Numéro 4 - Les Scorpions de Mulhouse

NUMÉRO 4 - FÉVRIER 2012
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w w w. s co r p i o n s m u l h o u s e . f r
Marc de la CAFFINIERE
& Corinne FANCHON-POMMIER
Les PLAY-OFF d’abord !
Le reste suivra…
À cette phase particulièrement active du championnat
régulier et intense en émotions, tant pour les joueurs
que pour les spectateurs assidus de la patinoire de
l’Illberg, tous les espoirs sont permis de voir notre
équipe de Scorpions se hisser à la meilleure place.
Comme se plaît à le rappeler, Christer ERIKSSON, à ses
joueurs mais également aux dirigeants du club “… Il faut
faire du mieux possible mais pas trop vite…” !
Cette “prudence” du coach est établie sur 25 ans d’expérience du jeu au plus haut niveau. Il sait combien
son équipe, cette saison est particulièrement courageuse et l’entente entre les joueurs, l’élan vers les
spectateurs après chaque victoire, ne trompent personne sur les ambitions des Scorpions cette année.
Néanmoins, la “prudence” voudrait que l’on se soucie
avant tout des besoins de l’association pour le développement du hockey mulhousien : promouvoir la formation
du hockey auprès des jeunes, participer aux groupes
de travail sur les travaux de rénovation de la patinoire
de l’Illberg de concert avec le service des sports de la
ville, poursuivre la méthodologie de travail rigoureuse
parmi les dirigeants du club...
Nul n’est besoin de rappeler, combien nos voeux de
réussite, accompagnent à chaque match, nos chers
Scorpions. Quel que soit le résultat des phases finales,
ils auront besoin de vous tous, spectateurs, Ultras et
partenaires, sans qui à l’évidence, rien ne serait possible
de ce que nous connaissons aujourd’hui de novateur
pour cette équipe.
Merci pour votre soutien ! Q
Marc de la CAFFINIERE,
Corinne FANCHON-POMMIER,
Président.
Vice-Présidente.
Bénévoles au bar :
un sacerdoce !
Numéro 4
Février 2012
En couverture :
Lilian PRUNET.
Directeur de la publication : Marc de la CAFFINIÈRE
Reportages : Christian CATIL
Léo FIXANO
Gérald HUSSER
Yves ROBERT
Hubert ROZE
Jean-Christophe ROZE
Photos : Serge SCHITTLY
Conception graphique : HELIUM GRAPHIC
Impression : AZ IMPRIMERIE
Publicité : Pascal KERN
Ont collaboré à ce numéro :
Marc de la CAFFINIÈRE, Corinne FANCHON-POMMIER
Contact : communication#scorpionsmulhouse.fr
Seize ans que les plus anciens sont
là, chaque samedi de match.
Au départ, cette petite entreprise familiale réunit quelques
fidèles (Bernadette CAVUELLA, Annick MARCK, Françoise
CATIL, Lise et William SALVIN) largement suffisants pour
gérer l’unique bar.
Puis à partir de 2006, la petite structure se développe
sous l’impulsion de Patrick MATHIEU avec l’adhésion de
Stéphanie, Estelle, Valérie, Arlette, Mathieu, Jacques,
Dolorès, Yves, Olivier et aussi Pauline et Morgane. Le hockey
est une passion communicative !
Lorsque les premiers clients arrivent,certains sont là
depuis deux heures ; Olivier OSWALD et Yves ROBERT
pour la mise en place du 2ème bar, Stéphanie HALLER
et Valérie Mathieu pour la préparation des crêpes,
Françoise CATIL pour son étal de gâteaux concoctés
par les mamans des jeunes joueurs, Lise et William
SALVIN les hots-dogs, paninis, le café et bien sûr le
délicieux vin chaud de saison.
Sans oublier Thierry BOHN et tous ceux qui donnent un
coup de main, moins visible mais tellement efficace.
Cette équipe est montée en “puissance” au fil du temps et
reste efficace en “power play” (clin d’oeil à Mr CHRISTER).
Mais les absences sont très rares.
Au fil des saisons, les fidèles spectateurs sont devenus
des connaissances et c’est un plaisir de les retrouver à
chaque match.
