SOMMAIRE - Académie de Rennes

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SOMMAIRE - Académie de Rennes
bloc notes
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NUMÉRO
37 / SEPTEMBRE 2001
SOMMAIRE
2-3
PREMIER DEGRÉ - COLLÈGE - LYCÉE
VIE SCOLAIRE
OUVERTURES DE LA RENTRÉE
4-5
ENSEIGNEMENT TECHNOLOGIQUE
ET PROFESSIONNEL
ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR
LANGUES VIVANTES
LANGUES ET CULTURES RÉGIONALES
6-7
ARTS ET CULTURE - TECHNOLOGIES DE
L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION
ADAPTATION ET INTÉGRATION SCOLAIRE
ÉDUCATION POUR LA SANTÉ
8-9
PILOTAGE ACADÉMIQUE - CARTE DES FORMATIONS
GESTION DES RESSOURCES HUMAINES
PERSONNELS D’ENCADREMENT : ARRIVÉES
10-11
BILAN DES MOUVEMENTS DES PERSONNELS
PRÉVISIONS D’EFFECTIFS PUBLICS ET PRIVÉS
SCIENCES ET TECHNOLOGIES
TENDANCES DES DÉCISIONS D’ORIENTATION
12
BAC 2001
BREVET NATIONAL DES COLLÈGES
ÉDITO
Cette année à nouveau, l'académie
de Rennes obtient les meilleurs
résultats de France ; elle est au premier
rang pour le pourcentage des reçus
aux baccalauréats des séries générales,
technologiques et professionnelles
et au brevet des collèges. Ainsi,
sont récompensés les efforts des élèves,
l'ambition des familles et
l'investissement des professeurs.
Les objectifs de la Loi d'orientation de
1989 sont plus que jamais à l'ordre du
jour. Il faut confirmer et approfondir
cette réussite en veillant à ce que 80 %
des jeunes puissent accéder au niveau
IV et que tous acquièrent une
qualification. La prise en compte de la
diversité des formes d'intelligence qui
passe tant par la valorisation des
activités artistiques que par l'optimisation des voies professionnelles,
comme la mobilisation pour la maîtrise
des langages (langue française, autres
langues vivantes, étrangères ou
régionales, langues du multimédia)
doivent nous permettre des progrès
significatifs.
Réaffirmant les ambitions académiques,
nous affichons pour la rentrée 2001,
une série d'actions prioritaires. Elles
s'inscrivent dans une double stratégie.
Sur le plan pédagogique, il s'agit d'une
stratégie de réussite s'appuyant à la fois
sur les nouveaux programmes,
les nouvelles approches, notamment
interdisciplinaires, et en appelant
à nos capacités d'innovation. Sur le
plan administratif, d'une démarche
de progrès dont le but est d'améliorer
notre fonctionnement au service de
la réussite de tous.
MARC DEBÈNE
Recteur de l’académie de Rennes
Chancelier des universités de Bretagne
LE MAGAZINE DE L'ACADÉMIE DE RENNES
Premier degré
MAÎTRISER “LE DIRE, LIRE, ÉCRIRE”
Maîtriser les apprentissages fondamentaux, apprendre une langue étrangère, développer les sciences,
les arts et les nouvelles technologies… tels sont les objectifs assignés à l’école.
“C’est d’abord la maîtrise de la langue et de
ses pratiques au travers du Dire, Lire, Écrire
qui permettra la réussite de tous”. Dans son
discours du 20 juin 2000, référence de la
circulaire de préparation de rentrée scolaire
2001 dans le premier degré, le ministre de
l’Éducation nationale a présenté les grandes
lignes de ce qui est attendu de l’école primaire.
Cette maîtrise doit trouver sa substance dans
l’ensemble des champs disciplinaires ;
l’accent étant mis sur l’enseignement d’une
langue vivante, la rénovation de l’enseignement des sciences, l’éducation artistique et
le développement de l’usage des TICE.
REPÉRER LES DIFFICULTÉS TRÈS TÔT
La maîtrise de la langue commence dès
l’école maternelle et impose de repérer les
difficultés le plus tôt possible et de les
résoudre rapidement.
Ce traitement des difficultés précoces suppose un renforcement du travail en équipe
des enseignants, personnels des réseaux
d’aide et de soutien aux élèves en difficulté
(RASED), médecins de santé scolaire, infirmiers, en lien avec les familles et les collectivités, tout particulièrement pour l’accueil
des enfants de deux ans.
À des fins de diagnostic, les évaluations en
grande section, CP et CE2 doivent être analysées par les équipes éducatives et permettre
d’élaborer, dès que possible, des programmes personnalisés d’aides et de progrès (PPAP).
En décembre 2001, un bilan des réalisations
sera effectué par circonscription.
UNE SECONDE LANGUE
L’enseignement d’une langue vivante autre
que le français doit s’intégrer à la culture
scolaire ordinaire de l’école primaire. Cet
enseignement doit être généralisé, dès la
rentrée, en CM2 et CM1.
Cette généralisation s’appuiera sur l’élaboration d’une carte des langues de la maternelle au lycée alliant diversification
linguistique et continuité dans les apprentissages à l’échelle des bassins.
De plus, les initiatives des équipes pédagogiques qui tenteront d’implanter l’apprentissage d’une langue vivante dès la fin de
l’école maternelle seront soutenues.
SCIENCES, ARTS
ET NOUVELLES TECHNOLOGIES
Toutes les formes d’intelligence devront être
développées harmonieusement en renfor-
çant notamment l’enseignement des sciences,
l’éducation artistique et l’utilisation des TICE.
La rénovation de l’enseignement des sciences
aura pour but de permettre aux élèves de
s’approprier une démarche d’investigation
raisonnée à partir d’opérations telles que “la
main à la pâte”.
L’éducation artistique s’appuiera notamment sur les arts plastiques et l’éducation
musicale, particulièrement le chant choral,
en développant des partenariats de qualité.
L’utilisation des TICE devra être renforcée
notamment par l’accélération des équipements et des connexions pour toutes les
écoles afin de tendre vers 100 % d’ici fin
2002.
Tous ces points sont repris et détaillés dans
ce numéro de Bloc-Notes.
CONTACT
Bruno Wils, chargé de mission
auprès du recteur - Rectorat
Tél. : 02 23 21 73 06 - Fax : 02 23 21 73 05
Mél : [email protected].
Référence
Préparation de la rentrée scolaire 2001
dans le premier degré (circulaire n° 2001051 du 21 mars 2001. BO n° 13 du 29 mars
2001).
Collège
ACCUEILLIR ET MAINTENIR
LA COHÉSION SOCIALE
Évaluation, diversification des parcours, autonomie renforcée des
établissements, politique des langues, rôle accru des arts et de la culture…
ces principales orientations ont été retenues pour l’année scolaire.
La déclaration du ministre de l’Éducation
nationale sur le collège républicain a fixé le
cap : le collège a toujours vocation à
accueillir l’ensemble d’une classe d’âge et à
garantir la cohésion sociale. Les grandes
priorités ne sont pas remises en cause et les
orientations retenues sont le développement d’une culture de l’évaluation, la
diversification des parcours, l’autonomie
renforcée des établissements, la politique
des langues, le rôle accru des arts et de la
culture.
DES DISPOSITIFS D’AIDE
PLUS LISIBLES
C’est la classe de sixième qui sera, bien sûr,
plus directement concernée cette année. Il
s’agira de rendre les dispositifs d’aide plus
lisibles, en privilégiant ceux qui se sont
révélés les plus efficaces : accompagnement des élèves dans leur travail personnel
et acquisition des méthodes privilégiant
les apprentissages fondamentaux. Les initiatives déjà prises en matière de liaison
CM2 - sixième montrent la voie à suivre :
comment assurer la continuité nécessaire,
tout en préservant les effets bénéfiques de
cette rupture que constitue l’entrée au collège ? L’accueil à l’entrée en sixième sera à
cet égard une priorité pour cette rentrée : il
importe que tous y soient associés.
L’objectif est d’assurer la réussite de tous.
Aussi, à travers les nouvelles modalités et
les initiatives pédagogiques prises pour
permettre à tous les élèves d’accéder à une
culture commune, il convient de chercher
à réduire les taux de redoublement, encore
trop élevés en fin de sixième. En particulier, l’utilisation pédagogique des résultats
de l’évaluation nationale de début d’année
sera renforcée.
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DES ITINÉRAIRES DE DÉCOUVERTE
EN 5e/4e
Dès la rentrée 2002, dans tous les collèges,
des itinéraires de découverte pour les
classes du cycle central seront proposés.
Il est essentiel d’anticiper sur cette initiative majeure et d’examiner le plus tôt possible dans chaque établissement quelles
solutions pourront être retenues, sans se
priver des acquis, même fragiles, des parcours pédagogiques diversifiés ou des travaux croisés. Les approches interdisciplinaires ont montré leur efficacité, dès lors
qu’elles s’inscrivent dans un véritable projet qui prend en compte les motivations et
les centres d’intérêt des élèves. Ainsi, le
choix d’une troisième technologique à
orientation professionnelle (TOP) doit
s’inscrire dans une démarche d’orientation positive. Dans le même esprit, il
importe de trouver des réponses indivi-
SEPTEMBRE 2001
dualisées pour ceux qui sont en voie de
rupture avec l’école. Les classes relais
constituent ainsi un dispositif intéressant
dont il faudra évaluer l’efficacité.
CONTACT
Joël Lesueur, IA-IPR de lettres
inspection pédagogique régionale - Rectorat
Tél. : 02 23 21 77 71 - Fax : 02 23 21 74 00
Mél : [email protected]
Références
• Préparation de la rentrée 2001 dans
les collèges (circulaire n° 2001-105 du
8 juin 2001. BO du 24 juin 2001. BO
n° 24 du 14 juin 2001).
• Rapport Joutard :
http://www.education.gouv.fr/
rapport/joutard/accueil.htm
NOUVELLES SECTIONS
Lycée général et technologique
LES OUVERTURES
DE LA RENTRÉE
PLUS D’AUTONOMIE
Au lycée, les démarches développant l’autonomie et la responsabilisation
des élèves, ainsi que le renouvellement des programmes vont se poursuivre.
Rentrée 1999 : mise en place de l’aide individualisée en seconde, rentrée 2000 : généralisation des travaux personnels encadrés
dans les premières des séries générales. Pour
2001, troisième année d’application de la
réforme, la priorité sera de conforter les
acquis de ces évolutions, mais aussi de poursuivre les démarches qui développent l’autonomie et la responsabilité des élèves, à
travers les pratiques pédagogiques et la vie
lycéenne, comme le préconise la circulaire
de préparation de la rentrée 2001 dans les
lycées d'enseignement général et technologique.
RÉDUIRE LE REDOUBLEMENT
EN SECONDE
L’aide individualisée a permis d’apporter
des réponses plus adaptées aux difficultés
des élèves. Il est essentiel de veiller à ce qu’elle
bénéficie à ceux qui en ont le plus besoin.
Elle doit être conçue en liaison avec les
modules. L’efficacité du dispositif se tra-
duira par une baisse significative du taux
de redoublement en fin de seconde, actuellement deuxième orientation après la 1re S !
DES TPE EN OPTION
Sur le dossier des travaux personnels encadrés (TPE), deux nouveautés pour cette rentrée. Les élèves de terminale des séries
générales pourront, s’ils le souhaitent, mener
un TPE qui sera pris en compte comme
option facultative pour le baccalauréat. Du
côté des séries technologiques, on expérimentera ces TPE dans un nombre limité
d'établissements, en STT, STI et SMS. Les
thèmes retenus l’année dernière ont été pour
l’essentiel reconduits. Il sera donc plus aisé
de mettre à la disposition des élèves les ressources documentaires dont ils ont besoin.
DES PROGRAMMES
RENOUVELÉS
Parallèlement aux réformes qui touchent à
l’organisation des enseignements, le renou-
vellement des contenus se poursuit selon
des rythmes différents. C’est ainsi que des
nouveaux programmes entreront en application en première ou en seconde pour la
plupart des disciplines, en terminale pour ce
qui concerne la philosophie. Les consultations de l’an dernier ont permis à chacun de
s’exprimer et les groupes d’experts ont procédé aux ajustements nécessaires.
CONTACT
Joël Lesueur, IA-IPR de lettres
Inspection pédagogique régionale - Rectorat
Tél. : 02 23 21 77 98 - Fax : 02 23 21 74 00.
