La Porte Latine - Dimanche 15 janvier 2012 : pas de messe à

Transcription

La Porte Latine - Dimanche 15 janvier 2012 : pas de messe à
La Porte Latine - Dimanche 15 janvier 2012 : pas de
messe à Strasbourg pour pouvoir visiter une mosquée
!
http://www.laportelatine.org/formation/compromissions/messe_mosquee120115.php
January 29, 2012
Dimanche 15 janvier 2012 :
À Saint-Maurice (Strasbourg) pas de messe mais une visite de la mosquée !
Le journal Présent du 25 janvier 2012, sous la plume d'Alain Sanders, rapporte
un nouveau scandale commis par les tenants d'une liberté religieuse à sens
unique et d'un oecuménisme masochiste qui privilégie les ennemis du Christ et
de son Eglise.
Cette nouvelle doctrine - fille d'une herméneutique de rupture voulue par Vatican II
- est si bien comprise et assimilée par les fidèles qu'il n'est plus rare de voir des
"écoles privées" emmener leurs élèves visiter des mosquées [1] pour
"s'imprégner des lieux cultuels" de l'islam (sic).
Rien n'arrête plus nos philo-islamistes puisque le diocèse de Bordeaux [2] vient
de décider de vendre un terrain pour la construction d'une mosquée...
Présent du 25 janvier 2012
J’ai, sous les yeux, le supplément paroissial de Carrefours d’Alsace. Avec cette indication : « Dimanche 15 janvier,
messe à Saint-Maurice : pas de messe de 11 h à Saint-Maurice [souligné par les auteurs du bulletin]. Après la
messe de 9 h 30, départ pour la mosquée [toujours souligné par les auteurs du bulletin]. S’inscrire pour le
covoiturage. Parking à la mosquée. »
Il faut le lire pour le croire ! Pas de messe à 11 h, mais à la place, dimanche, une excursion à la mosquée, avec
covoiturage organisé histoire que personne de la paroisse ne soit privé de cette promenade dominicale…
Dans le même bulletin (janvier 2012), on peut lire, sous le titre « les événements du mois » :
« 15 janvier. Visite de la grande mosquée. Chacun peut la visiter individuellement. Mais, ce dimanche-là, c’est le geste
(sic) d’un groupe de chrétiens de Saint-Maurice-Saint-Bernard qui sera reçu à la mosquée. Ce que nous vivons ici
n’est pas possible sous d’autres cieux [tu l’as dit, bouffi…]. Faut-il y renoncer à cause de cela ? Qui renoncerait ici au
vivre ensemble (resic) paisible parce que ce n’est pas possible ailleurs ? Chrétiens et musulmans, nous avons tous
des frères qui nous humilient et trahissent notre foi par leurs certitudes méprisantes, meurtrières ou guerrières.
10 h 30 : départ devant nos églises en covoiturage (téléphoner ou s’inscrire pour avoir une place). 10 h 45 : accueil à la
mosquée. 12 h : fin de la visite. »
Le curé de Saint-Maurice, situé au 41, avenue de la Forêt-Noire, est l’abbé Vincent Steyert. Son nom méritera de
rester dans les annales d’une dhimmitude annoncée.
Ainsi, à l’heure où des dizaines de chrétiens sont persécutés, dans le meilleur des cas, et massacrés, dans le pire,
au Nigeria, en Egypte, en Indonésie, en Irak, en Afghanistan, en Algérie, en Thaïlande, en Inde, au Pakistan, aux
Philippines, etc., une paroisse de Strasbourg sucre la messe dominicale et, au lieu d’organiser des veillées de prières
pour ces martyrs de la foi du Christ, met sur pied une visite à la grande mosquée de Strasbourg dont la seule
existence, sur cette terre alsacienne profondément chrétienne, relève de la provocation… Au nom du « vivre
ensemble » comme ils disent…
Mais, pour « vivre ensemble », il faut au moins une volonté affichée de part et d’autre de le faire. On nous dira que les
musulmans de Strasbourg sont de braves gens et patin et couffin. Au point de supprimer la messe et d’aller leur lécher
les babouches ? Qu’est-ce qui peut passer par la tête de ces clercs improbables ? Leurs inconséquences relèventelles de l’inconscience ou pire ?
Saint Maurice était un soldat. A Strasbourg, l’église qui porte son glorieux nom ne relève pas de la cohorte du miles
Christi, mais hélas de cette palanquée de dhimmis suicidaires.
