jeudi 9 juin Ensemble Orchestral de Paris

jeudi 9 juin
Ensemble Orchestral de Paris | Accentus | Laurence Equilbey
Dans le cadre de la 5e Biennale d’art vocal
Du mardi 7 au samedi 25 juin
Vous avez la possibilité de consulter les notes de programme en ligne, 2 jours avant chaque concert,
à l’adresse suivante : www.citedelamusique.fr
Ensemble Orchestral de Paris | Accentus | Laurence Equilbey | jeudi 9 juin – 20h30
Roch-Olivier Maistre,
Président du Conseil d’administration
Laurent Bayle,
Directeur général
5e Biennale d’art vocal
MARDI 7 JUIN – 19H
Rue musicale
MERCREDI 8 JUIN – 20H30
Salle des concerts
JEUDI 9 JUIN – 20H30
Salle des concerts
Léo Delibes
Messe Brève
Benjamin Britten
A Ceremony of Carols
Johannes Brahms
Ein deutsches Requiem
Felix Mendelssohn
Christus
Cantates chorales
Maîtrise des Hauts-de-Seine
Chœur d’enfants de l’Opéra National
de Paris
Gaël Darchen, direction
Entrée libre
MARDI 7 JUIN – 20H30
Salle des concerts
Orchestre National de Lille
BBC Symphony Chorus
Jean-Claude Casadesus, direction
Sally Matthews, soprano
Dietrich Henschel, baryton-basse
MERCREDI 8 JUIN – 15H ET 16H30
JEUDI 9 JUIN – 9H30 ET 11H
SPECTACLE JEUNE PUBLIC
Amphithéâtre
Accentus
Ensemble Orchestral de Paris
Laurence Equilbey, direction
Sandrine Piau, soprano
Robert Getchell, ténor
Markus Butter, baryton
VENDREDI 10 JUIN – 20H30
Amphithéâtre
Guillaume Dufay
Motet « Ecclesiae militantis »
Conception, mise en scène de Sophie Grelié Stefano Gervasoni
Musique de Giacinto Scelsi
Horrido
Scénographie de Bruno Lahontâa
Josquin des Prés
Miserere, mei Deus
Éclats
René Leibowitz
Muriel Ferraro, chant
A se stesso op. 37 n° 3
Sophie Grelié, création sonore et régie
René Leibowitz
Two Settings
Robert Schumann
JEUDI 9 JUIN – 18H30
Meerfey op. 69 n° 5
ZOOM SUR UNE œUVRE
In Meeres Mitten op. 91 n° 6
Johannes Brahms
Felix Mendelssohn : Christus
Drei Gesänge op. 42
par Brigitte François-Sappey, musicologue Iannis Xenakis
Nuits
Ma
Le Jardin de Monsieur Lully
Les Arts Florissants
Les solistes du Jardin des Voix
William Christie, direction
MERCREDI 8 JUIN – 19H
Rue musicale
Œuvres de Charles Trenet, Mac Huf,
Rudi Revil, Richard Rodgers, Giulio
Caccini, Francis Poulenc, Vicki Tucker
Courtney, Jacques Ofenbach, Leonard
Cohen, Orlando di Lasso, Giovanni
Battista Pergolesi, Jerry Estes
Chœur d’Enfants Sotto Voce
Scott Alan Prouty, direction
Richard Davis, piano
Entrée libre
JEUDI 9 JUIN – 19H
Rue musicale
Œuvres de Carl Nielsen, Felix
Mendelssohn, Gioachino Rossini,
Pekka Kostiainen, Bo Holten, Alain Louvier
Maîtrise de Paris
Patrick Marco, direction
Christine Lajarrige, piano
Entrée libre
2
Schola Heidelberg
Christina Hess, Catherine Anne Motuz,
trombones baroques
Walter Nußbaum, direction
DU MARDi 7 AU SAMEDi 25 jUin
MERCREDI 15 JUIN – 18H30
ZOOM SUR UNE œUVRE
SAMEDI 18 JUIN – DE 9H30 à 18H
CITÉSCOPIE
MERCREDI 22 JUIN – 20H
Salle des concerts
Johann Sebastian Bach : «Tilge, Höchster,
meine Sünden» (d’après le Stabat Mater de
Giovanni Battista Pergolesi)
Par Sylvie Pébrier, musicologue
Le lied de Schumann
Avec Brigitte François-Sappey,
Claire Badiou et Hélène Pierrakos,
musicologues
Claudio Monteverdi
Il Ritorno d’Ulisse in patria
MERCREDI 15 JUIN – 20H30
Salle des concerts
SAMEDI 18 JUIN – 20H30
Salle des concerts
Arcangelo Corelli
Concerto grosso n° 4 op. 6
Francesco Bartolomeo Conti
Cantate « Languet anima mea »
(Arrangement Johann Sebastian Bach)
Giuseppe Torelli
Concerto en ré mineur
Johann Sebastian Bach
Psaume 51 « Tilge, Höchster, meine
Sünden », d’après le Stabat Mater de
Giovanni Battista Pergolesi
Gustav Mahler
Frühlingsmorgen
Erinnerung
Rheinlegendchen
Robert Schumann
Dichterliebe op. 48
