait p a s laissé d ' i n s p i r e r de sér i e u s e s i n q u i é t u d e s , vient d ' a r r i v e r enthi, en très bonne forme, à l'aérodrome de c e t t e ville. Secrétaires de mairie r é s e r v i s t e s L'appel sous les drapeaux des réservistes secrétaires de mairie pouvant avoir une répercussion fâcheuse sur les opérations préparatoires à l'incorporation de la classe 1913, M. le ministre de l'Intérieur à décidé que toute demande émanant de cette catégorie de réservistes, et tendant à ne pas etl'ecluer de période d'instruction avant le lô septembre prochain, devait être favorablement accueillie. É e s relations postales franco-hollandaises X e télégramme de presse à demi-tarif M. A. Massé, ministre du Commerce, de l'Industrie, des Postes et des Télégraphes, a décidé, après accord avec les administrations néerlandaises et beiges, d'étendre aux relations entre la France et les PaysBas (voie Belgique), les dispositions prévues en faveur des télégrammes de presse. Ces télégrammes bénéficieront d® la réduction de 50 0/0 sur le tarif normal par la voie précitée, c'est-à-dire qu'ils acquitteront une taxe de huit centimes par mot. .M. Massé poursuit actuellement des pourparlers pour l'adoption du même régime dans les échanges avec la Belgique. Il espère faire aboutir prochainement les négociations. AU PROGRÈS Maison QUETTIER 55. niB du Port — LORIEIMT (à droite en descendant la Bove) LA P L U S A N C I E N N E LA P L U S I M P O R T A N T E LA'MEILLEURE MAISON D'HABILLEMENT p o i r H u i i » . JeiiQBS Qens&Eiiliuits Maison de Oonflanoe consaorèe Ipar 4 5 anside.Succès E t comme II essayait de la soulever, se dlsaat vaguement qu'il allait la porter dans la chambre... là haut — les bras, les bras frémissants de la Grégorienne enveloppaient son cou... 11 sentait son admirable poitrine battre contre lui... Le souffle parfumé qu'il avait eu tout à l'heure sur sa nuque, montait & ses lèvres, les attirait impérieusement... Coqueluche n'avait Jamais refusé sa galanterie à une femme aimante... E t n'était-ce pas l'amour peut-être pas un amour destiné à lui... mais de l'amour tout de môme, qui provoquait soudain entre eux une de ces minutes Inoubliables... oCi le monde entier disparait?... E t pouvalt-11 s'étonner de quoi que ce fûl, en ce pays, en cette nuit, où, depuis deux heures, il avait eu une Intensité de sensations qui balayait tous ses souvenirs I... Il s'était endormi, brisé de fatigue, meurtri par des chaînes, dans un cachot humide... Il avait comparu devant des juges souverains... 11 avait pu croire que sa mort était décidée... on l'avait envoyé A l'aventure... avec de l'or déjà donné... des balles à recevoir, qu'il n'avait môme pas saluées, comme 11 disait si crânement... Il n'était alors qu'un pauvre hère, complètement délabré... E t le hasard, comme dans un conte de fée, lui avait donné cette élégante livrée militaire... E t cette nuit de r ê v e lui amenait la créature la plus troublante, la plus voluptueusement passionnée... Ab I.M qae ce rêve ne cessât pas, si s'en GHROnUDE R B l i l Q l i L B Riiscij^neinenl Par arrêté en date d u ' 3 l Juillet 1913, M. le Président du Conseil, ministre de l'Instruction Publique et des Beaux-Arts, a attribué les bourses d'enseignement secondaire suivantes : Boifj's^'s (Vlnterml Lyct'te tic Brest. — A titre d'essai. — M. Dut'ount Pierre, domicilié cliez son père, entrepreneur de travaux à, Crozon ; M. Jannes Meiu'i, domicilié chez son père, instituteur à St-Frégant ; M. Le Treut Emile, domicilié chez son piire, Glief guetteur au sémaphore de PlougonveUn. Lycée de Quimper. — A titre définitif. — M. Burazer Hippolyle, domicilié chez son père, commerçant à Landeleau. A litre d'essai. — M. Loussouarn Denis, domicilié cliez sa mère, commerçante à. Penniarcli (Sl-Pierre) ; M. Maltret Jean, domicilié chez son père, couvreur à Scrignac ; .M. Merilhou Henry, domicilié chez son père, instituteur à Concarneau ; M. Stéphan Léon, domicilié chez son père, instituteur à Cast ; M. Brabau François, domicilié chez sa mère Mme veuve Bral)an, commerçante à Bannaleo ; M. Blcuzeu .loseph, domicilié chez son père, sousbrigadior des Douanes Ji NMzon ; M. ,lupin Emile, domicilié chez son père, ouvrier-soudeur, rue du Pont fi Douarnenez ; M. Imljault Jean, domicilié chez son père, préposé d'octroi i\ Quimperlé ; M. Qoyat Jean, domicilié chez son père, gardien du phare d'I3ckmiUl à l'enmarch ; .M. Geslin François, domicilié chez son père, commerçant fi Ghûl.eauneuf-du-Faou. Gollège do Morlai.x. - A litre définitif. .M. Brigand Auguste, domicilié chez son père, l'olrailé dos clioinins de fer de l'Rtat, Ji Plouégat-Guéranil. A titre ii'essai. — M. Lesago Pierre, domicilié chez son père, maréchal des logis de gendarmerie, fi Ploudalmézeau. Lycée de Lorient. — A titre d'essai. — M. Gaiidiii Alexandre, domicilié chez son père, 15, (Juai Brizeux, à Quimperlé. Lycée de SI Quentin. — A litre d'essai. — M. Hemery Bené, domicilié cliez son père, insliluleur il i-euhan. noursex d'externat surveille [.ycée de Brest. — A titre définitif. — M. Gap François, domicilié chez sa mère Mme veuve Gap, 10. rue Villaret-Joyeuse, à Brest. A litre d'essai. — M. Lozach .Fean, domicilié chez son père, 2" maître mécanicien à Brest ; .M. Nicol Albert, domicilié chez son père, 1" maître fourrier à, St-Pierre Quilbignon ; M. Goal Yves, domicilié chez son père, ndrailé de la Marine à Brest. Lycée de Quimper. — A titre d'essai. — M. Briec Georges, domicilié chez son père, facteùr chef à Quimper ; .M. Lenogre Henri, domicilié chez son père, chef de Bureau de la Préfecture en retraite, Quimper ; .M. Le Peillet Georges, domicilié chez Mlle Le Peillet, couturière à Quimper ; M. Le Bec Yves, domicilié chez sa mère, .Mme Le Bec, ménagère à Quimper ; M. Boux Georges, domicilié chez son père, sousintendant militaire à Quimper. 3' Bourses d'externat Lvcéede Brest. — A titre définitif. — M. Audouard Robert, domicilié chez son père, lieutenant de Vaisseau îi Brest. A titre d'essai. - M. Haineval Cliarles, domn cilié chez son père, chef de Station, au BeîecqKerhuon ; M. Pouliquen Pierre, domicilié chez son père, paveur, à Brest; M. Aumont Firnest, domicilié chez son père, méea'nicien principal de la Marine, en retraite, à Brest; M. Bloc([uaux Fernand, domicilié chez son pere, adjudant d'administration du Génie, ii Brest ; .\L Grnix Marcel, domicilié cliez son pere, agent administratif de la Marine, à Brest ; .M. Germain Gilbert, domicilié à Brest, chez son père; M. Toby François, domicilié chez son père, maître mécanicien, à Lambézellec. Lvcéede Quimper. — A titre définitif. — .M. Hannou lùnile, domicilié chez son père contremaître de papeterie, ù Scaër ; M. Le Bihan Bo ger, domicilié chez son père, lletraite des douanes, à Quimper. A titre d'essai. — .M. Le Poupon Louis, domicilié chez son pére, imprimeur lypograplie, à Quimper. M. Kerneur Prosper, domicilié chez son pere serrurier, à Quimper.j M. Goyaud Maurice, domicilié chez son père contrôleur de la direction des contributions directes, à Quimper. Collège de Morlaix. — A titre d'essai. — -M. Le Bouder Yves, domicilié chez son père employé de magasin à St-Martin-des-Gliamps. iMouvemcut d'instituteurs Par arrêté de M. le Préfet du Finistère : M. Mahé Samson, instituteur à Moëlan était un 1 . . . car, jamais en ses vers, 11 ne parviendrait à en traduire la mémoire. Gomme 11 parvenait à la petite chambre, et se croyait déjà triomphant, 1 éprouva bien quelque résistance : e des ongles déchirèrent son cou... suprême coquetterie, simplement i car la belle Grégorienne était vaincue par le beau gamin de Paris. Il le croyait, du moins. Comment aurait Il pu deviner, d'ailleurs, que c'était un être à demi Inerte, ne se possédant plu», que les complications politiques et f a m i llales avalent envoyé à ce rendez vous ? Une galopade de chevaux l'arrachait... les arrachait soudain... à cette extase folle... E t , en môme temps, ils dislln guaient un pas précipité dans le petit escalier. L a paysanne se redressa... D'un geste égaré, elle repoussa son vainqueur. Une voix angoissée appelait du palier. Coqueluche ne comprit pas ce qui se disait ; mais ce devait être sûrement un appel terrifié. D'ailleurs, la porte s'ou vralt, et une autre paysanne paraissait, tenant la lanterne que Coqueluche avait allumée. Elle parla précipitamment. La belle Grégorienne se retourna pour jeter un regard de fureur, d'indignation, au pauvre Coqueluche abasourdi. Et 11 entendit ces mots, en bon français cette fois: ~ Misérable I... m'avez trahie 1 madame I St-Thamec), est nommé instituteur à Argol, en remplitcement de M. Boennec. M. Perros Laurent, instit,uteur adjoint au Guilvinec, est nommé instituteur à rfoëlan (St-Thamec), en remplacement de M. Mahé. Mme Pçrros, née Le Paou, institutrice adjointe au Guilvinec, est nommée insti utrice adjointe à Moëlan (St-Thamec), en remplacement de M. Gornou. Mlle Le Bris Louise, institutrice adjointe à Pont-Aven, est nommée institutrice adjointe à Elliant (école des garçons), en remplacement de M. Henry. Mlle Elies .Teanne, institutrice adjointe à Ploaré, est nommée institutrice adjointe Pont-Aven, en remplacement de Mlle Le Bris. M. Chapel Etienne, instituteur adjoint h Moëlan (St-Pierre), est nommé instituteur adjoint à Giohars-Carnoot, en remplacement de M. Gampion. Mlle Lecœur Pauline, institutrice adjointe h Névez, est pommée institutrice à Crozon (St-Laurent), en remplacement de Mlle Philippe. POUR ETRE CHIC voir à FtSHlON-HOOSE LORIENT Ses Chemises Ses Cravates Ses Chapeaux Prix inconnus Partout ailleurs Itinéraire du conseil de révision Août. - Jeudi 28, Quimper (éTrangers), à 14 heures ; vendredi 29, Fouesnant, 14 h.; samedi 30, Concarneau, i3 h . ; dimanche 31, Hosporden, 1-4 h. Septembre. - Manli 2, GhiUeaulin, à 13 h. 3 0 ; mercredi, 3, Pleyhen, 13 h. ; jeudi 4, Ghàteauneuf, 14 h . ; vendredi 5, Garhai.x, 14 h. ; samedi 6, Huelgoat,9h. 30; dimanche 7, Le Faou, 12 h. 30 ; lundi 8, Crozon, 13 h. 30; mardi 9, Ouessant, 10 h. ; mercredi 10, Ploudalmézeau, 13 h. 30 ; jeudi 11, Lannilis, 10 h. -45 ; vendredi 12, Plabennec, lO h. l."! ; samedi 13, Landerneau, 10 h. ; lundi 15, Quimper,.9 h. 30 ; mardi 16, Pont-l'Abbé, 14 h. ; mercredi 17, Plogastel St-Germain, 13 h. 30 ; jeudi 18, Douarnenez, 14 h. ; vendredi 19, PontCroi.x, 14 h. ; samedi 20, Daoulas, 13 h. 30; dimanchp 21, Ploudiry, 10 h. '; lundi 22, MMorlaix,;^ b.-30j mardi 23, Sizun, 14 h. 30; m ë r o r r a r ^ î , Plo'ûigneau, 9 h. 30; jeudi 25, Lanmeur, 14 h. ; vendredi 26^ St-Thégonnec, 13 h. 30 ; samedi 27, Quimperié, 13 h. 30 ; dimanche 28, Arzano, 9 h. 45 ; lundi 29, Bannaleo, 13 h. ; mardi 30, PontAven, 10 h. 30. lieu aux dates ef, dans les placf^s ci-après désignées » Place de Brest : A Brest (Hôtel de ville) le 18 septembre 1913 à 2 heures du soir. Place de Quimper : A Quimper (Hôtel de ville) le 20 septembre 1913 à 2 lieure^ du soir. Le public sera admis à prendre connaissance du cahier des charges et des autres pièces relatives à l'adjudication dans les hureau.v de l'Intendance militaire, dans les mairies de Quimper et de Brest. Quimperié Ecole primaire supérieure de garçons. — Voic.i les résultats obtenus aux examens pendant l'année scolaire 1912-13 : Bourses d'enseif/nement primaire supérieur. — Guyader, Le Flohic, Mahé, Oiier, Hannou. Brevet élémentaire. — 1" Session d'octobre 1912 : Charles, Le Du, UousseA" : 2" session île Juin 1913 : l) luguion, Colazet, David, Kerlioriou, Le Ilir, Pencoal, nobin, Rousseau, Striiillou, Le MerJy, Te.xier. Certificat d'études primaires supérieures. — 1» section agricole : Toupin ; 2" section générale : Rousseau, • Struitlou, Bauguion, Le Merdy, Cochennec, Le Hir, Le Du, Gonrmelen, Kerboriou, Salann, Leriche, Rol)in, Yvenat, Le Gall. * Concours d'admission aux écoles normales^ — 1° Quimper : Le Du, Guéguin, Le Touze, Le Lann ; 2» Rennes : Lasbieis, Rousseau ; 3" StBrieuc : Bauguion. Succès d'élèves et anciens élèves de l'école. — 1" Contributions indirectes : Le Oall, Morin, Piron ; 2" Postes et Télégraphes : Galvar, Gaillard,. Le Gall, Le Martelot, Salaun ; 3" Agentsvoyers d'Ille-et-Vitaine : Brenneur ; 4» Dessinateur au cliemin de fer de l'Etat : Gessou, Martin. Conseil Municipal. — Le conseil municipal s'est réuni salle de la Mairie, jeudi soir; pour la session ordinaire d'août. Un cas de force majeure nous oblige à remettre au prochain numéro, le compte-rendu de cette séance. Dernier écho des Courses. — La quête faite au cours du bal organisé à l'occasion des Courses de Kerlarec," par l'Union Commerciale et Industrielle de Quimperié, a produit la somme de 16 fr. 60 qui a été versée par les soins du trésorier entre les mains du Receveur municipal pour le bureau de bienfaisance. Fêtés Bretonnes. — Voici le prog r a m m e des luttes et des fêtes bretonnes qui auront lieu à Quimperié le dimanche 7 septembre 1913 : A 10 heures du matin, sur la place St-Michel. Airs de Cors de Chasse, par 1« « Bien-Aller (lennebontais ». Grand concours de Binious ; 1" prix, une médaille de vermeil et 70 fr. ; 2- prix, une médaille d'argent et 50 fr. ; 3* prix, une médaille de bronze et 40 fr. ; 4' prix, une médaille de bronze et 30 fr. ; 5* prix, une médaille de bronze et 20 fr. A 11 lieures, défilé des Binious, itinéraire : départ place Saint-Michel, rue Savary, rue La Tour d'.\uvergne, place Nationale (arrtjt), rue (le la Mairie, rue Isole, rue Thiers, boulevard de lu Gare (dislocation). A 1 h. 1/2, rassemblement du Comité, sur la place Saint-Michel et départ pour le Ghamp de ivUltes, Binious en tête. A 2 h. 1/2, lAittes Bretonnes : CHA.MPIONLes lutteurs engagés NAT d p : BRETAGNE. lutteront entre eux d'après un tirage au sort. Seuls les vainqueurs de la première série pourront ])rendre part au Cliampionnat, doté des Octobre, — Mercredi 1, Scaor, h 13 h. 45 ; prix suivants : jeudi 2, St-ftenan, 14 h. 4 5 ; vendredi 3, Championnat de Bretagne : Une ceinture Lesneven, 13 h. 30 ; samedi 4, Brest (1"), d'or, valeur 250 fr. et i:î0 fr.; 2' prix, une mé9 h. 30 ; dimanche 5, Brest (2'),. 9 h. 30 ; daille de vermeil, diplôme et 80 fr.; 3' et 4* lundi 6, Brest (3"), 9 h. 30 ; mardi 7, Lanprix, ex-œ.quo, médailles d'argent et 45 fr. diyisiau. 13 h. 3o ;' mercredi 8, St-Pol de Les perdants de la 1" série, pourront prendre Léon, 10 h. ; jeudi 9, Plouescat, 10 h. 30 ; part à. la deuxième série. — 1" prix, un' divendredi 10, Plouzévédé, 13 h. ; samedi 11, plôme et 50 fr.; 2', un diplôme et 40 fr.; 3' et 4" prix, un diplôme et 15 fr. Taulé, 9 h. 45 ; lundi 13, Briec, 14 h. Des médailles supplémentaires seront déNovembre. — Jeudi (5, séance de clôture cernées aux autres lutteurs : quatre primes Quimper, 14 h. de 10 fr. et quatre primes de 5 fr. s c o n t accordées respectivement aux lutteurs des Remonte Jeux séries qui n'auraient pas obtenu de prix. Le comité du dépôt de remonte de GuinAprès la deuxième série, dans l'arène des luttes, concours de costumes bretons : I " catégamp se réunira à Quimperié le lundi gorie, Costumes très anciens, 1" prix, une 2 J août h. 1 h. 1/2 du soir au Bourg-neuf, médaille de vermeil et 20 fr.; 2% une médaille près des promenades. d'argent et 15 fr.; 3*, une médaille de bronze Adjudication de la fourniture des et 10 fr.; 4», 5 fr. ; 5'. 3 fr. ; G', 2 fr. 2» Catégorie, Costumes portés depuis 18C0, fourrages à, la ration ù elfeetuer du l"'" novembre lOlîï au 31 octo- 1" prix, une médaille de vermeil et 20 fr.; 2', une médaille d'argent et 15 fr.; 3', une mébre 1»1 1. daille de bronze et 10 fr.; 4% 5 fr.; 5', 3 fr.; L'adjudication de la fourniture dés 0% 2 fr. fourrages à la ration à etlectuer du 1"' 3' Catégorie, Costumes modernes 1" prix une novembre )9i3 au 31 octobre 1914 aura médaille de vermeil et 20 fr. ; 2», une médaille d'argent et 15 fr. ; 3» une méjlaille de bronze et 10 fr. ; 4% 5 fr. ; 5% 3 fr. ; Of, 2 fr. Gavotte d'honneur, réservée aux personnes ayant pris part aux concours de costumes — Vous m'avez fait perdre des minutes bretons : 1»' prix, une montre et 10 fr. ; 2" une méprécieuses !... Vous, un officier 1... hussard de la reine 1 . . . avoir trempé dans ce daille d'argent et 5 fr. ; 3% 3 fr. ; 4», 2 fr. et pour les dix prix suivants, médaille de bronze. complot ? m'avolr tendu ce piège I La gavotte d'honneur sera accompagnée par — Pardon I pardon, la belle 1 ripostait les sonneurs de binious ayant remporté le pre Coqueluche^ qui se grandissait sous l'Inmier t rix au concours du matin. sulte : Louis PluRon, dit « Coqueluche ». Après la gavotte, reprise des luttes pour le n'a jamais trempé dans quoi que ce soit Championnat de Bretagne. •le pas propre... Surtout contre une fem Pendant les luttes, Airs de Corde Chasse, par me 1... Qu'on s'expllqae I... le >. Bien-Aller Hennebontais ». — Mats qui êtes vous, alors, monl'issue du championnat, dédié des lauréats, accompagnés du Comité pour rentrer en ville. sieur?... E t que signifie ce nom de CoLes binious primés devront y prendre part. queluch'» ? Vin d'honneur, olVert au champion, à la salle — Coqueluche, de Montmartre, pour des fêtes de la Halle Saint-Michel. vous servir, mademoiselle... ou madame... Danses aux Binious, sur la place St-.\Iichel. s'il y a quelque danger pour vous t... E ' si, par hasard... Ah çè, vous seriez t - y pas la dame à qui je devais porter un avis si pressant ? — Vous Teniez donc de la part du grand-duc Fritz ?... Mais quel temps je perds encore ! — On ne perd jamais son temps, madame, quand on s'explique netftment I... J e ne sais pas si c'est de la part du grandduc Fritz que je venais I... Mais au risque de ma peau, et moyennant mille balles, j'avais glissé au milieu des 11 es, pour venir dire à la dame qui devait arriver ici au milieu de la nuit... C'est y vous, alors, madame, c'te grande dame ? .. Et c'est-y de ma faute, si... vous voyant en pay«anne... et si belle 1... si belle, madame !... si douce au pauvre poète que je suis l... J e ne comprends plus rien du tout & ce qui se passe autour de moi... Mais je sois à Yoas, madame t Il se précipitait à ses genoux, lui prenait la main, la baisait ardemment. — Et vous m'accusez de trahison... Vous vous Imaginez que c'est moi qui vous aurais tendu un piège... alors que je suis prêt à mourir pour vous !....Eb bien, moi vivant, madame, on n'arrivera pas jusqu'à vous 1... Il se relevait, et vraiment magnifique, passait devant les deux femmes, descen dalt au milieu de la pièce, où il se plantait, les bras croisés, attendant les enne mis Invisibles, qui devaient en assez grand nombre entourer le pavillon : c a r le bruit des ^ e v a u x redoublait, avec des cliquetis de Ibabre... des ordres brefs... puis un peu de silence on devait tenir conseil, après «Toir bloqué la demeure. A 7 heures du soir. Banquet par souseription à l'Hôtel Morren, boulevard de la gare. A 9 heures, à la salle des fêtes, Grand Bal popidaire : prix d'entrée, salle. 0 fr. 25 ; galeries, 0 fr. 50. Xota. — La liste des engagements pour les luttes sera close le Jeudi 4 septembre, à 5 heures du soir. — Adresser les adhésions à M. Louis Tréguier, président du Comité, 11, du Couédic, Quimperié, ou an Secrétaire, place des Ecoles, Quimperié. Le Président du Comité, L. TRÉGUIRR. Société de pêche. — La s )ciété des pécheurs à la ligne de l ' T r o n d i s s e m e n t de Quimperié « La Gaule Quimperloise » se réunira le dimanche 24 août 1913, à 9 h.y du matin, salle de la Mairie à Quimperié Ordre du j o u r : Modilii-.-dinn et approbation des statuts. Communications diverses. Almission de nouveaux membres. Paiement des côlisations. N'<)ta. — Les m e m b r e s de la s o c i é t é q u i n ' a u r a i e n t pas r e ç u de c o n v o c a t i o n sont priés de c o n s i d é r e r celle-ci c o m m e en t e nant lieu. Les personnes, qui désirent faire partie de la société'sont invitées de s'adresser soit à M. Ch. Le Tallec, président, soit à .VI. Louis Gillard secrétaire. Aioëlan Fêtes. — Voici le programme de la été et du concours agricole qui auront ieu les dimanche 24 et lundi 25 août 1913 : Dimanche 2 4 août A 5 heures du soir. — Course de vélos. — Internationale : 1 " prix, 15 fr. ; 2", 10 fr. ; 3% fr. Lundi 2 5 août A 9 heures du matin. — Courses de chevaux. — Internationale. — Au trot : 1" prix, 20 fr. ; 2% 15 fr. ; .3% 10 fr. — Entrée, 1 fn. Internationale. — Au galop : l " prix, 20 fr. ; , 15 f r . , .3*, 10 fr. — Entrée, 1 fr. Communale. — Au galop : 1 " prix, 20 fr. ; 2-, 15 fr. ; 3', 10 fr. A 10 heures. - Concours de charmes pour jeunes gens au-dessous de 20 ans. — i " prix, 12 fr. ; 2% 10 fr. ; .3% 8 fr. ; 4% 5 fr. Cidre : 1" prix, 5 ir. ; 2», 3 fr. ; 3% 2 fr. ; 4«, 1 fr. Beurres : f » prix, 5 fr. ; 2-, 3 fr. ; 3', 2 fr. 4% 1 fr. Plantes fourragère!? : 1 " prix. 10 fr. ; 2*, 8 fr. ; 3', 5 fr. A 11 heures. — Course d'hommes : 1 " prix, 5 fr. ; 2*. 3 fr. ; 3», 2 fr. Course d'enfants au-dessous de 15 ans : 1" prix, 2 fr. ; 2-, 1.50 ; 3», i fr. ; 4', 0.75 ; 5', 0.50 ; 6*, 0.25. A 1 heure de l'après-midi. — Courses de véocipèdes. — Internationale : 1 " prix, 20 fr. ; 2», 15 fr. ; 3», 10 fr. — Entrée, 1 fr. Communale : prix, 20 fr. ; 2*, 15 fr. ; 3% 10 fr. — Entrée, 1 fr. A 2 h. 1/2. — Course attelée : 1 " prix, 40 fr.; 2', .30 fr. ; 3», 20 fr. - Entrée, 2 fr. A 3 heures. — Course en sacs : 1 " prix, 3 fr. ; 2', 2 fr. ; 3». 1 fr. Concours de fumeurs : 1" prix, deux paquets de 0 fr. 50 ; 2*, un paquet de 0 fr. 80 ; 3*, un paquet de 0 fr. 50. Concours de buveurs : 1 " prix, 2.50 ; 2% 2 f r . ; 3% 1.50 ; 4% 1 fr. ; 5% 0.50 (chaque concurrent devra se pourvoir de son litre de cidre). A 4 h. 1/2. — Grandes luttes bretonnes, 50 fr. de prix, prix d'honneur 15 fr. ou. un mouton. Jet du boulet : 1 " prix, 5 fr. ; 2', 3 fr, ; 3*, 2 fr. Baquet russe. Màt de cocagne. Danses toute la journée. Gavotte d'honneur. A 9 heures. — Grande retraite aux flambeaux. .\ota. — Le Comité ne répond pas des accidents qui pourraient survenir pendant les courses et les jeux. Bannaleo Incendie. — Mardi dernier, un incendie s'est déclaré dans un bâtiment couvert en chaume situé à Kernoal en Bannaleo. Ce iiàtiment mesurant 16 mètres de long, divisé en deux maisons, l'une servant d'habitation, l'autre de débarras, une écurie et un petit hangar ont été la proie des llammes. Malgré les ellorts d«s personnes présentes, le tout a été consumé. Les pompiers venus sur les lieux n'ont pu que noyer les décombres et préserver une meule de paille située à quelques mètres du foyer de l'incendie. Les causes du sinistré sont demeurées jusqu'ici inconnues. La gendarmerie a ouvert une enquête. Marc Valentin, locataire des immeubles mcendiés estime son préjudice à 2000 francs couvert par une assurance. Le propriétaire, M. Calvez du Trévoux subit une perte de 2500 fr. également couverte par une assurance. Concarneau Vols. — Depuis quelque temps, les cabines de nos plages étaient mises en coupe réglée par un malfaiteur, que la surveillance active de l'agent Le Meur ne réussissait pas à arrêter. Mais le ilair de ce zélé policier a fini par faire découvrir le coupable. C'est un j e u n e homme, Jean Marie Guéguen, 19 ans, habitant la même maison que Le Meur et qui n'opérait que lorsque ce dernier était couché. Vinfft cabines au moins, en moins d'une semaine, ont été ainsi cambriolées. Guéguen a été écrôué à Quimper. — M. Fabre, receveur des contributions indirectes, s'aperç-evant de la disparition d'une somme de [30 francs, surveilla sa bonne et la surprit revenant d'acheter des eliets avec l'argent volé. La domestique, Jeanne Doholou, 15 ans, avoua. Elle a été conduite devant le procureur de la République à Quimper. Douarnenez Zéa a Victoire » c a p o t e et * e b r i s e . — Le 14 août, M. Grosbonnet, propriétaire de l'appareil de Poirée, un biplan Parman type militaire, était venu à Douarnenez visiter le champ d'aviation et s'arranger avec l'Union du commerce et de l'industrie pour l'organisation de la fête. A trois heures le lendemain, l'aviateur Poirée accomplissait un vol magnifique qui dura une dizaine de minutes, puis atterrit sans encombre. Quelque temps après, il eflectuait un nouveau vol avec passager. Celte fois encore tout marcha à souhait. Le biplan survola a u - d e s s u s de la baie de Douarnenez et réalisa des virages tout i e simplement merveilleux. Dès qu'il put descendre, les spectateurs lui liront une ov&lion. L« l e r r a m , il venait d'en faire l'expérience, était un peu dur pour l atlérnssa^'e ave(^ passager ; l'aviateur l'oirée donna ren<l»'Z-vous, à sept heures, sur la pla^e du Ui8, aux personnes <|ui (l»;sireraienl prendr»* place avec lui. l'arini ces dernières, M. Louis de l'énanros, maire de Df'Uarnenex., élail inscrit en l('le de liste. ^^'.'oirée aurait pu s'en tenir aux deux vols qu'il venait de faire, mais la sympathie que la foule lui avait témoignée le décida & remonter une troisième fois dans le ciel. Ce fut alors une randonnée magnifique qui ne dura pas moins de trois quarts d'heure, pendant lesquels, Poirée survola particulièrement la ville de Douurnenez, ou les rares habitants qui ne s'étaient pas rendus à l'aérodrome, eurent le plaisir d'applaudir l'aviateur, qui se livra & des fantaisies ((ui donnaient le frisson et provoquaient l'admii ation. Mais le vollii qui revient h une vitesse vertigineuse. 