déversoir - Angela Laurier
Transcription
déversoir - Angela Laurier
DÉVERSOIR CRÉATION JANVIER 2008 SUBSISTANCES DE LYON ADMINISTRATION/PRODUCTION/DIFFUSION: LÉA VÉLASCO CAMACHO 7 rue Léon Jouhaux 50120 EQUEURDREVILLE Tel: 06.10.60.20.03 [email protected] www.cie-angelalaurier.com DÉVERSOIR CRITIQUES La vie tordue D’Angela **** ...Face à un public médusé, la contorsionniste Angela Laurier tente de rompre en temps réel le cours de son destin. Télérama -Daniel Conrod ...Angéla Laurier est la définition même du mot résistance. Résistance à la folie, à la cruauté, à l'impitoyable. Son spectacle pourrait être tragique, il fait rire. Car elle porte d'évidence une grande tendresse à cette famille qui l'a toujours accompagnée… Libération-Marie-Christine Vernay ... Déversoir est une preuve d'amour, une reconnaissance humaine autant qu'une délivrance. c'est un numéro de cirque très intime, qui tient du récit cru d'une vie, d'une enfance douloureuse et qui est en même temps trop pudique pour être réduit à celà. Mouvement-Julie Broudeur ...Angela Laurier is an extraordinary woman for many reasons, not the least of which is that at 47 years of age, she can still do back flips and tie herself into a knot. ... Déversoir is daringly intimate, beautifully executed performance art that deals with mental illness in a healing, cathartic way. Déversoir is amazing.It should tour Canada. Especially B.C. The Montreal Gazette-Pat Donelly DÉVERSOIR UN SPECTACLE D’ANGELA LAURIER C’est ma condition, de quarantenaire, l’obsession pressante d’une famille et la peur d’enfanter, de transmettre ma violence retournée. Mon métier de contorsionniste est mon exutoire aliénant.! Ma famille, je la porte en moi, c’est d’abord mon père et mon frère, que je filme pour reprendre un rapport et rester objective. Mon père parle de sa relation difficile avec son père et son fils. Il se raconte en jeune homme dépressif, subit des électrochocs qui, dit-il, «! l’ont sauvé! » et par la suite rencontre ma mère et fonde une famille de neuf enfants. Mon frère, fils aîné, au même âge, est étiqueté schizophrène, mon père recommande alors des séances d’électrochocs et signe l’autorisation. Mes visites régulières à mon frère Dominique en hôpital psychiatrique, ont exercé une influence profonde sur ma condition et mon travail de contorsion, des images fortes me reviennent de mon frère sanglé à une chaise ou à son lit. Dominique relate son sort de «!malade mental!». Son mariage avec Eva, connue à l’hôpital psychiatrique, ce fils qu’on leur enlèvera à la naissance pour le placer en famille d’accueil. Depuis décembre 2005, son fils Maximilien, accepte de faire sa connaissance par visites accompagnées, il a aujourd’hui 13 ans. Sa famille d’accueil m’a autorisée à le filmer chez lui et plus tard avec son père. À travers eux, par la contorsion et ses simulacres d’animalité, je questionne notre mal être, cette violence instinctuelle et aliénante transmise, et mon impuissance à me définir. La répétition d’exercices qui me cassent et les sons du corps qui s’en échappent sont liés aux discours du père et de mon