Johannes Brahms
Fantaisies pour piano op. 116
Hugo Wolf
Fussreise
Nimmersatte Liebe
Begegnung
Das verlassene Mägdlein
Auf ein altes Bild
Verbogenheit
Der Rattenfänger
ll Giardino Armonico
Giovanni Antonini, direction
Roberta Invernizzi, soprano
Bernarda Fink, mezzo-soprano
VENDREDI 17 JUIN – 20H30
Salle des concerts
Nathalie Stutzmann, contralto
Inger Södergren, piano
Ivan Fedele
Animus anima pour ensemble vocal
Johannes Maria Staud
Par ici ! (Création mondiale, commande EIC)
Bruno Mantovani
Cantate n° 1 pour 6 chanteurs et ensemble
La Venexiana
Chiara H. Savoia, mise en scène
Claudio Cavina, direction
Martina Belli, La Fragilité humaine/Mélantho
Salvo Vitale, Le Temps/neptune
Valentina Coladonato, La Fortune/junon
Giulia Peri, L’Amour
Mauro Borgioni, jupiter
Giorgia Milanesi, Minerve
Mirko Guadagnini, Ulysse
Oksana Lazareva, Pénélope
Makoto Sakurada, Télémaque
Marco Bussi, Antinoüs /Phénicien iii
Alessio Tosi, Pisandre/Phénicien ii
Alberto Allegrezza, Amphinome/
Phénicien i
Paolo Antognetti, Eumée/Eurymaque
Luca Dordolo, irus
Gabriella Martellacci, Euryclée
SAMEDI 25 JUIN – 20H
Salle Pleyel
Arnold Schönberg
Gurre-Lieder
Orchestre Philharmonique de
Strasbourg
Czech Philharmonic Choir Brno
Marc Albrecht, direction
Christiane Iven, Tove
Lance Ryan, Waldemar
Anna Larsson, la Colombe
Barbara Sukowa, la narratrice
Albert Dohmen, Bauer
Arnold Bezuyen, Klaus-narr
Petr Fiala, chef de chœur
Ensemble intercontemporain
Neue Vocalsolisten Stuttgart
Susanna Mälkki, direction
Robin Meier, Réalisation informatique
musicale ircam
Ce concert est précédé d’un avant-concert
à la Médiathèque.
Entrée libre sur réservation au 01 44 84 44 84
3
JEUDI 9 JUIN – 20H30
Salle des concerts
Felix Mendelssohn
Naissance du Christ
Wir glauben all’ an einen Gott
Christus (première partie)
Vom Himmel hoch, da komm’ ich her
Soufrance du Christ
Christe, du Lamm Gottes
Christus
O Haupt, voll Blut und Wunden
Verleih uns Frieden gnädiglich
Accentus
Ensemble Orchestral de Paris
Laurence Equilbey, direction
Sandrine Piau, soprano
Robert Getchell, ténor
Markus Butter, baryton
Ce concert est surtitré.
Coproduction Cité de la musique, Ensemble Orchestral de Paris et Accentus.
Fin du concert vers 22h.
5
Felix Mendelssohn (1809-1847)
jeune, Felix Mendelssohn reçut une éducation musicale peu ordinaire de Carl Friedrich Zelter :
celui-ci ne jurait que par Bach, à une époque où le Cantor était pratiquement oublié.
En 1827-1828, Felix décide de faire redécouvrir la Passion selon saint Matthieu, dont il dirige
en quelque sorte la « deuxième » mondiale le 11 mars 1829. Dans la même période, il fait renaître
la cantate baroque, fondée sur le choral, qu’il teinte de son propre romantisme intérieur et doux ;
il est le seul de son temps à revisiter ainsi les chorals luthériens. Pendant ses voyages à Paris,
Vienne ou Rome, il critique la « frivolité » de ces villes catholiques qui le déçoivent. Dans sa piété
et sa modestie, il ne se soucie pas de publier ses cantates ; il les réservera aux concerts familiaux
du dimanche, et sa mère lui reprochera cette production si conidentielle. Ces pages de musique
sacrée pleines d’intérêt ne seront éditées qu’à partir des années 1970 !
Ce concert assortit à ces cantates l’oratorio inachevé Christus auquel Mendelssohn s’attelle
à la in de sa courte vie. Des trois parties – nativité, Passion, Résurrection – qu’avait prévues
le compositeur, il ne reste que des fragments des deux premières, pages émouvantes et
expressives qui méritent d’être mises à l’honneur.
Efectif global : lûtes, hautbois, clarinettes et bassons par deux – 2 cors, 2 trompettes, 3 trombones – timbales.
