BULLETIN PAROISSIAL N°41 (juillet-août
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BULLETIN PAROISSIAL N°41 (juillet-août
Chers Amis, La fin de l’année pastorale est toujours marquée par nos deux fêtes paroissiales. C’est une occasion formidable de se rencontrer en dehors de l’église et de mieux se connaître. Or, depuis quelques années on constate que nos paroissiens ne participent plus à ces fêtes comme avant… Faut-il changer la formule des fêtes ? On est ouvert à des idées et des forces nouvelles. En même temps, je trouve qu’il serait bien aussi que tous les paroissiens se sentent davantage concernés par la vie de leur paroisse, d’autant plus lorsqu’ils ont demandé à la Paroisse un service durant l’année, comme un baptême, un mariage ou la préparation des leurs enfants à un sacrement. Pour moi c’est la question d’un engagement minimum en tant que paroissiens et enfin… du bon sens. votre Curé S RENCONTRER DIEU SUR NOS CHEMINS DES VACANCES S O M M A I R E COMMUNAUTE DE PAROISSES GAMBSHEIM - KILSTETT - ... ♦ 67760 GAMBSHEIM Tél.-Fax-Répondeur: 03.88.96.85.30 ªPortable: 06.08.70.61.81 ♦ Site internet paroissial: www.gampar.fr.st e-mail: [email protected] ♦ Notre Bulletin est tiré à 2600 exemplaires et distribué gratuitement ♦ ♦ p. 2 - Actualités p. 3-6 - Notre-Dame de Guadalupe Annexe - Inscriptions à la caté p. 7 - Communion p. 8 - Page des jeux… Bulletin Paroissial 41/2005 — Page 1 A C T U A L I T É S BUREAU PAROISSIAL DURANT LES VACANCES our inscrire des intentions de messe, le Curé peut vous recevoir après chaque office à la sacristie. Durant les vacances, dans le Bureau Paroissial, le Curé vous accueillera aussi, mais uniquement sur rendez-vous. MESSES EN SEMAINE DURANT LES VACANCES our permettre que les personnes bénévoles engagées dans la Paroisse soufflent un peu durant les vacances le planning des messes sera quelque peu allégé. Les messes en semaine auront lieu, aussi bien à Kilstett qu’à Gambsheim, uniquement lorsque une intention particulière (publiée ou non) aura été demandée. Veuillez donc consulter attentivement la fiche dominicale et Internet. Une exception toutefois pour les éventuelles messes du « 7e et 30e jour », qu’on ne peut pas prévoir d’avance : celles-ci seront annoncées lors des enterrements et des messes dominicales. P P RÉSULTATS OFFICIELS DU TIRAGE DE LA LOTERIE LORS DE LA FÊTE PAROISSIALE A GAMBSHEIM 2005 014 049 063 084 115 185 204 233 251 286 311 333 362 387 421 441 457 480 524 554 587 612 650 671 691 713 726 760 797 815 837 851 884 925 950 953 991 1025 1029 1065 1099 1120 1149 1173 1191 1212 1236 1263 1286 1304 1337 1352 1379 1406 1442 1462 1495 1503 1531 1555 1584 1605 1638 1659 1681 1725 1740 1752 1782 1804 1841 1913 1936 Les gros lots sont cette année: 1) n° 362 X X X 2) n° 421; X X X X 3) n° 1462 L a Paroisse de Gambsheim exprime dès à présent sa vive reconnaissance à toutes les personnes qui par leurs dons ou par l’achat de billets ont contribué au bon déroulement de la loterie de tombola. Un grand merci aux sociétés qui ont animé la fête, ainsi qu’à la vaillante équipe de bénévoles qui a su faire face à cette situation exceptionnelle. Notre profonde gratitude, surtout aux nombreux public qui malgré la chaleur du plomb a montré sa fidélité et sa générosité à la Paroisse. LE DEUXIEME VOLET DU MATCH DU SIÈCLE A KILSTETT ’est bien ce dimanche le 26 juin qu’a eu lieu à Kilstett le deuxième volet du match du siècle: "Don Camillo – la revanche". Les deux équipes, celle de la Paroisse, conduite par Monsieur le Curé et celle de la Commune de Kilstett, menée par Monsieur le Maire se sont affrontées amicalement.. Résultat final 4:2 pour la Paroisse. La revanche de la Commune a été vite fixée pour la Fête paroissiale de l'année 2006. Seulement, il est bien dommage qu’à cause de la chaleur il n’y ait pas eu trop de supporteurs au terrain du football à Kilstett . Les joueurs ont été très déçus… CETTE FOIS-CI NE LE LOUPEZ PLUS ! C Bulletin