Nouvel accrochage eN 2013 - Conseil départemental de l`Ain

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Nouvel accrochage eN 2013 - Conseil départemental de l`Ain
Du 14 juin au 21 septembre 2008
1864-1948
EXPOSITION TEMPORAIRE
Du 1 mars au 15 novembre 2013
er
Saint-Cyr-sur-Menthon
Nouvel accrochage en 2013 !
www.musees.ain.fr
Henry Grosjean, une redécouverte ?
Le musée départemental de la Bresse-Domaine des Planons poursuit sa
mission de valorisation et de diffusion du patrimoine régional en s’ouvrant
aux beaux-arts. Déjà présentée l’année dernière et reconduite du 1er mars
au 15 novembre 2013, avec un nouvel accrochage, l’exposition « Henry
Grosjean (1864-1948), de Paris à la Bresse » constitue un pas pour restituer
la richesse de l’œuvre de l’artiste au public et en particulier auprès des habitants de l’Ain dont il a tant aimé peindre les paysages.
Henry Grosjean, qui jouit d’une réelle notoriété de son vivant, semble aujourd’hui
oublié du grand public. Pourtant, depuis sa disparition, ses toiles ont régulièrement alimenté le marché de l’art, intégrant parfois des collections publiques.
Quelques expositions posthumes, individuelles ou collectives, ont présenté ses
œuvres ; des articles ainsi qu’un mémoire universitaire lui ont été consacrés. S’il
n’a jamais été réellement oublié des spécialistes, Henry Grosjean ne rencontre
pas aujourd’hui la reconnaissance locale qui est celle de son contemporain et
ami Louis Jourdan. Au plan national, il est, comme beaucoup de ses contemporains, éclipsé par l’importance accordée à des mouvements d’avant-garde tels
que le fauvisme et le cubisme.
Peintre solitaire des grands espaces, il suit le cursus honorum des meilleurs
artistes de son temps et est paradoxalement bien inséré dans les réseaux artistiques. « Peintre des pays d’entre plaine et montagne » pour l’académicien
René Bazin, souvent qualifié de peintre jurassien ou de peintre bressan, il fait de
la Bresse sa terre d’adoption après son mariage avec une demoiselle de Coligny.
Il devient un ambassadeur de l’Ain dans le cercle artistique de l’époque, où il est
reconnu pour la poésie et la puissance sévère de ses paysages. Entre recherche
d’une originalité individuelle et nécessaire inscription dans une communauté
professionnelle, c’est dans ce va-et-vient constant entre Paris et la Bresse que
se situe la force de création d’Henry Grosjean.
Cette exposition est l’occasion inédite de redécouvrir ce peintre au talent
incontesté. Elle rassemble tableaux, esquisses, pastels ainsi que des objets et
documents personnels du peintre afin de retracer les étapes de sa vie et de sa
carrière : son enfance, sa formation, sa découverte de l’Ain, son œuvre… Dans
les salles de l’exposition, un parcours ludique pour les enfants a été conçu, pour
que petits et grands marchent sur les traces du peintre.
« Henry Grosjean (1864-1948), de Paris à la Bresse », exposition temporaire 2012-2013
Conseil général de l’Ain - Direction de la Communication - tél. 04 74 32 32 16
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Sommaire
● Henry Grosjean, de Paris à la Bresse, itinéraire d’un artiste
4
● Henry Grosjean, entre héritage et modernité
5
● Les paysages d’Henry Grosjean ● Henry Grosjean : un peintre de région
● Bibliographie indicative
7
● Informations pratiques 10
● Photothèque
11
8 9
Contact presse
Conseil général de l’Ain
● Direction de la communication
Céline Moyne-Bressand, chargée de communication
tél. 04 74 22 98 33, [email protected]
Dossier de presse téléchargeable sur www.ain.fr (espace presse)
« Henry Grosjean (1864-1948), de Paris à la Bresse », exposition temporaire 2012-2013
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Henry Grosjean, de Paris à la Bresse
>>> Itinéraire d’un artiste
Marie Gustave Henry Grosjean est issu d’une famille modeste résidant en
Lorraine. Il est né le 2 juillet 1864 dans le village de Gondrecourt-le-Château
(Meuse). Menacés par le conflit franco-prussien, ses parents fuient la Lorraine
vers 1870 pour s’installer en région parisienne.
Son enfance est marquée par le décès et la maladie de ses proches. Sa mère et
sa tante, Joséphine Grosjean, subviennent aux besoins du foyer en dispensant
des cours de français à domicile. Henry Grosjean développe sa sensibilité aux
disciplines artistiques : la littérature, la musique, notamment la flûte et le piano,
la peinture.