Wir glauben all’ an einen Gott [nous croyons tous en un seul Dieu]
Composition : Rome, mars 1831.
Texte : Martin Luther.
Publication : 1980.
Durée : environ 8 minutes.
Ce Credo très airmatif reprend et « habille » un choral de Luther avec toute la solennité des
cuivres et timbales. Les deux premiers versets, concernant le Père et le Fils, sont en écriture
fuguée sur un soubassement très régulier, presque implacable. Le troisième volet sur le
Saint-Esprit est au contraire vertical : le chœur à l’unisson est entouré par les triolets frémissants
des violons. La future Symphonie Réformation n’est pas loin.
6
Christus – Première partie : Naissance du Christ
Composition : 1846–1847 (inachevé).
Durée : environ 10 minutes.
Ce premier volet de l’oratorio exprime à merveille la foi pure de Mendelssohn, sa dévotion loyale
et candide de chrétien (sa famille, juive, ne s’est convertie au protestantisme que peu après
sa naissance) ; l’angélisme naturel de sa musique sacrée s’exprime ici sans emphase ni excès de
mystère. Le trio des Rois mages, très mélodieux, s’accompagne d’une sorte de « basse continue »
à la manière baroque. Frémissant de douce dévotion, le chœur Es wird ein Stern aus Jakob aufgehn
[Une étoile de la race de Jacob va se lever] alterne avec des passages plus coléreux, annonçant la
destruction de l’ancien état des choses, des princes et des cités. Un choral conclut, dans la plus
pure tradition protestante.
Vom Himmel hoch, da komm’ ich her [Du ciel là-haut, de là je viens]
Chœur
Aria (baryton)
Choral
Aria (soprano)
Arioso (baryton)
Chœur inal
Composition : achevé à Rome le 28 janvier 1831.
Texte : Martin Luther.
Durée : environ 16 minutes.
Cette cantate de noël reprend un texte que Luther avait écrit en 1535 pour ses enfants.
L’introduction instrumentale fait « tomber du ciel », comme en une illustration sonore du titre,
un brillant trait de violons. Le chœur qui suit, très jubilatoire, occupe la moitié de la durée de
l’ouvrage. il s’ouvre dans un riche entrelacement vocal et se termine dans une majestueuse
homophonie. Le premier air de baryton adopte une simplicité presque enfantine dans sa
dévotion. Exprimant la gratitude, l’air de soprano s’entoure d’une idyllique couleur de lûtes
et clarinettes. Le bref second air de baryton, plus grave, s’enchaîne sans interruption au chœur
inal, un grand choral à la solennité enthousiaste.
7
Christe, du Lamm Gottes [Christ, agneau de Dieu]
Composition : décembre 1827.
Dédicace : cadeau de noël pour Fanny, sœur du compositeur.
Durée : environ 7 minutes.
Les trois strophes de cet appel à la pitié de Dieu sont introduites par une mélodie ressemblant
au fameux Jésus que ma joie demeure de Bach. La première strophe, calme et contrapuntique,
rappelle les rouages bien huilés d’une œuvre de Pachelbel, avec le choral planant en « cantus
irmus » au soprano. La deuxième strophe présente une écriture tout aussi élaborée mais plus
nerveuse, avec un fugato assez dramatique. La troisième strophe est traitée en choral,
que nimbe un accompagnement régulier de violons.
Christus – Seconde partie : Soufrance du Christ
Composition : 1846–1847 (inachevé).
Durée : environ 11 minutes.
Le deuxième volet de Christus s’inspire nettement de la Passion selon saint Jean de Bach,
avec ses chœurs agressifs qui exigent la cruciixion. Mendelssohn repense ces efets de foule,
de turba, il ose les dépasser : il en conçoit cinq en dialogue avec le personnage de Pilate ;
ces chœurs, un peu plus longs que chez Bach, ne lésinent pas sur l’efet dramatique.
Alors que le Cantor s’était vu reprocher en son temps ses audaces « théâtrales », bien sobres,
pourtant, mais jugées inconvenantes à l’église, son jeune successeur perçoit ce réalisme comme
une qualité, qu’il développe. Le chromatisme menaçant dans le Kreuzige ihn ! monte comme
un raz-de-marée ; le chantage à propos de la Loi, que Bach traitait déjà en style fugué, fait l’objet
d’une autre fugue, plus tordue et cruelle. Cette deuxième partie, comme la première, se termine
par un choral.
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O Haupt voll Blut und Wunden [Ô tête couverte de sang et de blessures]
Texte : Paul Gerhardt.
Durée : environ 12 minutes.
Cette cantate sur le thème de la Passion s’appuie sur un choral de Paul Gerhardt daté de 1667,
très connu dans la tradition luthérienne, et qui sera également utilisé par Liszt dans son Via Crucis.
La triste introduction des cordes, avec altos divisés et sans violons, se prolonge dans le chœur,
lui fournissant un soubassement ondulant. Ce chœur traite le début du choral en imitations
navrées ; parfois un motif du choral se fauile en valeurs plus longues (« augmentées »).
