La rose des vents des positions subjectives La rose des vents des

Transcription

La rose des vents des positions subjectives La rose des vents des
La rose des vents
des p
positions subjectives
j
N
1
NO 8
2 NE
O 7
3 E
SO
6
4
5
S
SE
La subjectivité à l ’épreuve
Exemple emprunté à Matthieu Sinclair
Magicien conférencier.
F
Comptez le nombre de
dans le petit texte qui
suit…
FINISHED FILES ARE THE RESULT OF YEARS OF SCIENTIFIC STUDY COMBINED WITH THE
EXPERIENCE OF YEARS.
YEARS
GARDEZ BIEN LE CHIFFRE EN TÊTE.
ATTENTION
DEUXIEME TEST
A LIRE EN SILENCE ….
ATTENTION A LA
LA PEINTURE
Non, non promis !
Non
Il n’y a pas marqué
« Attention à la peinture »…
Une dernière chance…
ATTENTION A LA
LA PEINTURE
Au fait,
fait
N t premier
Notre
i test…
t t
C bi d
Combien
de F ?
Désolé il y en avait
Désolé,
avait…6 !!!
FINISHED FILES ARE THE RE
RESULT OF YEARS OF SCIENTIFIC STUDY COMBINED WITH THE
EXPERIENCE OF YEARS.
YEARS
Conséquences sur nos schémas de
perception
« Il s’agit de déposer des bornes mentales
afin
fi que lles spectateurs
t t
pensentt cerner
l’ensemble d’une « réalité » alors qu’ils
n’ont conscience que d’une partie de
celle-ci » Matthieu Sinclair.
La nature du soin
Feu = soin
ƒ
ƒ
ƒ
ƒ
ƒ
Tribu 1 : réservé à une élite
Tribu 2 : idolâtrie des instruments
Tribu 3 : idolâtrie de l’inventeur
Tribu 4 : légende
Tribu 5 : les utilisateurs
Le destin du soin
Dire la vérité
ƒ
ƒ
ƒ
ƒ
ƒ
Tribu 1 : meurtre
Tribu 2 : déni
T ib 3 : ignorance
Tribu
i
Tribu 4 : confusion
Tribu 5 : intégration
Hiérarchie
ƒ Bac + 10
ƒ Bac + 5/6
ƒ Bac + 2
ƒ Bac
ƒ Bac « moins »
Organisation sociale
1.
2
2.
3.
4.
5.
6.
Tous vs tous
Clan vs clan
Royauté
Démocratie
Mondialisation
?
Organisation du discours
Mythes
Idéologies
Théories
Techniques
Structures psychiques
1. Névroses
2. Psychoses
3. Perversions
(Etats limites)
L'appareil Psychique
ƒ Topique : dérivé du grec topos : lieu.
lieu
Théorie philosophique des lieux, des
classes générales dans lesquelles
peuvent être rangés tous les arguments
ou développements.
dé l
t
ƒ Freud utilise ce concept pour définir
ll’appareil
appareil psychique.
Première topique (1900-1920)
ƒ Inconscient : l’ensemble des processus mentaux qui
ne sont pas consciemment pensés
pensés. Système ou
instance constitué de contenus refoulés qui
échappent aux autres instances du préconscient et
d conscient.
du
i t
ƒ
ƒ Le préconscient : qualifie les contenus de cette
instance qui, pour n’être pas présents dans la
conscience, lui demeurent accessibles à la différence
des contenus du système inconscient.
ƒ
ƒ le conscient : qualifie les contenus conscients ou qui
viennent à la conscience.
Deuxième Topique (1920 -1939)
ƒ Le ça: Occupe la place de l’inconscient dans
la p
première topique.
pq
Il est conçu
ç comme un
ensemble de contenus de nature pulsionnelle
et d’ordre inconscient. Il est considéré
comme un réservoir pulsionnel inorganisé,
assimilé à un véritable chaos, lieu des
passions indomptées.
indomptées Il est le siège de la
pulsion de vie et de la pulsion de mort.
