Édition mai 2010 - Pensionnat du Saint-Nom-de
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Édition mai 2010 - Pensionnat du Saint-Nom-de
Parents Contact Mai 2010 Une première au PSNM . . . la fête de mi-parcours! Chantal Gobeil Bulletin de l’Association des Parents du Pensionnat du Saint-Nom-deMarie Vol. XIII, n° 2 Le 27 janvier, à 11 h 50, les élèves de la 3e secondaire ont été « convoquées » au gymnase par leur directrice de niveau, Anouk Martel. Plusieurs élèves s’attendaient à l’annonce d’un nouveau règlement, peut-être un nouveau code vestimentaire, mais certainement pas à une fête! À leur grande surprise, madame Martel leur a expliqué, qu’aujourd’hui, elles étaient à la miparcours de leur secondaire. Qu’elles avaient franchi le 450e jour des 900 jours du secondaire. Ensuite, les responsables de classe ont présenté un spectacle relatant quelques souvenirs de leurs premières années au PSNM. La fête s’est poursuivie avec la remise d’un mini-album pour des autographes, d’une prise de photo individuelle de « demi-finissante » et d’un dîner. Puisque c’était la première année que nous organisions cette fête, nous avions décidé de la garder secrète. Seules les responsables de classe (une quinzaine de filles) étaient au courant. …Suite page 8 Un président marquant! Merci Monsieur Bouchard! Réunions de l’APPSNM Tous les parents du PSNM sont invités à se joindre à nous, à 19 h 30, à la salle d’activités du PSNM. Dates : 17 mai 2010 9 septembre 2010 [email protected] Tous les parents du Conseil d'administration de l'Association de parents du PSNM (APPSNM) tiennent à souligner l'apport exceptionnel du président, M. Étienne Bouchard. Il termine son implication à l'APPSNM avec l'envolée de sa deuxième fille vers le collégial l'an prochain. M. Bouchard a non seulement participé à l'APPSNM depuis 7 ans, mais il a également accepté d'assumer la présidence au cours de cette même période. Il a toujours su mener les délibérations du conseil avec tact, efficacité et détermination. Jamais en manque d'énergie et d'idées nouvelles, M. Étienne Bouchard a mis de l'avant plusieurs initiatives dont la danse de l'APPSNM, qui se tient habituellement deux fois par année, en plus de diverses propositions de financement d'activités par l'APPSNM pour le bénéfice de toutes les élèves. Il a écrit régulièrement des articles pour le journal Parents Contact et a défendu avec vigueur l'enseignement privé et la sécurité aux abords de l'école. Il a représenté l'APPSNM à de nombreuses reprises, notamment lors de la remise de prix destinés aux élèves et lors de l'inauguration du Café 144 . M. Bouchard, nous saluons votre engagement et votre dévouement pour l'APPSNM. Nous vous en sommes très reconnaissants. Jeunes Démocrates à Québec : Qui l’eût cru! Les 16, 17 et 18 avril derniers, seize élèves du Pensionnat Saint-Nom-deMarie ont participé au tournoi des Jeunes démocrates, à Québec. Les élèves étaient logées à l’hôtel le Concorde, situé à cinq minutes du Parlement et de la porte Saint-Louis, aux abords du vieux Québec. Les participantes ont, dès leur arrivée, eut la chance de visiter le Parlement en compagnie d’un guide, visite qui fut fort appréciée. En effet, elles ont pu poser des questions et en apprendre davantage sur la politique québécoise et sur l’hôtel du Parlement, une catégorie de questions posées au tournoi le lendemain. Puis, les participantes ont eu l’occasion de marcher dans le vieux Québec, d’observer les vestiges de notre patrimoine culturel, les statues des personnages marquants de notre histoire, et même le nom des rues, le passé étant omniprésent dans la capitale de notre province. C’est le samedi matin qu’a commençé le tournoi se déroulant au petit séminaire de Québec, la première école d’Amérique du Nord. Le concours Jeunes démocrates consiste en un questionnaire composé de plusieurs séries de questions dont les thèmes sont axés autour de l’histoire et de la politique et qui se divisent en plusieurs catégories. Par exemple, le thème