Merci à tous ceux qui, d’un côté ou de l’autre du bar,
nous font vivre une “belle aventure” Q
Hubert ROZE.
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Marius, le gentil géant !
Il n’aura finalement passé que deux saisons à l’Illberg,
mais il a marqué durablement le hockey mulhousien.
Son souvenir est resté très présent, tant pour ses exploits
sportifs que pour son physique hors norme. Et c’est sans
doute ce qui frappait au premier abord. Avec 1,95m
pour 100 kg, il impressionnait public et adversaires,
comme le confirme Lilian PRUNET, qui l’a connu
comme adversaire, partenaire et entraîneur. “J’ai joué
contre lui quand il était à Grenoble et il était impressionnant par son physique”. Mais il était un joueur
et un homme attachant et foncièrement gentil. Trop
peut-être, ce qui a sans doute écourté son aventure
mulhousienne. C’était une personne très gentille et
agréable en dehors du hockey aussi”, poursuit Lilian
PRUNET. “Je l’avais revu quand il entraînait Chamonix.
Ce n’est pas bon d’être trop gentil pour être entraîneur.
On peut subir des influences. Mais je garde l’image
d’un bon mec”.
Arrivé en 1999 en provenance de Grenoble pour apporter
son expérience à un club en construction, il n’a pas
déçu lors de sa première saison, avec 27 points au
compteur (15 buts et 12 assistances). Malheureusement, il manquera la demi-finale (face à Villard)
et la finale contre Brest en raison d’une blessure.
Mais c’est lors de sa deuxième saison en Alsace que le
centre à la double nationalité (Grèque et Slovaque) a
réellement apporté toute son expérience. Avec 44 points
en saison régulière, il a pesé de tout son poids sur le
bon parcours des Mulhousiens. Mais une fois encore
les playoffs se sont beaucoup moins bien passés pour
lui, pour d’autres raisons que la saison précédente.
Suite à un différent avec leur entraîneur Pascal RYSER,
un mouvement des joueurs a en effet obtenu au cours
de la saison que le technicien suisse soit débarqué.
Pour le remplacer, Claude BAUER, président de
l’époque, a donc confié les rennes de l’équipe au
joueur le plus expérimenté de l’effectif.
Fort de son expérience de joueur en Slovaquie, mais
aussi en Elite française, KONSTANTINIDIS semblait
en mesure d’assurer la mission d’entraîneur-joueur.
Mais les choses ont rapidement mal tourné. Dès les
premières semaines, ses choix ont été contestés en
interne. Il a été taxé de proximité avec les autres
joueurs slovaques de l’effectif (Martin ROH, François
NECKAR ou Juraj FAITH) et l’influence de ses compatriotes sur ses choix techniques a été pointée du doigt.
Une contestation qui a connu comme point d’orgue
le voyage retour de la finale perdue à Villard. Assis à
l’avant du bus, KONSTANTINIDIS était ouvertement
pris à partie par une partie de ses joueurs qui le tenait
pour responsable de la défaite après un dernier tiers
catastrophique des Scorpions.
Ce sera la dernière image de Marius KONSTANTINIDIS
à Mulhouse. Il finira sa carrière de joueur à Gap (en
2002-2003) avant de se tourner vers le coaching en
Espagne et à Chamonix. Il est décédé le 25 septembre
2005 d’un infarctus, à Bratislava. Il avait 41 ans Q
Gérald HUSSER.
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Renaud CHABRIER, Chef de cuisine
du Restaurant-Bistrot Le Poincare II
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Scorp’Mag a été reçu au siège mulhousien de
Numericable par Gabriel SCHMITT & Arnaud BIETIGER.
Depuis combien de temps vous intéressez-vous
à l’équipe des Scorpions ?
Nous avons été formés à Mulhouse depuis l’âge de 10 ans, on
y joue depuis longtemps et 25 ans après, nous continuons
avec l’équipe loisir des “Senior +”. Nous avons été formés
dans ce club et nous n’avons d’ailleurs jamais joué dans un
autre club que celui-ci.
La particularité de Numericable, c’est que nous ne sommes
pas seulement “sponsor” mais nous sommes avant tout…
joueurs !
Comment s’est opérée votre progression
au sein du club en tant que joueur ?