Dans l’air central, le baryton adresse au Christ soufrant une salutation simple et contrite.
L’accompagnement, où igurent cette fois des timbres plus aigus de violons et de bois,
est du même type mouvant que dans le mouvement précédent, comme un marais de larmes. La
partie centrale de cet air de forme ABA comporte des motifs d’appel plus douloureux
et lancinants. En troisième volet igure le choral de Gerhardt tel qu’en lui-même, mais encadré
par l’aura romantique d’un rayonnement de cordes qui le met bien en valeur ; à la in les cors
émergent, comme une allusion à la gloire qui suivra le sacriice.
Verleih uns Frieden gnädiglich [Seigneur Dieu, daigne accorder]
Composition : le 10 février 1831.
Texte : Martin Luther.
Création : à Leipzig, le 30 octobre 1839.
Durée : environ 6 minutes.
Cette prière sur des paroles de Luther demande la chose la plus essentielle de toutes : la paix
de l’âme. Formulée dans un tranquille contrepoint de voix et d’instruments discrets – à noter
l’absence signiicative de cuivres et de hautbois –, elle s’exprime en trois temps, ou plutôt en trois
lentes vagues : d’abord aux basses seulement ; puis aux basses et altos ; enin au chœur complet.
Une sérénité bienfaisante s’en dégage : on peut la rapprocher du futur Cantique de Jean Racine
de Fauré.
Isabelle Werck
9
Sandrine Piau
Robert Getchell
Markus Butter
Si le public l’a découverte dans
né aux États-Unis, Robert Getchell
né en 1973 à Bruck an der Mur
la musique baroque, aux côtés de
étudie à la Maîtrise du Centre de
(Autriche), Markus Butter commence
William Christie, Philippe Herreweghe, Musique Baroque de Versailles et
sa formation musicale dans le chœur
Christophe Rousset ou Sigiswald
reçoit l’enseignement de Margreet
des Wiener Sängerknaben, puis il
Kuijken, Sandrine Piau aiche
Honig au Sweelinck Conservatorium
rentre au Conservatoire johann
aujourd’hui un large répertoire,
d’Amsterdam (Pays-Bas). il poursuit
josef Fux et à l’Académie des Arts
relété par une abondante
sa formation en musique ancienne
et de la Musique de Graz. il suit
discographie, et conirme sa place
avec le ténor Howard Crook. il se
l’enseignement de Walter Berry et
d’exception parmi la nouvelle
produit notamment avec l’Orchestre
se perfectionne au Conservatoire de
génération de chanteurs français.
des Champs-Élysées, il Fondamento,
Munich avec Fritz Schwinghammer.
Sur les scènes lyriques, elle alterne
Les Talens Lyriques, Concerto Köln
En 1997, il obtient le deuxième prix
les rôles baroques, classiques et
et Accentus. Sur la scène baroque,
du Concours international du lied de
romantiques, passant de Servilia
il chante de nombreux rôles dont
Schubert à Vienne. il chante ensuite à
(La Clémence de Titus de Gluck) à
Mercure (Persée de Lully), Astolfe
l’Opéra de Cologne, au Klangbogen-
Pamina (La Flûte enchantée de Mozart) (Roland de Lully) et Glaucus (Scylla
Festival de Vienne et au Teatro Regio
ou Titania (A Midsummer Night’s
et Glaucus de Leclair), tous dirigés
de Parme. En 2002, Gerard Mortier
Dream de Britten). Elle se produit
par Christophe Rousset. il interprète
l’invite pour la première édition de
régulièrement en récital
le rôle de Gomatz et Podestat dans
la Ruhrtriennale à incarner Masetto
dans les plus grandes salles d’Europe
l’opéra de jérôme Deschamps
dans Don Giovanni. il reprend ce rôle
et d’Amérique, avec Corine Durous,
et Macha Makeïef, Mozart Short
à l’Opéra de Cologne, au Deutsche
Alexandre Tharaud, Georges
Cuts, sous la direction de Laurence
Staatsoper de Berlin et au Theater
Pludermacher, Susan Manof, Myung-
Equilbey, et il est Ferrando dans
an der Wien, où il incarne également
Whun Chung ou jos van immerseel,
Così fan tutte de Mozart au Théâtre
junius dans Le Viol de Lucrèce de
pour ne citer qu’eux. Récemment,
des Champs-Élysées. Robert Getchell
Benjamin Britten. On l’entend en
elle a interprété les rôles de Donna
est invité par de nombreux festivals,
outre en Papageno (La Flûte enchantée
Anna (Don Giovanni de Mozart) au
dont ceux d’Utrecht, Versailles et
de Mozart) au new national Theatre
Théâtre des Champs-Élysées, Poppea
Ambronay. il donne par ailleurs de
Tokyo. Parallèlement, il se produit
(Le Couronnement de Poppée de
nombreux concerts d’oratorio aux
avec de nombreux orchestres comme
Monteverdi) à Cologne et Sandrina
Pays-Bas, en Allemagne et en France,
la Staatskapelle de Dresde, l’Orchestre
(La Finta Giardiniera de Mozart)
se produisant notamment dans les
de Paris, l’Orchestre symphonique de
à la Monnaie de Bruxelles. Elle a
Passions de Bach et le Requiem de
Vienne, la Bachakademie de Stuttgart
également donné des récitals au
Mozart. À noter dans sa discographie
et l’Orchestre symphonique de la
Wigmore Hall, au Carnegie Hall, au
Les Sept Dernières Paroles du Christ de
WDR de Cologne. Après ses débuts
Musikverein de Vienne et à la Salle
Haydn avec l’Akademie für Alte Musik
avec le Philharmonique de Berlin sous
Pleyel. Sandrine Piau enregistre
de Berlin et Accentus. Cette année,
la direction de nikolaus Harnoncourt,
exclusivement pour naïve. Son
il participera à une tournée et à un
il est immédiatement réinvité à se
dernier disque de lieder et de
enregistrement d’œuvres de Schein
produire avec l’orchestre, sous la
mélodies françaises, Après un rêve,
avec Stephan MacLeod, ainsi qu’à un
direction de Herbert Blomstedt,
est paru en mars. En décembre, elle
enregistrement de musique écossaise en mars 2011.