11 s'approchedu lieud'atlen issage.ll descend mais que se passe-t-il ? Voici tjue brusquement, l'appareil bondit et s'élève comme une masse, les roues en l'air, tordu, brisé, il se renverse avec un bruit sourd. On s'empresse autour de l'appareil. L'aviateur se relève ; il fait quelques pas et s'ail'aisse. I^s médecins l'auscultent. M. Griou s'oll're h le conduire à l'hôtel dans son auto. M. le docteur Damey assiste le blessé qui, fort heureusement, n'est que légèrement blessé à la cheville gauche. Quand à la « Victoire », ce n'est plus qu'un amas informe de toiles déchirées etde (ils enchevêtrés et tordus. Le moteur paraît intact cependant et les roues n'ont pas trop soufl'ert. Mardi 2 septembre. — A 10 h., course aux rcrceaux, prix divers, cerceaux compris, 15 f r A 11 h., course de bicyclettes (locale), 3 viniges, prix, 15, 10 et 5 fr. Déclaration de Faillite » « W La récente liquidation judiciaire du sieur Tape-Lapoire, marchand de cycles, vient d'être transformée en faillite. Le syndic a relevé, au cours de la carrière de Tape-Lapoire, toute une série de •procédés commerciaux aussi ingénieux que peu recommandables. Ces procédés, après avoir permis au commerçant de gagner facilement des sommes importantes, se sont retournés contre lui et l'ont mené à la ruine. Tape-Lapoire achetait ii des prix très réduits de gros stocks de pneumatiques de qualité inférieure. Il les écoulait à des tarifs très divers, variant de 6 à 15 francs suivant la tête du client. Ce commerce était naturellement d'autant plus fructueux que ces enveloppes " s'usaient plus vile. Mais un j o u r , un agent de cycles, honorable et sérieux, vint s'installer dans le voisinage de Tape-Lapoire et lui fit une concurrence victorieuse en vendant e.xcluflivement des pneus m i c h e l i n . iNos lecteurs connaissent la qualité de l'enveloppe Nà tringles M i c h e l i n , vendue au prix u a i q u e de 10 francs. Les cyclistes de notre ville s'aperçurent vile qu'avec cette enveloppe et une bonne chambre rouge M i c l i e l i n k l'intérieur, ils pouvaient rouler sans ennuis, beaucoup plus longtemps et naturellement aussi beaucoup plus économiquement. Bientôt, le stock du sieur Tape-Lapoire lui resta pour compte et c'est ainsi qu'il se vit acculé à la faillite. sseîsMreîrst M à'idQltBs ï ioliap^eDt eoioplàtsnieDt •(«M iifto* èfi^kM LMmav. LA HERNIE A notre époque d'écarts de régime, de vie sédentaire, peu d'adultes échappent complètementaux hémorroïdes, à l'eczéma ou autres maladies de la peau. Lies HÉMORROÏDES peuvent, au début ne causer que do la gène, mai^ si on ne les soigne pas immédiatement elles entraînent de l'inllammalion, des pertes de sang et deviennent une source d'ennuis sans'Iin. Elles peuvent se compliquer de gangrène de phlébite hémorroïdaire et devenir mortelles. L'ECZÉ.MA. les dartres, l'herpès, le zona, l'urticaire les croûtes d'humeur, gour mes et vermicules des enfants, les boutons. rougeurs démangeaisons et autres maladies de la peau sont aussi douloureuses et tenaces que les hémorroïdes. Leurs causes sont nombreuses l Le^plus fréquentes sont une nourrituretrop échauflante et la constipation habituelle. TRAITEME.N'T. — Le traitement des hé morroïdes de l'eczéma et des autres maladies de la peau demande beaucoup de patience et (le persévérance. La première condition est que les .intestins fonctionnent régulièrement, résultat que l'on obtient à l'aide d'un laxatif léger. Les Pilules Digestives Poster sont dans ce cas tout indiquées de même que pour l a ç o n s tipation et les troubles digestifs. Le malade devra se soumettre à un régime rafraîchissant Ij'inflammation l'ir ritation produites par une afFection de la peau disparaissent rapidement grâce à l'emploi de l'Onguent Poster. Il a une action antiseptique, adoucissante et cicalri santé sur la peau malade. On peut l'employer sans c r a i n t e : il ne se dessèche pas et rie disparaît pas trop vite II a radicale ment guéri bien des cas d'eczéma rebelles depuis de longues années et préservé des milliers de personnes de l'opération des hémorroïdes II lés soulage rapidement et les fait disparaître d'une façon définitive Toutes pharmacies (3 fr. 50 la boîte) ou franco par poste: spécialité Poster, H. Ri nac, pharmacien, 20, rue Sl-Ferdinand Paris. Audicrnc liign» de Çnimper a n Raz. — Le Conseil municipal ainsi que les commerçants, industriels et contribuables d'Audierne, protestent énergiquement auprès des pouvoirs compétents, contre le projet d'une ligne de chemin de fer de Quimper à la pointe du Raz, sans passer par Audierne. Au cas où ils ne recevraient pas satisfaction, le Conseil municipal donnerait sa démission en signe de protestation. Hloi'laix Chute d*uu a r b r e a a pori de commerce. — Mercredi soir, vers dix heures, les maisons éclairées par la lum ière électri que se trouvèrent soudainement plongées dans l'obscurité. Un chône situé sur la propriété de M. de Lauzanne, surplombant le bassin dans le voisinage du port de commerce, venait de tomber sur la route, de vieillesse sans doute, car le temps était calme. Dans sa chute, il avait brisé tous les fils électriques reliant Morlaix, Carantec et les environs, soit cinq feeders de 45.000 mq et quatre pilotes, établissant un court-circuit de 440 volts et rompant les communications télégraphique» et téléphoniques avec la côte. Au moment, l'on voyait jaillir do fulgurants éclairs. Une équipe d'ouvriers'.répare en ce moment les dégâts, évalués de 400 h 500 fr. Cli&teaiineur-du-l'aoïi Voici le programme des réjouissances publiques données à l'occasion de la fôte communale annuelle, le 31 août, 1 " , 2, 3 et 4 septembre 1913, avec le concours de la fanfare municipale : Dimanche 31 août, ii8 heuroH du Koir, grande retraite aux llambeaux par les clairons ol la fanfare, avec le concours de la compagnie des sapeurs-pompiers. Lundi 1" septembre. — Course pédestre de demi-fond, prix divers 15 fr.; Course pédestre réservée aux jeunes gens au-dessous de IG ans, prix 5 fr. A 2 h. du soir, course de chevaux, au galop, prix 40 fr; 15 fr. et 5 fr. A 3 1 . , Course de bicyclettes (internationale), 3 virages, prix : 25 fr., 15, G et 4 fr. A l'issue de cette course, course de consolation. LA FRANCE DE Questions Nationales Réformes DEMAIN C r o y e z : : Malade depuis 25 ans I QuérI par le Trailemenl IVormand = Bénard = Monsieur Jacques KLEIN, négociant. 2G. rue des Augustins, ù. Ilouen, était atteint depuis 25 ans, tl'un eczéma lui causant d'atroces démangeaisons et de vives douleurs, il soull'rait tellement (lue son état général s'en ressentait. Désespéi-é d'avoir employé sans résultat toute» sortes de remèdes : dépuratifs, pommades diverses, eaux spéciales, etc., M. Klein résolut d'avoir recours au Traitement Normand Bénard. Le mal s'atténua aussitôt et M. Klein est aujourd'hui complètement guéri. « Je ne saurais jamais assez dire tout le bien que m'a fait le Traitement Normand Bénard, nous écrit-il, alors que tous les .autres remèdes avaient échoué ! •> Aussi conseillons-nous à tous ceux qui sont atteints de Maladies de Peau, Eczémas, Dartres, Boutons, Ulcères, Plaies, Maux de Jambes, Vices du sang, etc., de demander ù, l'institut Normand, :58, rue Armand-Carrel, à Rouen, l'intéressante brochure explicative illustrée, la(iuelle contient tous les renseignements et est adressée gratis et franco. — Prix du traitement, 0 fr., T'"" Pli'". Franco, G fr. GODépositaires : Quimperlé, Pharmacie Normale, HABIUAL ; Loriont, Pharmacie Normale, BOUTHELIKB, 7, rue des Fontaines ; Concarneau. Pharmacie MOCUDE ; Rosporden, Pharmacie GHAPEL ; ScaSr. Pharmacie KEREVEUR MESDAMES 1 lim^têêMarr— «••tv* G . H A B R I A L i ' De tous les fléaux qui s'abattent sur notre pauvre humanité, il n'en est pas causant autant de ravages que la HERNIE. Combien de personnes ont eu leur vie entière gâtée par cette dangereuse Infirmité. Combien d'autres, mal conseillées, ayant eu recours à de mauvais bandages, sont mo?tes dans les douleurs atroces de l'étranglement herniaire. Aussi notre devoir est d'informer nos lecteurs que M. A. EDOUARD, t'habite spécialiste herniaire est inventeur d'une nouvelle méthode qui fait disparaître aussitôt les hernies et descentes même réputées incurables et assure la guérison en quelques mois sans gêne ni fatigue, ainsi que le démontre cette récente attestation venant s'ajouter aux milliers de guérisons déjà obtenues et dont le nombre s'augmente chaque jour. Monsieur A. EDOUARD,. PARIS. Merci de tout',mon cœur. Grâce à votre merveilleuse méthode, me voilà guéri en quelques mois de deux hernies dont je souffrais beaucoup. Ce résultat a été obtenu sans gêne et tout en travaillant à la terre. Publiezle afin de prouver aux hésitants que vous méritez toute confiance; 18 Juillet 1913. l'WLHUN François, à Kerglolreè en Bédéné par Quimperlé. Hernieux. ne vous laissez pas tromper M. A. EDOUARD, 140, boulevard Richard Lenoir à Paris, est le seul spécialiste herniaire qui a obtenu le diplôme d'honneur. Seule la méthode Edouard peut vous guérir et mérite votre confiance. Nous conseillons donc d'aller voir le réputé spécialiste qui recevra à : QUIMPERLÉ, le vendredi 12 septembre. Hôtel du Commerce. Ceintures ventrières perfectionnées A. EDOUARD pour toutes les déviations des organes de la femme. PRIÈRE AUX CONSOMMATEURS de la chicorée Extra Leroux d'en retourner les vignettes TOUS LES ANS AU 30 AVRIL à M. A. LEROUX à Orchies (Nord). Les Vignettes non expédiées pour cette épo que sont valables pour les années suivantes. D'un goût exquis, d'un arôme agréaWe cette chicorée se trouve dans toutes les épiceries. EVITER LES IMITATIONS Cette infirmité effrayante par ses suites trop souvent mortelles, est arrêtée, prévenue, au point qu'aucun danger n'est désormais à redouter avec lar méthode de l'éminent spécialiste M. J . GLASER, boulevard Sébastopol 38» & Parist Aussi, avant d'acheter un bandage quelconque, les malades des deux sexes atteints de hernies doivent-ils demander à M. Glaser sa nouvelle et instructive brochure expliquant clairement comment la hernie se soigne et peut se guérir, et qu'il enverra avec la date de son passage dans la région. Etude de M® P I T O N , avoué à Quimperlé 12, rue de Quimper D'IIl POTIIÈQUES LÉGALES Suivant exploit du ministère de M" TAMIC, huissier à Quimperlé en date du 21 août 1913. A la requête de M. .lean Coulliou, célibataire majeur, cultivateur, demeurant et domicilié à Keranglien en la commune de Moëlan, pour lequel domicile est élu rue de Quimper n» 12, à Quimperlé en l'étude de M" PITON, avoué ; Notitlcation a été faite k M. le Procureur de'la République près le tribunal civil de Quimperlé, en son parquet au palais de j u s t i c e à Quimperlé, et à autres intéressés. " De l'expédition d'un acte dressé au grefl'e du tribunal civil do Quimperlé lo trente juillet mil neuf cent treize, enregistré constatant le dépôt fait audit',greffe, ce j o u r , par M'= PITON, avoué du requérant, de la copie dûment timbrée, collationnée, signée et enregistrée, d'un contrat reçu par M" KIÎRAIJTRET, notaire à Pont-Aven en date du vingtsept mai mil neuf cent treize, enregistré, portant vente de M. J e a n - J u ien Guillou, marin retraité, veuf en premier mariage de Marie-Françoise Bacon, et MmeChristina-MarieAnne Ollivier, ménagère, son épouse actuelle, les deux demeurant ensemble à Kercadoret en Moëlan, au prolit du requérant moyennant le prix principal de cinq mille sept cent cinquante francs, frais et charges outre, d'une petite propriété en fonds et édillces située au ieu de Kercadoret, en la commune de Moëlan, comprenant : 1» Maison d'habitation construite en pierres et couverte en ardoises, ouvrant au levant sur la route de Moëlan h Quimperlé par une porte et deux fenêtres au rez-de-chaussée, trois fenêtres à l'étage, composée de deux pièces planchéiées avec foyer au rez-de-chaussée, séparées l'une do l'autre par un couloir mennnt à l'escalier, sous lequel il existe un cellier avec porte, de deux c h a m b r e s à feu et un cabinet h l'étage, d'un grenier au comble di- visé en deux parties par une cloi- PHARMACIEN LAURÉAT Prixj'de rEcole de Pharmacie, 2 Médailles d'Or, 1 Diplôme d'Honneur Maison renommée TÉLÉPHONE. 3 4 EXTRAIT H E R N I E Urgentes Le numéro du 20 août de La France de Demain, organe du Comité Dupleix, contient plusieurs articles coloniaux d'actualité : C'est une curieuse étude de M. de Diusse sur les spahis sénégalais si acclamés à la revue du 14 juillet; un article de M. Emile Hinzelin sur 'Afrique du Nord ; un éloquent discours de M. Guénot, secrétaire général de la Société de géographie de Toulouse, sur l'expansion coloniale française ; une lettre d'un Annamite qui éclaire singulièrement la situation de notre colonie d'Asie, etc. Un remarquable article sur les idées fiscales actuelles souligne les dangers de la situation llnancièrc de la France et fait la critique des projets d'impôts nouveaux. Cet arlicle complète les récentes études de M. .Iules Roche sur la mOme question. Signalons aussi l'article de M. Louis Le Barbier qui précise la situation actuelle de notre marine marchande, et celui de M. de Hauvilie sur l'invasion des étrangers en France. Quelques beaux vers de M. Emile Hinzelin complètent ce numéro. Nous conseillons à nos lecteurs de demander un spécimen de La France de Demain, 2G, rue de Grammont, Paris. e t 42, Place Saint-Michet Q U I M P E R L E + est Guérie / I V o j r m a l o F l x a i ^ M L A O Î O •«•I «t rtirnlmm JTMs^iT A 2 11., f;oiirrffi lie chevaux, au palop, prix, 2niOet5fr. •Mercredi .'•! septemlire. — Foire. .I«mdi 'i .septembre. — A lo h., couri^e de chevaux, au galop (locale), prix, 12, 5 et 3 fr. A 3 h., l'V'te nautique, canards sur l'eau, courses à la nage, concert par la fanfare municipale. A 8 h., retraite aux flambeaux par la Fanfare avec le concours des sapeurs-pompiers. Tous les soirs du dimanche au .;eudi 4 septembre, danses au biniou sous les Halles. L'aviateur Poirée n'a capoté que parcequ'il a voulu éviter d'écraser la foule qui se pressait dans le champ d'aviation. Un elfet, poussé par un vent arrière fort violent, il n'avait d'autres ressources que d'atterrir brusquement au risque de se tuer, ou de foncer droit sur les spectateurs il a préféré risquer sa peau. 11 mérite d'être vivement félicité. pour gairlr *r*my(*> dans tonte ' la, Région ponr la. qualité de ses Produits P e . t r ê m e Jfodicite des l>rix DU P f ? l X - C O U t î A H T Beef-Lavolx ou Vin de Lavoix, la bouteille (hausse) Baume Victor, le flacon Ellxlr de Virginie, le flacon Grains de Vais, le flacon. Elixir Oupeyroux, le flacon Pilules Suisses, la boîte Pilules Plnit, la boîte Poudre Escouflaire (etcigarettes), 1. b. Poudre Legras, la boîte Phosphatine Fallières, la boîte Lithinés Qustin, la boîte Sirop Deschiens à l'hémoglobine... Musculosine Byla, grand flacon Solution Pautauberge Sediitz Chanteaud Gustave Chanteaud Charles Tisane des Shakers Vin Girard Jouvence de l'Abbé Soury Bfr.BO 1 75 33 75 2 10 33 5 0 »» 1 ))» 33 60 2 1 75' 1 95 »» 1 3 60 »» »» 33 1 50 1 95 3 90 3 50 33 5 0 (sauf Châtel Guyon Gubler — — Saint-Galmier Badolt — par 10 bout... Vichy St-Yorre — par 10 bout.. — — — — ! — — Source salée Vais Saint-Jean Vais Perle, 3» degré — ofr.eo • 0 80 0 70 0 40 0 35 0 40 0 35 0 70 G 70 0 70 0 70 0 70 0 70 0 70 0 60 0 65 , Assortiment considérable de B A N D A G E S B A S A V A R I C E S , C E I N T U R E S pour Dames. DÉPÔT GÉNÉRAL DES PRODUITS : Cadum (Savon et Pommade; — Dupeyroux (F,liv;ir Pastilles, Révulsif, Vin, etc.) — Jouvence de l'Abbé Som-y. — Pilules Foster. — Lithines du n Gustin. — Laxatif Miraton. — Traitement du Chartreux. — lîégénérateur Pulmonaire. — Urodonal. — Globéol-.Iubol. — Pulniosérum Bailly. 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La PHARMACIE NORMALE se recommande spécialement pour l'exécution scrupuleuse des ordonnances qui sont en outre facturées aux prix les plus modérés. son ; 2° un appentis au pignon nord de la maison ci-dessus, construit en pierres et couvert en ardoises, ayant cheminée au nord, composé d'un rez-de-chaussée et d'un grenier planchéié au-dessus ; il ouvre à l'est sur la roule de Moëlan à Quimperlé par une porte au rez-de-chaussée et une fenêtre au comble, au nord par une fenêtre au comble ; 3" un terrain devant ces édifices s'éten-'Jant jusqu'à la route de Mnël-n OtiimDerlé ; 4° une crèche au .M.d « si de a maison constr iilc on iiifrn's et couverte en ardoises, ;iy iiil grenier au-dessus 5» lieux d'aisance au midi de la crèche, construits en pierres et couverts en ardoises ; G" un puits avec pompe el lavoir au midi de la maison ; 7° une parcelle de terre sous labour et très petite partie sous lande, dépendant autrefois de Porz-Moëlan et nommée « parc lan bousséo » joignant au levant les articles précédents et la route de Quimperlé h Moëlan, au nord proDriélé à Joseph Mahé, au .couchant a vieille route de Porz-Moëlan et au midi terre à Auguste Drénou, le tout Ogurant'ii la matrice cadastrale de Moëlan sous le n» 1359 de la section C, sans e,xception ni réserve. Avec déclaration à M. le Procureur de la République et aux autres intér e s s é s que la notilicalion leur était ainsi faite en conformité de l'art. 2194 du code civil pour qu'ils eussent à prendre dans le délai de deux mois telles inscriptions d'hypothèques légales qu'ils jugeraient convenablos et que faute par eux de le faire dans ledit délai l'un meuble vendu au requérant serait et demeurerait en ses mains purgé, allranchi et libéré de toutes inscriptions ou charges de celle nature pouvant le grèver. Avec déclaration en outre à. M. le Procureur de la République que les anciens propriétaires dudit immeuble étaient : 1" Anna-.losépliine Guillou, 2° Viclor-Yves Guillou, 3" Félix-Louis-Marie Guillou, tous trois . enfants mineurs de .lean-JulienGuillou et sous Sii tutelle nés de son mariage avec Marie-Françoise Racon sa première épouse, décédée ; 4» Marie-Françoise Bacon, en son vivant épouse de Jean-.lulien Guillou ; 5" Pierre-Louis Drénou, el Francine Quéhennec son épouse, I de leur vivant cultivateurs à Porz Moëlan en la commune de Moëlan, G" MarieFrançoise Drénou, épouse de François Le lîris leur fille, 7® Auguste Drénou el Gatherine Torrec son épouse, cultivateurs à Porz Moëlan en la commune de Moëlan. Et que tous ceux du chef desquels il pourrait èlre pris des inscripUon d'il!/potlit-que léi/ale sui' ledit inimeul)le n'élnnl pas connus des requérants, il ferait lu présente ]mbHcalion conformément à l'avis du Conseil d'Etat du !) mai ISOl. Extrait par l'avoué soussigné. P. PITON Eludes de lY!" Yves-Marie Fournis, avoué-licencié à Quimperlé, quai Rrizeux, n" G, et de Wl« Worvan, notaire à S c a ë n VENTE de la commune de Scaër pour uoc contenance de 729 mètres carrf s et d'un revenu de 204 fr. 6'). .louissance au 29 septembre 1913. Mise à prix fi.xée par le tribunal 4 . 0 0 0 tr. D E U X I È M E LOT Au bourg de S C A E R Art. i". — Une Maison d'habi- t a t i o n à usage de commerce, composée de 4 pièces au rez-de-chaussée, 4 pièces à l'étage el grenier, ouvrant du nord sur la Grand'Rue par une porte et 3 fenêtres au rezde-chaussée el 3 fenêtres à l'étage. Art. 2. — Au midi de l'article précédent, une écurie et l e m i s e , cour avec passage par la petite ruelle en face de la maison Kersulec. Ces deux articles occupés par M. Rernard, débitant. Art. 3. — Au levant de l'article 1 " el faisant corps de bâtiment, u n e a u t r e m a i s o n d ' i i a b i t a t i o n occupée par Guyader, boulanger, composée d'une pièce au rez-de-chaussée, d'une pièce à l'étage et grenier, ouvrant du nord sur la Grand' Rue par une porte et une fenêtre au rez-de-chaussée et deux fenêtres à l'étage. Tous ces bâtiments sont couverts en ardoises. Ces trois articles figurent au plan cadastral de la commune de Scaër pous les n"" 1156 el llSGportion pour une contenance de 455 mètres carrés et d'un revenu de 375 fr. 82. Jouissance au 29 septembre 1913. Mise à prix fixée par le tribunal 1 0 . 0 0 0 fr. Pour plus amples r e n s e i g n e m m i s consulter le cahier des charges en l'élude de W MORVAN, notaire à Scaër ou s'adresser à M« FOURNIS, avoué poursuivant. Pour insertion sommaire EN DEUX LOTS !i 'l h. de rai)rès-mi(li E T PAU KN i / i h ' U D K LK MINlSTl'ciUO DE M ' MOKVAN N O T A I R E A SGAi:i\ DÉSIGNATION : l'HEMIEH LOT En la commune de SCAER. Au lieu de TRÉeANAN Art. l " . — Une itlnisoii d'habi- : Yves-Marie FOURNIS, avoué-licencié. i:iude de M' Bot, avoué à Quimperlé, Rue Savary, n''20 (ancienne Grand'Rue). V E N T E Par Licitation LE MERCREDI 10 SEPTEMBRE 1 9 1 3 à 1 heure de l apros-midi A l'audience, des criées du 7'ribunal civil de Quimperlé, au Palais de Justice, sis place Xationale. DE L PROPRIÉTÉ De Kerangargam Sise au lieu de ce nom. En la commune de JMelgrven. Canton de JBannalec. "Consistant en une maison d'habitation neuve, bâtiments d'exploitation, puits, aire à battre, cour, courtils, terres labourables, prairies el landes. Contenance environ 29 ha. 64 a. 45 ca. Mise à pri.\ : 4 0 . 0 0 0 fr. L'avoué poursuivant Em. BOT. par Licitation Judiciaire Lo Samedi <» Septembre Ittlîl ^ Etude de M" Gachet, notaire à Quimperlé ADJUDICATION AMIABLE EN D K U X LOTS l,e \ <»ndredi 12 septembre 101 î) à 10 h. du matin DE DEUX MAISONS t a t i o n couverte on ardoises comprenant au rez-de-chaussée le mouin el à l'étage une chambre, droits d'eau el autres appartenances. se Joignant, sises à Quimperlé, place J.ovi(jnon (ancienne propriété Le Goll). nommé Liors, d'une contenance de T) ares 54 centiares. , Le tout ligurant au plan çad^slral Revenu global 600 fr. Faculté de réunion des deux lots. Art. 2. — Un petit Courtii, dé- Mises ù prix :t.000 fr. A: 1 . 0 0 0 fr. S'adresser à M« GACllET. i:ni<lf! (lo, W C a c h e t , nntairf» à Quimpfirl/' Adjudication Amiable L E J E O D i 2B AOOT1913, à H F.u l'FAtula (le d.e M e - u t o l e s !l8QrBS GACIIET b r e t o n s se Joignant, avec écurie en appentis, sises à ^uimperlé, place Lovifinon, n" t>, appartenant îi M. Louis «lollobert. flevenu, 410 francs. iitude M" Barbe, notaire à Moëlan En PJEinde I-K I>1.)IA!\'CHE 3 1 A O U T I » I 3 H 1 heure de raprès-midi j|IAISO]\ nu Bourg de M O E L A N en face la Mairie, pouvant servir à tout commerce, avec écurie, re- Etudes (le IVI« P a u l M o r e l , avnuémise, cour, puits et jardin y attelicencié, 5, ru»^ du Palais à Quimnant. per el de M" M a n i è r e , notaire à Alise h p r i x ; 3 0 . 0 0 0 f r . Quimper. .louissance au 29 septembre 1913. A VENDRE Scaër La vente par adjudication se fera en l'étude de CUILLOU, notaire à Soaër, en un ou plusieurs lots, le JLnndi 8 Septembre, à 2 heures. Pour acheter ou louer, s'adresser h. M. Bertrand LE BIHAN, dé Mousterenn en Scaër. Elude de l»l« Lavolé, notaire à Plouay Adjudication Volontaire Le Nouveau Ca^tlogue Général Illustré ÉDITION 1 9 1 3 SERA A D K E S S Ë C H A N G E M E i ^ e A Looer pour le 39 Septembre prochain MAISON N E U V E , comprenant : rez-de-chaussée, 1 " étage et grenier, avec trois journaux de terre ahourahle, le tout situé en bordure de la grand'route de Bannalec à Scaër. A à VXE DEMANDE a c h e t e r de suite dans le Finistère partements voisins, et dé- Propriétés Fonds de Commerce M. J é r ô m e T R É G U I E R , vient de transférer ses Magasins et Ateliers' Rue de la Mairie. 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Nous informons aussi les agriculteurs que. en plus des articles de fabrication ancienne de la Maison, nous avons également créé tout récemment ou développé !a fabrication des Brabants, Faucheuses,Herses, Rouleaux etc., et que nous avons en magasins ii des prix réduits, un choix très important de ces divers articles. Nos magasins sont ouverts librement au public pendant les heures de travail. A V O n r l n A ^o^xhons chiens M VCIIUI c o u r a n t s dont ; un griffon A ans, l'autre mélange Bigne etgriflbn 15 mois. S'adrésserà M. BOUGEUE Joseph Locmaria. Guidel. UlVi: P R O P U I E T E Diverses belles parcelles de terre N F N P R QUIMPERLÉ Les Agriculteurs sont invités à venir visiter les E T A B L I S S E M E N T S S A V A R Y , O Ù ils pourront voir à tout moment en fonctionnement UN MOTEUR AGRICOLE, spécialement approprié pour actionner un Batteur et un Secoueur. • Socqiie.s, S u b o t s , e t c . 