En 1902, il se marie avec Cécile Chochod, originaire de Coligny, petite-fille
du peintre verrier Claudius Lavergne et arrière-petite-fille du peintre lyonnais
Martin Lavergne. L’implantation à Coligny est décisive pour la production artistique de Grosjean. Selon son ami, V. Roux, la région « répondait exactement à
son idéal d’artiste, avec ses lignes souples et sobres, son charme sans fadeur,
sa tendresse un peu austère. »1
Durant la Première Guerre mondiale, Henry Grosjean échappe au front du fait
de sa situation de père de famille de quatre enfants. Il est sollicité par l’État pour
participer à la réalisation de l’œuvre collective intitulée le « Panthéon de la guerre ».
Le couple Grosjean s’installe définitivement à Coligny à partir de l’automne 1939,
Henry maintient son activité artistique entre 1940 et 1945. Sa santé commence à
décliner à partir de 1942 et se détériore suite au décès de sa femme Cécile trois
ans plus tard. L’artiste en est profondément affecté et s’affaiblit physiquement.
Henry Grosjean meurt le 19 novembre 1948, à l’âge de 84 ans. Il est inhumé
à Coligny.
1
Roux (V.), « Henry Grosjean, Peintre du ciel bressan », Visage de l’Ain, n° 26, avril-juin
1954, p. 36.
« Henry Grosjean (1864-1948), de Paris à la Bresse », exposition temporaire 2012-2013
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Henry Grosjean, entre héritage et modernité
>>> Une formation académique
D’après les sources actuellement disponibles, Henry Grosjean est inscrit à
l’École des beaux-arts de Paris de 1885 à 1892 et fréquente vraisemblablement
l’académie Julian entre 1889 et 1894. Il bénéficie de l’enseignement de quatre
grands maîtres de la peinture académique, Gustave Boulanger, Jules Lefebvre,
Tony Robert-Fleury et peut-être Jean-Joseph Benjamin-Constant, grâce auxquels il acquiert une grande maîtrise technique du dessin qu’il met au service de
la peinture de paysage.
>>> Sur les pas d’un paysagiste
À l’instar des impressionnistes qui l’ont précédé et dans la lignée des peintres
de l’École lyonnaise, Henry Grosjean peint sur le motif. Il part à la découverte
des paysages avec son habit de velours, son béret, ses chaussures de marche
et son matériel porté par sa mule dénommée Pandore.
Oeuvrant en pleine nature, il croque les points de vue qui l’intéressent. Sur place
ou en atelier, il réalise les paysages définitifs en utilisant différentes techniques :
pastel parfois rehaussé de gouache, gouache ou huile sur toile. En tant que
paysagiste, il s’attache à la représentation de la lumière en fonction des saisons ou
du temps ; il développe ainsi sa virtuosité de coloriste. Ses ciels, en particulier,
suscitent l’admiration. René Bazin s’enthousiasme pour ses « ciels d’une légèreté incomparable. Je ne connais point de ciels mouillés qui vaillent les siens. »2
Ses choix de composition des oeuvres sont aussi loués par ses contemporains.
Il représente « l’essentiel » : ses paysages sont volontairement dénués de présence humaine et animale, quelques rares oeuvres comportent des personnages
à la présence légère. Bien que classique, Henry Grosjean s’intéresse au monde
en mutation dans lequel il évolue. À Paris, il représente les inondations de 1910,
les ponts et les péniches qui transportent les produits industriels comme le
fit Sisley. Sa sensibilité aux techniques modernes et notamment la photographie, apparaît à travers son travail avec son ami photographe le docteur Henri
Bussillet. À partir d’un même paysage, le premier rend un pastel ou une huile sur
toile, le second rend une photographie.
2
Bazin (R.), op. cit. p. 8.
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>>> Au cœur de la vie artistique
La carrière d’Henry Grosjean se déroule dans un contexte artistique mouvementé. Les réseaux de diffusion de l’art contemporain se multiplient et les salons
officiels se partagent la production artistique avec les galeries de marchands
d’art, lieux d’exposition de plus en plus influents. Néanmoins, le Salon des artistes français à Paris reste une référence pour les peintres et le public.
