Notice d`utilisation de l`application de saisie des fiches DSF à des

Transcription

Notice d`utilisation de l`application de saisie des fiches DSF à des
Notice d’utilisation de l’application de saisie des fiches DSF à destination des correspondants-observateurs
Un nouveau portail de saisie a été développé par les informaticiens de l’IFN pour répondre
aux besoins de la nouvelle stratégie du DSF. Il est l’endroit unique à partir duquel on peut accéder à toutes les applications de saisie du DSF hébergées par l’IFN. Il permet d’onc
d’accéder :
– A la notation sur le réseau européen
– Au suivi des temps passés
– A la saisie des fiches O, E et V
– A la saisie sur le réseau processionnaire du pin
– Et bientôt aux fiches plantations, puceron lanigère, pathogènes foliaires des peupliers,
etc.
Ce guide d’utilisation est destinée à la manipulation de l’application de saisie des fiches O, E
et V.
Comment l’utiliser ?
1) Connexion
L’adresse Internet du portail est : http://www.dsf.ifn.fr/auth
Il faut rentrer son code et son mot de passe pour pénétrer dans l’application.
Par ailleurs, la case à cocher est une nouvelle option qui permet, si elle est activée, de restituer
la valeur de l’identifiant lors d’une prochaine connexion sur le même ordinateur.
En revanche, le stockage du mot de passe n’est géré que par le navigateur, et dépend donc des
capacités de celui-ci.
Ensuite, la page des applications apparaît. En fonction du rôle de la personne connectée dans
les différents réseaux, un nombre plus ou moins élevé d’applications apparaîtra.
Pour accéder à l’application souhaitée, il suffit de cliquer sur le lien, dans la première colonne
à gauche. Dans le cas présent, il s’agit de l’application « Gestion des fiches de signalement
DSF ».
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2) le menu principal
L’application s’ouvre ensuite sur le menu principal de l’application, qui permet :
– de visualiser les fiches et leur principales caractéristiques (problème principal, stratégie, année, code INSEE de la commune, etc.) ;
– de naviguer parmi les anciennes fiches ;
– d’ouvrir le menu permettant de créer de nouvelles fiches.
(cf. la saisie d’écran plus bas, où ces différentes parties sont détaillées)
Une fiche est caractérisée par son statut, qui décrit son état d’avancement. Ces statuts sont :
– en cours de saisie : le CO a commencé à renseigner une fiche, sans l’avoir finalisée,
et peut revenir la modifier par la suite. L’échelon DSF et le CO peuvent modifier une
fiche « en cours de saisie » à tout moment ;
– fin de saisie : le CO a estimé avoir fini d’avoir renseigné la fiche, et la soumet à la validation de l’échelon DSF. A partir de ce moment, seul l’échelon DSF peut modifier la
fiche ;
– à corriger : l’échelon DSF a regardé la fiche, et estime que le CO doit lui apporter des
corrections : à ce moment-là le CO et l’échelon DSF peuvent tous les deux la modifier ;
– validée : l’échelon DSF a validé la fiche. Elle ne peut plus être modifiée ni par le CO,
ni par l’échelon DSF ;
– rejetée : l’échelon DSF a estimé que la fiche n’était pas valide et l’a rejetée définitivement : elle ne peut plus être modifiée ni par le CO, ni par l’échelon DSF.
Les outils habituels figurent dans cette page :
– la barre de localisation permet de naviguer dans l’arborescence des applications, et
éventuellement de revenir au portail ;
– le filtre, qui permet de ne garder qu’un nombre limité de fiches correspondant à certains critères (les critères « début » et « fin » permettent de sélectionner les fiches selon leur date d’enregistrement, et le bouton « Ne pas filtrer » permet d’effacer tous les
critères de sélection qui ont été remplis auparavant) Une fonctionnalité spécifique
permet de sélectionner non plus une essence mais des groupes d’essences prédéfinis 1 ;
1
Le filtre porte sur l’essence concernée par le problème, et non l’essence dominante du peuplement
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–
l’outil loupe
permet de visualiser la fiche en toute sécurité sans risquer de la modi-
Barres de localisation.
Eléments
d’identification
Créer une nouvelle
fiche
Filtrer des
fiches en
fonction de
leur statut,
leur stratégie, etc.
Liste des fiches, avec leur
caractéristiques principales
Bilan annuel des fiches
Accéder à une fiche par son
numéro d’identification
–
fier ;
l’outil éditer
–
l’outil supprimer
permet de modifier une fiche en cours de saisie ;
permet de supprimer une fiche en cours de saisie .