de cette année, La révolution tranquille, était une catégorie récurrente durant le tournoi, les questions portant sur les événements importants de cette période charnière pour le développement du Québec et sur les acteurs principaux qui prirent part à ces changements. Dans les catégories Mot caché, les élèves doivent réorganiser des lettres mélangées en un terme correspondant à un thème donné. Ainsi, dans une catégorie où les mots cachés porteraient sur les premiers ministres du Québec, les lettres 2 Dominique Laperle « eerlbitinroledyjlo » seraient associées à celui qui fut premier ministre du Québec de 1878 à 1879, soit Joly de Lotbinière. Les autres catégories étaient : histoire du vingtième et vingtet-unième siècle, histoire de l’antiquité, politiques québécoise et canadienne, identification d’un personnage, termes parlementaires, capitale du Québec, etc. Ainsi, les élèves doivent répondre à des questions variées qui enrichissent leur culture personnelle et les aident à comprendre le fonctionnement de notre système parlementaire. Faire partie des Jeunes démocrates encourage aussi les participantes à toujours être alertes face aux enjeux nationaux et internationaux, faisant d’elles des citoyennes éclairées, capables de discuter des grands débats de l’heure et du futur. Par contre, les intéressées doivent être averties que joindre les Jeunes démocrates est un engagement qui nécessite du temps et du travail. En plus de participer aux séances de pratiques hebdomadaires, de longues heures doivent être dédiées à l’étude de documents et de listes de premiers ministres, de présidents, de députés, etc. Une lecture attentive des quotidiens ou l’écoute des nouvelles est également un élément essentiel pour étendre ses connaissances. Une très bonne mémoire est requise pour s’en souvenir. Malgré tout le travail préparatoire, les élèves ont chacune ressenti que l’effort en valait largement la chandelle. L’expérience de ce séjour à Québec fut l’aboutissement d’une année d’attente nerveuse qui a confirmé la passion des participantes pour l’activité Jeunes démocrates. En plus d’apprécier l’ambiance générale, chaleureuse, dynamique et positivement compétitive, les élèves ont enfin pu se mesurer à des jeunes qui partageaient leur passion pour l’histoire et la politique. Parents Contact Jeunes démocrates a aussi été l’occasion pour les jeunes filles de se rapprocher les unes des autres et de créer des liens entre la 4 e et la 5e secondaire, et entre les anciennes qui continuent au cégep dans les équipes de Brébeuf, André Grasset, Marianopolis, etc qui viennent encourager leur héritières. Les professeurs accompagnateurs encadrent aussi les élèves et c’est une chance pour ces dernières de voir leurs enseignants sous un autre jour, de créer des liens de confiance et de respect entre mentor et pupille. En effet, l’ambiance de fraternité qui se crée à Québec dans les équipes est une raison à part entière de vouloir faire partie de la famille des Jeunes démocrates. Le Pensionnat du SaintNom-de-Marie s’est d’ailleurs illustré en se rendant aux quarts de finale et en se qualifiant à quelques points des demi-finales. En bout de compte, la fin de semaine du tournoi fut une expérience enrichissante et valorisante, une chance exceptionnelle rendue plus facile par le soutien de l’Association de parents à qui les élèves du Pensionnat du Saint-Nomde-Marie disent sincèrement merci. L’intellectuELLES et Coup d’œil : deux fenêtres sur le monde de vos filles Anouk Martel La deuxième édition du journal étudiant « L’intellectuELLES » s’est vendue comme des petits pains chauds! Pourquoi? Nous croyons que le spécial LES VRAIES années 80 de cette édition a poussé de nombreuses lectrices à se procurer un exemplaire. Peut-être est-ce aussi pour bien rigoler en regardant les photographies de plusieurs membres du personnel lors des années 80. Vous trouverez cette édition sur le portail du PSNM. Grâce à « Coup d’œil », un bulletin disponible sur le portail du PSNM, vous