Mél : [email protected]
Référence
Préparation de la rentrée 2001 dans les
lycées d'enseignement général et technologique (circulaire n° 2000-083 du 11 juin
2001. BO n° 24 du 14 juin 2001).
ORGANISER LE TEMPS
ET L’ESPACE
Projets documentaires,
responsabilisation des élèves,
prise en compte des publics
BEP
– Bâtiment : Métaux Verre et Matériaux de Synthèse
(option Métaluver) : LP de Pleyben et LP Ampère
à Josselin.
– Maintenance des Systèmes Mécaniques Automatisés : SEP du lycée Thépôt à Quimper.
CAP
ÉTABLISSEMENTS PRIVÉS
spécifiques… l’impulsion
forte donnée à la vie scolaire
sera accompagnée de
formations et de conseils
aux établissements.
La vie au sein des établissements scolaires est
spécifique : elle a ses codes, ses règles, ses
valeurs, ses systèmes de relations… Elle est
aussi fondée sur les organisations des temps
et des espaces. Les pratiques développées
au service de la réussite des élèves s’appuient
sur ces particularités.
l’actualisation des règlements intérieurs,
aux instances représentatives… De même,
impliquer les élèves dans les programmes de
prévention de la violence et des conduites
addictives leur permettent de réfléchir “activement” sur les valeurs et les stratégies de
choix de vie.
POLITIQUE DOCUMENTAIRE,
Cette préoccupation éducative doit s’appuyer sur des expertises menées à l’intérieur de l’établissement et s’enrichir de
partenariats, notamment avec les familles.
Chaque établissement utilisera à cet effet
l’outil pertinent que constitue le comité
d’éducation à la santé et à la citoyenneté
(CESC).
Les besoins spécifiques de certains publics
(lycées professionnels, SEGPA, EREA…)
doivent aussi être pris en compte. Le cadre
de vie doit ainsi bénéficier d’une attention
particulière afin de concrétiser les réflexions
en cours sur les conditions d’accueil dans les
internats éducatifs tout particulièrement
ceux de collège.
Au cours de l’année 2001/2002, trois dimensions de la vie scolaire seront particulièrement développées dans notre académie.
L’évolution actuelle du système scolaire
impose à chaque établissement de construire
une véritable politique documentaire au
service des apprentissages des élèves : des
projets documentaires seront élaborés, des
séances de travail entre chefs d’établissement, documentalistes et corps d’inspection seront organisées…
Pour aider les élèves à construire des repères
nécessaires à une démarche citoyenne, il
est important de les faire participer à
POST BAC
– CPGE 2e année Économique et Commerciale option
scientifique : lycée Dupuy-de-Lôme à Lorient.
– BTS Technico Commercial Matériel Agricole, BTP,
Manutention, loisirs : lycée H. Avril à Lamballe.
– BTS Technico Commercial Bois et dérivés : lycée
De l’Elorn à Landerneau.
– BTS Fluides, Énergies, Environnements option D :
Maintenance et Gestion des Systèmes Fluidiques
et Énergétiques : lycée Mendès France à Rennes.
SECOND CYCLE LONG
– Enseignement de détermination Arts Plastiques en
seconde : lycée B. Franklin à Auray.
– Première littéraire Théâtre : lycée Jean Moulin à
Châteaulin.
BAC PRO - BMA
– Plasturgie en 1 an (FDD) : LP Chaptal à SaintBrieuc et SEP du lycée Jean Macé à Lanester.
– Maintenance des Réseaux Bureautique et Télématique en 1 an (FDD) : LP Coëtlogon à Rennes.
– Maintenance des Systèmes Mécaniques Automatisés : LP Maupertuis à Saint-Malo.
– Réalisation d’Ouvrages Chaudronnés, Structures
Métalliques : LP J. Crozet à Port-Louis.
– Bac Pro Exploitation des Transports : SEP du lycée
Brocéliande à Guer.
– Bac Pro Logistique : SEPdu Lycée Brocéliande à Guer.
– BMA Graphisme Décor option A : Lettres Décor :
LP B. Duguesclin à Auray.
– Charpente (en 1 an) : LP Dupuy-de-Lôme à Brest.
– Agent Polyvalent de Restauration : LP Saint QuayPortrieux, LP Lanroze à Brest.
– Employé de Commerce Multispécialités (en 2 ans) :
LP Lanroze à Brest.
– Menuiserie Agencement (en 2 ans) : LP Mendès
France à Rennes.
– Arts et Techniques du Verre (en 2 ans) : LP E. Zola
Hennebont.
– Carrelage Mosaïque (en 2 ans) : EREA de Rennes.
– Vendeur Magasinier en Pièces de Rechange Auto :
LP “Bel Air” à Tinténiac.
– Employé de Vente, Produits Équipements Courants :
LP J. Verne à Guingamp.
MENTION COMPLÉMENTAIRE
– Maintenance des Installations Oléohydraulique
et Pneumatique : LP E. Zola à Hennebont.
– Technicien Équipement Audiovisuel Professionnel :
LP F. Le Dantec à Lannion.
CLASSES TECHNOLOGIQUES
– Troisième Technologique à Orientation Professionnelle:
LP Ker Siam à Dinan, LP de Loudéac, LP J. Moulin à
Saint-Brieuc, LPP.Guéguin à Concarneau, LP“Bel Air”
à Tinténiac, LP La Champagne à Vitré, LP d’Etel, LP
J. Guéhenno à Vannes.
Vie scolaire
RESPONSABILISATION DES ÉLÈVES…
ÉTABLISSEMENTS PUBLICS
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PILOTAGE DE PROXIMITÉ
Cette impulsion forte donnée à la vie scolaire
s’accompagnera d’actions de formation et
de conseils aux chefs d’établissement. Le
bassin sera l’échelon d’animation et de
participation des acteurs à cet engagement
éducatif et le lieu du pilotage de proximité
basé sur la confiance et le contrat.
CONTACT
Roger Fetter, Josiane Ballouard,
Michel Ertaud, IA-IPR Vie scolaire
Inspection pédagogique régionale - Rectorat
Tél. : 02 23 21 77 29 - Fax : 02 23 21 73 05.
Mél : [email protected]
Références
• La vie lycéenne (BO HS 4 du 13 juin
2000).
• Procédures disciplinaires et règlement
intérieur (BO spécial 8 du 13 juin 2000).
SEPTEMBRE 2001
POST BAC
– CPGE 2e année Lettres et Sciences Sociales : lycée
Saint-François Xavier à Vannes
– BTS Esthétique, Cosmétique : lycée Notre-Dame
à Guingamp.
– BTS Communication visuelle option Multimédia :
lycée Le Paraclet à Quimper.
SECOND CYCLE LONG
– 1re d’adaptation Génie Électronique : lycée Le Likès
à Quimper.
– Spécialité Action et communication administrative
en terminale STT : lycée Sacré-Cœur à Saint-Brieuc.
– Spécialité Action et communication commerciale
en terminale STT : lycée Marie Balavenne à SaintBrieuc.
BAC PRO
– Vente Représentation en 1 an (FDD) : SEP du lycée
De la Salle à Rennes.
– Pilotage des Systèmes de Production Automatisés :
LP Sacré-Cœur à Saint-Brieuc.
CAP
– Agent Polyvalent de Restauration en 1 an (FDD) :
SEP du lycée La Mennais-Saint-Armel à Plœrmel.
– Tailleur Homme en 1 an : LP Bonne Nouvelle à Brest.
– Agent Accueil Conduite Routière Voyage en 1 an
(FDD) : LP Saint-Gabriel à Pont-L’Abbé.
– Agent Polyvalent de Restauration en 2 ans : LP Le
Porsmeur à Morlaix.
– Employé de Commerce Multispécialités en 2 ans :
LP Saint-Louis de Gonzague à Saint-QuayPortrieux.
– Cuisine en 2 ans : SEP du lycée Jeanne d’Arc,
Saint-Ivy à Pontivy.
MENTIONS COMPLÉMENTAIRES
– Styliste Visagiste : LP Montbareil à Guingamp.
– Coloriste Permanentiste : LP Montbareil à
Guigamp.
CLASSES TECHNOLOGIQUES
– Troisième Technologique à Orientation Professionnelle : SEP du lycée Saint-Étienne à
Cesson-Sévigné, LP Saint-Michel à Priziac.
CONTACT
Division de l’organisation scolaire (DOS) - Rectorat
Tél. : 02 23 21 74 88 - Fax : 02 23 21 74 89
Mél : [email protected].
Enseignement technologique et professionnel
FAIRE CONNAÎTRE CES VOIES DE RÉUSSITE
Agir sur l’orientation, l’information, l’offre de formation et les relations école-entreprise,
tous les leviers doivent être utilisés pour inciter les jeunes à choisir ces voies de réussite.
Les voies technologiques et professionnelles
sont des voies de réussite. Ainsi dans l’académie de Rennes, parmi les titulaires de
BEP, 4 élèves sur 5 poursuivent des études.
Ceux qui choisissent une première d’adaptation obtiennent, pour plus de 80 %
d’entre-eux, le baccalauréat en deux ans et
7 sur 10 poursuivent vers l’enseignement
supérieur, essentiellement en section de
technicien supérieur. Dans l’académie, l’insertion professionnelle des élèves diplômés
au niveau V (CAP ; BEP) et au niveau IV
(bac professionnel) est très favorable, la
Bretagne se situant au second rang en
France (1), juste après l’Alsace qui bénéficie
d’une situation d’emploi exceptionnelle.
Au concours général 2000-2001, les trois
premiers prix obtenus dans l’académie (2)
l’ont été par des élèves des filières technologiques.
Et pourtant, les lycées professionnels ont
enregistré à la rentrée 2000 une diminution
des effectifs de 1900 élèves, ce qui ne s’explique pas uniquement par la baisse démographique.
Face à cette situation, notre académie a
décidé de réagir en utilisant tous les moyens
susceptibles d’inverser les tendances constatées, dès la rentrée 2001, mais aussi à moyen
terme de façon plus durable.
OPTIMISER L’ORIENTATION ET
DÉVELOPPER L’INFORMATION
Un suivi de l’affectation dans chaque département est mis en place. Un outil de suivi
régulièrement renseigné permettra d’offrir
à chaque élève une place correspondant à ses
vœux et d’utiliser toutes les places vacantes.
Le calendrier d’affectation des élèves, déjà
avancé pour la rentrée 2001, sera encore
modifié à la rentrée 2002 pour permettre
d’affecter une majorité d’élèves le plus tôt
possible.
L’information sur les filières d’enseignement fait l’objet d’un travail conséquent au
niveau académique, mais aussi dans les établissements : renouvellement de la semaine
de l'enseignement technique, diffusion et
présentation en classe à tous les élèves de 3e
et à leur famille d’une plaquette “Choisir la
voie professionnelle aujourd’hui”, organisation de mini-stages pour les élèves de troisième.
AGIR SUR L’OFFRE
DE FORMATION
L’académie met en place une politique
volontariste pour développer des classes
technologiques à orientation professionnelle (TOP) et offrir à tout élève de BEP un
accès au baccalauréat professionnel ou technologique en quatre ans.
L’expérimentation menée dans sept classes
de 3e TOP au cours de l’année scolaire 20002001 a montré tout l’intérêt pédagogique
de ces classes et la forte attente manifestée
par les familles. Conformément au contrat
d’académie signé avec le ministère de l’Éducation nationale et au programme annuel
d’actions académiques (P3A), un travail
sera effectué dans chaque bassin d’animation de la politique éducative pour définir les
capacités d’accueil nécessaires, le rythme
des ouvertures, la localisation et le réseau
des collèges partenaires.
La modernisation de l’offre de formation
professionnelle se poursuit. De nouvelles
possibilités de poursuite d’études sont proposées aux élèves de BEP avec la création
de six nouvelles préparations au baccalauréat professionnel. Les voies d’accès à ces
diplômes sont aussi proposées aux élèves
de première et de terminale des lycées d’enseignement général et technologique, ainsi
qu’aux adultes en formation continue (une
plaquette d’information sera diffusée à la
rentrée dans tous les CIO, les points MGI,
les missions locales…).
L’académie s’engage dans une réflexion plus
approfondie, en relation avec le plan régional de développement de la formation professionnelle des jeunes, ARIANE en
Bretagne, qui sera réactualisé en 2001-2002.
