synthese de l`atelier « reussite de l`etudiant

SYNTHESE DES CONSULTATIONS DES ASSISES DE L’ESR EN GUADELOUPE
3 et 4 Octobre 2012, Espace Régional du Raizet
Notes fournies par les co-animateurs de sessions
SYNTHESE DE L’ATELIER
« REUSSITE DE L’ETUDIANT »
ANIMATEURS : (nom, fonction)
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BILBA Ketty (UAG/DOSIP)
BOIS-CABERTY Catherine (GBH, membre fondation UAG/GBH)
SIGISCAR Daniel (CPGE)
PARTICIPANTS : 35
DIAGNOSTIC ET THEMES PRIORITAIRES DE TRAVAIL :
Diagnostic : des dispositifs existent en termes de contribution à la réussite des étudiants mais ils ne
fonctionnent pas de manière optimale.
Les thèmes prioritaires de travail :
- Articulation enseignement secondaire/enseignement supérieur
- Offre pédagogique innovante adaptée, attractivité, réorientation et insertion professionnelle
- Formation des enseignants
- Vie étudiante
FORMULATION DES QUESTIONNEMENTS :
Voir diaporama
ESSENTIEL DES ECHANGES ET DISCUSSION :
Des points des items 1 et 2 ont traités par les intervenants, il était difficile de distinguer par exemple
les questions de transition de l’enseignement secondaire/enseignement supérieur avec celle de
l’orientation…
- La question de la rupture enseignement secondaire/supérieur, orientation par défaut, modalités
pédagogique du début du premier cycle universitaire
- L’accueil des étudiants en situation de handicap
- L’attractivité de l’université des Antilles et de la Guyane, mais des autres universités : pourquoi
les universités n’attirent pas les bons étudiants ?
- Le tutorat enseignant pour améliorer la réussite des étudiants
- La perte de l’attractivité de l’enseignement supérieur scientifique universitaire/liaison lycée
université « consortium » espace d’échanges
- Pour contribuer à l’articulation secondaire/supérieur des outils existent (admission post-bac,
accompagnement dans l’orientation du rôle du dépositaire de l’offre de formation) pourtant cela
ne fonctionne pas très bien
- Des secteurs hors université sont peu connus, comme tout ce qui est métiers de l’art qui
procurent des emplois, alors que les publics ont une vision extrêmement sommaire de ces
secteurs
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Liaisons entreprise/enseignement supérieur ; formation des personnels d’orientation pour qu’ils
puissent présenter l’ensemble des formations
Nécessité de faire évoluer le système éducatif afin de palier l’inadéquation entre BAC et
formation supérieure suivie ou l’hétérogénéité des étudiants
Tous les étudiants n’ont pas les mêmes compétences / Reporter la décision d’orientation vers le
collège
Mise en place d’une véritable une année de propédeutique, de préparation à l’enseignement
supérieur
Ne pas être hors sol, c’est prendre la liberté de mettre en place des formations type « DEUST »
ou des « licences type artisanat » en prise avec la réalité
Renforcer les moyens du service (DOSIP) qui est en charge de cette articulation enseignement
secondaire enseignement supérieur et des services donnant les moyens du pilotages (BAIP,
OIVE…)
Vision des métiers possédée par les personnes en charge de l’orientation
Succès mitigé d’opérations d’information/quelques exemples : résidences d’artistes au sein des
établissements scolaires…
Vision floue du coté des élèves, mais également vision trop théorique de l’orientation et des
métiers
Rendre obligatoire un « test d’orientation »
Centre de ressources, avec des « logiciels » qui permettent de se découvrir, mais des ressources
humaines (professionnels, CIO…) ; succès mitigé auprès des lycées et des étudiants…
Nouveaux programmes de terminale qui mentionnent la préparation des élèves à l’enseignement
supérieur / Rendre effectif ce dispositif en mettant en place des groupes de travail par secteur
disciplinaire avec des activités du type : mieux connaître les disciplines, préparer les programmes
du L1.
Retour à la question de fond : les bacheliers professionnels, qui forment 50% ( ?) de nos effectifs,
peuvent-ils s’insérer dans l’université ?
