CURRICULUM VITAE DE MARJOLAINE VALLIN ETAT CIVIL
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CURRICULUM VITAE DE MARJOLAINE VALLIN ETAT CIVIL
CURRICULUM VITAE DE MARJOLAINE VALLIN ETAT CIVIL VALLIN, Marjolaine, Gwendoline, Brocéliande Née le 25.12.74 à Limoges (87) Nationalité française Mariée, 3 enfants Adresse actuelle : 3 rue des Tisserands 63720 Entraigues Téléphone : 06 12 46 70 08 Adresse professionnelle : Université Blaise Pascal SUEE / CLM 34 avenue Carnot 63000 Clermont-Ferrand [email protected] [email protected] Langues : Français ; Anglais ; Allemand ; Latin ; Grec (initiation) ; Polonais (rudiments) 1. CURSUS, QUALIFICATIONS ET DIPLOMES UNIVERSITAIRES Février 2009 Requalification par le CNU dans le corps des Maîtres de Conférences en 9ème section (Langue et littérature françaises) Février 2005 Qualification par le CNU dans le corps des Maîtres de Conférences en 9ème section (Langue et littérature françaises) Novembre 2003 Doctorat de langue et littérature française (nouveau régime) – Université Charles de Gaulle - Lille III (59) Intitulé : « Ce théâtre que je fus que je fuis » : La Théâtralité dans l’œuvre dernière de Louis Aragon (1953-1981). Membres du jury : MM. les professeurs Yves Baudelle (université de Lille III), Daniel Bougnoux (Université de Grenoble III), Jacques Lecarme (Université Paris III) et Dominique Viart (directeur – Université de Lille III). Mention : Très Honorable avec les félicitations du jury à l’unanimité. Octobre 1999 DEA Analyses littéraires et histoire de la langue, mention Très Bien, Université Charles de Gaulle - Lille III. Intitulé du mémoire : La Théâtralisation de l’énonciation dans l’œuvre dernière de Louis Aragon : perspective linguistique et générique, sous la direction de M. le professeur Dominique Viart. 1 Juillet 1997 Admission à l’agrégation de lettres modernes (55ème). Octobre 1996 : Maîtrise de lettres modernes, mention Très Bien, Université François Rabelais de Tours (37). Intitulé : La poétisation de l’idéologie dans les poèmes de Résistance de Louis Aragon, sous la direction de M. le Professeur Louis Baladier Juin 1996 Maîtrise de Français Langue Etrangère, mention Très Bien, Université François Rabelais de Tours. Juin 1995 Licence de Lettres Modernes option Français Langue Etrangère (FLE), Université François Rabelais de Tours (37). Juin 1994 DEUG de Lettres Modernes, Université de Limoges (87). 1994-1992 Classes préparatoires aux grandes écoles (Ulm) au lycée Gay Lussac de Limoges. Juin 1992 Baccalauréat A1, mention Bien, au lycée Gay Lussac de Limoges. 2. POSTES OCCUPES Septembre 2011- PRAG affectée au Service universitaire des étudiants étrangers (SUEE), Université Blaise Pascal, Clermont-Ferrand (cours de FLE). 2005-2011 PRAG affectée à l’Institut de français (IDF), Université d’Orléans (cours de FLE). 2004-2005 Professeur agrégée au lycée Camille Claudel de Blois (cours de français). 1998-2004 Professeur agrégée au lycée Guy Mollet d’Arras (cours de français). 1997-1998 Stage d’agrégation au lycée Balzac de Tours (cours de français). 3. ENSEIGNEMENT 1. Enseignements assurés sur le lieu ou dans la composante d’affectation Depuis 2011 : Enseignements assurés au SUEE de l’Université Blaise Pascal de ClermontFerrand : cours de Français langue étrangère (FLE) à des étudiants étrangers de divers niveaux (niveaux A2, B1, B2, C1, C2) et de multiples nationalités, notamment atelier d’écriture, cours de grammaire et d’expression écrite (synthèse, essai argumentatif). 2 2005-2011 : Enseignements assurés à l’IDF de l’Université d’Orléans : cours de FLE à des étudiants étrangers de divers niveaux (niveaux A2, B1, B2, C1) et de multiples nationalités, notamment cours de grammaire et d’expression écrite (résumé, compte-rendu, essai argumentatif). 2004-2005 : Cours de français à trois classes de Seconde et de Première générales du lycée Camille Claudel de Blois. 