18/05/2005
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18/05/2005
Compte rendu de la réunion du groupe de travail "Qualité" - ONCOLOR Au : Agréé par l’Agence Régionale de l’Hospitalisation le 29 juin 1998 Association Réseau ONCOLOR Loi du 1er juillet 1901 Bureau élu le 13 juin 2003 pour 3 ans Présidente Danièle SOMMELET Vice-Présidents François GUILLEMIN Yves KESSLER Date : Ordre du jour : Groupe de travail 18 mai 2005 1/ Tarification à l’activité : « Contrat de bon usage en pratique » Mme Blanc – Légier (Pharmacien Institut Sainte Catherine Avignon), Mme Trottier (laboratoire Roche) Répartition des fiches T2A pour étude et proposition 2/ Chimiothérapie à domicile - arrêté du 20/12/04 : réflexions sur des modalités de mise en place au sein d’ONCOLOR 3/ Questions diverses Secrétaire Ivan KRAKOWSKI Trésorier Rémi BOUVIER Eric BARTHELME Gérard DELENA Patrick GUILLOT Marie Paule LANG Yves MARTINET Michel NABET Jean-François ROCHE Stéphane RUCK Invités permanents Isabelle MAY Rémi UNVOIS Isabelle KLEIN Système d’information Chargé d’évaluation Auguste RAKOTONDRANAIVO Secrétariat de coordination Sabine THEOBALD tél 03 83 59 85 01 [email protected] Secrétariat groupes de travail Christine LOUIS tél 03 83 59 85 02 [email protected] Fax : 03 83 59 85 16 Siège social Association Réseau ONCOLOR 6 avenue de Bourgogne 54500 VANDOEUVRE-les-NANCY Ce compte rendu est un document de travail diffusé exclusivement au groupe de pilotage et aux membres du bureau d’ONCOLOR Etaient présents : Benoit HOMBOURGER – Catherine VALLANCE – JeanMichel LESTREIT – Anne-Marie LLORENS - DUBOIS Chantal – LEFOULGOCQ – Pascal ROHRBACH – Edith DUFAY – Raphaël ALFONSI – Claudine BOURGMAYER - Françoise RAFFY - Jean VIGNERON Véronique NOIREZ - Nathalie FABIÉ.– Isabelle MAY Etaient absents ou excusés : Marie-Pierre BONNEFOI – Laure JOBARD – Sophie MENÉTRÉ – Isabelle DELATTE – Benoît JACQUOT Invités : E. MEDDA (Roche) – C. TROTTIER (Roche) – S. SESSA (Roche) – F. BLANC-LEGIER (Pharmacien Institut Sainte Catherine – Avignon) 1/ Tarification à l’activité F. BLANC-LEGIER présente les dernières avancées concernant le contrat de bon usage. Si les deux parties – normes administratives (état des lieux, rapport d’étapes,…) et normes techniques (programmes d’évaluation, d’action, de suivi et d’audit ; estimation des consommations) – paraissent maîtrisables, le niveau humain et éthique de l’engagement des molécules l’est moins. Les contrats de bon usage vont amener des inégalités du fait de l’intervention des ARH, des CPAM et donc des disparités sont à attendre entre les régions. Siret 432 557 734 00014 Ape 913 E 1/4 D’autre part pour les patients en échappement thérapeutique, avec des indications de niveau 3 pour les molécules utilisées, un problème éthique se pose : que doit faire le médecin ? C’est une question de haut niveau de responsabilité (national, international) qui est reportée sur un médecin ou un établissement. L’engagement des molécules doit être décrit le plus précisément possible afin d’éviter les interprétations possibles lors des contrôles qu’effectueront les instances payeuses. Mais il doit rester un minimum ouvert pour pouvoir y inclure la notion de résultats publiés (ex : lors des colloques type ASCO). Le taux de remboursement des molécules est incertain, car si un contrôle des instances payeuses met en évidence un et un seul écart par rapport au contrat signé, le taux de remboursement sera diminué. Cet écart peut concerner le contrat, le rapport annuel d’étape, le non respect des engagements,… Il est donc important d’avoir une traçabilité dans le dossier médical. C’est pourquoi pour l’élaboration de ce contrat de bon usage une multidisciplinarité est nécessaire : il faut associer les informaticiens, le DIM, le PMSI avec les médecins, pharmaciens, cadres infirmiers. L’information doit être tracée correctement dès sa source