interprètera le rôle de Pamina au
avec les Musiciens de Saint-julien. il se
Théâtre des Champs-Élysées.
produira également dans Le Messie de
Haendel avec jean-Claude Malgoire.
10
Laurence Equilbey
Chœur de la Radio Flamande dans Le
à Rayonnement Régional de Paris
Chef d’orchestre et directrice musicale Paradis et la Péri de Schumann, qu’elle
(direction Xavier Delette), et deux ans
d’Accentus, Laurence Equilbey est
met en espace avec le concours
plus tard le programme européen
aujourd’hui reconnue pour son
d’André Wilms et d’Hervé Audibert.
Tenso, dédié au développement
exigence et son ouverture artistique.
Au concert, Laurence Equilbey dirige
de l’art vocal. Par ailleurs, elle a mis
Le travail qu’elle fait depuis quinze ans les orchestres de Lyon et nice. Depuis
au point un diapason électronique
lui donne une place de choix parmi
2009–2010, elle est également artiste
(e-tuner), permettant aux musiciens
les chefs symphoniques recherchés
associée, avec Accentus, à l’Ensemble
d’accéder aux 1/4 et 1/3 de tons et de
notamment pour leur expertise
Orchestral de Paris, qu’elle retrouve
sortir du système tempéré de façon
dans l’oratorio ou l’opéra. Parmi ses
dans L’Enfance du Christ de Berlioz à
intuitive.
réalisations importantes, citons
la Salle Pleyel en septembre 2010,
Laurence Equilbey a étudié la
La Cenerentola de Rossini au Festival
ainsi que dans un enregistrement
musique à Paris, Vienne et Londres,
d’Aix-en-Provence, Medeamaterial de
Mendelssohn. En 2010–2011, elle
et suivi des cours de direction
Pascal Dusapin au Festival Musica,
dirige notamment le Freischütz
notamment avec Eric Ericson,
Les Tréteaux de Maître Pierre et L’Amour de Weber à Toulon, L’Enfant et les
Denise Ham, Colin Metters et jorma
Sorcier de Manuel de Falla à l’Opéra
Sortilèges de Ravel à Taïwan, dans une Panula. Elle a été élue « Personnalité
de Rouen Haute-normandie.
mise en scène de Pierrick Sorin, et La
Musicale de l’année 2000 » par le
La production Mozart Short Cuts
Flûte enchantée de Mozart à Avignon.
Syndicat professionnel de la critique
qu’elle conçoit et dirige à Luxembourg Avec Accentus, elle continue
dramatique et musicale. En 2003, elle
et à la Cité de la Musique à Paris, mise
d’explorer le grand répertoire vocal et
est lauréate du Grand prix de la presse
en scène par jérôme Deschamps et
soutient la création contemporaine,
musicale internationale. La Suède l’a
Macha Makeïef, est reprise à Aix-en-
donnant par exemple cette saison
également distinguée en l’élevant
Provence en 2009 avec l’Orchestra
un programme exigeant autour
au rang de Chevalier dans l’Ordre
of the Age of Enlightenment, dans
de Stockhausen et Schönberg,
de l’Étoile Polaire. En 2006, Cultures
le cadre de son association avec le
avec la création française d’une
France lui a remis le passeport
Grand Théâtre de Provence. Elle dirige œuvre de Matthias Pintscher. Leurs
« créateur sans frontières » pour la
en 2009 Albert Herring de Britten, dans enregistrements, nombreux, sont
musique classique et contemporaine.
une mise en scène de Richard Brunel,
www.laurenceequilbey.com
régulièrement salués par la critique.
