Régine Chopinot, Umuissi Hnamano / Cornucopiae et le Wetr

Régine Chopinot,
Umuissi Hnamano /
Cornucopiae et le Wetr
Very Wetr !
coproduction / création en résidence
saison
2012 / 2013
dossier
de presse
-
Mer. 27, jeu. 28 février et ven. 1er mars 2013
à 20h30
CONTACTS PRESSE
Centre national de la danse
Direction de la communication,
des publics et du développement
Anne-Sophie Voisin
Cyril Duchêne
1, rue Victor Hugo
93507 Pantin cedex
T 01 41 83 98 12 / 10
[email protected] / [email protected]
© João Garcia
Voyager, rencontrer et « se faire travailler » par d’autres
cultures a toujours été primordial pour Régine Chopinot.
En Nouvelle-Calédonie, elle a fait la connaissance du Wetr,
groupe traditionnel originaire de l’île de Lifou/Drehu qui,
depuis 1992, se réapproprie dans un registre contemporain
des danses et des chants disparus suite à la colonisation
française.
CENTRE NATIONAL DE LA DANSE
Président du Conseil d’administration :
Jean Gautier
Directrice générale :
Monique Barbaroux
1, rue Victor Hugo 93507 Pantin cedex
T 01 41 83 98 98 - F 01 41 83 98 99
www.cnd.fr - [email protected]
RÉGINE CHOPINOT
Depuis 2008, une nouvelle structure, Cornucopiae - the independent dance,
porte tous les travaux, créations comme répertoire, de Régine Chopinot, qui a
choisi en 2011 le port de Toulon pour y vivre et travailler.
Depuis 2009, la chorégraphe s'aventure, questionne et approfondit sa
recherche du corps en mouvement en lien avec la force de la parole auprès de
cultures organisées par et sur la transmission orale, en Nouvelle-Calédonie, en
Nouvelle-Zélande et au Japon. En 2012, la relation privilégiée initiée depuis
2009 avec Le Wetr (qui se prononce « Ouetch » et qui veut dire « pays »), troupe
de danseurs et chanteurs dirigée par Umuissi Hnamano, aboutit à la création
de Very Wetr ! au Festival d'Avignon.
CONTACTS COMPAGNIE
Cornucopiae the independent dance
26, rue Gimelli
83000 Toulon
France
+33 (0)494 876 908
Administration :
+33 (0)669 709 744
[email protected]
www.cornucopiae.net
La chorégraphe travaille actuellement sur PacifikMeltingPot, une nouvelle
création danse-musique avec quatorze artistes du Pacifique Sud et du Japon :
suite à une résidence à Auckland en décembre 2012, trois étapes sont en train
d’être élaborées avec des résidences au Japon, Nouvelle-Calédonie, et en
France pour une finalisation en 2014.
DOSSIERS DE PRESSE ET PHOTOS EN TÉLÉCHARGEMENT
DEPUIS NOTRE SITE INTERNET : WWW.CND.FR
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procurant un login et mot de passe auprès de la Direction de la communication,
des publics et du développement :
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[email protected]
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spectacle — cnd / grand studio
Mer. 27, jeu. 28 février et ven. 1er mars 2013 à 20h30
Régine Chopinot, Umuissi Hnamano /
Cornucopiae et le Wetr
Very Wetr !
tarif : 18 €, tr : 14 € –
abonné/ee cnd : 12 €, tr : 10 €
coproduction
création en résidence
un projet de cornucopiae et du wetr
DANSE, CHANT ET MUSIQUE
qane angajoxue, monu draikolo,
hawe hnaije, umuissi hnamano,
wemo hnamano,
drengène hnamano,
tewie hnawang, milie milie,
zelue sailuegeje, ixepe sihaze,
epiätre wawine, régine chopinot
LUMIÈRE
maryse gautier
SON
nicolas barillot
COSTUMES
jean-paul gaultier
© João Garcia
Une création co-signée par Régine Chopinot et Umuissi Hnamano.