pourrez découvrir la richesse et la variété des activités étudiantes de l’École. Mai 2010 3 Brigitte Rousseau sélectionnée comme « Jeune Journaliste » au Jeux Paralympiques Dans le cadre d’un concours organisé par Rencontres du Canada, Brigitte Rousseau, de la 4e secondaire, a été choisie avec 40 élèves à travers le Canada pour assister aux Jeux paralympiques de Vancouver. Ce concours faisait partie d’un projet issu d’une collaboration entre l’Institut Historica-Dominion et le portail scolaire canadien en ligne des Jeux, créé par le Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2010 à Vancouver (COVAN). Les candidats choisis ont assisté à des compétitions sportives et à des activités culturelles. Ils ont aussi joué aux « jeunes journalistes » en faisant la couverture de certains événements selon leur point de vue. Une rare occasion! Pour Brigitte, la magie a commencé avec le relais de la flamme dans le centre-ville, au Robson Square, où elle a même pu voir Roberto Luongo, le gardien de l’équipe canadienne masculine de hockey, un joueur qu’elle admire beaucoup. Par la suite, elle a été éblouie par les cérémonies d’ouverture, lesquelles ont été des plus inspirantes. Brigitte, tout comme les autres jeunes, a eu l’opportunité d’assister aux matchs de curling en fauteuil roulant ainsi qu’à ceux de hockey sur luge. « Même si quelques modifications sont apportées à ce sport (hockey sur luge), le jeu reste aussi captivant pour l’audience et physiquement demandant pour les athlètes », selon Brigitte, tel qu’elle le mentionne dans son texte intitulé ‘‘Hockey sur glace vs hockey sur luge’’, qu’elle a rédigé lors de son séjour. Elle conclut alors son texte de la sorte : « Espérons que la flamme intérieure qui a allumé le peuple durant le hockey des Olympiques saura habiter de nouveau les cœurs des Canadiens pour supporter notre équipe de hockey sur luge. » Monica Schwalbe Ginette Leduc De plus, elle a témoigné d’une ambiance festive à Vancouver bien que l’ampleur des Jeux paralympiques ne soit pas comparable à celle qu’avaient eue les Jeux olympiques dans la ville. Même si, selon Brigitte, la couverture médiatique des Jeux paralympiques n’a pas rendu justice aux athlètes impliqués, elle reste tout de même optimiste face au développement et à la médiatisation que connaîtront les Jeux paralympiques dans un avenir proche. Finalement, ayant été accueillie par une famille des plus chaleureuses vivant au sud de Vancouver, Brigitte retient de cette expérience des moments aussi touchants qu’inoubliables, en plus d’avoir tissé des liens d’amitié avec d’autres jeunes provenant de partout au Canada. Vous pouvez consulter les articles écrits par les jeunes sur le site web suivant : www.fyicanada.ca; à gauche de la page, cliquez sur « Institut Historica Dominion »; ensuite, en haut de la page, cliquez sur « Ta tribune »; au milieu de la page, à droite, vous pouvez cliquer sur « Historica-Dominion aux Jeux » pour limiter les résultats. 4 Parents Contact Anouk Martel CONGRÈS CARRIÈRES PSNM 2010 Mme Lorraine Pintal, Conférence d’Ouverture CONFÉRENCIERS M. Bernard Letendre M. Michel Nadeau Mme Karine Amyot Mme France Jolicoeur M. Martin Leclerc Mme Jocelyne Vo Directrice générale du Théâtre du Nouveau Monde Industrie des services financiers Ingénieur Médecin spécialiste Entrepreneure Producteur musical Dentiste Mme Mireille Deyglun Dr Dominique Garrel Mme Marie-Pascale Lalonde Mme Andrée Castegnier Comédienne Mme Dominique Langelier Organisatrice d’événements Dre Élaine Debien Mme Sophie Desaulniers Dre Christine Bovo Me Louis Dumont Dre Anique Ducharme Mme Alejandra Cifuentes Diaz Vétérinaire Dre Patricia Egerszegi Mme Fiona Hanley Mme Élisabeth Filion Mme Nadja Décarie Chirurgie plastique Médecin chercheur Urbaniste Architecte Plusieurs filles de la 4e secondaire ont signifié que les ateliers offerts étaient fort intéressants et inspirants. Celles-ci sont ressorties de ces ateliers avec des rêves concrets en tête de ce qu’elles pourraient