Paroissial 41/2005 — Page 2 UNE APPARITION MIRACULEUSE DE MARIE : NOTRE-DAME DE GUADALUPE E n 1531, la Bienheureuse Vierge Marie apparut, sur une colline située au nord-ouest de Mexico (Mexique), à un pauvre Indien, Juan Diego, récemment baptisé dans la religion chrétienne. Elle lui demanda d’être son messager auprès de l’évêque pour lui transmettre son ardent souhait de voir se construire en ce lieu une église. Sceptique, l’évêque réclama à Juan Diego une preuve de ce qu’il avançait. La Vierge ellemême donna ce signe à son messager, sous la forme d’un portrait miraculeux imprimé sur son manteau, une des rares représentations que l’on ait de Marie enceinte. Les multiples examens scientifiques de cette peinture, tout comme le parfait état de conservation de son « support » (pourtant un simple manteau en fils de cactus), ajoutent au mystère de ce signe, d’autant que l’image semble refléter dans les yeux de la Vierge ce qui était devant elle au moment de son apparition... Depuis lors, chaque année, une foule immense de pèlerins, estimée aujourd’hui à dix millions de personnes, se presse pour la vénérer, faisant de son église le sanctuaire le plus populaire avec le Vatican ! Juan Diego, un humble Indien Il naît aux environs de 1474 ; c’est un membre de la classe la plus basse de l’Empire Aztèque, « quelqu’un de rien » comme il se qualifiera lui-même plus tard en s’adressant à la Vierge. Il partage ses activités entre les durs travaux des champs et ceux d’une manufacture. Modèle d’humilité, mais aussi de dévouement et de charité, il se convertit au catholicisme en 1525. Très pieux, il est baptisé à l’âge de 51 ans et prend alors le nom chrétien de Juan Diego. Chaque samedi et dimanche, de fort bonne heure, il se rend à la messe et à l’instruction religieuse, parcourant pieds nus, pendant de longues heures, plusieurs kilomètres, avec pour vêtement une espèce de manteau indien en fibre de cactus, le tilma. Plusieurs apparitions La première apparition de la Vierge a lieu au cours d’une de ces marches. Il est alors âgé de 57 ans. Au milieu d’une lumière resplendissante et de chants d’oiseaux, il aperçoit une belle jeune femme. Celle-ci s’adresse affectueusement à lui en ces termes : « Je veux que tu saches avec certitude, cher fils, que je suis la parfaite et toujours Vierge Marie, Mère du Vrai Dieu, du Créateur de toutes choses, Seigneur du ciel et de la terre. J’aimerais qu’un sanctuaire soit érigé ici afin que je puisse vous montrer mon amour, ma compassion, mon aide et ma protection, parce que je suis votre mère miséricordieuse, à vous, à tous les habitants de cette Bulletin Paroissial 41/2005 — Page 3 terre et à tous ceux qui m’aiment, m’invoquent et ont confiance en moi... Va au palais de l’évêque de Mexico et tu lui diras que je manifeste un grand désir qu’ici, sur cette plaine, une église soit construite en mon honneur... ». A sa quatrième apparition, la Vierge dit ces belles et aimables paroles à Juan Diego, plein d’inquiétude : « Ecoute et mets cela dans ton cœur, mon fils, le plus petit... Ne suis-je pas là, moi qui suis ta Mère ? N’es-tu pas toujours sous mon ombre et ma sauvegarde ? Ne suis-je pas la source de ta joie ? N’es-tu pas sous l’abri de mon manteau, dans le creux de mes bras ?... ». Un évêque sceptique Pensant que le désir d’avoir une église consacrée à la Vierge n’est qu’une invention de Juan Diego, le prélat exige que celui-ci lui montre un signe incontestable de ces apparitions mariales. Juan Diego en rend compte à la Vierge : « Très bien, mon petit, lui répond-elle, tu repartiras là-bas demain, afin de porter à l’évêque le signe qu’il a demandé. Avec cela, il te croira et dans son regard, il n’y aura plus ni doute ni soupçon. » Le signe C’est au cours de la quatrième apparition que la Vierge lui révèle le signe en l’envoyant cueillir un bouquet de magnifiques roses là où, habituellement, ne poussent que des ronces et des cactus. « Mon fils, lui dit la Vierge, cette