Sur cette base, il s’agira de définir une problématique d’évolution pluriannuelle dans
chaque bassin pour adapter l’offre de formation, en la modernisant et en la structurant autour de pôles reconnus, dans une
véritable logique de voie des métiers.
Tous ces éléments constituent, avec la mise
en place de nouvelles pratiques d’information et d’orientation, la trame du “dispositif réactif piloté” (DRP) académique. Ce
dispositif, qui ne doit pas être purement
conjoncturel, sera approfondi et décliné
dans chaque bassin.
CONTACT
Délégation académique aux enseignements
techniques - DAET - Rectorat
Tél. : 02 99 25 78 42 - Fax : 02 99 25 78 69
Mél : [email protected]
(1) Résultats de l’enquête “Insertion dans la vie active” du
ministère de l’Éducation nationale.
(2) Sylvain Hacques, ancien élève de BEP, en terminale génie
civil au lycée Mendès France à Rennes ; Joël Bourgault en terminale S technologique industrielle au lycée Chaptal à SaintBrieuc ; Amandine Thévenon en terminale SMS au lycée
Dupuy de Lôme à Lorient.
Renforcer la relation
école-entreprise
L’information sur les métiers, l’adaptation de
la carte des formations, la mise en œuvre de
la formation professionnelle et technologique
nécessitent, à tous les niveaux (académique,
bassin, établissement) un partenariat étroit
et organisé avec les entreprises et les milieux
économiques.
Les lycées professionnels et technologiques
constituent un véritable potentiel de compétences techniques et économiques et apparaissent, notamment par la densité de leur
réseau, comme les partenaires les plus à même
d’aider les PME-PMI dans une perspective de
développement local, de consolidation de
l’emploi et donc de l’insertion professionnelle.
Dans le cadre du programme annuel d’actions
académiques, les cellules de partenariat des
établissements coordonnées par un délégué
aux entreprises seront développées.
Dans chaque bassin, un réseau local éducation-économie constitué de chefs d’établissement, de délégués aux entreprises, de
personnels de l’information et de l’orientation et coordonné par le correspondant de
l’ambition AVENIR du Projet académique travaillera avec leurs partenaires locaux. Les
plates-formes technologiques (Pole Cristal,
Cambium, PoleVisu@l, Plastipro, Optima
Industries graphiques, Charpente Marine,
Énergie du Bâtiment, Véhicules Industriels)
continueront à se développer dans une perspective de mise en place progressive des lycées
des métiers. Le double réseau ainsi constitué,
par bassin et par métier, constituera le réseau
Bretagne éducation-économie (RB2E) qui sera
animé et coordonné au niveau académique.
Références
• Enseignement professionnel : préparation de la rentrée 2001 en lycée professionnel (circulaire n° 2001-094 du
30 mai 2001. BO n° 23 du 7 juin 2001).
• Rapport Decomps :
http://www.education.gouv.fr/
rapport/descomps/accueil.htm
Enseignement supérieur
LE TEMPS DES RÉALISATIONS
Mise en service de
nouveaux bâtiments,
de centres de
documentation et de
recherche, ouverture de
nouvelles formations
et création d’une
association regroupant les
universités de Bretagne…
telles sont les principales
opérations prévues dans
les prochaines années.
Dans l'enseignement supérieur, les missions
du recteur-chancelier des universités s'inscrivent dans un calendrier au long cours.
La coordination des formations post-baccalauréat, le développement régional de l'enseignement supérieur, la gestion du
patrimoine immobilier, impliquent un cheminement où les phases de concertation,
de programmation et d'exécution se succèdent. Le schéma “Université du Troisième
Millénaire” (U3M), le contrat de plan ÉtatRégion et le schéma académique des formations post-baccalauréat ont défini les
orientations et les actions à mener sur les
prochaines années (cf. Bloc Notes spécial
rentrée 1999 et 2000). Le temps de la réalisation est maintenant venu.
permet d'achever des infrastructures de soutien des études et de recherche. Ainsi, en
2001-2002, seront mis en service les bibliothèques universitaires de Lorient, Vannes et
Rennes 2, le centre européen de documentation de la mer à Brest, ainsi que le bâtiment
de recherche en chimie et le pôle micro-ondes
radar de Rennes 1. À la rentrée, le nouveau
département d'IUT de Génie chimique - Génie
des procédés ouvre à Pontivy (UBS). Les
départements d'IUT de Saint-Malo et de
Saint-Brieuc (UR1) deviendront IUT de plein
exercice en cours d'année. L'université de
Bretagne qui regroupe universités, IUFM et
Grandes Écoles pour de nouvelles coopérations, connaîtra une impulsion avec la mise
en place d'une association.
démie, sur les poursuites d'études vers les
sciences. Un groupe de travail réunira
acteurs de la pédagogie scolaire et universitaires, autour des “parcours scientifiques et
technologiques” de l'école primaire au supérieur, pour les filles comme pour les garçons, afin de remédier à la désaffection que
l'on constate vis-à-vis de ces filières (1).
À cette action académique, s'ajouteront
toutes celles du ministère, comme, par
exemple, l'adoption du système européen
de crédits capitalisables, destinée à favoriser
la mobilité étudiante en Europe, la diversification des parcours et les reprises d'études
pour les adultes.
LE CONTRAT DE PLAN ÉTAT-RÉGION
CONTINUITÉ PÉDAGOGIQUE
ENTRE LE LYCÉE ET LE SUPÉRIEUR
• Marcel André, chargé de mission
L'exécution des engagements du contrat de
plan État-Région (2000-2006) s'effectue dans
un contexte où la pression des effectifs étudiants s'est sérieusement ralentie. Cette pause
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La continuité pédagogique entre les lycées
et l'enseignement supérieur sera renforcée.
En 2001-2002, l'accent sera mis, dans l'aca-
SEPTEMBRE 2001
(1) cf. article page 11.
CONTACTS
pour l’enseignement supérieur - Rectorat
Tél. : 02 23 21 73 10 - Fax : 02 23 21 73 05
Mél : [email protected].
• Universités (voir adresses en page 12).
Langues vivantes
LES LANGUES
POUR APPRENDRE
pôle sera consacré à l’enseignement de la
langue italienne.
Un pôle devra être ouvert dans notre académie pour l’enseignement de l’arabe.
Bien entendu, l’anglais sera offert à tous,
sous forme d’une langue première ou
seconde.
APPRENDRE EN
Charte des langues, carte des langues,
PLUSIEURS LANGUES
ces objectifs académiques contribuent
à faire des langues
vivantes des instruments
de connaissance et
d’échange.
Après avoir généralisé l’enseignement
des langues vivantes dans le premier
degré en CM2 pendant l’année scolaire passée, cet enseignement est maintenant étendu en CM1. Ce développement
se poursuivra jusqu’à la rentrée 2005 : tous
les enfants apprendront alors une langue
vivante dès la grande section de maternelle
et commenceront à apprendre une seconde
langue vivante en 6e.
Dans le cadre de ce développement sans
précédent, notre ambition est de favoriser
une indispensable diversité. Cela implique
un plan cohérent et ambitieux qui se traduira par l’élaboration d’une carte des
langues vivantes enseignées dans notre académie en concertation avec tous les acteurs
– enseignants, chefs d’établissement, collectivités territoriales notamment – et en
Du nouveau en bilingue
à cette rentrée
PREMIER DEGRÉ
• Finistère : un poste supplémentaire
à Lannilis et à Carhaix.
• Côtes-d’Armor : ouverture de maternelle
à Saint-Brieuc (“Grand-Clos”).
• Ille-et-Vilaine : un poste supplémentaire
à Rennes (“Les Gantelles”).
• Morbihan : ouverture de maternelle bilingue
à Pont-Scorff et à Lorient (“Nouvelle-Ville”)
et un demi-poste supplémentaire à Gourin
(élémentaire) et Guidel (maternelle).
liaison avec les
Inspections académiques.
Dans chacun des treize bassins de l’académie,
un pôle impliquant des écoles primaires, des
collèges et un lycée, où l’allemand sera enseigné de la grande section de maternelle au
baccalauréat, devra être défini.
Dans un bassin sur deux, un pôle similaire
pour l’enseignement de l’espagnol sera
implanté. Dans chaque département, un
Références
• Un ensemble de textes réglementaires
destinés à remplacer la circulaire
de 1995 (Enseignement des langues et
cultures régionales - BO n° 16 du 20 avril
1995) sont attendus.
• Protocole d’accord signé entre le MEN
et Diwan.
• Faciliter la mobilité et l’insertion dans une
Europe aux langues et cultures multiples.
• Développer la connaissance des langues et
des cultures afin de promouvoir l’enseignement et le rayonnement du français chez
nos partenaires.
Le breton, le gallo sont également concernés
par la Charte des langues vivantes car les
langues régionales obéissent à la même philosophie (priorité à la communication…) et
participent à l’acquisition des compétences
translangagières définies.
Après une large consultation, cette charte
sera promulguée dans sa forme définitive à
l’occasion de la Journée européenne des
langues, le 26 septembre 2001.
CONTACT
Lauro Capdevilla, IA-IPR d’espagnol,
chargé de mission langues - Inspection
pédagogique régionale - Rectorat
Tél. : 02 23 21 74 12 - Fax : 02 23 21 74 00
Mél : [email protected]
breton, en particulier
dans la filière bilingue,
constituera l’un des chandurant les mois prochains.
• ouverture d’une filière bilingue
au lycée Loth à Pontivy.
• Favoriser la communication en développant
les compétences orales pratiques et en faisant largement appel aux outils multimédia (CDRoms, Internet, etc…).
L’enseignement du
tiers de notre académie
• Morbihan : ouverture d’un enseignement
optionnel aux collèges Curie et Langevin
à Hennebont et au collège R. Rolland
à Pontivy.
• Donner à tous les élèves, dans nos écoles,
collèges, lycées professionnels, technologiques et d’enseignement général, une
ouverture internationale.
UNE ANNÉE DÉCISIVE
• Finistère : ouverture d’une filière
bilingue au collège de Lannilis.
• Ouverture d’un enseignement
optionnel : collège de Portsall
et collège de Rosporden.
• Faire des langues vivantes des instruments
de connaissance et d’échange enrichissant
l’enseignement de toutes les disciplines.
Langues et cultures régionales
SECOND DEGRÉ
• Mise en place d’un pôle bilingue
“tournant” à Landerneau et
Plougastel-Daoulas.
Les langues vivantes doivent être pleinement
conçues comme un outil
pour communiquer et
apprendre. Les sections
européennes, 214 à la rentrée 2001, où l’enseignement de disciplines aussi
diverses que l’histoire ou les
mathématiques – parmi
d’autres – se fait pour
partie en langues
étrangères, illustre
cette volonté de désenclavement. Les
“Assises des sections
européennes, régionales, orientales et
internationales de
l’académie de Rennes”
qui se tiendront à Brest
les 29 et 30 novembre, en clôture de l’année
2001,Année européenne des langues, témoigneront de la volonté de l’académie, et de
celle de ses partenaires, de promouvoir l’emploi des langues vivantes dans toutes les
situations et en particulier dans les lycées
professionnels et technologiques. La thématique sera “Apprendre plusieurs langues
= Apprendre en plusieurs langues”.
Charte des langues
Affirmer l’unité de la discipline “langues
vivantes”, tel est le principe fondamental du
projet de charte académique pour l’enseignement des langues vivantes. Cette charte
a plusieurs objectifs.
Après la signature en mai dernier du protocole d’intégration des écoles Diwan par
Jack Lang, ministre de l’Éducation nationale, 2001-2002 sera une année importante
quant à la prise en compte des langues et
cultures régionales et l’enseignement du
breton, en particulier dans la filière bilingue.
D’autres opérations seront également
menées : l’intégration effective des établissements Diwan ; la signature et mise en
application des mesures inscrites dans l’additif au contrat de plan État-Région concernant le bilinguisme français-breton ; la mise
en place du Comité académique ; l’établissement d’une carte de développement de
l’enseignement bilingue sous ses deux
aspects,“à parité” et “immersif”, (cf. lexique)
et de l’enseignement du breton comme
langue vivante dans le 1er degré ; l’information des usagers (parents, élèves,
enseignants…) et des collectivités sur l’enseignement bilingue ; la formation des personnels ; la préparation du concours spécial
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◆
de professeurs des écoles bilingues à
l’IUFM ; l’intensification de la publication
d’ouvrages didactiques en breton par TES,
la branche spécialisée du CRDP…
Par ailleurs, l’enseignement optionnel du
breton, du gallo (LVII et/ou LVIII), de la
culture régionale ne seront pas oubliés : une
circulaire ministérielle doit venir préciser
les nouvelles modalités.