Pour Very Wetr !, création en six tableaux, on retrouve sur scène Régine Chopinot
et onze artistes du Wetr (prononcer « Ouetch »), hommes et femmes Kanak de
tous âges, dans un engagement physique à la fois savant et généreux. L’éternel
complice Jean-Paul Gaultier signe les costumes, bel équilibre entre les tutus en
pandanus et les vêtements de ville.
PLATEAU
fabrice barbotin
tapis de sol de VÉGÉTAL
andy goldworthy prêté gracieusement
par le musée gassendi de digne.
CITATIONS SONORES ET MUSICALES
maria callas (in APPEL D’AIR, 1981),
andré serré (in KOK, 1988),
knud viktor (in VÉGÉTAL, 1995),
richard maxwell (I’M FEELING
SO EMOTIONAL, 2004)
Very Wetr !
Sur le plateau, nous sommes douze. Onze personnes du Wetr et moi. Femmes et
hommes, tous les âges sont présents, des « anciens » comme moi jusqu’aux
jeunes de 20 ans. Depuis leur enfance, tous les membres du Wetr ont appris à
danser, chanter et s’accompagner de petites percussions végétales, de coussins
de feuilles de coco tissées, mais aussi de gros bambous à sonorité grave et
sourde. Traditionnellement, ce sont les anciens qui chantent et les jeunes qui
dansent. Pour Very Wetr !, je leur ai proposé de modifier leurs habitudes. Ils ont
envisagé ces changements avec ouverture et tranquillité. Leurs danses sont
toujours accompagnées et rythmées par des frappés de pieds sur le sol qui
amplifient une sensation de force et de précision. Leur engagement physique
est à la fois savant et généreux, mobilisant librement et dynamiquement tous
les champs des articulations du corps. Chaque regard est écrit dans des
orientations multiples et complémentaires aux mouvements… Leurs chants sont
polyphoniques. Ils tissent leurs voix, circulant entre les modes, majeurs, mineurs,
les assonances et les voix de tête sont là pour nous tenir éveillés et reprennent
bande sonore réalisée à partir
d’entretiens avec umuissi hnamano
durée : 72 min.
www.cornucopiae.net
01 41 83 98 98
[email protected]
www.cnd.fr
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spectacle créé le 9 juillet 2012
au cloître des célestins, avignon.
PRODUCTION
cornucopiae - the independent
dance
COPRODUCTION
festival d’avignon, centre
national de la danse (pantin),
centre culturel tjibaou (nouméa).
avec le soutien du feac
-
fonds
d’aides aux échanges artistiques
et culturels pour l’outre-mer,
de l’institut français, de la région
provence-alpes-côte d’azur, du
groupe du wetr, du théâtre liberté
de toulon, du cncdc chateauvallon
et de la province des îles loyauté.
© João Garcia
cornucopiae - the independent dance
est subventionnée par le conseil
à l’unisson une mélodie simple où toutes les hauteurs de voix s’harmonisent.
Leurs paroles jonglent avec le drehu et le français.
Jean-Paul Gaultier a trouvé le bel équilibre entre les tutus en pandanus et les
vêtements de ville. Les fidèles et complices de longue date, Maryse Gautier pour
la lumière et Nicolas Barillot pour le son, sont à mes côtés pour continuer à tenter
d’innover. Je réalise que, pendant toutes ces expériences vécues si loin d’ici, je
n’ai cessé de préciser et de mettre en place le schéma d’une pièce qui voit un de
ses aboutissements s’exprimer ici. Avec Le Wetr à mes côtés, le résultat [est]
joyeux et Very Wetr ! »
général du var, la communauté
d’agglomération toulon provence
méditerranée et est conventionnée
par le ministère de la culture et de
la communication - drac provencealpes-côte d'azur.