pour qu’elle puisse renseigner efficacement les indicateurs. C’est pourquoi un système d’information communiquant (avec retour d’informations) devient indispensable car tous les textes législatifs parus, ou à paraître, vont dans le sens d’une prise en charge globale du patient et plus particulièrement du patient atteint de cancer. Les indicateurs du contrat de bon usage doivent provenir des éléments de qualité présents dans les circuits pharmaceutiques et leur renseignement doit pouvoir se faire à partir des logiciels de gestion (avec l’appui des informaticiens). Il est impératif de conserver la bibliographie qui a servi à l’élaboration des fiches car toute pièce relative au contrat de bon usage doit être disponible pour l’ARH. F. BLANC-LEGIER précise qu’il faut avancer le plus possible en attendant des directives plus précises sur le contrat de bon usage. E. DUFAY précise que seul un engagement fort des directions des établissements sera un gage de réussite. Répartition des fiches de bon usage Un travail a été fait dans le cadre de la conférence des pharmaciens de CHU et, comme il avait été décidé lors de la réunion précédente, I. MAY propose qu’ONCOLOR établisse des fiches uniques pour les sites volontaires et quelles soient validées par le groupe des oncologues d’ONCOLOR. Les pharmaciens des sites ayant donnés leur accord pour ce travail sont les suivants : NOM HÔPITAL DEPARTEMENT REPONSE ALPHA Santé Hayange 57 OUI Bar-le-Duc CH 55 OUI Belle-Isle PSPH 57 OUI CAV Nancy PSPH 54 OUI Claude Bernard Clinique 57 OUI Forbach Hospitalor 57 OUI François Maillot Briey CH 54 OUI Freyming-Merlebach 57 OUI Gentilly Clinique 54 OUI Hôpital de Hoff Sarrebourg CH 57 OUI Hôpital du Parc Sarreguemines CH 57 OUI 2/4 NOM HÔPITAL DEPARTEMENT REPONSE Legouest HIA 57 OUI Lunéville CH 54 OUI Metz CHR 57 OUI Mont-Saint-Martin A.H.B.L 54 OUI Nancy Brabois Adultes CHU 54 OUI Nancy Brabois Enfants CHU 54 OUI Nancy Central CHU 54 OUI Neufchâteau CH 88 OUI Remiremont CH 88 OUI Saint Dié CH 88 OUI Saint-Avold Hospitalor 57 OUI Sainte Blandine PSPH 57 OUI Thionville CHR 57 OUI Verdun CH 55 OUI Les fiches de bon usage sont réparties selon le tableau ci-joint. Ces fiches sont à valider avec l’aide de vos médecins prescripteurs et sont à retourner pour le 30 juin 2005. Les établissements ne souhaitant pas participer à ce travail ne bénéficieront pas des fiches de bon usage. 2/ Chimiothérapie à domicile N. FABIÉ présente les différents articles de l’arrêté du 20/12/2004 et toutes les questions non résolues. Face à la multitude de questions soulevées par l’interprétation de l’arrêté, il est décidé qu’un groupe de travail multidisciplinaire se mette en place pour rédiger la Charte ONCOLOR de la chimiothérapie à domicile. Le groupe des pharmaciens hospitalier est constitué de V. NOIREZ, A-M. LLORENS, F. RAFFY, B. HOMBOURGER et N. FABIÉ pour la coordination. Des pharmaciens d’officines ainsi que des infirmières de ville et un médecin oncologue seront associés au groupe. 3/ Question diverses Le travail effectué sur l’étude « poumon » continue de progresser. Une rencontre prochaine avec des pneumologues est prévue. Afin de poursuivre l’harmonisation des protocoles et atteindre une plus large population de médecins oncologues, I. MAY souhaiterait qu’un autre organe soit étudié. 3/4 La prochaine étude portera sur le cancer colorectal et il est demandé de faire parvenir en plus des protocoles, si cela est possible, la bibliographie de support à l’adresse suivante : Hôpitaux de Brabois – Hôpital d’Enfants Service Pharmacie A l’attention d’I. MAY – Pharmacien Chef de Service Allée du Morvan 54 511 VANDOEUVRE Cédex La prochaine réunion du groupe "qualité" aura lieu : Au Centre Alexis Vautrin en salle 36 Le mercredi 19 octobre à partir de 14 h à 17 h Ordre du jour : T2A & bilan, Chimiothérapie à domicile : progression, Réseaux en France 4/4