Nous avons évolué comme tous les jeunes de l’époque en
suivant chaque catégorie puis nous nous sommes retrouvés
en D3 en 1995. Par la suite, nous avions connu un clash avec
l’entraîneur de l’époque, le hockey sénior avait d’ailleurs
disparu durant 1 an. Avec l’arrivée de Pascal RIESER le
club a été relancé vers la D1, un niveau jamais atteint à
Mulhouse !
Pascal Rieser, ce nom revient régulièrement
dans les interviews que Scorp’Mag accorde
aux aficionados des Scorpions de Mulhouse ?
Tout à fait car avant son arrivée à Mulhouse, notre entraîneur
était Michel ROTTFUSS et malgré tous nos efforts, le club
n’a jamais pu franchir le niveau de la compétition plus haut
que la D3.
Avez-vous aujourd’hui,
toujours ce même goût de la compétition ?
À nos âges, le goût de la compétition est moins prononcé au
niveau sportif mais nous l’avons prolongé dans l’entreprise
Numericable dans laquelle nous sommes particulièrement
impliqués, Arnaud et moi-même.
Nous conservons néanmoins, le même attachement à notre
club, nous nous y sentons chez nous…
En quoi consiste l’implication de Numericable
localement ?
Numericable est particulièrement dynamique et implantée en
Alsace. Nous collaborons avec les communautés de communes
et la région. Nous participons aux événements marquants
qui s’y déroulent (Foire de Strasbourg, Foire de Mulhouse)
et nous nous intéressons à la formation depuis 2003 avec la
Chambre de Commerce & d’Industrie de Mulhouse. Nous
offrons des stages intégrés dans l’entreprise à des étudiants
en B.T.S “force de vente”.
Numericable ne s’intéresse pas qu’au hockey sur glace ?
L’entreprise soutien d’autres clubs, essentiellement dans le
domaine du sport comme le handball à La Robertsau, le basket
à Strasbourg, la course de voiture et bien d’autres Clubs.
Nous soutenons aussi le club de hockey d’Épinal, ainsi que
“l’Étoile Noire” de Strasbourg.
Numericable a même créée ses propres chaînes TV de sports :
“ma chaîne sport” et “ma chaîne sports extrêmes”. On n’y
retrouve d’ailleurs des événements sportifs marquants du
monde entier.
A quoi peut-on attribuer le succès de Numericable ?
C’est un succès qui est avant tout lié à la technologie du câble,
elle permet de positionner l’entreprise en tant qu’opérateur
“intégral” qui propose des chaînes en exclusivités avec une
qualité d’image inégalée, le débit internet le plus performant
du marché et enfin c’est l’opérateur qui a bouleversé le marché
du mobile dès mai 2011 ! Numericable c’est l’alliance de la
puissance, de la qualité et de l’innovation.
Quelle est la dernière innovation
proposée par Numericable ?
Nous avons lancé il y a quelques semaines un nouvel équipement nommé “La Box”, il se veut tout en un : décodeur
numérique TV, modem performant, lecteur DVD Blue-Ray et
surtout comprend un disque dur amovible de 160 à 500 Go.
La “Box by Numericable” offre des fonctions TV avancées ou
exclusives telles que “Facebook ou direct sur la TV” les recommandations VOD personnalisée (“vous aimez… vous aimerez”)
la chaîne personnalisable, le comparateur de prix VOD
(17 000 références) le moteur de recherche intelligent tous
contenus consultable avec le claviez azerty de la télécommande intégrale, le picture in picture (deux programmes à
l’écran), etc.
Quelle analogie y a-t-il entre
l’entreprise Numericable et l’équipe des Scorpions
telle qu’elle se présente aujourd’hui ?
Arnaud et moi, sommes très fiers de travailler pour Numericable. C’est une entreprise particulièrement dynamique tout
comme la nouvelle équipe dirigeante des Scorpions !
À notre avis, la gestion du club est proche de celle d’une
entreprise.
Le président actuel, Marc de la CAFFINIERE connaît bien le
hockey sur glace, Corinne POMMIER, le monde de l’entreprise
et le retour de Christer ERIKSSON, constituent de bonnes
raisons de soutenir le club des Scorpions. Nous espérons que
le staff en place cette saison restera pour un moment.