Certains des bac Pro sont dans une vraie démarche de promotions sociale. Mais, le hiatus ne leur
permet pas forcément d’atteindre le « L » classique. Faut-il des « L » spécifiques, ou des
formations dans lesquelles l’université possède sa place. Il s’agirait de s’appuyer sur des
compétences existantes ou à acquérir en vu d’une insertion social et professionnelle.
Mise en place pour les étudiants en situation de handicap du travail, stage, recherche à domicile
Diverses voies sont proposées pour une pédagogie innovante : encourager la mise en ligne des
cours, développer l’enseignement à distance et la visioconférence si les difficultés techniques
sont levées et les enseignants formés à ces techniques, débuter dès la « L » les stages dans le
milieu professionnel, accompagner les enseignants-chercheurs dans les laboratoires, cours en
petits effectifs, peu de cours magistraux, mais de nombreux TD, renverser le paradigme de
l’enseignement : les étudiants prennent connaissance au préalable du cours et le but du cours
est alors de vérification la compréhension
comment faire exploser les cadres horaires classiques, pour encourager le développement des
pratiques innovantes.
développement d’un IEP
avoir un service de communication sur l’offre de formation ; avoir un bureau des anciens
étudiants
les lycéens ont une mauvaise image de l’université
l’UAG met-elle en avant ses réussites ?
l’UAG n’a jamais autant communiqué que maintenant… On connait désormais l’UAG.
les dispositifs pour informer n’ont jamais été aussi développés que maintenant. Mais voila, cela
ne fonctionne pas…
On ne dispose pas de diagnostics fiables sur les dispositifs existants, ce qui ne permet pas de
faire beaucoup de propositions concrètes pertinentes ! Donc une proposition : établir un
diagnostic des dispositifs existants (dans le domaine de l’information, de la communication, de
l’adéquation des formations au territoire) pour faire connaitre l’UAG
communiquer sur des exemples de réussite en plus de communiquer sur les contenus de
formation. Mais, attention à l’effet d’icône,
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-
étroitesse du marché de l’emploi, former pour la Caraïbe…
pour un chercheur, il est intéressant d’enseigner pour communiquer à la fois sur le métier de
chercheur et sur les travaux de recherche faits dans les instituts ici
la liberté académique ne permet de rien imposer, aller plutôt vers la concertation au sein des
facultés ; aller vers les formations à hautes valeur ajoutée, qui permettent de rayonner sur la
Caraïbe ; faire que les masters répondent réellement à des problématiques régionales ;
Importance des langues parlées dans nos régions… salue le progrès apporté par le LMD sur les
langues
Cas d’une étudiante sourde : les enseignants ne sont pas non plus formés à l’accueil d’étudiants
handicapés…
formation de M1 et M2 réellement professionnalisante avec des stages plus longs et plus
effectifs, formation professionnelle en adéquation avec les besoins de l’entreprise et motiver
les étudiants autour de l’idée de stages non obligatoires
stage dès la licence pour les étudiants souhaitant exercer des métiers de l’enseignement
formation des enseignants  voir contribution de l’IUFM
qualité de vie étudiante est essentielle pour la réussite de l’étudiant et l’attractivité des campus
nécessité de faire un état des lieux de la vie étudiante car certaines améliorations peuvent être
réalisées à moindre coût
voir contribution de l’IUFM
PROPOSITIONS ET LEVIERS D’ACTION :
Au niveau local
- rendre effectif le conseil de l’éducation nationale local mais avec des groupes de travail
disciplinaires pour mieux connaître les disciplines et préparer les programmes pédagogiques
BAC/L1 en particulier,
- rendre la vision théorique des professionnels de l’orientation plus pratique
- mettre en place le conseil académique de l’orientation
- mettre en place dès la seconde des tests d’orientation professionnelle pour que les élèves