frère, formant une même enveloppe rythmique. Ce projet est une tentative de démystification de la folie. Plusieurs séjours au Québec entre 2004 et 2007, une caméra vidéo capte mon père, il raconte son départ de France en 1952. À 22 ans, il quitte son Berry natal pour le nord du Québec pour travailler dans les mines, il se marie alors avec ma mère, native des cantons de l’est du Québec puis partent ensemble dans une contrée sauvage de l’Ouest canadien à 200 Km de l’Alaska. En 1967, ma mère traverse seule le Canada en train avec 7 enfants pour la rive sud de Montréal, mon père nous rejoint en 1969, deux autres naissances suivront. DÉVERSOIR Nous avons réalisé les derniers voyages que mon père voulait faire. À l’été 2005, je l’ai fait venir en France revoir sa famille et sa maison natale après 20 ans d’absence. En Août 2006, après 37 ans, nous sommes retournés dans cet Ouest canadien où nous sommes nés, dans un long trajet en voiture avec mon père, mes frères Dominique, Vincent, et Manuel Pasdelou qui m’accompagne sur tous mes tournages pour prendre des images et du son. Tous ces tournages font aussi partie d’un film documentaire sur ma famille, autoproduit que je réalise sur plusieurs années. Travaillant ensemble depuis 2004, Manuel joue avec moi sur scène en tant que musicien et vidéaste. Samples de sons de mon corps, son direct, bruitages, voix enregistrées pendant les tournages, musique, projections vidéo, caméra sur scène … Tous ces matériaux, il les manipule, les assemble pour m’emmener au plus intime de mon travail de contorsion. L’homme-tronc! (Je m’adresse à la caméra)!: Je t’en prie Angela, y a pas de quoi fêter. Ah… Faire des enfants, c’est perpétuer la misère. Foncièrement faut être inconscient tu vois. Sept enfants en dix ans et deux autres encore après… Heureusement la vie est pas éternelle. Moi, deux ou trois ça m’aurait suffi, mais j’suis pas tout seul là-dedans… J’veux dire foncièrement t’sais, y a pas de place pour les faibles… Vous pouviez pas avoir une meilleure mère, par exemple quand je partais en camp de bûcheron, que je revenais après plusieurs semaines, j’avais plus de place dans mon lit, c’était envahi d’enfants. Ah! ! la vie c’est pas un piquenique… J’aimerais pouvoir rire. Heureusement la foi m’a sauvé, heureusement… C’que j’veux dire c’est que pour votre mère, pour votre mère là, je n’étais que pourvoyeur, que pourvoyeur, voilà c’est tout, c’est comme ça. J’t’en prie, pour l’amour de Dieu… DÉVERSOIR Extraits!: Entrevue avec mon père (mars 2006)!: P. «! La maladie mentale, c’est la pire de toutes les maladies quoi, c’est sûr. Parce que pour Dominique, tout a été essayé. Il était à côté, dans l’appartement juste à côté, il mangeait ici, ta mère allait faire le ménage dans son appartement, il est pas capable de faire le ménage ni faire quoi que ce soit tu sais. J’essayais de l’entraîner, du tout, pis y’avait rien à faire, absolument rien t’sais. Il se regardait le nombril, puis il fumait des cigarettes sans arrêt. Alors là et bien, ça devient ennuyant, ça devient monotone, alors pour avoir une coupure, eh bien, toc!! il