Deuxième Topique (1920 -1939)
ƒ Le moi : siège de la conscience, il englobe
également le préconscient
préconscient, il est donc en
partie inconscient. Le moi est avant tout un
moi-corps
moi
corps : « il est comme une projection
mentale de la surface du corps et représente
la surface de l’appareil
pp
p
psychique
y q ».
D
Deuxième
iè
T i
Topique
(1920 -1939)
ƒ le surmoi : plonge ses racines dans le ça et
exerce sur un mode impitoyable
p y
les fonctions
de juge et de censeur à l’égard du moi. Le
moi est essentiellement représentant du
monde extérieur, de la réalité, le surmoi se
pose en face de lui comme mandataire du
monde
d iintérieur,
té i
d
du ça. « Il estt le
l
représentant des exigences éthiques de
ll’homme
homme ».
» C’est
C est le siège de ll’autoautoobservation, le dépositaire de la conscience
morale, porteur de l’idéal
l idéal du moi auquel le
moi se mesure, à quoi il aspire. Il est l’héritier
du complexe d’Œdipe.
Organisation Structurale
Névrose : Il y a un conflit entre le moi et le ça et
cohabitation entre une attitude qui contrarie
l’exigence pulsionnelle et une autre qui tient compte
d la
de
l réalité.
é li é
Psychose : Il existe un trouble entre le moi et le monde
extérieur qui se traduit par la production d’une réalité
délirante et hallucinatoire ((folie).
)
Perversion : « négatif de la névrose », manifestation
brute et non refoulée de la sexualité infantile.
Organisation Structurale
Névrose : comme résultat d’un conflit avec
refoulement.
Psychose : comme une reconstruction d’une réalité
hallucinatoire.
P
Perversion
i : comme dé
dénii d
de lla castration
t ti avec fixation
fi ti
à la sexualité infantile.
Névroses de défense
« Une affection liée à un conflit
psychique inconscient d
d’origine
origine infantile
et ayant une cause sexuelle. Elle résulte
d’un mécanisme de défense contre
l’angoisse et d’une formation de
compromis entre cette défense et la
possible réalisation d’un désir ».
p
Névroses de défense
• Hystérie : prototype même de la névrose. Maladie
nerveuse dans laquelle intervient d’abord un trauma.
Hystérie d’angoisse = phobie, désigne la terreur continue et
immotivée face à un être vivant,, un objet
j ou une situation ne
présentant pas un réel danger.
• Obsessions : des idées obsédantes avec des actions
compulsionnelles à fin vérificatrice ou expiatoire et la
défense engagée contre elles.
• Actuelles : la névrose d’angoisse et la neurasthénie où le
conflit émane de l’actualité présente du sujet et non pas de
son histoire
hi t i infantile.
i f til Le
L symptôme
tô
ne se manifeste
if t pas de
d
façon symbolisée.
Psychoses
ƒ Terme qui remplace aujourd’hui celui de folie.
Il désigne les maladies mentales et plus
particulièrement
ti liè
t lles ttrois
i fformes modernes
d
d
de
la folie :
ƒ Schizophrénie.
ƒ Paranoïa.
ƒ Maniaco-dépression.
Psychoses
ƒ Repris par Freud dès 1894,
1894 le terme
désigne la reconstruction inconsciente
d’une réalité délirante ou hallucinatoire
dans laquelle le sujet est tourné
uniquement
i
t vers lui-même,
l i ê
d
dans une
situation sexuelle auto-érotique où il
prend
d son propre corps ou une partie
ti
pour objet d’amour sans altérité
possible.
ibl
La Paranoïa
Elle se caractérise p
par le développement
pp
insidieux, sous la dépendance de causes
internes et selon une évolution continue, d’un
système délirant, durable et impossible à
ébranler, qui s’instaure avec une
conser ation complète de la clarté et de
conservation
l’ordre de la pensée, du vouloir et de l’action.