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BON OUVRIER boulanger est de- mandé 15-20 septembre. Bons appointements. Situation stable. S'adresser au journal Certifié par l'imprimeor. Va pour U légalisation de la signature ci-contre .Maine de Quimperlé. QUIMPERLÉ. — Imprimerie (Veuve A. GAUTIER Union Agricole et MarUime 3 0 * A n n é e ! a n» 6 8 Le NmÉko : CINQ CENTIMES Jeudi 9 Aoàt 1913 Organe Républicain Démocratique i de la Région du IVord-Ouesl ^ Annonces et Riolames Annonces Judiciaires (la ligne}. . . Annonces volontaires Réol&mes 2 0 o. 2B o. BO 0. Paraissant Les annonces sont reçues au bureau du journal et, à Paris, dans toutes les Agences. On traite à forfait pour répétées plusieurs fois. Pendant h Vacances Plus tardive que les a u t r e s a n n é e s p a r suite d e l a discussion prolongée de l a loi mililaire, l a séparation des Chamb r e s n'en a p a s moins marqué la détente habituelle d a n s notre politique intér i e u r e . Violemment combattu jusqu'à l a d e r n i è r e h e u r e , le Cabinet a réussi à , é v i t e r les e m b û c h e s d r e s s é e s s u r s a roule. Qu'importe que l a lutte r e p r e n n e bientôt, à l a rentrée, plus â p r e , plus a c h a r n é e . P o u r l'instant, jouissons, c o m m e le s a g e , d e l'heure présente et bannissons d e nos esprits les s o m b r e s appréhensions. Un optimisme relatif est de r è g l e en c e m o m e n t où l a d o u c e u r d e s villégiat u r e s retient la plupart de nos représ e n t a n t s e t tous c e u x , plus n o m b r e u x c h a q u e a n n é e , qui tiennent à d é p o s e r pendant quelques s e m a i n e s ou quelques j o u r s a u moins le lourd collier de servitude et à g o û t e r les a g r é m e n t s du repos n é c e s s a i r e el d'une diversion aussi favorable au c o r p s qu'à l'esprit. L a détente e x t é r i e u r e , p a r une coïnc i d e n c e heureuse, a c c o m p a g n e la dét e n t e i n t é r i e u r e : double motif pour é c a r t e r les inquiétudes trop vives. Accueilli a v e c c o l è r e en B u l g a r i e , le traité de fiucharest a tout de m ê m e éclairci l'horizon. L e s g r a i n s les plus m e n a ç a n t s s e sont dissipés si quelques n u a g e s plaftantucoea JP T^A qHî^^q b a i . kéniifïieaônTraiâon d e s e c o n g r a t u l e r et féliciter de la conclusion de la p a i x . Quant a u x a u t r e s puissances, a l o r s m ê m e que c e r t a i n s de leurs sec r e t s désirs aient é t é décrus, elles auraient g r a n d e m e n t tort de n e pas part a g e r c e l t e satisfaction a p r è s tant d'al a r m e s e l de complications. Aussi bien détournons nos r e g a r d s d e la péninsule mise pendant d e s mois à feu e l à s a n g et reportons-les s u r les faits qui s e déroulent chez. nous. P e n dant c e t t e période a p a i s é e des v a c a n c e s , c e u x , p a r m i c e s faits, qui retiennent d e p r é f é r e n c e l'attention c e sont n a l a r e l l e m e n t les d é p l a c e m e n t s do nos e x c e l l e n c e s ou bien du chef de l'Eiat. L e s h a r a n g u e s ministérielles s e succèdent presque tous les d i m a n c h e s el ne sont p a s toujours, c o m m e on pourrait c r o i r e , de v a i n e s manifestations o r a toires. Sous leur optimisme obligatoire — c a r l'on n'a j a m a i s vu un ministre m a n q u e r de confiance dans le g o u v e r n e m e n t qu'il r e p r é s e n t e — elles méritent d ' ê t r e lues a v e c le plus vif intérêt. E l l e s abondent en bons conseils, en sa. g e s a v e r t i s s e m e n t s , en rappels judicieux les annonces et surtout en élans confiants v e r s l'avenir. ' ' Ainsi que le faisait, il y a quelquïis j o u r s s e u l e m e r t , à l a c é r é m o n i e patriotique de Belfort, si é m o u v a n t e p a r les glorieux é v é n e m e n t s qu'elle a faite r e v i v r e , M. R a t i e r , g a r d e des s c e a u x , les ministres, en m ê m e temps qu'ils évoi^uenl l ' œ u v r e a c c o m p l i e tant au point de vue mililaire qu'au point de vue politiqiue et social, nous font c o m p r e n d r e les r a i s o n s multiples que nous a v o n s d'entretenir en nous la flamme des plus nobles ésp é r a n c e s . Ils s e complaisent à faire vib r e r la c o r d e patriotique qu'il n'a jamais été plus n é c e s s a i r e qu'aujourd'hui de tendre dans un réveil de toutes nos énergies. L ' a m o u r de la F r a n c e c o m m e icelui d e la petite patrie, confondue a v e c la g r a n d e , trouvent leur c o m p t e d a n s c e s exaltations nationales. J a m a i s noùs ne l'avons mieux c o m p r i s qu'en lisapl le magnifique discours p r o n o n c é dimanc h e à Bar-le-Duc par le président de la République en l'honneur d e l a L o r r a i n e . A v e c quels a c c e n t s é m u s el p é n é t r a n t s M. P o i n c a r é , r e v i v a n t s e s souvenirs d'enfance e l d e jeunesse, a-t-il parlé de cette province mul lée, g a r d i e n n e vaillante de la frontière, el ainsi doublement c h è r e à nos cœurs, de F r a n ç a i s . Dans s a forme d'un tour si littéraire el si délicat, vibrante du patriotisme le plus pur et le plus élevé, qui n'a rien de c o m mun a v e c le c h a u v b i s j i i e agressit-JrfiUft. h a r a n g u e a fail p a à s e r én notrè'^Sriie'fé frifrson des plus douces émotion^. El elle contribue ainsi, p a r l ' h o m m a g e rendu a u x verlus d'une de nos plus belles provinces, à c e réveil des é n e r g i e s nationales qui, s a n s l a p a g e e l s a n s i p r o vocation, s'afHrme à noire h e u r e s o u s les formes les plus diverses, particulièr e m e n t p a r m i les j e u n e s g é n é r a t i o n s tournées de plus en plus v e r s l'action. rédaction, les JEUDI et DIMANCHE DIRECTION ADUimSTRATION A ANNONCSS A QÙIMPERLB, Ptaoo Hepvo. n* 8 bis T é U É ^ H O N K , IM» B Adreste TiUgrapMqut : Union, Quimperl6 c o u r s c o m m e celui deBar-le-Duo où tel a u t r e de m ê m e inspiration, prononcé dans une c é r é m o n i e publique, De semblables manifestations s e produisant dans la période un peu vide des v a c a n c e s , sont dignes d'être retenues puisqu'elles fournissent l'aliment le plus substantiel à nos réflexions naturellement inclinées à celle époque v e r s les distractions el le plaisir. Quand des occasions aussi f a v o r a b l e s nous sont offertes, applaudissons dans un élan d'enthousiasme a u x évocations glorieuses du P a s s é c o m m e a u x affirmations les •plus confiantes en l'Avenir. C'est de l'optimisme sain et du patriotisme de bon aloi. Eugène DREVETON. Au Jour le Jour Election Législative Lyon (8' circonscription) Inscrits, 26.135 ; votants 19.526. Ont obtenu : M. Pays, conseiller général, progressiste 10.289 voix. !• lu. M. Guy Ghambaud de la Bruyère, conseiller géréaal, radical-socialiste, 8.465 voi.v, M. I^oncet, socialiste unifié, 623 voix. Il s'agissait de remplacer M. Aynard décédé. Let abonntmenta se paient d'avance, sauf eonttn. fions Us partent du 1" ou du iS de chaque 'mois. On s'abonne au bureau du journal. On peut s'abonn*r égaUment, sans frais, dans tous les bureatix de poste, du encore en adressant un mandat-poste ài Madame Veuve A. GAUTIER, place Bervo, d QuimterU. L'envoyé Mexicain à Paris On a envisagé au quai d'Orsay la question de savoir si le président de la République recevra le nouvel envoyé mexicain à Paris, M. de la Barra, ancien président provisoire du Mexique, qui vient d'arriver ici. Le gouvernemenl français a bien reconnu le gouvernement provisoire dugéi:iéral Huerta. Mais cette reconnaissance n'implique pas que l'envoyé du Mexique soit admis à présenter ses icUres de créance tant qu'un président constitutionnel n'aura pas été régulièrement élu. C'est le point de vue auquel s'est placé le .lapon à l'égard du général Félix Diaz, qui est envoyé à Tokio en ambassade spéciale pour remercier le gouvernement du mikado d'avoir participé aux fêtes du centenaire de l'indépendance mexicaine. Bien que le Japon ait reconnu le gouvernemenl provisoire mexicain pour traiter les afi'aires courantes, il a fait savoir que le mikT-io n e r e c e , vrait pas le général Félix W.w/.. L a course Paris-Doauville en H y d r a v i o n On annonce la mort, en Norvège, du général Négrier, décédé subitement d'une attaque d'apoplexie, au cours d'une croisière à bord du vapeur Roi-HaroUl. Il était ilgé de 7i ans. Sorti de Saint-Cyr en 1859, de Négrier fil partie de l'armée de Rome de 1860 à 1863, servit en Afrique, el, a u d é b u t d e l a g u e r r e franco-prussienne, lit partie du ¥ corps d'armée. Blessé à Saint-Prival, il fut l'ail prisonnier avec l'armée de iVIetz, mais s'évada peu après pour rejoindre le général Faidherbe à l'armée du Nord. En 1883, le générai Négrier fut mis à la tôle d'une brigade du corps expéditionnaire du Tonl<in, et s'empara de Bac-Ninb, où il fui légèrement blessé, puis a Lang-Son, qu'il dut évacuer peu après. Rentré en France en 1887, il commanda la 1 division d'infanterie, puis, en décembre 1889, fut mis à la lête du 11" corps d'armée. Trois mois après, il passait au 7" corps d'armée à Besançon, où l'atteignit la limite d'âge. Fils et neveu d'oiriciers généraux restés célèbres, le général de Négrier passait pour l'un des chefs les plus marquants de l'armée française. Dimanche a eu lieu la course de l'arisDeauvilieen hydravion. Neuf concurrents étaient engagés. A 8 ii. 30 une bomlie an nonce le premier départ. Voici la liste des dèparls : 1 " , Weyman, sur monoplan 100 H ;P, à 8 h. 30 ; 2=, Levasseur, sur monoplan 110 H P, à 8 h. 36 ; 3' Prévost, sur monoplan 160 H P, à 8 h. 42 ; 4«, Janoir, sur monopian 160 H P, à 8 h. 48 ; 5% Molla sur biplan 80 H P, à 9 h. 2 ; 6% Ghemet, suri monoplan WO H 9 il. 8 ; 7% jlugère,; sur biplan 100 H P, à 9 li. 14 ; 8% de Montaient sur biplan 90 11 P, à 9 h. 20 ; 9«, Divetain sur monoplan H P, à 9 ii. 26. L'hydravion piloté par l'aviateur de Montaient s'est échoué dans l'île la Croix h Rouen ; celui-ci était accompagné du mécanicien Métivier. Tous les deux sont morts. L'un des deux aviateurs a été retiré de la Seine, la tète fracassée les j a m bes rompues : l'autre en toinl)anl a traversé le planclier d'une péniche. Le mécanicien Métivier était àgv de 30 ans et M. de Montaient en avait 27. Géo Ghemet, a accompli le raid en 3 h. 47, couvrant les 300 kilomètres à une vitesse de 84 kilomètres 500 à l'heure. Le vainqueur et son mécanicien sont portés en triomphe. L'aviateur Levasseur est arrivé second à Deauviile, à 4 h. 10. Parti second du •Pecq, il est arrivé premier à Rouen, malgré deux pannes de inoteur. Trois autres pannes graves l'ont arrêté en roule, lui faisant perdre le bénéfice de la premiè-re place. Levasseur a atterri très facilement, malgré les lames très fortes. 11 a été reçu par sa famille anxieuse, qui l'attendait depuis longtemps. 11 a déclaré que Weymann était resté en panne, ayant cassé une aile, et que la peux être tué... Mais tu passes, tu arrice à quoi je ne puis guère vous servir, veras à un pavillon de chasse... Ou me l'a mol, puisque Je ne connais rien de c'te bien Indiqué... T u y trouveras une maison... Mais Je vous garanti qu'il dame... Ë t tu lui diras ceci... » faudra m'avoir tué... et que j'en aurai décânillé quelques-uns avant qu'on songe Il répéta flévreusement son message. — E t vous ne m'avez rien dit, mal- seulement à vous poursuivre... Seulement, réussirez vous A filer ? heureux I... — Gai... cette fllle vient de me révéler Il murmura du bout des lèvres, avec que son père a creusé, sous son cellier, ane Indicible mélancolie lui aussi : — Ëllez-vous en état de m'entendre. un passage souterrain qui mène à cinquante ou soixante mètres dans la forêt, madame!... puisque... sans que Je puisse et qui lui permet, quand les braconniers m'expllquer par quelle magie... cela s'est le croient chez lui, d'aller les surveiller. faltl... De nouveaux coups étaient frappés, — Taisez vous !... Bt répondez m o l enavec brutalité, contre la porte d'entrée. fin si le grand-duc Fritz... — J ' s a l s pas si le grand duc Fritz était Très calme, la femme continuait : parmi eux. — Dans dix minutes, peut-être cinq, — Eux... qui? six. Je puis être hors d'atteinte... si, du — Trois vieux, dout l'un doit c t r e un moins, il n'y a pas de cavaliers à cent médecin... très cblo... et l'autre qui a mètres d'ici... et 11 est probable que non... l'air d'un finaud... et l'autre, sauf vot' resUs croient m'avoir enfermée... Ils n'y pect... UDô brute I avalent que trop bien réussi, hélas ! Un coup violent fut alors frappé contre — Mais puisqu'ils ne vous auront pas, madame 1 la porte du pavillon. — Difendez donc cette porte... et si on La servante prit la main de la belle réussit & la franchir, retenez tous ces Grégorienne, voulant l'entraîner vers la gens aussi longtemps que vous le pourcuisine. Mais sa compagne parlait encoire . rez... Mais soyez prudent, monsieur... c a r — Vous venez de me déclarer, monce serait un remords éternel, pour mol, si sieur, que vous étiez prêt à donner votre vous deviez succomber... E t quoi qu'il vie pour moi?... L e s antres vous ont advienne, je compte sur votre discrétion. offert de l'argent,... Mol, je sens en vous Vous étiez prisonnier .«. vous vous êtes un si simple courage... quelque chose de évadé... vous vous êtes emparé du cossi «bevaleresque... que je n'ajouterai tume d'un lieutenant de hussards... vous même pas une promesse de récompense... Sa récompense?... E s t - c e qu'il ne l'avait , vous êtes réfugié ici... où TOUS n'avez tronvé personne... voas vous défendez... pasdéjil... — Réassissez A sortir d'ici, madame... Mais qa'on voas refasse prisonnier I C'est le meilleur moyen de garantir votre vie... Ne vous laissez pas tuer, monsieur 1... que Je puisse vous sauver, à mon tour, moi aussi ! — Ah I madame ! s'écria Coqueluche, qui que vons soyez, mourir pour vous, foi de Parigot 1 ça serait presque aussi beau que de mourir pour sa patrie 1 — Avez-vous de quoi vous défendre, au moins ? — Vous parlez, la dama 1 Il montrait son sabre posé sur la table, et il tirait de la poche intérieure du manteau un magnifique revolver d'ordonnance. — Sans compter ceci l faisait-ll en montrant le râtelier de fusils du garde-chasse. Allez, allez vite, madame : et s'il vous faut dix minutes, et mcoae un quart d'heure, Je vous réponds que vous l'avez devant vous I Cependant les coaps redoublaient contre la porte du pavillon... avec des cris, des objurgations, puis des s i l e n c e s . . . pais de nouveau des paroles similaires à celles que Coqueluche avait vaguement distiogaées tout d'abord et qui, sans nul doute, devaient signifier quelque chose comme : « Ouvrez 1 . . . Ouvrez, au nom de la loi ! . . . ou ,du g o u v e r n e m e n t . . . ou de la police... » — Tu peux bien crier au nom de tout ce que tu voudras, mon vieux ! . . . Tant qu'il se sera pas écoalé vingt minutes, on t'ouvrira rien du t o u t . . . Il y eut quelque accalmie alors, mais rapidement suivie d'an brait étrange, un Des discours c o m m e celui qu'applaudissaient a v e c enthousiasme à B a r c le Duc tous c e u x qui ont eu la b o n n e ' f o r luue de l'entendre, reflètent tous les s y m p t ô m e s r a s s u r a n t s qa'il osl 'bon d'opposer a u x pronostics f â c h e u x et débilitants de quelques prophètes de malheur. Un minisire el plus e n c o r e le chef de l'Etal, p a r l'autorité de s a parole, peut donc e x e r c e r l'influence la plus h e u r e u s e s u r l'esprit public. Touai les mots ne sont pas e m p o r t é s p a r le vent quoique l'on en dise, et c e r t a i n e s pens é e s s'implantent en quelque sorte d a n s les â m e s prêtes à l e v e r en g e r b e s abondantes d'énergies nouvelles. C'est à c e point de v u e qu'il faut avant tout se placer pour a p p r é c i e r un dis- Mort du général Négrier ABONNEMENTS (VN AN) Quimperlé (ville) 6 Finistère et départements llmitrophes e Autres départements 7 Colonies et étranger 10 fr — — — course avait été très dure par suite des remous de la vallée de la Seine, qui sont très violents. Près de Rouen, son mécanicien a été enlevé de son siège et s'est assis sur le fuselage. Lui-môme crut qu'il allait être enlevé ; sa tête heurtait le capot. Une très chaude ovation a été faite à Levasseur et à son mécanicien par la foule qui se tenait aux abords du parc. Molla est arrivé 3' à Deauviile, à 5 h. 45 suivi de Janoir à 6 h. 55. mais J a n o i r ayant mis 10 h. 11' 4" pour faire le t r a j e l dépassant ainsi de onze minutes le temps qui lui était accordé, a perdu le bénéfice de la 4" place. Le classement officiel est donc le suivant ; 1 " , Ghemet, en 3 h. 47' 50" ; 2», Levasseur, en 7 h. 38' 15" ; 3% Molla en 8 h. 46' 11", Les trois gagnants de l'épreuve se partageront la totalité des prix. Aviation Xa coupe JPommery L'aviateur Letort, concourant pour la coupe Pommery, et parti samedi matin à 4 h. .57 de Villacoublay a atterri à Johannisthal à midi. Letort a donc parcouru les 900 kilomètres en 7 il. 3, battant son propre record qui était de 7 h 47. L intrépide aviateur est reparti le jour même à 3 h. 13 pour Saint-Pétersbourg. Au dernier moment, une-dépêche de Danizig dit que Letort est arrivé dans cette ville, le soir même à.9 heures. Il n'a pu ainsi gagner la coupe Pommery. — Le même j o u r , l'aviateur Guillaux est parti de Biarritz à 4 h. 5 5 ; - p o u r « ^ u t e r également la coupe Pommery. Suivan! le littoral de l'Océan, il a atterri à. Villacoublay à 10 h. 3ô, pour reprendre son vol à 11 h. 05 dans la direction du N.-K. A 2 h. 7, il atterrissait à la plaine d'Ktterbek, en Belgique, et en repartait à 2 h. 45 dans la direction'de la Hollande. L'aéroplane omnibus t n , j e u n e étudiant de S a i n t - P é t e r s b o u r M. Igor-Sikorsky, vient d'inventer ot .-xpérimenler un nouvel appareil destiné à révolutionnor à nouveau l'art de laéronautiiiue. G'osl un biplan de 27 mètres d'envergure et de 130 mètres carrés d'é'endue totale. 11 pèse 3000 kilos el peut soulever, en plus de son équipage et de ses passagers (en tout dix personnes), des provisions et du combustible pour vingt heures et une ciiarge de 800 kilos. Muni de quatre moteurs d'automobile de 160 chevaux chacun indépendants l'un de l'autre, l'appareil de l'inventeur russe échappe ainsi aux risques d'une panne el partant, d'une cliute, pouvant fonctionner avec trois, deux et peut-être même un seul moteur, mais l'expérience s'est arrêtée jusqu'ici à la suppression de deux moteurs sur quatre, arrêtés toutefois du même côté. Cette nouvelle découverte menace de porter un rude coup à l'Industrie des Zeppelin allemands. f [32] Feallleton de l'Union Agricole Coqueluche \ er par Pierre premii!.re SALES partie IX L e t r i o m p h e du poète Les deux femmei étaient descendaes « n u i . . . parlaient en a n soaffle... . L a belle Grégorienne prit la lanterne des mains de m compagne, la tint an instant devant le t l i a g e de Coqueluche, qu'elle exa,mlna a v e c exaspération d'abord, poil avec une indicible mélancolie... P a î t , d'an ton aoaverain aaqael il recoiihaliflait i n'en plas douter la grande d a m e vers qai on l'avait envoyé : —• Voas n'êtes donc pas de mon pays, monsiear? — Non, madame : Français, je vous l'ai dit 1 — Comment vous t r o a v e z ' v o a s ici ? ^ J ' é t a i s prisonnier... à demi accusé d'an complot aaqael Je ne comprends rien, contre le p a a v r e souverain qui est mort !... Bt on m'a dit : « V e a x - t n un poteau et douze balles, on gagner dix mille f r a n c s ? » — Qnol qu'y faut faire p o o r l M g a g n e r ? q a e Je réponds. — File capot. •• . A q sortir de la Tille, tu bruissement plutôt, léger, contre le sol et aérien. Bientôt Coqueluche se rendit compte que l'on traînait quelque chose contre le mur du pavillon. Il colla son oreille contre une porte et entendit ce mot, répété plusieurs fois : — Foco !... foco !... foco !... — Ça serait y qu'ils veulent me faire roussir, les g a i l l a r d s ? . . . Alors il y en a bien pour un quart d'heure avant que ça llambe et que la fumée me picote à la g o r g e . . . Allez... allez-y donc, mes gaillards ! . . . Mais un galop de cheval, un seul, retentissait alors. Puis les commandements furent criés, d'un ton furieux. Quelque grand chef arrivait, évidemment. E t l'Idée de roussir le prisonnier ne convenait sans doute pas au nouveau venu ; car l'opération cessa, les mots de « foco » ne furent plus prononcés. Bt i voix basse, on recommença de délibérer aa dehors. Puis un pas brusque s'approcha de la porte; quelques coups furent frappés, sans doute avec un pommeau d ' é p é e . . . Les sommations d'ouvrir furent répétées d'un ton hautain qui confirmait Coqueluche dans son idée de l'arrivée d'une « frrosse légume » ! Il s'iDclioa commô si l'autre pouvait le voir, l'entendre, et murmura : — Désolé, mon cher m o n s i e u r . . . désolé. . . il n'y a encore que six minutes et demie d'écoulées... et Je ne peux vraiment pas vous offrir déj& l'hospitalité dans man pavillon do chasse 1 » Nos dirigeables l,f» dirigeable Adjudant Yincenot, ayant, à son liord d e u x ofTiciers, MM. J o u x et P e c i|Uignol, six m é c a n i c i e n s et u n s e r g e n t télégraphiflle e s t parti lundi de Paris p o u r Albi pour p a r t i c i p e r a u x m a n œ u v r e s de l'Ouest. Dans les Balkans I n e foia e n c o r e , les difRculté» p a r a i s sent 3'aplanir e n t r e les divers i n t é r e s s é s a u eontlit balkanique, l.undi, a en lieu aitm i n i s t è r e des Ati'aires étra.ngère3 de B u c t i a r e s t , l'échange des ratifications du traité de p a i x . La ratilication s e r a faite par M. M a j o r e a g i , au nom de la Roumanie ; par 11- m i n i s t r e de Grèce, M. P a p a d i a m a n loponlos, au nom de la G r è c e ; p a r le m i n i s i r e de S e r b i e , M. flititch, au n o m de la Serliie et le Monténégro, et p a r M. Arseniftil", c h a r g é d'ad'aires de Russie, au nom de la B u l g a r i e . — Le g o u v e r n e m e n t bulgare a avisé le g o u v e r n e m e n t g r e c (lufe les m e m b r e s b u l g a r e s de la c o m m i s s i o n de délimitation des f r o n t i è r e s s e r a i e n t lundi, à DenieHissar. Les m e m l ) r e s d e s c o m m i s s i o n s de la délimitation d e s f r o n t i è r e s bulgaror o u m a i n e s ont déjJi c o m m e n c é l e u r s travaux. . — On d é m e n t c a t é g o r i q u e m e n t , dans les m i l i e u x ofïlciels de Constantinople, q u e le g o u v e r n e m e n t ottoman aurait l'intention de c r é e r une zAne n e u t i v au Nord de la T h r a c e , e n g l o b a n t Andrinople, et de d é m a n t e l e r les t'ortilications de c e l t e place. — he Conseil des m i n i s t r e s de Constantinople s e r a i t décidé à a c c o r d e r tous droits de capitulation a u x G r e c s si la Grèce libère i m m é d i a t e m e n t les p r i s o n n i e r s qu'elle détient, et qui s e r o n t e n v o y é s en Arménie. ^•tour de M. JDeJcassé . M Helcassé, a m b a s s a d e u r de F r a n c e à ^ a i n t - l ' é t e r s b o u r g , a q u i t t é c e t t e capitale pfour so rendre en F r a n c e . Ce voyage ne . . K c r a t i u e de très c o u r t e d u r é e et n o t r e • ' r e p r é s e n t a n t r e t o u r n e r a ù son poste v e r s f la (in de la s e m a i n e . LES OBSÈQUES de M. Armand GAUTIER S a m e d i d e r n i e r , fi q u a t r e h e u r e s du soir, u n e a s s i s t a n c e n o m b r e u s e et reoueillip faisait cort.ège k la dépouille mortelle du D i r e c t e u r de l'Union Agricole et Maritime M. Armand Gautier, enlevé subit e m e n t il l'atteotion des s i e n s . Ce deuil si b r u s q u e et si i n a t t e n d u a j e t é la c o n s t e r n a t i o n p a r m i la population Q u i m p e r l o i s e , où Armand, c o m m e on l'appelait f a m i l i è r e m e n t , ne c o m p t a i t q u e des a m i s . C'est un grand c œ u r qui d i s p a r a i t . Dans s a s i m p l i c i t é il avait t o u j o u r s su c o n s e r v e r l ' e s t i m e de c h a c u n , g r â c e à son affabilité et à son e s p r i t de c o u r t o i s i e et de g é n é r o s i t é . Après la c é r é m e n i e r e l i g i e u s e qui a eu lieu en l'église Sainte-Croix, a u x a c c e n t s t o u j o u r s s a i s i s s a n t s de la m a r c h e f u n è b r e , le c o r t è g e s ' e s t dirigé v e r s le B o u r g a e u f et a gravi la pente du c i m e t i è r e dans le plus r e l i g i e u x s i l e n c e ; le c h a r qui d i s p a r a i s sait s o u s les fleurs et c o u r o n n e s , était e n t o u r r é p a r u n e délégation de la c o m p a g n i e des s a p e ars p o m p i e r s dont M. Armand Gautier était m e m b r e h o n o r a i r e . P o r t a i e n t les "coins du poêle, MM. Court i e r , m a i r e ; B e a u b o i s , p r o p r i é t a i r e ; Guyonv a r c ' h , c o n s e i l l e r général et llabrial, pharmacien. Le deuil était c o n d u i t p a r MM. llobitaillie, c a p i t a i n e de g e n d a r m e r i e ; Robitaillie fils, élève oflicier et Louis Sablé, n é g o c i a n t a Quimper. De fidèles a m i s du défunt n ' a v a i e n t p a s hésité a v e n i r , m ê m e de loin, lui dire un d e r n i e r adieu. On r e m a r q u a i t de n o m b r e u s e s c o u r o n n e s offertes p a r le p e r s o n n e l si dévoué de L'Union Agricole et Maritime, la Société de Panification La Famille dont il était le p r é s i d e n t , l'Union Commerciale et Industrielle, e t c . . . Devant la t o m b e si p r é m a t u r é m e n t ouv e r t e M. Courtier, Maire de Quimperlé s ' a v a n c e et p r o n o n c e le d i s c o u r s s u i vant : Mesdames, Messieurs, Les liens d'amitié qui m'unissaient à Armand Gautier m'imposent le douloureux devoir d'adresser lessuprônies paroles d'adieu h l'tiomme intègre et cordial qui emporte dans celle tombe si prématurément ouverte, les regrets (Je .sa famille désolée et les sympatliies do .ses nomt)reux amis. Ceux qui l'ont connu de longue dale, ceux qui vécurent avec lui dans l'intimité pourraient vous dire, mieux que moi, tout ce qu'il y avait do bonté, de chaleur et de jeune.sse dans ce cœur généreux. Et ceux aussi qui ne peuvent se réclamer de relations aussi intimes el aussi étrojtes rendront Justice à i'absolue probité de son caractère. Dès que je (-onnus Armand Gautier Je lui ai voidi une estinif! et uiie all'i'clioii «ans réserves <iui tenait à la respecl.ueusc syuqMlliif, i|ue j'avais conçue pour la loyauté de sof; senkiinents et pour son dévouement poussé parfois jusqu'au désintére.ssement. ' Toute préoccupation d'intérêt personnel était loin de .son esprit. Il avait trouvé au foyer paternel non seulement l'exemple de la probité et do l'honneur mais aussi les sages conseils qui devaient l'amener à s'intéresser à tout ce qui était noble et généreux, sans souci des conséquences pour sa santé B1 ébranlée. C'est ainsi, qu'en dehors de ses occupations de Bureau, alors qu'il était employé aux Eta bli.ssemeuls Savary, il se donna tout entier à. une œuvre de mutualité que nous avons vue depuis prospérer : je veux citer la Coopérative de Panitlcation La Famille. A la suite d'événements douloureux, il lui fallut, alors qu'il avait plus de quarante ans, chercher une situation capable d'assurer le puiii de SU forome et de ses enfants. N'obéissant qu'à ses bons sentiments, n'é coûtant que la voix du devoir d'un bon père de famille, il prenait la direction du Journal L'Union Agrieole, malgré les -conseils de certains de ses amis qui redoutaient qu'un surcroit de travail dans une aflaire nouvelle ne vînt aggraver le mal dont il soutirait depuis si longtemps, Son unique ambition, pendant les quelques mois qu'il passa à la t6te du journal, fut dfe mettre son intelligence et son travail au service de son cher Quimperlé qu'il aimait tant, ppnsant qu'il devait bien mériter de son pays si, en faisant aimer, aomme elle doit l'être, l'idét! républicaine d.ms l'arrondissement, il avait pu ramener le calme dans les esprits. Bien qu'attaché à .ses convictions politiques avec une fetmeté inébranlable, Il ne voulut Jamais, pour faire prévaloir ses opinions ou défendre ses amis, se départir un seul instant de son esprit de courtoisie. Si ardent que • fût son désir de voir triompher ses idées i'i ignora toujours ou feignit d'ignorer les suptilités de la politique qui ne tendent parfois qu'à user de mauvaise foi à l'égard de ses adversaires. Contlant dans le bon sens de ses concitoyens, il agissait au grand jour avec la conviction que la franchise trouve crédit auprès d'une population vraiment impartiale et vraiment sincère. Loyal en politique comme en afl'aires, excellent pèro de famille, ne vivant que pour les siens, il jouissait à Quimperlé de l'estime et de la sympathie générales. Ainsi s'explique 11! concert de regrets qui entourent cette tombe oi'i va reposer à tout jamais un brave homme dont la mémoire restera entouré du respect de tous ceux (jui lui avaient donné leur estime. La mort inexorable, avec sa soudaineté brutale, vous a ravi, mon cher Gautiere, à l'atrection de votre famille. Reposez en paix. Vos camarades, vos amis, tous ceux qui ont goûté le charme de votre précieuse amitié, conserve, roiit pour vous, dans leurs souvenirs une place qui ne sera jamais envahie par l'oubli. Puissent les regrets sincères qui vous accompagnent à votre dernière demeure appprter un peu de consolation à votre veuve éplorée et à vos chers petits enfants qae i voq-î chérissiez tant et dont la tendresse remplissait vos Jours de joie et de bonheur. Rt avant que cette tombe ne se réferrtie, je vous adresse mon cher Armand, au nom de vos amis et en mon nom personnel, un suprême et dernier adieu. La foule é m u e p a r c e t t e allocution t o u c h a n t e , un g r a n d n o m b r