Henry Grosjean profite des relais officiels reconnus, les salons parisiens et provinciaux gérés par des sociétés d’artistes. Tout d’abord parisienne, sa carrière
bénéficie d’un réseau de relations au sein de la communauté des peintres favorisant son ascension professionnelle. Dès 1894, il participe au prestigieux Salon
des artistes français et obtient de nombreuses récompenses. En 1911, il est
élevé au rang de Chevalier de la Légion d’honneur. C’est en 1938 qu’il reçoit
des mains du président de la République la Médaille d’honneur pour son œuvre
Étangs sur les haut-plateaux (Jura), récompense la plus convoitée du Salon des
artistes français. Henry Grosjean a aussi participé à plusieurs salons de province
dont le Salon de la Société lyonnaise des beaux-arts où il expose ses toiles à
partir de 1928 et jusqu’à sa mort. Dès le début du XXe siècle, Grosjean participe
à l’organisation des salons à Paris et en province en tant que sociétaire et jury.
Grosjean évolue également dans la sphère plus privée des marchands d’art. La
peinture de paysage rencontre un vrai succès commercial du fait de son caractère à la fois contemporain et accessible. Les galeries exposent les œuvres
de Grosjean lors d’expositions personnelles et collectives. Henry Grosjean fait
sa première exposition personnelle à Paris, en 1913. Il participe également à
de nombreuses expositions collectives en compagnie de peintres paysagistes.
Il contribue notamment à la création de nombreux groupes dont l’Éclectique à
Paris en 1908, sous le patronage d’Anatole France, et le groupe des « Dix » à
Roubaix en 1926, auquel Louis Jourdan participe.
Les paysages d’Henry Grosjean s’exportent aussi à l’étranger, en Espagne, en
Belgique, en Angleterre, aux États-Unis. Il apparaît dans plusieurs expositions
internationales en France et ses toiles côtoient celles de Matisse et d’Utrillo.
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Les paysages d’Henry Grosjean
>>> Prélude au voyage
Dans un premier temps, durant sa jeunesse, Henry Grosjean peint des paysages
de la région parisienne. Suite à son mariage, il représente les paysages de l’Ain
et du Jura. Puis, dans les années 1930, ses lieux d’inspiration se diversifient ;
à son répertoire s’ajoutent les paysages de Bourgogne, de Lorraine et de
Méditerranée.
>>> Promenade parisienne
Les œuvres de jeunesse d’Henry Grosjean présentent des paysages de la région
du sud-ouest parisien où il vit : des villes telles Auteuil, Issy-les-Moulineaux,
Ville d’Avray, Suresnes ; les parcs, Fontainebleau, Versailles et plus particulièrement Saint-Cloud ont sa préférence.
>>> Excursion méridionale
Il peint des paysages de la Côte d’Azur dont iI restitue les couleurs contrastées,
l’atmosphère chaleureuse et ensoleillée. Il représente également les Alpes dont il
sait rendre la puissance des massifs montagneux et la douce luminosité colorée
des reliefs. Il se rend en Espagne en 1933. Des paysages d’Epila, de Saragosse
et de Calatayud, il retire une lumière, au soleil dominant, qui exacerbe la force
des lignes architecturales, des courbes de la végétation et des routes.
>>> En passant par le Jura
Henry Grosjean est reconnu par ses contemporains comme peintre du Jura, si
bien qu’il est sollicité à plusieurs reprises pour exposer au Salon des Annonciades de Pontarlier. Il sillonne la région des lacs du Jura qu’il représente à l’aide
d’une diversité de bleus. Ses promenades le mènent sur les hauts plateaux dont
il restitue la solidité et l’immensité. Il chemine sur les routes bordées d’arbres
vivaces. Les paysages du Jura contribuent au succès d’Henry Grosjean, comme
en témoigne la préface élogieuse rédigée par l’académicien René Bazin dans le
livret de l’exposition personnelle « Le Jura » et « La Bresse » organisée à Paris
en 1914.
>>> Les « paysages familiers »
La découverte de Coligny en 1902 est décisive pour la production artistique de
Grosjean. Il trouve dans la Bresse, et plus largement dans l’Ain, des paysages
qui deviennent une source d’inspiration inépuisable. Son déménagement définitif à Coligny à l’automne 1939 l’enchante car il a sous les yeux « ses paysages
familiers ». Il multiplie les représentations de Coligny, qu’il peint à différentes
saisons et selon différents points de vue, notamment depuis la fenêtre de son
atelier installé dans sa villa La Floride. De Coligny, « il voyage aux quatre points
cardinaux » et peint le Revermont, la rivière d’Ain, la plaine et les villages de
Bresse. Il excelle dans la représentation des ciels bressans.
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Henry Grosjean : un peintre de région
>>> Henry Grosjean et les peintres de paysage régionaux
Peintre réservé, fuyant les mondanités, Henry Grosjean est d’évidence bien inséré dans les réseaux artistiques. Il entretient des affinités avec de nombreux
peintres s’inscrivant comme lui dans la tradition des paysagistes de la fin du
XIXe siècle.