apprennent à mieux se connaître
- poursuivre les opérations de communication en direction des classes des lycées pour changer
l’image de l’université pour éviter les orientations par défaut vers l’université
- proposer une offre de formation en licence plus adaptée ou public, afin de palier l’hétérogénéité
du public étudiant, par le biais de (1) DU de remise à niveau et de connaissance du milieu
professionnel, (2) DEUST, (3) licence artisanat … plus en prise avec le milieu professionnel, (3)
année 0
- mettre en place une véritable année de propédeutique, de préparation à l’enseignement
supérieur
- mettre en place des partenariats (lycées/université/cité des métiers) pour renforcer la
mutualisation des moyens en termes d’orientation (tests d’orientation)
- établir un diagnostic des dispositifs existants (dans le domaine de l’information, de la
communication, de l’adéquation des formations au territoire) pour faire connaitre l’UAG
- offre de formation= offre des savoir + offre de compétences
- inclure l’obligation d’un passage dans un établissement d’enseignement supérieur européen ou
international dans la formation du doctorant
- sensibiliser les acteurs de l’économie au fait qu’ils sont dans des villes universitaires afin de
contribuer à la vie étudiante
- Pour les logements/restauration sur le campus de l’IUFM, une solution pérenne doit être trouvée
- La mise en place de véritables services associés à la carte étudiant à l’instar de ce qui se fait dans
l’hexagone
- Prévoir une liaison CROUS/université pour faciliter l’inscription des étudiants potentiellement
boursiers mais n’ayant pas encore leurs notifications
Au niveau national
- décrire les diplômes en terme de compétences (BAC, BAC+3 et plus)
- former les enseignants à l’accueil des étudiants en situation de handicap
-
développer un Erasmus Caraïbe/Brésil pour favoriser l’attractivité
développer des co-diplomations (UAG/organismes de recherche) et des doubles cursus, type
droit/langue
revaloriser l’ensemble des bourses et des aides aux étudiants : ré-indexer les bourses sur critères
sociaux sur le coût de la vie locale par exemple
demander un dispositif du type prêt à taux zéro pour la Guadeloupe, au même titre que ce qui se
fait dans l’hexagone
faire de la Guadeloupe et de la COM de Saint Martin des territoires prioritaires dans le cadre des
emplois d’avenir (pour les étudiants se destinant aux métiers de l’enseignement)
renforcer les moyens de la recherche en éducation en Guadeloupe
créer les conditions d’un « espace » guadeloupéen de formation initiale et continue des
personnels de l’éducation
restaurer l’autonomie pédagogique et les moyens financiers et humains de l’institution en charge
de la formation initiale des enseignants
placer le concours en M1
RUBRIQUE LIBRE :
SYNTHESE DE L’ATELIER
« DONNER UNE NOUVELLE AMBITION A LA RECHERCHE »
ANIMATEURS : (nom, fonction)
 Jean-Louis Mansot, Professeur à l’Université des Antilles et de la Guyane
 Andres Meziere, Génergies Antilles Guyane
 Pierre-Yves Teycheney, chercheur au CIRAD
PARTICIPANTS : 70
DIAGNOSTIC ET THEMES PRIORITAIRES DE TRAVAIL :
1. La coopération scientifique sur le territoire de la Guadeloupe et avec les autres DOM
2. L‘intégration de la recherche guadeloupéenne dans l‘espace Caraïbe et dans l‘Espace
Européen de la Recherche
3. Comment mettre en oeuvre la coopération entre recherche publique et recherche privée, et
comment développer la recherche technologique en Guadeloupe?
4. Quels moyens pour la recherche en Guadeloupe: renforcer les équipes ou les équipements /
infrastructures?
5. Intégration et accompagnement des jeunes chercheurs
6. Science et société en Guadeloupe :
o
communication et diffusion de la culture scientifique
o
impact sur l‘attractivité des filières scientifiques
o
Image du chercheur, attractivité des métiers de la recherche
ESSENTIEL DES ECHANGES ET DISCUSSION :
Thème 1 : Coopération scientifique
 La coopération entre organismes de recherche et l’Université doit être améliorée.