Pour conclure, il faudrait que d’autres entreprises de l’agglomération mulhousienne rejoignent le club des Scorpions
afin de renforcer la structure autour de l’équipe 1.
C’est notre vœu le plus cher… Q
Léo FIXANO.
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Voya g e u r m a l g ré l u i …
S’il est “l’ancien” de l’effectif a 34 ans, il est aussi, avec Julien AUBRY,
le symbole de la fidélité au club mulhousien. En Alsace, il a tout connu,
des bons mais aussi de moins bons moments.
Depuis deux ans il est de retour, pour connaître ses dernières
émotions de hockeyeur, mais aussi pour préparer l’après.
En fin de contrat au terme de la saison, il affirme avoir déjà
pris une décision quant à son avenir, sans pour autant vouloir
la divulguer. Tout juste consent-il à préciser qu’une éventuelle montée en Magnus ne la fera pas évoluer et qu’il se
voit rester à Mulhouse de longues années encore.
comme tous les parents
ils m’ont poussé aussi à
poursuivre mes études
au cas où. Mais pendant
l’été j’ai été passer un
essai à Rouen et cela
s’est bien passé.
Pas étonnant pour celui qui s’est intégré rapidement en Alsace
et ne l’a abandonnée que contraint et forcé. C’était en 2005
après le titre de champion de France, cinq ans après son
arrivée. Et son histoire mulhousienne n’a pas forcément
démarré de la meilleure manière. C’était en 2000. Des premiers
contacts en cours de saison, des discussions, puis plus rien.
“Je n’ai plus eu aucune nouvelle, ils ne m’ont jamais rappelé”.
Plutôt que de temporiser, le défenseur s’engage à Lyon, mais
’aventure tourne court, le club déposant le bilan. Sans club
il arrive finalement à Mulhouse et participe à l’aventure de la
montée. Une première saison pleine, agitée (un changement
d’entraîneur), un titre de vice champion de France (défaite
face à Villard) et une montée en Elite.
On découvre la vie, la
vie sans les parents.
À l’époque il n’y avait
pas de centre de
formation. Je jouais
à la fois en juniors et
séniors. J’ai connu làbas deux années de
reconstruction après leur
dépôt de bilan. Jouer avec PAJONKOWSKI
et PEREZ c’était impressionnant pour moi”.
Le défenseur mulhousien accompagnera saison après saison
les progrès du HCM, ce qui lui permettra de décrocher ses
premières sélections en équipe de France. “Ces sélections
j’aurais pu les connaître avant, mais l’entraineur ne pouvait
pas me prendre, je n’évoluais qu’en D1, je me montrais moins.
Cela a donc pris le temps”. Mais les souvenirs sont toujours
présents, avec les championnats du monde à Zagreb pour
la montée et une descente lors de l’épreuve suivante.
Enaout2005,contraint de quitter l’Alsace il s’exile à Mont-Blanc
(une saison) avant de retourner à Brest son autre club de
cœur.
Avec Mulhouse les choses vont de mieux en mieux et l’année
2005 est marquée d’une pierre blanche. Lilian PRUNET remporte
son premier et seul titre en Ligue Magnus. Il est loin le temps
des débuts, à 5 ans dans sa ville de Megève. “Là bas, à 5 ans
c’est soit le ski, soit le hockey”. Le choix est fait, les débuts
se font déjà en défense et les progrès sont rapides.
Le futur international effectue tout son mineur à Megève,
avant de rejoindre Rouen et de plonger dans l’aventure du
professionnalisme.
“À partir de 14-15 ans je me suis dit je me lance la dedans et
on verra bien. Mes parents ne m’ont pas freiné. C’est sûr que,
Avant son arrivée à Mulhouse il découvrira également Brest un
an, avec un titre de champion de D1.
“J’ai gagné des titres dans les deux, je me sens bien dans
les deux. Je partais là bas pour finir ma carrière, dans une
petite équipe tranquille. Mais le président a monté une
équipe compétitive et à force de jouer le titre tu as envie de
continuer. Et les choses se font rapidement avec un Chriter
ERIKSSON cherchant de l’expérience pour son nouveau groupe”.