Il s’inscrit dans la suite de l’École lyonnaise et des précurseurs régionaux de la
peinture sur le motif : François Ravier, Louis-Hilaire Carrand, Adolphe Appian.
Certains d’entre eux sont des amis comme Eugène Villon ou Victor Charreton,
qui signent chacun un portrait dédicacé d’Henry Grosjean.
Lyon est aussi un lieu d’exposition pour les peintres de l’Ain qui ne possèdent
pas le cadre fédérateur d’une école de peinture ou de dessin. Malgré l’absence
d’école réunissant les peintres de l’Ain, d’autres liens les unissent, notamment
l’amitié et le goût pour la peinture sur le motif. Comme Antony Viot, paysagiste
bressan avant lui, notre peintre découvre la Bresse par son mariage et entre
dans le cercle des peintres de l’Ain et notamment celui des peintres de paysages. Grosjean entretient une relation toute particulière avec deux d’entre eux :
Gabriel Blétel et Louis Jourdan, le peintre de la Dombes. Ce dernier est un ami
d’Henry Grosjean. Ils ont exposé de nombreuses fois ensemble dans les salons
et les galeries, à Paris et en Province. Henry Grosjean côtoie aussi dans plusieurs expositions un proche de Louis Jourdan, le paysagiste Jules Migonney,
originaire de Bourg-en-Bresse. Henry Grosjean peut avoir suscité des vocations
parmi certains peintres régionaux considérés comme des continuateurs : Marcel
Martin et Yvonne Récamier perpétuent sa vision épurée et puissante du paysage.
>>> Un ambassadeur de l’Ain auprès du monde
Jusqu’à ses derniers jours, Henry Grosjean mène une carrière fulgurante et intense à échelle parisienne, provinciale et internationale en tant qu’exposant,
mais aussi en tant que membre de jurys. Il contribue ainsi avec panache à la
vie artistique française de la première moitié du XXe siècle, et véhicule sa vision
de ses paysages familiers. Il offre à travers sa peinture une source de fierté régionale :
« Soyons reconnaissants au maître Henry Grosjean de nous avoir présenté, à
nous Francs-Comtois nostalgiques, un ensemble de toiles d’une si belle tenue,
sur un thème qui nous est particulièrement cher, et que les Parisiens, emmurés
dans la grande ville, le remercient de leur avoir donné une si belle évocation, de
larges horizons et d’espaces infinis.3» Mais ses œuvres constituent surtout pour
le public une source d’évasion et de délectation, comme le souligne un de ses
critiques : « On n’a pas assez l’habitude de vivre, sans souvenirs et sans artifices, dans l’intimité de la nature, de s’abandonner avec simplicité et recueillement à sa sensation devant elle.4»
M.A. « Les artistes comtois à Paris. Exposition Henry Grosjean », Franche-Comté et
Monts Jura, revue mensuelle illustrée, n° 94, Besançon, mai 1927, p. 119.
3
4
Lecointe (G.), « Le trimbaleur », Le Matin, Paris, 30 avril 1912.
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Bibliographie indicative
>>> Ouvrages, articles et mémoire
- Bellanger (Sylvie), Henry Grosjean peintre de paysages (1864-1948),
mémoire de maîtrise d’histoire de l’art, université Lumière Lyon 2, 2004.
- Bonnet (Alain), Artistes en groupe : La représentation de la communauté des artistes dans la peinture du XIXe siècle, Presses universitaires de
Rennes, Rennes, 2007, 215 p.
- Buchaniec (Nicolas), Salons de province : Les expositions artistiques
dans le Nord de la France (1870-1914), Presses universitaires de Rennes,
Rennes, 2010, 360 p.
- Dumas (Dominique), Salons à Lyon (1919-1945) : Répertoire des exposants et listes de leurs œuvres, Dijon, Échelle de Jacob, 2010, (2 volumes),
850 p.
- Dumas (Dominique), Salons et Expositions à Lyon (1786-1918) : Catalogue des exposants et liste de leurs œuvres, 2007, (3 volumes), 1 500 p.
- Grosjean (Denis), « Gabriel Blétel », dans Visages de l’Ain, n° 170, juilletaoût 1980.
- Grosjean (Denis), « Le peintre Henry Grosjean », dans Visages de l’Ain,
n° 146, juillet-août 1976.
- Martin-Fugier (Anne), La vie d’artiste au XIXe siècle, éd. Louis Audibert,
Paris, 2007, 471 p.
- Proust (Alice), « Louis Jourdan, peintre des Dombes », dans Visages de
l’Ain, n° 2, 2e trimestre 1948.