sortait. P. Eh bien, je veux dire que Dominique il faut d’abord qu’il soit bien quand on va partir, hein, mais il est tellement fragile. Moi, je veux dire que c’est très, très risqué, très, très risqué. C’est parce que n’importe quel changement l’affecte, pis ça, c’est un gros changement, il sort de sa routine, c’est ça. Dominique j’demanderais pas mieux de l’amener et puis ça lui ferait plaisir et puis tout, mais il perd l’équilibre tout de suite, c’est ça… P. Eh bien, j’veux te dire que pour moi c’est une certitude que Dominique peut pas faire autrement que perdre les pédales bon. C’est une certitude pour moi. C’est pas une probabilité, c’est une certitude, c’est tout…!» A. Y a aucun mystère pour toi, aucune peur de partir!? P. Du tout, du tout, au contraire… A. Tu sais où tu vas te retrouver après, toi!? P. Je veux dire que, j’ai toujours eu la foi, j’ai toujours pratiqué… Ça toujours… Ça a été une force énorme pour moi. Je suis sûr que jamais j’aurais pu faire ce que j’ai fait, si j’avais pas eu la foi, parce que je me suis jamais senti seul, quoi t’sais. J’veux dire que, comme par exemple, quand j’suis arrivé en ColombieBritannique, j’ai passé deux ans dans le bois, dans une scierie dans le bois et puis eh… Non, ma foi ça a été ma force, et puis, je veux dire que je peux partir n’importe quand, puis je s’rais content de partir, c’est tout... A. L’accouchement de Dominique!? P. Hein!? Ben, ça a été épouvantable quoi, pour ta mère, parce qu’il est venu par le siège quoi, c’est bien possible que ça affecte ça, eh l’accouchement le plus facile, le plus simple, ça a été Angela t’sais. Tu la connais Angela hein!? Ça a été un accouchement sans douleur. DÉVERSOIR INTERVIEW DOMINIQUE 2005 «!C’est un délire religieux que j’ai vécu… Le printemps, la débâcle, j’ai avalé une bouteille d’alcool à friction… c’était grandiose, je regretterai jamais ça, ça marque un homme, c’est mieux que du cinémascope. J’ai vu une femme crucifiée en chair et en os devant l’église de Pau dans les Pyrénées, je me suis déshabillé tout nu,!j’ai fait le tour de la croix, je criais, la police est arrivée, les chiens aboyaient, les cloches sonnaient, une journée de pluie incroyable… Je suis un loup-garou du Berry y’a pas de doute, mon père est Berrichon, ma mère est Québécoise, y’a pas de doute, je me rase le poil des oreilles tous les matins.!» «!Qu’est-ce que vous voulez!? j’suis attaché à la France, la France, le pays de mon père, j’aime ma famille française. Je disais quand je suis revenu de France, mes racines sont au Québec, mais je suis même pas né au Québec, je suis né dans l’ouest canadien, j’ai plus d’affaire là dans l’ouest canadien, j’ai aucune famille, aucun lien de parenté, absolument rien. Moi c’est la famille qui me tient debout, qui m’a jamais abandonné, j’voulais pas être itinérant à Montréal, !j’voulais pas, c’est ma famille qui m’a sauvé tout le temps, c’est mon frère, c’est ma sœur, c’est mon père c’est ma mère!