e de p e r s o n n e s ne p e u v e n t r e t e n i r l e u r s l a r m e s ni résister à. l'émotion qui é t r e i n t tous les c œ u r s . L'Union Agricole et Maritime a d r e s s e s e s plus vifs r e m e r c i e m e n t s à tous c e u x qui ont tenu k donner un d e r n i e r t é m o i g n a g e de s y m p a t h i e à M. A r m a n d Gautier à sa veuve et à s e s e n f a n t s . Madame Gautier, a r e ç u la lettre s u i vante de la S o c i é t é de Panification La Famille : « Le Conseil d ' a d m i n i s t r a t i o n doulour e u s e m e n t é m u p a r le d é c è s de son r e gretté Président qui p r i v e la S o c i é t é d'un h o m m e plein de zèle et de d é v o u e m e n t . « Décide q u ' u n e c o u r o n n e s e r a offerte p a r la S o c i é t é en s o u v e n i r des s e r v i c e s qu'il a r e n d u s . « Charge M. Gùyader, v i c e - p r é s i d e n t e t M. Coadou, s e c r é t a i r e , de faire p a r t à Madame Gautier de c e vote et de lui p r é s e n t e r en m ê m e t e m p s , au nom de la dite S o c i é t é avec s e s plus s i n c è r e s c o m p l i m e n t s de c o n d o l é a n c e s l ' h o m m a g e de sa r e s p e c t u e u s e s y m p a t h i e . » Le Vice-Président, Le Secrétaire, GUYADER. J . COADOU. Au début de l'Assemblée g é n é r a l e de l'Union Commerciale et Industrielle, qui s'est tenue lundi s o i r , M. Gilbert Habrial, p r é s i d e n t , a p r è s a v o i r a d r e s s é la bienvenue a u x n o u v e a u x S o c i é t a i r e s , a prononcé les p a r o l e s s u i v a n t e s à l'adresse de n o t r e r e g r e t t é D i r e c t e u r : Messieurs, S'il m'est extrêment agréable de saluer aujourd'hui l'entrée dans notre Société de nouveaux adhérents, j'ai aussi le triste devoir et suis certain- d'être dans la circonstance votre interprète à tous, d'adresser au lendemain de sa disparition un dernier adieu à notre excellent camarade Armand Gautier. Gomme moi vous avez pu apprécier en maintes circonstances l'égalité el le charme de son caractère. Très régulièrement assidu à nos réunions, Gautier par ses connaissances étendues nous a souvent été de conseil très utile. A côté de réelles qualités qui trouvaient à s'employer dans nos discussions les plus sérieuses, vous savez en outre quelle gaieté et quel charme se dégageaient de son agréable compagnie et nous pouvons tous nous rappeler combien sa verve et son esprit savaient nousjlivertir à l'occasion.', Sa mort laisse un grand vide dans nos rangs, mais nous conserverons toujours ici i(! .souvenir de ce bon collègue estimé de tous et de relations si charmantes. Pour moi à qui il a été donné de l'approcher de près, je sais aussi quel bon époux et quel bon père de famille il était! Permettez-moi en lui envoyant aujourd'hui notre suprême adieu, d'adresser au nom de l'Union Commerciale et Industrielle, à sa veuve Madame Gautier et à ses deux llllettes, si cruellement éprouvées dans leur atl'ection et leur bonheur, l'expression de notre respectueuse sympathie. PIIÉPARONS LEUR AVENIR Il ne sutl'it pàs de donner aux enfants une instruction solide, il faut aussi leur amasser un capital qui, lorsque le moment sera venu, leur permettra de choisir librement la profession de leur goiit. Pour cela, il faut souscrire, à leur profit, une assurance dotale dont le produit leur sera versé à un âge convenu. Mais il est indispensable de s'adresser à une Compagnie d'assurance de premier ordre, comme « L e P h é n i x » (entreprise privée assujettie au contnMe de l'Etat), dont les conditions sont les plus avantageuses et dont les engagements sont inscrits clairement dans le contrat d'assurance dotale. S'adresser au Siôgo social, à Paris, rue Lafayette, 33, ou aux Agents généraux. M. Yves DAVID agent général, Boulevard de la Gare Quimperlé. m n c R E m Chaque boite 1 k i l o g r a m m e b r u t ou net, Sucre de luxe Chantenay, chaque boîte 1 k i l o g r a m m e b r u t ou net, Sucre scié rangé Chantenay, carton cuir, boites b r u n e s (genre Paris), c o n t i e n t un t i c k e t prime. 30 t i c k e t s p r i m e d o n n e n t di^dit à 1 kil o g r a m m e b r u t ou net Sucre Chahtenay. Le Sucre Chantenay est le plus b l a n c , le plus !pur, s u c r e le m i e u x . \ réglé au plus tôt ces questions conipllqiiées. Finalement, délégation est donnée à la commission départementale pour statuer sur chacune des demandes de dérogation aux régies générales. A quatre heures la séance e.'st levée. Qui est Oéputé de (aimperlé ? Au c o u r s de la c à m p a g n e é l e c t o r a l e dernière pour l'élection au Conseil général un g r o u p e - d ' é l e c t e u r s afiirmaient qu'un c e r t a i n Monsieur, un beau Monsieur à belle b a r b e avec son doux parler g a s c o n r e m p l a ç a i t M. Louédec en tout et ponr tout. M. Hyrigoyen g i l i m a t i i s m é l a s s e qui n e Session ordinaire d'Août 1913 m a n q u e pas tes o c c a s i o n s de s ' e x h i b e r Siéance du lundi S Ci Août p o u r bien m o n t r e r q u e c ' e s t lui le m a î t r e La séance s'ouvre,, à 2 h. sou.s la préside l ' a r r o n d i s s e m e n t et le t u t e u r de celui denç6"d(V.M^.de, .^erdrerl, doyen d'ilge, M. le q u e les é l e c t e u r s ont e n v o y é par s u r p r i s e préfet y assiste. au Palais-Bourbon, voulut à grand f r a c a s M. Magne, le plus Jeune des membres .lu donner une leçon k c e pauvre, pupille qui conseil, prend place 'au bureau en qualité de secrétaire et procède à l'appel nominal, qui c o m m i t u n e mon.slrueuse gaffe le J o u r fait constater l'absence de M. Soubigou. des élections du d i m a n c h e s août. On passe ensuite à. l'élection du bureau défiL e c t e u r s vous j u g e r e z . l 4 c h o s e e s t nitif. En voici les résultats : a u t h e n t i q u e et J e a n Mérac Misez HyriPrésident. — Nombre de votants, 42 ; bullegoyen^ ne ppurra pas dans son Echo le tins blancs, 6 ; majorité absolue, 19. démentir. Ont obtenue MM. Louppe, 29 voix ; de GuéDonc, le d i m a n c h e .3 août, à 7 h e u r e s briant, 2 ; Penoux, 2 ; Rodallec, Hémon, Le Bail, chacun une voix. du m a t i n , ^ ' D u i m p e r l é , o u v e r t u r e du M. Loiippe ay'ant obtenu la majorité absos c r u t i n et formation du b u r e a u . En l'ablue des sutlrages, esi proclamé président du s e n c e de c o n s e i l l e r s m u n i c i p a u x , le m a i r e conseil général. fait appel aux deux é l e c t e u r s les, plus Vice-présidents (2). — Votints, 42 ; bulletins â g é s et aux d e u x piUS j e u n e s . Parmi blanc, 2 ; majorité absolue, 2U les deux plus â g é s i^e trouve M. I..e Louédec Ont obtenu : MM. de Guébriant, voix ; qui accepte. , Fenoux, .33 ; Fortin, 5 ; Damey, 2 ; Hémon, 2 ; C'est légal, le b u r e a u eai c o n s t i t u é . On Larher, 1. MM. de Guébriant et Penoux sont proclavote M. Le Louédec é m a r g e . Ça dure u n e més élus. d e m i e h e u r e . Puis c o u p de t h é â t r e . P a r a î t Secrétaires (4). — Votants, 42 ; majorité abun beau Moijsieur. Vous -devinez q u i solue, 22. n'est-ce p a s ? C'est le bel Hyrigoyen. De Ont obtenu : MM. Damey, 37 voiX ;^o$US, la d e r n i è r e m a r c h e du p e r r o n , a v e c u n e 33 ; Pégean, .3:{ ; Tanguy, 29 ; Guyônvarch, voi.v de coq en colère, il s ' a d r e s s e à M Larher, David, Magne, chacun 9 voix ; PenLe t ô u é d e c et lui dit : « M. Le L o u é d e c narun, Trémintin, dé Coatpon, Berthélénly, votre plafte n'est pas là, sortez. Vous chacun 2 voix ; Masson, Moign, .laouen, Carnet»; de rHopital, Hémon, chacun une voljf. m'entendez bien, sortez ». MM. Dàmey, Lostis, Fégean et Tanguy sont Tel le colonel R o n c h o n o t s ' a d r e s s a n t à proclamés secrétaires. son o r d o n n a n c e en lui disant : « S c r o n ,| ' Présidence de M. Louppe g n i e u g n i e u , vous n ' o b t e m p é r e z pas à m e s M. Louppe remplace M. de Ke^drel n,u fauteuil o r d r e s , q u a t r e c r a n s et v o u s tirerez de la présidence. Il remercie le conseil général l'oreille à J u l e s pendant h u i t j o u r s ». et déclare remettre à demain le discours d'ùsaKt l'on d i r a e n c o r e q u e les é l e c t e u r s de gè '(^ùe doit prononcer le président. Quimperlé ont n o m m é M. Le I^ouédec déSut leur demande, sont afl'ectés : MM. Le piiLé et Conseiller g é n é r a l . ' J V o a , ila ont Loùiédoc, Larher et de l'Hôpital à la coihmisnommé M. Myrigoyen. sion deô travaux publiés -, MM. Moign et Si les é l e c t e u r s de l ' a r r o n d i s s e m e n t ne Magne à la commission des finances. v e u l e n t - p a s le voir ou ne v e u l e n t pas le MM. Féhoux et Trémintin posent une quesc o m p r e n d r e n o u s n o u s c h a r g e o n s de le tion à M. le- préfet : le premier, au sujet de l'exploitation de la ligne de chemin de fer déleur d é p i o n t r e r et quand ils s e s e r o n t partemental de Pont-l'Abbé à Audierne ; le-ser e s s a i s i s ils se r a p p e l l e r o n t du d é p u t é cond, au sujet de la limitation des débits de guignol qui danse lorsque son s e c r é t a i r e boissons. t i r e s u r la ficelle. M. le préfet répondra demain à ces deux C'est un b a s q u e qui e s t député et c'est questions. c e b a s q u e qui r e p r o c h a i t au m a i r e de M. Lancien dépose une liiotion portant que Quimperlé d'être C h a m p e n o i s . Nous en tout orateur prenant part à un discussion ne v e r r i o n s e n c o r e b ' e n d ' a u t r e s s o u s le devra pas garder la parole plus de 5 minutes r è g n e de J u l e s 1 " , si au mois de mai Renvoyé à la commission compétente. A 3 h. 30 la séance est levée. p r o c h a i n l ' a r r o n d i s s e m e n t ne r e n v o y a i t au •^Séance du mardi se Août collège Hyrigoyen p o u r y a p p r e n d r e le f r a n ç a i s et M. Le Louédec à B e r l i n . p o u r Présidence de M. Louppe, président." • La séaDC.à^ k^ l^quelUt aaïuiito M. lû.'ft'^Iât,.- y ^ ' o o T h p i é t ë r poa""i£tttdcs Ue l i t n g a e alles'ouvre ^ déux heures. mande. * , '' Vlmn, Après'la" ieidture dif procès-verbal de la séance'de la veille et l'appel nominal, le président prononce le discours de rentrée. Il souhaite la bienvenue aux nouveaux conseillers. M. Moign, en son nom et au nom de ses Contributions directes trois collègues nouvellement élus, remercie le président de ses souhaits de bienvenue. P a r . a r r è t é du 14 aoiit 1913, M. le DirecLigne de Pont-l'Abbé à Audierne. — Ainsi teur Général des c o n t r i b u t i o n s d i r e c t e s a qu'il l'avait annoncé hier, M. Fenoux pose une d é c i d é que M. Michel, r é c e m m e n t n o m m é question à M. le préfet, relativement à l'hoc o n t r ô l e u r p r i n c i p a l des c o n t r i b u t i o n s raire des trains de la ligne de Poni;i'Abbé à d i r e c t e s dans le d é p a r t e m e n t de l'Aisne, Audierne. D'après la convention intervenue, serait m a i n t e n u , s u r sa d e m a n d e , en q u a dit-il, trois trains au minimum devaient deslité de c o n t r ô l e u r de 1 " c l a s s e dans le déservir tous les jours la ligne entière de Pontpartement du'Finistère. l'Abbé à Audierne. Or, l'horaire en vigueur n'est pas établi dans ce sens. Il demande, dans Avis ces conditions, à M. le préfet quelles mesures 11 s e r a p r o c é d é le 30 août p r o c h a i n à 9 il compte prendre pour modifier l'horaire ach e u r e s du m a l i n , à la S o u s - I n t e n d a n c e de tuel, très pernicieux |pour les intérêts de la Q u i m p e r , à la passation d'un m a r c h é p o u r région. la location de 36 c h e v a u x de trait, n é c e s M. le préfet reconnaît que l'horaire actuel a s a i r e s au 118" r é g i m e n t d'infanterie p e n soulevé de nombreuses et l'égitimes protestadant les pi'ochaines m a n œ u v r e s . tions. Il n'y a qu'un remède, c'est qu'on intente contre la compagnie des chemins de fer P o u r tous r e n s e i g n e m e n t s s ' a d r e s s e r à Armoricains et celle du premier réseau. Quant la S o u s - I n t e n d a n c e de Quimper. à présent, M. le préfet a prévu au budget déQuimperlé partemental de 1914 un crédit de 10.000 francs pour rétablissement d'une nouvelle gare à AuAu Conseil Municip»!. — Le Conseil dierne ; c'est déjà une "amélioration mais ce municipal de Quimperlé s ' e s t r é u n i j e u d i n'est pas suffisant, et il espère que dans un soir à 8 h e u r e s p o u r la s e s s i o n o r d i n a i r e avenir prochain les populations |auront toutes d'août, s o u s la p r é s i d e n c e de M. Courtier satisfactions. En attendant, il a pris l'initiative m a i r e . T o u s les c o n s e i l l e r s s o n t p r é s e n t s : de réunir dès demain les maires des communes intéressées, en vue d'une entente. MM. M. Bernard est nommé secrétaire de séance Fenoux et Le Bail, ainsi que les coirimissa ires et donne lecture du procès-verbal de la derdes deux réseaux sont priés d'y assister. nière délibération. MM. Fenou.x et Le Bail remercient M. le Le procès-verbal est adopté, à l'exception du préfet dos mesures qu'il a prise en la circonstitre d'une motion contre la loi de 3 ans, qui tance. était alors à l'état de projet, motion qui a été Limitation des débits de boissons. — M. Tréinttulée : Vœu des socialistes. M. Guyomar mintin demande à M. le préfet de prendre un fait remarquer que ce vœu a été adopté par la arrêté pour l'ensemble du dépai^tcment, au majorité du Conseil et pas seulement par les sujet de la limitation des débits de boissons socialistes. M. le maire reconnaît la justesse autour des "éfcoles, des cimetières, des églises de l'observation et promet de faire modifier et des hospices. en conséquence la rédaction du procès-verbal. M. le préfet répond que les conseillers généLes eaux du cimetière. — M. Guyomar deraux sont tous d'accord pour lutter contre le mande si une sanction à été prise contre l'endéveloppemènt de ralcoolisme, mais qu'il ne trepreneur qui se servait des eaux de la ville faut pas exagérer. On ne consomme pas plus pour la confection du hiortier au cimetière Std'alcool maintenant, dit-il, qu'il y a dix ans, ce Avit. M. le maire répond qu'une amende de sont les centres do consommation qui se sont 20 fr. lui a été innigéo. déplacés. 11 fait remarquer à M. Trémintin que Comptes administratifs. — M. Courtier expose l'article 42 de la loi de finances du 31 juillet qu'à la précédente réunion il a déposé ses 1913 ne donne pas le droit aux préfets du prencomptes administratifs pour être examinés dre un règlement général. Aux termes des inspar une commission spéciale. Il passe la prétructions qu'il a re(;ucs, M convient do faire apsidence à M. Cotonneç doyen d'âge, et sort do pel avant tout à la bonne volonté dos municila salle pendant que le Conseil procède à la palités, et il est persuadé que cc n'est pas en vérification de ces comptes. vain.que l'on s'adressera à elles en la circonsM. Cotonneç donne ^a parole à M. Génot, tance. rapporteur de la commission, pour la lecture de son rapport, dont les Iconclusions sont les . Il a d'ailleurs préparé depuis quelques jours suivantes : apg^câj^^M: des comptes et vote une circulaire au sujet de la limitation des dédes félicitations au'rhàlre pour sa bonne gesbits de boissons, circulaire qui leur sera adressée incessamment. En cas de refus de leur part, tion. il soumettra chaque cas au conseil général, Ces conclusions, soumises au Conseil; sont et il souhaiterait, pour obtenir une solution adoptées à l'unanimité.plus rapide, que délégation soit donnée à cet Rentré en séance, M. le maire remercie le eflet à la commission départementale. Conseil des félicitations dont il vient d'êti-e l'objet et dont, ditMl, une partie doit se reporM. de Guébriant demande au préfet d'enter sur ses deux adjoints, MM. Beaufrêre et voyer quelques indications aux maires sur ce Hervé. Il remercie tous les membres du Conqui doit être entendu comme droits acquis en seil de leur collaboration et compte toujours cas de mutation d'un débit compris dans le périmètre prohibé. M. le préfet dit que satissur leur concours as'sidu et dévoué. faction sera donnée au désir exprimé par M. Les paroles de M. Courtier sont applaudies de Guébriant. avec enthousiasme. , Dépenses imprévues. — Une somme de 158 fr. M. Hémon estime que que la véritable con88 de dépenses imprévues est votée par lo clusion de ce débat, c'est que le conseil général Conseil. émette un v jou tendant à oe que le législateur Conseil Général du Finistère CHROIUDE RBSlOliLB Assistance aux familles nombreuses M. le maire donne lecture d'une circulaire relative à l'assistance aux familles nombreuses, lui demandant d'établir la liste des familles appelées à bénéficier des dispositions de la loi, et de fixer le faux de 1 allocation, qui -ne peut ?tre inférieur à 5 francs ni supérieur à 7 fr. 50. On sait que cette somme sera allouée à chaque enfant aii-desous dw lS aUs, à partir du deuxième lorsque le.s enfants seront à la charge de la mère, et à partir du troisième lorsqu'ils seront à la charge du père. M. Courtier expoïo que le. bureau de bienfaisance a déjà dre?--' une li-st.^ provisoire en se reportan-t au titiu-.i.i derî indigents, mais que cette liste est appelé^ à être vérifiée et contrôlée avant de devenir définitive ; puis dès à présent il deman.le ni Conseil de fixer l'allocation et il indiqua que la commission des finances a proposé le taux de 6 francs. M. Gillafd. — Pourquoi ri,'' donnerait-on pas 7 francs .' La proposition de M. Gillard, mise aux voix, pst ropnussée ; et le taux est fix.; à 0 fmncs. Comptes du receveur muninipal. - Les comptes de gestion du receveur municipal sont approuvés purement et simplement par le CônS"'il, aprôs que lecture a été donnée des différenls chapitres de receltfts et de dépenses. Ifudgets communau.T. — En ce qui concerne l'exercice 1912, M. le maire expose que les prévisions du budget primitif ont été dépassées de 5.082 fr. '25, et que par suite il y aura lieu de^ combler ce déficit par le vote de centimes additionnels. La valeur du centime communa étant actuellemeni. de .547 fr. 25, il s'agit de votfir une. imposition de 9 centimes 40. Adopté. Le budget primitif de 1914 accuse un déficit df 2..3î)0 francs qui .sera comblé par le vote de -4 centimes 35. Approuvé. • Subvention aux écoles —A ce momeiit M. Jean Peyron demande au maire des'fflcplications sur la suite qui a^été d o n n ^ a.u principe d'allocation de crédit aux écoles libres, principe qui a été adopté à une précédente séance. , Le Maire. — Au sujet des fournitures scolaires j'ai pris des renseignements auprès de certaine municipalités, notamment à Lorient et à Vannes. A Lorient les élèves fréquentant les écoles librfs ne reçoivent de secours que sous forme de soupes. A Vannes les enfants indigents fréquentant les écoles libres reçoivent des fourfaitures. A cet effet on fournit à la municipalité une liste d'indigents .qui,est revisée par iîne commission spéciale. . ^ ' Quoiqu'il en soit il ne nous appartieot pas de voter une subvention aux écoles llbrès de Quimperlé. Les arrêts du Conseil d'Ëtat spnt formels à ce sujet. Si nous voulons venir en aide aux indigents fréquentant les écoles libres nous ne pouvons le fairo que sous form^de dons en nature et non SQUS forme d'allocation ou de subvention. ' ' M. Guyômar. — Du moment que nous ne pouvons boucler notre budget, je ne vois pas pourquoi ou voterait des subventions "aux écoles libres. M. Peyron. — La question de principe'est déjà passée, et noys n'avons pas à y revenir. Finalement cette question ^ t renvoyée à la commission de l'enseignement par 12 voix contre 9. >• Budgets de l'hospice ei du bureau de bienfaisance. — Le Conseil approuve les délibéra^ons de la commission.administrative;' relative à ces budgets. - • » A propos des pompiers. — M. Cléro fait part au. Conseil d&s doié^oe^ d«r~POTnptcra qui se plaignent de l'inSuîBsance des indemnités qui . leur sont allouées, et i) s'en étonne d'âutanl plus que la ville consent de. grands sacfiflces pour ses sapeurs-pompiers. M. "Courtier répond que ces indemnités se nt caïciflées d ' a p i ^ k nombre des sorties. . » A une nouvelle question de M. Cléro,'"concernant l'inutilité de l'eimploi de garde-magasin, M. le maire promet de demandér un rapport à ce sujet au commandant de la compagnie. Senice vicinal. — Le Conseil adopte les pro positions du service vicinal qui prévoiejit ur compte de recettes et de dépenses se balançant par 11.867 francs. Cote irrécouvrable. — Est considérée comm< telle une taxe de prestations faisant doubh emploi. " ' Interpellation de .V. Bernard. — Comme M le maire demande si quelqu'un à des observations à formuler, M. Bernard expose qu'il a à se plaindre de certains employés de la mairie qui voudraient le faire passer pour un mou chard. Avec beaucoup de tact, M. Courtier réponc que cette question ne peut être traitée qu( dans son cabinet. Il est 10 heures et demie ; la séance est levée C l a s s e de Î9Ï3, — SontieuB de /«• mille. - Le Maire de Q u i m p e r l é rappelle à s e s a d m i n i s t r é s q u e les d e m a n d e s d'allocations p o u r s o u t i e n s de f a m i l l e conc e r n a n t les m i l i t a i r e s de la c l a s s e 1913, d o i v e n t ê t r e s o u m i s e s au Conseil municipal. Les i n t é r e s s é s s o n t i n v i t é s à dép o s e r d ' u r g e n c e l e u r s d e m a n d e s à la Mairie. Le Maire, A. COURTlElV.-A.rreBtmtiou. Le Noën J o s e p h , 34 a n s , - m a ç o n au G o r r é q u e r , e s t r e d e v a b l e e n v e r s l'Etat d'une s o m m e de 369 f r . S L r é s u l t a n t d e s frais e t a m e n d e s de J u g e m e n t s p r o n o n c é s c o n t r e lui, les 28 j a n v i e r et 25 f é v r i e r 1913, p a r le T r i b u n a l de Quimperlé» p o u r c h a s s e s a n s perwiis et vol. Ayant o m i s de^ s e l i b é r e r de s a dette, Le Noën a é t é a r r ê t é e t c o n d u i t à la m a i son d ' a r r ê t , où il r e s t e r a à l ' o m b r e p e n dant vingt j o u r s . jPostes.-— P a r ayrêté de M. le m i n i s tre du Con^merce, de l'Industrie, d e s P o s tes et des 'Télégrapiies, en d a t ç du 23 a o û t 1913, Mlle Cléran, d a m e e m p l o y é e à Quimperlé, a ét4 n o i u m c e à Chàteaulin. Sifit-Civil. — Naissances. — GabrielleEmilienne-Maria Lorie, gendarmerie...— Matburin-Jean Salin, 12, rue du Couédic? — Prancine-Julia Guiomar, rue de rHôpit«i;;iA!^EmileMarie Narvqr, 17, rue du Couédtc. — MarieAlbertine-Joséphine Couliou, Hoz-en-Ghasse. Marie-Louiso-Augustine-Thérèse-Kavennec, 4, rue du Cou^dic. Publications de mariages. — Etienne Loppé, docteur-médecin à Quimperlé, et Anne-Elisabeth Le Dozé, s. p.. à Clohars-Carnoët, • Yves-Mariè Coadou» instituteur à Quimperlé et Yvonne-Mari î-Hélène Laurent, s . - p . , rue Saint-Yves. ' x>- • Mariage, r - Louis-Marie Granic, quartiermaître è Toulon ot Marie-Francine Mahé, sans profession a Quimperlé. Décès. — Armand-Joseph-Marie Gautier, place Hervo. — Gabrielle-Emilienne-Maria Lorie, gendarmerie. — Anonyme Gourlay, rue B t t u zic« -> Jacques Le Mao, route de Quimpén CABINET DENTAIRE ) I DE A.DEMARTHE Dentiste 4 , rue Thiers ~ Diplômé QUIMPERLÉ 42, Place Saint-Michel Q U I M P E R L E G . K A B R I A I i , ' Prix) de l'Ecole dé Pharmacie, 2 Médailles d'Or, 1 Diplôme d'Honneur Maison renommée dans toute T É L É P H O N E , 34 SYNDICAT D'INITIATIVE DU la Région pour la qualité ^^ re.Jrême_^icité Produits i>rix A CEINTURES FINISTÈRE de ses des , ORGANE OFFICIEL DU PHAflMAGIEN tAURÉAT ÉLASTIQUES En tous Tissus et de tous Modèles Paraissant le Samedi pendant la saison d'Eté ASSORTIMENT C O N S I D I R A B L E Directrice : M m e Veuve A r m a n d G A U T I E R 9 Place Herm, QUIMPERLÉ Alellac A.ccid0nta. - M. Guillaume Péron, charron à Ty-Boclel, présente à la suite d'une chute de voiture, des ecchymoses multiples du dos, des jépaules, du bras gauche et de la'cheville droite. . — M. J a c q u e s Plouzennec, agriculteur à Kerbarzoù, est atteint de kérato c o n j o n c tive de l'œil gauche'par suite d'un coup d'épi- de* seigle qui s'est produit pendant . le battage. — M. Louis Pilorgé, propriétaire agriculteur à Kerjaëc, présente un écrasement de la deuxième phalange des trois derniers doigts de la mairi droite, en vaquant aux travaux. Ces lésions produiront pour les blessés i 5 j o u r s de repos. Messieurs Péron, Plouzennec et Pilorgé sont assurés à la Compagnie Générale d'assurances contre les accidents. Riec-Miir>Ilélon Comment on comprend la Charité Monsieur Bertboa, m a i r e de Riec- sur-Bélon,^ l'ioslar de son saint patron M. Le Lottédec, fait des siennes. Parce q a ' i l n'e«t p a s Cooseiller g é n é r a l , les m a l b e a r e o x n ' o n t p a s droit à un morc e a u d e p a i n . P a r c e qu'il n'est pas cons e i l l e r ^ n é r a l l a c h a r i t é est bannie de s a c o m m u n e , ^ ù a n d elle vient de son a d v e r s a i r e polilique. M B s r t h o u vous o a b l i e ^ ^ a e l a ç b a r i t é n ' a p a s de coul e u r ^ ' t q u e l e s ^ o i a v r e s qui ont faim ne •QQgeot g a è ^ ' à v o t r e infortune et à VQtr» é c b e c du 3 a o û t . Vous a v e / ref u s é l'àiumône q.de f a i s a i t M. Corentin G u y h o p o u r s e c o u r i r q u e l q u e s malheur e u x d e R i e c . V o u s l'avez fait oslentiblemont « t a v e c dédain. Y x m a é t i e z a u c o u r a n t deo intentions ^ M . Guyho. Vous saviez que les comrecevraient de l'argent pour des KilUlIO ••'W^ xrt-fr e m p i r é d'accourir papndre conseil auprès de Votre ami Hyrfeqyen député parintértA et Vous avez eti l'audace de ne pas a ô o ^ r l'obole qui vous était oflérte. Yavez-rous suppléé au moins? Avez-vous d é l i é l e s c o r d o n s de v o t r e b o u r s e p o u r offrir l a m ê m e s o m m e ? J'en doute. Dans tous les cas, même auriez-vous eu cette délicate intention que vous me faites l'effet d'un maire à l'esprit étroit, mesquin et vindicatif. Vos administrés s'en souviendront. Prenez garde, vous allez devenir légendaire, ce sera le commencement de la fin. C'est ce qu'on dil déjà tout bas à Riec en attendant qii'on vous le dise tout haut. Vn JRiaocois. Bannalec J U j r e . — Joseph Le Lan, de Kerhonit et Bourhis, débitant à la Croix-Verte, en Bannalec, s'étant pris de querelle, en sont venus aux mains. Le Lan qui a été un tant soit peu malmené, s'est fait délivrer un certificat par le docteur Le Stunf, de Quimperlé, et a porté plainte à la gendarmerie, qui a ouvert une enquête. IMlzon Vol a*poul«». — Depuis six mois environ, Le Naour Jean "de St-Maudé en Nizon, est l'objet de vols continuels de volailles. Depuis le premier janvier, il lui a été soustrait une dizaine de poules, d'une valeur de 25 francs environ. Malgré ses investigations et sa surveillance, l'auteur de c e s larçins demeura inconnu. Un nouveau vol s'étant produit dans la nuit du 16 au 17 courant. Le Naour, s'est décidé à porter plainte à la gendarmerie qui a ouvert une enquête pour tâcher de découv r i r le ou les auteurs de ces vols répétés. Concarneau AviM. — Le Maire de Goncarneau, informe les intéressés que les demandes d'allocations concernant les militaires de la classe 1913 doivent être déposées à la Mairie, avant le 31 aoUt, accompagnées du relevé des contributions délivré par le percepteur. Chàteaullii jr$t«M d'mviuHon. - Le mardi 9 septembre aura lieu à Chiteaulin, une fête d'aviation qui promet d'être des plus réussie. Le Comité nommé (i cet eflet s'est mis d é j à en rapport avec des aviateurs renommés et dès maintenant le concours d'un monoplan et d'un biplan est assuré. La fête, pour le succès do laquelle rien n e l ô r a négligé aura lieu à proximité de la ville, au lieu dit Ty-Garré, dans un vaste champ se prêtant admirablement à une manifestation de ce genre. Nul doute que celte fête d'aviation coïncidant avec les fêtes locales, ne' soit suivie- avQC intérêt par un nombreux public. Bcii/.ec-Cap-8iziiii Meules incendiées. — Un incendie s'est déclaré dans des meules de foin et de paille placées derrière le moulin de la veuve Guilloih non assurée les pertes s'évaluent à 360 fr. Gestel Rixe. — Dans une rixe survenue entre Jeunes gens au bourg de Guidel, Joseph Le Gall, 24 ans, domestique à Kerlec en Gestel, a reçu un coup de couteau. Le Gall a porté plainte à la,^gendarmerie qui a ouvert une enquête. LE MERpREDI MATIN eomiItitiODS à P O N T - A V E N , li Hirfi Rendez-vous Marché aux Bestiaux de la Villotto rtrt....