Édition mai 2010 - Pensionnat du Saint-Nom-de

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Édition mai 2010 - Pensionnat du Saint-Nom-de
Parents
Contact
Mai 2010
Une première au PSNM . . . la fête de mi-parcours!
Chantal Gobeil
Bulletin de
l’Association
des Parents du
Pensionnat
du Saint-Nom-deMarie
Vol. XIII, n° 2
Le 27 janvier, à 11 h 50, les élèves de la
3e secondaire ont été « convoquées » au
gymnase par leur directrice de niveau,
Anouk Martel. Plusieurs élèves
s’attendaient à l’annonce d’un nouveau
règlement, peut-être un nouveau code
vestimentaire, mais certainement pas à
une fête!
À leur grande surprise, madame
Martel leur a expliqué,
qu’aujourd’hui, elles étaient à la miparcours de leur secondaire. Qu’elles
avaient franchi le 450e jour des 900
jours du secondaire. Ensuite, les
responsables de classe ont présenté
un spectacle relatant quelques
souvenirs de leurs premières années
au PSNM. La fête s’est poursuivie
avec la remise d’un mini-album pour
des autographes, d’une prise de photo
individuelle de « demi-finissante » et
d’un dîner.
Puisque c’était la première année que
nous organisions cette fête, nous
avions décidé de la garder secrète.
Seules les responsables de classe (une
quinzaine de filles) étaient au courant.
…Suite page 8
Un président marquant! Merci Monsieur Bouchard!
Réunions de
l’APPSNM
Tous les parents du
PSNM sont invités à se
joindre à nous, à
19 h 30, à la salle
d’activités du PSNM.
Dates :
17 mai 2010
9 septembre 2010
[email protected]
Tous les parents du Conseil
d'administration de
l'Association de parents du
PSNM (APPSNM) tiennent à
souligner l'apport
exceptionnel du président,
M. Étienne Bouchard.
Il termine son implication à
l'APPSNM avec l'envolée de
sa deuxième fille vers le
collégial l'an prochain. M. Bouchard a non
seulement participé à l'APPSNM depuis 7
ans, mais il a également accepté d'assumer
la présidence au cours de cette même
période. Il a toujours su mener les
délibérations du conseil avec tact,
efficacité et détermination.
Jamais en manque d'énergie et d'idées
nouvelles, M. Étienne Bouchard a mis de
l'avant plusieurs initiatives dont la danse
de l'APPSNM, qui se tient habituellement
deux fois par année, en plus de diverses
propositions de financement d'activités
par l'APPSNM pour le bénéfice de toutes
les élèves. Il a écrit régulièrement des
articles pour le journal Parents Contact et
a défendu avec vigueur l'enseignement
privé et la sécurité aux abords de l'école. Il
a représenté l'APPSNM à de nombreuses
reprises, notamment lors de la remise de
prix destinés aux élèves et lors de
l'inauguration du Café 144 .
M. Bouchard, nous saluons votre
engagement et votre dévouement pour
l'APPSNM. Nous vous en sommes très
reconnaissants.
Jeunes Démocrates à Québec : Qui l’eût cru!
Les 16, 17 et 18 avril derniers, seize
élèves du Pensionnat Saint-Nom-deMarie ont participé au tournoi des
Jeunes démocrates, à Québec. Les
élèves étaient logées à l’hôtel le
Concorde, situé à cinq minutes du
Parlement et de la porte Saint-Louis,
aux abords du vieux Québec. Les
participantes ont, dès leur arrivée, eut
la chance de visiter le Parlement en
compagnie d’un guide, visite qui fut
fort appréciée. En effet, elles ont pu
poser des questions et en apprendre
davantage sur la politique québécoise
et sur l’hôtel du Parlement, une
catégorie de questions posées au
tournoi le lendemain. Puis, les
participantes ont eu l’occasion de
marcher dans le vieux Québec,
d’observer les vestiges de notre
patrimoine culturel, les statues des
personnages marquants de notre
histoire, et même le nom des rues, le
passé étant omniprésent dans la
capitale de notre province.