faire comme métier plus tard. L’organisation du Congrèscarrières a atteint son objectif! Elle tient à remercier l’Association de parents du PSNM pour son soutien financier et pour le geste d’encouragement qui a amené plusieurs jeunes à se découvrir une passion. Commerce Dentiste Avocat Cardiologue Pianiste interprète Infirmière Écrivaine Communication Médaille d’argent au MusicFest Québec Emmanuel Ouimet Le 17 mars dernier, les élèves de la deuxième secondaire inscrites en option musique ont remporté la médaille d’argent au concours provincial MusicFest Québec. C’est la première fois que des élèves du Pensionnat du Saint-Nom-de-Marie participent à ce type de concours d’envergure et nous sommes très fiers de la performance de nos jeunes musiciennes. Les élèves ont aussi eu la chance de jouer à la Place des Arts le dimanche 9 mai 2010. Mai 2010 5 Facebook et Twitter 101 Retour sur la conférence de Dominic Arpin FACEBOOK? Deux millions de membres au Québec, 300 millions dans le monde. Une nouvelle façon de socialiser. Un phénomène culturel important. Un site de réseautage social qui rassemble des personnes, proches ou inconnues, et ce, à la grandeur de la planète. Mais d’où vient Facebook? Ce « success story » est né à l’université de Harvard en février 2004 lorsque des étudiants ont décidé de créer un service en ligne pour faciliter la communication entre eux pour monter leur album-photos de finissants. Ce service est vite devenu un réseau accessible aux autres universités américaines. C’est depuis 2006 qu’il est ouvert à tous, sans frais. Qui dans la salle possède sa propre page Facebook? demande M. Arpin. Le tiers des parents ont répondu oui. Leurs enfants? Presque Tous. À l’aide de son portable et sur grand écran, M. Arpin nous présente sa propre page. Il tape à ses « amis » qu’il est en train de donner une conférence dans une école. Puis, il nous présente, étape par étape, la façon de faire. Il faut d’abord s’inscrire, taper son adresse courriel et un mot de passe. Puis, vous créez votre page personnelle (profil), un genre de babillard sur lequel vous placez en ligne tout ce que vous voulez, vos renseignements personnels, ce qui vous identifie, des photos, des textes, de la musique, des vidéos, etc. Mais, attention! Tout le monde peut visiter votre page personnelle, à moins de limiter votre profil aux groupes de personnes que vous choisissez. Un peu plus tard dans la soirée, on voit apparaître à l’écran plusieurs commentaires des « amis » de M. Arpin qui répondaient à son message du début. Un de ces derniers s’est tout de suite manifesté pour lui reprocher de manquer de respect et d’avoir du front d’oser écrire à d’autres pendant qu’il donnait une conférence…! Toutes ces personnes lui faisaient leurs propres remarques, soit pour le féliciter, soit tout simplement pour le saluer. Lise Hénault Novice en la matière, j’ai demandé à ma fille au retour de la conférence de me céder le clavier et de revenir à la page d’accueil. Je fais quoi là? Bien tu entres dans le site. Comment? Tu tapes l’adresse. Quelle adresse? Bien… facebook.com. Et après? (J’ai droit à un premier soupir!). Tu tapes ton e-mail et ton mot de passe. Mais tu dois être inscrite d’abord. Comme je ne le suis pas (et ne veux pas l’être), elle prend ma place. J’écarquille les yeux (mais pas trop!), c’est personnel! J’y vois plein de commentaires de ceux avec qui elle est « amie ». Ton mood? What’s on your mind? C’est la question qui apparaît d’entrée de jeu. Tu peux aussi t’chatter à droite de l’écran si tu veux. Pis… c’est ça. C’est ça quoi? Bien, tu dis comment tu te sens maintenant. Qu’est-ce que tu fais? Comme quoi? (deuxième soupir!). Tu réponds, t’écris quelque chose, ce que tu veux. Comme quoi? Ah, maman! (troisième et dernier soupir). Ah! Ah! Ah maman! Laisse faire! La leçon s’arrête ici. Je n’insiste pas plus. Je vais moi-même relire mes notes que j’ai prises à la conférence et l’excellent résumé que M. Arpin a préparé pour nous. Mais il y a moyen d’effectuer