^ .1 -- » ESPÈCES Bœufs Vaches Taureaux Veaux..i Porcs .1? t\K' • - Amenés «o»" PoMs moyen - Invendu! 409 356 484 96 120 401 204 31 400 3.187 1.537 284 1.624 4.2r)0 »» Poids vif, Prix au kilo : ESPÈCES Bœufs Vaches Taureaux... Veaux Porcs Prlxextrêmes 1 "qualité 2* qualité 3* qualité 0.61 à 1.08 0.60 1.09 0.59 0.80 0.99 1.56 1.36 1.40 03 03 78 44 39 0 0 0 1 1 88 89 74 38 38 0 0 0 1 1 77 77 69 15 37 Aspect des ventes. — Vente mauvaise pour le gros bétail, calnne pour les veaux, et pour les porcs. M é d e c i n e P r a t i q u e Les personnes atteintes de bronchites invétérées qui toussent et crachent sans cesse, été comme hiver, peuvent guérir en employant la Poudre Louis Legras. 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Art. 2. — Au pignon couchant de la maison a r t l " , une Crèche construite en pierres et couverte en chaume, ouvrant au midi par une porte sur l'article ci-après. Devant les 2 articles ci-dessus, un terrain de 1 m. 40 environ. Art. 3. - Au midi de l'art. 2, n n e petite cour d'une contenance d'environ 12 centiares. Art. 4. — Une pièce de terre d'une contenaneé de 28 centiares environ, au couchant des articles 2 et 3. • .. . Les quatre articles qui précèdent sont portés au plan cadastral sous le n° 1137, section G, et non indiqués èi l'extrait. Us donnent du sud sur la route de Moëlan à Doëlan, du nord sur terre k Le Doze du Petit Kerandoze et Richard de Kerampellan, du couchant sur celle de Lozachmeur et du levant sur maison à Zalo de Kerampellan. i Art. 5. — Une pièce de terre plantée de pommiers, dite Liors Kernahadi, bornée au sud par terre à Le Doze et Richard, au couchant Sellin, au levant Scaviner e t a u nord Le Roux, tous de Kerampellan et Le Thoër de KerangolV, figurant au cadastre section G sous les n»» .1141 et 1142 réunis, pour une contenance de 2 ares 9(5 cantiareSi Art. 6. — lé» moitié de l'aire à battre, semblant figurer au cadastre sous le' n® 1137, section G, donnant du sud sur la route de Moëlan à, Doëlan, des nord et couchant terre, crèche et maison à Zalo, qui est propriétaire de l'autre moitié de l'aire à battre, et du levant sur crèche à Richard, tous de Kerampellan. (• Art. 7. — Au nord de l'article cidessus une petite pièce de terre, d'une contenance d'environ 30 centiares, bornée au levant par écurie à Richard et au couchant par terre à Scaviner do Kerampellan. Art. 8. — .Une parcelle de terre plantée dé pommiers, d'une contenance cadastrale de 3 ares 50 centiares, figurant au plan sous le n» 1157, section G, dit JAors Kernahadi ou Liors Bras, donnant du nord sur terre à Le Tollec de Kerviguelouze, du midi celle de Le. Doze de Kerangoll", du couchant Garroc de Kerampellan, et du levant celle de Orvoën de Kerdreize. Nota. — Quoique cet article ne soit pas porté au nom des époux Boutet, au cadastre, il. est exploité pai- le sieur Jallrézou, leur fermjô|!, -et leur appartient. Mise h prix 1 1 . 5 0 0 f r a n c s Douches Injecteurs — Bassins de Lit — Urinoirs DEUXIEME LOT Art. 9. —, Une parcelle de terre dite Ar-Ternou-Guen, portée au plan cadastral sous les n " 63> et 831 réunis, pour une contenance cadastrale de 11 ares 80 centiares, section G, bornée au nord par terre à Garrec et au sud par celle de Lozachmeur de Kerampellan, et encore celle de Orvoën de Kerangod" et aux levant et couchant par celles de Sellin et Le Roux de Kerampellan. Illi.se A prix : ($00 f r a n c s TRR>ISLÈME L O T ^ Art. 10. — Une parcelle de terre, dite An-Temou-Guen-Bihan, au cadastre sous le n" 83n. section G, pour une conten.Tii.;.- .1 i are 90 centiares, hc-nt^p au iMr.l par terre à Sellin, s u J (i i r r c c et levant Flohic de Kerainpelluu ri au couchant par celle de Tanguy de Kergantine. Mise ù. pri.\ : i;<iO fi'anes QUATRIÈME LOT Art. 11. — Une parcelle de terre dite Pen-ar-Slami, plantée de pommiers, figurant au cadastre section G, n" 466, pour une contenance de 1 are 50 centiarës, donnant des sud et couchant sur terre à Ç^ohe^e^ Simon de Kerampellan, Mise à- prix : l â o TriancÀ'^''— CINQUIÈME LOT Art. 12. — Une antre parcelle dite Pfln ar-Stanf/, n® du plan, section G, d'une contenance d'environ 2 ares 80 centiares, plantée d e . pommiers. Elle donne du nord sur prairie à Calvar, de Keranmoulin, des sud, levant et couchant sur terre à Calvar, Souflez et Le Bloa, de Kerampellan et est traversée par un chemin d'exploitation. Mise à, prix : 180 IV. SIXIÈME LOT Art. 13. — Une parcelle de terre, sous lobour, nommée SlanijKertangni/, inscrite aux n"' 874 et 874 réiinis, section G, d'une contenance d'environ 8 ares, bornée au sud par terre ii Garrec, nord celle de Cohen, levant Simon et couchant Malcoste, de Kerampellan. Mise à prix : 5 0 0 fr. SEPTIÈME LOT Art. 14. — U n e parcelle de terre labourée,, nommée Ar-Poi sou, portée aU plan cadastral sous le n» 931, section G, pour une contenance de 6 ares 90 centiares, donnant du nord sur voie charretière de Kerviguelouze ii Kerampellan, du sud sur terre à Garrec et levant celle de Lhyver, de Kerampellan, du couchant celle de Moilié, de la Villeneuve. mise ù, prix : 4 0 0 fr. HUITIÈME LOT \rt.l5,— Une parcelle de terre, sous labour, dite An Hent-MeurBer, figurant au plan cadastral sous le n» 10.")6, section G, pour une contenance ds 8 ares 90 centiares, bornée au sud par terre k Soudez et Garrec, de Kerampellan, au couchant ledit Garrec, au nord voie charretière et au levant Tanguy, de Kergantine. ,, , . iNOTA. — Cette parcelle n est pas au nom des époux i^outet au cadastre et leur appartient réellement comme étant détenue p a r . leur fermier. Mise a p r i x : 4 5 0 fr« NOTA. — Après adjudications séparées, les huit lots sçront réunis et remis en vente en un seul lot sur une mise à prix formée du total des prix des adjudications partielles qui ne deviendront définitives qu'à défaut d'enchères sur la réunion, ou encore sur une mise à pri.x formée du total des prix des lots, adjugés provisoirement et des mises à prix des lots non adjugés, ou enlin sur une mise à prix formée du total des mises à prix au cas ou aucun des lots ne serait adjugé. . La présente vente est poursuivie en exécution d'un j u g e m e n t rendu )ar le Tribunal civil de Qdimperlé, e 13 Août 1913, après saisie réelle des biens sus-désignés, opérée suivant exploit de M" LE QUEUE, huissier à Quimperlé le 23 juillet 1913, enregistré et transcrit avec l'exploit de dénonciation au bureau des hypothèques de Quimperlé. le 7 août 1913, volume 34, n®» l el 2, - ledit j u g e m e n t o r d o n n a n t J a conversion de ladite saisie, dûment enregistré et mentionné, en m a r g ' iie la transcription de la saisie ci-<l- ssus, a été rendu aux requêtes do : 1® M. Julien-Marie Le Tollec, époux de Mme Marie-Anne Audren, cultivateur, demeurant à Kersauze, en la commune de Clohars-Garnoët : Créancier saisissant avant pour avoué M° BOT, demeurant à Quimperlé, liue Savary, n® 20. 2» M. Pierre-Marie Boutet, marin de l'Etat et Mme Marie-Yvonne Malcoste, son épouse, qu'il assiste el autorise, demeurant ensemble à l,i Grange, en la com;nune de Clohars Carnoët. Parties saisies, a>ant pour avoué, M*- PIEDOYE, demeurant à Quim perlé, rue Savary, n" 23. L'adjudication des immeubles cidessus aura lieu en l'étude et par le ministère de M' PEYRON, notaire à Quimperlé, le Jeudi 25 Septembre 1913, à une heure de l'aprèsmidi, en huit lots, tels qu'ils sont ci-dessus décrits, avec clause de réunion et sur les mises à prix susdites, fixées par le j u g e m e n t susénoncé du 13 août 1913 et aux clauses et conditions du cahier des Oh prendre comnnunrcatibn. Il est déoltti-i, — dispositions de l'art. 696 du code de procédure civile, modifié, par la loi du 21 mai 1858, que tous ceux du chef desquels, il pourrait être pris des inscriptions sur lesdits immeubles, saisis pour raison d'hypothèque légale, devront requérir cette inscription 'avant la transcription du jugement d'adjudication. Pour plus amples renseignemenis, voir le cahier des charges ou s'adresser à M« BOT, avoué poursuivant. A Quimperlé, le 27 août 1913. L'avoué poursuivant. Em, BOT, Etude de l¥l« Kerautret, licencié en droi t, notaire à Pont-Aven. Vente Publique de Meubles Après décès et par autorité de justice Le diiuanciie a i Août 1 9 1 3 , à 1 heure de l'après-midi, et j o u r s suivants s'il ya heu, M« KERAUTRET, notaire à Pont-Aven, procédera au lieu de Kercoulliou-bihan, en la commune de Riec-sur-Bélon, au domicile de feu M. Corentin Canévet, à la vente aux enchères publiques des meubles et objets mobiliers dépendant do la succ.ession dudit M. Canévet. Il sera vendu notamment lits, armoires, pendule, table, bancs, objets de literie, linge, une vache, ustensiles de cuisine, bouteilles vides, brouettes, bascule, balances, et quantité d'autres objets. La vente aura lieu en présence des parties intéressées, ou elles dûment représentées. Au comptant plus 5 ® o. Le notaire chargé de la vente. E. Kerautret. Etude de IW' Biger, notaire à Bannalec V E N T E D E j y i E U B L E S Le Dimanche 31 Août et le dimanche suivant, à une heure, il sera vendu à Kerbéronnet en la commune de Bannalec, les meubles, objets mobiliers et matériel d'e:;ploitation; notamment : Lits, bancs, tables, armoires, fourneaux, écrémeuse, 4 grandes charrettes, charrette anglaise, charrue Brabant, machine à battre avec secoueuse, broyeur d ' a j o n c , tarare, pressoir, moulin à pommes, barriques, équipage, une bonne j u m e n t poulinière avec son poulain, un cheval de 3 ans, une pouliche d'un an, G bœufs, 4 vaches, 4 génisses, i veaux, 2 truies, 4 j e u n e s porc?, 4.000 kilos seigle, l.DOO kilos avoine. 3.000 kilos blé noir, pommes dv; terre, pommes à cidre, betteraves et (iuanfité d'autres o b j e t s . La vente aura lieu au comptant. •• \ On demande s la des Elude" de WT* Qeorges Uuoas, Tramways avoué-licencié-à Lorient, rue de de Lorient UN BOIV T O U R N E I H . avec bonnes références, pour s'ocia Mairie n" 28. ' cuper d'une malade. S'adresser à la Direction. S'adrésser au bureau du journal. République Française, j{u nom du Peuple FrarKais SeiEfllEOEPWBEmÇON Par suite dsLifiitation judiciaire, après acceptation bénéficiaire et sur surenclière du sixième EN UN SEBL COT Dépendances OUVftiFR o i aBO a cents cents i r . 5 0 0 fr. L'adjudication est fixée au M e r credi 1 0 Septembre 1913, a f ) , h e u r e s du matin, Ji l'audience des criées du Tribunal civil de Lorient. • DÉSIGIVATION iinineubl9S : situés au .Plessix, en la deLanester Premier article 1» Un moulin dit .< Moulin du Plessix », situé sur le bord de la chaussée et vers son milieu, composé d'un erand bâtiment de pierres avec tous ses accessoires de minoterie, savoir : . . . Du côté Ouest, un moulin de trois paites de meules avec son nettoyage et ses bluteries, le tout mu par une turbine Fontaine. Du côté Est, un moulin à cylindres l)royant cent cinquante quintaux par" vingt-quatre heures, comprenant un nettoyage complet pour froment (colonne épointeuse, brosse ù iïlé, t r i e u r s , tarrare-émotteur, épierreur) six appareils à cylindres doubles de O'-CO x 0.22. Un blutage complet par bluteries ordinaires, bluteries centrifuges Piansichters Bunge, brosse îi son. Tous ces appareils sont de la fabrication Teiss:et Vve Rrault et Ghapron, de Chartres. (Montage à l'état de neuf). Ce moulin à cylindres est actionnii également par une turbine Fontaine. Dynamo électrique pour l'éclairage (lii moulin en entier qui ligure au cadastre sous le n« G71 section J . 2" La chaussée, n» «70 du cadastre, avec tous ses accessoires et traversant l'étang. .3» L'étang d'un seul tenant dit « l'Etang du Plessix », n" 669 du cadastre, section J , d'une superllcie d'environ quator/e hectares sans garantie toutefois de contenance, tel qu'il existe, s'arrôtant à l'extrémité du n» 49i du point, qui sert de limite entre les numéros 497 et ^183 du plan cadastral. Deuxième article Au bout Est de la c h a i ^ s é e une maisonnette dite « Maisoirae Meunier » ayant rez-deMJhaussée et grenier, écurie et appentis de chaque côté, petit courtil clos de murets à l'Esl, sous réserve d'un passage de deux mètres au pignon de la maison voisine pour la réparation des m u r s et à l'Ouest magasin en plan ches numéro 2400 p du cadastre. Troisième article La maison d'habitation, le bâtiment du pressoir, la cour ou parterre, le jardin derrière la maison. Le tout ouvrant sur le chemin du moulin et borné au Nord jtar la mute du moulin, îi l'Oucsl par la route du Rohu, au Sutl par une haie vive qui est mitoyenne avec les jji'opriétés voisines. L'e tout porté au cadastre sous les numéros 887 section J , jardin neuf ares soixante centiares 828, maison et sol six ares 239 p, 240 p tjl 241. Dans cet article est compris l'ancien chemin au Sud der: numéros 827 et 828 du cadastre. Quatrième article •"'Le jardin situé derrière la maison d'habitation, k prendre k trois mè•iAlres derrière la dite maison suivant •t une ii ne parallèle à la longère Ouest e la dite maison. Etude de IW Péan de Ponfllly, licencié en droit, notaire à PontAven. A M V E N D R E TOTALITÉ OU P A R LOTS Près Q U I M P E R Q U P I S E R L É Diverses belles parcelles de terre sises à Xermmdrimn-Ztoyui en la commune de lUec-aur-Bélon, en bordure de la route de Pont-Aven Bannalec et bien placées pour construire. Entrée en jouissance au 29 sep tembre 1913. S'adresser pour traiter BLON DEAlî, place des Ecoles, Quimperlé Et pour tous renseignements au nolalre. 133 Diplômes d'Honneur et Médailles! FABRlOllE Charles G O R B I E R R E D'HORLOGERIE, Tarares —. Barattas -)o(~ BIJOUTERIE PRESSOIRSàCIDRE VENDANT LES MONTRES meilleur marché qu'à Besançon 17, a r a n d ' r u e 17 & A VIN , A Mouvement Vertical -)o(MOULINS A POMMES FOULO'iRSfA VENDA|NQE HACHE-PAILLE COUPE-RACINES CHARRUES BRABANT BROYEURS D'AJONCS ROULEAUX.— HEUSES Q U I M R E R L . É Draperies, Rouenneries, Soieries et Nouveautés. — Toiles de fil et de coton. Mérinos, Molletons, Flanelles, Coutils, Couvertures, Gilets laino marin et coton. Bonneterie, Velours 1 " marque La Cle/. Jute pour ameublements, Plumes, Duvet, Laines et Crins pour Literies. Vêtements confectionnés et sur mesure pour Hommes, .leunes Gens et Enfants. Vestons cuir et imperméables. UN B O N T A I L L E U R BRETON i BÎTTIU! 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Vous avez re' fnsél'au^tnôneqde faisait M. Corentin ' Guyho pour secourir quelques malheureux de Riec. Vous l'avez fait oslentiblemeni « t avec dédain. Vous étiez au courant'des intentions Gayho. Vous saviez que les com^^ recevraient de l'argent pour des tli^v dtotribatiODS- de pain et vous vous êtes e m p i r é d'accourir prendre conseil auprès de Voire ami Hyr^goyen député parintériflb et vous avez eù l'audace de ne pas a é O ^ r l'obole qui vous était offerte. Yavez-tous suppléé au moins? Avez-Vous délié les cordons de votre bourse pour offrir la même somme ? J'en doute. Dans tous les cas, même auriez-vous eu cette délicate intention que vous me faites l'effel d'un maire à l'esprit étroit, mesquin et vindicatif. Vos administrés s'en souviendront. Prenez garde, vous allez devenir légendaire, ce sera le commencement de la fin. C'est ce qu'on dit déjà tout bas à Riec en attendant qii'on vous le dise tout haut. Va Kitfooois. Bannalec R d x 0 , — Joseph Le Lan, de Kerhonit et Bourhis, débitant à la Croix-Verte, en Bannalec, s'étant pris de querelle, en sont venus aux mains. Le Lan qui a été un tant soit peu malmené, s'est fait délivrer un certificat par 16 docteur Le Stunf, de Quiniperlé, et a porté plainte à la gendarmerie, qui a ouverl une enquête. Nlzon Vol d»poul0M, — Depuis six mois environ, Le Naour Jean*de St-Maudé en Nizon, est l'objet de vols continuels de volailles. Depuis le premier janvier, il lui a été soustrait une dizaine de poules, d'une valeur de 25 francs environ. Malgré ses investigations et sa surveillance, l'auteur de c e s larçins demeura inconnu. Un nouveau vol s'étant produit dans la nuit du IC au 17 courant. Le Naour, s'est décidé à porter plainte à la gendarmerie qui a ouvert une enquête pour lâcher de découv r i r le ou les auteurs de ces vols répétés. Concaraeau AviM. — Le Maire de Concarneau, informe les intéressés que les demandes d'allocations concernant les militaires de la classe 1913 doivent être déposées à la Mairie, avant le 31 aoUt, accompagnées du relevé des contributions délivré par le percepteur. Chàteauliii rêt0B d*mvimti9u. - Le mardi 9 septembre aura lieu à Chàteaulin, une fête d'aviation qui promet d'être des plus réussie. Le Comité nommé à cet eflet s'est mis d é j à en rapport avec des aviateurs renommés et dès maintenant le concours d'un monoplan et d'un biplan est assuré. La fête, pour le succès do laquelle rien ne l é r a négligé aura lieu à proximité de la ville, au lieu dit Ty-Garré, dans un vaste champ se prêtant admirablement h une manifestation de ce genre. Nul doute que celte fête d'aviation coïncidant avec les fêtes locales, ne' soit suivie avQQ intérêt par un nombreux • public. •A. Beu7.ec-Cap-Si/.un Menleu incendiées, — Un incendie s'est déclaré dans des meules de foin et de paille placées derrière le moulin de la veuve Guilloih non assurée les pertes s'évaluent à 360 fr. Clinique Gratuite à Rendez-vous Vertlieuil (Gironde), 5 août 1912. Je suis très satisfait des Pilules Suisses qui sont très eftlcaces contre la constipation. GHAIM (Sig. lég. Marché aux Bestiaux de la Villette Cours du lundi 2 5 Août 1 0 1 » 409 356 484 96 120 401 204 31 400 3.187 1.537 284 1.624 4.250 Bœufs Vaches Taureaux Veaux..; Porcs PqMs moyen ^ Invendus »» Poids vif. Prix au kilo : ESPÈCES 1 Prix extrêmes 1 "qualité 2' qualité 3 ' qualité 0.61 à 1.08 0.60 1.09 Vaches T a u r e a u x . . . 0.59 0.80 0.99 1.56 Veaux 1.36 1.40 0 0 0 1 1 1 03 1 03 78 1 44 1 39 88 89 74 38 38 0 0 0 1 1 77 77 69 15 37 Aspect des ventes. — Vente mauvaise pour le gros bétail, calme pour les veaux, et pour les porcs. Médecine Pratique Les personnes atteintes de bronchites invétérées qui toussent et crachent sans cesse, été comme hiver, peuvent guérir en employant la Poudre Louis Legras. Ce remède merveilleux, qui a obtenu la plus.haute récompense à l'ïîxposition Universelle de 1900,. calme instantanément et guérit l'asthme, le catarrhe, l'oppressioti, l'essoufflement et la toux des vieilles bronchites. Une boîte est expédiée contre man dat do 2 fr. 10, adressé à Louis Legras, 139, Bd Magenta, à Paris. PRIERE AUX CÔNSOMMATEUBS » de la chicorée Extra Leroux d'en retourner les vignettes T O U S LES ANS AU 30 AVRIL à M. A. LEflOU.X à Orchies (Nord). • ' Les Vignettes non expédiées pour cette épo que sont valables pour les années suivantes. • D'un goût exquis, d'un arôme agréable cette chicorée se trouve dans toutes les épiceries. EVITER LES IMITATIONS SEUL PROPRit*'*"'^ ^si^nffivi 5.0J Jlu'iXfî't. lwwstousies,! par Il Marti Correspondance Etudes de M' Em. Bot, avoué à Quimperlé, rue Savary (ancienne Grand'Rue), n® 20/et de IVI« P e y ron, notaire k Quimperlé. VENTE Sar Conversion StiiMie-Immobilihre EN HUIT LOTS Avec clause de réunion l ' é t u d e e t p a r l e Mir^ïSTÈltE de en D E M* P É Y R O N NOTAIRE A q u i m p e r l é LE JEUDI 2 5 SEPTEMBRE! 1 9 1 3 à 1 heure de l'après-midi D'IMMEUBLES Sis au lieu dit KERARPELLAN / A> nen acheter (surtout aux prétendus spêcialistesdepassage)avant de demander nos prix toujours très modérés pour ces Articles comme pour tous les autres produits. de ÇUIMPERLÉ MATIN P O N T » A V E N , Atlas (te la plus Grande France 160 planches in-/»" en couleurs et 160 pages de texte, en 20 livraisons. Paris Attinger frères, éditeurs, 2, rue Antoine-Dubois, mise en vente de la septième livraison.^ La librairie Attinger frfres vient de mettre en vente la 7' livraison de l'Atlas de la plus Grande France, l'ouvrage en cours du maître Onésime Reclus. Elle termine l'étude de la région Parisienne, commencée dans la précédente, et consacre deux cartes à Paris et banlieue, étudiées tant au point de vue des productions du sol et sous-sol qu'au point de vue industriel et commercial. C'est !a première étude de ce genre ,qui ait été faite sur cette zone de la capitale et la capitale même, considérée i\ part dans la région Parisienne, et elle est particulièrement réussie. Dans^la partie départementale de la livraison sont étudiés la I')ordogne, le Doubs, la Drûme et l'Eure. On y voit la môme présentation à la fois scientifique et artisjique qui caractérise cet ouvrage vraiment unique. rjiosjiice LE M E R p R g P t Onésime RECLUS Amenés ÉLASTiÇUES Cabinet d'Essayage SOINS DE BOUCHE. — EXTRACTIONS. — PLOMBAGES. — GUÉRISON E F RECONSTITUTION EN OR, I V O I R E , P O R C E L A I N E , D E S D E N T S L E S P L U S M A U V A I S E S , -JP P O S E D E D E N T S E T D E N T I E R S EN TOUS G E N R E S , StIR O R , P L A T I N E , A L U M I N I U M , V'ULCANITE. — R É PARATIONS E T R E M O N T A G E S D ' A P P A R E I L S DENTAIRES. Gestel Rixe. — Dans une rixe survenue entre j e u n e s gens au bourg de Ouidel, Joseph Le Gall, 24 ans, domestique h Kerlec en Gestel, a reçu un coup de couteau. Le Gall a porté plainte à Ig^gendarmerie qui a ouvert une enquête. ESPÈCES A ASSORTIMENT CONSIDÉRABLE Directrice : M m e Veuve A r m a n d G A U T I E R Place Herm, QUIMPERLÉ Aeoid^nU, - M. Guillaume Péron, oharroa ii Ty-Boclel, présente à la suite d'une chute de voiture, des ecctiymoses multiples du dos, des jépaules, du bras gauche et de la" cheville droite. , — M. J a c q u e s Plouzennec, agriculteur à Kerbarzou, est atteint de kérato c o n j o n c tive de l'ceir gauche'par suite d'un coup d'épi; de' seigle qui s'est produit pendant . le battage. . — M. Louis Pilorgé, propriétaire agriculteur à Kerjaëc, présente un écrasement de la deuxième phalange des trois derniers doigts de la maifl droite, en vaquant aux travaux. Ces lésions produiront pour les blessés 15 j o u r s de repos. Messieurs Péron, Plouzennec et Pilorgé sont assurés à la C o m p a p i e Générale d'assurances contre les accidents. Produits En tous Tissus et de tous Modèles FINISTÈRE . Paraissant le Samedi pendant ta saison d'Eté iMellae PHARMACIEN LAORÉAT En la Commune de Moëlan MISES A P R I X : lot l.&OO f r , 2' lot. 3' lot 120 4» lot f)- lot Ï80 6« lot SOO 7Mot 400 8» lot « O Désigiialioli des linnieuliles à Vend» : Telle qu'elle est insérée au pi'Ocès-verbal de saisie-immobilière, ciaprès relaté. -.. Au Village de KERAMPELLA.y. Commune dé Moëlan. Canton de Pont-Aven. Arrondissement de Quimperlé Département du Finistère. PREMIER LOT Art. 1 " . — Une Hlaiaon construite en pierres, couverte en chaume, mesurant environ 9 m. de long, avec cheminée au pignon couchant. Elle ouvre au midi sur la route de Moëlan à Doëlan, d'une porte et trois fenêtres. Art. 2. — Au pignon couchant de la maison a r t l " , « n e Crèche construite en pierres et couverte en chaume, ouvrant au midi par une porte sur l'article ci-après. Devant les 2 articles ci-dessus, un terrain de 1 m. 40 environ. Art. 3. - Au midi de l'art. 2, une petite cour d'une contenance d'environ 12 centiares. Art. 4. — Une pièce de terre d'une contenaneé de 28 centiares environ, au couchant des articles 2 et 3. Les quatre articles qui précèdent sont portés au plan cadastral sous le n» 1137, section G, et non indiqués à l'extrait., Ils donnent du sud sur la route de Moëlan à Doëlan, du nord sur terre h Le Doze du Petit Kerandoze et Richard de Kerampellan, du couchant sur celle de Lozachmeur et du levant sur maison à. Zalo de Kerampellan. 1 Art. 5. — U n e i > i è c e de terre plantée de pommiers, dite Liors Kernahadi, bornée au sud par terre k Le Doze et Uichard, au couchant Sellin, levant Scaviner et au nord Le Roux, tous de Kerampellan et Le .Thoër de KerangofV, figurant au cadastre section 0 sous les n»» .1141 et 1142 réunis, pour une conlenance > de 2 ares 9(5 centiaresArt. 6. — moitié de Pmire à bmttre, semblant figurer au cadastre sous lé' n» 1137, section G, donnant du sud sur la route de Moëlan h. Doëlan, des nord et couchant terre, crèche et maison à Zalo, qui est propriétaire de l'autre moitié de l'aire à battre, et du levant sur crèche à Richard, tous de Kerampellan. <v Art. 7. — Au nord de l'article cidessus une petite pièce de terre, d'une contenance d'environ 30 centiares, bornée au levant par écurie à Richard et au couchant par terre Scaviner do Kerampellan. Art. 8. — Une parcelle de terre plantée dé pommiers, d'une contenance cadastrale de 3 ares DO centiares, figurant au plan sous le n° 1157, section G, dit Liors Kernahadi ou Liors Bras, donnant du nord sur terre à Le Tollec de Kerviguelouze, du midi celle de Le. Doze de Kerangoir, du couchant Garrec de Kerampellan, et du levant celle de Orvoën de Kerdreize. Nota. — Quoique cet article ne soit pas porté au nom des époux Boutet, au cadastre, il, est exploité par le sieur Jallrézou, leur fermi€«!