C’est le samedi matin qu’a commençé
le tournoi se déroulant au petit
séminaire de Québec, la première
école d’Amérique du Nord. Le
concours Jeunes démocrates consiste
en un questionnaire composé de
plusieurs séries de questions dont les
thèmes sont axés autour de l’histoire et
de la politique et qui se divisent en
plusieurs catégories. Par exemple, le
thème de cette année, La révolution
tranquille, était une catégorie
récurrente durant le tournoi, les
questions portant sur les événements
importants de cette période charnière
pour le développement du Québec et
sur les acteurs principaux qui prirent
part à ces changements. Dans les
catégories Mot caché, les élèves
doivent réorganiser des lettres
mélangées en un terme correspondant
à un thème donné. Ainsi, dans une
catégorie où les mots cachés
porteraient sur les premiers ministres
du Québec, les lettres
2
Dominique Laperle
« eerlbitinroledyjlo » seraient associées
à celui qui fut premier ministre du
Québec de 1878 à 1879, soit Joly de
Lotbinière. Les autres catégories
étaient : histoire du vingtième et vingtet-unième siècle, histoire de l’antiquité,
politiques québécoise et canadienne,
identification d’un personnage, termes
parlementaires, capitale du Québec,
etc.
Ainsi, les élèves doivent répondre à des
questions variées qui enrichissent leur
culture personnelle et les aident à
comprendre le fonctionnement de
notre système parlementaire. Faire
partie des Jeunes démocrates
encourage aussi les participantes à
toujours être alertes face aux enjeux
nationaux et internationaux, faisant
d’elles des citoyennes éclairées,
capables de discuter des grands débats
de l’heure et du futur. Par contre, les
intéressées doivent être averties que
joindre les Jeunes démocrates est un
engagement qui nécessite du temps et
du travail. En plus de participer aux
séances de pratiques hebdomadaires,
de longues heures doivent être dédiées
à l’étude de documents et de listes de
premiers ministres, de présidents, de
députés, etc. Une lecture attentive des
quotidiens ou l’écoute des nouvelles est
également un élément essentiel pour
étendre ses connaissances. Une très
bonne mémoire est requise pour s’en
souvenir.
Malgré tout le travail préparatoire, les
élèves ont chacune ressenti que l’effort
en valait largement la chandelle.
L’expérience de ce séjour à Québec fut
l’aboutissement d’une année d’attente
nerveuse qui a confirmé la passion des
participantes pour l’activité Jeunes
démocrates. En plus d’apprécier
l’ambiance générale, chaleureuse,
dynamique et positivement
compétitive, les élèves ont enfin pu se
mesurer à des jeunes qui partageaient
leur passion pour l’histoire et la
politique.
Parents Contact
Jeunes démocrates a aussi été
l’occasion pour les jeunes filles de se
rapprocher les unes des autres et de
créer des liens entre la 4 e et la 5e
secondaire, et entre les anciennes qui
continuent au cégep dans les équipes
de Brébeuf, André Grasset,
Marianopolis, etc qui viennent
encourager leur héritières. Les
professeurs accompagnateurs
encadrent aussi les élèves et c’est une
chance pour ces dernières de voir leurs
enseignants sous un autre jour, de
créer des liens de confiance et de
respect entre mentor et pupille.
En effet, l’ambiance de fraternité qui
se crée à Québec dans les équipes est
une raison à part entière de vouloir
faire partie de la famille des Jeunes
démocrates. Le Pensionnat du SaintNom-de-Marie s’est d’ailleurs illustré
en se rendant aux quarts de finale et
en se qualifiant à quelques points des
demi-finales. En bout de compte, la fin
de semaine du tournoi fut une
expérience enrichissante et
valorisante, une chance exceptionnelle
rendue plus facile par le soutien de
l’Association de parents à qui les
élèves du Pensionnat du Saint-Nomde-Marie disent sincèrement merci.
L’intellectuELLES et Coup d’œil :
deux fenêtres sur le monde de vos filles
Anouk Martel
La deuxième édition du journal
étudiant « L’intellectuELLES » s’est
vendue comme des petits pains
chauds! Pourquoi? Nous croyons que
le spécial LES VRAIES années 80 de
cette édition a poussé de nombreuses
lectrices à se procurer un exemplaire.
Peut-être est-ce aussi pour bien rigoler
en regardant les photographies de
plusieurs membres du personnel lors
des années 80. Vous trouverez cette
édition sur le portail du PSNM.
Grâce à « Coup d’œil », un bulletin
disponible sur le portail du PSNM,
vous pourrez découvrir la richesse et la
variété des activités étudiantes de
l’École.