Le travail avec Le Wetr
Depuis mes débuts de chorégraphe en 1978, je travaille avec obstination de la
même manière. Intuitivement, me tenant à l’écart de toute attitude conceptuelle,
je me reconnais du côté de l’empirisme pour chercher et créer. Loin des lignes
droites et des certitudes, je compose avec les tours et détours, les zigzags du
doute que j’apprivoise en parallèle à mes peurs. Depuis 2009, chaque année, je
suis allée deux fois par an à la rencontre du Wetr. Comme dans n’importe quelle
situation, le plus délicat, le plus long a été d’instaurer une relation de qualité,
d’exigence et de confiance. Il vaut mieux être patient, méthodique pour aller à la
rencontre de l’inconnu. Sûrement, avec douceur et précision. Se donner le temps
de « renifler », de « humer ». Je suis dans le dynamisme de l’écoute. Travailler à
l’extérieur, sans lieu dit, nomades, à la recherche des différents supports
topologiques : cailloux, arbres, dénivellations, cours d’eau qui sont les supports
de cette mémoire active. Ainsi, nous avons collecté des matériaux dansés, joués,
parlés puis avons fait le tri, pour ensuite organiser une forme souple susceptible
d’être montrée ponctuellement en fonction du lieu et de la météo ! Une partition
évolutive sur le temps et la durée, avec les allers-retours et la relation qui s’affine.
[...] Cette partition s’est enrichie par les sessions faites en parallèle au Japon et en
Nouvelle-Zélande qui sont les autres endroits où je questionne la force de la
parole dans la transmission orale. Au retour en France, avec Nicolas Barillot (son)
et João Garcia (images) qui m’accompagnent à chaque voyage, nous avons
réalisé et monté différentes traces sonores et visuelles (photos, films).
Régine Chopinot
01 41 83 98 98
[email protected]
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Dates de tournée :
24 mars 2013
Lifou (Nouvelle-Calédonie)
28, 29 et 30 mars 2013
Nouméa, Centre Tjibaou
(Nouvelle-Calédonie)
© João Garcia
Extraits d’un entretien avec Umuissi Hnamano
(...) Ce qui fait qu’une danse est traditionnelle par rapport à d’autres formes de
danse, c’est son caractère sacré. On ne danse pas n’importe quoi, n’importe
comment. Lorsque nous nous apprêtons à partir pour danser, que ce soit chez
nous ou dans une manifestation extérieure, on fait les gestes qu’il faut pour
demander la bénédiction de l’esprit afin que celui-ci nous accompagne.
L’expression de la danse, ce que le public voit, c’est le fruit de toute une
préparation rituelle. La danse commence, pour nous, bien avant que nous
soyons sur scène, ici ou ailleurs. Le grand chef Paul Sihaze, qui n’est plus, nous
disait toujours, lorsque nous nous apprêtions à partir pour nous produire loin de
chez nous, comme en Amérique, que nous étions comme le cerf-volant et qu’il ne
fallait jamais oublier le lien qui nous rattache à notre terre et à nos racines. (...)
Lorsque des non Kanak cherchent à imiter notre façon de danser, cela me gêne
un peu, mais qu’ils s’en inspirent dans le respect de la culture Kanak relève pour
moi d’une notion de partage entre nous.
Umuissi Hnamano
Mwà véé n° 70, journal de l’ADCK (Agence de développement de la culture Kanak), 2010
© G. del Rio
Une transmission ancestrale adaptée au monde moderne
« La danse traditionnelle, un art au quotidien.
Autrefois aux connotations guerrières, strictement réservées aux hommes, les
danses traditionnelles Kanak sont devenues le symbole de tout un art au quotidien
et forment une grande variété de postures et de rythmes. Transmises dans la tradition
orale, de génération en génération, ces expressions corporelles se sont transformées
en moments de joie et de partage notamment dans les célébrations de rites sociaux.