>..et leur appartient. Mise a p r i x 1 1 . 5 0 0 f m n c » Douches Injecteups — Bassins de Lit — Urinoirs DEUXIEME LOT Art. 9. —, Une parcelle de terre dite Ar-Ternou-Guen, portée au plan cadastral sous les n " 83J et 831 réunis, pour une contenance cadastrale de 11 ares 80 centiares, section G, bornée au nord par terre à Garrec et au sud par celle de Lozachmeur de Kerampellan, et encore celle de Orvoën de Kerangotl" et aux levant et couchant par celles de Sellin et Le Roux de Kerampellan. Mise il prix : « 0 0 f r a n c s TRrtlSlÈME LOT ' Art. 10. — Une parcelle de terre, dite An-Temou-Guen-Bihan, au cadastre sous le n» section G, pour une contenaiic.- .1 l are 90 centiares, bcnt^o au II'T.I par terre à Sellin, sud (.1 irrt>c et levant Flohic de Keratnpelluu i-l nu couchant par celle de Tanguy de Kergantine. mise à, pi i.Y : 1:30 f r a n c s QUATRIÈME LOT Art. H. — Une parcelle de terre dite Pen-ar-Slanf/. plantée de pommiers, figurant au cadastre section G, n» 466, pour une contenance de 1 are 50 centiarës, donnant des sud et couchant sur terre à Cohen et Simon de Kerampellan, des nord et levant, prairie et terre ' à Calvar et Bourhis de Keranmoulin. Mise à p r i x : 1 5 0 f r a n c s - • CINQUIÈME LOT , Art. 12. — Une autre parcelle dite Pm ar-Stang, n» du plan, ' section 0 , d'une contenance d'environ 2 ares 80 centiares, plantée de pommiers. Elle donne du nord sur prairie à Calvar, de Keranmoulin, des sud, levant et couchant sur terre à Calvar, Soufl'ez et Le Bloa, de Kerampellan et est traversée par un chemin d'exploitation. Misa à p r i x : 1 8 0 fr. SIXIÈME LOT Art. 13. — Une parcelle de terre, sous lobour, nommée SlangKertangui/, inscrite aux n " 874 et 874 réunis, section G, d'une contenance d'environ 8 ares, bornée au sud par terre à Garrec, nord celle de Cohen, levant Simon et couchant Malcoste, de Kerampellan. Klisc a prix : 5 0 0 fr. SEPTIÈME LOT Art. 14. — Une parcelle de terre labourée,, nommée Ar-Por' sou, portée aU plan cadastral sous le n» 931, section G, pour une contenance de 6 ares 90 centiares, donnant du nord sur voie charretière de Kerviguelouze à Kerampellan, du sud sur terre h Garrec, et levant celle de Lhyver, de Kerampellan, du couchant celle de Mjilié, de la Villeneuve. Mise a prix : 4 0 0 fr. HUITIÈME LOT Art.15,— Uneparcelle de terre, sous labour, dite An Tlent-MeurBer, figurant au plan cadastral sous le n» lOâG, section G, pour une contenance de 8 ares 90 centiares, bornée au sud par terre à Soufi'ez et Garrec, de Kerampellan, au couchant ledit Garrec, au nord voie charretière et au levant Tanguy, de Kergantine. NOTA. — Cette parcelle n'est pas au nom des époux Boulet au cadastre et leur appartient réellement comme étant détenue par leur fermier. Mise «Y prix : 150 fr, NOTA. — Après adjudications séparées, les huit lots sçront réunis et remis en vente en un seul lot sur une mise à prix formée du total des prix des adjudications partielles qui ne deviendront définitives qu'à défaut d'enchères sur la réunion, ou encore sur une mise à prix formée du total des prix des lot^, adjugés provisoirement et des noises à prix des lots non adjugés, ou enfin sur une mise à prix formée du total des mises à prix au cas ou aucun des lots ne serait adjugé. La présente vente est poursuivie en exécution d'un Jugement rendu )ar le Tribunal civil de Quimperlé, e 13 Août 1913, après saisie réelle des biens sus-désignés, opérée suivant exploit de M« LE QUEUE, huissier k Quimperlé le 'l'ô juillet 1913, enregistré et transcrit avec l'exploit de dénonciation au bureau des hypothèques de Quimperlé. le 7 août 1913, volume 34, n®» i el 2, ledit j u g e m e n t ordonnant^ la conversion de ladite saisie, dûment enregistré et mentionné, en m a r g ' de la transcription de la saisie ci-d- ssus, a été rendu aux requête.- do : 1» M. Julien-Mane Le Tollec, époux de Mme Marie-Anne Audren, cultivateur, demeurant à Kersauze, en la commune de Clohars-Carnoët ; Créancier saisissant ayant pour avoué M' BOT, demeurant à Quimperlé, Rue Savary, n® 20. 2® M. Pierre-Marie Boutet, marin de l'Etat et Mme Marie-Yvonne Malcoste, son épouse, qu'il assiste et autorise, demeurant ensemble à l;i Grange, en la com;nune de Clohars Carnoët. Parties saisies, a>ant pour avoui^, M' PIEDOYE, demeurant à Quini perlé, rue Savary, n" 23. L'adjudication des immeubles cidessus aura lieu en l'étude et par le ministère de M" PEYRON, notaire à Quimperlé, le Jeudi 25 Septembre 1913, à une heure de l'aprèsmidi, en huit lots, tels qu'ils sont ci-dessus décrits, avec clause de réunion et sur les mises à prix susdites, fixées par le j u g e m e n t susénoncé du 13 août 1913 et aux clauses et conditions du cahier des charges; déposé eh l'étude dudit M' PEYRON, où toute personne peut eh prendre communication. Il ë s t d é c l a r é , c o n f o r m é m e n t aux dispositions de l'art. 696 du code de procédure civile, modifié, par la loi du 21 mai 1858, que tous ceux du chef desquels, il pourrait être pris des inscriptions sur lesdits immeubles: saisis pour raison d'hypothèque légale, devront requérir cette inscription avant la transcription du jugement d'adjudication. Pour plus amples renseignemen I s, voir le cahier des charges ou s'adresser à M* BOT, avoué poursuivant. A Quimperlé, le 27 août 1913. L'avoué poursuivant. Em. BOT, Etude de IVi= Kerautret, licencié en droi t, notaire à Pont-Aven. Vente Publique de Meubles Après décès et par autorité de justice Lediiuanclie 31 Août 1913, à 1 heure de l'après-midi, et j o u r s suivants s'il ya lieu, M« KERAUTRET, notaire à Pont-Aven, procédera au lieu de Kercoulliou-bihan, en la commune de Riec-sur-Bélon, au domicile de feu M. Corentin Canévet, à la vente aux enchères publiques des meubles et o b j e t s mobiliers dépendant de la succession dudit M. Canévet. Il sera vendu notamment lits, armoires, pendule, table, bancs, objets de literie, linge, une vache, ustensiles de cuisine, bouteilles vides, brouettes, bascule, balances, et quantité d'autres objets. La vente aura lieu en présence des parties intéressées, ou elles dûment représentées. Au comptant plus 5 "/o. Le notaire chargé de la vente. E. Kerautret. Etude de W Biger, notaire à Bannalec VENTE'D£MEUBLE$ Le Dimanche 31 A.ont et le dimanche suivant, à une heure, il sera vendu à Kerbéronnet en la commune de Bannalec, les meubles, objets mobiliers et matériel d'e::ploitationi notamment : Lits, bancs, tables, armoires, fourneaux, écrémeuse, 4 grandes charrettes, charrette anglaise, charrue Brabant, machine à battre avec secoueuse, broyeur d ' a j o n c , tarare, pressoir, moulin à pommes, barriques, équipage, une bonne j u m e n t poulinière avec son poulain, un cheval de 3 ans, une pouliche d'un an, 6 hœufs, 4 vaches, 4 génisses, 3 veaux, 2 truies, 4 j e u n e s porc?, 4.000 kilos seigle, 1.500 kilos avoinf. 3.000 kilos l,)lé noir, pommes do terre, pommes à cidre, betteraves et (juantité d'autres o b j e t s . La vente aura lieu au comptant. M = N» 69 LB WiMÉRO : CINQ CENTIMES Dimanche~31 Août 1913 ''l'ne î . , 1 ET MARITIME Organe Républicain Démocratique de la Région du Paraissant Les annonces sont reçues au bureau du journal et, à Paris, dans toutes les Agences. On traite à forfait pour les annonces répétées plusieurs fois. Annonces et Réclames Annonces Judiciaires (la ligne)... 20 o. Annonces volontaires 2B o. Réclames BO o. yAlMES ETiaonTliS La plupart des journaux s'inspirent des statistiques relatives aux élections canlonales publiées par le nunislère de l'Intérieur pour se livrer à do savantes et prolixes considérations sur la situation des divers partis politiques dans notre pays ; mais je n'en ai pas encore trouvé un seul qui posât la question de savoir s'il y a encore des partis poliliques vraiment dignes de ce nom. Cette question est pourtant la première qui devrait attirer l'attention de la presse et des Pouvoirs publics, parce que c'est celle qui a le plus d'imporlance au point de vue de l'orientation de la politique intérieure de la France. J e vois dans les slatisliques ofHcielles, par exemple, que les élections cantonales pour le renouvellement d'un tiers des membres dos conseils généraux a fait entrer dans çes assemblées « 107 conservateurs et membres del'Aclion libérale », mais je n'ai aucun moyen de savoir ce que les auteurs dos slatisliques c'est-à-dire les préfets et les souspréfelsentendent par « conservaleuis » Désigne-t-on par celte épilhèle simplement tous les élus qui sont animés de l'esprit de conservation, qui redoutent le progrès, qui se complaisent dans l'admiralion du tempoHs acti, ou bien appelle-t-on eonservateurs des citoyens qui comballeot ooveriemenl la Républiqt(6, donti^déal'est une nranarchie, un empire ou une dictature, et quelle monarchie, quel empire, quelle dictature? De tout cela on ne dit absolument rien et c'est pourtant cela qu'il serait intéressant de savoir pour juger, en connaissance de cause, de l'état d'esprit du pays. L'obscurité n'est pas moins profonde pour ce qui est des élus appui tenant à « l'Action libérale ». Il y a de tout en effet, dans ce groupement. J'y connais des bonapartistes, des royalistes, des césariens, voire des républicains mécontents de ce qui se fait, mais nullement hostiles au régime. La deuxième grande catégorie d'élus que comportent les slatisliques cllicielles est celle des « républicains progressisles. Chez eux, le républicanisme esl incontestable ; quant à l'étiquello de « progressistes qui leur est attribuée, j'avoue n'en pas connaître du lout la signification. Si je prends pour critérium les groupes que l'on qualifie, à la Chambre,de progressistes,je constate d'abord qu'il y en a deux ; celui des progressistes dits de « gauche et celui des progressistes dits de « droite » ; je sais. [33] Feuilleton de l'Union Agricole Coqueluche \ er par Pierre SALES PREMIiiRB PARTIE IX L e triomphe du poète - ' Encore une minute de slleDce. Puis quelque chose se hissa contre la grande fenêtre, et Coqueluche perçut un glissenieiit... puis quelque chose comme du taraudage dans le haut... Enfin, par une ouverture du volet, agrandie, éclatait une légère détonation : on venait de tirer une balle de revolver. Mais ce n'était pas encore trop mécbant. Soit par maladresse, soit qu'on voulût simplement donner un avertissement, la halle avait ricoché sur le plafond et tombait dans un coin de la pièce. — Celle-ci, Je l'aurai au moins pour ma collection. Coqueluche alla la ramasser bien tranquillement. — Mais, dit-il, comme il serait- bien inutile qu'on lui donne une petite sœur, on va vous boucher le pàssage, mesdemoiselles... La vieille horloge dépassait la hauteur la fenêtre. Gc^ueluche la traîna et les JEUDI et DIRECTION ]\ord-Ouest DIMANCHE ' : RÉDACTION, ADUINISTRATION ék ANNOyCBS A Q U I M P E R L E , Place Hervo. n* d bis TÉI_ri:F>HONK, IM' B Les abonnements se faieni d'avance, sauf conventions ils partent du. i" ou du. i5 do chaque mois. On s'abonne au bureau du journal. On peut s'abonner également, sans frais, dans tous les bureaux de poste. Adresse Télégraphique : Union, Qulmperlè d autre part, que dans l'un et l'autre •chose la plus indéfinissable du monde' •^tt Livadia,'et-iui rometlre une lelJ.re aulo-, groupe, aussi bien dans celui de droite esl le groupe des radicaux et radicaux- graphe du sultan. Mais le s o u v e r a i n r u s s e a u r a i t p r i é le socialistes. Les Gouvernements habiles que dans celui de gauche, se trouvent g o u v e r n e m e n t o U o m a n de n e p a s d o n n e r le savent et en usent sans façon avec dfs hommes auxquels je confierais sans suite à cette intention. des hommes dont le seul but est de aucune uiquieludo l'exislonce du régime - L ' é t a t de s i è g e a é t é p r o c l a m é d a n s républicain, lundis que j'éprouverais se maintenir en possession des sièges le s a n d j a k d ' i s m i d , en Analolie, où de quelque delianco si celle existence élait qu'ils possèdent dans les Assemblées g r a v e s t r o u b l e s ont é c l a t é . livrée aux mains do tels ou tels républi- élues, mais qui, n'ayant plus de chefs, — On vient de d r e s s e r la s t a l i s l i q u e des p e r t e s (tués, b l e s s é s et m o r t s de m a l a d i e ) , cains d'uno nuance beaucoup plus fon- parce que les soldats résolus à so battre font défaut ne peuvent plus que dis- s u b i e s p a r les d i v e r s b e l l i g é r a n t s d u r a n t cée que celle des progressistes. J'ai vu paraître dans la réalité, lout en conser- les d e u x g u e r r e s s u c c e s s i v e s b a l k a n i q u e s . des radicaux à tous crins courtiser le vant,de vainosétiquelles, sous lesquelles En voici le Lrisle t a b l e a u : cheval noir du général Bjulanger, tanS e r b i e . — A r m é e de 400.000 h o m m e s ; dis que la plupart, sinon la totalité des il n'y a plus de programme. p e r l e s de la p r e m i è r e g u e r r e , 30.000 : p e r J'allais dire qu'une seule catégorie tes de la s e c o n d e , 4 i . 0 0 0 . Total : 71.000. progressistes, se montraient fort ardents à combattre le cavalier lui-même ; et je des statistiques officielles, celle des Grèce. — A r m é e de 300.000 h o m m e s ; ne puis oublier que les Jacobins de no- socialistes, répond à une vérité politi- p e r t e s de la p r e m i è r e g u e r r e , 23.000 ; perire grande Révolution furent tour à tour que : mais je suis obligé de retenir ma l e s de la s e c o n d e , 25.000. Tolal : 48.000. M o n t é n é g r o . — A r m é e de homles inventeurs do Bonaparle et les cour- plume, après un examen de la diversité m e s ; p e r t e s de la p r e m i è r e g u e r r e , 1 8 . 0 0 0 ; des personnes que je connais el des protisans do Napoléon. Total : Une Iroisieme catégorie de conseil- grammes plus ou moins socialistes que p e r t e s de la s e c o n d e , B u l g a r i e . — A r m é e de hommes ; lers généraux, d'après les slatisliques j'ai entendu exposer au cours d'une p e r t e s de la p r e m i è r e g u o n e, T.i.O jO : p e r ofllcielles, est colle des «républicains de carrière assez longue pour que j'aie vu tes de la s e c o n d e , Total : I.'jG.uOO. gauche ». Bien malin serait celui dont beaucoup de choses et conslaté de T u r q u i e . — A r m é e ui.'rtOO000 l i o m m e s ; mulliples variations. Si j'osais qualifier p e r l e s de la p r e m i è r e g u e t r o , lûOiOOO. je pourrais apprendre ce que c'est qu'un Ce qui fait un total, p o u r l ' e n s e m b l e d e s « républicain de gauche ». Toul au plus le socialisme actuel, je dirais volontiers semble-t-on désigner par là les républi- qu'il est le moyen de conquérir les siè- a r m é e s b e l l i g é r a n t e s , de 440.000 h o m m e s h o r s de c o m b a t . cains qui ne sont ni progressistes ni ra- ges dos radicaux et des radicaux-sociaC o m m e o n l e v o i t , s a u f p o u r le Monl,énédicaux, ni radicaux-socialistes, ni socia- listes. El ce moyen n'est pas mauvais g r o , qui n ' e s l v r a i m e n t (intrè en ligne s é listes. Il m'est donc absolument impos- puisque, d'après les statistiques officiel- r i e u s e . q u e d a n s la p r e m i è r e g u e r r e , la s e sible de savoir exaclemenl ce que c'est les, il a permis aux candidats socialisconde g u e r r e a élé l)eaucoup plus m e u r t r i è r e q u e la p r e m i è r e . que les républicains de gauche » des tes de gagner, aux dernières élections lit d a n s c e l t e f u n è b r e liste on ne p e u t statistiques piéfectorales et ministériel- canlonales, 18 sièges dans les conseils généraux. Les journaux socialistes sont e n c o r e é n u m è r e r , faute d'éléments d'aples. dans le ravissement ; ils en ont le droit ; p r é c i a t i o n s u d i s a n t s , les a t t e i n t e s s u b i e s La quatrième catégorie desdiles staet je n'aurai pas l'indiscrétion de leur p a r les p o p u l a t i o n s p a r s u i t e d e s m a s s a tistiques comprend les radicaux et rademander avec quels programmas pu- c r e s , d e s m a u v a i s t r a i t e m e n t s , d e s p r i v a dicaux-socialistes ». De ceux-là je conhli,ç.s QUi spcrels, .yoire taciteg^^leurgj tions e t d e s m a l a d i e s qui o n t fondu s u r nais un très.grand nombEe^ depuis IrétS -elles," t a n d i s q u e léa a r m é e s s e d i s p u t a i e n t candidats dnt triomphé. longtemps ; je puis donc en parler savilles, v i l l a g e s et i i a m e a u x I •Je me borne à conclure que les statisvamment ; or, tout ce qu'il m'est possitiques les plus oflicieUes n'ont aucune ble d'en dire est que l'on trouve parmi L e s E l e c t i o n s de R o c h e f o r t eux toutes les tournures d'esprit imagi- valeur parce que les élus y sont classés Le Conseil de p r é f e c t u r e de C h a r e n t e - I n nables, depuis celle du conservatisme sous des étiquettes absolument vaines. f é r i e u r e a p r o c l a m é é l u s c o n s e i l l e r s d'arJ.-L. de LANESSAN le plus obstiné jusqu'à celle du révolur o n d i s s e m e n t de R o c h e f o r t - s u d MM. lloDôpiilé, Ancien MinisLre, lionnarisme le plus ardent. Ils étaient c h e l e a u et Breil qui, a u s c r u t i n de ballotMembre de la Commission Ccnlrale Kxéoulive jadis, en grande inajorilé, anticléricaux tage, r e c u e i l l i r e n t 20 el 18 sull'rages s u r (lu l'aril licpublicain Dèmocmlique. voire « mangeurs de curés » la sépara5.834 i n s c r i t s . tion des Eglises et de l'Etal n'était pour M. llourdillé, élu c o n s e i l l e r g é n é r a l de c e m ô m e c a n t o n p a r 2ô v o i x , a ' d é c l a r é n e la plupart, qu'un moyen de faire dépas accepter. truire l'Eglise par l'Eiat. Mais, depuis L e p r é f e t v a s o u m e t t r e a u Conseil d'Kquelques années l'espril a changé avec tat la d é c i s i o n du conseil de p r é f e c t u r e . les hommes ; le langage seul a^ resté à B a n s les B a l k a n s peu près immuable... du moins en puOn e n l r e v o i l , enlin, le reloui' d ' u n c l a l Aviation blic ; les « mangeurs de curés » ont été n o r m a l tians les r é g i o n s balkaniqu'^s, si remplacés par d'habiles exploiteurs de Chutes mortelles t r o u b l é e s d e p u i s dix m o i s . A Conslanlicurés : exemple, ce député qui montre nopio, la s i t u a t i o n r e s t e sLationnaire, m a i s M e r c r e d i , à "V'illacouhlay, le l i e u t e n a n t ses billets de confession pour so faire les i n d i c e s s e mulLiplienI, d é m o n l r a n l q u e S a n s c v e r , de l'infanterie c o l o n i a l e , a c c o m élire et qui, une fois élu, pose à l'antip a g n é du s a p e u r L a f o r g u e s , elVectuait un les n é g o c i a t i o n s b u l g a r o - l u r q u e s s o n t en vol a u - d e s s u s de l ' a é r o d r o m e m i l i t a i r e , clérical au point de réclamer la supb o n n e voie, d ' a b o u t i s s e m e n t . l o r s q u ' à la t o m b é e de la n u i t , le lieute— Les ollioiers t u r c s faits p r i s o n n i e r s pression dos écoles libres. n a n t s e t r o u v a n t à 20f) nuHres de h a u t e u r Comme l'aniicléricalisine était lo seul en S e r b i e e l d o n t la lil)éraLion a c o m c h e r c h a un p o i n t d'alto^i-rissage. m e n c é s o n t , d è s l e u r a r r i v é e à ConsLanLIarticle du programme actif des radicaux L'apjiareil qui a v a i t ' ^ o m m e n c ô à" t a n nople, r e p l a c é s d a n s les c a d r e s de l ' a r m é e . et radicaux-socialistes et queranliclérig u e r , s e r a p p r o c h a b r u s q u e m e n t du sol — Un c o n f i r m e , à ConslanLino[)le, ([u'irn calisme réel esl aujourd'hui relégué ollicier de la Suiilime l^uMe a v a i t é t é d é s i et p i q u a tlroit d ' u n e h a u l e u r de 30 m è t r e s , aux vieilles lunes, il en résulte que la g n é p o u r a l l e r s a l u e r le tzar à son a r r i v é e le m o t e u r r e s t a n t en pleine m a r c h e . 4 0 . 0 0 0 1 . 2 0 0 . 1 9 . 2 0 0 . 6 0 0 . 0 0 0 8 ; ] , 0 0 0 . Au Jour le Jour boucha ainsi l'ouverture qui avait été pratiquée. Il était temps : une nouvelle balle était tirée; seulement Coqueluche ne sut pas la direction qu'on avait donnée à celle cl ; elle demeura dans le haut du meuble. Ou' essaya de recommencer le même travail sur l'autre fenêtre qui était plus large. Coqueluche haussa les épaules : en un clin d'œll, 11 avait traîné devant toute ouverture possible un dressoir qui masquait complètement la fenêtre. —• Tirez 1 mais tirez donc ! messieurs les Grégoriens!... Faites comme messieurs les Anglais, à Fonteuoy 1 Quelques coups de feu retentirent en effet de côté, ainsi que sur l'autre fenêtre. Pals, toujours de» sommations. Pois, encore le silence. Se décourageaiton? Non. La porte était secouée, soudain, par des poussées furieuses. Probablement des coups d'épaule... — Allez-y, mes amis, c'est pas c'te lourde-là qnl vous cédera. Pour plus de sûreté d'ailleurs, 11 traînait contre le large panneau la table du milieu, -sur laquelle il hissait le dressoir. — Renversez-la donc c'te barricade I.. Coqueluche n'avait qu'un regret, c'était de jouer un si beau rôle pour lui iout seul. — C'que j'aurais du succès, au théâtre de Bellevllle ou aux Bouffes du Nord ! Mais voici que le danger augmentait. Puisque tous les avertissements, môme & balles, ne servaient de rien contre l'enragé... ou les enragés enfermés ià-de- d a n s . . . on allait essayer de leur faire sérieusement peur. Une dernière sommation fut criée, par cette voix de commandement que Coqueluche, soudain, se flgura avoir déjà entendue. Mais où ? . . . et n'était-ce pas toul simplement parce qu'elle avait déjà retentit tout à l'heure?... Il répondit par un pied de nez, encore bien désolé de n'être pas. Mais 11 éprouvait un petit frisson, en découvrant que le taraudage qu'on avait pratiqué en haut des fenêtres allait être repris entre les troncs d'arbre qui formaient les murs. Les assiégeants avalent certainement des outils militaires, ne fût-ce que le couteau d'ordonnance, avec des tire-bouchons, de petits ciseaux à froid...' Bientôt une ouverture allait être faite; et Coqueluche distingua qu'on Introduisait quelque chose qui devait être un canon de revolver... Il se colla simplement contre le mur ; et deux coups ayant été tirés, il s'imagina qu'il voyait passer les balles. La situation s'aggravait : s'il pouvait échapper aisément à un seul revolver, comment se garerait-il, si des trous semblables étalent percés sur les autres parois ? — Ç», mes petits amis ; ça commence à ne plus être du j e u . . . Tant pis pour vous, si Je défends ma peau ! Il prit le revolver du lieutenant, le glissa bien doucement contre le mur, jasqu'à ce que le bout du canon fût devant l'autre canon. Il poussa alors, avec une violence extrême, sentit que l'autro re- volver reculait... Puis il tira un premier coup, qui acheva de faire tomber l'arme de l'adversaire, et un second, qui fut suivi d'un cri de douleur. — Pourvu que je l'aye pas tué, au moins ! Mais voilà qui va les faire réfléchir I . . . Des cris d'exaspération éclataient ; et des coups terribles étalent frappés sar les quatre parois du pavillon de chasse, avec des menaces... — Hurlez I . . . hurlez, mes petits I Mais assez vite on ne hurlait plus ; on s'occupait du blessé qui gémissait. On dut encore tenir conseil : sans doute, on en viendrait à bout, de cet enragé I . . . Mais de combien de balles dlsposalt-ll?... Et avant qu'on arrivât jusqu'à l u i ! . . . Bientôt, des frôlements montaient le long des murs. Coqueluche comprit qu'on allait essayer de pénétrer dans le pavillon par les chambres du haut. — Ça fit 11, c'est gentil tout plein I . . . Si la moitié de la troupe est occupée parlât... On pourrait bien arriver dans les chambres; mais on trouverait la porte du' palier aussi bien barricadée que la porte d'entrée. ' Coquelnche transporta immédiatement une commode, des sièges, une petite table ; par dessus le marché, il poussait deux énormes verrous, prudemment posés par le garde-chasse, qui, avait dij s'Imaginer qu'il serait en danger, quelque Jour, d'ôtre aussi bien assiégé par le haut que par le bas l ABONNEMENTS (uN AN) Quimperlé (ville) Finistère et départements limitropli6s•••••••••••••••••••••• Autres départements Colonies et étranger s fp 6 7 — 10 — Au g r a n d efTroi d e s a s s i s t a n t s , l ' a p p a reil v i n t s ' é c r a s e r s u r l ' a é r o d r o m e . On s e p o r t a a u s e c o u r s d e s v i c t i m e s qui g i s a i e n t i n a n i m é e s a u miji'eu d e s d é b r i s de l'appareil. L e s d e u x a v i a t e u r s é t a i e n t h o r r i b l e m e n t m u t i l é s . L ' a c c i d e n t s e r a i t dû à la r u p t u r e d ' u n e tige d u g o u v e r n a i l d e profondeur. La cinquième arme Le g é n é r a l de b r i g a d e B e r n a r d , c o m m a n d a n t la7« b r i g a d e d ' a r t i l l e r i e à B e s a n ç o n , est r e l e v é de s o n c o m m a n d e m e n t e l m i s à la t è l e de l ' a é r o n a u t i q u e m il il a i r e . Le raid de Gnillanx P a r t i de B i a r r i t z , l ' a v i a t e u r Guillaux e s t d e s c e n d u à S c h œ s s e l , en P r u s s e , c e qui fail en ligne d r o i t e e n v i r o n 1600 k i l o m è tres. Il e n l è v e r a i t d o n c la c o u p e à B r i n d e j o n c d e s Moulinais. Brinde.jonc a effectué, on le s a i t , la t r a v e r s é e P a r i s - V a r s o v i e , soit 1400 k i l o m è tres. A v a n t lui, les d é t e n t e u r s de la c o u p e P o m m e r y f u r e n t : Gilbert ( P a r i s - C a c é r è s , 1400 k i l o m è t r e s ) ; L e t o r t ( P a r i s - D a n t z i g , 1280 k i l o m è t r e s ) ; Guillaux ( P a r i s - S a m o r a l , 1100 k i l o m è t r e s ) , et .lanoir ( P a r i s - B e r l i n , 300 k i l o m è t r e s ) . Mauvaise humeur allemande La p r e s s e a l l e m a n d e s e m o n t r e t r è s a g r e s s i v e a u s u j e t d e s a v i a t e u r s ^^enus d e F r a n c e , qui, s o u s le p r é t e x t e , y d i t - o n , de r a i d s P a r i s - B e r l i n et a u t r e s , c r o i s e n t j o u r nellement au-dessus du territoire de l'empire. Incident Sino-Allemand On v i e n t de c o m m u n i q u e r à È e r l i n u n t é l é g r a m m e ofTiciel t r a n s m i s p a r le c o m m a n