- Roux, (V.), « Henri Grosjean, peintre du ciel bressan », dans Visages de
l’Ain, n° 26, avril-juin 1954.
- Répertoire des artistes et ouvriers d’art dans l’Ain, Amis des archives de
l’Ain, Bourg-en-Bresse, 2004.
>>> Catalogues d’exposition
- L’Ain, ses peintres d’hier : Dictionnaire des peintres de l’Ain, Amis de
Brou, Musée de Brou, Bourg-en-Bresse, 1998, 126 p.
- Le Choix d’un collectionneur : Une histoire de la peinture à Lyon et en
Rhône-Alpes depuis 1875, musée Paul Dini, ADAGP, Paris, 2001, 64 p.
- La Collection : Une histoire de la peinture à Lyon et en Rhône-Alpes depuis 1865, Saint-Étienne, musée Paul Dini, IAC Éditions d’Art, 2008.
- La Galerie Dujardin, 1905-1980 : L’art au XXe siècle à Roubaix, Paris, La
Piscine, Gourcuff Gradenico, 2011, 256 p.
- Louis Jourdan, 1872-1948 : Peintre de la Dombes, Musée de Brou,
Bourg-en-Bresse, 1989, 94 p.
- Peintres bressans d’hier : Dans les collections du Musée de Brou,
Musée de Brou, Bourg-en-Bresse, 1984, 131 p.
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Informations pratiques
>>> Contact
Musée départemental de la Bresse-Domaine des Planons
987 chemin des Seiglières
01380 Saint-Cyr-sur-Menthon
Tél. 03 85 36 31 22 / 04 74 32 10 60
E.mail : [email protected]
www.musees.ain.fr
>>> Ouverture du 1er mars au 15 novembre 2013
Tous les jours de 10 h à 18 h (fermé le mardi)
Ouvert les jours fériés
Groupes : se renseigner
>>>Tarifs
• Entrée adulte : 4 € / Tarif réduit : 3 €
• Gratuité :
- pour tous le 1er dimanche du mois
- pour les moins de 26 ans
• PassMusées : 5 sites / 5 €
Visitez en accès illimité les musées départementaux de l’Ain
et les Soieries Bonnet
Tarif réduit au Fort l’Ecluse et sur l’abonnement au Parc des Oiseaux de Villarsles-Dombes.
>>> Accès
• 30 min de Bourg-en-Bresse
• 15 min de Mâcon
• 1 h 15 de Lyon par RD 1079 ou par A40, sortie Saint-Genis-sur-Menthon
• 1 h 30 de Genève par A40, sortie Saint-Genis-sur-Menthon
• Accès piétonnier au musée depuis l’aire de repos du musée de la Bresse sur
l’autoroute A40 dans le sens Genève / Paris
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Photothèque
Adolphe Descheneaux (1868-1926),
Portrait d’Henry Grosjean, huile sur
toile, n.d., 80 x 70 cm
Propriété de Maxime Grosjean
Henry Grosjean au bonnet, photographie,
n.d., 18 x 13 cm
Collection Mireille Grosmangin
Henry Grosjean peignant sur le
motif au-dessus de la cité du
barrage, photographie, v. 1935,
10,1 x 7,7 cm
Collection privée
Carte d’exposant « rigoureusement
personnelle » au Salon des artistes
français de 1897 à Paris, carton, photographie et encre, 1897, 10,8 x 6,4 cm
Collection privée
Henry Grosjean, Epila (Espagne),
pastel, n.d, 50 x 31 cm
Collection privée
Henry Grosjean, Le lac de
Chalain et son château, pastel,
n.d., 50,5 x 32,5 cm
Collection Mireille Grosmangin
Henry Grosjean, Grasse, pastel et
gouache, n.d, 46,5 x 63 cm
Collection privée
Henry Grosjean, Sur la route
de Morteau, pastel, 1935,
66 x 44,5 cm
Collection Mireille Grosmangin
Henry Grosjean, La Loue de
Vuillafans (Doubs), pastel, n.d,
55 x 36 cm
Collection Mireille Grosmangin
Henry Grosjean, Maison à flanc
de colline sur la route de
Jallimont, Brénod, Ain, crayon
mine graphite et encre de
Chine, n.d., 18,5 x 11,1 cm
Collection privée
Henry Grosjean, Inondations de
Paris en 1910, huile sur toile, n.d.,
61 x 34 cm
Propriété de Maxime Grosjean
Henry Grosjean, Clocher de Coligny
au printemps, huile sur toile, n.d.,
46 x 36 cm
Collection Etienne Grosjean
Photos : CDMA / J. Alves
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