certaines opérations pour garder un contrôle dans la divulgation de renseignements personnels et d’adopter un comportement le plus sécuritaire possible. Les personnes se servent de Facebook pour publiciser leur vie sociale, pour se prouver aux autres, pour se créer un réseau d’échanges, etc. Ils y mettent des photos, toutes sortes de photos. Les applications sont illimitées, il y a aussi une tonne de jeux de tous genres. Et, ajoute-t-il, c’est incroyable les choses intimes qui se publient à la grandeur de la planète! Vous pouvez avoir un réseau qui comprend 5000 amis (le maximum); la moyenne est de 130 chez la plupart des jeunes (sa fille en compte personnellement 240). Le danger pour les jeunes, souligne M. Arpin, est de trop s’exprimer, de trop se dévoiler. 6 Parents Contact À ce sujet, M. Arpin met en garde les parents qu’une fois que quelque chose est publiée, on en perd immédiatement le contrôle, et avec toutes les choses intimes qui se publient, c’est aussi la réputation de la personne qui peut être en jeu. Il est fortement déconseillé de donner le nom de son école, son adresse physique, le lieu de son travail, etc., personne ne sait l’usage qu’il en sera fait. N’importe qui peut publier une photo; on dit dans le langage « Tagger les photos », vous cliquez sur n’importe quel visage et vous pouvez l’identifier à votre propre nom, vous l’approprier. Il est important de savoir qu’il existe des moyens de prendre le contrôle de votre compte Facebook en gérant les différents paramètres liés à la confidentialité des renseignements et des applications. L’accessibilité peut être limitée, par exemple en cliquant « seulement mes amis », et ce, pour toutes les fonctions (informations générales, statuts, photos, vidéos, messages, informations professionnelles, etc.). C’est la forme la plus sécuritaire. M. Arpin a souvent répété au cours de la soirée que tous ces gestes sont numériques et, de ce fait, qu’ils se propagent rapidement. Il importe avant tout de bien sécuriser sa page. Mettez vos enfants au courant des paramètres de confidentialité à respecter, des bonnes cases qu’il faut cocher pour bloquer certaines applications. Ce n’est pas tout le monde qui sait que cela est possible. Discutez-en avec eux. Si des problèmes surviennent, ayez un échange franc avec eux. M. Arpin a raconté la fâcheuse situation dans laquelle s’est trouvée Claudine Desrochers, une personnalité de la télévision bien connue. Cette animatrice n’a pas sa page Facebook. Une personne s’est fait passer pour elle en créant un site à son nom. Et c’est après plusieurs mois que l’on s’est rendu compte de la supercherie, ce n’était pas elle! Pour éviter une telle situation, soyez à l’affût et contrôlez régulièrement ce qui se dit sur vous. Vous pouvez en tout temps supprimer votre compte Facebook en remplissant le formulaire en ligne inscrit à cet effet. Cette suppression est définitive et irrémédiable. Toutes vos informations seront ainsi effacées. Et TWITTER? Plus de 44 millions d’utilisateurs dans le monde; 6 % de la population l’utilise au Québec; 31 % des utilisateurs ont entre 15 et 19 ans, 35 % entre 20 et 24 ans. TWITTER signifie « gazouillis » en anglais. C’est aussi un site d’échange et de partage mais il est loin d’avoir la popularité de Facebook, sa présentation est moins attrayante, plus « geek », c’est Facebook dépouillé de tout, sauf de son statut. On l’utilise plutôt pour dire aux autres ce qu’on est en train de faire par de courts messages. Ce n’est que tout récemment que le site a été traduit en français. Même petit exercice avec ma fille. Et Twitter ma chérie? Bien, faut aussi que tu sois inscrite, t’as juste à taper l’adresse twitter.com. Et après? Elle a tapé twitter.com/tyler armes. C’est quoi ça? C’est qui ça? Le bassiste du groupe. Tu vois pas? Quoi? Down with Webster, le band. Pourquoi c’est là? Parce que je l’ai mis! Elle lit « Notre session en studio a duré six heures, il pleut, je m’en vais me coucher. » Qui va se coucher? Ben, Tyler