… y’a eu 112 morts dans les rues de Montréal cet hiver chez les itinérants, j’tiens pas à vivre cette vie-là,!moi… C’est-tu le confort!? non, c’est pas le confort, c’est l’attachement à la famille, c’est plus fort que moi… Mon père m’a bafoué par moments, je l’ai bafoué, on a eu des histoires, mais je les laisserai jamais tombés, parce qu’ils m’ont jamais laissés tomber en m’amenant à l’hôpital psychiatrique, en m’amenant en prison par ma faute… Ils m’ont tenu en vie, ils m’ont tous tenu en vie, pis j’tiens à faire de vieux os, puis mourir quand mon heure sera venue. Je prie mon grand-père Landry, je prie mon grand-père Lucien, mes cousins,!mes cousines qui sont morts, je les prie pour qu’ils m’apprennent à dégager mon aliénation mentale, puis vivre l’au-delà, même si on est sur la terre, on peut vivre au ciel aussi en même temps.!» DÉVERSOIR ENTREVUE AVEC MA MÈRE San Francisco c’est encore plus tragique… Ca prenait trois jours Angela pour qu’il… je l’ai assez connu, j’ai assez fait l’expérience… pour eh… sombrer. C’est pas long, trois jours… Il est revenu la peau et les os. Il est revenu, même qu’il s’évanouissait, les premiers jours à l’hôpital… Eh, il a été interné là-bas. D’abord, c’est les policiers qui l’ont ramassé. D’une fragilité. Sa chemise et sa culotte, il avait tout donné. Il avait tout donné ce qu’il avait, je pense même ah, ma foi… tout, tout. Mais de toute façon, il donnait tout. Avec lequel de tes frères qu’on était allé le chercher!? Ca devait être Alain, je crois. Mon dieu, mon dieu, la peau sur les os. Puis on lui a dit «! Dominique, tu sais où on t’amène maintenant! ?! » il est rentré en psychiatrie… il perdait connaissance. Il était réticent et c’est évident qu’il ne voulait pas autant d’enfants. C’était… Oui… Sauf qu’on en faisait et qu’on en faisait. Et que je ne prenais pas de pilule, et ça, il le déplorait beaucoup et eh… t’sais!? on a utilisé la capote sur le tard… oui. D’ailleurs quand j’ai pris la pilule, et moi ça ne me convenait pas eh… j’aime pas, j’aime pas quotidiennement penser à prendre une pilule et d’ailleurs, j’en prends pas encore aujourd’hui, d’aucune pilule… Mais après trois mois, j’acceptais les grossesses, j’acceptais. Mais y avait un combat. Les premières semaines, les premiers mois… Parce que j’étais très féconde… Ca venait, ça venait… ouais des merveilles hein!? Tu l’as vue… Les premières fois qu’il a été interné, Angela, tous les soirs on allait le voir. C’était-tu de notre faute, c’était-tu pas de notre faute s’il était tombé malade!? C’est dans les gènes, moi je dis, que c’est génétique. Ton père a fait une dépression, ton père a voulu attenter à ses jours. Jeune, fragile. Mais, on allait le voir tous les soirs à l’hôpital, tous les soirs, puis, on répondait à tout. Puis, on pouvait arriver et il se mettait à genou devant son père. Puis, on pouvait le retrouver dans le garde-robe, on pouvait le retrouver dans la penderie. Il passait par toutes les phases… oui. Il y a quelque chose en eux, qui les pousse vers… Appelle ça c’que tu veux… Angela Laurier EXPERIENCES PROFESSIONNELLES 2010 2009 2008 2007 2006 2004 2002 2001 1999 1997 1996 1995 1994 1992 1991 1990 1988 1988 1985-87 1984-85 1980-83 1978-83 1977-79 Création de J’aimerais pouvoir