 Meilleure connaissance des compétences et des acteurs
 Favoriser la mise en place de mini projets (entre chercheurs individuels) et les co-tutelles de
thèses)
 Mise en place d’une plateforme de concertation entre organismes de recherche, université
et industriels
 Mise à disposition d’un site web qui répertorie les outils et les compétences présents dans
les différents établissements
Thème 2 : Intégration de la recherche guadeloupéenne dans l‘espace Caraïbe et l‘Espace Européen
de la Recherche
 Des coopérations régionales (intra Caraïbe) existent grâce
 La mise en place des partenariats se fait préférentiellement autour de thématiques
communes
 Les principaux freins identifiés sont : convergence insuffisante entre les thématiques
prioritaires en Guadeloupe et dans les pays voisins ; difficultés de circulation des
personnes et de communication (réseau internet, visioconférence)
 Il existe des outils financiers (Interreg, ERANET, REGPOT), cependant répondre à des appels à
projets transnationaux (Caraïbe, Europe) nécessite la constitution préalable de réseaux
multipartenariaux
 Propositions :
o
mise en place d’un fond d’amorçage pour la constitution de réseaux (prise en charge
de missions)
o
amélioration des réseaux de communication et de transport
Thème 3 : Coopération entre recherche publique et recherche privée, développement de la
recherche technologique en Guadeloupe?
 La coopération public / privé existe en Guadeloupe mais elle est peu développée. Cette
situation résulte principalement de la taille réduite des entreprises qui conduit à
l’absence d’investissement en R&D.
 Des outils (bourses CIFRE, Crédit Impôt Recherche, par exemple) existent mais les entreprises
guadeloupéennes y ont peu recours
 Une structure d’échange (Pôle de compétitivité) existe
 Parmi les freins identifiés :
o
Méconnaissance des compétences des acteurs de la recherche par les entreprises
o
Difficultés d’accès des entreprises aux fonds européens dans le cadre de projets
collaboratifs, par manque de fonds propres
 Propositions :
o
Faciliter l’accès des entreprises aux fonds européens : accroissement du taux de
financement limitant l’apport de fonds propres
o
Aide au montage des dossiers
o
Mise en place d’une plateforme d’information et d’échange organismes de
recherche/entreprises adossée au Pôle de compétitivité
Thème 4 : Quels moyens pour la recherche en Guadeloupe
 L’éloignement géographique induit des surcoûts importants en termes d’approvisionnement,
d’achat et de maintenance d’équipements, de missions d’échanges scientifiques
 La taille des équipes de recherche est réduite et ces équipes présentent une carence en
personnel technique de haute qualification, en particulier dans le domaine de la recherche
expérimentale universitaire
 Propositions :
o Accroître le financement récurrent des laboratoires afin de compenser les surcoûts
liés à l’éloignement
o Favoriser l’acquisition d’équipements de haute technologie et attractifs au plan
international pour développer une recherche de haute qualité, fondamentale et
appliquée
o Accroître les regroupements d’équipes au sein d’UMR afin d’atteindre des masses
critiques suffisantes en conservant une cohérence thématique
o Recruter des personnels techniques de haute qualification (ASI, IE, IR) principalement
dans le domaine des sciences expérimentales par repyramidage des emplois existants
ou création de postes
Thème 5 : Intégration et accompagnement des jeunes chercheurs
 Difficultés d’insertion des jeunes docteurs du fait de l’exiguïté du territoire et du marché du
travail de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’entreprise privée
Thème 6 : Science et société
 Faible visibilité des activités du chercheur et des résultats de la recherche
 Demande sociétale forte d’information scientifique
 Proposition :
o Optimiser et structurer les dispositifs de communication scientifique et technique à
destination du grand public autour du pôle territorial de référence (Archipel des
Sciences) et des outils existant
o Création de lieux dédiés à la culture scientifique et technique
o Accroître les contacts entre chercheurs et élèves de l’enseignement secondaire
RUBRIQUE LIBRE :
SYNTHESE DE L’ATELIER
« GOUVERNANCE»
ANIMATEURS : (nom, fonction)
Sylvie GUSTAVE DIT DUFLO, conseillère régionale
Didier DESTOUCHES, maître de conférence UAG- Faculté de Droit et Sciences économiques
PARTICIPANTS : 50
DIAGNOSTIC ET THEMES PRIORITAIRES DE TRAVAIL :
Le nouveau paysage de la recherche et de l’enseignement supérieur doit
répondre à l’exigence de dynamisme et d’efficacité attendue par tous les
acteurs internes et externes locaux.