Mai 2010
3
Brigitte Rousseau sélectionnée comme
« Jeune Journaliste » au Jeux Paralympiques
Dans le cadre d’un concours organisé
par Rencontres du Canada, Brigitte
Rousseau, de la 4e secondaire, a été
choisie avec 40 élèves à travers le
Canada pour assister aux Jeux
paralympiques de Vancouver. Ce
concours faisait partie d’un projet issu
d’une collaboration entre l’Institut
Historica-Dominion et le portail
scolaire canadien en ligne des Jeux,
créé par le Comité d’organisation des
Jeux olympiques et paralympiques
d’hiver de 2010 à Vancouver
(COVAN).
Les candidats choisis ont assisté à des
compétitions sportives et à des
activités culturelles. Ils ont aussi joué
aux « jeunes journalistes » en faisant
la couverture de certains événements
selon leur point de vue. Une rare
occasion!
Pour Brigitte, la magie a commencé
avec le relais de la flamme dans le
centre-ville, au Robson Square, où elle
a même pu voir Roberto Luongo, le
gardien de l’équipe canadienne
masculine de hockey, un joueur qu’elle
admire beaucoup. Par la suite, elle a
été éblouie par les cérémonies
d’ouverture, lesquelles ont été des plus
inspirantes.
Brigitte, tout comme les autres jeunes,
a eu l’opportunité d’assister aux
matchs de curling en fauteuil roulant
ainsi qu’à ceux de hockey sur luge.
« Même si quelques modifications sont
apportées à ce sport (hockey sur
luge), le jeu reste aussi captivant pour
l’audience et physiquement
demandant pour les athlètes », selon
Brigitte, tel qu’elle le mentionne dans
son texte intitulé ‘‘Hockey sur glace vs
hockey sur luge’’, qu’elle a rédigé lors de
son séjour. Elle conclut alors son texte
de la sorte : « Espérons que la flamme
intérieure qui a allumé le peuple
durant le hockey des Olympiques
saura habiter de nouveau les cœurs
des Canadiens pour supporter notre
équipe de hockey sur luge. »
Monica Schwalbe
Ginette Leduc
De plus, elle a témoigné d’une
ambiance festive à Vancouver bien que
l’ampleur des Jeux paralympiques ne
soit pas comparable à celle qu’avaient
eue les Jeux olympiques dans la ville.
Même si, selon Brigitte, la couverture
médiatique des Jeux paralympiques
n’a pas rendu justice aux athlètes
impliqués, elle reste tout de même
optimiste face au développement et à
la médiatisation que connaîtront les
Jeux paralympiques dans un avenir
proche.
Finalement, ayant été accueillie par
une famille des plus chaleureuses
vivant au sud de Vancouver, Brigitte
retient de cette expérience des
moments aussi touchants
qu’inoubliables, en plus d’avoir tissé
des liens d’amitié avec d’autres jeunes
provenant de partout au Canada.
Vous pouvez consulter les articles
écrits par les jeunes sur le site web
suivant : www.fyicanada.ca; à gauche
de la page, cliquez sur « Institut
Historica Dominion »; ensuite, en
haut de la page, cliquez sur « Ta
tribune »; au milieu de la page, à
droite, vous pouvez cliquer sur
« Historica-Dominion aux Jeux »
pour limiter les résultats.
4
Parents Contact
Anouk Martel
CONGRÈS CARRIÈRES PSNM 2010
Mme Lorraine Pintal,
Conférence d’Ouverture
CONFÉRENCIERS
M. Bernard Letendre
M. Michel Nadeau
Mme Karine Amyot
Mme France Jolicoeur
M. Martin Leclerc
Mme Jocelyne Vo
Directrice générale du
Théâtre du Nouveau
Monde
Industrie des services
financiers
Ingénieur
Médecin spécialiste
Entrepreneure
Producteur musical
Dentiste
Mme Mireille Deyglun
Dr Dominique Garrel
Mme Marie-Pascale Lalonde
Mme Andrée Castegnier
Comédienne
Mme Dominique Langelier
Organisatrice
d’événements
Dre Élaine Debien
Mme Sophie Desaulniers
Dre Christine Bovo
Me Louis Dumont
Dre Anique Ducharme
Mme Alejandra Cifuentes Diaz
Vétérinaire
Dre Patricia Egerszegi
Mme Fiona Hanley
Mme Élisabeth Filion
Mme Nadja Décarie
Chirurgie plastique
Médecin chercheur
Urbaniste
Architecte
Plusieurs filles de la 4e secondaire ont
signifié que les ateliers offerts étaient
fort intéressants et inspirants. Celles-ci
sont ressorties de ces ateliers avec des
rêves concrets en tête de ce qu’elles
pourraient faire comme métier plus
tard. L’organisation du Congrèscarrières a atteint son objectif! Elle
tient à remercier l’Association de
parents du PSNM pour son soutien
financier et pour le geste
d’encouragement qui a amené
plusieurs jeunes à se découvrir une
passion.