rire ( Théâtre National de Chaillot, Paris) mise en scène: Lucie Laurier Déversoir ( Tournée Européenne ) Cabaret de François Verret Do you remember, no I don’t de François Verret Déversoir ( Tournée Européenne et Canadienne ) Création de Déversoir d’Angela Laurier. ( Les Subsistances de Lyon ) Création de Exutoire d’Angela Laurier. Sans retour de François Verret. Contrecoup de François Verret. Création L'Ange Est Là, l'Or Y Est, solo d'Angela Laurier, mise en scène David Noir. Sama Samaruck Suck Suck, Opéra-cirque de Carlès Santos. Poème-Cirque : l'Art Est Nié, File! d'Angela Laurier et David Noir. Mon Grand Frère spectacle d'Angela Laurier, mise en scène Michel Dallaire. Made In Paradise - Cirque Gosh (mise en scène Michel Dallaire). Cabaret Sauvage ( La Villette ) mise en scène Michel Dallaire. Le songe d'une nuit d'été - Rôle de “Puck” Mise en scène de Robert Lepage pour "le Trident", Québec. The Bridge de Iain Bank (adaptation John Harvey), Cie Bench Tours, Ecosse. Mise en scène, Jean-Frédérique Messier. A Midsummer Night's Dream Royal National Theatre of London, mise en scène, Robert Lepage. Variétés de Dusseldorf, Allemagne. Tiger Palast Frankfort, Allemagne (automne/hiver). Cérémonie d’ouverture Jeux Olympiques d’hiver de Calgary 1988 - Troupe du Cirque du Soleil Cirque Du Soleil, tournée Canadienne et Américaine. Personnage principal Cirque Du Trottoir, Bruxelles, tournée européenne. Cirque Du Soleil, ( tournée canadienne.) l'Escouade de l'Instantané!! Théâtre de rue et interventions Pop Citrouille, télé-série, Radio-Canada. Les enfants du ciel - Rôle principal- Comédie musicale de Michel Conte . DÉVERSOIR - REPRÉSENTATIONS /HV1RXYHOOHV6XEVLVWDQFHV/\RQMDQYLHU )HUPHGX%XLVVRQ0DUQHOD9DOOpH±MDQYLHU 3pULVFRSH1vPHV&RDFFXHLOOLDYHFOD9HUUHULHG $OqVHQ&pYHQQHV3{OH&LUTXH5pJLRQ/DQJXHGRF5RXVVLOORQMDQYLHU±HUIpYULHU 7KpkWUHGHOD0DXYDLVHWrWH0DUYHMROV&RDFFXHLOOLDYHFOD9HUUHULHG $OqVHQ&pYHQQHV3{OH&LUTXH5pJLRQ/DQJXHGRF5RXVVLOORQIpYULHU 7KpkWUHGH&OHUPRQWO¶+pUDXOW&RDFFXHLOOLDYHFOD9HUUHULHG $OqVHQ&pYHQQHV3{OH&LUTXH5pJLRQ/DQJXHGRF5RXVVLOORQIpYULHU (O0HGLDWRU&RDFFXHLOOLDYHFOD9HUUHULHG $OqVHQ&pYHQQHV3{OH&LUTXH5pJLRQ/DQJXHGRF5RXVVLOORQ3HUSLJQDQIpYULHU )HVWLYDO&$+256QRUPHVLQWHUQDWLRQDOHVPDUV 6FqQH1DWLRQDOH/H7ULGHQW&KHUERXUJPDUV )HVWLYDO)XULHVHWMXLQ&KDORQVHQFKDPSDJQH )HVWLYDO/DURXWHGX&LUTXH1H[RQHWDRW /D*UDQGH+DOOHGHOD9LOOHWWH3DULVGXDXVHSWHPEUH /¶$JRUD%RXOD]DFRFWREUH )HVWLYDO1RYRJ&LUNXVD=DJUHERFWREUH 7KpkWUHG¶2UOpDQV2UOpDQVGXHWRFWREUH 7KpkWUHGHV%HUJHULHV1RLV\OHVHFQRYHPEUH /H&DUUpGHV-DOOHV6DLQW0pGDUGHQ-DOOHVHWQRYHPEUH 7KpkWUHG¶$UOHV$UOHVMDQYLHU 6FqQHQDWLRQDOHGH'LHSSH'LHSSHPDUV 7KpkWUHGH6qWH6qWH&RDFFXHLOOLDYHFOD9HUUHULHG $OqVHQ&pYHQQHV3{OH&LUTXH5pJLRQ/DQJXHGRF5RXVVLOORQGXDXPDUV 6RUWLH2XHVW%p]LHUV&RDFFXHLOOLDYHFOD9HUUHULHG $OqVHQ&pYHQQHV3{OH&LUTXH5pJLRQ/DQJXHGRF5RXVVLOORQHWPDUV /HPDQqJH0RQV%HOJLTXHHWPDL %RQOLHX$QQHF\PDL /HVIRQGXVGX0DFDGDP7KRQRQOHV%DLQVHWDRXW )HVWLYDO©$UW:HHNHQGª&HQWUH&XOWXUHO)UDQoDLVGH0RVFRX0RVFRXHWQRYHPEUH 7KpkWUH/D&KDSHOOH0RQWUpDOGXQRYHPEUHDXGpFHPEUH /H%DWHDX)HX'XQNHUTXHHWMDQYLHU /H*UDQG%OHX/LOOHHWMDQYLHU /H%DWHDX)HX'XQNHUTXHHWMDQYLHU /D%UqFKH&KHUERXUJDFFXHLOOLSDUOH&p0p$DYULO &HQWUH&KRUpJUDSKLH1DWLRQDOGH&DHQGDQVOHFDGUHGH©635,1*ªDYULO (VSDFH6RXWLQH&KDUWUHVDYULO 7KpkWUH6LOYLD0RQIRUW3DULVHWPDL /¶(VWLYHVFqQH1DWLRQDOH)RL[PDL /H7ULGHQWVFqQHQDWLRQDOH&KHUERXUJ2FWHYLOOHHWQRYHPEUH &LUTXH7KpkWUHG¶(OEHXI(OEHXIDYULO /H3UDWR/LOOHPDL /H&&1GH*UHQREOHPDL )HVWLYDO0RQWSHOOLHUGDQVHMXLQ /HVWUDQVYHUVDOHV9HUGXQPDUV 7KpkWUHGH6DUWURXYLOOHPDL )HVWLYDO©$UWVHW'pFKLUXUHVª5RXHQHWMXLQ DÉVERSOIR RÉSIDENCES. COPRODUCTIONS ET PARTENAIRES Résidences: - Centre Régional des Arts du Cirque (Cherbourg) : du 26 août au 19 septembre 2005. Du 19 au 28 février 2007. Espace Périphérique de la Villette (Paris) : du 9 au 17 février 2007. Salle polyvalente de Bagnols-les-Bains (par le pôle cirque Languedoc- Roussillon) : du 3 au 20 septembre 2007 Les Subsistances (Lyon) : du 1 au 14 octobre 2006, du 18 au 31 décembre 2006, du 5 au 17 novembre 2007, du 10 au 22 décembre 2007 puis du 2 au 24 janvier 2008. Représentations de « Exutoire » forme courte 40 min: - Les Subsistances (Lyon), dans le cadre du week-end " Ça change " :19, 20 et 21 janvier 2007. La Brèche-Centre régional des arts du cirque de Basse-Normandie (Cherbourg) : 28 février 2007 Festival Court-Toujours (Scène nationale de Poitiers) : 2 et 3 Juin 2007. Roundhouse (Londres) :10 et 11 juillet 2007. Le Cratère (scène nationale d’Alès) Co-accueilli avec la "Verrerie d'Alès en Cévennes - Pôle Cirque Région Languedoc-Roussillon": 10 novembre 2007. Halles de Schaerbeek (Bruxelles) Festival « Hors pistes » : 22 novembre 2007 l’Hippodrome (Douai) : 28 novembre 2007 Théâtre National de Bordeaux en Aquitaine : 1er décembre 2007 Théâtre Universitaire (Nantes) : 12 et 13 février 2008 Théâtre Na Loba (Pennautiers) Co-accueilli avec la "Verrerie d'Alès en Cévennes - Pôle Cirque Région Languedoc-Roussillon" : 6 juin 2008 Coproductions: Les Subsistances, Lyon ; Parc de la Villette, Paris ; La Verrerie d’Alès en Cévennes, pôle cirque région Languedoc-Roussillon ; Agora, scène conventionnée pour les Arts du cirque, Boulazac ; Centre Régional des Arts du Cirque de Basse-Normandie, Cherbourg ; Festival Court toujours 2007, scène Nationale de Poitiers. Avec le soutien de: Espace périphérique de la Villette S.A.C.D, prix Beaumarchais 2005 : bourse d’écriture S.A.C.D, aide à la diffusion et à l’édition 2007 Centre National du Théâtre, Aide national à la création de textes dramatiques, catégorie dramaturgie plurielle, 2007. Conseil Régional de Basse-Normandie DÉVERSOIR La production est assurée par la Compagnie Angela Laurier. Administration / Production / Diffusion LÉA VELASCO CAMACHO 7 RUE LÉON JOUHAUX 50120 EQUEURDREVILLE TÉL: 06.10.60.29.03 [email protected] www.cie-angelalaurier.com Distribution : - Angela Laurier : auteur, interprète, contorsionniste - Manuel Pasdelou : prise de vue, son, montage vidéo, musicien sur scène - Richard Croisé : régie lumière Avec la participation de Dominique Laurier (vidéo). Collaborateurs : - Florent Pasdelou : scénographie Julien Laurier : oeil extérieur, collaborateur mise en scène Gen Shimaoka : collaborateur artistique Myriam Remoissenet : création costumes