1998-2004 : Cours de français à diverses classes de Seconde, Première et BTS du lycée Guy Mollet d’Arras. 1997-1998 : Cours de français à une classe de Seconde générale du lycée Balzac de Tours. 2. Enseignements assurés hors du lieu ou de la composante d’affectation 2013-2014 : Cours au département de lettres de l’Université Blaise Pascal de ClermontFerrand : 1- Grammaire comparée (S3) en L2 ; 2- Histoire de la critique littéraire (S4) en L2 ; 3- Cours de grammaire/stylistique d’agrégation portant sur Capitale de la douleur d’Eluard ; 4- Cours de grammaire pour les étudiants préparant le Master des métiers de l’enseignement et le CAPES 2008-2009 : Cours à l’UFR LLSH (Lettres, Langues et Sciences Humaines) de l’université d’Orléans en Master 1, mention Linguistique, spécialité Linguistique et Didactique, parcours FLE : « La littérature en classe de FLE » (semestre 2, 18 HETD). 2007-2008 : Cours à l’UFR LLSH de l’université d’Orléans, en Licence 3, UE Didactique du FLE : « Histoire des méthodologies d’enseignement du FLE » (semestre 5, 18 HETD). 1997-1998 : Cours de grammaire (niveaux 2 et 3) au Centre universitaire d’enseignement du français aux étudiants étrangers (CUEFEE) de l’université François Rabelais de Tours. 3. Participation à des jurys 2008-2012 : Participation aux jurys du DELF (Diplôme d’études en langue française) et du DALF (Diplôme approfondi de langue française) à l’université d’Orléans puis de ClermontFerrand. 2009-2011 : Participation aux jurys de recrutement pour 3 postes de PRCE en FLE à l’université d’Orléans. 1998-2005 : Participation aux jurys de baccalauréat (épreuve anticipée de français). 4. ACTIVITES DE RECHERCHE 1. Domaines de recherche Mes centres d’intérêt concernent aussi bien des œuvres narratives que des poèmes du XXème siècle. 3 Je m’intéresse à la poétique des genres depuis mon doctorat : réflexion sur des textes au carrefour de plusieurs genres (dramatique, épique, lyrique, autobiographique). Je mène tout particulièrement un projet sur l’hybridité générique dans l’œuvre de Louis Aragon. Je travaille également volontiers sur les œuvres au programme de l’agrégation de lettres (Vents, Les Faux-Monnayeurs, Capitale de la douleur) en liaison avec L’Information grammaticale et l’Association internationale de stylistique : articles grammaticaux et/ou stylistiques. 2. Equipes de recherche - Membre associé à l’EA 1002 : CELIS (Centre de recherches sur les littératures et la sociopoétique), dirigée par Pascale Auraix-Jonchière, Université de Clermont-Ferrand. - Membre de l’ERITA (Equipe de Recherche Interdisciplinaire sur Elsa Triolet et Aragon). - Membre de la SALAET (Société des Amis de Louis Aragon et Elsa Triolet). 3. Communications (conférences, rencontres, colloques) - Janvier 2014 : communication lors de la journée « Question de style » organisée par l’Association Internationale de Stylistique à Caen. Intitulé de l’allocution : « Le sublime dans Capitale de la douleur » - Mars 2007 : conférences à Saint-Lô sur la poésie de Résistance de Louis Aragon et sur son poème Le Musée Grévin. - Mars 2005 : participation au colloque « Aragon et le Nord » organisé par les laboratoires CAMELIA et CRHICC de l’Université de Valenciennes les 2, 3, 4 et 5 mars 2005. Intitulé de l’allocution : « L’inscription du Nord dans la poésie de Louis Aragon ». - Novembre 2004 : participation aux rencontres « Elsa Triolet, Louis Aragon en Résistance : Dieulefit, Lyon, Saint Donat » (novembre 1942-septembre 1944) » organisé par la SALAET à Romans les 12, 13 et 14 novembre 2004. Intitulé de l’allocution : « Le Musée Grévin, poème épique ». - Juin 2004 : participation au colloque « Aragon, la parole ou l’énigme » organisé par Daniel Bougnoux au Centre Georges Pompidou à Paris les 11 et 12 juin 2004. Intitulé de l’allocution : « Aragon et le théâtre » (téléchargeable gratuitement comme e-book sur le site de la Bibliothèque publique d’information du Centre Pompidou : http://editionsdelabibliotheque.bpi.fr/livre/?GCOI=84240100397490&fa=complement s). 