piètre acteur, plein aux as, islamogauchiste raciste et

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piètre acteur, plein aux as, islamogauchiste raciste et
Cantona : piètre acteur, plein aux as, islamogauchiste
raciste et stupide
ripostelaique.com/antona-pietre-acteur-plein-aux-as-islamogauchiste-raciste-et-stupide.html
Paul Le Poulpe
J’avais, dès le soir de la sélection annoncée par Didier Deschamps, ironisé sur le fait qu’il avait osé
sélectionner dix Blancs, et qu’il allait avoir les antiracistes sur le dos.
http://ripostelaique.com/deschamps-devient-fou-10-blancs-sur-23-que-fait-le-cran.html
Bingo, c’est gagné. Avec un antiraciste particulier, nommé Eric Cantona, l’homme qui demande aux
Français de vider leur argent des banques, quand sa femme fait de la publicité pour une banque !
Ainsi donc, selon Cantona, le fait de ne pas sélectionner deux coreligionnaires de son épouse
algérienne serait, de la part de Didier Deschamps, une preuve de racisme.
Pour une fois, Maurice Szafran, en le qualifiant d’islamogauchiste, a été « pas trop mauvais ».
http://www.challenges.fr/politique/20160527.CHA9757/eric-cantona-la-nouvelle-star-des-islamogauchistes.html
Faut-il rappeler qu’en 1998, l’affreux « raciste » Aimé Jacquet n’avait pas retenu les deux vedettes de
l’époque, David Ginola et un certain… Eric Cantona, tout simplement pour préserver un groupe qui,
avec ces deux là, n’aurait pas eu la même cohérence, ni la même solidarité.
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Depuis, la diva Cantona voue une haine féroce à Deschamps, qu’il avait qualifié de « porteur d’eau »,
alors qu’il a un palmarès nettement supérieur à l’ancienne vedette de Manchester United.
La logique de Cantona est tout simplement celle de l’éradication du Gaulois. Finalement, l’équipe de
France dont il rêve, c’est l’équipe d’Algérie, qui, lors de la dernière Coupe du Monde, était constituée de
seize joueurs nés en France, ayant la double nationalité.
Il n’est pas inutile de revenir sur le parcours de ce jouer, capable de coups de génie et de folie, sur un
terrain de football.
Quand il quitte la France, pour rejoindre Leeds, en Angleterre, il est crâmé de partout. Il a mis la pagaille
dans tous les clubs où il est passé. Il a insulté le sélectionneur de l’époque, Henri Michel, le qualifiant de
« sac à merde », parce qu’il avait eu l’outrecuidance de ne pas sélectionner Sa Majesté. On voit à
travers ce petit résumé la haute idée de lui-même qu’a le personnage… youtube.com/watch?v=ad-zmsaXElw
Mais quand il arrive en Angleterre, il ferme sa gueule, que cela soit à Leeds ou surtout à Manchester
United, où il éclate, devenant l’idole de toute une ville, voire de tout un pays. Il accepte là-bas des règles
qu’il refusait en France. Certes, il réussira à se faire suspendre près d’un an, pour avoir tenté de mettre
ses pieds dans la figure d’un supporter qui l’injuriait. Ce n’est pas cela qui le rend antipathique à mes
yeux…
Il y a du Benzema et du Ibrahimovic dans le joueur qu’était Eric Cantona. Du Benzema parce qu’il n’a
jamais reproduit, en équipe de France, ce qu’il était capable de faire en Angleterre. Du Ibrahimovic
parce que c’était un joueur génial, un vrai chef d’équipe, mais aussi un grande diva qui considérait qu’un
groupe devait se mettre à sa disposition. D’où sa non-sélection en 1998.
Est-il devenu un grand acteur ? Julien Cazarre, fantaisiste de Canal Plus, expliquait, sans tourner
autour du pot, que « le pire acteur d’Europe, c’est Cantona ». Mais le nom de la vedette de football sur
un générique, cela ne peut pas faire de mal aux recettes d’un film, même si un des acteurs s’avère un
tocard.
Epoux d’une actrice algérienne, Cantona, qui avait déjà deux enfants, Raphaël et Joséphine, en aura
deux autres, avec l’actrice algérienne Rachida Brakni. Ces enfants seront appelés Emir et Selma. Tout
est dit.
Bien évidemment, au lendemain des attentats de Charlie Hebdo, Cantona fera le coup du « Pas
d’amalgame » et de « Pas touche à l’islam, pas touche aux musulmans ». Il va même jusqu’à faire la
comparaison avec le cinéma de Saint-Michel, et réussit à parler davantage des intégristes catholiques
que des musulmans !