Le paranoïaque est un malade chronique qui
se prend pour pour un prophète, un empereur,
un grand homme, un inventeur, un
réformateur.
La Paranoïa
La paranoïa est un mode de défense contre
l’homosexualité, l’hystérie,
y
la névrose obsessionnelle
et les états de confusions hallucinatoires.
Le paranoïaque projette : il se défend
éf
d’une
représentation inconciliable avec le moi en projetant
son contenu dans le monde extérieur. Le
paranoïaque aime son délire comme lui-même.
On y range :
ƒ Le délire de persécution.
ƒ L’érotomanie.
ƒ Le délire des grandeurs.
ƒ Le délire de jalousie.
La Schizophrénie
ƒ Du grec Schizos : fendre, cliver et
phrenos: la pensée.
ƒ Forme de folie appelée « démence
précoce » ayant pour symptômes
ll’incohérence
incohérence de la pensée
pensée, de
l’affectivité et de l’action, un repli sur soi
et une activité délirante.
délirante
La Psychose Maniaco
ManiacoDépressive
p
ƒ Elle se caractérise par des
dérèglements de l’humeur
l humeur qui prennent
la forme d’une alternance entre des
états d’agitation maniaque (exaltation)
et des états mélancoliques (tristesse,
dépression).
La Perversion
ƒ D’une manière générale, on parle de
perversion ou de p
p
perversité p
pour
qualifier le caractère et la manière
d’agir
d
agir d
d’êtres
êtres faisant preuve de
malignité et/ou de cruauté. L’histoire
du concept montre un champ très
vaste.
La Perversion
ƒ La
L thé
théorie
i ffreudienne
di
en matière
tiè de
d
perversion s’appuie tout d’abord sur l’idée
psychiatrique et sexologique de pratiques
sexuelles dites perverses. Sigmund Freud
ss’éloigne
éloigne dans un second temps de la
méthode classificatrice teintée de jugement
moral au p
profit d’une interprétation
p
plus
p
structurale de la notion, sans pour autant
renoncer à l’idée d’une norme et d’une
dé i i
déviation.
La Perversion
ƒ Dans Trois essais sur la théorie de la
sexualité (1905), il fait de la névrose « le
négatif
g
de la perversion
p
».« Il souligne
g ainsi
le caractère sauvage, barbare, polymorphe
et pulsionnel de la sexualité perverse : une
sexualité infantile à l’état brut, dont la
libido se limite à la pulsion partielle. A
l’opposé de la sexualité des névrosés,
névrosés cette
sexualité ne connaît ni l’interdit de l’inceste,
ni le refoulement,
refoulement ni la sublimation ».
»
La Perversion
ƒ Si la sexualité se construit et se
développe selon quatre termes : une
pulsion, une source, un objet et un
but la sexualité perverse s’organise
but,
comme une déviation sans limites de
ces quatre termes.
La Perversion
ƒ Sigmund Freud distingue deux types de perversions, les
perversions d’objet et celles de but.
b t
ƒ Dans les premières, la libido se fixe exclusivement sur un
seul objet : humain dans les cas d’inceste, de pédophilie
par exemple ; non humain dans le fétichisme et la
zoophilie
zoophilie.
g trois types
yp de p
pratiques
q
:
ƒ Dans les secondes,, il distingue
le plaisir lié au surinvestissement exclusif d’une zone
érogène ou d’un stade de développement libidinal, le
plaisir lié à la souffrance dans le sadisme et le
masochisme, le plaisir visuel dans l’exhibitionnisme et le
voyeurisme.
La Perversion
ƒ De
D 1905 à 1927,
1927 Si
Sigmund
dF
Freud
d passe d
de lla
description à la théorisation et inscrit la
perversion dans une structure tripartite : à
côté de la névrose, résultat d’un conflit
interne suivi d
d’un
un refoulement, de la
psychose comprise comme reconstruction
d’une réalité hallucinatoire,, la p
perversion
émerge comme un déni ou un désaveu de la
castration avec fixation à la sexualité
i f il
infantile.
