31 mars-1-2 juin 2013 Jardins des MétamorphOZes
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31 mars-1-2 juin 2013 Jardins des MétamorphOZes
31 mars-1-2 juin 2013 Vendredi 31 : ouvert de 14h à 18h30 Samedi 1 : ouvert de 11h à 20h Dimanche 2 : ouvert de 11h à 18h30 « Le jardin et ses créateurs » installation Crédit Samantha Le Gall Jardins des MétamorphOZes www.le-jardin-des-metamorphozes.com I/ Animations - ZAVARE Rickson artiste venant du Zimbabwe, il animera un stage de taille de pierre, les pierres seront fournies ainsi que les outils - Parcours à travers le jardin d’une exposition de photo du jardin avant - Visite guidée et commentée sur rendez-vous - Expositions d’art en présence de certains artistes II/ Artistes *** ils resteront jusqu’à la fin de la saison - AUDIARD Michel, et ses z’animaux musiciens - CAUX Olivier - HUBERT « Pit » Patrice - McLAUGHLIN Lawrence (USA) - Marco MINIUSSI - Martine MAGRITTE (Belgique) - TERRE SAUVAGE (Zimbabwe) IIbis/ Artistes galerie III/ Pratique - Contact - Accés AUDIARD Michel : « Face à toutes les grandes questions fondamentales que l'homme peut se poser, j’essaie de m’amuser avec la sculpture. Je vis dans mon époque avec toutes ses contradictions et ses inepties, et le travail d’un sculpteur, c’est de proposer un peu de dérision par rapport à l’histoire. » Michel Audiard est né à Paris en 1951. Après un passage aux Beaux-arts en 1968, il brosse des portraits à Montparnasse et à Montmartre. Il sculpte dans de nombreux matériaux (bois, pierre, fer, etc. …). En 1978, il arrête complètement la peinture pour ne se consacrer qu’à la sculpture et monte sa propre fonderie d’art (dans la tradition du bronze et de la cire perdue) en Touraine. Il apprécie cette région à la fois pour sa douceur de vivre et sa proximité de Paris. C’est ici que rayonne l’essentiel de son activité artistique (expositions, collections, ventes aux enchères). Pour lui, la cire perdue est la voie royale de la sculpture, car tout sculpteur rêve de finaliser ses oeuvres en bronze. Il crée statues, meubles, bijoux, stylos. En 1995, il réalise son premier stylo à plume. En 2005 il réalise son premier Passage, oeuvre en métal mettant en valeur « l’invisible, la transparence du statuaire Les Z’Animaux Musiciens sont le travail d’une année de collaboration entre l’artiste Michel Audiard et le président directeur général d’Universal Music France, Pascal Nègre. Au début de l’histoire, ces Z’Animaux sont une commande de Pascal Nègre pour sa propriété tourangelle. Il souhaite avoir des animaux musiciens au nombre de 61 représentant son année de naissance. Ces Z’Animaux Musiciens constituent ainsi un orchestre symphonique mozartien. De plus, chacun des animaux représentés sont ceux existant dans sa propriété, comme son Golden Retriever nommé Scarface (n°60), son âne nommé Tarzan (n°34) ou encore son cheval nommé Novak (n°33). Toute l’année, Michel Audiard a donc proposé des croquis que Pascal Nègre a validés en choisissant la couleur de chaque animal. Ensuite dans son atelier de Rochecorbon, Michel Audiard est passé à la création : du dessin papier à l’ordinateur, à la découpe au laser dans des plaques d’inox laquées d’une résine époxy au four. Egalement au mois de Juillet 2013, vous pourrez retrouver les Z’Animaux Musiciens, exposés au foyer de l’Opéra Garnier et au Petit Palais à Paris. CAUX Olivier : Ma démarche : Je réalise des sculptures, fréquemment lumineuses, à base de résines dont l'inspiration est sous-marine et féminine. Je cherche surtout à simplifier les formes à l’essentiel, à la limite de l’abstraction pour en conserver le fantasme et la beauté de la ligne. Mes créations sont des objets uniques, pensés spécialement pour un projet ou un lieu particulier. Bio : Galerie les Métamorphozes 2011-2012-2013 Galerie Les Métamorphozes hors les murs (109 rue Quincampoix 75003) 2013 Festival d’art contemporain à