Plein aux as, il prétend quand même lutter contre les banques et le système, alors qu’il multiplie les
publicités juteuses pour ses économies. Cantona est l’incarnation du hors-sol mondialiste,
immigrationniste, sansfrontierisme, sanspapierisme, islamocollabo et de toutes les balivernes dont il
n’aura jamais, dans ses grands palaces, à assumer les conséquences.
En insultant aussi grossièrement Deschamps, il nous a confirmé qu’un raciste sommeillait en lui, et que,
comme toutes les élites mondialisées, il haïssait particulièrement la France et ses petits Blancs.
Peut-on dire que la France le lui rend bien, et que, rien que pour fermer le claquet de ce gros « sac-àmerde », pour parler comme lui, on aimerait que le « porteur d’eau » Deschamps ramène la France un
titre de champion d’Europe.
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Versets abrogeants (nâsikh) & versets abrogés (mansûkh)
Une notion incontournable pour qui veut lire le coran.
La règle de l’abrogation constitue une clé absolument indispensable pour la compréhension du Coran et donc de l’islam. Si on ne connaît pas cette règle fondamentale, on ne peut qu’être déconcerté ou découragé devant les nombreuses contradictions présentes dans le livre saint des musulmans ; on risque également de se faire « rouler
dans la farine » lors de discussions avec des musulmans rusés et/ou malintentionnés.
Anne-Marie Delcambre consacre un bref chapitre de son dernier livre [1] à ce thème. Elle rappelle que « dans le
cas de deux versets qui se contredisent, pour les spécialistes, le verset révélé en dernier abroge le verset révélé en premier ».
Etant donné que dans le Coran les sourates ne sont pas classées dans l’ordre chronologique mais
approximativement par ordre de longueur décroissante (de la plus longue sourate à la plus courte, à l’exception de la première sourate), une question se pose inévitablement : en cas de contradiction entre deux versets, comment savoir quel est le verset révélé en dernier ?
Réponse : « Il faut (…) se référer aux études des savants de l’islam pour connaître l’ordre chronologique ».
Ceux-ci distinguent les sourates mecquoises (révélées à La Mecque entre 610 et 622) et les sourates
médinoises (révélées à Médine entre 622 et 632).
Le principe du verset abrogeant (nâsikh) et du verset abrogé (mansûkh) est contenu dans le Coran lui-même :
Sourate 16 (sourate mecquoise, la 70ème révélée), verset 101 (ou 103) [2] :
« Quand Nous remplaçons un verset par un autre – et Allah sait mieux ce qu’Il fait descendre – ils disent : « Tu n’es qu’un menteur. » Mais la plupart d’entre eux ne savent pas. »
Sourate 2 (sourate médinoise, 87ème révélée), verset 106 (ou 100) :
« Si nous abrogeons un verset ou si nous le faisons passer à l’oubli, Nous en apportons un meilleur ou un
semblable. Ne sait-tu pas qu’Allah est omnipotent ? »
Quel est l’intérêt de tout ceci ? La règle de l’abrogation a des conséquences pratiques, concrètes. Illustrons-le
par deux exemples. Premier exemple : Pourquoi la consommation d’alcool est-elle interdite aux musulmans ? La sourate 16, verset 67
(ou 69) dit pourtant :
« Des fruits des palmiers et des vignes, vous retirez une boisson enivrante et un aliment excellent. Il y a
vraiment là un signe pour les gens qui raisonnent ».
Pour répondre à la question, il faut savoir que la sourate 16 est une sourate mecquoise (c’est la 70ème révélée) et qu’elle est abrogée par la sourate 2 (médinoise, 87 ème révélée), verset 219 (ou 216). Celle-ci est abrogée à son tour par la sourate 4 (médinoise, 92ème révélée), verset 43 (ou 46). Cette dernière enfin est abrogée par la sourate 5 (médinoise, 112 ème révélée), verset 90 (ou 92) : « O les croyants ! Le vin, les jeux de hasard, les statues, les
flèches de divination sont une abomination inventée par Satan. Ecartez-vous-en afin que vous réussissiez. »
On a donc ici affaire à une succession de versets qui s’abrogent les uns les autres, et c’est le dernier d’entre eux
(chronologiquement) qui a le dernier mot. « D’après le principe de l’abrogation qui régit l’application du Coran,
c’est la sourate 5 qui doit guider la conduite du musulman. Il faut donc ne pas consommer d'alcool » [3].
Deuxième exemple : Pourquoi certains, dont je fais partie, déploient-ils autant d’efforts pour dire, à l’encontre de
tant d’autres, que l’islam n’est PAS la religion pacifique et tolérante qu’on a coutume de nous décrire ? Le Coran contient bien de nombreux versets « pacifiques », « gentils », « tolérants ». En effet. Mais il en comprend
également d’autres, qui sont « intolérants », d’une extrême violence envers les juifs, les chrétiens, les noncroyants. Dès lors, à quels versets se fier ? Il faut une nouvelle fois savoir à quelle période se rapportent les versets en question. Les premiers (tolérants) appartiennent à la période mecquoise, les seconds (violents) à la période médinoise.