L’outil
("voir les échantillons d’une fiche") permet d’indiquer le nombre
d’échantillons associés à la fiche.
Le bilan, en à bas à droite de l’écran, donne
un aperçu annuel de l’activité du CO.
Les deux boutons « Dupliquer » et
« Supprimer » de la fiche n’ont une action
que sur la fiche pour laquelle la case de la
liste a été cochée : « Supprimer » permet de
supprimer une fiche en cours de saisie
(équivalent
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à
l’outil
),
quant
à
« Dupliquer », c’est un bouton très utile qui permet de créer une nouvelle fiche qui aura les
mêmes coordonnées géographiques et caractéristiques forestières que la fiche qui a été dupliquée : cela permet donc de faire rapidement plusieurs fiches sans avoir à reprendre les mêmes
informations de base, quand sur un même peuplement, deux problèmes sans aucun rapport
sont détectés.
Un nouvel outil « Exporter » permet de télécharger au format CSV la liste des
fiches obtenu avec ou sans filtre. Ce format est utilisable dans Excel (Microsoft Office) ou
Calc (OpenOffice). Les informations obtenues sous forme de colonnes sont les suivantes :
Numéro de la fiche, statut, stratégie, code INSEE, trois premiers problèmes, code CO, échelon, contrôleur, nombre d'échantillons.
3) Ajouter une nouvelle fiche, et entrer des données
Dans le deuxième menu de la partie droite de l’écran d’accueil (« créer une nouvelle fiche »),
on peut créer une fiche en choisissant une des trois stratégies proposées dans cette application
(O, E2 ou V), puis en appuyant sur le bouton « Ajouter une fiche ». Cela permet d’accéder au
deuxième écran important de cette application, où les caractéristiques précises de la fiche de
signalement peuvent être renseignées. (On peut également accéder à cet écran pour une fiche
, ou dedéjà existante en cours de saisie : soit depuis l’écran d’accueil, en activant l’outil
puis la consultation de la fiche, avec le bouton « Modifier » tout en bas de l’écran)
Différentes données sont alors demandées au CO :
– Le code du correspondant-observateur et l’échelon sont renseignés automatiquement ;
– la date à laquelle l’observation a été effectuée ;
– pour chaque stratégie, ou modèle de fiche, on a défini des types de fiches qui permet
d’affiner ou de préciser le type de recherche qui a été entreprise (ex. : front processionnaire du pin, diagnostic-conseil) En fonction de la stratégie les types de fiches
vont être différents ;
– si une fiche est réalisée à un endroit où, dans le passé, une autre fiche avait été réalisée
pour un problème corrélé, le correspondant-observateur renseigne ce champ avec le
numéro d’identifiant de la fiche3. Attention ! Une fiche ne peut avoir au maximum
qu’une seule « mère » et qu’une seule « fille », ceci afin de faciliter la hiérarchisation
des liens entre les fiches. Au cas où un CO devait revenir une troisième fois sur un
même site, il devra indiquer en tant que fiche parente de cette troisième fiche le numéro de la deuxième fiche. NB : lorsqu’une fiche est affiliée à une fiche parente, le lien
vers cette dernière apparaît dans la liste des fiches ;
– dans le cas où ce numéro de fiche est renseigné, le CO explicite la raison de cette affiliation : aggravation d’un problème, retour avec l’échelon, retour sur un suspicion
d’organisme de quarantaine, etc.
La localisation du point :
2
Attention ! Pour les stratégies O et E, seuls un certain nombre d’essences ou de problèmes est prédéfini est peut
convenir, et lorsque aucun élément d’une stratégie O ou E n’a été définie au préalable par le DSF, il n’y a pas de
raison de saisir de fiches. Ainsi, aucune essence n’a fait l’objet d’une enquête en 2007 ou 2008, donc aucune fiche E ne doit apparaître.
3
Remarque : si la fiche a été réalisée avant le 1er janvier 2007, dans le cadre de la précédente stratégie du DSF, le
CO demandera alors à l’échelon concerné le numéro d’identifiant unique qui a été attribuée a posteriori à cette
fiche.