d a n t de l ' e s c a d r e de c r o i s e u r s e n v o y é s en E x t r ê m e - O r i e n t . Il y e s t dit q u e les Chinois, s o u l e v é s c o n t r e Y u a n Ski-Ka'i et qui o c c u p e n t un f o r t p r è s de W o u - H o u ont tiré des c o u p s de fusil c o n t r e le c r o i s e u r a l l e m a n d « E m d e n ». Le c r o i s s u r a r é p o n d u a u s s i t ô t p a r un tir r a p i d e , et a p r è s v i n g t - c i n q c o u p s de c a n o n , il a r é d u i t le f o r t à s e t a i r e . Un nouveau sous-marin Le 2 o c t o b r e p r o c h a i n , le p o r t de R o c h e r fort m e t t r a à l'eau le s o u s - m a r i n Clorim/e de 410 t o n n e s . Ce b â t i m e n t m e s u r e 53'" '.tô d e long, ."j"' 10 <le l a r g e . Il s e r a a r m é d e huit t u b e s l a n c e torpilles et a c t i o n n é par des m o t e u r s à combustion intérieure de 1.300 11. P. 11 p o u r r a liler 15 n œ u d s et p o r t e r a 27 h o m m e s d ' é q u i p a g s . «a» L e s flottes E u r o p é e n n e s Dans un a r t i c l e s u r les t r o i s flottes c o m p a r é e s , a n g l a i s e , a l l e m a n d e et f r a n ç a i s e , le Corriered'Kalia, de R o m e , c o n s t a t e q u e l'idée d i r e c t r i c e de la m a r i n e a n g l a i s e p a r a î t ê t r e la d é f e n s i v e , a l o r s q u e l ' o r g a n i sation m a r i t i m e allemande s e m b l e ê t r e o r i e n t é e v e r s l'offensive. — C'est une petite forteresse, au rez-dechaussée I Néanmoins, le danger s'aggravait encore. Après le bruit d'une fenêtre brisée, Coqueluche distinguait des pas au-dessus de lui ; et, immédiatement, on se mettait à tarauder le plafond, simplement composé de planches : est-ce que les balles allaient partir de là, maintenant ? — Heureusement, plus que trois minutes, mes bons messieurs I Mais à ce moment. Coqueluche ne put s'empêcher de trembler, comme trembla, d'ailleurs, tout le pavillon, sous un coup formidable que reçut la porte. Elle résista ; mais le buffet en avait été remué, écarté même, d'un bon centimètre. Ce n'était plus avéc des pommeaux d'épée, des crosses de revolver on des talons de bottes qu'on essayait de renverser la << lourde ». On avait dû trouver dans le voisinage quelque tronc d'arbre, et on en faisait bélier, comme dans ces sièges de l'antiquité, dont Coqueluche avait un vague souvenir depuis son temps d'école. Que la porte fût renversée... avec des coups de revolver partant de là-haut... et en f a c e . . . — Et tu seraU vite nettoyé, mon petit Coqueluche I Heureusement, plus que deux minutes ! Ea tout cas, on la leur vendrait chèrement, c'te binette, h qui tant de Parigotes avaient laissé entendre qu'elle n'était pas des plus mal I Lfi m ê m e j o u r n a l e s t i m e e n s u i t e q u e la flotte f r a n ç a i s e a u n e grande v a l e u r : u C e r t a i n e m e n t , a j o u t e c e j o u r n a l , la m a r i n e f r a n ç a i s e n'est pas p a r f a i t e p u i s qu'il n ' e x i s t e p a s de m a r i n e p a r f a i t e , m a i s c e qu'il fallait relever, c'est q u e c e t t e mar i n e p r o g r e s s e au point de v u e du p e r s o n nel ftt du m a t é r i e l dans u n e m e s u r e q u e peu de p e r s o n n e s en Italie s a v e n t r e c o n n a î t r e et a p p r é c i e r . -> ' F r a n c e & Allemagne De c o n c e r t a v e c l'Angleterre et la R u s s i e , un accord financier e s t i n t e r v e n u entre les g o u v e r n e m e n t s f r a n ç a i s et allemand au s u j e t du c h e m i n de fer de Bagdad. Les t e r m e s de l'accord donnent h l'Allemagne la liberté d'action dans la région de Bagdad, s a n s c o n t r ô l e é t r a n g e r , et ils e n l è v e n t , d'autre p a r t , h la F r a n c e la c o n c u r r e n c e allemande d a n s des r é gions où elle p o u r r a i t s ' e x e r c e r . Us s u p p r i m e n t , en outre, u n e c a u s e de rivalité e n t r e les d e u x p a y s en Aise-Mineure. France & Espagne A l'occasion du c o n c o u r s h i p p i q u e international de Pu^cerda, ville espagnole vois i n e de la frontière, u n e m a n i f e s t a t i o n f r a n c o - e s p a g n o l e a eu lieu. La foule a fait des ovations a u x Français, p a r m i l e s q u e l s se trouvaient de nomb r e u x officiers. Le m u s i q u e a j o u é la Marseillaise au milieu de vivats e n t h o u s i a s t e s . Une Affaire de Trahison Dans le plus g r a n d m y s t è r e , la S û r e t é g é n é r a l e p r é p a r e u n e e n q u ê t e s u r une ali'aire de trahison qui parait grave. I n maréchal-des-logis d u d ' a r t i l l e r i e , s o u s - c h e f m é c a n i c i e n à la 8" batterie, n o m m é Dieu, a été m i s au s e c r e t m e r c r e d i d e r n i e r . 11 e s t i n c u l p é d'avoir expédié à un c o r r e s p o n d a n t é t r a n g e r des d o c u m e n t s et des p h o t o g r a p h i e s d ' i n s t r u m e n t s de p r é c i s i o n en u s a g e dans l ' a r m é e f r a n ç a i s e . Deux p e r s o n n e s qu'on croit s e s c o m p l i c e s sont é g a l e m e n t r e c h e r c h é e s . On r e c h e r c h e , en outre, une j e u n e f e m m e , a m i e de Dieu, qui a u r a i t été d é j à c o m p r o m i s e dans une afl'aire de trahison à Toulon. On c o n s i d è r e à la Place q u e le maréchal-des-logis G e o r g e s Dieu, du 11" d'artillerie, et un c a n o n n i e r c o m p l i c e qui est en fuite, n'ont dû c o m m e t t r e q u e des vols de p i è c e s d é t a c h é e s , f a c i l e m e n t r e c o n n a i s s a b l e s , et très r é p a n d u e s dans tous les r é g i m e n t s d'artillerie s a n s e x c e p t i o n . On n e c r o i t pas q u e des p i è c e s s e c r è t e s a i e n t pu ê t r e s o u s t r a i t e s . Terrible incendie à Calvin Ç a a t r e personnes sont hrSlées grièvement D i m a n c h e soir, v e r s onze h e u r e s , r u e du Manio, 23, à Calvin, en Kériado, le feu s ' e s t d é c l a r é au 1 " étage dans le logement o c c u p é p a r un l i v r e u r de la maison Cab a r e t , de Lorient, M. J e a n - L o u i s Le Pitre, m a r i é et p è r e de trois e n f a n t s , dont l'ainée, Maria, a q u a t r e ans et demi,* et le plus J e u n e n'est Agé q u e de trois m o i s . T o u t e la famille était c o u c h é e et dorm a i t p r o f o n d é m e n t , (juand elle fut éveillée p a r les c r i s de : « Au feu » p o u s s é s dans la r u e . M. Le P i t r e se leva d'un bond et s'ap e r ç u q u e le lit o c c u p é p a r s a f e m m e et s a fille a î n é e était en f l a m m e s . Il se p r é c i p i t a , saisit dans s e s bras la petite Maria qui d é j à était g r i è v e m e n t brûlée a u x j a m b e s et aux bras et son bébé J e a n Louis, dont la figure ne formait plus qu'une plaie. Pendant c e t e m p s , Mme Le Pitre, aflolée e&sayait v a i n e m e n t d'atteindre la porte qu'elle r é u s s i t enfin ii ouvrir. Le petit René la s u i v a i t et se sauva en c h e m i s e dans la r u e . Les s e c o u r s f u r e n t p r o m p t e m e n t o r g a n i s é s et h minuit tout d a n g e r était c o n j u r é . P e n d a n t c e t e m p s on s'était e m p r e s s é a u t o u r des b l e s s é s et M. le d o c t e u r B r i zard leur donnait les p r e m i e r s s o i n s . Il ordonna le t r a n s p o r t i m m é d i a t à l'hôpital Hodélio de Mme Le Pitre, brûlée sui tout le c o r p s , de la petite Maria et du petit J e a n - L o u i s . M. Le P i t r e , brûlé a u x m a i n s , a été soigné c h e z des v o i s i n s . Les dégâts c a u s é s p a r l'incendie sont a s s e z i m p o r t a n t s , ils s o n t é v a l u é s à 5 ou CJKWfr. La Crise Sardinière L'agitation va-t-elle r e n a î t r e i)armi les p é c h e u r s s a r d i n i e r s des S a b l e s ? On peut le c r a i n d r e . On sait q u e c e u x - c i firent, il y a une h u i t a i n e de j o u r s , une g r è v e de 24 h e u r e s , trouvant q u e les u s i n i e r s leur p a y a i e n t l e u r p ê c h e h un tarif trop faible, e n c o r e q u e celui-ci restiU s u p é r i e u r au prix m i n i m u m p r é v u p a r la c o n v e n t i o n d'arbitrage. L ' a d m i n i s t r a t e u r de l'Inscription m a r i ti4iie c o n v o q j u l a c o m m i s s i o n m i x t e , dont le l ' o n c t i o n n ^ e n t e s t p r é v u p o u r les c a s de litige, et lui fit adopter un r e l è v e m e n t des p r i x d'achat de 1 franc, soit 4 et 5 f r . le mille (48 à 50 f r a n c s les 100 kilos), m a l g r é l'opposition des r e p r é s e n t a n t s des usiniers. Les u s i n i e r s o n t i i u m é d i a t e m o n t é c r i t ù M. de Monziu p o u r p r o t e s t e r contro c e t t e e x t e n s i o n des a t t r i b u t i o n s des c o m m i s s i o n s m i x t e s , qui ne d e v a i e n t avoir q u ' u n r ô l e i n t e r p r é t a t i f des c o n v e n t i o n s p a s s é e s d ' a p r è s la s e n t e n c e d ' a r b i t r a g e . t< L ' a d m i n i s t r a t e u r de la m a r i n e a outrep a s s é son rôle, e.xpose c e t t e l e t t r e , et nos g é r a n t s n'avaient p a s qualité p o u r a c c e p t e r en n o t r e nom un r e l è v e m e n t de prix. » Cependant, les u s i n i e r s ont v o u l u o b s e r v e r , p e n d a n t les dix j o u r s p o u r l e s q u e l s ils a v a i e n t été p r i s , les e n g a g e m e n t s de l e u r s fondés de p o u v o i r s . Mais c e s dix j o u r s e x p i r e n t a u j o u r d ' h u i , et ils m a n i f e s t e n t 'intention bien a r r ê t é e d'en rev e n i r alors a u x p r i x a n c i e n s . De leur côté, les p ê c h e u r s des S a b l e s s'agitent. Ils parlent d e r e c h e f de ne plus p r e n d r e la m e r p o u r f o r c e r p a r cette grève les u s i n i e r s à l e u r c é d e r . Les e m p l o y é s des u s i n e s e u x - m ê m e s l é m o i g n e r a i e n t d e q u e l q u e émotion devant ce confiit,- qui porte les f a b r i c a n t s à r e s treindre leurs a c h a t s et à l i m i t e r la p r o duction de leurs u s i n e s . l'application des nouvelles lois sociales : 2° de 2 centimes 50 pour le paiement, il l'Elal, en 10 annuités, des terrains de la ligne de -Clhateaulin à Camaret, avec embranchement sur Le Fret. Liquidation de pension de retraite- — Est liquidée à 3.90t) francs par an, la pension annuelle à servir à partir du 1" septembre 1913 à M. Jean Le Rumçur, agent voyer d'arrondissement à Brest. Asile d'aiiéniis. — La commission de surveillance do l'asile des aliénés de Quimper demande le relèvement de 1 fr. 05 à 1 fr. 15, du prix des journées des malades indigents traités dans cet établissement. Ajourné à la se.ssion d'avril. « Ile de Batz. — Une indemnité départemen» • tale annuelle de 600 francs est votée pour le Xa farine d*ar»chides et la circulaire médecin qui ira s'installer prochainement de M. de'Monzie l'Ile de Batz, et qui devra, en échange, donner Il y a peu de t e m p s , M. de Monzie, sousdes soins gratuits aux indigents. Le conseil s e c r é t a i r e d'Etat à la m a r i n e m a r c h a n d e , municipal de l'Ile de Batz a, de son côté, inscrit un crédit de 500 francs à son budget en a d r e s s a i t a u x d i r e c t e u r s des a r r o n d i s s e faveur de ce praticien. m e n t s m a r i t i m e s une c i r c u l a i r e r e l a t i v e à Assistance aux vieillards, in/irmes et incul'emploi de la f a r i n e d'araclûdes p o u r la rables. — M. Le Bail donne lecture d'un rapp ê c h e de la s a r d i n e . port sur le fonctionnement de ce service. Il Les q u a r t i e r s i n t é r e s s é s f u r e n t a u s s i t ô t en résulte que le nonibre des assistés, qui était a v i s é s p a r les a d m i n i s t r a t e u r s de l ' i n s c r i p de 12.442 au 31' décembre 1911, s'élevait à tion m a r i t i m e , qui e n g a g e a i e n t f o r t e m e n t 13.6G8 au 31 décembre 1912, soit une augmentation de 1226. les m a r i n s - p ê c h e u r s , dans leur propre intérêt, à se c o n f o r m e r à s e s p r e s c r i p Prison de Quimper. — Un crédit de 1..300 francs est voté pour l'amélioration de l'éclaitions. rage de la maison d'arrêt de Qiiimper. Cette c i r c u l a i r e , dont n o u s d o n n o n s c i Gendarmerie. — Il est également voté 13.300 d e s s o u s le texte, a produit une profonde francs, pour grosses réparations à effectuer à i m p r e s s i o n chez les s a r d i n i e r s : la caserne de gendarmerie de Pleyben. Monsieur le Directeur, Le conseil lixe son choix sur un terrain apL'échange de vues qui a eu tieu entre les repartenant à M. Quéinnec pour la construction présenta'its des pécheurs sardiniers ot dès usipar le département, d'une caserne de gendarniers et qui a éti' sanctionné par la sentence merie à Landivisiau. La dépense totale est de arbitrale du 27 mai 1913 a l'ait ressortir, notamG9.700 francs, dont 8.775 francs pour l'achat ment, les graves inconvénients que présente du terrain. l'emploi de la farine d'arachides pour la pêche Autorisation est donnée à M. le Préfet de de la sardine. traiter: l-avec M. Bizien, moyennant un loyer Ces inconvénients sont de deux sortes : les annuel de .3.000 fr. et pour une durée de bail sardines qui absorbent cet appât gonlleni, de 18 ans, pour la location d'un immeuble lui puis éclalenl, et tombent au fond de la mer. appartenant et qui sera afFecté à la brigade de Los poissons sont ainsi détruits en pure perle, gendarmerie de Grozon ; 2» avec M. Gtiarreparfois en quantités considérables, et les amas teur, pour la location de l'immeuble destiné qu'ils forment sur les fonds peuvent éloigner à la brigade de gendarmerie de Sizun floyer de ces parages les bancs de sardines. annuel, 2.760 fr., avec bail de 20 ans) ; 3° avec Mme Tanguy, pour la brigade de gendarmerie Quant au.\ poissons péchés par la farine d'ade Plouzévédé. rachides, il n'est pas souvent possible non plus de les utiliser dans les usines de con.serves. Sur la proposition de M. Rodallec, le conseil Un a été conduit à penser, sans avoir touteémet le vœu que l'Etat se charge de la consfois la certitude à cet égard, que le saumurage truction et de l'entretien des casernes de gende la farine d'arachides pourrait avoir pour rédarmerie, moyennant le versement, par le sultat d atténuer les dangers de son emploi département, d'une somme à forfait. commo appilt. Aussi, en attendant que l'expéGendarmerie de Brest. — Le capitaine de rience ait permis d'être fixé à cet égard, l'ugendarmerie de Brest est logé la caserne sage de cette boëtte « saumurée » .a-t-il été e.xistant. MM. Goude ot Masson demandent toléré. que cet ofllcier soit logé en ville. Le statu-quo est maintenu. Mais il m'est signalé de divers côtés que des pêcheurs, ne tenant pas compte des recomCommission départementale. — On procède à mandations expresses qui leur ont été faites l'élection des sept membres de la commission dans leur propre intérêt, utilisent la farine départementale, par assis et levés. Sont élus d'arachides non " saumurée », malgré les danpar 35 voix contre 2 : MM. Damey, Jaouen, de gers qui résultent de son emploi. Guébriant, Fégean, Lhostis, de Goatpont et Louppe. 11 importe de faire cesser cet état de choses, et je vous prie, par suite, d'inviter les admiChemins vicinaux. — M. Dubuisson donne nistrateurs de l'Inscription maritime des quarlecture du programme définitif des travaux de tiers intéressés à rappeler aux pêcheurs qu'ils vicinalité à subventionner en 1914, par applidoivent éviter strictement de recourir à une cation de la loi du 12 mars 1880. semblable pratique et que, s'il n'en était pas M. Soubigou s'étonne de ce que le chemin ainsi, je me verrais dans l'obligation d'intern" 5, de Kerlouan, ne ligure pas dans ce prodire l'usage de la farine d'arachides >< saumugramme et demande, par voie d'amendement, rée ou non », pour la pêche de la sardine. que ce chemin y soit inscrit. M. Plouzané fait la môme observation èn ce Signé : De MONZIE qui concerne le chemin n° 5, de St-Jean-TroUmon. ^ M. le pi'éfét'fait r e m a r q u é que les deux chetnins dont il s'agit figurent au programme de 1913, et qu'ils seront mis en adjudication en septembre prochain. voir à Chemins de grande communication. — Le Conseil vote : 1° l'élargissement du chemin n» 17, dans la partie cpmprlse entre le chemin rural de Gastel-Geurfianic et le village de Uestangofl'; 2° l'élargissement du chemin n" 24, entre Glohars-Carnoët et Le Pouidu ; .3° la rectification LORIIENT en Gombrit, du chemin n» 44 ; 4° la rectification de la côte du bourg de Taulé. Commission départementale. — M. Goude, revenant sur l'élection de la commission départementale, il laquelle il a été procédé au cours de la séance, proteste sur la façon dont on a opéré, et qu'il considère comme illégale. A son sens, la commission départementale n'est pas élue, et il demande au préfet, la loi ayant été violée, de prendre acte de sa protestation. M. le préfet cite deux arrêts du Conseil d'Etat de.squels il résulte qu'il ne semble pas y avoir eu violation de la loi, qui n'est pas en cause en la circonstance, et que cette haute juridiction n'a pas à s'immiscer dans l'application des règlements intérieurs des Conseils généraux. Il appartient d'ailleurs à M. Goude, s'il le juge à propos, de saisir le Conseil d'Etat de sa protestation. M. Goude. — Nous aurions une solution dans Séance du mercredi 27 août trois mille ans. La séance s'ouvre à 2 heures, sous la présiAprès une discussion très vive de MM. Goude dence de M. Louppe, président. M. le préfet cl Trémintin, le débat est clos. y assiste. Téléphone. — Trente-quatre communes ont Commission départementale. — L'année derdemandé à être comprises au plus prochain nière la commission départementale avait été programme d'extension du réseau actuel. élue par le système de la représentation pro(Adopté.) portionnelle. Plusieurs conseillers demandent l'ôche fluviale. — Le projet que M. le préfet que l'on revienne, à l'ancien système. Après se propose de prendre pour réglementer la une très longue discussion, on passe au vote, pêche tUiviale en 1914, et qui est à peu près scrutin public, sur cette demande, qui est reconforme à celui de 1913, reçoit un avis favopoussée par 22 voix contre 18. rable de la part du Conseil général. Ont voté pour rinscription de la demande : Il est voté 100 francs pour l'établissement MM. Tanguy, fenoux, Dubui.sson, Le Louédec, d'une grille au moulin du Port-Rhun, en PlouLe Meur, Guillemot, Guyonvarch, Lancien, Le arzel, sur la rivière de l'Aber-lldut. Bail, Louppe, Damey. Berthilimi, Jaouen, FéChaire de langue celtique à la faculté des letgean, Jughs, Gharreteur, Cloarec. tres de Bennes. — Le conseil renouvelle à M. Ont voté contre : MM. Uodallec, Penanrun, Gouryil, étudiant en langue celtique, la subdo Guébriant, Goude, .Masson, Fortin, Moulins, vention de 700 francs qui lui a été accordée Villiers, Larreur, Lhostis, Soubigou, do l'Hôpil'année dernière. tal, Ghevlllotto, de Kerdrel, de Kersauzon, Lycées et Collèges. — Est également renouvePlouzané, Lucas, Canet, David, Moign, Trélée la subvention de 100 f r u ^ allouée a M. minlin, Quéinnec. Quéméneur, ouvrier poudri«j|f^t». Relecq-KerLes conclusions du rapport de M. Trémintin, huon.dont le llls est élève au iyOée de Brest. tendant à ce que l'élection de la commission Sites et monuments naturels de caractère ardépartementale ait lieu d'après le système de tistique. — MM. Wacquet, archiviste départela II. P. sont ensuite adoptées. mental, et Abgrall, membre de la Société d'arChemins vicinaux. — Le conseil maintient' chéologie de Quimper sont désignés pour faire pour 1914 les tauît de rachat des prestations partie de la commission départementale charen nature, et donne délégation à la commisgée de signaler il l'administration des Beauxsion départementale pour autoriser les comArts les propriétés foncières susceptibles d'êmunes fi substituer aux prestations en nature, tre classées. une taxe vicinale pour l'entretien des chemins Assistance aux familles nombreuses. — Le vicinaux. conseil adopte le projet do règlement départeContributions directes. — Un rapport de M. mental (lui lui est soumis, donne délégation llodallcc conclut à ce que le répartement dos 11 la commission départementale pour approucontributions directes soit calcndé pour 1914, ver les taux des allocations votés par les consur les mêmes bases quecelles de 1913. Adopté. seils municipaux, et inscrit au budget 1914 un M. Masson demande au conseil de renouvecrédit prévisionnel de 1.500.000 francs on vue ler le vœu qu'il a déjà émis, tendant à ce que de l'application de la loi du 14 juillet 1913 pour le montant des exonérations d'impôts d e l à cet exercice. La part des communes sera de 290.000 francs celle du département de 98.4œ cote personnelle-mobilière, dont jouissent les francs, et colle de l'Etat de 1.141.600 francs. ofllciers des armées de terre et de mer et les officiers-mariniers soit pris h charge par l'Etat. Le Conseil général émet le vœu qu'une moM. Moign s'associe aux observations de M. dification soit apportée à la loi, tendant à ce Masson et le vœu est adopté. que la contribution des communes soit dimiImposition. — Il ost voté une imposition : nuée. 1» de 5 centimes 80 pour insuffisance de reSociétés de secours mutuels. — La répartition venus ordinaires, insuffisance résultant do du crédit ds 5.000 francs au budget départe- POUR ETRE CHIC FASHION-HODSE Ses Chemises Ses Cravates Ses Chapeaux Prix inconnus Partout ailleurs Conseil Général du Finistère mental, à titre de subvention aux sociétés de secours mutuels, est faite sur les mêmes bases que l'année dernière, ,c'est-à-dire en tenant compte du nombre des membres participants et de la situation financière de chacune d'elles. Subventions. — Il est accordé une subvention de 50 francs à l'OEuvre de l'adoption des orphelins et des enfants abandonnés, dont le Siège est à Morlaix. A sept heures la séance est levée, pour être reprise à neuf heures du soir. Séance du vendredi 29 août Trésorerie générah'. — Une demande de sub vontion du département pour la création de deux emplois de co"mmiR à la trésorerie générale de Brest esl rojelée. Sur la proposilion de M. Goude, le conseil général émet le VOMI que l'Etat ijludie sérieusement la fiuestion d'augmentation du personnel de la trésorerie de Brest. Ancien EvUché de Quimper, — Le Conseil municipal de Quimper demande la location du parc de l'ancien évêché diocésain, moyennant un prix annuel de location de 300 fr. La ville «'engageant en outre à participer aux frais d'entretien du jardin public, sous forme d'une concession d'eau, qui pourra atteindre 200 fr. La question est renvoyée à la session d'avril, pour complément de renseignements. Chemins de fer départementaux. — Est pris en considération l'agrandissement du bâtiment des voyageurs de la station de Moëlan, sur la ligne de Quimperlé à Concarneau. Un crédit de 24.700 fr. est voté pour les travaux à e.xécuter. Chemins de fer départementaux {:t' réseau). — Au sujet du projet de construction d'un 3* réseau de chemins de fer d'intérêt local dans le Finistère, M- le ministre des Travaux publics a fait diverses observations, notamment les suivantes : « Il y «aura lieu de supprimer « du réseau les lignes de Landerneau à Sizun " et de Briec ar-Lez, qui seront déficitaires, « et la section de Plouhinec à Audierne de " la ligne de Quimper à Audierne, cette « dernière localité étant déjà convenablement « desservie, et la compagnie d'Orléans se plai" gnant d'un détournement de trafic de la " ligne Quimper-Douarnenez-Audierne, au pro" fit de la ligne Audierne-Plouhinec-Quimper. " Une dépense fort élevée pour la recons" truclion ou la construction d'un pont sur le •• Goyen serait, en outre, à envisager à assez « bref délai pour se raccorder avec la gare « Audierne rive droite, si on devait construire « la section Plouninec-Audierne qui est pré" vue comme s'arrêtant sur la rive gauche du " Goyen. » L'ajournement de cette question est prononcé. Monuments historiques. — Pour l'entretien et la restauration des monuments historiques, il est inscrit au budgel départemental un crédit de 5.0(X) francs, Une subvention de 2.000 francs est votée pour participation du département à la restauration de l'ancienne cathédrale et de la chapelle du Gréisker, à Saint-Pol de Léon. Consultations de nourrissons. — Le statu quo est maintenu, au point de vue financier, en ce ijui concerne le service des consultations de nourrissons. Assistance aux femmes en couches et à l'allaitement maternel. — Le conseil arrête le budget de ce service, conformément à la loi du 17 juin 1913, complétée par la loi de finances du 31 juillet suivant. Société de pèche. — Une demande de subvention formée par la Gaule quimpcrloise esl rejetée. Service public d'aiitûmobiles bretons. — La Société des automobiles bretons demande le maintien intégral de la subvention annuelle de 35.000 francs. Les ingénieurs du contrôle esliment qu'il y a lieu de faire appel à la concurrence en vue d'obtenir un service meilleur. L'afl'aire est renvoyée à la prochaine session d'avril. Ecole ménagère ambulante. — Un vœu est émis tendant à ce qu'il soit créé une école ménagère ambulante dans le département, qui serait rattachée à l'école de laiterie de Iserliver. Le directeur des services agricoles et l'inspecteur d'académie sont chargés d'-étudier le projet. Société d'Agriculture de Quimperlé.-— La commission de l'agriculture propose de rejeter une demande d'augmentation de subvention formée par cette société. (Adopté). Vétérinaires. — Le conseil estime qu'il n'y a pas lieu pour le moment d'augmenter le tarif kilométrique actuellement en vigueur dans le Finistère pour le service des épizooties. A 7 h. 30 la séance est levée pour être reprise à neuf heures du soir. AU PROGRES Maison Q U E T T I E R S5, rue du Port - LORIENT (à droite en deseemlant la Bove) LA P L U S A N C I E N N E LA P L U S I M P O R T A N T E LA.MEILLEURE MAISON D'HABILLEMENT poorEofluiiBS. J i u u . B i u & E i f u t i Maison d« Oonnanoo oonsaorée par 4B ansiddiSuocès CHROIlilDB R E e i O l U I I A.ssistance aux familles nombreuses et nécessiteuses Loi du 14 Juillet 1913 Les p è r e s et m è r e s de famille qui désir e n t b é n é f i c i e r de la loi du 14 j u i l l e t 1913 doivent en faire la d e m a n c l f ^ - l * m a i r i e et se m u n i r de l e u r s livrets flë famille p o u r faciliter la c o m p o s i t i o n de l e u r s d o s s i e r s . En v e r t u de l'art. 2 de la dite loi les bénclioiaires sont les c h e f s de fatpille ou les m è r e s . Ils doivent r e m p l i r trois conditions. 