Une expérience qu’il continuera de transmettre une fois sa
carrière terminée. “Je vais m’investir dans le mineur, m’occuper
des U 9 pour l’instant. Je veux leur transmettre la mentalité qu’on
avait à Megève”. Celle du plaisir mais aussi, rapidement, de la
pression des résultats. “On était gamins mais rapidement on
comprenait l’enjeu des derbys”. Mais tout cela il le transmettra
dans quelques mois, sa carrière terminée. Q
Gérald HUSSER.
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Le hockey….. Quel engagement !
Les procédures de remise en jeu interrogent souvent les
spectateurs, principalement lorsque l’arbitre interrompt
régulièrement l’engagement pour demander un changement de joueur. Si cela peut parfois agacer le public, il faut
savoir que la procédure d’engagement est très codifiée.
Voici quelques éléments de compréhension.
Il faut tout d’abord savoir que les engagements se font
obligatoirement sur l’un des 9 points prévus à cet effet, marqués sur la glace : 1 au centre, 2 dans chaque
zone attaque/défense et 4 (2x2) en zone neutre devant
chaque ligne bleue.
La prise de possession du palet à l’engagement est bien
entendu un avantage certain pour les équipes et la tension
est très souvent palpable entre les joueurs qui effectuent l’engagement.
Les joueurs doivent se faire face, séparés environ d’une longueur de crosse, et la palette de leur
crosse doit toucher la glace sur la
ngapartie blanche du point d’engagagement. Si un joueur à l’engaagement ne prend pas immédiail
tement sa position alors qu’il
e
en a reçu l’ordre de l’officiel de
jeu, celui-ci peut le faire rem-placer à l’engagement par un
coéquipier présent sur la glace..
Le joueur dont l’équipe est
dans sa demi-patinoire d’attaque, doit placer le premier
sa crosse sur la glace, immédiatement imité par le joueur
de l’équipe à la défense.
Si l’engagement se fait au centre de la patinoire, c’est le
joueur de l’équipe visiteuse qui doit placer en premier
sa crosse sur la glace.
Si un joueur présent à l’engagement ne s’aligne pas
correctement avec les tracés sur la glace, l’officiel peut
le faire changer sans donner d’avertissement préalable.
Cela est bien entendu valable pour les deux joueurs
qui vont se disputer le palet, mais également pour les
autres attaquants. Ceci explique pourquoi l’arbitre jette
toujours un œil derrière lui avant de lancer le palet.
Il arrive donc qu’un joueur qui effectue le “face-off”
puisse être changé pour une faute commise par un de
ses coéquipiers.
Si un joueur présent à l’engagement entre en contact avec
un joueur adverse avant que le palet ne soit jeté, l’officiel
peut le faire changer sans donner d’avertissement préalable.
Il se peut également, que face à l’énervement montré par les
joueurs, l’arbitre deman
demande le changement des 2 joueurs
(exce
(excepté en zones attaque/défense).
En
Enfin, si une deuxième violation de la
pr
procédure d’engagement est constaté
tée, une pénalité mineure doit être
infl
infligée à l’équipe fautive Q
Christian CATIL.
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Le championnat mineur
ment le samedi soir et le dimanche
midi et notre club doit rivaliser d’astuce
pour arriver à programmer toutes les
rencontres.
L’Association de Développement du
Hockey Mulhousien (A.D.H.M) participe
au championnat organisé par la Fédération Française de Hockey sur Glace
Mais cette situation n’est en rien un
au sein de la zone Nord et Est. Cette
frein au développement de notre club.
zone regroupe les ligues au nord
Nous continuerons à nous structurer
d’une ligne qui passe par Caen, le sud
pour faire croître nos effectifs. Et le
de Paris, Dijon et Besançon. Dans cette
club gardera cette même philosophie
zone, l’A.D.H.M fait partie de la conféqui est que chaque jeune de moins de
rence EST avec les clubs de Reims,
13 ans doit jouer. Pour respecter ces
Chalons en Champagne, Metz, Amnéengagements, l’A.D.H.M présentera
ville, Luxembourg, Strasbourg, Colmar,
Equipe U10 engagé au tournoi de Strasbourg.
