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Direction Orange IDF Service de Santé au Travail 365 Rue de Vaugirard 75015 Paris N°RPPS 10002521274 0146791690 [email protected] Pour le CNHSCT du 12 février 2015 Paris, le vendredi 30 janvier 2015 ERGOSIEGE utilité en prévention primaire pour les techniciens des UI Présentation film Power Point de présentation à la journée nationale des médecins de l’entreprise (mai 2014) Abstract : Le risque TMS pour les techniciens est un risque majeur, car suite à un questionnaire portant sur 130 techniciens BL et intervention en PL et Bretagne : 67 % des salariés ont répondu avoir eu des douleurs articulaires en relation avec leur métier . Parmi les TMS, les problèmes de dos et les problèmes de genoux sortent du lot. Nous avons eu l’idée de proposer l’ergo siège à ces salariés dans le cadre d’une prévention primaire. Ce matériel ayant fait preuve de son utilité en prévention tertiaire. Nous avons eu l’accord du CE dans le cadre de l’accord expérimentation tel que signé le 7 juillet 2011 en respectant la méthodologie (durée un an maximum, accord de la direction et des élus, compte rendu d’étape : juin 2013/mars 2014/juin2014)) ; les CHSCT des PL et Bretagne ont été impliqués. Nous avons essayé de mener une action collective en impliquant fortement les préventeurs (remise du matériel et explication de son intérêt). Nous avons sélectionné une quarantaine de salariés n’ayant jamais eu de TMS et avons fait une enquête prospective sur un an : une moitié de salarié bénéficiant d’un ergo siège l’autre moitié sans ergo siège. Les tests ont montré un résultat significatif et un lien fort : Les salariés ayant utilisé l’ergo-siège en prévention primaire ont moins de risque de faire un problème de dorsalgie que ceux n’ayant pas bénéficié de ce matériel. Ce travail a démontré l’intérêt de proposer l’ergo-siège en prévention primaire pour les techniciens (BL, FTTH) Ce matériel ne doit pas se substituer aux moyens déjà existants (tapis mousse) L’ergo-siège doit être systématiquement proposé par les préventeurs, alors même que les salariés ne se plaignent pas du dos, et ce, sans avoir besoin de recourir a un certificat médical. Comme tout matériel ergonomique, il doit être au préalable essayé par le salarié afin que celui-ci l’adopte Une démarche d’information sera nécessaire pour obtenir l’adhésion du plus grand nombre. D’autres métiers techniques peuvent être intéressés par le produit (répartiteurs, TIC) JF Ruiz