L`information chez RCF Corsica

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L`information chez RCF Corsica
L'information chez RCF Corsica
Extrait du Diocèse d'Ajaccio
http://www.corse.catholique.fr/L-information-chez-RCF-Corsica
L'information chez RCF
Corsica
- RCF Corsica, Radio Chrétienne Francophone -
Date de mise en ligne : vendredi 18 décembre 2015
Diocèse d'Ajaccio
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L'information chez RCF Corsica
RCF Corsica donne la parole
à tous ceux dont on ne parle pas assez souvent
N'oubliez pas l'info, vous avez RCF Corsica. Pas de temps mort même si l'info est là pour faire réfléchir et
donner la parole à un maximum de personnes. Vous écoutez un journal, une chronique d'info : vous écoutez
Laetitia Pietri. Vous faites bouger l'Eglise, la Corse ? Vous êtes une info pour RCF Corsica.
Comment devient-on journaliste à RCF Corsica ?
J'ai d'abord été formée à la presse écrite et les hasard de la vie m'ont fait basculer dans la radio. J'ai postulé à l'offre
d'emploi de RCF Corsica car sa façon de traiter l'information me plaisait. On est moins sur le réactif immédiat. On est
davantage sur l'analyse. On essaie de faire réfléchir les gens pour qu'ils se construisent leur propre opinion. Ils
doivent pouvoir entendre les différents avis. On n'est pas dans la polémique ou l'invective. C'est pour ça que j'ai
choisi RCF Corsica.
Quelle est la marque de fabrique de RCF Corsica ?
Dans nos journaux, nous voulons rendre compte de l'actualité corse, donner la parole à ceux qui ne l'ont pas, rendre
compte de l'actualité diocésaine qui est très riche et dont on ne parle pas assez souvent. C'est donner la parole à
tous ces gens, à toute ces petites mains qui font avancer la Corse au quotidien, qu'on ne voit pas, qu'on n'entend
pas souvent, eux qui sont dans les associations et les confréries. Ce n'est pas de la méthode coué. Mais c'est aussi
dire ce qui se passe, en positif ou négatif. Nous essayons d'avoir un regard chrétien, un regard le plus juste possible,
avec toujours la même rigueur journalistique avec ce souci de faire réfléchir les gens. Le ton apaisé permet de mieux
confronter les regards des uns et des autres. Mais un bon journaliste n'a pas besoin d'être chrétien. Un journaliste
chrétien n'est pas au dessus des autres.
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Quand le FLNC a déposé les armes, notre marque de fabrique, ça a été d'ouvrir le journal avec le regard de l'Eglise.
Pour la crise des déchets, on a beaucoup donné la parole aux usagers.
Comment construisez vous alors vos journaux ?
Le journal comporte trois sujets, un principal et deux plus « légers ». Un sujet religieux, qui inclue les informations du
diocèse, des paroisses. Et deux autres sujets. Aujourd'hui, j'avais la conférence sur les migrants, le pasteur
protestant dans les prisons et la semaine contre les addictions. Je pense ouvrir avec la conférence sur les migrants
car il couvre les réactions des confréries sur l'accueil des migrants. Cela n'est donc pas une simple conférence. Sur
les territoriales, on avait ouvert le journal avec les souhaits de l'Eglise de Corse.
L'identité chrétienne est elle un avantage pour la radio ?
Un avantage pour couvrir l'actualité diocésaine. Les prêtres et fidèles savent qu'il n'y aura pas de piège avec nous.
Pour les autres interlocuteurs, notre identité chrétienne ne nous a jamais empêché de travailler. On a fait nos
preuves comme les autres. Au début, les gens ne savaient pas que ça existait une radio chrétienne. Maintenant, ils
savent que nous appartenons au réseau RCF.
Quel est le lien avec le diocèse ?
L'Evêque a son émission hebdomadaire, son regard sur l'actualité. Il a aussi une pause caté. Nous avons aussi de
bonnes relations avec l'évêché et on est toujours à l'affut des informations en provenance des paroisses. On est
preneur !
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