1" litre de nationalité f r a n ç a i s e . 2® Avoir des r e s s o u r c e s i n s u l l i s a n t e s p o u r é l e v e r les e n f a n l s l é g i t i m e s ou r e c o n n u s , dont ils ont la c h a r g e . 3® Avoir k leur c h a r g é un n o m b r e m i n i m u m d ' e n f a n t s de m o i n s de 13 a n s , n o m b r e qui varie s u i v a n t le c a s . 1" Cas. — 1° Si les enfants sont restés à la charge de la mère par suite de la mort, du père, de sa disparition, d'abandon par lui de sa famille, ou de toute autre cause (par exem- ple si le père est hospitalisé dans un asile d'aliénés ou dans un hpspice, bénéficiaire de la loi du 14 juillet 1905 au titre d'infirme ou d'incurable, condamné à une peine d'emprisonnement de longue durée...) l'assistance est donnée à la mère pour chaque enfant de moins de treize ans au delà du premier enfant de moins de treize ans. Si donc la mère, qui se trouve dans cette situation, a deux enfants de moins de treize ans, elle a droit à une allocation ; si elle en a trois, à deux allocations ; si'elleen a quatre, à trois allocations ; 2» Cas. — 2" Si les nnfanls sont restés à la charge du père par suite de la mcirt de la mère, de .sa disparition, d'abandon par elle de sa famille, ou de toute autre cause, l'assistance est donnée au père pour chaque enfant de moins de treize ans au-delà du deuxième enfant de moins de treize ans. Si donc le père, qui se trouve ,ians cette situation, a deux enfants seulement de moins de treize ans, il n'a droit a rien ; s'il en a trois, il a droit à une allocation : s'il en a quatre, à deux allocations, etc... ; 3' Cas. — 3" En dehors de ces deux cas, le chef do famille (et ce peut être, en cas de décès, d'abandon ou disparition des pèie et mère, un « parent » ayant recueilli les enf mis), n'a droit au bénéfice de la loi que s'il a à sa charge au moins quatre enfants de moins de treize ans ; l'assistance lui est donnée pour chaque enfant de moins de treize ans au delà du troisième ; s'il en a quatre, il a droit à une allocation ; s'il en a cinq, à deux allocations, etc... Ënrej^isl rement Par arri'té de M. le D i r e c t e u r Général de l ' K n r e g i s t r e m e n t , en date du 27 a o û t 1913, M. Le Bail, r e c e v e u r de l ' E n r e g i s t r e m e n t , des do n a i n e s et du t i m b r e à S t - A u b i n du C o r m i e r (IlIe-et-'Vilaine), a été n o m m é à Huelgoat, p a r p e r m u t a t i o n a v e c M. E r n o u . Quimperlé Réunion des commissions. — La c o m m i s s i o n m u n i c i p a l e de. l ' e n s e i g n e ment, se r é u n i r a s a m e d i à 8 h e u r e s du s o i r salle de la m a i r i e à Quimperlé. La c o m m i s s i o n des finances se r é u n i r a lundi, m ê m e h e u r e et m ê m e lieu. A qui le porte-monaie. — Un p o r t e m o n n a i e c o n t e n a n t un médaillon, a é t é d é posé au c o m m i s s a r i a t de police, où son p r o p r i é t a i r e p e u t le r é c l a m e r . A-ccident du travail. — En afTutant u n e faux, Fraval Marianne chifTonnière r o u t e de Moëlan à Quimperlé s'est c o u p é le pouc e de la main g a u c h e . L'ongle et l ' e x t r é m i t é du doigt., ont été s é p a r é s en d e u x parties. Cette f e m m e s u b i t de c e fait une i n c a p a c i t é de vingt travail de j o u r s , Alellae Accident de travail. — Louis B i a n nic, c h a r r e t i e r à Rouas, en Mellac, c o n duisait un cheval, attelé à une v o i t u r e , lorsqu'en tournant, son cheval lui a m a r c h é s u r le pied g a u c h e , lui o c c a s i o n n a n t un é c r a s e m e n t du bord i n t e r n e du pied. Saint-Thurien Tentative de vol, ~ Le 27 c o u r a n t , e n t r e 10 et H h e u r e s du soir, Y v e s Le Gall de Kerner, e n S a i n t - T h u r i e n , s e t r o u v a n t dans la c o u r de la t e r m e , e n t e n d i t du b r u i t dans l'une de s e s é c u r i e s . V o u lant se r e n d r e c o m p t e de c e qui se p a s sait il s e dirigea de c e c ô t é , m a i s a u m o m e n t où il r e n t r a i t dans l'écurie, u n h o m m e s a u t a p a r la f e n ê t r e ; l ' o b s c u r i t é étant profonde Le Gall ne p u t le r e c o n naître. Il c o n s t a t a q u ' u n s a c avait é t é r e m p l i d'avoine. P o r t a n t s e s s o u p ç o n s s u r son d o m e s t i q u e , G. Gourlaouen, 18 ans, c e d e r n i e r i n t e r r o g é p a r les gendarm e s a fait des a v e u x . Cloliars-Carnoët Arrestation de mendiants. — Les g e n d a r m e s de Quimperlé en t o u r n é e dans la c o m m u n e de Clohars-Garnoët, ont a r r ê té p o u r délit de vagabondage, les n o m m é s Y v e s Gilles né à L e s n e v e n , et J e a n Rouzic né à Arzano. S a n s d o m i c i l e fixe, c e s d e u x v a g a b o n d s q u i ont d é j à p l u s i e u r s c o n d a m n a t i o n s à leur actif, ont r e f u s é de f a i r e la route à pied et il fallut r e q u é r i r une v o i t u r e p o u r les c o n d u i r e à ^Quimperlé, où a p r è s c o m p a r u t i o n devant le P r o c u r e u r de la R é p u b l i q u e , tous d e u x ont é t é écroués. Emporté an large. — Un j e u n e m o u s s e de Groix, Henri S p h e c t , s e t r o u vait à Doëlan dans la s o i r é e de m e r c r e d i Dans l'intention d'aller c h e r c h e r son fascicule, il s ' e m p a r a de la b a r q u e Bonne humeur et cingla v e r s l'île ; m a i s les v e n t s étaient c o n t r a i r e s , et . toute la n u i t , le j e u n e h o m m e r e s t a au milieu de l ' i m m e n sité. S a situation devenait c r i t i q u e , c a r , e n ellet le lendemain m a t i n v e r s s i x h e u r e s , il s e trouvait à s i x milles au l a r g e s de Doélan s a n s v i v r e s , s a n s s e c o u r s . F o r t h e u r e u s e m e n t s e s s i g n a u x de d é t r e s s e furent a p e r ç u s p a r le patron p ê c h e u r Le Goroller, de Kerroch, qui r é u s s i t à le prendre à la r e m o r q u e . On était d é j à t r è s inq u i e t s u r le c o m p t e du m o u s s e i m p r u dent. Scaèr Accident. — Le 28 c o u r a n t , v e r s 9 h. 1/2 du s o i r , Marie Gourant, 15 a n s , d o m e s t i q u e au bourg de S c a ë r , c h e z M. Le Grair, c o n d u i s a i t un c h e v a l , , a t t e l é à une c h a r r e t t e c h a r g é e de m e n t de r e n t r e r dans le c h e m i n de P o n t Gourde, le c h e v a l a c c é l é r a s a m a r c h e ; la d o m e s t i q u e ne p o u v a n t le s u i v r e , ess a y a de se r e t i r e r de c ô t é en s ' a c c r o c h a n t à u n e motte du talus. La motte a y a n t cédée, la p a u v r e lllle t o m b a a u t r a v e r s de la r o u t e ; l'une d e s r o u e s du v é h i c u l e lui p a s s a s u r la tête. La m o r t a é t é instantanée. Concarneau Brûlé v i f . — Mercredi s o i r , vers 10 h. 30, M.- L a u r e n t Queflurus, marin, domicilié r u e Courcy, allait se c o u c h e r et s'était d é j à déshabillé, l o r s q u e la l a m p e è pétrole qu'il avait a l l u m é e p r i t feu. Poui l'éteindre, Queft'urus s a i s i t u n e c o u v e r t u r e du lit où r e p o s a i t s a f e m m e . Mais h feu s e c o m m u n i q u a à la c o u v e r t u r e e t à V chemise de Qu^ffurus, (jui, en un instant fut IransforiTT^ en tore,lie vivante. Allolé, Oueflurus et- ;)récipUa flamant dans les escaliers et fl.-soendit dans la chambre de ça belle-mère, Mme Gérard, qui, rfc\. illée en sursaut, fr;inla son sang-froid et (•u.nfra dans une conv.-rture les tlammes iiui .'nvironnaient -f.ii gendie. Mais Mmtrard se brûla ^'(•ave^leIil elle-même aux mains. Quant a (ju»-lla( u6, son corps est rn-îvert de nombreuses et profondes blessui os. Les médecins appelés ont ordonné son transfert à l'hospice de Quimper. Son étal n'est pas sans inspirer d'inquiétudes. 11 convient d'admirer le sang-froid et le courage de .Mme Gérard en cette circonstance. Quimper Vol. - La police a dressé procès-verbal pour vol de pommes de terre dans les champs de l'hospice h l'hippodrome contre la femme Le Moigne, U ans. A r i s . — Les Jeunes gens de la classe 1913, sont priés de se réunir dimanche prochain, 31 août, à 10 h. du matin, à la salle de l'école communale du Lycée. £ c r « s é e p a r une auto. — Le 21 courant, vers 11 heures du soir une automobile venant de Fouesnant sur Quimper, rendue i proximité du moulin du Pont, passa sur le corps d'une femme étendu sur la route, la veuve Moénec, 52 ans, marchande de cresson, qui d'après le médecin légiste, aurait eu un commencement de congestion célébrale occasionné par la boisson et qu'elle devait être morte avant le passage de l'auto. Guiscrifr Accident. — M. Jean Croissant agriculteur à Kervélégan, présente une plaie par arrachement de la phalangette de l'index de la main droite prise dans une batteuse. Cette lésion produira pour le blessé quelques Jours d'incapacité temporaire de travail. M. Croissant est assuré à la C" Générale d'assurances contre les accidents. Guidcl < r.- A c t e d e dévouement. — M. Bertrand Blanchard, ouvrier cordier au bourg, a sauvé au péril de sa vie, dans l'aprèsmidi du dimanche 24 aoat, deux enfants qui se baignaient dans la Laïta, près du village de Bec-Nénez. Ces enfants étaient Jean Audren, ftgé de 10 ans et François Tostevin, du môme âge, qui allaient infailliblement périr, sous les yeux de leurs mères, impuissantes à leur porter secours. M. Blanchard n'en est d'ailleurs pas ii son premier acte de courage. On se souvient que dans la nuit du dimanche 10 'août, M. Blanchard, n'écoutant que son courage, se précipita dans une écurie en flammes et réussit à en retirer deux porcs, ainsi que le cheval du commissionnaire Le Grévellec. Nous apprenons que M. le maire de ' Guidel a signalé ces beaux actes de dé^ vouement à l'autorité compétente. . Tribunal correctionnel de Quimperlé Audience du ST août 19iS Tréméven. — foups à ascendant. — Le 23 Juillet derriii'C, .légdu Henri, 37 ans, charron au hourg de BannakîC, était en train de chargi^r, pour la'coiiiliiire A Puii domicile une rn.ii liine lidlre, iim se trouvait i-tMnisée au vill.ige de i .oiitrùal i-n Tréméven, chez son fj'T.-, quand ce dernu'r voulut l'opposer à son enlèvement, .légoa tll.-i, qui se.dit propriétaire de cette macl.ine, a repoussé plusieurs fois son pt^re avec violence, lui occasionnant, par des chutes répétées, des blessures assez graves. Le tribunal aprt's plaidoirie de M* Bot, considérant que ces faits sont de nature à mériter une peine affliclive ou infamante a renvoyé le prévenu devant le juge d'Instruction compétant, et décerné contre lui mandat de Dépôt. Le prévenu a été aussitôt écroué à la mald'arrôt. Riec. — Les iioivroh. — Fortement pris de boisson, Grévellec Alexandre, 29 ans, et Le Bras Guillaumf, ciilUvateurs à Rlec-surBélon, s'exerçaient en cliamp clos, en prévision sans doute du grand concours de luttes bretonnes qui aura lieu à Quimperlé le 7 septembre prociiain. Malheureusement Grévellec ignorait tout des règles de la lutte ; et, se voyant le plus faible, il mordit cruellement à, l'oreille droite son adversaire. Coût : 1 mois de prison et 50 fr. d'amende, avec sursis pour la peine d'emprisonnement seulement. — Les outils du patron. — Tanguy Louis, 17 ans, domestique i\ Kerandréo en Riëc-sur-Bélon, a dérobé, en juillet dernier, des tenailles et un marteau au sieur Nicolas, son ancien patron. Il prétend, pour sa défense, que Nicolas était resté lui devoir une somme de cinq francs, il n'en récolte pas moins six jours d'emprisonnement avec sursis. — Une brute. — Un solide gaillard de 20 ans, le nommé Tanguy Valentin, s'est livré, le 7 juillet 1913, ù des voies de fait assez graves sur la personne de Mme Fraval, cultivatrice à, Kerdudal en T^iec-sur-Bélon, sa patronne, parce qu'elle lui refusait de l'argent. Mme Li'raval porte encore sur la main les traces • d'une morsure que celte brute lui a faite. Un mois de prison, avec sursis. Mellac. - Les coups. — Le 23 juillet dernier, les époux Crénan, débitant à, Pen-lan en Mellac, voyant l'heure de fermeture approcher, voulurent faire sortir de leur débit un consommateur récalcitrant, le sfeur Le Roux Yves, 50 ans, maçon môme commune. Mal leur en prit, car rendu furieux, cet individu d'une forte poussée lit rouler à, terre la femme Crénan, et administra à son mari une formidable raclée. Le l^oux s'est vu infliger 3 mois de prison avec sursis. «î A chaqtie ••'••'r-:-.-' tetnède. " • XSx-Meorétaire de mairie en correciioMinelle. — Jean-BrandeLuporsi, 37 ans, ex-secrétaire de mairie de Lorient, déjà poursuivi devant la cour d'assises et condamné à un an de prison pour abus de confiance en sa qualité de fonctionnaire, a comparu mercredi matin devant le tribunal correctionnel pour détournement d'une somme de 4.000 francs au préjudice d'une maison de Nantes qui avait vendu à la ville un rouleau compresseur et avait confié le mandat de paiement acquitté à Luporsi. Celui-ci a été condamné k huit mois de prison, mais le tribunal a prononcé la confusion avec la peine précédente. Q u i m p e r l é » — Marché du .29 Août. — Taureaux, le kilo., o.no à 0.60 ; bœufs de boucherie, 0.70àO.75; vaches de boucherie. 0.55 à 0.(50 ; bœufs de travail, ordinaire bouvillons, 50 à GO fr. ; vaches laitières, 140 à 330; génisses, 125 ii310; chevaux, très élevé ; porcs, 1.10 à 1.15 le kil. ; moutons, 0.90 à 0.95; veaux, 1.00 à 1.05 fr.; froment, 25.»» à 26.50 ; seigle, 18.»» à 19.»» ; orge, 17.»» à 18.»» ; sarrasin, 18.»» à 19.»» ; avoine, 18.»» ii 19.»» ; pommes de terre les 100 kil., 0.00 à 7.»» ; beurre le kil., 1.80 i 2.50 ; œufs la douz., 0.90 à 1.10 ; foin, les 500 kil, 30.»» à 38.»» ; paille, les 500 kil., 29.»» h 35.»» ; son, les iOO kil., 16.»» à 17.»» ; farine, 1 " qualité, 35.»» à 38.»» ; 2* qualité, 31.»» à 33 fr. Manque d'Appélil Manque d'appétit est ordinairement attribuable à quelque trouble de l'estomac ou du foie. Quand voua'Tie pouvez pas inangcir, ou quand les ulimenta vous réi)ugnent, prenez chaque jour après vos repas de la Tisane américaine des Shakers. Cet excellent remède végétal relève et fortifie les organes digestifs, aiguise l'appétit et régularise tout l'organisme. Alors, non seulement vous mangerez vos aliments avec goût, mais, plus important encore,- ils enrichiront votre sang, nourriront votre corps, augmenteront votre force et votre vitalité, vous donnerobt .bonne mine, et vous vous sentirez et porterez bien. Sommaire du n» du 2 5 Août Michel Geistdorfer, Lettres de Madame Cottu à Lamennais ; Emmanuel Brousse, La Responsabilité des administrateurs publics; Marguerite Augagneur, Réflexions sur le Théâtre ; Pierre Hamp, La Peine des Hommes (II); Maurice Pottecher, Le Roi devenu ermite; Henri Guilbeaux, Un précurseur du naturalisme allemand. Pages Libres. — P.-A. Dufrenne, Les Syndicats d'Instituteurs ; Albert Bazouin, L'Abandon des Carrières libérales. A travers la Quinzaine. — Léon Werth, Chiens de Vacances ; J. Ernest-Charles, La Vie lilléraire ; Victor Augagneur, ancien ministre, La Vie sociale ; Maurice Pernof, La Politique étrangère ; Gaston Doumergue, ancien ministre, La Vie politique. Revue des Revues, Memento Bibliographique, Correspondance, La Vie Curieuse. Le n" 1 fr. 50. Abonnements : Un an Paris, 20 fr. Province, 20 fr. Union postale 25 fr. En vente, 37, rue de Constantinople, Paris. A la librairie A. GAUTIER, 9'''", place Hervo. à Quimperlé. LAHERNI + est Guérie De tous les fléaux qui s'abattent sur notre pauvre humanité, il n'en est pas causant autant de ravages que la HERNIE. Combien de personnes ont eu leur vie entière gâtée par cette dangereuse infirmité. Combien d'autres, mal conseillées, ayant eu recours à de mauvais bandages, sont mortes dans les douleurs atroces de l'étranglement herniaire. Aussi notre devoir est d'informer nos lecteurs que M. A. EDOUARD, l'habile spécialiste herniaire est inventeur d'une nouvelle méthode qui fait disparaître aussitôt les hernies et milliers de guérisons déjà obtenues et dont le nombre s'augmente chaque jour. Monsieur A. EDOUARD, PARIS. Merci de tout mon cœur. Grâce à votre merveilleuse méthode, m e v o i l à guéri e n quelques mois d e deux hernies d o n t j e s o u f - frais beaucoup. Ce résultat a été obtenu sans gêne et tout en travaillant à la tene. Publiezle afin de prouver aux hésitants que vous mér i t e z toute confiance. 18 Juillet 1913. Hernieux. ne vous laissez pas tromper M. A. EDOUARD, I-IO, boulevard Richard Lenoir à Paris, est le seul spécialiste herniaire qui obtenu le diplôme d'honneur. Seule a la m é - thode Edouard peut vous guérir et mérite votre confiance. Nous conseillons donc d'aller voir le réputér spécialiste qui recevra à : QUIMPERLE, le vendredi 12 septembre. Hôtel du Commerça. Ceintures ventrières perfectionnées A. EDOUARD pour toutes les déviations, des organes de la femme; MESDAMfô M f«M éttê minuté» «Mr r«« é f t H M «Mtoara, irréêÊlirttét, ntu^ «• «MIT* 42, Place Saint-Michel Q U I M P E R L E Gfm H Maison A B R I A L i PRIÈRE AUX GONSOMMUTEURS de lîiiiille, de p'avelle, de la chicorée Extra Leroux d'en r e tourner les vignettes TOUS LES ANS AU 30 AVRIL à M. A. LEROU.X à Orchies (Nord). Les Vignettes non expédiées pour cette épo que sonl valables pour les années suivantes. D'un goût exquis, d'un arôme agréable cette chicorée se trouve dans toutes les épiceries. EVITER LES I M I T A T I O N S d'Iiydropisic ? — Soignez vos reins. La douleur dans U' dos, sourde rai aUjiië, pruoienl pres(iue toujours des reins [oui;/ rognon.s). Les reins sont en efj'el sihuis au bas du dos et celte douleur aoertil que les reins fonctionnent mal. Les reins malades favorisent l'enipoi sonneinent du sang par l'acide urique au lieu do le purifier c o m m e ils le l'ont à l'état normal. Si donc, à la suite du moindre rel'roi dissement ou de toute autre cause, vous éprouvez une douleur dans le dos ou si vos urines deviennent troubles, foncées ou déposent, il faut en hâte soignez vos reins de mémo si vous vous sentez irritable, fatigué sans raison en liroio à do la somnolence des sueurs, des maux de tète, frissons, vertiges. Tous ces symptômes sont ijroduits par l'invasion du sang par les poisons {acide urique) que les reins n'éliminent pas régulièrement. L'action des Pilules Foster (Quimperlé. pharmacie llabrial) est de fortifier les reins et la vessie et de leur permettre do retrouver toute leur puissance l'onction nelle ; elles peuvent être prises sans au cune crainte i)ar tous, h o m m e s , femmes, vieillards, enfants. 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COMMENT GUÉRIR MALADIES DE dans tonte la Région et Pextrême T E L E P H O N E , 34 DE J  l E S , VICES pour la qualité Modicité des de aem Produits Prix EXTRAIT DU PI?iX-COUf?AflT (sauf vai'iations) Beef-Lavoix ou Vin bouteille (hausse) de Uavolx, la Sfr.BO Baume Victor, le f l a c o n Elixir de Virginie, le flacon Grains de Vais, le f l a c o n Elixir Dupeyroux, le flacon Pilules Suisses, la b o î t e Pilules Plnk, l a b o î t e PoudreEscouflaire ( e t c i g a r e U e s ) , l . b . P o u d r e Legras, la b o î t e Phospliatine Fallières, l a b o î t e LIthinés Gustin, la b o î t e Sirop Deschiens à l ' h é m o g l o b i n e . . . 1 3 2 3 1 3 2 1 1 1 3 Solution Pautauberge SedIItz Clianteaud Gustave — Chanteaud Charles Tisane des Shalters Vin G i r a r d , Jouvence de l'Abbé Soury 3 1 1 3 3 3 7 75 75 10 50 »» )»> 60 75 95 »» 60 »» )»> 50 95 90 50 50 Janos Châtel Guyon Gubler Evian-Cachat S a l n t - G a l m i e r Badolt ofr.eo — Vichy 8 t - Y o r r e o — — — — — — — — — Vittel Grande Source Source salée Vais Saint-Jean Vais Perle, 3« d e g r é Vichy Célestins Vichy Grande G r i l l e Vichy Hôpital 5 Vichy P a r c Rubinat Liorach Eau de — — — — — — par 10 bout... — par 10 bout.. 0 0 0 0 0 0 o 0 o 0 0 0 0 o 80 70 40 35 40 35 70 70 70 70 70 70 70 60 65 Assortiment considérable de BANDAGES B A S A V A R I C E S , CEINTURES pour Dames. 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Glaser sa nouvelle et instruoiive brochure expliquant clairement comment la hernie se soigne et peut su gaérir, et qu'il enverra avec la date de son passage dans la région. Etude de M» Bot, avoué à Quimperlé, Rue Savary, n» 20 (ancienne Grand'Rue). V E N T E Par Licitation LE MERCREDI 10 SEPTEMBRE 1 9 1 3 scrupuleuse PEAU D O SÂNfi. ETC... De tout temps, les Maladies de Peau ont. fait le désespoir des malheureux qui en sont at teints, leur causant parfois de vives douleurs et constituant en tout cas pour la santé un réel danger. Que de remèdes employés, mais hélas ; bien souvent sans résultat : les uns, dépuratifs, à base d'iodure, d'arsenic ou de produits chimii|ues épuisent l'organisme et fatiguent l'eslomac ; d'autres purement externes — pommades diverses, eaux spéciales, emplâtres, etc. — ne peuvent avoir aucune action durable, puisqu'ils ne purilîent pas le sang vicié cause de tout mal. Aussi, est-ce avec la certitude de rendre un réel service à tous ceux qui souffrent de Maladies de Peau, Eczémas, Dartres, Routons, Ulcères, Plaies, Maux de jambes. Vices du sang, etc., que nous nous faisons un devoir de faire connaître le Traitement Normand Bénard qui, tout à la fois tonique et dépuratif, peut être pris par tous et n'exige ni repos, ni cessation de travail. Le Traitement Normand Bénard ne l'ait pas ([uc de soulager : il guérit sans danger pour la santé. En résumé, avez-vous depuis de longues années une ttil'ection de la peau qui vous rend la vie msupportable ? Avez-vous employé les mille remèdes annoncés de tous côtés ? Avezvous abandoiuié tout espoir? b'aites un dernier essai ! Suivez le Traitement Normand Bénard et vous guérirez sûrement comme tous ceux i|ui l'uiit employé et ilont nous publions clia(|MC jour les noms et les adresses. 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Ces trois articles figurent au plan cadastral de la commune de Scaër sous les n<" 1156 et 1156portion pour une contenance de 455 mètres carrés et d'un revenu de 375 fr. 82. .Touissance au 29 septembre 1913. Mise à prix fixée par le tribunal 1 0 . 0 0 0 fr. Pour plus amples renseignements consulter le cahier des charges en l'étude de M« MORVAN, notaire à Scaër ou s'adresser à M« FOURNIS, avoué poursuivant. Pour insertion sommaire : Yves-Marie FOURNIS, avoué-licencié. Etude de M« Cachet, notaire à Quimperlé . à 1 heure de l'après-midi A l'audience des criées du- Tribunal Palais.de civil de Quimperlé, au Justice, sis place Nationale. DE L PROPRIÉTÉ Sise au lieu de ce nom. En la commune de Melgven. Canton de Bànnalec. Consistant en une maison d'habitation neuve, bâtiments d'exploitation, puits, aire 'à battre, cour, courtils, terres labourables, prairies et landes. Contenance environ 29 ha. 64 a. 45 ca. i»Iise a prix : 4 0 . 0 0 0 IV. L'avoué poursuivant Em. BOT. Etudes de IVI" Yves-Marie Fournis, avoué-licencié à Quimperlé, quai Brizeux, n»6, et de M» Morvan, notaire à Scaiir. VENTE Ecziimas, Dartres, Boutons, Ulcères, Plaies lAUUX PHARMACIEN LAORÉAT Prix) d e TEiioleiie Ptiarmacie, 2 Méilailles d'Or, 1 Diplôme d'Honneur renommée De Kerangargam Soliffroz-voiis soiivciil du dos on de rliiiiiiatisiiie, JKorrrxetl^ descentes même réputées incurables et assure la guérison en quelques mois sans géne ni fatigue, ainsi que le démontre cette récente attestation venant s'ajouter a u x IPhaï-maole^ Musculosine Byla, grand llacon FALHUN François, à Kergloirec en Rédéné par Quimperlé. Quimper. — Le Royer Renée, femme Dauvet, 23 ans, pour vol de mouchoirs ù, la femme Corcufl' est condamnée à 15 jours de prison avec sursis. Douarnenez. — Geltin Jean, 29 ans, marinpêclieur à Pouldavid, pour rébellion envers les agents de la force publique, est condariiné à 6 jours de prison avec sursis et 5 fr. d'amende. — Le Berre Jean, 29 ans, pour coups et blessures sur la personne d'un agent est condamné a 8 jours de prison et 11 fr, d'amende. Lorient Terrible accident à Parsena,!. — Un terrible accident s'est produit mercredi soir dans l'arsenal. .loachim Le Guen, 31 ans, ouvrier manœuvre auxiliaire aux constructions navales, sa journée terminée, voulut descendre le pont roulant du parc à tôles de Lanester pour remettre son « marron ». Le malheureux fit une chûte, la tête la première, sur une cornière et r e s t a étendu sur le sol sans connaissance. Transporté à l'hôpital maritime, il a subi l'opération du trépan. Son état est très grave. Le blessé qui est originaire de Languidic et habite Kerolé, est marié et père de trois enfants. Ne publie que de l'inédit, chaque numéro 224 pages grand in-8», orné de croquis d'art. Tribunal correctionnel de Çuimper mal soj» L A GRANDE R E V U E par Licitation EN D E U X Judiciaire ADJUDICATION AMIABLE EN DEUX LOTS Le \ endredi 1H S e p t e m b r e 1 9 1 3 à 10 heures du matin DE DEUX MAISONS se joignant, sises à Quimperlé, place Lovignon (ancienne propriété Le Goir). mises à prix 3 , 0 0 0 fr. & 4 . 0 0 0 fr. Revenu global 600 fr. Faculté de réunion des deux lots. S'adresser à 31" GACHE T. Etude de M« Etchécopar, notaire à Quimperlé A 1.0U Pour le iO Septembre UNE ER IdU FERME A KERVAVÉON EN RÉDÉNÉ de 20 hectares. Bien plantée de pommiers. S'adresser à M» ETCHECOPAR. LOTS Etude de M« Peyron, notaire à Quimperlé Le Samedi O Septembre 1 0 1 3 a 2 h. de l'après-midi ET PAR EN L ' É T U D E LK M I N I S T È U E DE M" MORVAN N O T A I R E A SUAËA DÉSIGNATION PREMIER : LOT En la commiine de SCAER. 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BLONDEAU, chez M"^" LE MARTELOT, place des Ecoles à Quimperlé, ou audit notaire. • Même Etude A Art. r ' . — l ue liaison d'Iiabi- l a l i o n à usage de c.omineroe, composée de 4 pièces au rez-dc-chaussée, 4 pièces à rcl.age et grenier, ouvrant du nord sur la Grand'Rue par une porte et 3 fenêtres au rezde-chaussée et 3 fenêtres à l'étage. Art. 2. — Au midi de l'article précédent, une écurie et lemise, cour avec passage par la petite ruelle en face de la maison Kersulec. Ces deux articles occupés par M. Bernard, débitant. Art. 3. — Au levant de l'article 1''' V m VENDRE TOTALITÉ OU PAR LOTS AU GRÉ DES ACQUÉREURS LA FERME DE FAUDÉLIAS près la Gare de la Forêt, en Quimperlé, exploitée par M»» V » PENNEC. Jouissance au 29 septembre 1913. S'adresser pour traiter à M. BLONDEAU, chez Mme LE MARTELOT. place des Ecoles à Quimperlé, ou audit notaire. Elii.io de Ou imperlé Oultlon). 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