le système rodan - Corrosion Solution Brabant International Inc.

LE SYSTÈME Corrosion Solution Brabant International ou
COMMENT VAINCRE LA CORROSION ET L’ABRASION ?
Chaque année, les dégâts c aus és par la c orros ion c oûtent des milliards à l’éc onom ie
c anadienne, et les m oyens c onventionnels pour c ontrer s es ef f ets dév as tateurs s ont peu
durables , voir inef f ic ac e.
Une lutte ef f ic ac e c ontre la c orros ion et l’abras ion s em blait
im pos s ible j us qu’à c e que la c om pagnie Corros ion Solution Brabant International f as s e la
m is e en m arc hé d’un nouveau pr oc édée.
LES TECHNIQ UES TRA DITIO NNELLES CO NTRE LA CO RRO SIO N
Il ex is te ac tuellem ent plus ieur s m éthodes pour enrayer le phénom ène de la c orros ion.
L’interpos ition phys ique et la pr otec tion c athodique s ont les plus c onnues . L’interpos ition
phys ique s e f ait c om m e c hac un le s ait ; par des revêtem ents s oit de types inorganiques
( ém ail, verre, por c elaine, c im ent...) s oit de type organique (huile, rés ine, épox y, vinylique...).
T outef ois , la pr inc ipale lac une de c es revêtem ents es t le manque d’adhés ion et le peu
d’élas tic ité de la pellic ul e pr otec tr ic e (2% pour les épox ys ). Ces revêtem ents ne tiennent
pas c om pte des pr opr iétés natur elles du m étal c om m e s a dilatation (8%) et s a s ouples s e. Il
en rés ulte un af f aiblis s em ent de la pellic ule protec tric e qui s e m anif es te par un
c raquèlem ent de l a peintur e per m ettant ains i aux agents c orros if s d’atteindre le m étal.
La protec tion c athodique, la deux ièm e idée m aj eure en m atière d’antic orros ion,
c ons is te à c om battr e dir ec tem ent la c orros ion élec trolytique s ur le terrain élec trique. Le
princ ipe s e r és um e de la f aç on s uivante. En dis pos ant un élém ent beauc oup m oins noble
( c ’es t - à- dire ayant un potentiel nettem ent s upérieur) par rapport à toutes les élec trodes
divers es et m ic r o élec tr odes en pr és enc e, on im pos e à toutes c es dernières de rec evoir un
f lux de c ourant élec tr ique et par c ons équent de devenir c athode ( - ) par rapport à l’anode (+)
ains i introduite.
Sur c oque de navir e, l’anode de zinc pos s ède un potentiel s uf f is am m ent haut et s era
donc généralem ent c hois i. T outef ois , la c onnex ion élec trique à la c oque doit être parf aite.
Si c e s ys tèm e es t ef f ic ac e s ous la ligne de f lottais on, il devient inopérant au - des s us de
c elle - c i. La s olar is ation à c haud, le s houpage (m étallis ation par proj ec tion de zinc en f us ion)
et l’élec trozingage s ont des pr oc édé s qui peuvent rem plac er la m éthode anodique de f aç on
s atis f ais ante. Les s euls inc onvénients m aj eurs ; le c oût et la pos e qui dem andent des
c onditions très dif f ic iles à obtenir s ur un c hantier c e qui af f ec te la longévité de la protec tion.
Pour c eux qui c r oient que le phénom ène de la c orros ion n’es t pas im portant, nous
aim erions s im plem ent leur s ignaler qu’une tôle d’ac ier non protégé perd ains i dans l’eau de
m er environ 0,125 m m par an. Cette vites s e es t m oyenne c ar la vites s e de pénétration es t
s upérieur e au début puis dim inue avec l’apparition de la c ouc he d’oxyde.
LE SYSTÈME Corrosion Solut ion Brabant International
Le s ys tèm e Cor r os ion Solution Brabant International
c om pos antes , un dés ox ydant et des enduits à bas e d’uréthane.
es t
c ons titué
de
deux
Le 84 DRS DÉRO UILLEUR ET PRO TECTEUR DE MÉTAL es t un nettoyeur à bas e
d’ac ide phos phor ique avec inhibiteur qui débarras s e les s urf ac es m étalliques de leur rouille,
prévient l’ef f et d’ox ydation et ac c r oît l’adhérenc e des revêtem ents par la f orm ation d’une
pellic ule de phos phate f er r ique qui em pêc he les c hlorures et les ox ydes d’attaque la s urf ac e
m étallique.
Ce dés ox ydant a aus s i c om m e propriété d’em pêc her la propagation d’un
éventuel point de r ouille s ous la peinture.
Sa grande f luidité per m et d’ac c éder à de s endroits inac c es s ibles par les m oyens
traditionnels de nettoyage.
Il es t donc un c om plém ent parf ait au j et de s able.
Des
ex périenc es ef f ec tuées au Labor atoire du Minis tère des T rans ports du Q uébec ont prouvé
l’ef f ic ac ité du dés ox ydant. Une par tie d’un tuyau neuf , traité au dés ox ydant à rés is ter 2 400
heures dans un br ouillar d s alin. La partie non - traité avait une pellic ule de rouille (c alam ine)
j us qu’à près d’un quar t de pouc e d’épais s eur.