pour la saison 2012/2013 au minimum
Epinal, Belfort, Besançon et Dijon.
une équipe supplémentaire en catéUn très grand rayon d’action pour un championnat très étoffé, gorie de “moins de 13 ans”. De plus, le club regarde encore
de mi-septembre à mi-avril, soit en 30 semaines, chaque équipe l’opportunité d’inscrire une équipe féminine dans le chamjouera environ 20 à 25 matchs, à cela s’ajoute ensuite les pionnat excellence, avec 3 ans d’avance sur les objectifs
tournois. Les 160 jeunes de 3 à 22 ans de notre club répartis définit en assemblée générale. Comment allons-nous faire ?
en 7 équipes (2 en U9, 2 en U11, 1 en U13, 1 en U15, 1 en U18 et A nous de trouver des solutions en étroite collaboration
1 en U22) sont donc sur le qui vive presque toutes les semaines. avec les services techniques de la ville et de la M2A.
Nous essayons au maximum de neutraliser les périodes de
Depuis 2 ans, le club met un point d’honneur à développer
vacances scolaires, car les parents de nos hockeyeurs ont
le hockey mineur, les premiers résultats arrivent. Ils seront
besoin de se reposer. Il est vrai que si nous demandions aux
suivis, nous en sommes convaincus, des premiers résultats
jeunes scorpions, plus d’un voudrait monter sur la glace
sportifs. L’A.D.H.M a très envie de rivaliser avec les grands
chaque week-end.
clubs formateurs Français Q
De toute façon, nous arrivons pratiquement à saturation des
Yves ROBERT.
créneaux de compétitions. Les matches se jouent essentielle-
Et coté ambiance dans les gradins, comment est-ce ?
Le public de la patinoire de l’Illberg est-il si différent
des autres patinoires en France ? Pour le savoir, pas
besoin d’être une petite souris.
Il suffit en effet de se faufiler
dans les allées et les contreallées de la patinoire pour se
rendre compte, que cette année
le public enflammé, suivant avec
passion les exploits des Scorpions,
s’embrase à chaque exploit de nos
hockeyeurs. Les statistiques établies par la Fédération française,
ne relèvent pas plus d’incidents
de match à Mulhouse que dans
les autres patinoires et ce d’autant
plus que la patinoire de Mulhouse,
contrairement à certains autres
endroits, est, cette saison, particulièrement remplie.
Il faut dire, que les Ultra font à
chaque fois le spectacle avec
leurs chants, leurs cris, leurs encouragements et parfois
leurs banderoles pas toujours de bon goût ! On constate,
ainsi la présence d’un public particulièrement diversifié
en ce qui concerne la pyramide des âges mais homogènes par
l’engouement qu’il développe dès l’arrivée de l’armada des
maillots rouges sur la glace à 17h40 précise.
La patinoire de l’Illberg est redevenue
incontestablement depuis cette saison,
une place “forte” mulhousienne où les
familles, les amis se rencontrent samedi
après-midi. On est souvent attendri ici et là
dans les gradins, par la présence de jeunes
femmes tenant leur bébé dans les bras.
La tribune centrale accueillant les partenaires, certains abonnés privilégiés et
les institutionnels, n’est pas avare des cris
d’encouragement pour les hockeyeurs
mulhousiens.
Il faudrait être vraiment harassé et usé par
le travail d’une semaine épuisante, pour ne
pas vivre avec émotion et passion, le spectacle offert par notre équipe cette année
comme ce pauvre spectateur photographié
à son insu ! Q
S
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Léo FIXANO.
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UN PAS VERS LA BOUTIQUE EN LIGNE…
Vous pouvez désormais commander en ligne
les articles de la boutique des Scorpions !
Pour cela, il vous suffit de vous rendre
à la rubrique de la boutique, sur le site des Scorpions :
http://scorpionsmulhouse.fr/-Boutique-.html
Vous y retrouvez les principaux goodies disponibles.
Vous avez ensuite 3 possibilités pour récupérer votre commande :
Q A la boutique les soirs de match ;
Q Tous les samedis de 12h00 à 13h00 au bureau de l’ADHM ;
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Pour tout renseignement, vous pouvez nous écrire à : [email protected]
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