Commerce
Dentiste
Avocat
Cardiologue
Pianiste interprète
Infirmière
Écrivaine
Communication
Médaille d’argent au MusicFest Québec
Emmanuel Ouimet
Le 17 mars dernier, les élèves de la
deuxième secondaire inscrites en option
musique ont remporté la médaille d’argent
au concours provincial MusicFest Québec.
C’est la première fois que des élèves du
Pensionnat du Saint-Nom-de-Marie
participent à ce type de concours
d’envergure et nous sommes très fiers de
la performance de nos jeunes
musiciennes.
Les élèves ont aussi eu la chance de jouer à
la Place des Arts le dimanche 9 mai 2010.
Mai 2010
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Facebook et Twitter 101
Retour sur la conférence de Dominic Arpin
FACEBOOK? Deux millions de membres
au Québec, 300 millions dans le monde.
Une nouvelle façon de socialiser. Un
phénomène culturel important. Un site de
réseautage social qui rassemble des
personnes, proches ou inconnues, et ce, à
la grandeur de la planète. Mais d’où vient
Facebook? Ce « success story » est né à
l’université de Harvard en février 2004
lorsque des étudiants ont décidé de créer
un service en ligne pour faciliter la
communication entre eux pour monter
leur album-photos de finissants. Ce service
est vite devenu un réseau accessible aux
autres universités américaines. C’est
depuis 2006 qu’il est ouvert à tous, sans
frais. Qui dans la salle possède sa propre
page Facebook? demande M. Arpin. Le
tiers des parents ont répondu oui. Leurs
enfants? Presque Tous.
À l’aide de son portable et sur grand écran,
M. Arpin nous présente sa propre page. Il
tape à ses « amis » qu’il est en train de
donner une conférence dans une école.
Puis, il nous présente, étape par étape, la
façon de faire. Il faut d’abord s’inscrire,
taper son adresse courriel et un mot de
passe. Puis, vous créez votre page
personnelle (profil), un genre de babillard
sur lequel vous placez en ligne tout ce que
vous voulez, vos renseignements
personnels, ce qui vous identifie, des
photos, des textes, de la musique, des
vidéos, etc. Mais, attention! Tout le monde
peut visiter votre page personnelle, à
moins de limiter votre profil aux groupes
de personnes que vous choisissez.
Un peu plus tard dans la soirée, on voit
apparaître à l’écran plusieurs
commentaires des « amis » de M. Arpin
qui répondaient à son message du début.
Un de ces derniers s’est tout de suite
manifesté pour lui reprocher de manquer
de respect et d’avoir du front d’oser écrire
à d’autres pendant qu’il donnait une
conférence…! Toutes ces personnes lui
faisaient leurs propres remarques, soit
pour le féliciter, soit tout simplement pour
le saluer.
Lise Hénault
Novice en la matière, j’ai demandé à ma
fille au retour de la conférence de me
céder le clavier et de revenir à la page
d’accueil. Je fais quoi là? Bien tu entres
dans le site. Comment? Tu tapes l’adresse.
Quelle adresse? Bien… facebook.com. Et
après? (J’ai droit à un premier soupir!).
Tu tapes ton e-mail et ton mot de passe.
Mais tu dois être inscrite d’abord. Comme
je ne le suis pas (et ne veux pas l’être), elle
prend ma place. J’écarquille les yeux
(mais pas trop!), c’est personnel! J’y vois
plein de commentaires de ceux avec qui
elle est « amie ». Ton mood? What’s on
your mind? C’est la question qui apparaît
d’entrée de jeu. Tu peux aussi t’chatter à
droite de l’écran si tu veux. Pis… c’est ça.
C’est ça quoi? Bien, tu dis comment tu te
sens maintenant. Qu’est-ce que tu fais?
Comme quoi? (deuxième soupir!). Tu
réponds, t’écris quelque chose, ce que tu
veux. Comme quoi? Ah, maman!
(troisième et dernier soupir). Ah! Ah! Ah
maman! Laisse faire! La leçon s’arrête ici.