De nouvelles problématiques sociétales liées à l’intelligence territoriale, à
la démocratisation du savoir, à l’autonomie des pôles universitaires, à la
fonctionnalité pérenne des structures de collaboration; sont en même
temps posées.
FORMULATION DES QUESTIONNEMENTS :
Comment définir les nouveaux processus de collaboration entre les principaux acteurs
institutionnels de l’E.S.R ?
Quelles sont les innovations structurelles à mettre en place localement afin de mieux associer
collectivités et établissements ?
Sur la base de quels principes politiques et de quelles compétences juridiques doit-on asseoir le
pilotage des établissements ?
PROPOSITIONS PRIORITAIRES ET LEVIERS D’ACTION
- Création d’une plateforme commune locale de concertation et de coordination d’action
commune en matière de formation et/ou de recherche. (Pour la recherche l’objectif commun
devra être selon l’INRA relatif au domaine du développement durable)
(issues de la réunion préparatoire ou reçues par mail) :
1) Création d'une commission mixte en matière de recherche (avec un vrai pouvoir décisionnel sur
les programmes,...) comprenant : la commission Enseignement supérieur de la Région, membre élus
CS du Pôle, le DRRT, 1 membre des organismes de recherche: INSERM, Pasteur, IPGP, BRGM, CIRAD,
INRA, ONF +Dir. Labos du pôle. Cette commission serait une aide précieuse pour l'élaboration du
PAS de l'UAG.
2) Création d'une commission Formation (ayant de vrai pouvoir) comprenant la Commission
enseignement Sup de la Région, chambres consulaires, conseil de la culture, conseil économique et
social Régional, Rectorat.
3) Création d'une instance d'évaluation des politiques publiques en matières
d'Enseignement supérieur et de Recherche sur le pôle
5) Donner plus de responsabilités et compétences au VP PUR afin de répondre aux exigences de la
territorialisation et de l’approfondissement de la décentralisation à venir.
RUBRIQUE LIBRE :
Réunions préparatoires :
- J’ai organisé et animé une réunion de préparation qui a eu lieu le
jeudi 27 septembre en présence de socioprofessionnels et
universitaires. Elle a permis de dégager des propositions, axes de
réflexions et d’affiner les questions proposées en atelier.
Participants :
Christophe WACHTER
Secrétaire général de l’APMI
Sébastien MATHOURAPARSAD
Maître de conférence d’économie
Michel GEOFFROY
Professeur de Mathématiques, directeur du LAMIA
Hélène ERNATUS
DRRT, docteur en économie
Pierre-Yves CHICOT
Maître de conférence de droit public
Sylvie GUSTAVE DIT DUFLO
Conseil régional, MCF UAG
Animatrice adjointe des Assises
Gylise CAZIMIR
Responsable BAIP UAG
Didier DESTOUCHES
Maître de conférences d’histoire du droit
Animateur adjoint des Assises
David DAHOMEY
Cabinet de la présidente de région, conseiller jeunesse, référent AESR.
Harry MEPHON
Sociologue du sport et formateur sportif
Absents excusés :
Ketty BILBA
MCF UAG, Directrice du SCUIO-IP UAG, animatrice adjointe des assises
Melina SEYMOUR GRADEL
Directrice de cabinet du sénateur maire Jacques Cornano
Alain PIETRUS
Professeur de mathématiques
Vice-président délégué UAG au développement stratégique
Vincent TACITA
Directeur de CALISTAT
Jean-Pierre LAGUERRE
Responsable du pôle stratégie de l’A.R.S
Daniel DUMIRIER
Directeur du cabinet du sénateur et président du Conseil général
Jacques Gillot
Lydia BARFLEUR
Directrice de l’institut de coopération Franco-Caraïbe
- J’ai assisté aux deux réunions de l’équipe d’animation des ateliers
- J’ai assisté à la réunion du pôle universitaire Guadeloupe relative au
débriefing des échanges organisés sur les composantes au sujet des
assises territoriales.
- J’ai animé l’atelier gouvernance du pôle universitaire Guadeloupe
organisé en juillet et dont le rapport a été utilisé pour la préparation
des assises et est versé au pot commun des documents de synthèse
de ces assises territoriales.