CONTACT
• Premier degré : André Cornec, IEN
Bureau des inspecteurs - Rectorat
• Second degré : Daniel Carré,
chargé de mission d’inspection
Bureau des inspecteurs - Rectorat
Tél. : 02 23 21 74 43 - Fax : 02 23 21 74 00
Mél : [email protected] ou
[email protected]
LEXIQUE :
Enseignement bilingue “à parité” : enseignement assuré de
la maternelle au CM2 sur la base de la parité horaire (50 %
du temps dans chaque langue) ; cette parité, rarement atteinte
actuellement au-delà de la 6e, constitue l’un des objectifs du
nouveau dispositif.
Enseignement bilingue “immersif ” (type Diwan) : l’enseignement est le breton ; la langue de vie, non exclusive, est le
breton ; l’enseignement en français est introduit à partir du
CE1.
SEPTEMBRE 2001
Langue et culture gallèses
NOUVELLES OUVERTURES
EN SECONDAIRE :
• Collège le Chêne Vert à Bain-de-Bretagne.
• Lycée Anne-de-Bretagne à Rennes.
• Collège de Cleunay à Rennes.
Arts et culture
DES PROJETS AVEC
LES COLLECTIVITÉS
ET LES PARTENAIRES
CULTURELS
À travers de multiples projets et des partenariats,
l’éducation artistique et culturelle sera généralisée
dans le premier et le second degré.
Le Plan quinquennal pour les arts et la culture permettra de réorganiser et de développer l’ensemble des dispositifs artistiques
et culturels existant à l’École, de la maternelle
à la classe terminale, dans une logique de
cohérence, de complémentarité et de continuité avec les enseignements. Ce Plan doit
être un levier efficace, dynamique, innovant
et stimulant pour une relance effective des
projets d’école et d’établissements ; ainsi,
qu’il s’agisse de classes à projet artistique et
culturel, d’ateliers artistiques, d’ateliers
scientifiques, de projets arts et culture et de
projets innovants spécifiques aux établissements, un lien pourra être fait avec les par-
cours diversifiés, les travaux croisés, les itinéraires de découverte en collège, les travaux personnels encadrés au lycée, et les
projets pluridisciplinaires à caractère professionnel en lycée professionnel.
DÉVELOPPER LES PARTENARIATS
Pour mener à bien ce plan ambitieux qui
vise à généraliser l’éducation artistique et
culturelle à l’école, il est indispensable d’établir des partenariats entre les différents
ministères (Culture, Recherche, Ville), les
collectivités territoriales ainsi que le monde
associatif, artistique et scientifique. Un
ensemble spécifique de convention avec
l’académie de Rennes est à réorganiser ou à
reconstruire. L’année scolaire 2001-2002 y
sera consacrée. La création de la Délégation
aux Arts et à la Culture auprès du recteur
d’académie doit permettre de faire évoluer
les comportements et les fonctionnements
administratifs et logistiques. Ceci au bénéfice du développement des projets d’école,
d’établissements, voire des bassins d’animation de la politique éducative (BAPE),
lieux de réalisation des ambitions académiques et ministérielles pour développer
des stratégies d’accompagnement pédagogiques et techniques.
CONTACTS
Jacques Chapuis, délégué aux arts
et à la culture - DEAE Rectorat
Tél. : 02 23 21 77 73 - Fax : 02 23 21 77 95
Mél : [email protected]
Références
• Les classes à projet artistique et culturel
(circulaire n° 2001-104 du 14 juin 2001.
BO n° 24 du 14 juin 2001).
• Les ateliers artistiques dans les collèges,
les lycées d'enseignement général et
technologique et les lycées professionnels
(NS n° 2001-103 du 11 mai 2001. BO n° 24
du 14 juin 2001).
Technologies de l’information et de la communication
S’APPROPRIER LES TECHNOLOGIES
DÈS LE PREMIER DEGRÉ
Les programmes et les pratiques font de plus en plus
appel à l’usage des outils numériques.
des élèves, leur initiation à une réflexion
citoyenne, la mise en place d’indicateurs et
de canaux d’information, l’accès de tous les
personnels aux nouveaux services à
distance, le développement du travail
collaboratif, s’appuieront de plus
en plus pour leur développement
sur les bassins d’animation de la politique éducative. Ces bassins seront
également le lieu privilégié de la cohérence entre le premier et le second
degré pour l’assistance aux utilisateurs.
DU BREVET INFORMATIQUE
AU CARTABLE ÉLECTRONIQUE
Le premier plan triennal (1998-2001) de
développement des usages des technologies
de l’information et de la communication
(TIC) est achevé. L’académie aura dès le
début de l’année scolaire à en tirer les principaux enseignements, et à prendre en
compte ces évolutions technologiques dans
les nouvelles formes d’enseignement et
d’apprentissage (travaux personnels encadrés (TPE), projets pluridisciplinaires à
caractère professionnel (PPCP), aide individualisée), les programmes et les pratiques
faisant en effet de plus en plus appel aux
outils numériques.
TRAVAIL EN BASSIN
Le Projet académique, dans toutes ses ambitions, et en particulier dans l’ambition
modernisation, sollicite particulièrement
les TIC. L’aide au traitement des difficultés
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◆
Parmi les projets qui seront lancés ou
poursuivis en 2001-2002, notons en particulier :
– la mise en réseau global des établissements :
la poursuite de l’équipement et du câblage
par les collectivités avec l’aide de l’État, le
développement à l’usage de l’ensemble de
l’établissement des services de l’intranet
(outils de gestion documentaire, d’information, de communication…).
– l’achèvement progressif de la connexion
des écoles à l’Internet,
SEPTEMBRE 2001
– l’accentuation de la politique de facilitation des usages en établissement, avec le
début du déploiement de logiciels de sécurisation des réseaux et des postes, la poursuite de la mise en place des espacesressources avec l’arrivée en nombre de
personnels ATOS.
– la poursuite de la mise en place du Brevet
d’Informatique et d’Internet, qui doit progressivement se généraliser au collège, et
s’étendre aux écoles en fonction des installations disponibles et de la formation
des enseignants.
– la mise à la disposition des élèves de cartables électroniques, pour l’aide scolaire ou
le travail dans l’établissement.
– le déploiement d’environnements permettant l’accès à distance des personnels
à des ressources diverses (bureau virtuel),
la formation ou le travail collaboratif à
distance.
– le développement des ressources pédagogiques en ligne sur le site web de l'académie.
CONTACT
Service informatique académique - SERIA5 TICE
Tél. : 02 23 21 76 77 - Fax : 02 23 21 75 95
Mél : [email protected]
Adaptation et intégration scolaire
DES RÉPONSES EFFICACES
Réseaux d’aides (RASED),
dispositifs de prévention
Si le collège est le degré d’enseignement où
l’adaptation et l’intégration scolaires (AIS)
doivent être renforcées en priorité, il paraît
nécessaire de concevoir une politique académique d’ensemble dans ce domaine à des
fins d’harmonisation et d’optimisation donc
de plus grande efficacité.
de l’échec scolaire vont
PRÉVENIR L’ÉCHEC
SEGPA, classes d’adaptation, EREA, CLIS, UPI, les
être renforcés.
“Apporter une réponse plus efficace aux difficultés des élèves”. Dans son discours du
5 avril 2001, référence de la circulaire de
préparation de rentrée scolaire 2001 dans
les collèges, le ministre de l’Éducation nationale met l’accent sur cette nécessité. Il souligne l’importance du renforcement de la
place des sections d’enseignement général et
professionnel adapté (SEGPA) en collège et
de leur spécificité car elles participent au
traitement de la grande difficulté scolaire et
annonce une nouvelle étape destinée à favoriser l’accueil des élèves handicapés en collège, notamment au travers des unités
pédagogiques d’intégration (UPI).
Des outils de dépistage
La maîtrise du langage écrit met en jeu des
processus neurosensoriels et cognitifs aujourd’hui bien identifiés et dont la combinaison
harmonieuse est nécessaire. La déficience de
l’un de ces processus - due à un simple retard
de maturité neurologique ou liée à l’existence
d’une anomalie constituée - est une source de
difficultés d’apprentissages, voire d’échec
scolaire. Or, dans l’un comme dans l’autre
cas, le pronostic évolutif dépend de la précocité d’une prise en charge adaptée.
L’objectif de l’académie est de réaliser le bilan
des fonctions langagières des élèves de
grande section de maternelle et de le confronter aux autres données de leur santé afin de
dépister les enfants à risque.
En tenant compte des besoins de la population cible et des moyens disponibles, certains
publics seront examinés en priorité. Il s’agit
des élèves en difficulté, repérés par les enseignants ou le RASED (1), des publics fragilisés
en termes de contexte socio-économique et
éducatif (REP - ZEP (2), familles en voie de désocialisation, familles de cultures étrangères) et
en termes d’accès aux soins primaires (dépistages PMI (3)). Un même outil de dépistage, le
BSEDS 5-6 (Bilan de Santé pour l’Évaluation
du Développement pour la Scolarité - 5 à 6
ans) a été choisi en raison de son adaptation
aux objectifs visés.
Des programmes d’entraînement adéquats
(visuel, auditif, phonologique) seront ensuite
réalisés en classe pour les enfants présentant des retards de développement. Les
enfants porteurs de déficits avérés du langage écrit (dyslexie) seront orientés et bénéficieront d’une prise en charge adaptée.
Ces objectifs se traduisent, pour 2001-2002,
en quatre actions :
1. La poursuite de la formation des 9 médecins
et 9 infirmières, formateurs académiques
pour la pratique du BSEDS 5-6.
2. Le lancement d’un plan de formation à l’ensemble des médecins et infirmières scolaires.
3. La sensibilisation des enseignants et des
RASED aux questions de dysphasie/dyslexie au regard des récentes connaissances
scientifiques, et aux types de remédiation.
4. L’articulation des ressources au sein du
réseau des partenaires (PMI – médecins
traitants, orthophonistes, etc…).
L’adaptation scolaire, c’est-à-dire la prévention de l’échec et l’aide aux difficultés
scolaires, s’appuie sur les SEGPA en collège
et aussi sur les Réseaux d’aides (RASED) et
classes d’adaptation à l’école primaire ainsi
que sur les établissements d’enseignement
adapté (EREA) pour les élèves “d’âge lycée”.
L’intégration scolaire, tout en laissant une
large place aux établissements spécialisés,
s’effectue de plus en plus sous forme d’intégration individuelle ou collective avec le
concours de services spécialisés. Elle s’appuie
sur les unités pédagogiques d’intégration
(UPI) en collège et sur les classes d’intégration scolaire (CLIS) à l’école primaire. Elles
accueillent de façon différenciée des élèves
handicapés physiques, sensoriels ou mentaux qui peuvent tirer profit, en milieu scolaire ordinaire, d’une scolarité adaptée à leur
âge et à leurs capacités. Les affectations, au
sein de ces dispositifs d’enseignement spécialisé, se font par le canal de commissions
d’éducation spéciale.
ANALYSER LES BESOINS
Pour poser les bases d’une politique académique en ce domaine, il faudra, lors de
l’année scolaire 2001-2002, explorer les
quatre sujets suivants :
1. Pour chaque bassin, mettre à plat la carte
des structures et emplois budgétaires
consacrés à l’AIS et voir s’ils sont en adéquation avec les besoins ;
2. Analyser, par département, l’organisation
et le fonctionnement des commissions
d’éducation spéciale à des fins d’harmonisation pour améliorer les modalités de
recrutement et d’affectation ;
3. Évaluer et quantifier les besoins en formation initiale et continue des personnels
spécialisés à des fins d’optimisation ;
4. Dresser la liste des partenariats existants
à des fins de développement susceptibles
d’améliorer la prise en compte du handicap dans le système scolaire pour une
meilleure intégration.
Mieux coordonner
les dispositifs de lutte
contre les exclusions
Ces dernières années, de nombreuses
mesures d’aides se sont succédées et se
sont superposées sans toujours s’harmoniser.
