(Microsoft PowerPoint - Quel maturit\351 pour les PME de l`ERP

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(Microsoft PowerPoint - Quel maturit\351 pour les PME de l`ERP
Quelle maturité pour l’ERP Open Source
dans les PME ?
Rennes, le 16 juin 2009
Sommaire
Introduction
1 – Ce que recherche une PME dans la mise en place d’un ERP
2 – Ce que propose l’Open Source
3 – Pourquoi n’y a-t-il pas davantage de projets ?
4 – Axes de progrès
Conclusion
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Introduction
• Un peu d’histoire…
Initiatives « libertaires » dans les années 70
Naissance officielle du libre dans les années 80 avec le projet
GNU de création d’un système d'exploitation libre et complet,
qui aboutit au début des années 90 (Linux)
1er ERP Open Source lancé sur le marché en 1999
Multiplication des offres depuis…. notamment à destination
des PME-PMI
• Seules 2% des PME seraient équipées d’ERP Open Source sur les 50% de
PME-PMI utilisant désormais un ERP.
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1. Ce que recherche une PME dans la mise en place d’un ERP
• Une solution intégrée lui apportant davantage d’efficacité dans son travail quotidien
(suppression des tâches redondantes, automatisation,…) et d’outils de pilotage pour
prendre les décisions au moment opportun et devancer la concurrence
• Une solution répondant à ses besoins stratégiques et capable de l’accompagner
sur le long terme : pérennité, fiabilité, évolutivité.
• Un retour sur investissement qui fera de son système d’information un véritable
contributeur à sa compétitivité et pas seulement un coût parmi tant d’autres.
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2. Ce que propose l’Open Source
• La rapidité d'implémentation
• La réduction des coûts (environ 30%)
• L'accès au code source permettant la personnalisation totale = flexibilité, adaptation
au métier de l’entreprise
• L'indépendance par rapport aux éditeurs
• Des progiciels de qualité
• Une forte réactivité sur les améliorations
fonctionnelles ou la correction de bugs
• Des logiciels pérennes
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3. Pourquoi n’y a-t-il pas davantage de projets ? (1/2)
• Des budgets communication / commercial / marketing souvent réduits
(contrairement à la R&D) qui ne permettent pas de toucher la cible des PME
• Des coûts « cachés » :
Open Source ne veut pas systématiquement dire gratuit
Des ressources informatiques limitées en PME
(en termes de compétences et de temps disponible)
pour optimiser / faire évoluer la solution qui entraîne
une dépendance non plus vis-à-vis d’un éditeur mais d’une SSII.
Il est nécessaire de faire intervenir un intégrateur et la complexité
de l’activité entraînera un projet plus ou moins long et par conséquent,
plus ou moins coûteux
Le support aux utilisateurs et la formation sont souvent sousestimés bien que déterminants pour la réussite d’un projet
• Des « manques » fonctionnels nécessitant de nombreux développements
supplémentaires ?
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3. Pourquoi n’y a-t-il pas davantage de projets ? (2/2)
• Des solutions faites avant tout par des informaticiens passionnés qui négligent
trop souvent l’ergonomie et « ne savent pas parler aux patrons de PME » qui sont les
décisionnaires.
• Une offre pas toujours très lisible : « Un bac à sable pour développeurs
libertaires plus que des solutions pérennes pour entreprises sérieuses » (ex :
Compierre dont une partie de la communauté est partie avec le code source pour créer
un concurrent : Adempierre)
• La qualité, la pérennité et l’évolutivité de la solution dépend
beaucoup du dynamisme de la communauté et par conséquent
d’individualités non maîtrisables et objectivement difficiles à évaluer.
• Choc culturel entre un « monde libertaire » et des entreprises soumises à de fortes
contraintes financières et juridiques. L’absence d’interlocuteur juridique
notamment, alors que les entreprises sont habituées à contracter, est un frein majeur.
Or, en matière de logiciel à code ouvert, on ne contracte pas sur le logiciel, mais
uniquement sur le service qui l’accompagne (surface financière d’un intégrateur ?).
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4. Axes de progrès
• « L’évangélisation » des chefs d’entreprise PME-PMI. « Le problème est qu'ils
n'ont pas conscience qu'un système d'information efficace est un atout important pour
leur compétitivité. Pour eux, cela reste un centre de coût, quelque chose qu'on subit ».
Or le Libre offre une émancipation / un maîtrise plus importante de ces coûts.
• Les acteurs du Libre doivent se regrouper, s’organiser davantage pour parler
d’un même voix en passant par les canaux traditionnels d’information des PME-PMI
(CCI, syndicats professionnels, réseaux d’industriels,…). « les PME sont déjà
regroupées par métier et savent mutualiser ».
• La montée en puissance des sociétés de services en logiciel libre (SS2L) qui
ont développé un marketing à l’attention des PME-PMI et répondent davantage à leurs
attentes en termes de pérennité et de stabilité. C’est d’ailleurs au travers d’elles que se
développent aujourd’hui un maximum de projets.
• La verticalisation des offres via la création de communautés dans un secteur
d’activités donné (ex : l’entente Oya dans l’agroalimentaire).
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Conclusion
• Les freins à l’implémentation d’ERP Open Source dans les PME-PMI françaises
restent fortement présents et les éditeurs traditionnels ont encore de très belles
années devant eux pour développer leurs solutions propriétaires.
• Cependant, les consultations intègrent de plus en plus des solutions Libres en
attendant une maturité de l’offre qui se développe petit à petit
• « Effet culbuto » : un équilibre doit être trouvé entre les « excès » du logiciel libre et
ceux du logiciel propriétaire, notamment sur le modèle économique le plus pertinent
où, à l’apport de valeur correspond une juste rémunération des services.
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