4. Liste des publications 4.1. Ouvrage publié à titre de seul auteur 4 Louis Aragon, la théâtralité dans l’œuvre dernière – « Ce théâtre que je fus que je fuis, Paris, Editions L’Harmattan, 2005. L’essai analyse la tentation du théâtre dans l’œuvre d’Aragon, en particulier dans le corpus retenu (1953-1981) où le théâtre s’inscrit d’abord comme mode, dramatisant la forme comme l’écriture, ensuite comme métaphore par le biais de la pluralité du sujet, de la présence de figures du double, d’une intertextualité dramatique (essentiellement mythique et tragique) et enfin d’un imaginaire baroque. Il propose également une réflexion sur la signification du théâtre aragonien et le sens de la théâtralité de son œuvre sur le plan personnel et littéraire (modernité et retour au surréalisme) comme psychanalytique (présence de certains aveux grâce aux pouvoirs cathartiques du théâtre), pour conclure sur la plurivocité de la théâtralité aragonienne : miroir ou masque, refuge ou signe de sa perte identitaire et de sa folie. 4.2. Articles publiés ou à paraître à titre de seul auteur • « L’ordre des constituants ou l’ « ordre des clartés » dans Capitale de la douleur », L’Information grammaticale, n°140, janvier 2014 (à paraître). L’objectif de cet article est de s’interroger sur le rôle que joue l’ordre des constituants dans Capitale de la douleur au programme de l’agrégation 2014. L’article étudie les diverses modifications de l’ordre canonique des constituants dans la phrase verbale, puis se penche sur la phrase averbale pour identifier le rôle de la syntaxe dans le recueil de 1926 et en montrer l’évolution. Les obscurités des textes surréalistes ne résident pas seulement dans les difficultés sémantiques et référentielles, mais aussi dans la difficulté à s’orienter dans la chaîne syntagmatique de l’énoncé lorsque le poète laisse la « liberté absolue [à] la parole ». Le sens des poèmes qui juxtaposent des syntagmes nominaux à la prédication douteuse reste souvent obscur, majoritairement dans la première section. Faute de syntaxe pour l’aider à s’orienter, le lecteur doit s’en remettre au sémantisme des mots employés, qui, loin de le guider, l’égarent encore davantage. • « Aragon dans les manuels de Français langue étrangère » in Recherches croisées, numéro spécial, printemps 2013 (à paraître). L’article recense les textes d’Aragon cités dans les manuels de FLE depuis les années 1980, explique les choix effectués et tente d’analyser les raisons idéologiques et philosophiques de la rareté de cette présence. • « La phrase d’André Gide dans Les Faux-Monnayeurs » in Questions de style (revue électronique de l’Association Internationale de Stylistique), juin 2013 : http://www.unicaen.fr/puc/revues/thl/questionsdestyle/print.php?dossier=dossier10&fi le=01vallin.xml L’article se propose de définir la spécificité de la phrase dans Les Faux-Monnayeurs. Pour cela, il analyse d’abord la conception gidienne de la phrase dans le roman à partir du relevé des occurrences du mot puis caractérise la phrase telle qu’elle y apparaît, en la comparant à d’autres textes de Gide : majoritairement brève mais susceptible de s’allonger. L’article explique alors les raisons syntaxiques, prosodiques, génériques et philosophiques de cette brièveté comme de cet allongement. Il conclut que la phrase des Faux-Monnayeurs, prétendument classique, est surtout variée et contradictoire : brève ou allongée, simple ou complexe, familière ou recherchée, resserrée ou disloquée. En cela, elle est représentative du style de son auteur, de son esthétique comme de son éthique – entre classicisme et symbolisme, entre tradition et modernité. 