variété de roses est le signe que je donne à l’évêque... ». Puis, elle place les fleurs dans le manteau de Juan Diego en lui enjoignant de ne l’ouvrir que devant l’évêque. Ce qu’il fait. Mais à peine les roses se sontelles répandues sur le sol, devant l’évêque, qu’apparaît, imprimée sur la cape de Juan Diego, l’image de la Vierge Marie, telle qu’on peut encore la voir de nos jours dans le sanctuaire qui lui est consacré. Le nom de Guadalupe On peut se demander pourquoi Bulletin Paroissial 41/2005 — Page 4 Marie, apparaissant à un pauvre Indien mexicain et lui parlant dans sa langue, veut être appelée NotreDame « de Guadalupe », un nom espagnol. Faut-il y voir un rappel de la Vierge du même nom, dont la statue s’élève à Estremadura, en Espagne ? La croyance avance une autre explication : Marie n’aurait fait qu’employer l’expression aztèque coatlaxopeuh, qui se prononce « quatlasupe », c’est-à-dire à peu près comme le mot Guadalupe. Dans cette hypothèse, ce nom aurait désigné celle « qui écrase le serpent » (coa désignant le serpent ; tla correspondant à notre article défini le, et xopeuh signifiant écraser ). Quoi qu’il en soit, la controverse subsiste. L’image de Notre-Dame de Guadalupe Elle apparaît comme une princesse indienne d’une grande beauté, très jeune, avec un léger sourire de compassion et un regard plein d’humilité. Elle est environnée d’étoiles ; toute sa personne irradie la lumière céleste. Sa tunique ocre rouge évoque, a-t-on dit, le sang répandu lors des sacrifices humains organisés par les Aztèques, auxquels s’est substitué le sang versé par le Christ Rédempteur de l’humanité. La couleur bleu-vert de son manteau est le signe de sa noblesse céleste, car cette couleur était celle des rois. L’ampleur des plis de sa robe tout comme sa ceinture remontée témoignent que Marie est enceinte : rares sont les représentations de la Vierge ainsi « en attente ». L’énigme du portrait La précieuse image de la Vierge est restée intacte en dépit de tout ce qui aurait pu l’altérer tout au long des siècles : humidité, chaleur, poussière, insectes, air, gaz carbonique... ; elle a la même splendeur que le jour de sa révélation, le 12 décembre 1531. Pour les scientifiques, ce défi aux habituels outrages du temps est impossible à expliquer. Rien ne permet de comprendre comment une image, imprimée recto verso sur une toile aussi grossière qu’un manteau en fibre de cactus (le tilma), ait pu présenter un tel degré de conservation pendant quatre siècles et demi, car il est scientifiquement établi qu’un tissu d’aussi mauvaise qualité se détruit normalement au bout de vingt ou trente ans ! En tout état de cause, une toile aussi grossière, sans aucun apprêt, ne se prêterait nullement à une peinture aussi raffinée, laquelle se présente davantage comme une photo ; en effet, il n’a pu être trouvé aucune trace de quelconques pigments connus sur le portrait de la Vierge malgré les analyses poussées auxquelles il a été procédé... Autre sujet d’étonnement : les broderies du vêtement, qui constituent une véritable carte du Mexique et les étoiles qui l’environnent. Cellesci figurent très précisément la position des constellations qui se trouvaient au-dessus de Mexico, et donc de la Vierge, le 12 décembre 1531, jour de son apparition. On sait, en effet, re- Bulletin Paroissial 41/2005 — Page 5 constituer de nos jours la place exacte des constellations qui se trouvaient dans le ciel en n’importe quel point de notre planète et à n’importe quelle époque. Le mystère des yeux Mais il y a plus dans l’inexplicable : en 1929, le photographe officiel de la Basilique Guadalupe, à Mexico, a la profonde stupéfaction de découvrir l’image d’un homme barbu dans l’œil droit de la Vierge. Il s’agit vraisemblablement de celle de l’Indien Juan Diego en contemplation. L’Eglise enjoint le photographe de garder le silence. Ce n’est que beaucoup plus tard que l’on commence véritablement à s’intéresser à cette