à l’Opéra de Rouen Haute-normandie Elle reçoit un Disque d’or en 2008
Agent général : Véronique Jourdain
et à l’Opéra Comique. En résidence à
pour Transcriptions, qui s’est vendu
Artists Management – www.
l’Opéra de Rouen Haute-normandie,
à plus de 110 000 exemplaires dans
veroniquejourdain.com
Laurence Equilbey dirige plusieurs
le monde, et ses Sept Dernières
projets avec l’orchestre des lieux, et,
Paroles du Christ de Haydn, avec
Ensemble Orchestral de Paris
récemment, les lieder de Schubert
l’Akademie für alte Musik de Berlin,
Depuis sa création en 1978,
en version orchestrale. En 2008, elle
sont aujourd’hui considérées comme
l’Ensemble Orchestral de Paris
dirige un ensemble de musiciens de
un enregistrement de référence. Le
s’airme comme un orchestre de
l’Orchestre national d’Île-de-France
disque Strauss a cappella, avec le
chambre de référence en France.
et Accentus dans le Requiem de Fauré
Latvian Radio Choir, est sans doute
La forme originale de ses concerts,
(enregistrement naïve) et dans Dona
leur plus belle signature.
ses lectures « chambristes »
eis de Pascal Dusapin. En résidence
Laurence Equilbey crée en 2002 le
des œuvres, son travail de
avec Accentus à la Cité de la Musique
premier Département supérieur
décloisonnement des répertoires
à Paris, elle dirige en février 2010 le
pour jeunes chanteurs et le jeune
et des lieux en font une formation
Brussels Philharmonic, Accentus et le
Chœur de Paris au Conservatoire
unique à Paris. Ces choix
11
d’interprétation sont renforcés par les
volonté de se tourner vers les publics
Dahlia Adamopoulos
couleurs particulières que l’orchestre
empêchés, il souhaite inscrire une
Caroline Donin
donne à ses saisons, notamment
part de ses activités sur les territoires
Karine Ostyn
au service de la voix et de l’oratorio.
de la Ville de Paris. il propose des
Après les dernières directions
actions culturelles et pédagogiques
Violoncelles
musicales de jean-Pierre Wallez,
et met en place des mini-résidences
Guillaume Paoletti (solo)
Armin jordan, jean-jacques Kantorow dans diférents quartiers. il encourage Etienne Cardoze
et john nelson, actuel directeur
l’insertion professionnelle et la
Benoit Grenet
musical honoraire, l’Ensemble
formation, avec l’académie de
Livia Stanese
Orchestral s’entoure aujourd’hui
joué-dirigé « Paris Play-Direct
Sarah Veilhan
d’artistes associés partageant son
Academy », et par le renouvellement
joëlle Martinez
engagement et sa vision chambriste
du partenariat avec le Conservatoire
du répertoire : joseph Swensen,
à Rayonnement Régional de Paris.
Contrebasses
premier chef invité et conseiller
L’Ensemble Orchestral de Paris reçoit
Eckhard Rudolph (solo)
artistique ; Accentus et Laurence
les soutiens de la Ville de Paris, du
Fabian Dahlkvist
Equilbey, pour un compagnonnage
ministère de la Culture et des mécènes
Tanguy Menez
dans le répertoire avec voix ; Deborah de l’association Crescendo.
Flûtes
nemtanu, violon solo super soliste,
et nicolas Bacri, compositeur associé.
Violons
Marina Chamot-Leguay (solo)
Au-delà de sa saison parisienne au
Deborah nemtanu (violon solo super
Bernard Chapron
Théâtre des Champs-Élysées et à
soliste)
la cathédrale notre-Dame de Paris,
Philip Bride (premier violon solo)
Hautbois
de concerts ou d’opéras à la Cité
Franck Della Valle (violon solo)
Daniel Arrignon (solo)
de la musique, à la Salle Pleyel ou
Michel Guyot (violon solo)
Michel Giboureau
au Théâtre du Châtelet, l’Ensemble
Pascale Blandeyrac
Orchestral étend son rayonnement
jean Claude Bouveresse
Clarinettes
en France et à l’étranger, à l’occasion
Hubert Chachereau
Richard Vieille (solo)
de tournées et festivals. Au cours des
Philippe Coutelen
Florent Pujuila
dix dernières années, il a réalisé plus
Marc Duprez
d’une vingtaine d’enregistrements,
Helene Lequeux-Duchesne
Bassons
dont les DVD de la Messe en si de Bach Gérard Maitre
Fany Maselli (solo)
à la cathédrale notre-Dame de Paris
Mirana Tutuianu
Henri Roman
et de l’intégrale des concertos pour
Christian Ciuca
piano de Beethoven avec François-
Benjamin Ducasse
Cors
René Duchâble à l’Opéra Royal de
Marie Laure Sahran
Daniel Catalanotti (solo)
Versailles, les CD des concertos pour
Guillaume Latour
Gilles Bertocchi
Engerer ou les concertos pour piano
Altos
Trompettes
de Chopin avec Boris Berezovsky.