Au fil du temps, les femmes ont trouvé toute leur place aujourd’hui dans la pratique
de cet art. La troupe du Wetr, qui s’identifie davantage à “un collectif qu’à une compagnie de danse”, a toujours su préserver ce patrimoine artistique Kanak à travers
des créations mêlant culture originelle et celle ouverte sur le monde. Là où la
danse était seulement la représentation d’une cérémonie, elle occupe aujourd’hui
un espace différent, pour stimuler la découverte auprès du public ou encore pour
échanger avec d’autres formations artistiques. »
Umuissi Hnamano
01 41 83 98 98
[email protected]
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Régine Chopinot
En trente années de carrière, Régine Chopinot a vécu l’éclosion
(les années 1970), le développement (les années 1980), l’institutionnalisation (les années 1990) et la commercialisation (les années 2000)
de la danse contemporaine. Elle a, depuis la France, activement
participé à l’écriture des deux premiers chapitres de l’histoire encore
brève d’un art nouveau. Mais elle n’a cessé de s’opposer au déroulement
des deux suivants, dirigeant de 1986 à 2008 l’un des grands centres
chorégraphiques nationaux français (le CCN de La Rochelle) et refusant
toujours et pour autant d’engager ses forces créatives sur des voies
trop balisées.
Après sa longue association avec le créateur de mode Jean-Paul Gaultier,
elle se passionne à partir des années 1990 pour des expériences
de confrontation de la danse contemporaine aux éléments et aux
rythmes naturels et de sa mise à l’épreuve de pratiques et de sciences
© João Garcia
du corps anciennes et complexes, telles que le Yoga.
En 2002, elle ouvre le Triptyque de la Fin des Temps, une longue remise en cause de l’écriture et de la
création chorégraphique conséquente à une mise en crise volontaire des notions générales de temps,
de mémoire et de construction. La pièce Chair-obscur s’est tournée vers un effacement du passé, de la
mémoire et WHA vers la disparition du futur. O.C.C.C. se préoccupait du « temps qui reste », de ce qu’il
reste à faire, ce qui peut être fait encore, à l’endroit simple et essentiel de la représentation.
En 2008, Cornucopiae, la dernière pièce proposée au sein de l’Institution, signait la fin d’une forme
de représentation et ouvrait vers une autre proposition de perception sensorielle.
La même année, Régine Chopinot crée Cornucopiae – the independent dance, la nouvelle structure
qui porte désormais tous les travaux de Régine Chopinot (création et répertoire). En 2010, elle choisit
le port de Toulon pour y vivre et y travailler.
Depuis 2009, la chorégraphe s’aventure, questionne et approfondit sa recherche du corps en mouvement
en lien avec la force de la parole dans la transmission orale, en Nouvelle-Calédonie, en NouvelleZélande ou encore au Japon. En 2012, la relation privilégiée initiée depuis 2009 avec Le Wetr de
Drehu/Lifou, aboutit à la création de Very Wetr ! au Festival d’Avignon.
La chorégraphe travaille actuellement sur PacifikMeltingPot, une nouvelle création danse-musique
avec quatorze artistes du Pacifique Sud et du Japon.
Principales pièces chorégraphiques de Régine Chopinot :
> Jardin de pierres (1978)
> Ma grand’mère Hippocampe (1978)
> Pierre dans l'eau (1979)
> L’Origine des poissons (1979)
> Reflux (1979)
> À réaction (1980)
> Halley’s Comet (1981)
> Appel d’air (1981)
> Grand Écart (1982)
> Simone Popinot (1982)
> Swim One (1982)
> Délices (1983), création pour huit danseurs et comédiens
> Via (1984), création pour cinq danseurs
> Les Rats (1984), création pour les danseurs du Groupe de Recherche
Chorégraphique de l’Opéra de Paris (GRCOP)
> Fred le bordel (1985), création pour quatre danseurs
> Rossignol (1985), création pour neuf danseurs au CNDC d'Angers,
costumes de Jean-Paul Gaultier
> Le Défilé (1985), création pour seize danseurs, comédiens et
mannequins
> À la Rochelle, il n’y a pas que des pucelles… (1986), création pour
neuf danseurs
> K.O.K. (1988), création pour quatre danseurs, un comédien, une
chanteuse et un pianiste
> Transport (1989), création pour quatre danseurs
> Ana (1990), création pour dix-neuf danseurs
> Saint-Georges (1991), création pour douze danseurs
> Façade (1993), création pour onze danseurs, un récitant et un
orchestre
> Soli – Bach (1994), création pour dix danseurs. Vêtements choisis
dans les collections de Jean-Paul Gaultier
> Végétal (1995), création pour quinze danseurs, décor de l’artiste
Andy Goldsworthy
> Colonne (1997)
> Paroles du feu (1997)
> Les Quatre Saisons (1998)
> Chant de lune (1999)
> La Danse du temps (1999)
> Trans(E) (2000)
> Moi Monstre (2000)
> Chair-Obscur (2002)
> Le Sentiment océanique (2002)
> Non (2003), nouvelle version de Chant de lune
> W.H.A.(Warning Hazardous Area) (2004), création pour dix danseurs.