Je n’insiste pas plus. Je vais moi-même
relire mes notes que j’ai prises à la
conférence et l’excellent résumé que M.
Arpin a préparé pour nous.
Mais il y a moyen d’effectuer certaines
opérations pour garder un contrôle dans la
divulgation de renseignements personnels
et d’adopter un comportement le plus
sécuritaire possible. Les personnes se
servent de Facebook pour publiciser leur
vie sociale, pour se prouver aux autres,
pour se créer un réseau d’échanges, etc. Ils
y mettent des photos, toutes sortes de
photos. Les applications sont illimitées, il y
a aussi une tonne de jeux de tous genres.
Et, ajoute-t-il, c’est incroyable les choses
intimes qui se publient à la grandeur de la
planète! Vous pouvez avoir un réseau qui
comprend 5000 amis (le maximum); la
moyenne est de 130 chez la plupart des
jeunes (sa fille en compte personnellement
240).
Le danger pour les jeunes, souligne M.
Arpin, est de trop s’exprimer, de trop se
dévoiler.
6
Parents Contact
À ce sujet, M. Arpin met en garde les
parents qu’une fois que quelque chose est
publiée, on en perd immédiatement le
contrôle, et avec toutes les choses intimes
qui se publient, c’est aussi la réputation de
la personne qui peut être en jeu. Il est
fortement déconseillé de donner le nom de
son école, son adresse physique, le lieu de
son travail, etc., personne ne sait l’usage
qu’il en sera fait. N’importe qui peut
publier une photo; on dit dans le langage
« Tagger les photos », vous cliquez sur
n’importe quel visage et vous pouvez
l’identifier à votre propre nom, vous
l’approprier.
Il est important de savoir qu’il existe des
moyens de prendre le contrôle de votre
compte Facebook en gérant les différents
paramètres liés à la confidentialité des
renseignements et des applications.
L’accessibilité peut être limitée, par
exemple en cliquant « seulement mes
amis », et ce, pour toutes les fonctions
(informations générales, statuts, photos,
vidéos,
messages,
informations
professionnelles, etc.). C’est la forme la
plus sécuritaire. M. Arpin a souvent
répété au cours de la soirée que tous ces
gestes sont numériques et, de ce fait, qu’ils
se propagent rapidement. Il importe avant
tout de bien sécuriser sa page. Mettez vos
enfants au courant des paramètres de
confidentialité à respecter, des bonnes
cases qu’il faut cocher pour bloquer
certaines applications. Ce n’est pas tout le
monde qui sait que cela est possible.
Discutez-en avec eux. Si des problèmes
surviennent, ayez un échange franc avec
eux.
M. Arpin a raconté la fâcheuse situation
dans laquelle s’est trouvée Claudine
Desrochers, une personnalité de la
télévision bien connue. Cette animatrice
n’a pas sa page Facebook. Une personne
s’est fait passer pour elle en créant un site
à son nom. Et c’est après plusieurs mois
que l’on s’est rendu compte de la
supercherie, ce n’était pas elle! Pour éviter
une telle situation, soyez à l’affût et
contrôlez régulièrement ce qui se dit sur
vous.
Vous pouvez en tout temps supprimer
votre compte Facebook en remplissant le
formulaire en ligne inscrit à cet effet. Cette
suppression est définitive et irrémédiable.
Toutes vos informations seront ainsi
effacées.
Et TWITTER? Plus de 44 millions
d’utilisateurs dans le monde; 6 % de la
population l’utilise au Québec; 31 % des
utilisateurs ont entre 15 et 19 ans, 35 %
entre 20 et 24 ans. TWITTER signifie
« gazouillis » en anglais. C’est aussi un site
d’échange et de partage mais il est loin
d’avoir la popularité de Facebook, sa
présentation est moins attrayante, plus
« geek », c’est Facebook dépouillé de tout,
sauf de son statut. On l’utilise plutôt pour
dire aux autres ce qu’on est en train de
faire par de courts messages. Ce n’est que
tout récemment que le site a été traduit en
français.
Même petit exercice avec ma fille. Et Twitter ma chérie? Bien, faut aussi que tu
sois inscrite, t’as juste à taper l’adresse twitter.com. Et après? Elle a tapé
twitter.com/tyler armes. C’est quoi ça? C’est qui ça? Le bassiste du groupe. Tu
vois pas? Quoi? Down with Webster, le band. Pourquoi c’est là? Parce que je
l’ai mis! Elle lit « Notre session en studio a duré six heures, il pleut, je m’en vais
me coucher. » Qui va se coucher? Ben, Tyler Armes, c’est lui qui dit ça. C’est
qui? Ah! Ah! Ah maman! Ok ma chérie, j’arrête! Ce petit cours privé se termine
ici. Et… pour paraphraser ce qui précède, je lui répondrais « Ici, il fait beau.