Dès la rentrée 2001, ces moyens seront intégrés à la dotation horaire globale des établissements, auxquels pourront s’adjoindre
des dotations complémentaires relatives à
une démarche de contractualisation, sans
être enfermés dans un cadre réglementaire
étroit. Ils permettront, notamment, de rechercher des solutions au cas par cas pour les
élèves en voie de rupture avec l’école.
De plus, des dispositifs tels que les internats scolaires, les classes relais ou les
réseaux d’éducation prioritaire participent au
processus de lutte contre les exclusions.
Ils verront leur action améliorée par le renforcement d’une coordination académique.
Dès la rentrée, un groupe de travail sera
chargé de concevoir cette coordination :
il lui sera demandé d’établir le cahier des
charges du futur centre académique de
ressources consacré aux difficultés des
élèves.
CONTACT
Bruno Wils, chargé de mission auprès
du recteur - Rectorat
Tél. : 02 23 21 73 06 - Fax : 02 23 21 73 05
Mél : [email protected].
Éducation pour la santé
PRÉVENIR LES DIFFICULTÉS
ET LES CONDUITES À RISQUE
Le dépistage précoce des difficultés d’apprentissages, la prévention des passages
à l’acte suicidaire et la lutte contre la consommation de produits psychoactifs sont les
priorités de l’académie.
Pour prévenir les conduites suicidaires, les
lieux de parole et d’écoute existant dans
l’établissement doivent être mieux utilisés.
Si nécessaire, il faut avoir recours au réseau
des compétences externes. Il est également
nécessaire de gérer les situations de crises,
traumatisantes pour la communauté scolaire, après le suicide de l’un des siens.
LUTTER CONTRE
LES PRODUITS PSYCHOACTIFS
En Bretagne, on constate une prévalence
des passages à l’acte suicidaire et la montée
en puissance de la consommation de produits psychoactifs. Les comités d’éducation
à la santé et à la citoyenneté (CESC), peuvent permettre d’identifier la problématique
propre à chaque établissement, de construire
des complémentarités de compétences tant
à l’interne qu’à l’externe pour mieux adapter les réponses (la prévention prend en
compte l'environnement scolaire et familial)
et d’accompagner les élèves dans la réflexion
et la construction de leurs choix de vie.
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Pour lutter contre les consommations de
produits psychoactifs, il semble utile d’établir un socle de références partagées dans
le cadre de l’École entre tous les membres de
l’équipe éducative, au regard des enjeux
sanitaires, sociaux, juridiques, et d’en
débattre avec les élèves. De même, les
équipes éducatives doivent chercher à respecter et faire respecter la Loi, à promouvoir
le respect, l’estime de soi et les aptitudes à la
responsabilité des élèves, notamment à travers l’optimisation de modes de communication interactive.
FORMER ET ACCOMPAGNER
LES ÉQUIPES
Afin d’atteindre ces objectifs, l’académie
développera cinq actions en 2001-2002 :
1. Une formation-action d’équipes d’établissement dans le domaine des conduites
suicidaires des jeunes ;
SEPTEMBRE 2001
2. L’accompagnement des élèves en souffrance
par une commission de suivi et de veille ;
3. La réalisation d’un document cadre pour
la gestion des situations traumatisantes
pour la communauté scolaire ;
4. Un séminaire académique sur les conduites
addictives et la prévention des consommations de produits psychoactifs ;
5. L’enrichissement du classeur “CESC” avec
de nouvelles fiches thématiques.
CONTACTS
Claire Maitrot, médecin conseiller
technique du recteur
Service médical académique - Rectorat
Tél. : 02 99 38 71 91 - Fax : 02 99 36 57 01.
Mél : [email protected]
(1) Réseau d’aide et de soutien aux élèves en difficulté.
(2) Réseau ou zone d’éducation prioritaire.
(3) Protection maternelle et infantile.
Références
• Orientations générales pour la politique de santé en faveur des élèves
(circulaire n° 2001-012 du 12 janvier
2001. BO spécial n° 1 du 25 janvier 2001).
• Plan d'action pour les enfants atteints
d'un trouble spécifique du langage :
communiqué de presse du ministère de
l'Éducation nationale du 21 mars 2001.
Pilotage académique
CONTRACTUALISER
AVEC LES ÉTABLISSEMENTS
Tous les lycées et lycées
DES ÉTABLISSEMENTS
PLUS AUTONOMES
professionnels sont
Fondés sur le projet d’établissement,
le contrat académique de promotion
des lycées (CAPL) et le contrat régional de développement des lycées
(CRDL) sont élaborés en partenariat. Le CAPL donne aux établissements les moyens et l’autonomie
nécessaires à la mise en œuvre de
leurs projets en s’engageant pour une
durée minimale de trois ans. Il s’agit
de substituer un pilotage par objectifs au contrôle a priori, d’obtenir des comptes rendus de
résultats et de travailler en
cohérence et en complémentarité avec les collectivités
territoriales.
Deux contrats ont
été signés avec des
lycées en 2000/2001.
Tous les lycées et
lycées professionnels sont invités à
entrer dans ce dispositif, sans
contrainte de calendrier, au fur et à
mesure de la maturité de leur projet.
Parallèlement, chaque inspecteur d’académie, directeur des services
départementaux de l’éducation nationale
(IA-DSDEN) mettra en place un dispositif
de contractualisation avec les collèges, opérationnel au plus tard à la rentrée 2002.
invités à contractualiser
leurs moyens avec
l’académie sur la base
de leurs projets.
Au-delà des moyens financiers, matériels, humains de base qui leur sont
attribués, les établissements doivent
disposer d’une marge de manœuvre
qui leur permette de construire et de
mettre en œuvre des stratégies adaptées à leur population scolaire.
Les services académiques
apportent actuellement des
aides ponctuelles aux établissements. Leur logique
d’attribution est verticale (chaque domaine
est traité séparément),
annuelle (avec des
dates butoir contraignantes) et unilatérale
(décision au vu d’une
demande, le plus souvent
sans échange). Les besoins
d’un établissement ne sont
jamais traités globalement.
Carte des formations
AUX ÉTABLISSEMENTS
Cette première batterie d’indicateurs, (ultérieurement enrichie en particulier dans les
domaines concernant le 1er degré) sera
envoyée sous forme d’un dossier “papier” à
chaque chef d’établissement, directeur de
CIO, IEN 1er degré ; les fichiers correspondants
seront transmis aux coordonnateurs de bassins. Ces informations seront disponibles sur
l’intranet académique.
Un tableau de bord académique sera ensuite
construit. Il regroupera les données majeures
des BAPE et significatives au plan académique, afin de devenir l’outil de pilotage stratégique du recteur et de dialogue avec
l’ensemble des partenaires.
CONTACT
Marie-Claire Garçon,
secrétaire générale-adjointe - Rectorat
Tél. : 02 99 23 21 73 08 - Fax : 02 23 21 73 05
Mél : [email protected]
du 1er degré et les zones d’intervention des CIO
seront mises en cohérence avec les bassins.
des formations, l’académie lance une démarche
prospective d’évolution des formations sur trois ans.
L’académie a donc lancé une démarche
prospective d’évolution des formations pour
les trois années à venir. Elle sera fondée sur
les propositions des bassins dans un souci
de cohérence académique entre tous les établissements publics et tous les réseaux d’en-
DES INDICATEURS TRANSMIS
Avant la fin de l’année 2001, les circonscriptions
Pour développer les échanges sur la carte
UNE OFFRE DE FORMATIONS
CONCERTÉE
Les bassins constituent le niveau essentiel
de réflexion et de mise en œuvre des orientations du Projet académique et du Programme annuel d’actions académiques
(P3A). Pour asseoir leurs analyses, les bassins doivent pouvoir s’appuyer sur des indicateurs fiables.
Ainsi, une batterie d’indicateurs a été constituée pour chaque bassin d’animation de la
politique éducative (BAPE). Issue des bases
de données existantes dans les services académiques, cette batterie sera actualisée
régulièrement, et pourra être complétée par
des données locales. Elle comprend des données concernant les effectifs d’élèves, les
formations, les personnels, les résultats…,
repérées et mises en forme par les services
académiques, puis sélectionnées par un
groupe de travail, émanant des BAPE, qui a
également proposé de nouveaux indicateurs.
Harmoniser circonscriptions,
CIO et bassins
UNE DÉMARCHE
PROSPECTIVE
Actuellement, chaque établissement scolaire propose annuellement des ouvertures
de filières ou de sections, sans référence aux
orientations académiques, ou aux projets
des établissements voisins. Les propositions
sont étudiées dans un souci de cohérence et
de gestion des moyens et des personnels.
Cependant les décisions prises ne sont pas
toujours explicites. L’évolution de la carte des
formations doit être connue et partagée par
tous les acteurs : établissements, collectivité
territoriale, autorité académique.
Aider les bassins à établir
des diagnostics
seignement. Après avoir obtenu l’accord de
nos partenaires – Région, professionnels –
et créé des échanges ouverts avec les bassins
et les établissements, cette démarche donnera un cadre de développement de l’offre
de formation en lycées général, technologique et professionnel : filières, séries,
options, spécialités. La procédure se déroulera désormais en deux temps intimement
liés : d’une part, l’élaboration au niveau de
chaque bassin d’un document d’évolution
des formations sur trois ans et, d’autre part,
des propositions annuelles d’ouverture ou
de fermeture de filière, section ou option,
présentées par l’établissement.
CONTACT
Marie-Claire Garçon,
secrétaire générale-adjointe - Rectorat
Tél. : 02 99 23 21 73 08 - Fax : 02 23 21 73 05
Le Projet académique a été élaboré sur la
logique des bassins d’animation de la politique éducative.
Après concertation, la carte des bassins a
été arrêtée en tenant compte des parcours de
formation des élèves, des données des observatoires locaux “formation-emploi” et des
indicateurs de l’INSEE en matière de démographie, de bassin de vie et de zone de déplacements.
La prise en compte de ces différentes données a conduit à privilégier la logique éducative aux découpages territoriaux ou
infra-territoriaux existants.
Les visites des bassins effectuées par le recteur en mars et avril 2001 ont mis en lumière
la nécessité de mettre en cohérence les circonscriptions des IEN-CCPD (inspecteurs
chargés des circonscriptions du 1er degré)
et les zones d’intervention des CIO avec les
limites géographiques des bassins.
Cette recommandation “d’un maillage territorial cohérent” a été formulée dans la circulaire n° 2001-114 du 20 juin 2001, publiée
au BO n° 26 du 29 juin 2001.
Mél : [email protected]
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SEPTEMBRE 2001
UNE ÉTUDE AU COURS
DU PREMIER TRIMESTRE
Au cours du premier trimestre 2001-2002,
l’inspecteur d’académie-directeur des
services départementaux (IA-DSDEN) responsable du bassin est chargé de piloter une
étude sur cette harmonisation.
Il s’appuie sur un groupe de réflexion composé d’IEN, de CIO, des correspondants
Modernisation des bassins et de représentants des services de l’IA.
Ce groupe dressera un état des lieux et proposera des ajustements. Les limites du bassin seront, si nécessaire, modifiées à la
marge. Le regroupement de certains bassins dont la barre critique est insuffisante
sera étudié, de même que la coopération
avec une zone de recrutement située hors
académie (bassin inter-académique).
CONTACT
Secrétariat général - Rectorat
Tél. : 02 99 23 21 73 10 - Fax : 02 23 21 73 05
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Gestion des ressources humaines
Personnels d’encadrement
ARRIVÉES
AMÉLIORER
NOS DISPOSITIFS
CHEFS D’ÉTABLISSEMENT
CÔTES-D’ARMOR
Notre académie s’est fixée deux objectifs pour l’année
2001/2002 : renforcer les dispositifs d’accompagnement des
personnels et améliorer le remplacement des enseignants.
L’académie de Rennes dispose d’une palette
de dispositifs destinés à prévenir la plupart
des difficultés professionnelles des personnels et à y remédier. Toutefois, dans certains
cas, la difficulté identifiée provient d’une
perte de compétences pour gérer des classes,
d’une autorité défaillante de la part de l’enseignant, ce qui nécessite des modalités de
remédiation et d’accompagnement actuellement incomplètes.
À la rentrée 2001, un dispositif d’accompagnement individualisé sera mis en œuvre
à l’intention d’enseignants volontaires dont
les difficultés pédagogiques entraînent pour
eux une souffrance professionnelle et pour
les élèves une qualité détériorée de l’enseignement.
Ses objectifs sont de restaurer la confiance
et le professionnalisme de l’enseignant et
de diminuer les causes de dysfonctionnement dans les établissements.