Goury : création robe blanche DÉVERSOIR-FICHE TECHNIQUE Montage : - Prémontage souhaité suivant plan. Veille du spectacle : 1service l’après-midi. Implantation lumière, réglages lumières. Pendrillonage. Montage et réglages vidéo. Montage son. Dérouler les tapis de danse de la compagnie pour les détendre (tapis fragiles donc dans un endroit sûr). Matin du spectacle : Finir réglages lumières (latéraux) Quand les réglages sont finis, mise en place des tapis de la compagnie. Balance son. Après-midi du spectacle : Finir ce qu’il reste à faire pour être prêt à répéter à 15h. Nettoyage plateau 1h avant spectacle. Techniciens demandés: 1 régisseur général, 1 régisseur son, 2 techniciens lumière pour le montage et les réglages, un technicien pour le réglage du vidéo projecteur. Matériel à fournir : En gras Vidéo : - Un écran 4mx3m (fourni par la Cie), en fond de scène. Accroché avec des guindes noires et posé au sol à la limite de nos tapis de danse. Un dégagement de 2m est nécessaire derrière l’écran. - Un vidéo projecteur (fourni par la Cie) suspendu en projection de face, système d'accroche fourni. Position sur le plan lumière. Un cable video RCA descendant à cour sur le plateau. - La compagnie amène un 2ème vidéoprojecteur avec shutter posé en nez de scène décalé un peu à jardin du centre. Prévoir cable video RCA, 220v avec doublette et ligne DMX (5 points). Son : - En régie : une console (numérique Yamaha, ou analogique avec processeur de délai) avec un technicien son gérant la diffusion. - Un système stéréo de diffusion pour le public ( Nexo PS 15 ou équivalent, accroché pour bien couvrir le gradin), le tout avec un délai par rapport aux enceintes du plateau. - Un 2ème système stéréo (mêmes enceintes que la face) avec 2 Subs en fond de scène. Les Subs aux extrémités devant le fond de scène avec les enceintes posées dessus. (Suite prochaine page) DÉVERSOIR-FICHE TECHNIQUE Matériel à fournir ( suite ): En gras - Plateau : - Idéal 10mx10m tapis de danse noir avec MOQUETTE EPAISSE (mini 5mm) dessous. La moquette peut juste faire la taile de nos tapis 6m par 7m. Au-dessus duquel la compagnie pose une surface de 6m par 7m50 de tapis de danse miroir. - Pendrillonage : Côté cour à l'allemande. Côté jardin à l’allemande avec accès au lointain. - Côté cour au centre du plateau : une régie son et vidéo (2 stands clavier) nécessitant du 220v, 2 lignes XLR pour le son ( prévoir 2 DI avec 2 jack si problème de Buzz), le câble vidéo ( RCA) relié au vidéoprojecteur. - La compagnie amène 6 échelles pour les PAR latéraux au sol, prévoir 3 grands pieds de projecteurs pour les autres latéraux. - Derrière l’écran : une table, 2 chaises, un portant. - La compagnie se déplace avec un camion Iveco. Prévoir parking sûr. - Catering : Eau minérale, Thé, Café, 6 cocas, 12 bières, biscuits, barres céréales, fruits secs, chocolat, tout produit régional est le bienvenu! Plan de feux détaillé à la réception des plans de la salle. Contacts : Manuel Pasdelou: Régie générale, musicien, son, vidéo 06 12 04 39 43 [email protected] Richard Croisé: Régisseur lumière 07 86 25 65 69