Lavaux Saint Anne (Belgique) 2011 Expos en Belgique 1998-2001 Expos en Touraine : Fondettes la Grange aux Dimes Saint Cyr sur loire pavillon Charles X Tours Galerie 21 DAVO : pour « une biodiversité heureuse dans le jardin nourricier» L’artiste adepte du Land Art, ne fait qu’un avec la nature. Avec lui tout se recycle. Ses tableaux composteurs verticaux peuvent être de différentes tailles. Le jardin généreux nous nourrie, et les déchets après un séjour dans le composteur, retour au jardin pour nourrir les plantations et il aime citer ces mots de Prévert. «Mangez sur l'herbe Dépêchez-vous Un jour ou l'autre L'herbe mangera sur vous.» [ Jacques Prévert ] HUBERT « Pit » Patrice né à Rennes en 1966, A mi-chemin entre la mécanique romantique et la cyber matrice, les sculptures de Patrice Hubert sont vivantes, vibrent et brillent. Formes ligneuses pour une circulation d’énergie et un exosquelette métallique baroque revisité avec les lames, les épines et les griffes. L’expression d’un danger devant des corps où la chair accueillante et douce laisse place au froid et intrusif métal animé. Encore une seconde et le mécanisme de la vie commencera ou c’est l’univers dans sont ensemble qui sera perturbé … D’autres êtres sont là, solides et étranges, témoins pour le moins inquiétant de ce monde cinétique tournant entre la matérialité du métal et l'immatérialité de la lumière. McLAUGHLIN Lawrence La sculpture de Lawrence McLaughlin (USA) a au premier regard, un côté ludique puis en détaillant les oeuvres et en prenant le temps de l'observation on en découvre tout le paradoxe qui commence par le choix du matériau et la légèreté que McLaughlin lui suppose. Faire voler et sauter les Schmitterliniks aux ailes d'or personnages tout droits sortis des contes de notre enfance, recréer cochons ou moutons tous ces animaux attachants proches des "doudous" voilà qui ravit ce surprenant américain qui s'est départi du "tout net et bien tranché "qui caractérise l'autre côté de l'océan, pour apprendre en Europe les limites variables, les régions frontières, et l'acceptation esthétique de l'anomalie. « Le monde intérieur de la sculpture en Larwrence McLaughlin est rendu évident par l'effet des sens. EIle porte l'oeil, l'instrument de la conscience optique, sur leur corps et il nous guide pour regarder vers le milieu, au coeur. Dans le sens le plus profond et le plus complet, l'oeil est le milieu de la vision, symbole de toute la connaissance claire. La tête devient superflue et, comme avec le « petit prince », la figure semble nous rappeler que nous pouvons seulement voir correctement qu'avec le coeur. Les sculptures de McLaughlin ont une âme. Elles nous montrent leur être les plus secrets. Elles sont transparentes. Les yeux sont faits de verre et le verre est le symbole de la lumière, du transparent. » MAGRITTE Martine : Le fruit défendu d’Adam et Eve! Pomme, poire, figue ou grenade ? Dans la genèse, mais également dans le coran, il est relaté l’histoire de la désobéissant au commandement divin et ne serait-ce pas la naissance du monde, de notre planète bleu qui continue à nourrir les hommes ! Nous sommes les jardiniers de la terre, et notre rôle est d’en être respectueux pour quelle continue à nous nourrir encore longtemps. TERRE-SAUVAGE L’art Shona est issu de la culture du peuple Shona du nord du Zimbabwe. 'dzimba dza mabwe ' veut dire 'grande maison de pierre'. La pierre y tient le rôle principal. Elle est extraite directement de carrières du Zimbabwe avant d’être travaillée de manière intuitive. Rickson Zavare ("Murehwa") «Mon art est basé sur le passé en ce qui concerne les événements modernes, les sentiments et les attitudes des gens dans des situations différentes, et la sphère d'influence des coutumes Shona... Je crois fermement que mes pièces sont véritablement uniques et originales et peuvent défier les meilleurs des artistes établis ". En 2010 et en 2011 et 2012, Rickson a été nominé pour le Prix du Mérite national des Arts (c.