Le dispositif repose sur l’alternance : travail dans la classe accompagné par un formateur-intervenant, regroupements destinés
à l’analyse de pratique, stages de formation
sur les aspects psycho-professionnels.
bien-fondé de certains remplacements, leur
efficacité au regard de la scolarité des élèves,
et les solutions alternatives possibles. Il en
résulte des tensions pour les établissements,
des difficultés de gestion, des situations mal
vécues par les enseignants concernés.
Afin de d’allier au mieux l’intérêt des élèves,
la gestion des moyens et la satisfaction des
enseignants, une recherche-action sera engagée au cours de l’année 2001/2002. Elle est
basée sur une hypothèse de travail : la dynamique créée au sein des bassins doit permettre d’élargir la réflexion, de prendre en
compte tous les paramètres et l’apport de
tous les acteurs, de mutualiser les ressources.
Les propositions produites par le groupe
de recherche seront validées en fonction de
leur faisabilité et de leur transférabilité.
Des chefs d’établissement représentants différents bassins, des responsables de la gestion des moyens, des gestionnaires du
remplacement, des personnels du rectorat
et des représentants des corps d’inspection
participeront à cette recherche-action.
AMÉLIORER
CONTACT
LE REMPLACEMENT
Claudine Madelaine,
Le remplacement des professeurs absents
est organisé en “flux tendu”, sans qu’une
réflexion préalable n’ait été organisée sur le
directrice des ressources humaines - Rectorat
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Modernisation du système éducatif
DES LETTRES
DE MISSION
d’encadrement bénéficieront de lettres de mission.
Le protocole d’accord relatif aux personnels de direction stipule que ces personnels
feront l’objet d’une évaluation professionnelle, prise en compte pour l’avancement, les
promotions et les mutations. Cette évaluation s’appuiera sur la rédaction d’une lettre
de mission résultant d’un entretien entre le
recteur ou l’inspecteur d’académie - directeur des services départementaux de l’Éducation nationale (IA-DSDEN) et le chef
d’établissement. Au-delà de ce protocole,
c’est l’ensemble de l’encadrement qui s’inscrira dans cette démarche de gestion des
ressources humaines basée sur un diagnostic, une lettre de mission, une évaluation.
AMÉLIORER NOTRE FONCTIONNEMENT
Outre les aspects de gestion qualitative, la
lettre de mission a pour ambition d’amé-
Plemet, collège Louis Guilloux : Joëlle Thevenin
Pléneuf Val-André, collège J. Richepin :
Marcel Quillerou
Plérin, collège J. Lequier : Arlette Eple
Plouasné, collège La Gautrais : Gil Riviere
Quintin, LP Jean Monnet : Robert Josse
Rostrenen, LP. : Joël Euzenat
Saint-Brieuc, collège Croix Lambert :
Vincent Esteve
Saint-Brieuc, LP J. Moulin :
Jocelyne Tanguy-Quellec
Saint-Brieuc, lycée Renan : Loïc Goupil
Saint-Quay-Portrieux, collège Camille Claudel :
Pascal Caro
Tréguier, collège Ernest Renan : Gérard Boudier
FINISTÈRE
FINISTÈRE
ILLE-ET-VILAINE
Brest, lycée Iroise : Marie-Louise Malidin
Carantec, collège Des Deux Baies : Philippe Porhel
Chateauneuf-du-Faou, collège de l’Aulne :
Maryvonne Eymard
Crozon, collège Alain : Guy Pecourt
Guerlesquin, collège Roz Avel : Bernard Flant
Huelgoat, collège : Jean-Yves Le Bonniec
Landerneau, collège Mescoat : Roland Chochoy
Lanmeur, collège aux Quatre Vents : Jean Paugam
Lannilis, collège P. des Abers : Gilles Bénic
Morlaix, collège Mendès France : Marcel Burani
Pleyben, collège Louis Hemon : Robert Morere
Plougasnou, collège François Charles :
Jean-Yves Lagoutte
Plougastel Daoulas, collège la Fontaine Blanche :
Gérard Gabriel
Plouzané, collège K. Saliou : Françoise Auffret
Pont de Buis, collège François Collobert :
Maryvonne Cloirec
Quimperlé, lycée Kerneuzec Quimperlé :
Joseph Klein
Quimperlé, collège La Villemarqué : Patrice Girard
Saint-Renan, collège Kerzouar : Geneviève Touitou
Dinard, collège le bocage : Michel Laine
Fougères, collège les Cotterêts : Yann Kerneau
Guichen, collège Noël du Fail : Daniel Troadec
Le Rheu, collège G. Brassens : Dominique Vallée
Melesse, collège Maturin Meheut : Jean Desmares
Montauban-de-Bretagne, collège Evariste Gallois :
Annie Babler
Montfort-sur-Meu, collège Louis Guilloux :
Jacques Le Brun
Mordelles, collège M. Lebesque : Chantal Bortot
Redon, collège Beaumont : Noëlle Fabre
Redon, collège Bellevue : André L’honoré
Redon, LP. Beaumont : Bertrand Cabioch
Rennes, collège La Motte Brulon : Philippe Tetu
Rennes, collège Les Gayeulles : Catherine Le Goff
Rennes, collège les Hautes Ourmes : Loïc Fouillet
Rennes, collège Montbarrot : Isabelle Henry
Saint-Malo, collège Chateaubriand :
Helène-Christiane Stiegler
Saint-Malo, collège Robert Surcouf :
Jean-François Kuspert
Vitré, collège Les Rochers Sévigné : Maryannick Avril
Vitré, lycée B. d’Argentré : Françoise Meyer
ILLE-ET-VILAINE
MORBIHAN
Cancale, collège René Cassin : Martine Le Goff
Fougères, collège les Cotterets : Christian Le Goff
La Guerche-de-Bretagne, collège Les Fontaines :
François Carn
Le Rheu, collège G. Brassens : Yvette Sauvage
Melesse, collège Mathurin Meheut : Joëlle Alaïs
Noyal-sur-Vilaine, collège J. Brel :
Claudie Bousquet
Redon, collège Bellevue : Alain Cauchard
Redon, lycée Beaumont : François Perrault
Rennes, collège J. Moulin : Moigne Jean-Jacques
Rennes, collège Montbarrot : Maquet Jacques
Retiers, collège la Roche au Fées : Serge Guillou
Romillé, collège J. Prévert : Myriam Le Drezen
Saint-Aubin-du-Cormier : James Tarillon
Saint-Méen-le-Grand, collège Camille Guérin :
Patrice Romain
Tremblay, collège Pierre Perrin : Danielle Tiffreau
Arradon, collège G. Gahinet : Estella Urbain
Hennebont, lycée Victor Hugo : Robert Sauve
Lorient, collège J. Le Coutaller : Patricia Jouannic
Pontivy, lycée J. Loth : Thierry Cadart
Questembert, collège J. Loup Chrétien :
Nathalie Lefebvre
Vannes, LP Jean Guéhenno : Didier Menager
MORBIHAN
Au cours de l’année 2001/2002, les personnels
liorer le fonctionnement global du système
éducatif en fixant aux personnels d’encadrement, notamment à ceux affectés sur des
emplois fonctionnels, comme à chaque responsable d’établissement un cadre d’action,
des objectifs ciblés et des axes de progrès.
Au-delà de l’évaluation, elle s’inscrit
pleinement dans la démarche de projet académique, de projet d’établissement et d’animation de bassin et relève bien de l’ambition
modernisation de l’académie.
CONTACT
Secrétariat général - Rectorat
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9 bloc notes
/
◆
Saint-Brieuc, lycée Renan : J. Claude Kolkowski
Tréguier, collège Ernest Renan : Hervé Bielkiewick
Etel, collège la Rivière : Tregouet Michel
Hennebont, collège P. et M. Curie : Alain Moinet
Hennebont, LP Zola : Jean-Pierre L’hotellier
Lanester, lycée J. Macé : Marc Genet
Le Palais, collège M. Lotte : Michèle Martin
Locminé, collège J. Moulin : Jean-Philippe Genon
Locminé, LP Louis Armand : Martine Pasgrimaud
Lorient, LP Marie-Lefranc : Marie-Françoise Carnot
Malansac, collège René Guy Cadou : Éric Audoucet
Mauron, collège Mme de Sévigné :
Stevenson Michèle
Plouay, collège Marcel Pagnol : Lionnel Piquet
Pontivy, collège R. Rolland : Joëlle Carlac’h
Pontivy, lycée J. Loth : Michel Coussi
Vannes, lycée Lesage : Delaunois Marcel
CHEFS D’ÉTABLISSEMENT ADJOINTS
Brest, collège Kéranroux : Fabienne Moreau
Brest, lycée Iroise : Dominique Pierrat
Carhaix, LP du Poher : Yves Edwige
Chateaulin, lycée J. Moulin : Christian Ernest Le Goff
Douarnenez, collège J. Marie Le Bris :
Christine Morisson
Fouesnant, collège Kervihan : Christian Lebugle
Guipavas, collège du Viziac : Yolande Bonizec
Morlaix, LP Tristan Corbière : Christian Blanchard
Morlaix, lycée T. Corbière : Dominique Tranvouez
Plouzané, collège Kroas Saliou :
Jean-Claude Gounaud
Quimper, collège Max Jacob : Xavier Pivert
Quimper, lycée Thépot : Frédérique Caffiers
IA-IPR
• Allemand : Jean-François Pasturel
• Économie et gestion : Isabelle Verrieres
• Vie scolaire : Josiane Ballouard, Michel Ertaud
• Histoire-géographie : Jean François Le Borgne
• Lettres : Arlette Proust
• Mathématiques : Michel Daudruy, Boris Lazar
• Sciences et vie de la terre : Michel Chouzier
• Sciences physiques : Odile Le Cann
IEN-ET
• Mathématiques : Joël Floricourt
• Sciences et techniques industrielles :
Michel Le Bihan, M. Brunel
IEN PREMIER DEGRÉ
• Dinan I : Dominique Bourget
• Saint-Brieuc IV : Claude Tanguy
• Landerneau : Catherine Gning
• Questembert 2 : Muriel Nicot-Guillorel
• Vannes 1 : Félix Chéreau
• Fougères : Jean-Pierre Février
• Rennes : Jean Hanry, adjoint de l’inspecteur
d’académie - DSDEN
• Montfort-sur-Meu : Michel Micossi
IEN-IIO
• Rennes, Inspection académique : Claire Engrand
CÔTES-D’ARMOR
Dinan, collège F. Broussais : Patrick Kerbellec
Lamballe, lycée H. Avril : Guy Bossard
Lannion, lycée F. Le Dantec : Claude Palabre
Perros-Guirec, collège les Sept Iles : Laurence Riehl
Plancœt, collège François de Chateaubriand :
Laurence Gauvin
Plérin, collège Jules Lequier : Jacques Prigent
Pleumeur-Bodou, collège Paul Le Flem :
Pascal Hervé
Saint-Brieuc, collège Beaufeuillage :
Jocelyne Cerino
Saint-Brieuc, collège Croix Lambert : Leslie Navarre
Saint-Brieuc, collège J. Macé : Bernard Philippe
SEPTEMBRE 2001
CASU
• Fougères, lycée Jean Guéhenno : François Guyomard
• Quimper, lycée Yves Thépot : Jean-Marie Quentel
• Rennes, lycée Ile-de-France : Josiane Gouezin
• Rennes, rectorat : Marie-Josée Hélary
• Rennes, Anne-de-Bretagne : Yvette Giner
CONTACT
Division des Personnels Administratifs
Techniques et d'Encadrement (DIPATE) - Rectorat
Tél. : 02 23 21 75 02 - Fax : 02 23 21 75 00
Mél : [email protected]
Bilan des mouvements
PERSONNELS ATOS
Le mouvement 2001 des personnels ATOS
se caractérise par un nombre globalement
stable de demandes de mutation par rapport
à l'an dernier.
Le taux de satisfaction est supérieur à l'année 2000 chez les agents et adjoints en raison de la mise en place d'un mouvement
unique. À l'inverse, on constate toujours
une grande difficulté pour que les personnels de laboratoire puissent obtenir un de
leurs vœux.
Enfin, l'académie reste aussi attractive que
l'an dernier avec un niveau de demandes
d'entrées comparable.
(1) SASU : secrétaire d’administration scolaire et universitaire.