découverte. C’est ainsi qu’une vingtaine de scientifiques et ophtalmologues réputés sont amenés à donner un avis convergent sur la présence de l’image d’une forme humaine dans la cornée des deux yeux, et en 1979, le Dr Tonsmann, utilisant une technologie à haute définition, non seulement confirme la présence de l’image humaine déjà découverte, mais révèle de plus l’existence d’autres personnages au centre même de l’œil de la Vierge ! Béatification et canonisation de Juan Diego Pendant 17 ans, Juan Diego délivrera le message d'amour de "Lupita" et servira de médiateur entre le ciel et les hommes; il mourra à 74 ans et sera béatifié par le Vatican le 6 Mai 1990, mais il faudra encore attendre plus de dix ans pour qu’enfin, on décide de le canoniser... Le Pape Jean Paul II, alors âgé de 82 ans, s'est en effet rendu au Mexique le 30 juillet 2002 en dépit de son état de santé fragile. Après de nombreuses années d'attente de toute la Nation mexicaine, le Pape canonise, dès le lendemain de son arrivée, l'indien évangélisé Juan Diego à qui la vierge de Guadalupe était apparue... en décembre 1531. Une prière à Notre-Dame de Guadalupe Celle qu’au Mexique, on appelle, dans les prières et les sermons, «Nuestra Señora, Reina de Mexico y Imperatriz de America », fait toujours l’objet d’une dévotion et d’une ferveur populaires intenses dans ce pays et, plus généralement, aux Amériques, ainsi que l’a reconnu Jean-Paul II en la qualifiant de « Mère des Amériques ». Nous avons recours à votre protection Sainte Mère de Dieu. Ne repoussez pas nos prières Dans nos nécessités, Mais délivrez-nous des dangers O Vierge Sainte Glorieuse et bénie. Amen. Notre-Dame de Guadalupe, Protège-nous sous ton manteau. Bulletin Paroissial 41/2005 — Page 6 Michel Thimmesch LES INSCRIPTIONS A LA PREMIÈRE COMMUNION, A LA PROFESSION DE FOI ET A LA CONFIRMATION Chers Parents, Il y a quelques années, vous avez demandé le baptême de votre enfant. Vous avez pris l'engagement de lui faire découvrir la vocation de disciple de JÉSUS-CHRIST. Vous l'avez initié à la grande mission d'être responsable dans l’Église. ( Aujourd'hui, votre enfant a l'âge de donner une suite aux engagements de son baptême et de préparer avec d'autres enfants de notre paroisse LA PREMIÈRE COMMUNION (en CE2), ou de préparer avec d'autres jeunes la fête de LA PROFESSION DE FOI (en 4e) en vue de la CONFIRMATION (qui aura lieu en 3e). C’est indispensable pour pouvoir être parrain ou marraine (Can. 874§1). La préparation à la Confirmation se fait en deux ans. La première année se termine par la Profession de Foi. Si quelqu’un ne souhaite pas y participer, il doit quand même s’inscrire et suivre les deux années de préparation à la Confirmation en l’an 2007 (surtout les jeunes nés en 1992). Les activités de nos jeunes sont très nombreuses; aussi faut-il faire des choix. La décision de préparer cette fête demandera un effort soutenu du côté du jeune comme du côté des parents. Oui, aussi bien LA PREMIÈRE COMMUNION que LA PROFESSION DE FOI et LA CONFIRMATION se préparent sérieusement, avec l'indispensable catéchèse scolaire, un ensemble de rencontres, de célébrations dominicales, de travail personnel et de prière. Le moment est venu de prendre une décision en toute connaissance de cause. C'est pourquoi, je vous invite à discuter sérieusement dans votre famille de cette démarche d'Église. Si vous optez pour une bonne préparation de LA PREMIÈRE COMMUNION, ou de LA PROFESSION DE FOI, je vous prierais de bien vouloir me rapporter, à la réunion des parents, le talon d'engagement ci-joint. Votre Curé Bulletin Paroissial 41/2005 — Page 7 TALON D’INSCRIPTION A REMETTRE AU CURE lors de la réunion des parents à Kilstett et à Gambsheim dans la salle paroissiale: - mercredi 31 août à 20 h pour la Première Communion à Gambsheim; - jeudi 1er septembre à 20 h pour la Première Communion à Kilstett; - vendredi 2 septembre à 20 h 30 pour la Profession de Foi à Kilstett et Gambsheim (cette fois-ci la réunion pour les deux villages dans la salle à Gambsheim) Nous, parents de (NOM de l’enfant)………...