-à-sculpture) arts visuels 3D. Rickson Zavare est né en 1977 à Murehwa, l'est du Zimbabwe. Il est venu à Chitungwiza a passé ses A-Levels, depuis il séjourne en la ville. En 1997, Rickson a été inspiré par son beau-frère Tago Tazvitya, président du Centre des arts Chitungwiza, a essayé la sculpture sur pierre. La pensée créative arrivait naturellement et il a commencé à travailler sur des pierres comme une occupation à plein temps. Ses œuvres ont été exposées par des galeries en Europe, en Amérique du Nord, en Chine et dans d'autres régions d'Afrique. HISTORIQUE DE LA SCULPTURE AU ZIMBABWE Placé sur des gisements entiers de serpentine, le Zimbabwe est connu pour ses sculpteurs depuis seulement les années 50. En effet, malgré des vestiges de sculptures très anciennes (les oiseaux du Zimbabwe, au nombre de six, datés entre 1250 avant J.C et 1500 après), on ne reparle de sculpture que bien plus tard et ce, grâce au soutien de plusieurs personnes. Father John Groeber, un prêtre suisse, arrive en Afrique en 1939. En 1948, il est missionnaire au Zimbabwe. Afin de décorer sa chapelle, il demande à des africains de tailler des ornementations religieuses. Il s’aperçoit très vite de la vision très personnelle et artistique qu’ont les personnes qu’il a employées. Il met donc à leur disposition de la pierre et les laisse s’exprimer librement. En 1957, Un anglais Frank Mc Ewen, alors directeur de la Galerie Nationale d’HARARE, ouvre l’Atelier. Il y encourage les sculpteurs en leur donnant des outils et de la pierre et en exposant leurs pièces dans la galerie mais aussi, à l’étranger. En 1963, un sud-africain, Tom BLOMEFIELD alors propriétaire de champs de tabac, reconvertit ses travailleurs dans la sculpture, ses exportations de tabac étant stoppées par les sanctions internationales contre la Rhodesie. TENGENENGE était né, et beaucoup d’artistes connus de la première et seconde génération en sont issus. Bref, toutes ces initiatives ont " porté " les sculpteurs du Zimbabwe et ont permis que, d’expositions internationales en expositions internationales, les artistes aient la reconnaissance à laquelle leur talent a droit. EXPOSITION GALERIE Jusqu’au 18 juin 2013 Du 21 juin au 23 septembre 2013 AÏNI, peintre. ANCELIN Malou, sculpture. AUDIARD Michel, sculpture. GUILLEMAIN Françoise, peinture. KAZUO Yamaki, peinture. MAGRITTE Martine, sculpture. MULHEM Dominique, peinture. PARATIAN Jacques, peinture. SYLVIE B. peinture. UBERTI Serge, peintre. Vendredi 3 : ouvert de 14h à 18h30 Samedi 4 : ouvert de 11h à 20h Dimanche 5 : ouvert de 11h à 18h30 Jardin membre de : l’association des parc et jardins de la région centre Jardins passions EBTS France (association française par l’art topiaire et le buis) LPO (ligue de protection des oiseaux) refuge CONTACTS : Marie-France le Gall Gallou de Terruel Les MétamorphOZes Domaine du prieuré 41120 VALAIRE CONTACTS PRESSE: Tél : 02.54.44.14.62 e-mail : [email protected] sites : http://lesmetamorphozes.e-monsite.com/ www.galerie-les-metamorphozes.com http://le-jardin-des-metamorphozes.com/ La galerie, la boutique, le salon de thé et les Jardins des MétamorphOZes sont ouverts : 1er avril- 15 septembre, le vendredi-samedi-dimanche-lundi, 14h à 18h30 16 septembre-25 décembre, le samedi – dimanche, 14h à 19h Les Jardins des MétamorphOZes ferment le 31 octobre. ACCES : Sortie A 10 direction Blois Sud 1.2682312 longitude 47.4705983 latitude Direction: CANDE SUR BEUVRON à Candé, à droite, passer le pont du Beuvron, immédiatement à gauche, prendre la ROUTE DE VALAIRE. Toujours tout droit (env. 3km) . Croisement, Monument aux Morts, prendre à gauche, à 200m sur la gauche le Domaine du Prieuré près de l’église sans clocher. AMBOISE où CHAUMONT Prendre la ROUTE DE VALAIRE,juste avant le pont à droite, et suivre comme ci-dessus.