ALAIN SANDERS
[1] A la mosquée de La Roche, des collégiens s'imprègnent de l'islam - OUEST-FRANCE - La Roche-sur-Yon vendredi 21 octobre 2011
[1]
A la mosquée
de: leLadiocèse
Roche,
des collégiens
s'imprègnent
de l'islam
- OUEST-FRANCE - La Roche-sur-Yon vendredi
[2] L'exemple
vient de haut
de Bordeaux
vend un terrain
pour la construction
d'une mosquée
Dhimmitude - Invasion - Islamisation
France
lundi 17 juillet 2006
Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ?
Devinette. Quel « fasciste raciste islamophobe » a écrit : Le seul moyen qu'ils deviennent
Français est qu'ils deviennent chrétiens.
Extrait de la lettre du Père Charles de Foucauld à René Bazin, de l'Académie française, 29 juillet 1916 :
Il ne s'agit pas de les convertir en un jour ni par force mais tendrement,
discrètement, par persuasion, bon exemple, bonne éducation, instruction, grâce à une prise de contact étroite et affectueuse, oeuvre surtout de laïcs français qui peuvent être bien plus nombreux que les prêtres et prendre un contact plus intime.
Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ? Exceptionnellement, oui. D'une manière générale, non. Plusieurs dogmes fondamentaux musulmans s'y opposent ; avec certains il y a des accommodements ; avec l'un, celui du medhi, il n'y en a pas : tout musulman, (je ne parle pas des libres-penseurs qui ont perdu la foi), croit qu'à l'approche du jugement dernier le medhi surviendra, déclarera la guerre sainte, et établira l'islam par toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non musulmans.
Dans cette foi, le musulman regarde l'islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans
comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s'il est soumis à une nation non musulmane, c'est une épreuve passagère ; sa foi l'assure qu'il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l' engage à subir avec calme son épreuve ; "l'oiseau pris au piège qui se débat perd ses plumes et se casse les ailes ; s'il se tient tranquille, il se trouve intact le jour de la libération", disent-ils ; ils peuvent préférer telle nation à une autre, aimer mieux être soumis aux Français qu'aux Allemands, parce qu'ils savent les premiers plus doux ; ils peuvent être attachés à tel ou tel Français, comme on est attaché à un ami étranger ; ils peuvent se battre avec un grand courage pour la France, par sentiment d'honneur, caractère guerrier, esprit de corps, fidélité à la parole, comme les militaires de fortune des XVIe et XVIIe siècles mais, d'une façon générale, sauf exception, tant qu'ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du medhi, en lequel ils soumettront la France.
De là vient que nos Algériens musulmans sont si peu empressés à demander la nationalité française : comment demander à faire partie d'un peuple étranger qu'on sait devoir être infailliblement vaincu et subjugué par le peuple auquel on appartient soi-même ? Ce changement de nationalité implique vraiment une sorte d'apostasie, un renoncement à la foi du medhi. (...) L'empire Nord-Ouest-Africain
de la France, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique occidentale française, etc., a 30 millions d'habitants ; il en aura, grâce à la paix, le double dans cinquante ans. Il sera alors en plein progrès matériel, riche, sillonné de chemins de fer, peuplé d'habitants rompus au maniement de nos armes, dont l'élite aura reçu l'instruction dans nos écoles. Si nous n'avons pas su faire des Français de ces peuples, ils nous chasseront. (Et ils nous ont effectivement chassés...)
Exercice de compréhension de texte : Remplacer Algérie, Maroc etc... par Turquie et France par
Europe.
Chico Ray
[email protected]
SUR LE MAHOMÉTISME
Extraits du sermon prononcé par Monseigneur Louis Pavy, évêque d’Alger
en la cathédrale d’Alger en 1853.
Pour commencer, "celui qui prétend être le prophète d’Allah,
Mahomet, devrait avoir des lettres de créances", c’est-à-dire la
prophétie, les miracles et l’intégrité de l’ensemble de sa vie... "Rien
de tout cela se trouve chez Mahomet, cet homme de pillage et de sang
qui prêche sa doctrine à coup de cimeterres, en promenant la mort sur un tiers du globe alors connu !
Prophète ? "Il n’a même pas su deviner qu’un jour le poison lui serait servi par des mains soumises."
