dossier de presse - Helene Caussignac

Transcription

dossier de presse - Helene Caussignac
DOSSIER DE PRESSE
Une jeune amnésique prisonnière d'un triangle
amoureux un peu particulier, à la recherche de son
histoire sur fond de patinage artistique.
L’histoire
Quand Angélina se réveille au lendemain d’un accident qui aurait pu lui
coûter la vie, elle découvre qu’elle a tout perdu, jusqu’à sa propre histoire.
Seule face à elle-même, elle cherche désespérément son passé, mais sans
aide extérieure, ça semble être peine perdue. Dans sa quête, elle va nouer
des relations et sa vie va se reconstruire sans lui demander son avis. Des
cauchemars effrayants envahissent ses nuits mais ne lui apportent aucune
réponse. Et rien ne lui dit à qui elle doit faire confiance.
À Barbara, la flic qui a failli l’arrêter pour usage de faux papiers ?
Au docteur Weber, le psychiatre qui tente d’analyser ses cauchemars ?
À Olivier Dubreuil, ce séduisant médecin qui s’intéresse à elle au-delà de
sa pathologie ?
Ou à Dylan, qui semble lui aussi perdu dans les ténèbres ?
Extraits
« Je sais que je m’appelle Angélina. Je sais
que je suis actuellement à l’hôpital La
Palmosa, à Menton parce que j’ai eu un
accident de voiture – grave – et que la police
enquête à ce sujet.
À part ça, rien d’autre. Je ne savais
même pas où ni quand j’étais née. Il
ne me restait plus qu’à espérer la
visite de cette policière, et qu’elle ait
des informations concrètes à me
communiquer. »
« Pour la première fois dans cette
partie de ma vie, j’avais passé un
moment entièrement connectée au
présent, sans être soit dans la
recherche de mon passé, soit dans
l’inquiétude pour mon avenir
incertain. Et je devais avouer que
j’avais trouvé ça grisant. Pour ne pas
dire addictif. »
« Mais il a au moins raison sur un
point, je n’en saurai rien tant que je
n’aurais pas tout tenté.
Sans plus réfléchir, je rejetai le
drap brûlant et me levai d’un
bond. Je sortis sans bruit de ma
chambre et allai toquer le plus
doucement possible à la porte du
bureau. S’il ne répond pas dans les
trois secondes, je retourne me coucher et
j’oublie ça.
À l’instant même où je formulais
cette pensée, la porte s’ouvrit sans
bruit. »
« Il me serra un peu plus contre lui et
approcha ses lèvres de mon oreille.
— De rien, murmura-t-il doucement, j’en suis
heureux pour toi.
Puis sa bouche glissa doucement jusqu’à se
poser au creux de mon cou, et sous la douce
pression de ses lèvres posées sur une veine qui
battait furieusement, il me sembla que mon
sang se chargeait d’une énergie électrique
bouillonnante qui, si je restais là une seconde
de plus, allait mettre le feu à mon âme. »
Interview
Tous tes livres parlent d’amour. L’amour est-il pour toi
un thème universel et inépuisable de la littérature, ou
simplement une raison suffisante de vivre ?
Tout d’abord, l’amour est non seulement une raison
suffisante de vivre, mais même la seule !
Sinon, je ne me considère pas comme un auteur de romans
sentimentaux car même si le thème central de mes romans
est toujours l’amour, je le traite plus comme une analyse
psychologique des personnages. Ce que j’adore, en fait, c'est
la psychologie.
Quels sont tes auteurs de prédilection ?
Mes auteurs de prédilections sont tous des auteurs de
thrillers : Stephen King, Dean Koontz, Jean-Christophe
Grangé, Dan Brown, Maxime Chattam, Franck Thilliez,
Carlene Thompson, Mo Hayder, Nicci French, Robin
Cook, Jonathan Kellerman etc etc… Mais j’aime bien
Guillaume Musso aussi.
Comment t’organises-tu pour écrire ? Est-ce que tu
t’imposes une discipline de vie très particulière ?
Pas du tout, je ne suis pas du tout disciplinée (rires). J’écris
simplement quand j’en ai envie et quand j’ai l’inspiration,
c'est-à-dire la plupart du temps.
Autant les romans sentimentaux possèdent un fidèle
lectorat, autant ils semblent relégués au rang de
« sous-genre » de la littérature par leurs détracteurs.
Comment expliques-tu ce phénomène ?
Peut-être parce que, l’amour est, selon les critiques, une
préoccupation trop terre à terre, pas assez « intellectuelle » ?
Je ne sais pas, mais en tous cas, ces romans font rêver ceux
qui en ont besoin, et moi, je me moque de ce que pensent
les critiques, mon seul objectif est de donner de la joie à
ceux qui me lisent. S’ils sont contents en fermant un de mes
romans, si ce dernier leur a permis de s’évader un peu et
qu’ils l’ont aimé, j’en suis heureuse. Je ne m’intéresse pas au
Goncourt, mes lecteurs me suffisent !
Propos recueillis par Charlie Bregman
http://www.auteursindependants.com
L’auteur
Depuis qu’elle a enfin décidé de
concrétiser un vieux rêve et d’écrire,
Hélène Caussignac a publié une saga, six
romans et plusieurs nouvelles.
Un
volcan sous la glace est sa deuxième
saga.
Sa passion pour l’étude de la psychologie
et des comportements humains lui
inspire des histoires riches et variées
peuplées de personnages réalistes. Ses
romans innovent dans un genre inédit :
le suspense psycho-sentimental, des
histoires contemporaines où l'incertitude
et le danger se mêlent à l’amour pour
donner une impulsion nouvelle au
romanesque.
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