5 • « "Il n’y a d’art que général" : on dans Les Faux-Monnayeurs d’André Gide », L’Information grammaticale, n°135, octobre 2012. A partir du constat de la fréquence du pronom on dans les deux premières parties des FauxMonnayeurs, l’article classe les 272 occurrences du corpus et analyse la spécificité de on, ses valeurs puis les raisons de sa fréquence. Il conclut que les emplois de on, quoique divers, convergent et permettent de révéler la conception romanesque de Gide. La fréquence des on indéfinis manifeste notamment un point de vue de moraliste qui généralise volontiers. • « L’écriture aragonienne au miroir du théâtre », in Aragon, une écriture au carrefour, textes réunis par Maryse Vassevière, Revue des sciences humaines, n° 305, janviermars 2012, p. 29-47. L’article propose une synthèse des rapports de l’œuvre d’Aragon au théâtre, envisagé dans ses diverses significations. Le théâtre s’inscrit en effet dans son œuvre de différentes façons lexicale, thématique, formelle, métaphorique, mentale. Mais si le théâtre est exhibé, il est dans le même mouvement refusé par l’écrivain. L’article tente donc de comprendre cet apparent paradoxe et d’interpréter le théâtre aragonien comme les raisons de sa présence, pour conclure sur ce qui permet de qualifier de théâtrale l’écriture d’Aragon, preuve de sa modernité. • « L’identité de la narratrice dans Les Manigances » in L’identité féminine dans l’œuvre d’Elsa Triolet, Thomas Stauder éd., édition Lendemains, volume 21, Gunter Narr, Tübingen, Allemagne, 2010, p. 401-415. Le roman d’Elsa Triolet, Les Manigances, permet de révéler la nature comme la fonction du personnage féminin trioletien, du point de vue des gender studies. L’identité de la narratrice, Clarisse Duval, se révèle insaisissable, mouvante et contradictoire. La vocation de Clarisse pour le théâtre n’apporte pas la libération identitaire escomptée : elle reste contrariée et mise en doute jusqu’aux dernières lignes du roman. L’article propose d’interpréter l’instabilité identitaire de la narratrice à la lumière de l’instabilité générique des Manigances. Ce roman peut en effet être qualifié, selon les mots mêmes d’Elsa Triolet, d’« autobiographie littéraire » et lu comme une tentative – vaine – pour son auteur de réaliser, au travers de sa narratrice, ce qu’elle n’a jamais réussi dans sa vie : se libérer de l’emprise masculine en quittant son mari et en ayant un domaine artistique en propre. Ce sera la narratrice du Rossignol se tait à l’aube, dernier ouvrage d’Elsa Triolet, qui accomplira – mais trop tard – cette revanche littéraire. • « Le texte littéraire en classe de français langue étrangère – Les textes « En français facile » en question » in Didactique des langues : domaines et dénominations, textes réunis par Mihai Dat, ABELL, Dijon, 2009, p. 129-156. L’article étudie l’un des matériels pédagogiques centrés sur la littérature offerts encore aujourd’hui aux enseignants de français langue étrangère, l’adaptation littéraire, à partir d’un exemple précis, l’adaptation du roman de Balzac, Eugénie Grandet, dans la collection « En français facile » chez Clé International. Il analyse les présupposés idéologiques de la collection puis présente les critiques que les didacticiens lui ont adressées ; il compare ensuite la version originale et la version adaptée, à partir d’extraits et d’exemples précis, avant d’exposer l’opinion d’une classe de français langue étrangère sur le titre adapté. Il conclut en s’interrogeant sur la pertinence de la démarche adoptée par les collections en français simplifié. • « La phrase averbale persienne » in Le français moderne, n° 2, juillet 2008, p. 203-211 A partir du constat de la fréquence des phrases averbales dans les trois premiers livres de Vents, l’article propose une réflexion grammaticale sur la phrase averbale persienne et sur les raisons de sa présence. Après avoir écarté les phrases qui, quoique dépourvues de verbe, n’en sont pas pour autant averbales puis examiné les cas litigieux nés de la confrontation de la