Et les miracles ? "Mahomet répète jusqu’à satiété que Moïse, Jésus-Christ et les autres prophètes ont fait des miracles, témoignage précieux pour notre foi, mais que lui n’est pas chargé d’en faire : il n’est chargé que de la prédication ; voilà la confession de son impuissance et par conséquent de son imposture et de son erreur." Par ailleurs, dit Monseigneur, "j’ai lu le récit de ses 18 miracles, d’après les auteurs arabes. Ce sont des phénomènes sans raison d’être, des contes puérils où tout au plus des tours de sorcellerie qui feraient rire de pitié nos fameux prestidigitateurs... Tantôt ce sont des arbres qui se promènent, des pierres qui parlent et autres niaiseries que nous avons honte de rapporter ici. Voilà tout son bagage de thaumaturge !" Et manque d’arguments et de miracles Mahomet fait croire que "le miracle des miracles, c’est le Coran,
prodige qui dépasserait en beauté toutes les formes humaines..."
"4 ou 5 chapitres du Coran sont assez agréablement tournés, j’en conviens ; mais... qu’est-ce que peuvent
faire 5 chapitres pour racheter les prodigieuses niaiseries, les maximes jetées sans ordre, les hiéroglyphes bizarres, les non-sens habituels et les flagrantes contradictions qui remplissent les 114 chapitres de ce tome
indigeste ?"
"Dans le Coran je n’ai rien trouvé de bien neuf. Presque tout, excepté les infamies, y est emprunté et contrefait. Ce qui est vrai se trouve dans le Pentateuque et dans l’Evangile ; ce qui est faux, dans le Talmud, dans les légendes arabes ou sabéennes, dans les évangiles apocryphes... Or, on voudrait faire descendre fraîchement du Ciel ce qui est déjà vieux sur la terre, et ce que je rencontre au fond de la boue !"
"Le sabre n’est point un argument pour l’intelligence humaine".
"Parce que Jésus s’était choisi 12 apôtres parmi les fidèles, Mahomet en choisit 12 parmi ses sectateurs, ce qui l’a fait appeler par un écrivain du Moyen Age le ’copieur de Dieu’."... "A la place de la simplicité, de la douceur, de la bénignité, de l’esprit de paix et de pardon, de la pauvreté volontaire, de l’humilité, de l’amour
des souffrances de Jésus, vous voyez éclater dans Mahomet la duplicité, la cruauté, la soif des jouissances, du butin, de la domination, de la vengeance et de l’orgueil, à leur paroxysme le plus élevé."
"Pourquoi suis-je obligé, poursuit Monseigneur Pavy, de taire ses 21 épouses qu’il se donne après s’être engagé à n’en avoir que 4, sans compter ses 4 concubines, et cette infâme loi qui lui accorde toute femme musulmane dont le coeur se sentira incliné vers lui", fût-ce une fillette de 8 ans ?... "Donc, il n’est pas
l’envoyé de Dieu".
"Le Coran exprime, en de pompeuses paroles, les grandes idées des vertus naturelles, et lâche en même temps ouvertement la bride aux penchants les plus violents et les plus sulfureux... Il supprime les remords
en introduisant le fatalisme... Mahomet, vaincu par la chair, accepte comme une loi divine sa domination
absolue", par ses instincts les plus indignes.
"Mahomet emprunte à chacune des religions existantes à son époque une portion de ses doctrines, et de cet amalgame incohérent qui prétend ménager le Chrétien, le juif, le sabéen, l’idolâtre, il forme son symbole et lui donne pour suprême couronnement son aphorisme : ’Il n’y a de Dieu que Dieu, et Mahomet est son prophète’... Il se fonde sur l’amalgame des doctrines, et se
couronne par l’orgueil de la personne"... "Mais la vérité n’est pas une propriété dont on puisse abandonner même une parcelle, dans l’intérêt prétendu de la paix".
"Le Coran nie la divinité de Jésus-Christ".
"Est-ce le Dieu véritable que le dieu de Mahomet ? Non ! Le faux prophète a donc fait un dieu nouveau ? pas davantage. Il a fait de son dieu ce qu’il a fait de tout le reste, un bizarre assemblage des qualités les plus opposés ; il l’a arrangé à sa façon."
"Son dieu unique, mes frères, est si faible qu’il n’ose jurer par lui-même !... Son dieu unique est le plus cruel des tyrans, puisqu’il fait lui-même tout dans l’homme, jusqu’au péché, puisqu’il ordonne à tous de croire à la nouvelle révélation du Coran, et déclare en même temps qu’il ne veut pas que les infidèles puissent y croire. Son dieu unique est un dieu sans coeur ; il n’aime pas, et il ne demande pas qu’on
l’aime !"