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si les coordonnées ont été relevés à l’aide d’un GPS ou non ;
la projection cartographique utilisée : ici seuls sont disponibles le Lambert 24, les
coordonnées WGS en degrés décimaux ou hexadécimaux (au cas où un CO utiliserait
un GPS ne pouvant lui communiquer les coordonnées dans un de ces trois systèmes, il
faudrait essayer de se reporter à un convertisseur de coordonnées comme Circé) ;
les coordonnées cohérentes avec le référentiel géographique choisi. Si ce dernier est le
WGS84, il faut préciser la position par rapport à l’équateur (Nord systématiquement
dans notre cas) et par rapport au méridien de Greenwich (et non celui de Paris) : les
coordonnées positives correspondent à une position Est, les coordonnées négatives à
une position Ouest5 ;
une carte issue de GoogleMaps qui permet de localiser le point indiqué à partir des
coordonnées indiquées par le CO (en vert) et la commune qu’il a renseignée à titre de
vérification (en rouge). Une vérification visuelle rapide permet de constater la pertinence du premier et/ou de vérifier la cohérence approximative entre les deux données
de localisation6 ;
le département de la commune ;
ensuite, si le CO connaît soit les trois derniers caractères du code INSEE, soit les quatre premiers caractères du nom de la commune, il lui suffit de taper ces caractères dans
les cases afférentes, une recherche automatique se fera, et le CO pourra alors choisir
parmi une liste restreinte de communes, ensuite les deux champs se rempliront de façon automatique7 ;
au cas où l’observation aurait eu lieu dans une commune qui ne serait pas référencée,
une case « autre commune » est prévue, à utiliser dans les cas extrêmes !
le type de propriété forestière ;
La caractérisation forestière :
– le type de peuplement ;
– les essences dominante et affectée sont déterminées soit en écrivant le code dans la
case lorsque le CO le connaît, soit en cliquant sur le petit outil
à côté de la case qui
permet d’ouvrir une liste où figurent, en français, toutes les essences. Une fois cette
liste ouverte, il suffit de cocher la case de l’essence appropriée ;
– le nombre d’échantillons envoyés à l’échelon ;
– le pourcentage de tiges8 concernées par le problème, ou le groupe de problème ;
– la sévérité du problème, répartie en 5 classes.
La liste des problèmes :
On peut entrer désormais dans la case « problème » :
4
Pour le Lambert 2, l’unité des coordonnées requise est le kilomètre. Si le correspondant-observateur peut récupérer une coordonnée avec une précision de l’ordre du mètre, il renseignera jusqu’à trois chiffres après la virgule.
5
A titre d’indication, la latitude doit avoir une valeur comprise entre 40 et 50 degrés, et la longitude, une valeur
comprise entre –6 et +6 ° (environ) dans le référentiel WGS84. Une vérification sommaire des valeurs les plus
aberrantes signale néanmoins à l’utilisateur les erreurs les plus frappantes.
6
pour certains navigateurs (Internet Explorer, Firefox), l’affichage de la carte ne fonctionne pas : il faut alors vider la mémoire du cache. Pour de plus amples explications, cf. Annexe du présent document.
7
l’indication de la commune n’a d’autre intérêt que de vérifier la pertinence des coordonnées renseignées par le
correspondant-observateur. A ce titre, il faut nécessairement mettre le code de la commune où la fiche a été réalisée, et non la commune propriétaire de la forêt, dans le cas d’une forêt communale.
8
Dans le cadre de la stratégie O, rappelons que lorsqu’un organisme invasif est recherché et non trouvé, le pourcentage de tiges atteintes doit être égal à 0, dans le cas contraire, un message de confirmation apparaîtra pour
demander au CO s’il certifie bien avoir trouvé cet organisme.
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soit un problème seul ;
soit un problème caractérisé temporellement par l’année où le correspondantobservateur estime qu’il a eu lieu ;
soit un symptôme accompagné de l’organe sur lequel ce symptôme a été détecté.
Pour ce faire, l’utilisateur de l’application a la possibilité de rentrer des codes à sept caractères
mais aussi des codes à neuf caractères :
– pour le problème seul, rien ne change par rapport à la situation antérieure : l’utilisateur
Nouveau !
entre soit le problème en tapant directement son code, soit en utilisant l’outil
;
– pour caractériser l’antériorité du problème, l’utilisateur tape le code problème à 7 caractères (ou le choisit grâce à l’outil ) et le complète par deux chiffres représentant
l’année estimée9. Ex : CHALEUR03 désigne les séquelles laissées par la canicule de
2003 ;
– pour entrer un code symptôme et un organe, l’utilisateur n’a que la ressource de taper
directement à la suite l’un de l’autre ces deux codes. En effet l’outil
ne donne accès
qu’à des problèmes, pas à des symptômes. Ce qui nécessite de connaître la codification des symptômes, qui peut également être vérifiée à cette adresse :
http://sante-forets.fr/frontalMetaDSF/metaifn/DetailMOD.php?unite=SYMPRE
et à celles-ci pour les organes :
http://sante-forets.fr/frontalMetaDSF/metaifn/DetailMOD.php?unite=ORGRE
Ensuite l’application se chargera de retrouver l’année d’antériorité, le symptôme, l’organe, le
problème… En revanche, toute autre combinaison que les trois évoquées ci-dessus (symptôme seul, problème avec un organe, etc.) sera reconnue comme invalide par l’application et
ne sera donc pas ajoutée.