définition de la phrase averbale par Florence Lefeuvre au corpus persien, l’article classe les phrases averbales selon leur fonction énonciative en s’appuyant notamment sur l’analyse de P. 6 Charaudeau et permet de mettre au jour certaines caractéristiques fondamentales de la poétique de Saint John Perse, du moins telle qu’elle apparaît dans Vents. • « L’inscription du Nord dans la poésie de Louis Aragon », in Aragon et le Nord – Créer sur un champ de bataille, études réunies par S. Hirschi et M-C. Mourier, Presses Universitaires de Valenciennes, 2006, p. 265-277. L’article recense les différentes modalités de l’inscription du Nord dans l’ensemble de la poésie d’Aragon, propose un corpus et analyse les raisons (autobiographiques, historicopolitiques et poétiques) de cette présence. • « Le théâtre des Manigances » in Recherches croisées Aragon-Elsa Triolet, n° 10, Presses Universitaires de Strasbourg, 2006, p. 153-176. L’article s’interroge sur la signification du théâtre dans l’œuvre romanesque d’Elsa Triolet et en particulier dans Les Manigances. Par le biais d’une analyse intertextuelle et mythique du roman, le théâtre trioletien se révèle imaginaire et lyrique, et non pas générique ou réel. • « Le Musée Grévin, poème épique » in Les Annales de la SALAET (Société des Amis de Louis Aragon et Elsa Triolet), n° 6, 2005, p. 230-245. L’article propose une étude de l’épique de ce poème de Résistance d’Aragon qui s’inscrit dans une tradition générique mais développe aussi le registre épique, tant sur le plan énonciatif, stylistique que mythique. • « Aragon et le théâtre » in La Pensée, n° 339, 2004, p. 135-144. L’article présente les conclusions de ma thèse de doctorat et les conclusions auxquelles elle aboutit au sujet des rapports entre Aragon et le théâtre comme des différentes significations que ce mot prend sous sa plume et dans son esprit. 4.3. Comptes rendus - Compte-rendu de Aragon, Le Fou d’Elsa, un poème à thèses, Hervé Bismuth, Lyon, ENS Editions, 2004, sur le site de Fabula (http://www.fabula.org/revue/document4491.php) - Compte rendu du premier numéro des Annales de la SALAET (Société des Amis de Louis Aragon et Elsa Triolet) dans la revue Roman 20/50, Lille III, juin 2000. 5. RESPONSABILITES ADMINISTRATIVES 2008-2009 : Participation à l’élaboration du dossier remis au CIEP (Centre international d’études pédagogiques) lors l’audit de décembre 2008 dans le cadre du processus de labellisation de l’IDF en vue de l’obtention du label « qualité fle » (harmonisation entre collègues, rédaction et relectures de fiches et de séquences de cours). 2007-2010 : Election au poste de directrice-adjointe de l’Institut de français de l’université d’Orléans (représentation du directeur en son absence, délégation de signature, tâches administratives et pédagogiques régulières ou spécifiques : examen des dossiers de candidatures, établissement des emplois du temps, rédaction des comptes rendus des réunions, suivi des étudiants en formation continue, organisation de la rentrée, modification des diplômes universitaires de l’IDF, création d’un nouveau diplôme universitaire etc.). 7 2007 : Chargée de mission par le Président de l’Université d’Orléans pour l’obtention de l’habilitation relative au DELF (Diplôme d’Etudes en Langue Française) et au DALF (Diplôme Approfondi de Langue Française) et pour la transformation du Centre de langue et de civilisation françaises (CLCF) de l’UFR LLSH de l’Université (rédaction de dossiers, du projet, de comptes rendus, des statuts ; mise en place et direction d’une commission ; démarches auprès d’autres centres FLE en France, du rectorat, d’associations en FLE etc.). L’université d’Orléans devient centre d’examen du DELF et du DALF en mai 2007 ; la création d’un nouveau service commun centralisant les cours de FLE de l’université, l’Institut de français de l’université d’Orléans, est effective en juillet 2007. 8