Le dieu de Mahomet "change l’éternelle beauté du ciel en un lieu de prostitution, dont les orgies dépassent en lubricité multiple et stérile tout ce que l’idolâtrie elle-même, dans ses conceptions les plus abjectes, avait pu rêver. Le dieu de l’islam, c’est un être tellement immonde, en sa complaisante faiblesse, que si l’autorité chargée de la garde des moeurs rencontrait dans nos rues quelque chose de semblable, elle devrait à l’instant
l’arrêter et le dérober aux yeux d’un public, hélas, pourtant si facile ! Et ce serait là le vrai Dieu ?"
"Oh, non, non, ce n’est pas là le vrai Dieu du ciel et de la terre, le Dieu des nations, le Dieu des prophètes, le Dieu de Moïse, le Dieu de Jésus-Christ. Ce n’est pas Vous, ô Sainte Trinité, que cet homme a violemment combattue. Ce n’est pas Vous, ô Père saint, ô Verbe éternel, ô Esprit de lumière et de charité ! Ce n’est pas
Vous, Jésus, le salut et la vie de mon âme... Cet homme, Mahomet, ne vous a pas connu, il n’a pas su vous
aimer, lui. Pardon, Seigneur, si, pour la défense de votre nom, j’ai parlé d’un autre dieu que vous !"
"L’islam est une prétendue religion que certains Français entourent encore de tant de respect.... Quelle morale est-ce donc, mes frères, que celle dont votre évêque n’ose pas exposer les principes, même pour les flétrir ?"
La morale de l’islam ? "L’association du sang à la volupté, la guerre à l’infidèle, guerre permanente, guerre qui doit durer jusqu’à leur entière extermination ou soumission au tribut."
"En lisant l’Evangile, j’ai appris à prier ; en lisant le Coran, je n’ai rien appris, et le musulman, j’en suis sûr, n’y apprend, lui, qu’à répéter de creuses et de vides formules. Je serais tenté de dire qu’une telle prière est un outrage, puisqu’elle s’adresse à un dieu qui n’existe pas, ou qui existe avec des attributs tout opposés à ceux que lui prête la doctrine du musulman."
Et la science ? "Elle a paru, chez eux, comme un météore ; elle est restée, chez nous, comme un soleil dont les feux alimentent sans cesse l’activité de l’intelligence humaine... Quel progrès ont-ils fait dans
l’agriculture ? Aucun ; et, tandis que nos moines défrichaient l’Europe, les musulmans ont abandonné à la stérilité ces belles provinces de la Syrie et de l’Afrique, si fertiles et si peuplées à l’époque où l’islamisme
s’abattit sur elles."
"Et la famille ? L’époux y est un capricieux despote, la femme une esclave ; point d’instruction, même élémentaire, pour elle ; point de mosquées où elle puisse prier avant l’âge de la vieillesse."
Les conseils de Mgr Pavy, pour convertir les musulmans qui nous entourent ? "Y porter non la guerre, mais la paix ; non la licence du toit domestique, mais la pureté et l’inviolabilité du mariage chrétien ; non la vengeance, mais le pardon ; non ce fatalisme désespérant, qui compromet autant la puissance de Dieu et sa miséricorde que la liberté humaine, mais cette douce résignation qui lui fait compter les larmes comme autant de perles précieuses et les épines de la douleur comme autant de fleurons ajoutés à la Couronne du Christ. Amen."
Source : http://books.google.fr/books?id=fc8sAAAAYAAJ, pages 1257-1288
Ni le coran ni, bien évidemment, la vie de Mahomet n’ayant changés d’un iota depuis 1853, ces paroles sont toujours parfaitement d’actualité.
Le Dieu des chrétiens n’est absolument pas le Dieu des musulmans, et point n’est besoin d'une grande érudition pour le constater. Il suffit de, tout
simplement, LIRE le coran soi-même tant cela est évident :
- Dieu n’a jamais eu de fils : Sourate 37 verset 152 & Sourate 112 verset 3
Selon l’islam, dire que Jésus est le fils de Dieu, fondement du christianisme, c’est un mensonge.
- Jésus est né sous un palmier : Sourate 19 verset 23 & 25.
Selon l’islam, dire que Jésus est né dans la paille d’une étable, entre l’âne et le boeuf, c’est un mensonge.
- Jésus n’est pas mort crucifié : Sourate 4 verset 157(ou 156).
Selon l’islam, la crucifixion et la résurrection du Christ, fondements du christianisme, sont un mensonge.
Entre l’islam et le christianisme il y a une totale incompatibilité, une incompatibilité que le coran résoud par le racket ou le meurtre : Sourate 9
versets 5 & 29, Sourate 2 verset 191 (ou 187), dès lors que les musulmans sont en mesure d'avoir le dessus : Sourate 47 verset 35 (ou 37).

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