Serge Soulard (solo)
Marc Geujon (solo)
Parallèlement à ces activités,
Sabine Bouthinon
jean Michel Ricquebourg
l’Ensemble Orchestral de Paris porte
Bernard Calmel
une attention toute particulière
Philippe Dussol
Trombones
à l’engagement citoyen. Avec la
joel Soultanian
Daniel Breszynski
piano de Saint-Saëns avec Brigitte
12
Raphael Lemaire
Paris pour les saisons 2009/2010
enregistrement, l’ensemble a reçu
Patrick Sabaton
et 2010/2011. Ses enregistrements
le prix Liliane Bettencourt décerné
sont régulièrement distingués par
par l’Académie des Beaux-arts en
Timbales
la presse. Transcriptions, vendu à
1995, le Grand Prix Radio Classique
nathalie Geujon-Gantiez (solo)
plus de 110 000 exemplaires, a été
de la Découverte en 2001, et il a été
sélectionné pour les Grammy Awards
consacré « Ensemble de l’année » par
Orgue
2004 et a été Disque d’or en janvier
les Victoires de la Musique Classique
Christophe Henry
2008. Un disque Schönberg, avec
en 2002, 2005 et 2008.
Pieter-jelle de Boer
l’Ensemble intercontemporain, a été
Accentus est le premier utilisateur du
récompensé en 2006 par un Midem
diapason électronique e-tuner.
Accentus
Classical Award. Les Sept dernières
www.accentus.fr
Fondé par Laurence Equilbey pour
paroles du Christ de Haydn, avec
erda | accentus bénéicie du soutien
interpréter les œuvres majeures du
l’Akademie für alte Musik de Berlin
de la Direction régionale des afaires
répertoire a cappella et s’investir
(2006), sont considérées comme
culturelles d’Ile-de-France, Ministère
dans la création contemporaine,
une référence. En janvier 2008 est
de la culture et de la communication ;
Accentus est aujourd’hui un
paru le premier DVD d’Accentus,
est subventionné par la Ville de Paris,
ensemble vocal professionnel qui se
Transcriptions, réalisé par Andy
la Région Ile-de-France ; et reçoit
produit dans les plus grandes salles
Sommer. L’enregistrement inédit du
également le soutien de la SACEM.
du monde et de nombreux festivals
Stabat Mater de Dvořák, sorti en mars
Accentus est en résidence à l’Opéra de
français et étrangers. L’ensemble
2008, a été salué par les critiques.
Rouen Haute-Normandie. Il est membre
travaille régulièrement avec chefs
il a été suivi en octobre 2008 par le
du réseau européen tenso et de la FEVIS
et orchestres prestigieux (Pierre
Requiem de Fauré, avec un ensemble
(Fédération des Ensembles Vocaux et
Boulez, jonathan nott, Christoph
de musiciens de l’Orchestre national
Instrumentaux Spécialisés).
Eschenbach ; l’Orchestre de Paris,
de France. Strauss a cappella, avec
Accentus est équipé de diapasons
l’Ensemble intercontemporain,
le Latvian Radio Choir (2009), a reçu
électroniques « e-tuner » grâce au
l’Orchestre de l’Opéra de Rouen
un accueil critique des plus élogieux
soutien de la Fondation Orange. La
Haute-normandie, Concerto Köln,
avec notamment un « Choc » de
Fondation Orange soutient également
l’Akademie für Alte Musik). il participe
Classica et les ff de Télérama.
les Actions culturelles d’erda | accentus.
également à des productions
En octobre 2010 sont parues les
Le cercle des mécènes d’accentus
lyriques, aussi bien des créations
Vêpres et la Liturgie de saint Jean
accompagne son développement.
contemporaines (Perelà uomo di fumo
Chrysostome de Rachmaninov, avec
Mécénat Musical Société Générale est le
de Pascal Dusapin et L’Espace Dernier
le Chœur de chambre Eric Ericson.
mécène principal d’accentus.
de Matthias Pintscher à l’Opéra de
Le dernier disque d’Accentus,
Paris) que des ouvrages du répertoire
Manoury Inharmonies (mars 2011),
Sopranos
(Le Barbier de Séville de Gioachino
a été enregistré à l’occasion de
Pascale Costes
Rossini au Festival d’Aix-en-Provence). deux concerts à l’Opéra de Rouen
Marie-Pierre Wattiez
L’ensemble est aussi un partenaire
Haute-normandie. Le programme
Kristina Vahrenkamp
privilégié de la Cité de la musique.
Mendelssohn, Christus et cantates
Catherine Padaut
il poursuit sa résidence à l’Opéra
chorales fait actuellement l’objet d’un
Céline Boucard
de Rouen Haute-normandie, où il
enregistrement dont la sortie est
Claire Henry-Desbois
donne des concerts a cappella et avec prévue en novembre 2011. Accentus
Zulma Ramirez
orchestre. Accentus est ensemble
enregistre en exclusivité pour naïve.