Armes, c’est lui qui dit ça. C’est qui? Ah! Ah! Ah maman! Ok ma chérie, j’arrête! Ce petit cours privé se termine ici. Et… pour paraphraser ce qui précède, je lui répondrais « Ici, il fait beau. Après trois heures branchée à l’éducation numérique, je vais me coucher! » L’Association des parents remercie très sincèrement M. Arpin. Ce professeur d’un soir nous a donné un excellent cours sur les sites de réseaux sociaux, ces nouvelles façons de communiquer qui comportent leurs atouts et leurs limites. Mai 2010 7 Les Klassiks remportent un nombre record de championnats! Un grand millésime! Encore une fois, cette année, la grande famille des Klassiks a compté 200 athlètes réparties dans 15 équipes. La majorité des équipes ont terminé leur saison. Le flag-football ainsi que le soccer extérieur débuteront dans les prochains jours. Les sports Klassiks cette année étaient le kin-ball (2 e Championnat régional), le soccer intérieur et extérieur, le basket-ball, le badminton, le volley-ball, le cross-country et le flag-football. À ce jour, nous avons remporté un nombre record de championnats régionaux. C’est le cas en soccer juvénile (championnes et récipiendaires de l’éthique sportive), en volley-ball benjamine AA et en badminton benjamine, cadette et juvénile. Au Championnat régional en volley-ball cadette, nos deux équipes, qui se sont disputées les honneurs toute la saison, ont terminé championnes et vicechampionnes du Lac St-Louis. Deux de nos équipes ont représenté le Lac Saint-Louis au Championnat provincial. L’équipe de basket-ball cadette s’est classée 16 e au Championnat provincial, à Sherbrooke en début avril, et l’équipe volleyball benjamine AA s’est distinguée avec une 5e place à la mi-avril, à Saguenay. Soulignons que cette équipe a remporté le tournoi des Carabins de l’Université de Montréal à l’automne et que les joueuses se sont classées premières au Québec au niveau civil. Elles ont pris la 4e position au Championnat canadien civil. Au total, les athlètes du PSNM ont obtenu six bannières championnes régionales, deux médailles d’argent et une bannière pour l’éthique sportive. C’est un record. Je tiens à remercier l’excellent travail de nos entraîneurs ainsi que madame Anouk Martel, qui a assuré la direction des Klassiks. Annie Charette Suite de la page 1… …la fête de mi-parcours! Même si parfois c’était difficile, elles n’ont pas vendu la mèche. C’était beau de les voir travailler, elles sont créatives nos filles. Elles se sont rencontrées souvent pour écrire et pratiquer leur spectacle, et on peut dire que ça a valu la peine puisque le spectacle a été grandement apprécié, tant par les élèves et les professeurs que par la direction. Cette fête a été organisée par les responsables de classe, leur responsable de niveau, plusieurs membres du personnel (enseignants et nonenseignants) et de la direction. Dès le début, tout le monde était enchanté par ce projet, les idées ne manquaient pas et nous avions peur de manquer d’argent! Nous ne voulions pas que les élèves aient à payer leur dîner ni l’album. L’école, avec l’aide de l’Association de parents, a réussi à financer cet événement. Merci beaucoup! SimONU soutenu par l’APPSNM La Simulation de l’Organisation des Nations Unies (SimONU) est une représentation modélisée de l’assemblée générale de l’ONU qui permet à des étudiants du secondaire et du collégial de s’initier aux rouages de cette institution. Les 13 et 14 février derniers, 16 élèves de la quatrième et de la cinquième secondaire ont participé à l’édition 2010 de cet événement, organisé par le Collège Grasset. Durant cette fin de semaine, riche en échanges et en apprentissages sur le monde de la diplomatie, le dynamisme et le savoir-faire de nos participantes du PSNM ont été grandement appréciés. Félicitations à toutes les participantes. 8 Collaborateurs Dominique Roy, Chantal Gobeil, Dominique Laperle, Anouk Martel, Emmanuel Ouimet, Lise Hénault, Monica Schwalbe, Ginette Leduc et Annie Charrette. Parents Contact