Dans tous les cas, il faut appuyer sur le bouton , pour ajouter le problème identifié à la liste
des problèmes. Désormais, le nombre de problème identifié est illimité, et non plus limité à 3
comme c’était le cas dans l’ancienne stratégie de collecte des données. Il est également possible de faire cohabiter sans difficulté des lignes avec problème seul, avec problème et antériorité, avec symptômes et organes.
Informations complémentaires : une case est réservée pour tout commentaire permettant
d’éclairer la caractérisation du problème phytosanitaire détecté.
9
L’année exacte est reconnue par l’application de la façon suivante : si le nombre à deux chiffres est supérieur à
50, nous sommes dans le vingtième siècle, s’il est inférieur, dans le vingt-et-unième. Nous attendrons l’année
2049 pour nous poser la question de la pérennité du système…
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4) Sauvegarde de la fiche
Il est important de sauvegarder la fiche, sinon toutes les données renseignées seront perdues
en cas d’incident ou de fermeture intempestive de l’application ! Même toute trace de fiche
nouvellement créée sera perdue, et ses données avec, si elle n’a pas été sauvegardée.
D’où l’importance de sauvegarder les données avec le bouton « Enregistrer ».
Lorsque le CO est sûr de sa fiche, il peut utiliser le bouton « Enregistrer et confirmer fin de
saisie » : à ce moment-là, une série de tests est lancée pour vérifier que toutes les informations
obligatoires ont bien été renseignées : si ce n’est pas le cas, les données sont bien enregistrées,
mais des messages d’alerte apparaissent au-dessus des champs mal ou pas renseignés, et la fiche reste au statut « en cours de saisie ». Lorsque tous les champs sont correctement renseignés, une nouvelle pression sur le bouton « Enregistrer et confirmer fin de saisie » passe la fiche au statut « Fin de saisie », et le CO n’a plus de possibilité de modifier la fiche. (si le cas
échéant, le CO se rend compte qu’il a fait une erreur de saisie qui serait passée outre les tests
automatiques – ce qui est tout à fait possible – alors, la seule solution est de contacter directement l’échelon DSF pour qu’il débloque la fiche et la mette en statut « à corriger »)
Attention ! A la différence du réseau systématique, les fiches renseignées par le correspondant-observateur sur le terrain n’ont pas vocation à être envoyées à l’échelon, mais devront être archivées par celui-ci.
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ANNEXE
Nettoyage des fichiers mis en mémoire dans le navigateur web pour utilisation adéquate
de la carte issue de Google Maps
Objectif : Selon la configuration de votre navigateur web (Mozilla, Firefox, Internet Explorer
…) des fichiers peuvent être stockés en mémoire. Ces fichiers ont pour objectifs d’accélérer le
chargement de pages déjà consultées, de retenir des éléments enregistrés dans les formulaires
… mais engendrent parfois également des dysfonctionnements. La procédure suivante explique comment supprimer ces fichiers.
Méthode :
1) Mozilla Firefox :
Ouvrir le navigateur et cliquer sur Outils 1 puis Options 2.
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Dans la nouvelle fenêtre choisir l’onglet Vie privée 3 et cliquer sur Nettoyer maintenant 4.
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Sélectionner les éléments à supprimer. Il est conseillé de tout supprimer hormis les Mots de
passe enregistrés si on souhaite les conserver. Valider en cliquant sur Effacer mes traces
maintenant 5.
5
Fermer la fenêtre d’options en cliquant sur OK 6.
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2) Internet Explorer :
La méthode est similaire. Ouvrir le navigateur et cliquer sur Outils 1 puis Options Internet 2.
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Dans la nouvelle fenêtre choisir l’onglet Général 3 et cliquer sur Supprimer les cookies 4. Valider par OK 5.
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Cliquer ensuite sur Supprimer les fichiers 6, dans la boite de dialogue cocher Supprimer tout le contenu hors connexion 7 et valider par OK 8.
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