CORPS
EFFECTIFS
TAUX DE SATISFACTION
Total
Intra
Inter
Total
Intra
Inter
Total
900
1 989
349
106
136
280
69
9
13
114
20
2
149
394
89
11
62
109
15
5
13
7
6
1
75
116
21
6
46 %
39 %
22%
56%
100 %
6%
30 %
50 %
50 %
29 %
24 %
55 %
Ouvrier d’ent. et d’acc. 3 157
Ouvrier professionnel
1 172
Maître ouvrier
428
Agt technique de labo.
20
Aides laboratoires
202
Aides tech. de labo.
44
Agent de serv. tech.
18
Agent chef
41
602
235
57
2
19
7
0
3
154
57
32
0
15
2
2
1
756
292
89
2
34
9
2
4
184
65
20
0
3
1
0
0
11
9
5
0
1
0
0
0
195
74
25
0
4
1
0
0
31%
28%
35%
0%
16%
14%
0%
0%
7%
16 %
16 %
0%
7%
0%
0%
0%
26 %
25 %
28 %
0%
12 %
11 %
0%
0%
1419
412
1831
464
53
517
24%
19 %
22 %
SASU (1)
Adj/Agt Adm.
Infirmières
Assistantes sociales
Total
Division des Personnels Administratifs
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CANDIDATS MUTÉS
Inter
CONTACT
Techniques et d'Encadrement (DIPATE) - Rectorat
NOMBRE DE CANDIDATS
Intra
8426
Tableaux des résultats du mouvement après CAPA. Voeux satisfaits uniquement sur des affectations à titre définitif. Les statistiques des
résultats de mouvement nationaux de CASU, AASU, techniciens et médecins ne sont pas connus au 15/07/2001.
Mél : [email protected]
PERSONNELS D’ENSEIGNEMENT
PARTICIPANTS
– Parmi les 2 900 demandes de participation au mouvement intra-académique,
760 entrent par le mouvement interacadémique, dont 203 en tant que stagiaires en situation ou IUFM.
– 768 candidats de l’académie obtiennent
une nouvelle affectation.
– 2/3 des enseignants entrant dans l’académie sont affectés dans un établissement,
1/3 dans une zone de remplacement.
– Sur les 929 titulaires en zone de rempla-
cement ayant participé au mouvement,
252 quittent leur affectation pour aller
dans un établissement et 68 rejoignent
une autre zone de remplacement.
– 76 personnes sont nommées sur les 138
postes à exigences particulières offerts au
mouvement.
TAUX DE SATISFACTION
– 69 % des personnels d’enseignement,d’éducation et d’orientation souhaitant muter
obtiennent un de leurs cinq premiers vœux.
AFFECTATION DES REMPLAÇANTS
Commencées les 10 et 11 juillet 2001, les
opérations d’affectation et de rattachement
administratif des titulaires sur zone de
remplacement et des maîtres auxiliaires
garantis de réemploi se sont poursuivies les
23 et 24 août 2001. À l’issue de ces groupes
de travail, un enseignant est affecté dans
chaque classe. Les enseignants sont affectés
à l’année sur des postes non pourvus dans
le cadre du mouvement intra-académique
ou sur des moyens provisoires. Ceux qui
assurent les remplacements de courte et
moyenne durée rejoignent leur établissement
de rattachement le jour de la pré-rentrée.
CONTACT
Division des personnels enseignants (DPE)
Rectorat
Tél. : 02 23 21 78 07 - Fax : 02 23 21 78 00
Mél : [email protected]
Prévisions d’effectifs publics et privés
PREMIER
DEGRÉ
NIVEAU
ÉCOLES PUBLIQUES
Côtes-d’Armor
Pré-élémentaire
Élémentaire
Total
En Bretagne, les 2 782 écoles publiques et
privées ont accueilli 312 635 élèves à la rentrée 2000, soit 476 élèves de plus par rapport
à l’année précédente. Cette progression est
liée à celle des effectifs de l’enseignement
pré-élémentaire qui croissent de 1,9 % du
fait de la reprise des naissances amorcée
depuis 1995. À l’inverse, les effectifs de l’enseignement élémentaire baissent (- 1 %).
Cependant, les évolutions géographiques
ne sont pas uniformes. Deux départements
voient leurs effectifs augmenter légèrement :
l’Ille-et-Vilaine (+ 0,9 %) et le Morbihan
(+ 0,1 %). En revanche, on enregistre une
diminution dans les Côtes-d’Armor
(- 0,4 %) et dans le Finistère (- 0,3 %).
La prochaine rentrée devrait connaître une
nouvelle augmentation des effectifs, soit
2 140 élèves supplémentaires. Cette prévision résulte de la poursuite de la hausse des
effectifs dans l’enseignement pré-élémentaire (+ 1,5 %) combinée à un maintien
des effectifs dans l’enseignement élémentaire (+ 0,1 %). En effet, l’arrivée de géné-
Finistère
Pré-élémentaire
Élémentaire
Total
Ille-et-Vilaine
Pré-élémentaire
Élémentaire
Total
Morbihan
Pré-élémentaire
Élémentaire
Total
Académie
Pré-élémentaire
Élémentaire
Total
ÉCOLES PRIVÉES
effectifs (1)
effectifs prévus
2000/2001
2001/2002
en nombre
16 034
21 674
16 423
21 488
37 708
variation
effectifs
effectifs prévus
en %
2000/2001
2001/2002
en nombre
en %
389
-186
2,4
-0,9
6 905
10 412
7 028
10 394
123
-18
1,8
-0,2
37 911
203
0,5
17 317
17 422
105
0,6
24 164
32 897
24 318
32 658
154
-239
0,6
-0,7
13 150
19 567
13 226
19 433
76
-134
0,6
-0,7
57061
56 976
-85
-0,1
32 717
32 659
-58
-0,2
26 140
35 223
26 647
35 522
507
299
1,9
0,8
15 069
22 116
15 510
22 267
441
151
2,9
0,7
61 363
62 169
806
1,3
37 185
37 777
592
1,6
15 371
20 836
15 475
21 088
104
252
0,7
1,2
13 594
19 483
13 744
19 554
150
71
1,1
0,4
36 207
36 563
356
1,0
33 077
33 298
221
0,7
81 709
110 630
82 863
110 756
1 154
126
1,4
0,1
48 718
71 578
49 508
71 648
790
70
1,6
0,1
192 339
193 619
1 280
0,7
120 296
121 156
860
0,7
(1) en raison de la grève administrative des directeurs d’écoles, constat de la rentrée 2000 du secteur public
estimé par les inspections académiques.
rations de plus en plus nombreuses due à la
hausse de la natalité depuis 1995 devrait
commencer à compenser la diminution des
effectifs en élémentaire. Par ailleurs, les évolutions seraient semblables dans les secteurs
public et privé.
10 bloc notes
/
◆
SEPTEMBRE 2001
variation
CONTACT
Service statistique du rectorat (SSR)
Tél. : 02 23 21 73 86 - Fax : 02 23 21 75 96
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Prévisions d’effectifs publics et privés
SECOND DEGRÉ, POST BAC
NIVEAU
ÉTABLISSEMENTS PUBLICS
effectifs
2000/2001
ÉTABLISSEMENTS PRIVÉS
effectifs prévus
variation
2001/2002
en nombre
en %
effectifs
2000/2001
effectifs prévus
variation
2001/2002
en nombre en %
Second degré
Collèges + SEGPA
Lycées professionnels
Lycées
90 573
20 018
44 848
90 358
19 446
45 309
-215
- 572
461
-0,2
-2,9
1,0
64 272
16 298
29 475
63 406
15 801
29 305
-866
-497
-170
-1,3
-3,0
-0,6
Total
155 439
155 113
-326
-0,2
110 045
108 512
-1 533
-1,4
2 507
6 095
2 507
6 095
0
0
0
0
629
5 001
629
5 001
0
0
0
0
8 602
8 602
0
0
5 630
5 630
0
0
Enseignement postbac
CPGE
STS + autres
Total
La forte baisse des effectifs dans le 2nd degré se
poursuit. Elle est essentiellement concentrée
sur le secteur privé (- 1 533 élèves soit -1,4 %)
alors que le secteur public est beaucoup
moins touché (- 326 élèves soit - 0,2 %). Cette
différence d’évolution au sein des deux
secteurs se retrouve en collèges (- 215 élèves
dans le public contre - 866 dans le privé) et
en lycées (augmentation de 461 élèves dans
le public et diminution de 170 élèves dans le
privé). Par contre, la baisse des effectifs en
lycée professionnel se perçoit tout autant
dans le public (- 2,9 %) que le privé (-3,0 %).
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Service statistique du rectorat (SSR)
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Sciences et technologies de l’école au supérieur
FORMER PLUS DE SCIENTIFIQUES
L’orientation des élèves vers les filières scientifiques et
technologiques doit être favorisée, dès l’école primaire et
tout au long du parcours scolaire.
Notre pays manque actuellement de scientifiques. Ce déficit s’explique par une érosion, lente mais régulière, des orientations
des élèves vers les filières scientifiques et
technologiques. La proportion de filles choisissant ces options est toujours largement
inférieure à 50 %. C’est sans doute dans
cette direction qu’il nous faut, plus particulièrement, accentuer nos efforts. Ceux-ci
peuvent être déclinés à différents niveaux.
À L’ÉCOLE
Le plan de trois ans pour généraliser la rénovation de l’enseignement des sciences et de
la technologie, en commençant par les élèves
du cycle 3, doit être poursuivi.
Il s’agit de favoriser au niveau des maîtres la
diffusion des “fiches-connaissances” et des
documents d’accompagnement des nouveaux programmes.
L’amélioration des équipements doit être
poursuivie et la mutualisation de ces moyens
stimulée.
Une politique volontariste de formation des
professeurs des écoles et de liaison avec la
classe de sixième doit être développée.
AU COLLÈGE
Il faut faire apparaître cette priorité dans les
projets d’établissement en proposant, sur
des thèmes scientifiques ou technologiques,
des parcours pédagogiques diversifiés en
cinquième, des travaux croisés en quatrième
ou bien encore en anticipant, dès la rentrée
2001, l’organisation d’itinéraires de découverte sur la nature et le corps humain ou
sur la création et les techniques.
AU LYCÉE
À la fin de la seconde, il faut encourager les
élèves qui souhaitent s’orienter vers les
filières scientifiques et technologiques par un
CONTACT
Michel Le Bellégard, IA-IPR
Inspection pédagogique régionale - Rectorat
Tél. : 02 23 21 77 98 - Fax : 02 23 21 74 00.
Mél : [email protected]
niveau d’exigence trop élevé. L’importance
du travail personnel n’a pas à être surévaluée
par rapport aux autres filières. Une action
spécifique est à envisager à ce niveau auprès
des jeunes filles.
DANS L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR
Pour entrer en section de technicien supérieur (STS), la priorité doit être donnée aux
titulaires des baccalauréats technologiques.
Une meilleure transition entre l’enseignement secondaire et l’Université doit être
assurée en favorisant les échanges, par spécialité, entre les professeurs du cycle terminal des lycées et ceux du premier cycle
universitaire.
TENDANCES DES DÉCISIONS D’ORIENTATION
Bilan établi à partir de 90 % des données statistiques pour les niveaux 6e et 4e ;
95 % des données pour le niveau 3e et la quasi exhaustivité des données pour le niveau seconde.
À L'ISSUE DE LA 6e
Les orientations sont stables :
• taux d’admission en 5e : 88,6 %
(88,5 % en 2000) ;
• taux de redoublement : 10,7 %
(10,8 % en 2000) ;
Le taux de redoublement aura diminué
de 2,7 points depuis 1997.
progressé de 3,1 points en juin 2000) ;
• Parallèlement, le taux d'admission en
2nde professionnelle augmente de
1,1 point et se situe à 24,9 % ;
• le taux de redoublement est
stable : 6,6 %.
À L'ISSUE DE LA 4e
À L'ISSUE DE LA SECONDE
Comme en juin 2000 :
• le taux d’admission en première diminue
légèrement (- 0,4 point) et retrouve le
niveau de 1998 : 78,3 % ;
• Parallèlement, le taux de redoublement
augmente de 0,4 point ;
• le taux de réorientation en 2nde professionnelle est stable : 4,4 % ;
La répartition des flux d'orientation
dans les différentes séries de premières connaît quelques évolutions :
• + 0,6 point pour la 1re S
(+ 1,3 en 2000) ;
• - 0,3 point pour la 1re L
(- 0,4 en 2000) ;
• - 0,7 point pour la 1re ES
(stabilité en 2000).