Vêtements choisis parmi les costumes réalisés par Jean-Paul Gaultier
pour les ballets antérieurs
> Les Garagistes (2005)
> O.C.C.C (2006)
> Cornucopiae (2008)
> L’oral de la danseuse aveugle (2010)
> Very Wetr ! (2012), création pour douze danseurs (Régine Chopinot
et onze membres du Wetr − Nouvelle-Calédonie), costumes de
Jean-Paul Gaultier
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Le Wetr
© João Garcia
Depuis 1992, Le Wetr réunit des femmes et des hommes de
tous âges, originaires du district du Wetr sur l’île de Lifou
en Nouvelle-Calédonie. Il y a vingt ans, leur objectif était
de retrouver, de se réapproprier les danses, chants et
musiques disparus suite à la colonisation française. Autour
de la Coutume, acte fondateur de la société et de la culture
Kanak, tout se transmet de génération en génération par
l’oralité. Aujourd’hui, les « anciens » ont à cœur de léguer
aux plus jeunes une tradition ouverte et non figée. Leur art
est vaste, sophistiqué et puissant.
Régulièrement invité dans le Pacifique, en Asie, aux États-Unis
et en Europe, Le Wetr participe activement au renouvellement
de l’imaginaire du Pacifique Sud, loin des clichés.
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mise en ligne — courant février 2013
Collection Chopinot sur numeridanse.tv
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de créations chorégraphiques et cinématographiques. Retrouvez Régine Chopinot
revenant largement sur son travail, ses nombreuses collaborations, ses sources
d'inspirations et ses engagements. Parcourez la carrière de cette grande chorégraphe, des premières œuvres du début des années 1980 (Halley's comet, Délices, Via,
Swim one), jusqu’à Very Wetr !, sa pièce la plus récente. Voyagez à travers des pièces
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Végétal, W.H.A., O.C.C.C., L'Oral de la danseuse aveugle...) et découvrez des projets plus
intimes (Chant de lune, Trans(e), Sous la peau, Moi Monstre, Indépendance n°1).
01 41 83 98 98
[email protected]
www.cnd.fr
7
informations pratiques
VENIR AU CND PANTIN
1, rue Victor Hugo 93507 Pantin cedex
EN TRANSPORTS EN COMMUN
> métro ligne 5, station Hoche (direction Bobigny).
> rer e, station Pantin (depuis Paris, direction Villiers-sur-Marne ou Chelles-Gournay, Zone 2).
> bus 170, station Centre national de la danse, 15 minutes depuis la Porte des Lilas.
> bus 151, station Centre national de la danse, 10 minutes depuis la Porte de Pantin.
> tram t3b, arrêts Ella Fitzgerald − Grands Moulins de Pantin ou Delphine Seyrig.
EN VOITURE
> porte de pantin, le CND est à 2 minutes environ. Coordonnées GPS : N 48° 53’ 43.1556” / E 2° 24’ 7.6134”
À PIED OU À VÉLO (PISTE CYCLABLE)
> 10 minutes du Parc de la Villette, par les berges du canal de l’Ourcq.
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