La Perversion
ƒ Dans la théorie kleinienne, la
perversion est un trouble de ll’identité
identité
lié à une farouche pulsion de
d
destruction
i d
de soi-même
i ê
et d
de l’
l’objet,
bj
elle est une manifestation à l’état brut
de la pulsion de mort.
La Perversion
ƒ A partir de la notion de désir et de
jouissance, la théorie lacanienne fait de la
perversion une composante majeure du
fonctionnement psychique. Dans une
provocation et un défi permanents par
rapport à la loi, le sujet se transforme en
objet de jouissance
jouissance, son désir inconscient
est de s’annuler dans le mal absolu et dans
ll’anéantissement
anéantissement de soi.
soi
Les Etats-Limites
ƒ Le terme borderline : frontière, désigne des troubles
de la personnalité et de l’identité
l identité qui sont à la
frontière de la névrose et de la psychose. On parle
aussi de cas-limites, de personnalités-limites ou
encore de
d pathologies-limites.
th l i li it
ƒ Ce sont des personnalités névrotiques qui
qui, sans
développer une psychose complète, possèdent des
dispositions psychotiques ou encore manifestent des
aptitudes à faire usage de mécanismes
schizophréniques en cas de frustration.
Rapport à la Loi
1. « Nul n’est sensé ignorer la Loi ».
2. « La Loi, c’est moi ».
3 « La Loi,
3.
Loi cc’est
est mon désir ».
»
Rapport à l’autre
1 « Pourquoi cc’est
1.
est toujours ou jamais moi » ? (Sujet)
2. « C’est de la faute des autres » (Objet)
3. « Je sais bien mais quand même »
3. (bis) « Je sais que tu sais, et je sais que tu ne diras
rien » (Objet)
Mécanismes psychiques
ƒ Identification : désigne le processus central
par lequel le sujet se constitue et se
transforme en assimilant ou en
s’appropriant en des moments clés de son
s’appropriant,
évolution, des aspects, attributs ou traits
des êtres humains qui l’entourent.
Mécanismes psychiques
ƒ Projection : désigne un mode de défense
primaire commun à la névrose
primaire,
névrose, à la
psychose et à la perversion, par lequel le
sujet
j p
projette
j
sur un autre sujet
j ou sur un
objet des désirs qui viennent de lui mais dont
il méconnaît l’origine en les attribuant à une
altérité
l é i é extérieure
éi
à llui.
i
Mécanismes psychiques
ƒ L’identification projective : concept
kleinien qui désigne un mode spécifique
d’identification et de p
projection
j
consistant à introduire sa propre
personne dans l’objet
l objet pour lui nuire.
nuire
Mécanismes psychiques
ƒ Déni : mécanisme de défense par lequel le
sujet refuse de reconnaître la réalité d
d’une
une
perception négative. Le déni est apparenté à
la psychose par opposition au refoulement
caractéristique de la névrose. Si le névrosé
refoule les exigences
g
du çça,, le p
psychotique
y
q
nie la réalité extérieure pour construire une
réalité hallucinatoire. C’est également un
mécanisme
é
pervers par lequel le sujet ffait
coexister deux réalités contradictoires, ce qui
provoque refus et reconnaissance dans le
même mouvement.
Mécanismes psychiques
ƒ Dénégation : mécanisme de défense par
lequel le sujet exprime de façon négative un
désir ou une pensée dont il refoule la
présence ou ll’existence
existence.
ƒ Clivage : phénomène propre au fétichisme
fétichisme, à
la psychose puis à la perversion en général,
qui se traduit par la coexistence au sein du
moi de deux attitudes contradictoires, l’une
consistant à dénier la réalité,, l’autre à
l’accepter.
Postures sociales
1.
2.
3.
4.
Victime
Bourreau
Sauveur
Aucun des 3
ƒ Tutoiement/vouvoiement
ƒ Le
L modèle
dèl familial
f ili l inconscient
i
i t
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