Béatrice Gobin
associé à l’Ensemble orchestral de
Salué par la critique dès son premier
Sylvaine Davené
13
Charlotte Plasse
Orgue
Patricia Rondet
Christophe Henry
Altos
Pauline Leroy
Florence Barreau
Geneviève Cirasse
Valérie Rio
Sacha Hatala
Arnaud Rafarin
Bruno Le Levreur
Florence Recanzone
Ténors
Davy Cornillot
Matthieu Chapuis
Arnaud Le Du
Maurizio Rossano
Andrew Bennett
nicolas Kern
Romain Champion
Samuel Husser
Lisandro nesis
ilann Ouldamar
Basses
jean-Louis Georgel
Mathieu Dubroca
Laurent Slaars (soliste dans Christus)
Pierre jeannot
Sébastien Brohier
Anicet Castel
jean-Christophe jacques
Rigoberto Marin-Polop
Hyalmar Mitrotti
Chef associé
Pieter-jelle de Boer
Chef de chant
nicolaï Maslenko
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Et aussi…
> CYCLE PASSIONS
> SALLE PLEYEL
> MÉDIATHÈQUE
SAMEDI 17 SEPTEMBRE 2011, 20H
SAMEDI 17 DÉCEMBRE 2011, 20H
En écho à ce concert, nous vous
proposons…
Wolfgang Amadeus Mozart
Airs et duos extraits de La Flûte
enchantée, des Noces de Figaro et de
Don Juan
Piotr Ilitch Tchaïkovski
Roméo et Juliette (Ouverture)
Modeste Moussorgski
Chants et danses de la mort
Johannes Brahms
Symphonie n° 1
Orchestre Philharmonique de Radio
France
Bernard Labadie, direction
Sandrine Piau, soprano
Detlef Roth, baryton
> Sur le site Internet
http://mediatheque.cite-musique.fr
Orchestre National du Capitole de
Toulouse
Tugan Sokhiev, direction
Olga Borodina, mezzo-soprano
… d’écouter un extrait dans les
« Concerts » :
Christe, du Lamm Gottes de Felix
Mendelssohn par le Concerto
Köln, Accentus, Laurence Equilbey
(direction), enregistré à la Cité de la
musique le 2 mars 2006
Coproduction Orchestre national du Capitole
(Les concerts sont accessibles dans leur
de Toulouse, Salle Pleyel.
intégralité à la Médiathèque de la Cité
Coproduction Cité de la musique, Radio
MARDI 20 SEPTEMBRE 2011, 20H
Jean Sibelius
Pelléas et Mélisande
Francis Poulenc
La Voix humaine
Ensemble Orchestral de Paris
Juraj Valcuha, direction
Karen Vourc’h, soprano
Coproduction Cité de la musique, Ensemble
Orchestral de Paris.
de la musique.)
> CYCLE WAGNER RING SAGA
VENDREDI 7, SAMEDI 8 ET
DIMANCHE 9 OCTOBRE
Remix Ensemble Casa da Musica
Peter Rundel, direction
Antoine Gindt, mise en scène
Elise Capdenat, scénographe
Daniel Levy, lumières
Tomek Jarolim, création numérique
Fanny Brouste, costumes
> SALON MUSICAL EN FAMILLE
Coproduction T & M – Paris, Casa da Musica,
DIMANCHE 20 NOVEMBRE, 15H
Grand Théâtre de Luxembourg, Réseau
Varèse (subventionné par le Programme
Franz Liszt
Culture de la Commission Européenne), Cité
de la musique, Festival
Jean-Marie Lamour, intervenant
Musica -Strasbourg et Théâtre de SaintQuentin-en-Yvelines. Avec le soutien de
l’institut Camoes à Paris.
… de regarder dans les « Dossiers
pédagogiques » :
L’Invention du sentiment : aux sources
du Romantisme dans les « Expositions
du Musée » • Le Romantisme dans les
« Repères musicologiques » • Laurence
Equilbey dans les « Entretiens ilmés »
> à la médiathèque
… d’écouter avec la partition :
The Part-songs for mixed chorus a
cappella de Felix Mendelssohn par
The Netherlands Chamber Choir,
Uwe Gronostay (direction)
… de lire :
Felix Mendelssohn, la lumière de
son temps de Brigitte François-Sappey
… de regarder :
La Leçon de musique : Felix Mendelssohn,
les deux romantismes de Jean-François
Zygel
Éditeur : Hugues de Saint Simon | Rédacteur en chef : Pascal Huynh | Rédactrice : Gaëlle Plasseraud | Graphiste : Ariane Fermont | Stagiaires : Anna Soliman et Delphine Anquetil
imprimeur FOT | imprimeur FRAnCE REPRO | Licences no 1014849, 1013248, 1013252
France.