Après trois heures branchée à l’éducation numérique, je vais me coucher! »
L’Association des parents remercie très
sincèrement M. Arpin. Ce professeur d’un
soir nous a donné un excellent cours sur
les sites de réseaux sociaux, ces nouvelles
façons de communiquer qui comportent
leurs atouts et leurs limites.
Mai 2010
7
Les Klassiks remportent un nombre record de
championnats!
Un grand millésime! Encore une fois,
cette année, la grande famille des Klassiks
a compté 200 athlètes réparties dans
15 équipes. La majorité des équipes ont
terminé leur saison. Le flag-football ainsi
que le soccer extérieur débuteront dans les
prochains jours. Les sports Klassiks cette
année étaient le kin-ball (2 e Championnat
régional), le soccer intérieur et extérieur,
le basket-ball, le badminton, le volley-ball,
le cross-country et le flag-football.
À ce jour, nous avons remporté un nombre
record de championnats régionaux. C’est
le cas en soccer juvénile (championnes et
récipiendaires de l’éthique sportive), en
volley-ball benjamine AA et en badminton
benjamine, cadette et juvénile. Au
Championnat régional en volley-ball
cadette, nos deux équipes, qui se sont
disputées les honneurs toute la saison, ont
terminé championnes et vicechampionnes du Lac St-Louis.
Deux de nos équipes ont représenté le Lac
Saint-Louis au Championnat provincial.
L’équipe de basket-ball cadette s’est
classée 16 e au Championnat provincial, à
Sherbrooke en début avril, et l’équipe
volleyball benjamine AA s’est distinguée
avec une 5e place à la mi-avril, à Saguenay.
Soulignons que cette équipe a remporté le
tournoi des Carabins de l’Université de
Montréal à l’automne et que les joueuses
se sont classées premières au Québec au
niveau civil. Elles ont pris la 4e position au
Championnat canadien civil.
Au total, les athlètes du PSNM ont obtenu
six bannières championnes régionales,
deux médailles d’argent et une bannière
pour l’éthique sportive. C’est un record.
Je tiens à remercier l’excellent travail de
nos entraîneurs ainsi que madame Anouk
Martel, qui a assuré la direction des
Klassiks.
Annie Charette
Suite de la page 1…
…la fête de mi-parcours!
Même si parfois c’était difficile, elles
n’ont pas vendu la mèche. C’était beau de
les voir travailler, elles sont créatives nos
filles. Elles se sont rencontrées souvent
pour écrire et pratiquer leur spectacle, et
on peut dire que ça a valu la peine
puisque le spectacle a été grandement
apprécié, tant par les élèves et les
professeurs que par la direction.
Cette fête a été organisée par les
responsables de classe, leur responsable
de niveau, plusieurs membres du
personnel (enseignants et nonenseignants) et de la direction. Dès le
début, tout le monde était enchanté par
ce projet, les idées ne manquaient pas et
nous avions peur de manquer d’argent!
Nous ne voulions pas que les élèves aient
à payer leur dîner ni l’album. L’école,
avec l’aide de l’Association de parents, a
réussi à financer cet événement.
Merci beaucoup!
SimONU soutenu par l’APPSNM
La Simulation de l’Organisation des Nations Unies (SimONU) est une représentation modélisée
de l’assemblée générale de l’ONU qui permet à des étudiants du secondaire et du collégial de
s’initier aux rouages de cette institution. Les 13 et 14 février derniers, 16 élèves de la quatrième et
de la cinquième secondaire ont participé à l’édition 2010 de cet événement, organisé par le Collège
Grasset. Durant cette fin de semaine, riche en échanges et en apprentissages sur le monde de la
diplomatie, le dynamisme et le savoir-faire de nos participantes du PSNM ont été grandement
appréciés. Félicitations à toutes les participantes.
8
Collaborateurs
Dominique Roy, Chantal
Gobeil, Dominique
Laperle, Anouk Martel,
Emmanuel Ouimet, Lise
Hénault, Monica
Schwalbe, Ginette Leduc
et Annie Charrette.
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