Peu d’évolution à ce niveau :
• taux d'admission en 3e :
87 % ; soit 0,3 point de
plus qu’en juin 2000.
(+ 1 point depuis 1999) ;
• taux de redoublement : 10,9 %
soit (0,2 point de moins
qu’en juin 2000).
À L'ISSUE DE LA 3e
CONTACT
Une évolution qui infirme
le constat de juin 2000 :
• le taux d'admission en 2nde générale
et technologique diminue de 0,9
point et s’établit à 65,2 % (il avait
11 bloc notes
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◆
Service académique d’information
et d’orientation (SAIO)
Tél. : 02 99 25 11 12
Fax : 02 99 25 11 18
Mél : [email protected]
SEPTEMBRE 2001
LES RÉSULTATS DU BAC 2001
SÉRIES
L
ES
S
Total
Bac
général
STI
STL
STT
SMS
HOT
F11
Total
Bac
techn.
Total
Bac
pro(*).
TOTAL
GÉNÉRAL
Participants
2 757
3 821
6 609
13 187
2 205
282
4 527
1 189
103
22
8 328
4 471
25 986
Admis
88,0 % 84,1%
85,3%
85,5%
87,5%
84,2%
85,0%
89,0%
93,6% 91,7%
86,3%
86,2%
85,9%
* résultats provisoires.
En 2000, l’académie
de Rennes se situait
de manière assez
exceptionnelle au premier
rang des taux de réussite
par académie aussi bien
pour le bac général que
pour le bac technologique.
Cette année encore, notre académie se
situe au premier rang des académies
pour la réussite au bac général et technologique.
25 986 candidats ont obtenu leur baccalauréat cette année soit près de 1 800
de moins qu’en 2000.
– Bac général : - 1 266 (- 8,8 %)
– Bac technologique : - 588 (- 6,6 %)
– Bac professionnel : + 75 (1,7 %)
Le taux moyen de réussite subit un léger
tassement par rapport aux excellents
résultats de l’année dernière :
– Bac général : - 0,8 %
(de 86,3 % à 85,5 %)
– Bac technologique : - 0,3 %
(de 86,6 % à 86,3 %)
– Bac professionnel : - 0,1 %
(de 86,3 % à 86,2 %)
LE BACCALAURÉAT GÉNÉRAL
Il comprend les séries Littéraire (L), Économique et Social (ES) et Scientifique (S).
Forte diminution du nombre de candidats
présentés (15 417 contre 16 738 en 2000)
(-7,9 %).
Les trois séries sont touchées : ES (- 6,7 %),
L (-10,2 %) et S (-7,6 %).
L’augmentation du taux de réussite en L
(de 86,0 % à 88,0 %) permet de compenser
en partie dans cette série la diminution du
nombre de candidats. Mais la baisse du
nombre d’admis reste malgré tout importante (242 soit - 8,1 %).
Dans les deux autres séries, la diminution
des candidats présentés alliée à la baisse des
taux de réussite (de 86,9 % à 84,1 % pour
la série ES et de 86,2 % à 85,3 % pour la
série S) provoquent des diminutions du
nombre de bacheliers conséquentes : - 406
(soit - 9,6 %) en ES et - 618 (soit - 8,6 %)
en S.
Quelle que soit la série, les filles réussissent
mieux que les garçons. Toutes séries confondues, elles obtiennent un taux de réussite
de 87,1 % supérieur de 3,6 points à celui
des garçons (83,5 %).
LE BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE :
Il comprend les séries Sciences et Technologies Industrielles (STI), Sciences et
Technologies de Laboratoire (STL), Sciences
Médico-Sociales (SMS), Sciences et Technologies Tertiaires (STT), Techniques de la
Musique et de la Danse (F11) et Hôtellerie
(HOT).
9 648 candidats se sont présentés à l’examen du baccalauréat technologique soit 646
de moins (- 6,3 %) qu’en 2000.
L’augmentation du taux de réussite en STI
a permis de compenser en partie la diminution du nombre de candidats présentés
(- 8,1 % de présentés et - 5,0 % d’admis).
Il en est de même pour la série SMS (- 2,5 %
de présentés et - 0,8 % d’admis).
Par contre, les moins bons taux de réussite
en STT et STL ont amplifié la diminution
du nombre de bacheliers du seul fait de la
baisse des candidats présentés :
– en STT : - 6,3 % de présentés
et - 8,5 % d’admis.
– en STL : -11,1 % de présentés
et - 14,8 % d’admis.
Comme pour le bac général, les filles ont
un taux de réussite global bien supérieur à
celui des garçons (respectivement 87,8 %
et 84,7 %). Seule la série Hôtellerie est plus
favorable aux garçons (ce phénomène avait
déjà été observé l’année dernière).
La part des bacheliers technologiques sur
l’ensemble des bacheliers généraux et technologiques continue de croître : 36,6 % en 1999,
38,1 % en 2000 et 38,7 % cette année.
LE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL :
L’effectif présenté continue d’augmenter :
+ 86 candidats (soit + 1,7 %). Le taux de
réussite reste sensiblement le même (86,3 %
en 2000 et 86,2 % en 2001).
Dans le détail, les séries du domaine de la
production améliorent leur taux de réussite de 2,1 points alors que celles du domaine
des services baissent de près de 2 points.
CONTACT
Service statistique du rectorat (SSR)
Tél. : 02 23 21 73 86 - Fax : 02 23 21 75 96
Mél : [email protected]
bloc notes
◆
DIRECTEUR DE LA PUBLICATION
Marc Debène
RÉDACTEUR EN CHEF
Jacky Le Gars
RÉDACTRICE EN CHEF ADJOINTE
Nathalie Le Garjean
ONT PARTICIPÉ À CE NUMÉRO :
Jean-Marc Lardoux (Service statistique du rectorat SSR), Roger Fetter, Michel Ertaud, Josiane Ballouard (IAIPR Vie scolaire), Lauro Capdevilla (IA-IPR Espagnol)
Jacques Chapuis (délégué aux arts et à la culture),
Gilbert Bottey (Service académique d’information et
d’orientation - SAIO), Liliane Finez, Marie-Claude
Desallangre (Division des personnels ATOS - DIPATE),
Jean-Pierre Orhan (Délégation académique aux enseignements techniques - DAET), Michel Le Bellégard (IAIPR sciences de la vie et de la terre), Marcel André (chargé de mission enseignement supérieur), Daniel Carré
(chargé de mission langues et cultures régionales),
Françoise Le Corvec (Division de l’organisation scolaire
- DOS), Maurice Guernalec (Service informatique académique - SERIA), Joël Lesueur (IA-IPR de lettres),
Nicole Morfoisse (chargée de mission ressources
humaines) - Bruno Wils (chargé de mission), Gérard
Moreau, secrétaire général, Marie-Claire Garçon, secrétaire générale-adjointe, Claudine Madelaine, directrice
des ressources humaines.
PHOTOS : Nathalie Le Garjean, Tugdual Ruellan.
RÉALISATION : Rectorat-Communication
SITE INTERNET : www.ac-rennes.fr
MÉL : [email protected]
Rectorat d’Académie
96, rue d’Antrain
CS 34415
35044 Rennes Cedex
CONCEPTION MAQUETTE : Ikkon
ILLUSTRATIONS : Nono, Schvartz
IMPRESSION : Les Lices s.a.
ISSN 1254-3640
L’ACADÉMIE
EN QUELQUES
CHIFFRES
61 800 salariés dont
48 150 enseignants
14 milliards de budget
682 700 élèves et étudiants
• Premier degré : 312 600 élèves
scolarisés dans 2 782 écoles
(38,5 % dans le privé)
– Pré-élémentaire : 130 400
– Élémentaire : 182 200
• Second degré : 266 000 élèves
scolarisés dans 601 établissements
(41,4 % dans le privé)
– Collèges : 155 400
– Lycées généraux et technologiques :
74 300
– Lycées professionnels (LP) : 36 300
• Enseignement supérieur : 104 100
étudiants scolarisés sur 60 sites
– Universités : 59 200
– Instituts universitaires
de technologie (IUT) : 7 300
– Sections de techniciens
supérieurs (STS) : 15 700
– Classes prépas : 3 300
– Autres : 18 600
33 847 diplômés du brevet
national des collèges
25 986 bacheliers
32 500 diplômés de
l’enseignement supérieur
CONTACT
Service statistique du rectorat (SSR)
Tél. : 02 23 21 73 86 - Fax : 02 23 21 75 96
Mél : [email protected]
ADRESSES UTILES
RECTORAT
96, rue d’Antrain - 35044 Rennes Cedex
Tél. : 02 23 21 77 77 - Fax : 02 23 21 73 05
Adresse Internet : http://www.ac-rennes.fr
INSPECTIONS ACADÉMIQUES
LES RÉSULTATS
DU BREVET NATIONAL
DES COLLÈGES
ILLE-ET-VILAINE : 83,3 %
TAUX DE RÉUSSITE
ACADÉMIQUE : 84,6 %
• collèges : 85,1 %
• série technologique : 72,0 %
• série professionnelle : 78,7 %
39 964 présents, 33 847 admis
• collèges : 86,3 %
(33 089 présents, 28 544 admis)
• séries technologiques : 76,4 %
(4 430 présents, 3 383 admis)
• série professionnelle : 78,5 %
(2 445 présents, 1 920 admis)
MORBIHAN : 85,4 %
• collèges : 87,1 %
• série technologique : 75,4 %
• série professionnelle : 79,8 %
CÔTES-D’ARMOR : 84,7 %
• collèges : 86,4 %
• série technologique : 77,9 %
• série professionnelle : 73,4 %
Contacts
• Service statistique du rectorat (SSR)
Tél. : 02 23 21 73 86 - Fax : 02 23 21 75 96
Mél : [email protected]
FINISTÈRE : 85,6 %
• collèges : 86,7 %
• série technologique : 80,2 %
• série professionnelle : 79,7 %
• Inspections académiques :
Voir adresses ci-contre
12 bloc notes
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◆
SEPTEMBRE 2001
• Côtes-d’Armor : 6-8, Place du Champ de
Mars BP 2369 - 22023 Saint-Brieuc Cedex 1
Tél. : 02 96 60 70 22 - Fax : 02 96 60 70 21
• Finistère : 1, boulevard du Finistère
29558 Quimper Cedex 9
Tél. : 02 98 98 98 98 - Fax : 02 98 98 98 00
• Ille-et-Vilaine : 1, Quai Dujardin
35031 Rennes Cedex
Tél. : 02 99 25 10 20 - Fax : 02 99 25 10 13
• Morbihan : Cité administrative
13, avenue Saint Symphorien
BP 506 - 56019 Vannes Cedex
Tél. : 02 97 01 86 00 - Fax : 02 97 01 86 38
(Les sites Internet des inspections
académiques sont accessibles à partir
de l’adresse : www.ac-rennes.fr)
UNIVERSITÉ DE BRETAGNE OCCIDENTALE
3, rue des Archives - BP 808 - 29285 Brest cedex
Tél. : 02 98 01 60 20 - Fax : 02 98 01 60 01
http://www.univ-brest.fr
UNIVERSITÉ DE BRETAGNE SUD
• 4, rue Jean Zay - 56100 Lorient
Tél. : 02 97 87 11 20 - Fax : 02 97 87 11 21
• Rue Yves Mainguy - 56000 Vannes
Tél. : 02 97 68 16 20 - Fax : 02 97 68 16 39
http://www.univ-ubs.fr
UNIVERSITÉ DE RENNES 1
2, rue du Thabor - 35065 Rennes cedex
Tél. : 02 99 25 36 36 - Fax : 02 99 25 36 00
http://www.univ-rennes1.fr
UNIVERSITÉ DE RENNES 2 HAUTE BRETAGNE
Campus de Villejean
6, avenue Gaston Berger - 35043 Rennes cedex
Tél. : 02 99 14 10 00 - Fax : 02 99 14 10 15
http://www.uhb.fr
INSTITUT UNIVERSITAIRE DE FORMATION
DES MAÎTRES (IUFM)
153, rue Saint-Malo - 35043 Rennes cedex
Tél. : 02 99 54 64 44 - Fax : 02 99 54 64 00
http://www.bretagne.iufm.fr