L`île des femmes de ménage
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L`île des femmes de ménage
L’île des femmes de ménage Auteur : MILENA MOSER (écrivain suissse, née à Zurich en 1963) Titre du livre : L’île des femmes de ménage (traduit de l’allemand par Françoise Toraille) Parution : en 1995 Genre du livre : roman dans lequel se mêlent drame et humour Epoque de l’histoire : dans les années 1990 Lieu : en Suisse Personnages principaux : Irma : femme de ménage qui raconte l’histoire Maître Schwarz : propriétaire d’une luxueuse villa et mère de famille. Abominable personnage qui torture sa pauvre belle- mère (Nelly Schwarz) Selma Giger : cliente d’Irma, journaliste et mère d’Eugen Eugen Giger : petit délinquant, amoureux d’Irma malgré son jeune âge Résumé : Irma est une jeune femme de vingt-huit ans qui possède plusieurs diplômes, mais décide étrangement d’exercer le métier de femme de ménage. Celle-ci découvre, lors de son travail dans la vaste maison de la famille Schwarz, une vieille femme (Nelly) agonisante, séquestrée depuis quatre ans dans d’effroyables conditions. Elle était enfermée à dans un petit réduit mesurant à peine deux mètres carrés. Mais comment pouvait-on faire une chose pareille à une personne âgée ? Et pour quelles raisons ? Irma décide d’héberger discrètement la vieille dame pour tenter de la réanimer. Au bout d’une semaine, la vieille dame se rétablit et Irma pense fort à la vengeance. Ensemble, elles rédigent la liste des choses qui comptent le plus pour Maître Schwarz : sa réputation, sa carrière politique, sa famille ( surtout ses fils) et son jardin. C’est autour de ces quatre points qu’elles auront la possibilité de se venger avec l’aide de la clientèle d’Irma. La revanche accomplie, Irma, Nelly et Eugen (petit ami d’Irma) auront enfin l’opportunité de se prélasser sur l’île des femmes de ménage… Conclusion, mon avis personnel : J’ai beaucoup apprécié ce livre car on y relate un fait imaginaire atroce mais qui pourrait bien exister réellement. Cette histoire montre bien qu’il ne faut pas se fier aux apparences, car beaucoup de monde cache bien leur jeu ; par exemple : le cas de Maître Schwarz. Bien que le récit soit dramatique, la façon dont elle est racontée reste loufoque; c’est également pour cette raison que le roman m’a plu. En parcourant ce bouquin, l’amusement a tout de même été l’émotion la plus forte. La seule chose que je pourrais éventuellement reprocher à l’auteur, c’est le choix du titre, qui malgré son effet poétique ne représente qu’une toute petite partie du livre. Le 21 Octobre 2007 Laura Rollier