……………………………………… Prénom(s) de l’enfant......................................................................................... Adresse:.................rue..........................................…..Ville................................. N° de téléphone:...........................…. e-mail:…….…………..@……..…………... participant à la catéchèse scolaire chez : M(me).............….....................…….... Nous prenons l'engagement de cheminer avec notre enfant, et nous ferons tout notre possible pour une digne et bonne préparation de la célébration : de LA PREMIERE COMMUNION* de LA PROFESSION DE FOI* * marquez ci-dessous le jour ou les horaires où la rencontre ne pourra pas être possible:………………………………………….……………………………….. joindre obligatoirement a photocopie de l’inscription du baptême au votre livret de famille ou un certificat de baptême ………..…………..., le ......................... Signature(s) de(s) parent(s) (* rayez la mention inutile) DECLARATION DU JEUNE ** : (Profession de Foi) NOM et Prénom ............................................…................................................... Je m'inscris librement à la préparation de LA PROFESSION DE FOI et CONFIRMATION. Je m'engage à collaborer sérieusement avec toute l’équipe. Je ferai de mon mieux pour participer régulièrement à la catéchèse scolaire au collège et aux rencontres d'équipe, ainsi qu'à des célébrations dominicales qui sont nécessaires pour la connaissance de Jésus Christ. Signature ** en quelques phrases - sur une feuille de papier libre, signée et jointe à ce talon, tu indiques les raisons pour lesquelles tu souhaites faire ta Profession de Foi et ta Confirmation, et ce que tu attendes de la préparation Bulletin Paroissial 41/2005 — Page 8 TOUS CEUX QUI VIENNENT, NE SONT-ILS PAS INVITES AU REPAS ? Il n’est jamais agréable de faire une remarque qui peut être mal prise et c’est le cas de ce petit texte. Je ne vous apprendrai rien en vous disant que notre société se déchristianise, que la pratique et encore plus la connaissance de notre foi et de ses traditions se perdent. Cela entraîne quelques situations où les personnes n’agissent plus selon les usages en cours dans l’Église. Il arrive que des gens qui ne sont pas du tout pratiquants, voire incroyants ou d’autres religions participent à une messe lors d’une communion solennelle, d’une confirmation, d’un mariage ou plus souvent lors d’un enterrement. En général ils essayent de suivre le mouvement : assis, debout, à genoux éventuellement, et quand arrive le moment de communier, ils suivent, en croyant bien faire. Communier c’est se déplacer jusqu’à l’autel pour recevoir un morceau de pain qui, pour les catholiques est le Corps du Christ. C’est là qu’il y a un problème : on peut as- sister à une messe par simple politesse, ou pour faire plaisir, ou par devoir mais, communier, est une démarche différente, c’est une démarche de Foi qui suppose adhésion à la doctrine chrétienne et une certaine disposition du coeur. Il ne faut donc pas se sentir obligé de participer : vous ne serez pas jugés et même votre attitude sera appréciée. Si vous êtes concernés et que ce mot tombe entre vos mains ne vous fâchez pas, essayez de comprendre : il ne s’agit pas d’une exclusion mais d’une démarche de vérité. Si malgré tout vous voulez participer je vous livre au moins le mode d’emploi. Quand le prêtre, ou une autre personne vous présente l’hostie (morceau de pain) il dit : " le Corps du Christ " et vous répondez " Amen " (J’ y crois) en présentant les deux mains l’une sur l’autre. L’hostie est déposée dans la main supérieure et vous la portez à la bouche immédiatement avec la main restée libre. Merci d’avance pour votre compréhension. Bulletin Paroissial 41/2005 — Page 9 Christian Chaumont PAS DE JEUX EN VERSION WEB AVEC NOS EXCUSES Bulletin Paroissial 41/2005 — Page 10