Par conséquent, toujours en vertu de ce principe de l’abrogation (contenu dans le Coran, je le rappelle), les
versets qui prêchent l’indulgence, la tolérance, sont abrogés par ceux qui prônent la violence et l’intolérance. Ceux qui invoquent les versets de la période mecquoise pour soutenir que « l’islam est une religion de paix etc. » sont ignorants du principe de l’abrogation, ou pire encore, le connaissent très bien mais mentent par omission afin de vous manipuler.
Anne-Marie Delcambre fournit dans son dernier livre, au chapitre « Sourates du Coran ? », une liste fort
précieuse des sourates de La Mecque et de Médine. Sur un total de 114 sourates, 86 sont mecquoises, 28 sont médinoises. Sont médinoises les sourates suivantes (dans l’ordre de la révélation) : 2, 8, 3, 33, 60, 4, 99, 57, 47, 55, 13, 76, 65, 98, 59, 24, 22, 63, 58, 49, 66, 64, 61, 62, 48, 5, 9, 110. La sourate 2 est ainsi la
première sourate de la période médinoise, et les sourates 5, 9 et 110 en sont les dernières.
Arrêtons-nous un instant sur deux sourates médinoises particulièrement importantes.
« La sourate 9, sourate médinoise, l’avant-dernière révélée, est d’une importance primordiale. Le verset 29 de
cette sourate 9, révélée en 631, abroge toute disposition antérieure autorisant une attitude plus douce envers les polythéistes, les juifs, les chrétiens, les sabéens et les zoroastriens. Ce verset n’établit plus de différence entre les idolâtres et les monothéistes. » [4]
Or, que dit cette sourate 9, verset 29 ?
« Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son
messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humiliés ».
Le verset 4 (ou 4-5) de la sourate 47 (95 ème révélée) est appelé « verset du jihad » : il abroge tous les versets
appelant à la paix.
Et que dit le « verset du jihad » ?
« Lorsque vous rencontrez (au combat) ceux qui ont mécru frappez-en les cous. Puis, quand vous les avez
dominés, enchaînez-les solidement. Ensuite, c’est soit la libération gratuite, soit la rançon, jusqu’à ce que la guerre dépose ses fardeaux. Il en est ainsi, car si Allah voulait, Il se vengerait Lui-même contre eux, mais c’est
pour vous éprouver les uns par les autres. Et ceux qui seront tués dans le chemin d’Allah, Il ne rendra jamais
vaines leurs actions ».
Il faut donc avoir cette règle de l’abrogation à l’esprit lors de toute discussion au sujet de l’islam, que ce soit
avec des gens qui l’ignorent et à qui il faut alors l’expliquer, ou avec des gens qui la connaissent mais comptent
sur notre ignorance pour avancer leurs pions et nous induire en erreur…
Un cas d’école à connaitre absolument. Il est utilisé par les propagandistes musulmans pour nous faire croire que l’islam est tolérant, c’est le célèbre verset 256 (ou 257) de la sourate 2 qui dit: «Nulle contrainte en
religion .» Il est censé nous laisser croire que l’on peut entrer ou sortir de l’islam librement. Certes c’est un
verset médinois mais il est abrogé par un autre verset médinois ultérieur, le non moins célèbre verset de la dhimmitude, le verset 29 de la sourate 9, vu précédemment, mais que je cite à nouveau :
« Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son
messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humiliés ».
Tant que cette règle de l’abrogation ne sera pas abrogée, si j’ose dire, les tentatives de ceux qui
conseillent de ne tenir compte que des sourates mecquoises n’ont hélas aucune chance d’aboutir.
Le Soudanais Mahmoud Muhammad Taha (1908-1985), pour l’avoir proposé, le paya de sa vie : il fut déclaré coupable d’apostasie et fut pendu le 20 janvier 1985. Il avait septante-six ans.
SITAmnesty.wordpress.com
D'aprés Gédéon, chantducoq.blogspot.com
[1] Anne-Marie Delcambre, Soufi ou mufti ? Quel avenir pour l’islam ? Desclée de Brouwer, 2007
[2] Il existe deux numérotations des versets : moderne (à partir de 1923) et ancienne (avant 1923, donnée ici entre parenthèses si décalage). Pour consulter le coran, en numérotation moderne, traduit en français par Muhammad Hamidullah, savant vénéré par les musulmans francophones : http://oumma.com/coran
[3] Anne-Marie Delcambre, op. cit. , p. 52
[4] Anne-Marie Delcambre, op. cit. , p. 27
Voir aussi :
un article des époux Urvoy, http://tinyurl.com/YJJKX24
et celui du père Zakaria Boutros, http://tinyurl.com/237VS95